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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Oui, je crois que je puis effectivement répondre à cette question, à savoir que l'on trouve également du « VIH » dans les cultures de contrôle, du moins si les contrôles sont effectivement strictement identiques. Le Perth Group a signalé à de nombreuses reprises qu'il y a toujours des différences, parfois aussi minimes soient-elles, entre la culture du prélèvement supposé contenir du « VIH » et la culture de contrôle non supposée contenir du « VIH ». La situation n'a pas varié jusqu'à ce jour, et frôle parfois le plus grand ridicule car la circonstance que l'on trouve une activité de transcriptase inverse dans la culture supposée contenir du « VIH » et que l'on n'en trouve pas dans la culture de contrôle constitue souvent la « preuve » qu'il y a bien du « VIH » dans la culture supposée contaminée (LOL). Enfin, une petite piqûre de rappel : dans la seule étude au miscroscope électronique, tant in vitro qu'in vivo où les contrôles furent réellement et strictement identiques (aucune différence, même minime entre les deux) tant dans la culture supposée contenir du « VIH » que dans la culture de contrôle, et où l'expérience fut réellement faite en aveugle (chose extrêmement rare [quoique absolument nécessaire] au surplus en matière de "VIH"), des particules définies comme du « VIH » furent trouvées aussi bien dans la culture supposée contaminée que dans la culture de contrôle ! http://www.rethinkin...onse_31507.html : Ce seul fait (mais il en a bien d'autres : lisez les écrits du Perth Group) suffit déjà à réfuter à lui seul que le rétrovirus sur lequel travaille les experts ès « VIH » … serait du « VIH », et, partant, que les séropositifs auraient été contaminés par un insaisissable et fantasque rétrovirus « VIH » ! En d'autres termes, il n'a jusqu'à ce jour jamais été prouvé que le « VIH » existe, du moins en tant que rétrovirus (qu'il soit exogène ou endogène d'ailleurs).
  2. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...l=pubmed_docsum Embryon de caille transgénique obtenu à partir de la transduction d'un oeuf fécondé avec un lentivecteur dérivé du VIH qui fait exprimer la GFP sous le promoteur de la synapsine (-> ce qui fait que seuls les neurones expriment la GFP). Elles sont bien débrouillardes pour des protéines issues d'"ARN anormaux" On en a déjà parlé dans ce topic même il y a déjà plus de deux ans mais il est toujours intéressant d'ajouter ci-dessous une récente et brève (quoique déjà suffisante en elle-même) réfutation du Perth Group lui-même à ce genre d'expérimentation qui serait censée prouver l'existence du "VIH" selon l'orthodoxie du sida (LOL): COMMENTARY ON PAPER BY HUBNER ET AL
  3. Merci pour chacune des réactions. Après 6 jours, aucun effet secondaire apparent. Reste à examiner les résultats de son analyse du foie à faire pour le moment tous les quinze jours.
  4. Il prend quasiment exactement les mêmes suppléments que moi et suit le même régime que moi (quoique maintenant, vu les résultats, il va arrêter : il est réellement découragé et je le comprends). Chez moi, cela fonctionne très bien, chez lui, plus du tout. Et je puis confirmer ce qui précède à 100% puisque c'est mon compagnon depuis bientôt deux ans et demi et que nous vivons ensemble depuis bientôt deux ans. Il n'est pas encore réellement malade (pour le moment, les seuls véritables symptômes qu'il a sont une accumulation de verrues et de condylomes, dont il n'arrive pas à se débarrasser depuis plusieurs mois; notons que pour ma part, malgré nos contacts "rapprochés" quotidiens [lol], je n'ai aucune verrue ou condylome, et en réalité, je n'en ai jamais eu de toute ma vie malgré les innombrables contacts à risque que j'ai eus par le passé) mais bon, on a déjà vu d'innombrables fois, que ce soit sur ce forum ou ailleurs, ce qui arrive tôt ou tard aux séropositifs qui refusent jusqu'au bout de voir la réalité en face (cf le cas récent de Bruno Berthelet, semble-t-il). Bref, il a choisi la prudence et quoique je ne l'approuve pas entièrement, je respecte sa décision. Mais je ne désespère pas de le voir plus tard arrêter tôt ou tard les traitements "antirétroviraux". Je suis cependant très pessimiste à ce sujet : je crains que chez lui, les dégâts causés par son exposition passée aux oxydants azotés soient maintenant réellement irréversibles. Il est quand même stupéfiant de constater qu'à l'annonce de sa séropositivité il y a moins de trois ans, ses T4 étaient à 1200 et depuis lors, et avant même de suivre le régime que je préconise, ceux-ci n'ont fait que baisser graduellement, et puis de façon (très) accélérée au cours de ces derniers mois. Bien sûr, je sais très bien que les T4 sont loin d'être un bon marqueur mais il y a déjà de nombreux mois, son glutathion réduit était déjà bien largement en dessous de la valeur minimale normale (on n'a plus fait de bilan nutritionnel complet chez lui depuis lors car sa baisse de glutathion réduit se poursuivait parallèlement à sa baisse des T4). Je ne manquerai pas de signaler ultérieurement l'évolution de sa santé. PS : il ne faut pas s'étonner qu'il n'intervienne pas directement sur le forum car il n'est pas francophone; au surplus, quoiqu'il nourrisse la plus grande méfiance à l'égard de la médecine orthodoxe, il ne s'est malheureusement jamais beaucoup intéressé à la dissidence du sida (bien qu'il admette être [relativement] étonné qu'après neuf années de séropositivité, je respire toujours la pleine santé sans traitements "antirétroviraux"). Qui vivra verra ! lol
  5. Merci Cheminot pour ta si rapide réponse !
  6. Dans un précédent post, j'avais signalé que la santé d'un ami très proche périclitait malgré tout ce que je lui avais conseillé. En désespoir de cause, il a utilisé de l'argent colloïdal pendant deux mois. Le verdict est maintenant tombé : ses T4 ont chuté d'une façon encore plus vertigineuse et sont maintenant inférieurs à 50. Parant au plus pressé, il s'est décidé à prendre - momentanément - les traitements antirétroviraux prescrits par son docteur ès "VIH". Il s'agit en l'occurrence des deux suivants : TRUVADA et VIRAMUNE. Que faut-il en penser ? Sauf erreur de ma part, TRUVADA est relativement "acceptable", est relativement efficace, est fortement antioxydant. Il s'agirait cependant de faire particulièrement attention aux reins. En revanche, et toujours sauf erreur de ma part, VIRAMUNE n'est qu'un autre mot pour "Névirapine" et si j'ai bonne mémoire, VIRAMUNE est quasiment aussi toxique que l'AZT, et devrait être évité comme la peste. Qu'en pensez-vous (même brièvement) ? Ne serait-il pas opportun que l'ami en question exige de son médecin autre chose que la VIRAMUNE ou mieux encore, qu'il prenne juste TRUVADA pour commencer ? Merci d'avance pour vos retours d'expérience éventuels ou vos avis, même brefs, sur le sujet. Quant à moi, pour la première fois depuis deux ans et demi (car cela coûte très cher), j'ai refait un bilan nutritionnel très complet. Je suis en l'attente des résultats (mais certainement pas avant deux ou trois semaines au moins).
  7. J'ose espérer que ce n'est en réalité pas le cas. Mais dans le cas contraire, cela illustrera une énième fois combien il faut prendre un test "VIH" positif très au sérieux, même si cela n'a rien à voir avec quelque rétrovirus "VIH" que ce soit.
  8. N'oublions en outre pas que certains traitements "antirétroviraux" sont à ce point toxiques qu'ils provoquent par eux-mêmes une diminution du glutathion dans l'organisme.
  9. Si cette huile de noix de coco ne sent presque pas la noix de coco et paraît ainsi avoir été désodorisée, il est à craindre que cette huile de noix de coco ait déjà subi un traitement relativement avancé et n'est donc plus réellement vierge. En d'autres termes, personnellement, je l'éviterais (quoique cela reste certainement meilleur que n'importe quelle huile végétale vierge riche en acides gras polyinsaturés).
  10. A part l'huile de noix de coco, l'huile de palme et l'huile d'olive (en quantité modérée et uniquement à froid), je n'en vois aucune autre qui trouve grâce à mes yeux. Je me réjouis bien sûr des résultats obtenus mais comme tu t'en doutes, l'épreuve finale sera l'arrêt complet des traitements "antirétroviraux". Et j'espère très sincèrement que cela fonctionnera. Je n'ai en aucune manière une recette valable pour tout le monde. Tout cela reste forcément empirique. Mais je te conseillerais de continuer comme tu le fais puisque dans ton cas, cela a l'air de fort bien fonctionner.
  11. Personnellement, je l'éviterais sans le moindre doute car il s'agit de nouveau d'une huile très riche en acides gras polyinsaturés. Ceci n'empêche pas que plusieurs études ont paru démontrer que l'huile d'onagre serait utile contre telle ou telle affection mais comme je l'ai déjà précisé antérieurement, je préfère prévenir l'incendie plutôt que de tenter de l'éteindre tant bien que mal. C'est un peu comme l'huile de lin dont plusieurs études ont paru démontrer qu'elle pourrait dans certains cas être utile pour lutter contre certains cancers. Mais j'évite bien entendu de consommer de l'huile de lin vu également sa richesse en acides gras polyinsaturés. Ceci étant, si un jour je devais avoir un cancer, alors dans ce cas-là uniquement, je consommerais éventuellement de l'huile de lin (ou en tout cas, je préférerais consommer de l'huile de lin plutôt que de subir les trop souvent mortelles chimiothérapies).
  12. wallypat

    Un peu de jeûne

    Merci pour ton observation. J'ai combiné les deux sujets.
  13. wallypat

    Un peu de jeûne

    Oui, cela pourrait être intéressant. Tiens nous informés de l'évolution de ta santé à la suite de ce jeûne. PS : Je transfère ce topic dans le forum consacré aux "Traitements", forum qui me semble plus approprié.
  14. Comme je l’ai précisé dans mon précédent post, je ne m’impliquerai plus dans ce genre de débat, qui a déjà été abordé plusieurs fois sur ce forum, et qui s'est révélé inutilement épuisant (en tout cas, pour ce qui me concerne). Sinon, le lecteur intéressé peut toujours lire en guise d’introduction ce petit résumé du Perth Group consacré à ce sujet.
  15. C’est pourtant extrêmement évident. On en a déjà parlé plusieurs fois et pour ma part, je ne reviendrai plus guère sur ce sujet. La séropositivité n’est bien entendu pas le signe d’une infection par je ne sais quel « VIH » que ce soit (et en ce sens-là, tous les tests "VIH" et charge "virale" sont sans conteste bidon) mais la littérature scientifique et des dizaines de milliers de témoignages de séropositifs ayant refusé jusqu’au bout (ou du moins, jusqu’au moment où ils n’avaient vraiment plus d’autre choix) les traitements « antirétroviraux » prouvent à suffisance que les séropositifs, en particulier ceux des groupes à risque de sida et qui ne sont pas redevenus séronégatifs, ont une prédisposition à développer des maladies particulières. La mort récente des quasi derniers dissidents séropositifs célèbres, qui refusaient obstinément les traitements « antirétroviraux » même à court terme, souvent après une quinzaine d’années après la découverte de leur séropositivité, ne fait que prouver ce point de façon surabondante. A ce jour, il ne reste plus guère de séropositif dissident « célèbre » encore en vie. Les exceptions à ce dénouement final existent certes, mais elles paraissent extrêmement rares et encore plus rares lorsque je compare la situation d’il y a quelques années. Il est vrai que l’immense majorité des dissidents refuse de voir cette réalité en face et s’invente des excuses, le plus souvent les plus loufoques les unes que les autres : ils se droguaient encore en cachette, ils ne sont pas mort d’une maladie typique du sida, c’est à cause des antibiotiques qu’ils prenaient, c’est parce qu’il avait repris contact avec le milieu médical (qui l’a achevé ! LOL), etc… etc…, et j’en passe des meilleurs. Personnellement, je préfère ne pas me voiler la face, tout en espérant (un peu) que le régime que je préconise me permettra de redevenir séronégatif mais tout étant déjà certain qu’il a déjà certainement permis de retarder l’échéance (en mars prochain, je serai séropositif depuis 9 années … et sans traitement « antirétroviral » bien sûr, ce qui n’est toutefois pas vraiment exceptionnel après neuf années). Mais comme je l’ai dit au début, je considère ce sujet comme éculé, faute d’éléments réellement nouveaux, et je n’y reviendrai plus.
  16. wallypat

    AcetylCysteine

    Même sans risque de kaposi, la NAC reste extrêmement utile pour les séropositifs et est de nature à faire augmenter le taux de glutathion (et accessoirement, les T4 également), et "accessoirement", à diminuer le risque de kaposi. Personnellement, cela fait maintenant plusieurs années que je prends 1.800 mg de NAC chaque jour (en trois prises sur la journée et bien sûr sur un estomac vide comme pour toute prise d'acides aminés) avec une dose double ou triple de vitamine C. Par ailleurs, la NAC est un excellent détoxifiant contre bon nombre de produits toxiques que nous ingurgitons et/ou auxquels nous sommes parfois exposés.
  17. De mémoire, à une ou deux exceptions près, la plupart de ceux qui ont arrêté les traitements « antirétroviraux » ont dû les reprendre après un laps variable en fonction des individus. Plus rarement, certains d’entre eux qui intervenaient très régulièrement sur le forum n’ont brusquement plus donné signe de vie, parfois depuis bien des années déjà (on imaginera aisément ce qui leur est arrivé). Cela me paraît prudent tout en y incluant la mesure du glutathion, si possible. En tout état de cause, même si le répit ne serait que de huit ans maximum (ce dont je doute, tellement de facteurs pouvant intervenir pour raccourcir ou rallonger ce délai), cela en vaut certainement la peine vu les effets secondaires et la toxicité de la plupart des traitements « antirétroviraux », ce que tu as toi-même signalé. Pour le reste de ma réponse, lire ce post également.
  18. La stupidité de ces médecins est réellement sans commune mesure ! Un séropositif est presque toujours une personne plus ou moins en mauvaise santé et souffrant entre autres presque toujours d’une carence en antioxydants (dont il n’a d’ailleurs jamais été prouvé qu’elle soit causée par quelque « VIH » que ce soit). Et si à cause de cette carence, on craint des maladies cardiovasculaires, la solution de principe ne consiste évidemment pas à consommer des « antirétroviraux », ces derniers accroissant (très) fortement, au surplus et par eux-mêmes le risque de survenance de telles maladies, mais bien à tenter de remédier à ces carences, en commençant certainement à consommer les antioxydants appropriés et en cessant de s’exposer aux agents oxydants qui ont causé et/ou contribué à l’obtention d’un test « VIH » positif (tout en espérant que certains dégâts ne sont pas entre-temps devenus irréversibles, bien sûr)!
  19. wallypat

    Guérir le Sida!

    Ce n’est que tout récemment que je me suis intéressé sérieusement au sujet de l’argent colloïdal vu que pour ce qui concerne ma santé, tout va parfaitement bien (et même bien mieux que lorsque quand j’étais séronégatif !) et que je n’ai donc commencé à m’intéresser réellement à ce sujet que quand l’état de cet ami très proche a continué à se détériorer. Je n’ai pas d’avis tranché au sujet de l’argent colloïdal mais d’après ce que j’ai pu lire, en particulier sur certains sites anglais, cela n’a pas l’air bidon du tout et les (très nombreux) effets positifs semblent même appuyés par une assez abondante littérature scientifique (bien entendu prudemment tue par la médecine conventionnelle). Personnellement, cet ami et moi-même sommes trop paresseux pour le fabriquer nous-mêmes. Donc, il l’a acheté, en l’occurrence sur le site "http://www.colloidalsilveronline.co.uk/", qui m’a l’air très sérieux en la matière. Il l’a déjà reçu (trois jours à peine après l’avoir commandé) et l’extrême qualité paraît au rendez-vous vu qu’à tout le moins, sa couleur n’est même pas faiblement dorée mais bien … incolore (ce qui tend à prouver la haute qualité du produit). Nous verrons dans les prochains mois si l’état de santé de cet ami s’est amélioré.
  20. wallypat

    Le glutathion

    Je me réjouis, Olivier, que tu ailles bien. Merci également pour la confiance. Ceci étant, ne s'agissant en aucune façon de science exacte et vu que les propositions de traitement que je préconise ne fonctionnent pas forcément avec tous les séropositifs, je te conseille malgré tout de faire un "contrôle" de temps en temps.
  21. Effectivement. De mémoire et sauf erreur de ma part, il intervenait presque tous les jours sous le forum mais ses interventions ont (définitivement) cessé lorsqu'il a commencé à avoir - une deuxième fois - des symptômes s'apparentant de plus en plus à une toxoplasmose (dont il avait déjà souffert une première fois et lui avait d'ailleurs laissé des séquelles incurables, me semble-t-il), considérée comme une grippe (qui durait pourtant des semaines et des semaines) par lui, si je me souviens bien. Ses interventions se sont ensuite de plus en plus espacé à mesure que les symptômes s'aggravaient pour définitivement s'arrêter il y a plusieurs années déjà. Les intervenants de l'époque lui avaient vivement suggéré de se rendre à l'hôpital (ou déjà voir un médecin de toute urgence) mais il s'est manifestement obstiné jusqu'au bout à recourir aux méthodes alternatives. Le lecteur imaginera lui-même et aisément ce qui est très probablement et tristement arrivé à ce valeureux membre du forum. Ceci étant dit, concernant le traitement des mycoses et plus particulièrement du candida albicans si typique des séropositifs, je pense que les traitements naturels ont fait leur preuve et sont généralement largement supérieurs aux traitements conventionnels (sauf exception). Ainsi avais-je lu en son temps que le candida proliférait tout particulièrement lorsque le niveau de sélénium du séropositif diminuait. Or la carence en sélénium est particulièrement courante chez les séropositifs et sidéens. Tout récemment, j'ai lu ce petit article anglais très intéressant dans lequel il est affirmé que l'ail (à très fortes doses bien sûr, et donc en gélules) serait en mesure de combattre le candida albicans, bien sûr sans tous les effets secondaires, parfois désastreux, des traitements conventionnels.
  22. Je sais qu'au début de l'"épidémie" (et en tout cas, avant l'apparition des "antirétroviraux"), les médecins prescrivaient des anti-fongiques et anti-mycosiques. Un bon nombre guérissait mais un peu plus tard, retombait à nouveau malade et d'une façon bien plus forte qu'auparavant et finissait par mourir malgré l'emploi répété et de plus en plus puissant de ceux-ci. Manifestement, ceux-ci n'étaient pas suffisants.
  23. wallypat

    Guérir le Sida!

    Probablement que dans son cas (chaque individu étant différent), certains dommages causés par l'exposition aux agents oxydants sont devenus irréversibles, un peu comme un fumeur invétéré qui a arrêté de fumer et qui malgré tous les produits naturels utilisés depuis cet arrêt, fait quand même un cancer du poumon 15 ans plus tard.
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