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Cheminot

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À propos de Cheminot

  • Date de naissance 12/03/1951

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    http://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/physique/CHIM/Jumber/Default.htm

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    Male
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    Lorraine
  • Interests
    chimie, physique, biochimie, homéopathie;
    trafic ferroviaire;
    chants et musiques baroques, romantiques, impressionistes
    potager, bricolage
    foi chrétienne

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Réputation sur la communauté

  1. Merci Jibrail d'avoir relevé cette étude. Un grand merci de me suivre dans cette voie, où je me trouve encore à défricher le chemin. C'est un peu pour cela que je n'interviens plus trop ici, car cette vérité-là est souvent mal acceptée non seulement par les "orthodoxes",mais aussi par la tendance de Peter Duesberg, rejetant tous les ARV en bloc. Et le groupe de Perth n'approfondit pas encore suffisamment,à mon goût, le phénomène d'oxydation associé à la séropositivité et au sida. En ce qui concerne l'atanazavir, méfiance tout de même, car sa structure chimique, si elle présente des cycles aromatiques permettant de neutraliser les oxydants, présente également un groupement chimique proche de celui de l'isoniazide, dont on sait qu'il libère du monoxyde d'azote, et donc des peroxynitrites.ces deux groupements se contrecarrent sans doute mutuellement, et l'atzanavir n'a sans doute que l'efficacité qu'on veut bien lui donner. A mon avis,une monthérapie avec du 3TC suffirait... mais c'est la chute de Wall Street qui suivrait son application.
  2. Tout-à-fait Jibrail, C'est d'ailleurs en discutant avec Wilfried Bales que je me suis démarqué de la position de Rethinkingaids et de Peter Duesberg. Les traitements ARV ne sont pas à rejeter (sauf l'AZT et dans une moindre mesure le ténofovir). Mais cela ne signifie pas que la théorie virale soit exacte. D'ailleurs, depuis quand l'efficacité d'un traitement signe-t-il la véracité de la théorie qui a conduit à l'utiliser? Le mode de fonctionnement de ces ARV n'a jamais été décortiqué. Seuls les résultats sont connus...
  3. Je n'ai pas le temps de répondre à Erudit, mais la chimie (et donc la biochimie) ne fonctionne pas du tout comme cela. Je reviendrai un peu plus tard.
  4. Merci pour les références, Jibrail. Quant au pantoprazole, il n'a déjà rien à voir avec un réducteur soufré comme le glutathion, puisque justement l'atome de soufre y est déjà oxydé. Il existe effectivement sous la forme de deux énantiomères, mais quelle importance ici? Par contre, il serait intéressant de savoir comment il fonctionne vis à vis de la pompe à proton. A étudier. C'est à ce moment seulement que je pourrai peut-être donner un avis.
  5. Eh bien je pense que si !
  6. Tout d'abord, les séropositifs ont plus de peroxynitrites dans le sperme. Ensuite, crois-tu que la nature n'a pas prévu le caractère oxydant du sperme? Tout cela pour la procréation... Voici un lien perturbant : http://www.biolreprod.org/content/52/6/1209.full.pdf Ensuite, je ne parle ici que des médocs qui libèrent des peroxynitrites...
  7. en gros, c'est oui pour ta première question. En Afrique, il y a beaucoup de drogues oxydantes, libérant du monoxyde d'azote et des peroxynitrites : flagyl, chloramphénicol, isoniazide,.... Le manque de sélénium des terres africaines ne facilite pas non plus l'élimination correcte de ces oxydants. Les substances chimiques dangereuses sont celles qui amènent à la formation finale de peroxynitrites : drogues (amines tertiaires : cocaïne, secondaires : amphét), médocs (AZT, bactrim, isoniazide, nitrofurantoïne, tous les composés nitrés, etc...), et les sources naturelles telles le sperme.
  8. Gaia : c'est exact. Voir ce document des CDC : http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/figures/r402a1t1.gif
  9. Leur traitement est très certainement un réducteur chimique. Alors oui, cela peut être nocif. Pour comprendre, il faudrait que tu reprennes le fil depuis le tout début (2000-2002). Simplement pour moi, le sida existe, il est dû à l'impact de substances chimiques oxydantes qui font apparaître des structures rétrovirales. Les traitements actuels sont efficaces car ce sont des réducteurs chimiques. Mais ils sont également toxiques...
  10. Ce n'est pas à nous de juger. Les meilleurs statisticiens le disent : si on appartient à un groupe à non à risque, la probabilité qu'un positif soit un vrai positif est inférieure à 50% http://library.mpib-berlin.mpg.de/ft/gg/GG_AIDS_1998.pdf
  11. Il s'agit de personnes sans traitement. Voici l'abstract : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed?term=Heterosexual%20transmission%20of%20human%20immunodeficiency%20virus%20%28HIV%29%20in%20northern%20California%3A%20results%20from%20a%20ten-year%20study. Voici leur conclusion (le document complet n'est pas officiellement en ligne) :
  12. Non, mais ils n'analysent pas correctement la manière dont agissent leurs substances médicamenteuses. Les phénomènes mis en jeux sont autres qu'un simple virus
  13. Bonjour et bonne année à tous, Ce qui me frappe dans la TAT, c'est le groupe d'arginine qui apparaît entre 50 et 60. Or l'arginine est le précurseur du NO...
  14. Il est intéressant de rechercher la séquence de la "tat" : {Gly}{Arg}{Lys}{Lys}{Arg}{Arg}{Gln}{Arg}{Arg}{Arg}{Pro}{Gln} que l'on trouve ici. Car l'arginine, qui est l'AA prépondérant dans cette séquence, est le précurseur du... monoxyde d'azote et donc du ... peroxynitrite.
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