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Le glutathion


wallypat

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Ok ... donc il n'existe pas de pastilles de gluthation (comme pour le sélénium), je voulais en être certain.

On pourrait peut-être monter un business avec cela ...

Mais il ne faut pas se faire chiper l'idée par merck !

icon_smile.gif Je fais un petite intervention sur ce sujet : oui, il existe du glutahtion sous forme de comprimés (ou gommes à macher je ne sais plus). J'ai cela sur un catalogue de chez supersmart (bon, comme je vois que tout le monde cite les noms d'établissements qui commercialisent... je ne me gêne pas !) mais par contre, je crois avoir lu sous la plume de Wally que cela n'est pas utile sous cette forme.

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oui, il existe du glutahtion sous forme de comprimés (ou gommes à macher je ne sais plus). J'ai cela sur un catalogue de chez supersmart

Oui, effectivement : voir ici.

Je reste toutefois dubitatif quant à sa réelle efficacité; en plus, garder un chewing-gum sous la langue (administration sublinguale), je ne trouve pas cela commode du tout. Et je trouve que c'est cher, très cher même.

Bref, pour ma part, j'ai arrêté (depuis longtemps) d'utiliser le chewing-gum au glutathion et j'ai opté pour la N-acétylcystéine (avec vitamines C).

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Je ne sais pas ce que cela vaut (il y a certainement dautres séléniums de meilleure qualité), mais en tout cas, je nai visiblement jamais souffert de carence en sélénium, au contraire même.

Je vous fais part de ma réflexion à ce sujet :

j'ai lu que les noix du brésil et le soja vert (haricot mungo) contiennent du selenium. (voir topic mercure )

Je consomme le haricot mungo germé, car c'est un aliment vivant., et ce n'est pas trop compliqué à faire.

Les noix du brésil sont malheureusement difficiles à trouver en France, à part décortiquées, mais elle ne sont pas terribles décortiquées car souvent rances.

Sans parler des quantités de sélénium présentes dans ces 2 aliments, qui, comparées à celles des compléments, sont sûrement faibles, je pense que le sélénium d'un aliment est par contre plus assimilable que celui des comprimés ( ce n'est que mon avis, je ne l'ai pas vérifié ) .

Oui, le souci c'est bien la faiblesse de l'apport et le fait qu'on ne peut manger aisément tel aliment tous les jours jusqu'à l'overdose.

On me dira ponctuellement que la vitamine C est dans l'orange... oui mais avant que les oranges m'apportent la dose de vitamine C qui peut m'être utile, je peux me mettre à table dès 8 h du matin et ne manger que des oranges jusqu'à 20 h...et encore... icon_biggrin.gif

Quant à remplacer (simple exemple) la bromélaïne par les tiges d'ananas, c'est un autre challenge...

Non, quand on a vraiment besoin d'apport de façon "intensive", il faut bien passer par l'achat des compléments, hélas, car côté porte-monnaie c'est pas le top.

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les seuls effets secondaires lorsqu'un produit est mal titre c'est qu'il est mal assimile ca fait mal au bide quand a la matiere premiere arko a eu beaucoup de problemes sur ca leurs produits etaient souvent irradies donc peu fiables....smart city bien qu'implantes a l'etranger faut le savoir est un labo francais de tres bonne qualite ! apres lecture des ecrits de wally je fais un test de mesure de glutathion tous les 3 mois a l'hosto et je fais des cures de NAC couples a la vitamine c esterifie comme il faut en prendre plus autant en prendre une qui ne donne pas d'acidite....simplement pour info je la prends dans la marque solgar je n'ai plus le prix en tete, faut pas hesiter de se rapprocher des tres grosses pharmacies ils beneficient de tres bons prix et ne pas hesiter a leur expliquer votre situation pour faire tomber le prix !!!! ils se font de tres belles marge !!!!

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06.06.06 - Le professeur Luc Montagnier , co-découvreur du virus du SIDA en 1985, vante les mérites du glutathion et de la papaye

"On peut ralentir le vieillissement par un certain nombre de méthodes", estime le le professeur Luc Montagnier, co-découvreur du virus du SIDA en 1985, scientifique âgé de bientôt 74 ans, dans un entretien exclusif accordé lundi à l'agence Associated Press. Lui-même a recours à divers compléments.

Ainsi, "tout le monde a des soucis d'antioxydants", une substance que fabrique le corps pour lutter contre la dégradation des cellules, le développement de maladies et le vieillissement", et pour compenser ce déficit, "je prends du glutathion", explique-t-il.

"En cas de début d'infection ou de rhume", il a recours à la papaye, le régime qu'il avait conseillé au pape Jean Paul II atteint de la maladie de Parkinson. Une étude sur un petit nombre de malades du SIDA a montré que ce fruit "pouvait augmenter la restauration immunitaire et surtout diminuer les effets secondaires de la chimiothérapie", précise-t-il, ajoutant que les résultats d'un deuxième essai réalisé dans des conditions plus rigoureuses sont attendus pour l'année prochaine.

Certes, reconnaît le Pr Montagnier, l'effet de ces traitements "n'est pas tout a fait prouvé scientifiquement. Il peut y avoir un effet placebo".

Source Associated Press, Le Nouvel Observateur en ligne

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  • 2 semaines après...

Deux très intéressantes études (en anglais, comme toujours), dont une très récente, qui n'étonneront aucun dissident du sida mais embarrasseront fortement l'orthodoxie du sida :

- <a href='http://www.aidsmap.com/en/news/D7725125-BC68-4D69-AF2F-D7EB1CCA746F.asp' target='_blank'>http://www.aidsmap.com/en/news/D7725125-BC...7EB1CCA746F.asp</a> : la mesure des lymphocytes T4 n'est pas un marqueur fiable de l'évolution vers le sida ! (de la bouche même d'orthodoxes du sida !). Mais cela, on le savait depuis belle lurette ! Et comme la charge "virale" ne le constitue également pas, c'est à se demander comment les experts ès "VIH" peuvent prétendre bien soigner les séropositifs en s'attachant qu'à ces deux seuls (faux) marqueurs.

- <a href='http://www.jimmunol.org/cgi/content/full/171/10/5107' target='_blank'>http://www.jimmunol.org/cgi/content/full/171/10/5107</a> : la mesure du niveau de glutathion intracellulaire constitue en revanche un marqueur fiable de l'évolution vers le sida, et la N-acétylcystéine paraît bien constituer la voie royale (et sans quasiment d'effets secondaires) pour faire remonter ce niveau de glutathion. Le niveau de glutathion est à ce point fondamental qu'il est suggéré qu'il soit précisé systématiquement dans les notices des "médicaments" "antirétroviraux" si ceux-ci n'ont pas pour effet de faire diminuer le niveau de glutatathion (ce qui est d'ailleurs souvent le cas, vu entre autres leur toxicité) !

Mon avis personnel : Plus que jamais, les "traitements" appelés à tort "antirétroviraux" doivent être utilisés en tout dernier recours.

Modifié par wallypat
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Invité lamane

Bonjour à tous,

Pour ma part second séjour de 6 jours à l'hopital : fièvre à 41° (c'était chaud !...)

mais après maintes analyses sanguines, urinaires et température revenue à la normale

on me dit : "ben on ne sait pas ce que vous avez eu Madame !..."

Et bien au moins je n'ai pas encore une de ces 60 maladies liées soit disant au VIH !...

Je cherche toujours désespérement dans ma région un medécin qui connait le bilan de stress oxydatif.

En surfant sur le net, je trouve des infos sur "carnitine et acétyl-carnitine"

voir ici et ici

Qui peut en dire plus ? (Je pense bien sûr à Cheminot)

Y a t-il quelqu'un qui en prend ?

Je pense aux infirmières, en particulier en milieu hospitalier.

Ces dernières sont particulièrement suivies en terme de vaccinations et autres bilans obligatoires.

Le medécin de l'hopital qui me suit m'affirme qu'elle n'a jamais entendu de cas d'infirmière

séropositive dans l'établissement (cependant je ne sais depuis quand elle y travaille)

Par contre en discutant avec l'une d'elle lors de mon précédent séjour l'année dernière, elle m'a dit avoir été blessée lors d'une manipulation et que de ce fait elle avait pris de suite un traitement (je ne sais pas lequel ni combien de temps)

Maintenant je pose la question : elles qui sont soumises comme tout à chacun aux divers stress pourquoi alors ne sont elles pas séropo ?

Existe t-il une étude sur le nombre d'infirmières séropo en France ?

A bientôt

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Maintenant je pose la question : elles qui sont soumises comme tout à chacun aux divers stress pourquoi alors ne sont elles pas séropo ?

De quel stress parles-tu ? ... la pression ? ... pas grand chose à voir avec le stress oxydatif ... non ?

Est-ce plus stressant d'être infirmière que cadre dans une boîte qui ne fait pas de cadeau ou à la presse chez Peugeot dans le bruit et le rythme ? ... De qui se fout-on ?

Il paraît que les enseignants et les infirmières sont plus stressés médiatiquement que les autres ... mais qu'en est-il du chef de produit dans une boîte qui a une autre logique de résultats que l'hôpital X ou Y ... ou que le lycée machin chouette ... avec quatre mois de congé ... pour l'enseignant bien entendu ... ou le commercant qui est sur le pont de l'aube au crépuscule en se cognant des charges colossales pour payer les premiers nommés ?

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Invité lamane

Je pense que tu n'as pas bien compris ma question concernant les infirmières (cela dit j'accepte volontiers de m'être mal exprimée) :

je voulais dire : elles qui sont soumises comme tout le monde à tous les stress (divers et variés, pas seulement le travail) responsables entre autre des maladies

Et puis "de qui se fout-on" ? Et bien moi de personne dans ce cas, c'est toi qui vient de donner une petite liste de travailleurs et par contre toi tu te fous bien des fonctionnaires payés par les commerçants.

Tout le monde est stressé et chaque personne est différente. C'est la raison pour laquelle je pense que le degré de stress varie forcément d'un individu à l'autre.

Mais en tout cas ce n'est pas à moi de dire sur simple préjugé quel travailleur l'est plus que l'autre.

Quand je parlais des infirmières c'était juste pour donner un exemple.

Tu dis "Deux mauvais mois à gerber ... mais au moins, ça les renseigne sur les traitements ... "

Et au plus ? Cela te ravit de savoir que tu n'es pas seul à prendre ou à avoir pris ces cochonneries ?

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Salut Lamane,

Le stress dont tu parles s'appelle le stress psychologique. Le stress dont on parle dans le domaine du SIDA c'est le stress oxydatif. C'est un stress au niveau biologique. Biensur le stress psychologique contribue aussi au stress oxydatif mais il est difficile que le seul stress psychologique provoquerait un stress oxydatif important. Il y a d'autres facteurs de stress oxydatif comme les drogues, les infections multiples, les traitements multiples aux anti-biotiques, l'exposition chronique à des protéines étrangères etc...

Enfin, le stress oxydatif ne génère pas automatiquement la séropositivité.

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Quand je parlais des infirmières c'était juste pour donner un exemple.

Un exemple un peu facilement relayé par les médias qui forment l'opinion sur cet aspect comme sur d'autres. D'ailleurs, je n'ai aucune prévention contre les infirmières et ce ne sont pas elles qui sont en cause dans la question du VIH. Elles obéissent, comme beaucoup de médecins, au système qui les emploie. Imagine donc que l'une d'elles, en milieu hospitalier, dise : " Vous devriez arrêter un peu (les médocs) " ... la requalification en faute professionnelle serait immédiate !

La vie est un long stress plus ou moins tranquille ou plus ou moins agité. Certains vont être très stressés de vivre dans le tumulte des grandes villes et d'autres vont connaître la même chose à la campagne ... idem s'agissant de la mer et de la montagne ... de la vie près ou loin de chez eux ... etc ... Comme tu le dis, chaque individu est différent car, au-delà des fondamentaux à mettre en dénominateurs communs, les aspirations de chacun sont différentes. A mon avis, le stress est là lorsque ces individus ont le sentiment de ne pas pouvoir exercer la capacité de mettre en musique leurs aspirations : lieu, job, famille, environnement, ...

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  • 2 semaines après...
Invité lamane

LE GLUTATHION THYOGENE

En avez-vous déjà entendu parler ?

Reproduction ci dessous d'un article paru dans "lepays.bf"

VIH/SIDA

En attendant le vaccin, empêcher le virus de se fixer sur les CD4

Dans notre édition du mardi 27 février dernier, nous avons publié un article sur les premiers essais d'un vaccin contre le VIH qui ont commencé en Afrique du Sud. Cet écrit a inspiré le naturothérapeute Siaka Sy qui reste convaincu qu'en attendant le vaccin, il faut empêcher le virus de se fixer sur les CD4.

Plus on avance dans la connaissance des mécanismes de linfection à VIH, plus on entrevoit dexcellentes pistes thérapeutiques. Cest le cas dune récente découverte sur la GP 120 qualifiée de tendon dAchille du virus.

Cest ce qui ressort de cet article intitulé HIV reveals site of vulnérability-Potentential vaccine target identified publié dans la célèbre revue médicale NATURE du 15 février 2007, vol.445, pp 732-737.

Cet article a été repris dans le QUOTIDIEN DU MEDECIN N° 8106 page 10 sous le titre : Le tendon dAchille du VIH-Une cible thérapeutique. Ce tendon dAchille est un anticorps anti-GP 120 capable de neutraliser le virus sans pour autant parvenir à en débarrasser lorganisme. Neutraliser le virus, cest lempêcher de se fixer dabord sur les cellules cibles.

Dans le n°119 du mensuel Votre Santé du mois de mai 2006, nous avions à lépoque parlé des possibilités thérapeutiques qui existent pour empêcher le virus de se fixer en agissant sur une autre cible dans la GP 120. Nous pouvons dire quun "couteau" pour couper ce tendon dAchille est disponible.

En effet, toujours sur la même GP 120, une autre cible en loccurrence le pont disulfure (-S-S BOND) permet également dempêcher le virus de se fixer sur les cellules cibles. Lapproche thérapeutique sur cette cible est non seulement disponible, mais a même été évaluée par la FDA.

Cet article publié dans la revue NATURE du 15/02/2007 confirme le rôle clé de la glycoprotéine GP 120 dans léquation du VIH/SIDA, dans la mesure ou cest elle qui permet la fixation du virus sur le récepteur CD4.Toute approche susceptible dempêcher la fixation du virus au récepteur CD4 sera une piste thérapeutique.

Par ailleurs, on connaissait le rôle du Facteur nucléaire Kappa B (NF Kappa B) dans la réplication du virus, on sait également que la GP120 est impliquée dans lactivation du NF Kappa B qui déclenche le processus de la réplication virale.

Une avancée majeure

Toutes approches contre la GP 120 et la NF Kappa B seront des pistes thérapeutiques.

Ainsi, le démantèlement chimique des ponts disulfures de la protéine GP 120 qui permettent au virus de se fixer sur les cellules cibles pour y pénétrer et se multiplier dune part, et dautre part linhibition du facteur nucléaire Kappa B impliqué dans lactivation du lymphocyte infecté qui va favoriser également la réplication du virus sont deux mécanismes dont les approches de traitement existent. On peut de ce fait empêcher la fixation du virus sur les CD4, lui faire perdre son caractère infectieux et réduire sa capacité de nuisance : Une avancée majeure.

Cette avancée vient du glutathion thérapeutique Thyogen du Dr Demopoulos dont le Pr Luc Montagnier a plusieurs fois reconnu les effets bénéfiques contre le Sida.

La GP 120 : une cible de choix.

« ...Une étude américaine publiée par la revue « Nature » révèle quil existe une faille dans larmure du VIH1. Zou et Coll. ont en effet mis en évidence un site vulnérable de lenveloppe virale, qui pourrait constituer une cible thérapeutique pour la mise au point dun vaccin curatif. Ce tendon dAchille du VIH est localisé sur une des protéines du virus qui ne mute pas constamment, la protéine GP 120.

La glycoprotéine GP 120 facilite lentrée du VIH1 dans les cellules humaines. Sa fixation aux récepteurs CD4 entraîne des changements de conformation qui permettent, tout dabord, de démasquer les sites de fixation du virus aux co-récepteurs CCRS et CXCR4, ensuite de donner à la protéine virale GP 41 une structure qui autorise la fusion de la membrane du virus avec celle de la cellule hôte.

Des analyses conduites chez des patients infectés par le VIH dont la maladie ne progresse pas ont, en outre, permis la découverte danticorps anti-GP120, capables de neutraliser le virus sans pour autant parvenir à en débarrasser lorganisme. Lensemble de ces données suggère donc que cette glycoprotéine de surface pourrait constituer une cible thérapeutique, aussi bien pour le développement de substances permettant de bloquer lentrée du virus dans les cellules de mammifères que pour celui dimmunothérapie curative..... »

"Cette découverte pourrait conduire à la mise au point de stratégies visant à occuper ce site pour sopposer à linteraction GP120-CD4 ou à le cibler avec des substances pouvant conduire à la destruction du virus.

Il ressort de cette découverte quun problème clé dans léquation de linfection à VIH, est la fixation du virus au récepteur CD4. Une approche thérapeutique serait dempêcher la fixation du virus au récepteur CD4.

En attendant les perspectives thérapeutiques dun anti-GP120 de cette découverte, il en existe une. Elle consiste à empêcher la fixation du virus au récepteur CD4, par la destruction chimique des ponts disulfures de la GP 120. Cette destruction empêche la fixation du virus : pas de fixation, pas de pénétration, pas de réplication. Une avancée thérapeutique dans la lutte contre le Sida de Thyogen du Dr Harry Demopoulos.

La problématique VIH/SIDA : cest la réplication du virus.

Le VIH 1 a été identifié en mai 1983 à lInstitut Pasteur par le Pr Luc Montagnier et ses collaborateurs, puis aux USA par Max Robert Gallo. Le VIH 2, découvert peu après en Afrique, ne diffère, surtout que de peu du VIH1, que par ses protéines denveloppe ; il est aussi responsable du Sida chez lhomme.

Le dysfonctionnement immunitaire par contre qui survient chez les patients infectés, notamment aux stades précoces, serait déclenché aussi par dautres facteurs (les co-facteurs) que le VIH lui-même.

Cest ainsi quon sait que linfection à VIH névoluerait, paradoxalement que lorsque les lymphocytes sont en état dactivation. Cest le lymphocyte lui-même qui sécrète une substance dénommée facteur nucléaire Kappa B (NF-Kappa B) qui augmente lexpression des gènes viraux lorsque la cellule infectée est en état dactivation.

La séquence des événements qui conduit de linfection asymptomatique au Sida est la suivante : la pénétration du virus dans les cellules cibles, puis la latence clinique et, ensuite lactivation de la cellule infectée par des stimulus comme le NF-Kappa B qui favorise la réplication virale.

Dans ce mécanisme de la progression de linfection vers le SIDA, deux éléments sont essentiels pour la réplication du virus :

La fixation et la pénétration du virus dune part, et dautre part lactivation de la cellule infectée par entre autres, le NF-Kappa B.

Pour bloquer la réplication du virus, il faut entre autres solutions :

. inhiber lexpression du NF-Kappa B, reconnue favoriser la réplication du virus,

. détruire la molécule dattache du VIH quest la GP 120 qui émerge de lenveloppe virale. Elle se fixe au récepteur CD4 à la surface des lymphocytes T, et des macrophages pour pénétrer dans ces cellules cibles. Cette fixation du virus permet sa pénétration et sa réplication.

Le glutathion Thyogen est reconnu capable dagir sur ces deux paramètres qui peuvent favoriser la réplication du virus : inhiber le NF-Kappa B et détruire la protéine de fixation du virus, avec pour conséquence un risque réduit de réplication du virus : une avancée certaine.

La réduction de la capacité de fixation et dinfection du virus

Le traitement avec le glutathion Thyogen freine rapidement et efficacement la réplication du VIH dans les cellules infectées qui sont mobiles. Ces cellules représentent les plus dangereux vecteurs de transmission de linfection par le sang ou sexuellement. Ces cellules infectées circulent et promptement infectent de nouvelles cellules potentielles, à lintérieur de lhôte original ou à lintérieur de nouvel hôte.

Le glutathion Thyogen empêche ces cellules envahissantes de transmettre leurs particules dans des cellules cibles potentielles.

Le glutathion Thyogen a deux importantes propriétés à ce stade :

. Il arrête la réplication virale dans les cellules déjà infectées ;

. Il empêche la transmission de cellule à cellule du VIH, des cellules infectées à de nouvelles cellules potentielles, par exemple des cellules dendritiques infectées dans lhôte seraient moins enclines à transmettre le VIH aux lymphocytes qui se conglomèrent, attendant les antigènes produits à partir des cellules dendritiques.

Le traitement avec le glutathion Thyogen rend les particules virales non infectieuses parce que la surface de la glycoprotéine GP120 du virus devient structurellement endommagée par le glutathion.

Les particules virales ne peuvent plus se fixer sur de nouvelles cellules cibles pour les infecter.

Sagissant de lintérêt du glutathion Thyogen, il faut noter son rôle dans le rétablissement de léquilibre entre les réponses immunitaires humorales (Th2) et immunitaires cellulaires (Th1) en faveur de ces dernières. La réponse immunitaire cellulaire permet de détruire tant les virus que les cellules cancéreuses.

Restaurer la réponse immunitaire cellulaire Th1, cest remettre ‘en selle les lymphocytes T cytotoxiques (CD8 ou cellules tueuses). Elles ont pour mission de reconnaître les cellules infectées par un agent pathogène (dans ce cas le virus ), et de les détruire. La destruction des cellules infectées empêche lagent pathogène de se propager et de se reproduire et permet ainsi denrayer linfection. Le glutathion Thyogen non seulement restaure la réponse immunitaire cellulaire, elle stimule la production des lymphocytes T cytotoxiques.

Ainsi, la lutte contre le Sida va connaître une avancée avec les connaissances sur limplication de la protéine GP 120, ainsi que la déficience en glutathion qui va entraîner la sur-expression du NF-Kappa B et lactivation des lymphocytes infectés entraînant la réplication du virus.

Par ailleurs, il faut noter qune déficience en glutathion est associée à une baisse defficacité du Bactrim, utilisé dans la prévention de la pneumocystose. Les taux plasmatiques du glutathion chez les personnes séropositives, même asymptomatiques, sont nettement réduits, même trois semaines après la primo-infection.

La particule virale avec le traitement au glutathion ne peut plus infecter parce quincapable de se fixer sur une cellule cible et y pénétrer. Une avancée majeure. Cette avancée vient du glutathion thérapeutique du Dr Demopoulos dont le Pr Luc Montagnier a plusieurs fois reconnu les effets bénéfiques contre le Sida.

Inactiver le facteur nucléaire Kappa B pour bloquer la réplication du virus HIV

Pour la réplication du virus, on sait que le lymphocyte infecté a besoin dêtre activé pour que le virus se multiplie. Cette activation est déclenchée par une substance, produite par le lymphocyte lui-même le NF-Kappa B.

On peut conclure sur la nécessité de lactivation du lymphocyte pour déclencher la réplication du virus VIH ; laquelle réplication va engendrer laugmentation de la charge virale et la baisse des CD4.

Le facteur nucléaire kappa B semble être un co-facteur impliqué dans cette activation. Cette connaissance ouvre des perspectives thérapeutiques avec la formulation du glutathion thérapeutique du Dr Harry Demopoulos évalué par la FDA sous la référence IND 45012.

Trois problèmes majeurs rencontrés dans le VIH/SIDA sont :

. La déficience immunitaire ;

. La perte de poids et lamaigrissement ;

. La tolérance du traitement antirétroviral.

Un constat a été fait, cest celui de la corrélation entre faible taux de glutathion et ces trois problèmes majeurs chez les personnes infectées par le VIH/SIDA. Cest le faible taux de glutathion qui va favoriser lexpression du NF-Kappa B, avec pour conséquence lactivation des lymphocytes infectés et la réplication du virus.

Le gros problème est que le traitement antirétroviral ne restaure pas le taux de glutathion dont le faible taux entraîne une sur-expression du NF-Kappa B qui favorise la réplication du virus.

Le glutathion joue un rôle clé dans le métabolisme de base et le processus du cycle cellulaire, dont le contrôle des radicaux libres et les toxines exogènes et la préservation de léquilibre redox (réduction de loxydation). Par conséquent, le faible taux de glutathion chez le malade du Sida a des effets négatifs avec des répercussions sur beaucoup de systèmes dans lorganisme tels que le système immunitaire, le système gastro-intestinal.

Le glutathion Thyogen évalué par la FDA aux USA a été développé pour :

. La monothérapie des personnes asymptomatiques, cest-à-dire les personnes séropositives qui ne sont pas éligibles aux traitements antirétroviraux.

. Pour éventuellement une synergie dactions avec les antirétroviraux pour les malades du Sida qui sont sous ces traitements.

. Pour les malades du Sida qui ne sont pas ou ne peuvent plus supporter les traitements anti-rétroviraux.

Mécanisme daction du glutathion Thyogen.

Hormis son potentiel de réduction des capacités de fixation du virus sur les cellules cibles, le glutathion inactive la transcription du facteur NF-Kappa B. La réplication du VIH se fait très vite avec la prolifération des radicaux libres qui active le NF-Kappa B, baisse les taux de glutathion, et réduit les réponses des cellules de défense T Helper 1. Cette cible dans la réplication virale na jusquici pas pu être attaquée en toute sécurité.

Le Glutathion (GHS) le fait en toute sécurité avec comme résultat :

. LADN viral dans les cellules hôtes est anéanti.

. Le génome viral nest plus répliqué.

. Les protéines virales telles que transcriptase inverse, protéase virale et la protéine TAT ne sont plus produites.

. Le gène TNF alpha est contrôlé.

Le GHS arrête les réactions des radicaux libres initiés par la protéine GP 120, et par le TNF alpha, par conséquent diminue lapoptose des cellules immunitaires.

Le GHS est un immunostimulant qui stimule la phagocytose, accélère la production et la présentation des antigènes par les macrophages/les cellules dendritiques ; active les réponses immunitaires cellulaires.

Le GHS baisse les métabolites acides arachidoniques qui sont immunosuppressives.

Le GHS arrête la réplication virale dans les lymphocytes de même que dans les monocytes et les autres réservoirs.

Le GHS peut chimiquement réduire la protéine TAT (qui favorise laugmentation du niveau de la synthèse des protéines virales). La protéine TAT est indispensable pour la réplication et la progression de linfection.

En effet, la protéine TAT est une protéine essentielle pour lexpression des gènes viraux et la réplication du virus HIV 1. Elle est sécrétée par les cellules infectées par le VIH, et une fois dans le sang est capable dactiver des cellules infectées et dinhiber les cellules T cytotoxiques. La protéine TAT joue un rôle primordial dans limmunodéficience et elle est impliquée dans les pathologies liées au Sida, comme le sarcome de Kaposi. Inhiber la protéine TAT est une importante arme de lutte contre le Sida.

Le GHS inhibe aussi directement lactivité de la transcriptase inverse, enzyme clé de la réplication du VIH.

Le traitement avec GHS ne nécessite ni complexe médical, ni équipements de laboratoire.

Les traitements actuels de la phase Sida associent généralement des inhibiteurs de transcriptase inverse et des inhibiteurs de protéases. Cest ce quon appelle les traitements antirétroviraux.

Le traitement antirétroviral pose des problèmes de toxicité, des problèmes de résistance, des régimes contraignants, et un suivi médical complexe. Le traitement antirétroviral ne peut pas être utilisé à la phase asymptomatique.

Le traitement avec le GHS est par contre envisageable très tôt pour les asymptomatiques avec trois objectifs :

. démanteler la molécule dattache du VIH quest le GP 120 ;

. inhiber le NF-Kappa B qui active le lymphocyte infecté et permet la réplication du virus;

. stimuler la réponse immunitaire cellulaire des T Helper 1 capable de détruire virus et cellules infectées par le virus.

Le GHS nest pas toxique, la résistance pose théoriquement moins de problème, les régimes du traitement sont simples et flexibles, et le suivi médical minimisé.

CONCLUSION.

La connaissance de limplication du NF-Kappa B, et de la nécessité de la fixation préalable du virus sur les cellules cibles afin dy pénétrer pour se répliquer offre une piste thérapeutique. Ces connaissances sont une avancée par laquelle on peut espérer prolonger la phase asymptomatique de linfection à VIH.

Sagissant de lintérêt du glutathion Thyogen contre le VIH/SIDA le Pr Luc Montagnier sen réfère dans une interview intitulée "Lépidémie du Sida avance, mais nous avançons aussi" parue dans la revue de LIntelligent N°3 JANVIER/FEVRIER 2004 (page 201).

Le traitement avec le glutathion Thyogen pour inhiber le NF-Kappa B et la destruction de la glycoprotéine GP 120, qui permet au virus de se fixer pour pénétrer dans les cellules cibles pour se multiplier, est à notre avis une grande percée dans la lutte contre le Sida.

Rappelons que lobjectif des traitements classiques est de freiner la réplication du virus. Ces traitements ne peuvent être administrés quen phase maladie ; cest-à-dire ‘lorsque le virus sest bien multiplié. Les trithérapies ont apporté une amélioration dans la lutte contre le VIH, mais ne permettent pas léradication du virus chez les malades du Sida.

Le glutathion Thyogen par contre peut être administré à tous les stades de linfection, particulièrement à la phase asymptomatique. Les ARV sont les seuls traitements capables de bloquer la réplication du virus, malheureusement il faut attendre que la personne infectée soit en phase maladie. Le glutathion Thyogen permet datteindre le même objectif dès le début de linfection.

Ce traitement permet surtout dagir à tout moment sur des facteurs clés de la réplication virale. La physionomie de la lutte contre linfection à VIH/SIDA va certainement changer avec les perspectives du traitement avec le glutathion Thyogen en terme de réduction des facteurs de réplications virales et surtout la restauration de limmunité cellulaire.

Il faut noter que cette approche entre dans le cadre de limmunothérapie, la nouvelle vision thérapeutique du VIH/SIDA, qui vise la consolidation des défenses immunitaires pour mieux contrôler le virus. Alors que les traitements classiques par antirétroviraux agissent directement sur le VIH, limmunothérapie est destinée à renforcer le système immunitaire. Ce dernier nest pas totalement démuni face au virus, il dispose de moyens de défense limitant la multiplication virale.

Le traitement avec le glutathion Thyogen permet datteindre cet objectif, dune part, en bloquant divers mécanismes de la réplication du virus, et dautre part, la restauration du système immunitaire. Le glutathion Thyogen permet effectivement de restaurer une activité immunitaire efficiente et durable à tous les stades de linfection à VIH.

Réduire la capacité du virus à se fixer sur les CD4, bloquer la réplication du virus dès la phase asymptomatique sont certainement, grâce à cette approche thérapeutique, une avancée majeure dans la lutte contre la pandémie.

SY SIAKA Naturotherapeute

Tel (226) 50 33 41 70 /(226) 78 81 70 96. Fax (226) 50 33 36 09

E-Mail : newhorizons-syms@cenatrin.bf

NB : le Dr Harry Demopoulos est le fondateur de THYOGEN PHARMACEUTICAL INC.

Cest un spécialiste bien connu en pathologie, particulièrement moléculaire auteur de nombreuses publications dans ce domaine. En matière de recherche fondamentale, son intérêt majeur a été délucider le rôle pathologique des radicaux libres.

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Je trouve ce texte fascinant, d'autant que j'ai pu vérifier qu'il est sourcé par des références avalisées par pubmed.

En effet, on montre là que la fameuse GP120 se fixe au CD4 par des pont disulfure. Tout ceci montre bien, et aucun chimiste au monde ne me contredira, que même cette description de l'infectivité du "vih" est liée à un processus d'oxydation cellulaire. La première étude sur le sujet date de 1988. On sait donc tout cela depuis près de 20 ans, et personne n'a jamais fait (ou voulu faire) le rapprochement. C'est de la paranoïa absolue.

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Réponse à feduloji pour le post du "Jeudi 08 Février 2007 16h21"

> j'ai lu que les noix du brésil et le soja vert (haricot mungo)

> contiennent du sélénium. (voir topic mercure )

> ..

> Les noix du brésil sont malheureusement difficiles à trouver en France,

> à part décortiquées,

> mais elle ne sont pas terribles décortiquées car souvent rances.

Exact, c'est confirmé par le professeur Roy Walford dans ses livres:

"The 120 year diet"

"The anti aging diet"

Lui en prenait 3 ou 4 par jour pour sa dose de sélénium.

A acheter dans un magasin bio (un kilo coute dans les 15 euros), très facile à se procurer sur Paris en tout cas.

Jamais confronté à un gout rance avec ce fournisseur.

> Je consomme le haricot mungo germé, car c'est un aliment vivant.,

Je consomme aussi du haricot bio (pas mungo cependant) que je fais germer à la maison dans un germoir.

En plus de temps en temps une petite cure en grainions ou sinon Labcatal.

Je vais me renseigner sur le produit cité par Wally et Viduité, merci

Le sélénium est de toute façon aussi indiqué dans les prophylaxies anti-cancer sérieuses.

Sltns

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Réponse à lamane

Réponse à ton post du 15 mars 2006

> .... fièvre à 41° (c'était chaud !...)

Une des hérésies de la médecine pasteurienne et de vouloir faire tomber la fièvre.

La fièvre est un processus naturelle pour bruler les toxines qu'il ne faut pas contrarier, du moins pas à 41 degrés.

Les thérapies par fièvres artificielle:

les bains chands,

le sauna,

les bouillotes

no était défendu pas des sommités de la médecine dissidente (Quinton, Slamanov qui était le médecin particulier de Lénine avant de venir en France).

Réf. Bibliographique: Savant Maudit - Chercheurs exclus de Pierre Lance.(Edition Trédaniel)

ou les livres dAndré Passebecq, entre autre.

Comme ils ton dit ‘On ne sait pas ce que vous avez, il faut reconnaitre quil on eut lhonnêteté davouer leur ignorance et le fait quils sintéressent à la maladie, pas à la santé et encore moins au patient.

Sltns

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bonjour,

c'est avec toujours autant de passion que je lis vos message et je voudrais vous poser une question qui je suis sur ne vous a pas echappe...

dans le journal de samedi soir sur la une c'est la 1ere fois que j'entend enfin parler des tri therapies comme drogues anti retrovirales (quel proges !) enfin ca c'est un detail....le plus important ils ont parle d'une hormone naturelle capable de reconstruire le systeme immunitaire qui serait suceptible de sortir d'ici 5 ans je sais que la tele raconte d'enormes conneries mais est ce que a tout hasard vous savez quelle est cette hormone naturelle ?

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Invité shaman

Une des hérésies de la médecine pasteurienne et de vouloir faire tomber la fièvre.

La fièvre est un processus naturelle pour bruler les toxines qu'il ne faut pas contrarier, du moins pas à 41 degrés.

Sauver des vies est donc une hérésie...

La fièvre ne fait pas que bruler les toxines (enfin selon tes dires), parfois elle provoque des hémoragies cérébrales.

Arrêtez d'affirmer tout et n'importe quoi ou soyez plus précis!

J'ai lu sur ONTC des discours parfois meurtriers!

Facile de cracher sur la médecine sans arrêt, vous n'arrêtez pas!

Libre à vous de croire qu'en bouffant du soja OGM vous aller soigner vos maux mais que diable, n'embarquez pas tout le monde dans vos inepsies ou alors soyez très précis.

La médecine "de Pasteur" sauve des vies tout les jours.

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Arrêtez d'affirmer tout et n'importe quoi ou soyez plus précis!

Et pour en venir précisément au "VIH", ne penses-tu pas que l'hypothèse rétrovirale du sida est justement (pour reprendre certains de tes termes) :

- "tout et n'importe quoi"

- "discours parfois meurtriers!"

- "inepsies" ?

Avant de répondre, merci de bien vouloir lire la synthèse, à moins que tu l'aies déjà fait, bien sûr.

Sinon, pour la question de la fièvre, j'évite de me prononcer pour ma part (et je laisse ce soin à d'autres personnes), mais je tenais à éviter que ton post soit interprété comme signifiant également et à tout le moins implicitement que nous raconterions n'importe quoi sur le sujet du sida précisément. A moins bien sûr que tu disposes d'arguments dont nous n'aurions étonnamment pas eu connaissance en plusieurs années de ce forum.

Modifié par wallypat
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