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Le glutathion


wallypat

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Dans cet article, en gros, il est dit que l'AZT, par exemple, est plus efficace si utilisé avec du glutathion (GSH).

Présenté comme ça, l'AZT (brevet échu ou pas) a encore de beaux jours devant lui, on ne va pas tuer la poule aux oeufs d'or.

Il n'est pas venu à l'idée de ces scientifiques de tester le glutathion tout seul ??????

J'aimerais bien connaître les motivations que ces scientfiques ont à ne pas pratiquer la science !

En effet Liane - enlevé ou rajouté un facteur constitue les fondements du savoir expérimental. Il y aurait-il des raisons éthiques à ne pas supprimer le facteur AZT ?

Cordialement

Modifié par Psyence
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Après les co-infections et les co-facteurs c'est les co-thérapies et pourquoi pas

une co-hypothèse pour le SIDA.

"Il semble que le cidre est plus efficace pour l'ivresse quand il est consommé avec des bonnes doses de Wisky"!!

Je crois fermement à ce qu'a dit Kary Mullis "Ils ne sont pas 30.000 chercheurs indépendants qui travaillent dans 30.000 contextes différents et qui suivent 30.000 directions différentes. Ils sont plutôt 30.000 chercheurs du même club payé par la même "entreprise" qui travaillent sur la même direction et c'est pour cette direction qu'ils sont payés".

Alors cette démarche cumulative ne métonne pas: si mono-thérapie et tri-thérapie pourquoi pas une quadri-thérapie!!

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C'est incroyable mais c'est bien ça : le stress (ponctuel ou chronique) affaiblit le système immunitaire et joue un rôle dans bien des pathologies.

Quelques autres exemples pour souligner combien le stress est impliqué dans la vie biologique.

·    Capacité défensive lymphocytaire globalement diminuée si deuil du conjoint ou un choc psychologique équivalent (stress aigu -viol, attentats, séparation, catastrophe naturelle,...- ou chronique : divorce, incarcération, vols spatiaux, passage dexamens, compétitions sportives...).

·    + baisse significative des IgA (immunoglobulines impliquée dans la défense des voies respiratoires notamment)

·    + diminution de la production dinterféron (protéine anti- virale)

·    + diminution des lymphocytes NK (Natural Killers / anti cancer)

·    + diminution de la réponse lymphocytaire T aux mitogènes + augmentation de la production danticorps.

·    Même constatation chez des populations de dépressifs chroniques.

·    Diminution des médiateurs pro-immunitaires (immuno-stimulants) tels que lhormone de croissance et la prolactine (en phase II du stress).

·    Effondrement du rapport T4/T8 comparable à un SIDA en période de compétition sportive intensive.

·    Mononucléoses infectieuses X 2 chez les étudiants en période dexamen

·    Chez les astronautes après 30 jours de vol spatial, comme chez les sujets privés de sommeil pendant 48 heures, on observe une suppression transitoire de lactivité lymphocytaire.

·    Fortement impliqué dans le déclenchement de la principale maladie thyroïdienne (Basedow), le stress lest également dans toutes les maladies dites auto-immunes (Ashimoto, lupus érythémateux, sclérodermie, purpura thrombopénique idiopathique, diabète insulino dépendant, polyarthrite rhumatoïde ou cirrhose biliaire primitive...).

·    Des poussées de Sclérose En Plaque sont très fréquemment associées à des périodes de stress intense et de déstabilisation émotionnelle. 

·    Cancer du sein diagnostiqué brutalement ? Un pronostic péjoratif est X 2 chez les femmes dépressives et pessimistes

·    Le stress affecte les centres de la mémoire, (hippocampe) par des excès de glucocorticoïdes libérés lors du stress chronique

·    Le stress aigu modifie négativement les lipides sériques et augmente brutalement la viscosité du sang, favorisant les pathologies cardio-vasculaires (90% des infarctus surviennent chez les types psychologiques A, vivant à 100 à lheure et ne sachant pas faire de pauses)

http://www.ons-asso.org/psychosomatique_ou_somato.htm

C'est une recherche rapide que j'ai faite. A développer.

Il n'y a pas de recette miracle contre le stress psychologique mais plusieurs méthodes peuvent aider à se recentrer sur son essentiel. Et il faut le vouloir consciemment. C'est le plus difficile. Lasimar, ta question vient de m'enlever un voile de plus !

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Une question qui me vient à l'esprit: peut-on être séronégatif et voir son taux de T4 chuter, juste à cause du stress psychologique, et en l'absence de toute cause pathogène externe?

Oui, bien sûr, cela ne fait pas l'ombre d'un doute.

Lis par exemple cet article pour le moins édifiant (avec références scientifiques à l'appui).

Quelques morceaux choisis :

Des études menées sur l'animal et sur l'homme ont montré qu'un stress chronique sévère se traduit par un syndrome remarquablement semblable à celui du SIDA, et certains des mécanismes proposés pour expliquer cela sont facilement reproduits sur l'animal ainsi qu'in vitro (Benson 1997, Binik 1985, Campinha 1992, Cannon 1957, Cecchi 1984, Cohen 1988, Eastwell 1987, Golden 1977, Kaada 1989, Meador 1992, Milton 1973, Uno 1994). Les médiateurs des effets du stress sont, au moins pour partie, les hormones cortisol et épinéphrine qui provoquent un état d'immunodéficience caractérisé par une diminution du nombre de cellules T. Les cellules T helpers CD4 sont sélectivement réduites, exactement comme on le constate chez ceux qui ont été diagnostiqués VIH+ (Antoni 1990, Castle 1995, Herbert 1993, Kennedy 1988, Kiecolt-Glaser 1991, Laudenslager 1983, Kiecolt-Glaser 1988, Pariante 1997, Stefanski 1998).

Le stress sévère a également été associé à l'augmentation de la survenance de symptômes et de maladies officiellement considérées comme spécifiquement typiques du SIDA, notamment : pneumonie, tuberculose, démence, amaigrissement et, pour finir, la mort. Il a été démontré que, chez l'animal et chez l'homme, le stress provoque des dommages au cerveau et une atrophie des neurones se traduisant par un état de démence qui est le reflet fidèle de la "démence VIH", avec des modifications du cerveau identiques à celles qui sont souvent observées dans le cerveau des personnes mortes du SIDA (Axelson 1993, Bernt 1992, Brooke 1994, Frolkis 1994, Gold 1984, Jensen 1982, Lopez 1998, Magarinos 1997, Momose 1971, Sasuga 1997, Sapolsky 1990, 1996, Starlman 1992, Uno 1989, 1994). Le stress social et psychologique sévère et chronique a aussi été associé à l'augmentation du taux de la mortalité due à des maladies comme la pneumonie et la tuberculose (Kennedy 1988, Luecken 1997, Russek 1997), et il a été montré qu'un tel stress provoquait chez les humains, les primates non-humains et d'autres animaux un syndrome d'amaigrissement remarquablement semblable à ce que l'on constate dans le SIDA.

...........................

Le stress psychologique sévère et chronique, de même que l'isolement social, peuvent avoir sur l'état de santé des effets quasiment identiques à ceux du SIDA, tout particulièrement s'il s'y ajoute un stress physique ou une maladie. Le stress provoque une immunodéficience caractérisée par la réduction du nombre de lymphocytes T, surtout les cellules T-helpers CD4. On constate également une réduction du ratio CD4/CD8, avec une augmentation relative des CD8 qui sont des cellules T suppresseurs/cytotoxiques (Antoni 1990, Bonneau 1993, Castle 1995, Herbert 1993, Kennedy 1988, Kiecolt-Glaser 1988, 1991, Laudenslager 1983, Pariante 1997, Stefanski 1998). Ces deux modifications immunologiques sont considérées comme typiques du SIDA. Puisque le fait d'être diagnostiqué "séropositif" constitue en lui-même un stress psychologique important et un facteur d'isolement social, il est probable que la réduction des CD4 soit due à ce stress, au moins pour partie.

L'une des causes premières de ces changements immunitaires semble être constituée par l'augmentation importante de l'hormone cortisol. Les catécholamines (telles que l'épinéphrine) qui sont produites semblent également impliquées, mais à un degré moindre. De nombreuses études ont fait apparaître que les personnes ayant reçu un diagnostic de séropositivité ont, de façon chronique, un taux de cortisol élevé (Azar 1993, Christeff 1988, 1992, Coodley 1994, Lewi 1995, Lortholary 1996, Membreno 1987, Norbiato 1997, Nunez 1996, Verges 1989). Il est cependant important de noter que le stress chronique peut entraîner une immunodéficience même lorsque les taux de cortisol et d'épinéphrine restent normaux (Bonneau 1993, Keller 1983), ce qui montre que le mécanisme par lequel le stress affecte le système immunitaire et l'état de santé reste mal connu.

Il a également été montré qu'un stress sévère provoque des dommages au cerveau et une atrophie neuronale spécialement dans l'hippocampe, la zone du cerveau qui contrôle l'apprentissage et la mémoire (Axelson 1993, Brenner 1995, Brooke 1994, Gold 1984, Frol'kis 1994, Gurvits 1996, Jensen 1982, Lopez 1998, Magarinos 1997, Sapolsky 1990, 1996, Sasuga 1997, Sheline 1996, Starkman 1992, Uno 1989, 1994). Ceci se traduit par une diminution du fonctionnement mental similaire à ce qu'on appelle la "démence VIH". La recherche la plus effrayante est pourtant celle qui a démontré qu'un stress psychologique et social peut provoquer chez l'homme, le primate non-humain et les autres animaux un syndrome fatal d'amaigrissement ressemblant à s'y méprendre à celui que l'on retrouve dans le SIDA (Benson 1997, Binik 1985, Campinha 1992, Cannon 1957, Cecchi 1984, Cohen 1988, Eastwell 1987, Golden 1977, Kaada 1989, Meador 1992, Milton 1973, Uno 1994). Nous reviendrons plus en détail sur ce point dans la suite du présent article.

Être testé séropositif constitue peut-être le stress le plus violent que l'on puisse imaginer. Non seulement cela fait surgir une peur extrême et permanente d'une lente détérioration se terminant par la mort, mais cela entraîne en outre un isolement social se manifestant dans tous les aspects de la vie de la personne en cause. Pour aggraver encore les choses, nombre de ceux qui sont testés séropositifs souffraient déjà auparavant de rejet et d'isolement social. Des études portant sur un grand nombre de personnes ont montré qu'à lui seul, l'isolement social est responsable d'une augmentation de 100% à 200% de la mortalité, chiffres semblables à ceux que l'on retrouve associés à l'usage du tabac (Berkman & Syme 1979, House 1988). Et il est probable que le niveau de stress psychologique subi par les personnes testées séropositives est très supérieur à celui qui affectait les personnes visées par ces études...

Ou encore cette étude de 2004 (en anglais) qui fait pour la première fois la démonstration in vivo (et non plus seulement in vitro) que le stress psychologique chronique peut causer un stress oxydatif profond.

Ou encore cette étude (en anglais) qui énumère de nombreux facteurs causant une (parfois extrêmement forte, comme chez les séropositifs) baisse des lymphocytes T4 chez des séronégatifs (seuls des séronégatifs furent retenus pour rédiger cet article). Parmi ces très nombreux facteurs, se retrouve justement le stress psychologique.

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1- Le stress oxydatif aigu ou chronique peut donner un résultat positf des tests Elisa et Wetern Blot au "vih".

2- L'annonce d'une séroposité à quelqu'un (= symbôle de mort comme cela est matraqué depuis 25 ans sans aucun espoir de remise de peine) peut causer un stress psychologique dans un 1er temps très aigu, puis ensuite chronique.

- Stress psychologique cadencé par les résultas de diverses mesures préconisées par l'orthodoxie. La vie suspend son souffle, ce sont ces mesures qui mènent la danse macabre.

- Stress psychologique qui peut conduire inexorablement à une baisse du système immunitaire, dont le taux des T4 / CD4, et qui peut donc en conséquence favoriser (en plus du stress oxydatif initial) la dégradation de la santé et la survenue des maladies opportunistes au "vih" si le taux de glutathion n'est pas correctement régulé.

En conclusion :

- Utiliser à tort et à travers Elisa et Western Blot (en sachant que les fabricants précisent bien sur leurs notices que leurs tests ne devraient pas servir à diagnostiquer une "infection au vih") pour un virus qui n'a jamais été isolé une seule fois correctement,

- et faire croire au patient qu'il vient d'être touché par un sort de magie noire (car le "vih" relève bien de la baguette magique)

--> rejoint ... je vous laisse trouver les mots ... le crime, l'abomination, l'abus de pouvoir sur un patient qui croit en son médecin, le rackett (soutirer de l'argent sous couvert de la peur et la contrainte), le chantage, l'immiscion dans la vie privée et violation de cette dernière (les séropos sont fichés dans certains pays), la mise en danger d'autrui par des traitements plus que toxiques pour la plupart et l'occultation d'autres pistes thérapeutiques moins nocives, une action d'éclatement social et familial (sans parler des bébés arrachés à leurs mères), le non-respect du libre choix thérapeutique (droit fondamental de tout être humain) ... la liste est longue.

C'est là où tu veux en venir ?

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  • 4 semaines après...

Je pensais en effet doubler les doses lors de l'arrêt de la multithérapie.

Repensant à ton cas, Jeff-Lyon, je me disais qu'il était peut-être plus prudent, non d'arrêter du jour au lendemain la trithérapie, mais bien de passer à une monothérapie à la lamivudine ou à l'emtricitabine (ce qui n'a rien de saugrenu visiblement : je connais au moins deux séropositifs qui sont sous une telle monothérapie depuis quelques années) vu que ces deux drogues "antirétrovirales" combattent efficacement les agents oxydants, tout en n'étant pas trop nocives (visiblement).

Ensuite, les doses de lamivudine ou d'emtricitabine seraient progressivement réduites à néant, tout en augmentant corrélativement les antioxydants que tu prends déjà (quitte à diminuer ensuite ceux-ci si cela a l'air de fonctionner).

C'est en tout cas mon idée actualisée sur le sujet. A toi de décider bien sûr.

Modifié par wallypat
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Cher Wally !

Et bien de nouveaux évènements sont venu se greffer ces dernières jours, qui m'ont conduit à un arret total d'urgence des trithérapies. Suite à un affaiblissement général totalement anormal, dont entre autre une paralysie complète des jambes, oui, rien que ça, je me suis rendu la semaine dernière à l'hopital. Examen de controle d'urgence ont mis en évidence une leucopénie sévère, un effondrement de mes plaquettes, et une augmentation en fleche d'une enzyme musculaire CPK qui expliquerait la paralysie des membres inférieurs. Corollairement, ils ont détecté un dysfonctionnemnt du foie, complètement tuméfié, avec une élévation massives des transaminases.

Je suis resté 48h en observation, avant qu'un médecin finisse par passer me voir pour m'avouer que mon état était la conséquence de leur traitement. Ce que je savais parfaitement d'ailleurs... Et qu'ils allaient étudier un nouveau traitement en "toute sécurité".... Et là, une multitude de pensées se sont bousculées dans mon esprit,les dégats insensés de leur chimie sur mon corps, la cascade de conséquence sur le foie, l'acide folique, les répercussions sur le cycle des antioxyants, et j'ai super flippé ! A quoi bon me gaver de NAC, de vitamines, de Sélénium, pour parallelement me démolir avec leur chimie... Et puis, je vais me répéter, cette histoire finit par devenir insensé !! A chaque fois que j'ai été hospitalisé, cela a toujours été la conséqence de leus traitement !! Peut importe mon tauxde CD4 même à zéro ou leur soit disant charge viral, je n'ai jamais été malade du SIDA, mais sytématiquement de leur médicament ! La seule fois ou je pourrais avoir un doute remonte a quelques années et à une candidose oesphagienne... Il faut quand même préciser qu'ils m'avaient bourré quatre mois durant d'antibiotiques avant que la candidos se déclenche. De sorte que je ne saurais jamais si cette candidose était la conséquence du SIDA (comme bien entendu les toubibs l'ont affirmé), ou de cette prise massive et inintérrompu d'antibiotique !

Du coup, j'ai signé une décharge, et je suis rentré chez moi ! Et comme je leur ai dit, si je dois reprendre l'un de leur traitement, ça sera le jour ou on me mènera sur une civière aux urgences. En attendant, j'augmente les doses de NAC et d'antioxydant. Et il est surtout impératif que je fasse un travail sur moi même pour lutter cotre le stress psychologique inhérent a leur baton vaudou qu'ils m'ont assainé il y a quinze ans.

Je vais surveiller attentivement mon taux de glutathion, et faire des exercices de relaxation controlé. On verra bien dans les semaines à venir ce qu'il se passe !

Bien à vous tous !

Jeff

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je ne peux m empecher de repondre :

ARRETES tout et ne prend rien.....surtout pas de vitamine c qui est un antioxygene ( ideal pour aggraver une mycose ou un cancer ) pas de NAC qui cause des insuffisances hepatique ( baisse du TP et hausse des transaminases )....arretes les anti oxydants ......vis, penses à autre chose que : je suis malade, j ai quelque chose, qu est ce que je peux prendre etc etc......fais du sport ou autre ( vaut mieux fumer que de se bourrer de gellules )....le corps humain n est pas fait pour ingurgiter des gellules à longeur de journée....de vie ! ce sont les seuls *aliments* qui ne se machent pas !!! donc nocifs pour le corps chez tous le monde .

crois en toi et surtout motives toi pour ne plus de te faire avoir.....ils nous on tellement fais peur que l on est devenue de la chair à industrie pharmaceutique !!! qu est ce que cela fais au corps humain de prendre des medicaments tous les jours ??? c est marqué sur les notices : leucopenie, neutropenie.....donc chute des cd4...avec apparition de mycose........comme cela maintenant tu sais ce que tu as et cela doit etre la cause de tes problemes depuis bien longtemps avant la derniere prise d antibios.....seulement ils vont pas verfier les tcd4 chez tous le monde car ca veut presque rien neanmoins ils se servent de nous pour trouver un remede à leurs conneries!...maintenant si tu te drogues avec des susbtances illegales, le probleme est le meme mais different ! c est toi qui te fais harakiri dans ce cas là.

il faut rien prendre c est tout !

si avec tout cela tu sais pas ce qu est le sida, il y a rien à faire......encore que tu as l air de t en sortir bien, j en connais un qui est dans une chaise roulante .....à vie !

n augmentes les doses de rien du tout !

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Aïe, Jeff !

J'espère que cela ira mieux maintenant.

Pour une fois, je serais d'accord avec les conseils de Terry, mais pas pour les mêmes raisons.

De prime abord, je conseillerais également de tout arrêter, du moins (très) momentanément, car ton corps me paraît avoir été clairement intoxiqué non seulement par les tri"thérapies" mais également par les antioxydants dans ce cas-ci. Je pense qu'à cause des effets secondaires des trithérapies, les antioxydants n'ont plus eu d'effets positifs, depuis une ou deux semaines au moins. Je crains que les principes actifs de tes différents antioxydants ont peut-être aggravé encore plus les effets secondaires déjà très graves dans ton cas de ta tri"thérapie".

Bref, j'essaierais d'abord de me désintoxiquer de tout cela (antioxydants compris) pendant un certain temps. Je pense que ton corps a un besoin urgent de "souffler" maintenant.

Ceci étant, pendant cet arrêt momentané, je continuerais certainement à surveiller le taux de glutathion et à (tenter de) faire un bilan nutritionnel approfondi, et en fonction des résultats obtenus, en particulier s'ils commencent à virer au rouge et que tu te sens mal, à prendre les mesures qui s'imposent.

Mais je le redis encore, toi seul peux être à l'écoute de ton corps et savoir ce dont celui-ci a réellement besoin.

Tiens nous au courant en tout état de cause.

Modifié par wallypat
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surveilles le taux de gluthation ??? pourquoi faire ??? en le faisant monter avec la NAC on fais baisser le TP du foie, ce qui est bien plus dangeureux qu une mycose !!! tp en baisse = insuffisance hepatique = toutes les maladies de la terre !

la theorie de la nac n a rien prouvé depuis bientot 30 ans .......ha j oubliais les ulceres et les oesophagites car sustance irritante..................

azt ou nac ( surtout à plus de 1 000 mg jour ) = meme chose, meme poison !!!

comme si montagnier prendrait le risque de critiquer l azt au profit de la nac, lol !

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surveilles le taux de gluthation ??? pourquoi faire ???

Manifestement, tu n'as pas fait l'effort de lire ce topic-ci depuis le début. Je t'invite à le faire.

Par ailleurs, tu te doutes bien que tes convictions sur le sujet ne font évidemment pas le poids face aux études scientifiques, dont plusieurs ont été reprises et largement commentées dans ce topic même.

Enfin, un peu de sérieux : la NAC peut effectivement présenter - parfois - quelques effets secondaires, mais les mettre sur le même pied que les effets secondaires de l'AZT, c'est vraiment du n'importe quoi. A commencer par le fait que la NAC est un antioxydant, alors que l'AZT est exactement le contraire, à savoir un oxydant. Et aussi le fait que la NAC inhibe le "VIH", tandis que l'AZT fait proliférer le "VIH" !

Modifié par wallypat
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Mettons les choses au point une fois pour toute.

Le lecteur intéressé trouvera ici les quelques effets secondaires possibles de la NAC.

Le lecteur attentif sera frappé de constater que les effets secondaires en question se produisent en réalité très rarement, et que les effets secondaires les plus graves, déjà très rares, se produisent lorsque la NAC est administrée par la voie intraveineuse (autant dire que dans ce cas, le patient en question est en fait déjà hospitalisé et en bien piteux état).

En d'autres termes, les effets positifs de la NAC surpassent de très très très loin ses quelques effets secondaires pour ainsi dire rarissimes. A supposer qu'une personne tombe malheureusement et vraiment par très grande malchance dans la catégorie "très rares effets secondaires", il y a bien sûr toujours la possibilité d'arrêter d'en prendre.

En d'autres termes, la NAC (de même que des tas d'autres compléments alimentaires) est absolument inoffensive, sauf exceptions rarissimes (dans le cas de l'AZT, c'est en fait exactement le contraire !).

Rejeter sans nuance et aussi catégoriquement le recours à la NAC (de même que des tas d'autres compléments alimentaires), c'est exactement comme si on disait aux gens en général de ne jamais manger d'agrumes sous prétexte que certaines personnes peuvent en être allergiques et en devenir très malades !

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Jeff,

A mon humble avis, tu devrais réellement te faire suivre par un pro de la santé. L'auto-médication, ca va un moment, ça dépend des cas et on n'avance pas à l'aveugle.

Un battement d'ailes de papillon à Hong-Kong peut provoquer une tornade en Californie.

Je pense que tu en as les moyens (et on n'a qu'une santé, autant en faire une priorité) : trouve toi quelqu'un qui considère ton corps comme un tout et qui te permettra de baliser ce chemin sur lequel tu tentes tant bien que mal de te lancer.

Il saura anticiper les prémisses d'un éventuel effet secondaire de quoi que ce soit et cadrer ta reconstitution de manière globale et en connaissances de causes.

Je ne veux pas la ramener et je ne suis pas un pro du domaine mais ce que je vais te dire est instinctif.

Quand le foie ne va pas, rien ne va. En 1er lieu, il faudrait le nettoyer et le soulager plus, si nécessaire, envisager un régime alimentaire strict qui va dans le même sens (tout le temps que ce sera nécessaire)

Ici, c'est ma vision des choses que je donne et il faudrait te chercher soit un médecin orthomoléculaire digne de ce nom soit un naturopathe compétent soit un pro de la Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC) en sachant que les séances d'acupuncture + les décoctions d'herbes ne sont pas une partie de plaisir.

Ou les 3 (sans rien cacher de l'un à l'autre pour éviter des actions antagonistes) car à mon avis, il n'y a pas une panacée mais des approches complémentaires qui t'aideront à reconstruire le puzzle de ton corps. Le tout parallèlement vérifié régulièrement par les taux de tes glutathions.

Et on ne le répetera jamais assez (leucopénie) : le zinc fait remonter le taux des globules blancs.

Fais-toi cadrer.

Pour la MTC, tu peux en savoir plus sur cette médecine millénaire dans ce site qui me parait l'un des plus sérieux car les limites y sont reconnues sans honte (signe pour moi d'honnêteté) :

- Sionneau

- Forum

L'essentiel est que ton thérapeute :

1- soit très compétent dans son domaine (expérience à l'appui)

2- t'expose ta situation sans artifices

3- puisse te rassurer (sans bla blas)

4- soit ouvert au dialogue et disponible à répondre à toutes tes questions, même si tu cherches à le confronter.

Un bon thérapeute, c'est une bonne part de stress en moins. Tu peux bien sûr continuer à t'informer sans relâches de ton côté et lui apporter les éléments qui te semblent importants.

Pour moi, c'est l'équipe parfaite : thérapeute(s) + patient dans le même guerre.

J'espère très fort que tu sortiras bientôt de cette mauvaise passe, et si nécessaire (si tu peux et le souhaites), vois à prendre quelques jours de vacances pour remettre l'église au milieu du village, comme on dit.

Sincèrement mets toutes les chances de ton côté, mêmes infimes, systématiquement.

Prends bien soin de toi (et tant qu'à faire, fais prendre soin de toi de quelque manière qui te décharge un peu). Tu l'as largement mérité.

Très bon rétablissement.

4-bisou.gif

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  • 2 semaines après...

Voilà pourquoi il est impératif de se faire suivre par un/des pro/s :

1 - Il peut y avoir interactions non souhaitées entre produits chimiques, produits naturels et différentes thérapies (classiques et/ou alternatives)

2- Notion de terrain personnel :

Lacide alpha lipoïque à deux ponts disulfur, est hydro et lipo soluble, il regénére le glutathion et est aussi fortement antioxydant et est le seul à déloger le Hg du cerveau en traversant la barrière hematoménigée MAIS à ce titre, ON NE LUTILISERA JAMAIS DEMBLEE, mais seulement après TROIS mois de détox bien conduite avec DMSA ou DMPS ou en 1° intention que sur un profil des porphyrines urinaires NORMAL.
Même source

Manipuler les plantes, la nutrition, les compléments alimentaires, les produits chimiques (ensemble ou séparément) ne s'improvise pas en un clin d'oeil. C'est un métier à part entière, et seul un professionnel avec expérience saura au mieux gérer ce/s cocktail/s dans le bon sens.

Cela dit, dans un monde qui va de plus en plus vite, les voies alternatives demandent beaucoup de patience, les effets positifs se faisant ressentir à long terme mais de manière durable si elles sont correctement appliquées.

Ces voies demandent une prise de conscience et une participation active à sa propre santé.

Impossible de faire l'autruche avec ces voies, on obligé de regarder bien en face toutes nos actions-réactions et d'en tenir compte. Dur et long, avec des hauts et des bas (Rome ne s'est pas faite en un jour) mais salutaire.

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Bon, voilà. J'ai mes résultats de mon nouveau bilan nutritionnel, et j'avoue que je ne sais pas trop quoi y penser, nonobstant les affirmations très rassurantes et presque dithyrambiques de mon médecin nutritionniste.

En fait, tous les éléments analysés (sauf un) se sont améliorés, et parfois très nettement. Mon médecin nutritionniste est même assez étonné du résultat obtenu en six mois à peine.

Disons que tout comme Jeff-Lyon, j'ai pris de la NAC, de la vitamine C et de l'acide R-Lipoic Acid.

Il y a six mois, j'étais officiellement un sidéen devant consommer de toute urgence des drogues "antirétrovirales" puisque mes T4 étaient descendus à 179, soit en dessous de 200. Certes, je n'y accorde pas trop d'importance, je m'intéresse bien plus au glutathion.

Et bien, mes T4 sont remontés à ... 688 !!! C'est bien simple, je n'en ai jamais eu autant depuis que l'on mesure mes T4 (depuis début 2000). Cela avait toujours évolué entre 300 et 450.

Le pourcentage des T4 par rapport aux autres globules blancs (le pourcentage des T4 serait plus fiable que le simple décompte des T4) a très très fortement augmenté également. Il y a six mois, j'étais à 10% alors que la norme serait entre 30 et 57%. Je suis maintenant remonté à 31% (bref, de nouveau dans la norme, quoique de justesse) !

Le rapport T4/T8 a été modifié dans le bon sens également pour presque revenir dans la norme.

Mes NK1, NK2 et NK3 sont également revenus dans la norme.

Tous les marqueurs du stress oxydatif (sauf un) sont bons, voire même très bons : glutathion peroxydase, zinc, cuivre, sélénium, vitamines A et E, etc..., tout est absolument parfait : on ne constate aucune carence semblable à celle constatée chez l'écrasante majorité des séropositifs.

Bref, mon bilan nutritionnel est quasiment formidable (par rapport au précédent), et c'est d'ailleurs l'opinion de mon médecin nutritionniste.

Où est donc le problème alors ?

J'analyse les résultats que le docteur me donne et je tombe sur un point dont il n'avait même pas parlé : le glutathion réduit. Or que s'est-il passé ? Il a assez fort baissé. Normalement, la norme chez moi serait entre 56 et 84 mg% G.R. Il y a six mois, j'étais à 54 (juste en dessous), et maintenant, je suis à 36. Bref, une diminution de 33% ... alors que tous les autres marqueurs du stress oxydatif (glutathion peroxydase) se sont améliorés et/ou sont restés stables !

Ce n'est vraiment à ne plus rien y comprendre.

Pourtant, mon médecin nutritionniste ne s'en émeut guère et ne s'en inquiète pas le moins du monde. Il me précise que la mesure du glutathion réduit n'est pas toujours très fiable et peut varier très fortement. Et c'est l'explication qu'il me donne pour faire concorder vaille que vaille le mauvais résultat du glutathion réduit (car le glutathion peroxydase est bon en revanche et dans la norme) avec les autres résultats, très enthousiasmants, de mon bilan nutritionnel.

N'empêche, je ne suis qu'à moitié rassuré par ces explications sur le glutathion réduit.

Mais peut-être qu'il a effectivement raison.

Il y a dix minutes, j'ai trouvé cet article qui précise entre autres ce qui suit :

Certains facteurs anti-oxydants cités ci-dessus, comme la vitamine C ou le glutathion réduit, ne sont pas stables après le prélèvement, raison pour laquelle ils ne sont pas proposés dans ce bilan.

Donc, visiblement, des laboratoires ne font même pas des mesures du glutathion réduit car les prélèvements ne restent pas stables sur ce point. L'explication de mon médecin nutritionniste a l'air de tenir le coup.

En conclusion, je dirais donc que mon cas (sous réserve de ce problème de fiabilité de la mesure du glutathion réduit) paraît confirmer ce que différentes études avaient déjà confirmé auparavant, à savoir l'utilité certaine des antioxydants pour prévenir le sida.

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