Invité Kinipou Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 Aucune réponse de Sida Info Service... bizarre... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Kinipou Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 Par contre, Babo a tenté de s'inscrire sur le forum de Sida Info Service, par pure curiosité, bien entendu, et trè sétrangement, à chaque fois qu'elle désire y accéder, on lui répond que son compte est inactif. Elle a demandé des explications au modérateur du site et attends sa réponse. Elle pense qu'elle a du être repérée à cause de son adresse e-mail et que Sida Info Service lui bloque l'accès au forum. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Terry Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 je viens aussi de faire un petit message a sida info service en expliquant mon cas.....j attends leur reponse.....il y a quelques temps de cela au telephone, un ECOUTANT SALARIE DE L ETAT, m a dit que j etais seronegatif......j aimerais avoir cela couché sur un document ....! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Kinipou Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 Terry, Un écoutant de Sida Info Service t'a dit que tu était séronégatif?! C'est incroyable un truc pareil! Il est évident que si tu pouvais avoir cette afirmation par courrier ou e-mail ce serait l'idéal. Ceci dit, il ne faut peut-être pas rêvé, ce serait trop beau. Babo attend toujours la réponse à son dernier e-mail qui n'a pas du plaire, c'est certain, mais je ne pense qu'elle en recevra une. Ce n'est pas vraiment grave car une non-réponse est tout aussi valable car équivalent bien souvent à une certaine gène occasionnée ou à un consentement (qui ne dit mot consent...). Dans un autre domaine, avec le consentement de son père, Babo a écrit un courrier circonstancié à chaque médecin et professeur responsables des dommages iatrogènes que subit son père. Elle s'est même renseigné sur les commissions régionales de conciliation qui statuent sur les divergences patient/médecin, notamment au niveau des accidents médicaux, affections iatrogènes ou autres. Nous verrons bien. Tiens-nous au courant si tu as une réponse de Sida Info Service. Amicalement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Terry Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 ca y est ! j ai eu une reponse qui me laisse toujours le doute ( lol !) virus ou pas ??? pas de reponses.....par contre beaucoup de choses interressantes dont je suis certain ici vont se faire une joie de commenter : mon message est en bas......la reponse ci dessous Bonjour, Les commentaires d'un résultat de test de dépistage nécessite un entretien avec un médecin, qui doit prendre en compte la date et la nature du risque qui a nécessité un test. Le test Western blott permet de confirmer un test Elisa positif.Ce n'est pas un test de dépistage en lui même. Ce n'est pas le nombre de bandes qui permet d'interpréter un Western Blott.C'est le type de protéines identifiées par la position de ces bandes. Il est tout à fait possible d'avoir un résultat indéterminé qui se reproduise à l'identique qui ne signifie pas qu'il y a eucontamination. Un test de dépistage recherche la présence d'anticorps dirigés contre le virus en cas de contamination. Chez une personne contaminée par le VIH, les anticorps sont produits de façon progressive et dans la majorité des cas, ils peuvent être détectés au bout de 4 semaines. Afin de prendre en compte les rares cas dapparition un peu plus tardive des anticorps, la loi française stipule que le délai permettant dobtenir un résultat totaement fiable est de 12 semaines après le dernier risque pris. Le délai de 12 semaines a pour but de garantir que si le test est négatif, c'est parce que la personne n'est pas contaminée, et non parce que le test aurait été fait trop tôt. Pour qu'un médecin puisse vous informer clairement,il faut qu'il sage la date du risque et la date du test de dépistage. Si vous changer de médecin, celui-ci reprendra la même procédure qui peut laisser la même interrogation( si les éléments de dates et de risques ne sont pas reprécisés ) N'hésitez pas à consulter dans un centre spécialisé dans le dépistage. Merci pour votre confiance. N'hésitez pas à nous recontacter par téléphone en appelant Sida Info Service au 0 800 840 800. L'appel est anonyme et gratuit et accessible 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Depuis l'étranger, il est possible de contacter Sida Info Service au 33 1 55 25 13 53 (au coût d'une communication internationale) ---------------------------------------------------- www.sida-info-service.org --------------------------------------------------- .Email:terry06@wanadoo.fr Sexe:homme Age:36 Pays:france Departement:00 Non Renseigné Question: bonsoir il y a 5 ans en arriere j ai fais un western blot qui etais positif sur 6 bandes sur 9.....je viens de refaire ce test qui est toujours positif sur 6 bandes sur 9........donc le profil est identitique/incomplet à 5 ans d ecart.........pouvez vous me dire si j ai le virus ou pas ?....j ai lu que lorsque que l on a le sida on perd ses anticorps sur le western blot...j y comprends plus rien...pouvez vous me renseigner car les medecins que je rencontre ne savent pas quoi me dire ! merci d avanc --------------------------------------------------------------------------------------- Wanadoo vous informe que cet e-mail a ete controle par l'anti-virus mail. Aucun virus connu a ce jour par nos services n'a ete detecte. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité eric66 Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 Merci de ta réponse Cheminot Pour ce qui est de la raison de commencer un traitement: T4 entre 200 et 300 et condilomes opérés plusieurs fois dont je n'arrive pas à me débarasser. pas d'urgence pour l'instant donc mais je suis sensé prendre une décision si la situation ne s'améliore pas. J'ai lu les sites indiqués, y compris le groupe de perth (qui est-ce d'ailleurs?), et je voudrais faire les remarques suivantes: - il semble qu'on n'ait pas réussi à isoler HIV de façon orthodoxe ni à prouver correctement les liens HIV/AID, mais on connait quand meme bien les sequences de VIH et leur phylogenie semble confirmer largement ce qu'on sait de la progression de la maladie. Si le VIH est endogene pourquoi les gens transfusés tombent malades (en Chine par exemple)? - bcp de critiques sur les effets nocifs des médicaments se concentrent sur l'AZT et datent des années 90/95 (il y a bcp de vieux articles sur les sites, et pas beaucoup d'articles de recherche depuis 2000) mais aujourd'hui les nouvelles molécules sont censées etre moins nocives, et on a bcp de combinaisons possibles pour minimiser les effets secondaires. - dans le cas des T4 tres bas, on peut lire sur le site quelques témoignages de gens qui ont réussi pendant des années à ne pas se traiter et à ne pas tomber malades, en adoptant une attitude active personnelle (hygiène de vie, spiritualité, combattivité avec acceptation du message de la maladie, etc.), mais quelle proportion de gens cela comporte t il? n'y a t il pas un risque élévé de choisir cette option, encore tres peu documentée (et juste sur la foi de témoignages anonymes), contre l'option scientifique du traitement (meme si bien sur il peut y avoir des intérets commerciaux derriere) où on peut citer aujourd'hui des milliers d'exemples de gens qui vivent, certes avec des effets secondaires lourds? j'ai l'impression que globalement les gens avec tres peu de T4 meurrent aujourd'hui moins s'ils prennent une tritérapie que sans rien. j'ajoute que je suis dans cette attitude spirituelle depuis l'annonce de ma séropositivité, il y a 3 ans, qui m'a conduit à remettre en cause mon mode de vie et à me tourner vers de nombreuses thérapies holistiques, dont j'espérais qu'elles maintiendraient mon immunité à des niveaux acceptables sans avoir recours aux traitements, mais aujourd'hui, j'ai l'impression que continuer dans cette voie pourrait m'exposer à un danger que j'ai du mal à évaluer. merci d'avance à ceux qui pourront m'aider à y voir un peu plus clair, gardons espoir, eric Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Terry Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 g relevait cela qui me parait tres chaud chaud .......maintenant avec une phrase pareille on comprends bien qu il y a un tri selectif pour dire si une personne est positive ou pas..( test complet ou pas ).....en ce moment moi j aimerais pas etre noir ou arabe.....car les pubs tv s adressent vraiment à ces populations.....: Les commentaires d'un résultat de test de dépistage nécessite un entretien avec un médecin, qui doit prendre en compte la date et la nature du risque qui a nécessité un test............ alors si un gay va faire un test ( dans cdag ou chez un medecin ) et qu il lui dit avoir pris des risques.......il y a de fortes chances pour le medecin lui dise, resultat en main, vous etes positif ( comme tout le monde donc )....en gros c est le questionnaire du medecin et les reponses du medecin qui donne le resultat.....les resultats des tests arrivent en secondes position....et tout le monde doit etre bien positif pour le western blot, elisa surement aussi. de plus la loi dit qu il faut 12 semaines pour affirmer le test positif......combien de controle sont fait à 12 semaines ???....lol maintenant je me demande comment la discremination se fait si un patient passe par un labo, sans ordonnances et sans avoir eu un entretien avec un medecin.....?? pour les mariages c est clair : le medecin marque sur l ordo : bilan prenuptial.....mais pour les autres je ne sais pas trop ! quel qu un a pas une idée ?? ne serais ce pas à la gueule du patient ?......moi en tant que gay j arrive à savoir qui l est de qui ne l est pas ......donc pour un medecin cela doit etre facile de distinguer un gay d un hetero, d un toxico.....pour les noirs et arabes : on sait tous !!.....donc un medecin gay, par croyance, va trouver beaucoup de seros gays dans sa clientele....au meme titre qu un medecin franc macon homophobe......en fait faut trouver le boin toubib non ?.....pas évident....mais franchement ca craint non ?!. de plus j ai trouvé mais perdu helas l adresse d un chu qui exposait un cas de pneumonie aux urgences.......une femme de 25 ans qui n a pas de pratiques à risques est soignée pour une pneumonie classique........le test vih ne doit pas etre demandé ( si il est fait, il ne doit pas y avoir de traces ecrites ) car elle ne fais pas partie d un groupe à risques et n avoue pas avoir eu de rapports à risques.....la patiente rentre chez elle.....apparement elle souffre de troubles mentaux et fait venir chez elle en urgence un medecin ; elle lui dit qu elle est sure d avoir le sida... qu elle a une pneumonie...celui ci lui change son traitement ( macrolides contre bactrim ) et lui prescrit un test vih.....qui serat positif !!......elle s est retounée contre l hopital pour defaut, erreur de diagnostique !........... lol dans ce cas cheminot a bien raison donc ! le fait de prendre du bactrim rend seropo aux tests...... c fou non ?!!! bon pourvu qu avec tout cela on me retrouve pas chez moi mort d une hemorragie cerebrale comme.......... schyzo ??? lol !!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Terry Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 eric a ecrit : Pour ce qui est de la raison de commencer un traitement: T4 entre 200 et 300 et condilomes opérés plusieurs fois dont je n'arrive pas à me débarasser.. les condylomes touchent DES MILLIONS DE PERSONNES.....surement un effet secondaire du doliprane ou d antibios ( en as tu pris ??? : triple lol d avance pour la reponse !!!).....pas tous les porteurs de condylomes font ensuite des cancers....moi j en connais qui a eu un cancer du cul alors que les condylomes avaient ete enlevés au laser.......seulement nos chers labos pensent qu il faut enlever ces condylomes CHEZ LES GROUPES A RISQUES.....au laser......histoire de faire chuter les tcd4 chez une personne seropositive ( gay dans ce cas là non ??), faire du fric et augmenter les ventes de tri therapies....... deux chez une personne ne faisant pas partie d 'un groupe à risques ( ou d une personne agée seule sans famille pouvant donc rapporter un peu de sous sous ) , ben les condylomes, les toubibs gastros, ils les regardent et ferment leur gueule !!! horrible verité non ?? une medecine qui fonctionne à la gueule du patient donc ! les condylomes sont des ex-croissances de peau surement à un dereglement digestif causé par des medocs et/ou le tabac ! alors dans le cul c est du condylome sur les pieds ou les mains des verrues etc etc etc Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Terry Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 Si le VIH est endogene pourquoi les gens transfusés tombent malades (en Chine par exemple)? conneries !!! c est pas beau de croire tout ce que l on dit à la tele......ce sont les usa qui font pression sur les chinois qui ont decides de faire partie de la mondialisation......et pour recolter des aides financières afin de moderniser leurs pays, ceux ci sont obligés de rentrer dans le moule, donc d avoir des cas de sida.....mais les chinois sont pas cons et ont decides de livrer à l oms un village tout en entier......perdu au fin fond de la chine...... y a pas de cas de sida recensés dans les megapoles chinoises, du moins pour le moment.....car je crois que le pouvoir de l azt est bien plus fort que ce que l on peut dire ici !...faudrait savoir ce qui se passe à pekin par exemple......et recolter des infos de chinois eux memes et non pas par des employés de l organisation du sida ( espions pour des chinois donc ) qui ont un accés en nombre tres tres limité la bas....qui lit et ecrit le chinois ici ?!! le reportage de l emission de france 2 ( les seuls à parler du sida en chine dans les medias tv d ailleurs ) a ete commandé et payé par qui ??? il me sembe que c est l agance kappa....faudrait leur demander le nom du commenditaire du dit reportage pour se faire une tres bonne idée sur la question .....doit y avoir du glaxo pas loin ! avant y avait les fours....maintenant l azt......avantage : c est du prope, ca rapporte des sous et cela fait avancer une certaine recherche qui a encore rien prouvée !!!...... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité eric66 Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 terry, tes réponses montrent bien qu'il est difficile de parler de ces sujets sans s'appuyer sur des études précises, sinon on fait juste confiance à la télé ou aux opinions partagées par la majorité des gens. je viens de trouver cet article, pour ceux qui lisent l'anglais, qui critique point par point les thèses dissidentes, et meme si personnellement j'aimerais croire à toute force aux idées que sans traitement je ne vais pas tomber malade (je me passerais bien des effets secondaires), j'avoue que j'ai du mal à trouver des réponses aux arguments de cet article. si certains d'entre vous ont les éléments (en s'appuyant sur des recherches sur un grand nombre de patients plutot que sur quelques cas isolés, si possible), je suis évidemment tres intéressé. http://www.napwa.org.au/index.php?q=node/438 eric Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Terry Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 mais si certains ont envie de bouffer des medicaments , surtout qu ils ne se genent pas pour !! on est encore en democratie non ? apparement tu te sens malade de quelque chose.....commences plus tot pour essayer d effacer de ta memoire le bourrage de crane que tu as reçus..........la vie n est pas si simple !. moi entre les theses qui rapportent des milliards de dollars et celles qui ne rapportent rien, je prefere les secondes ! that's all ! le dernier numero de sciences et avenir dit en premiere page : FAUT IL AVOIR PEUR DU MEDICAMENT ?.......dans l article d une dizaine de pages, un grand manitou de l industrie dit : on ne peut pas connaitre les effets secondaires d un medicament tant que celui ci n est pas mis sur le marché....donc il faut prendre des risques ......si on ne l avait pas fait, il n y aurait pas eu d azt sur le marché.......... quel bande de pourris ... plus de 7 ans d experimentation d azt à 1200 mg/1800 mg par jour, des milliers de soit disant morts du saida avant de faire une etude qui dirat que le produit cause la mort et qu il fallait diminuer la dose à 600 mg jour .... comme quoi meme les etudes CA NE VEUT RIEN DIRE DU TOUT! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 terry, tes réponses montrent bien qu'il est difficile de parler de ces sujets sans s'appuyer sur des études précises, sinon on fait juste confiance à la télé ou aux opinions partagées par la majorité des gens. je viens de trouver cet article, pour ceux qui lisent l'anglais, qui critique point par point les thèses dissidentes, et meme si personnellement j'aimerais croire à toute force aux idées que sans traitement je ne vais pas tomber malade (je me passerais bien des effets secondaires), j'avoue que j'ai du mal à trouver des réponses aux arguments de cet article. si certains d'entre vous ont les éléments (en s'appuyant sur des recherches sur un grand nombre de patients plutot que sur quelques cas isolés, si possible), je suis évidemment tres intéressé. http://www.napwa.org.au/index.php?q=node/438 eric Eric, je cite le point essentiel de leur argumentation : But they have long since been rejected by the vast majority of the HIV/AIDS scientific community - with the most direct nail in the coffin being the overwhelming evidence that HIV treatments, which work directly by targeting the virus, have dramatically reduced rates of disease progression and AIDS in countries where they are available L'évidence pour eux, est fondée sur le fait que la trithérapie foctionne. Or, j'ai essayé de montrer ici que positive l'action de la trithérapie pouvait sans difficulté s'expliquer dans le modèle du stress oxydatif, cher au groupe de Perth. La trithérapie comporte plusieurs substances nettement antioxydantes qui vont empêcher l'apoptose des lymphocytes provoqués par la présence de peroxynitrites oxydants, qui se forme après l'absorption d'un grand nombre de substances qui soit, augmentent directement leur quantité (poppers), soit diminuent les substances antioxydantes naturelles contenues dans les cellules (ainsi que le fait le paracétamol avec le glutathion pour ne citer qu'un seul exemple). En ce qui concerne la progression de la maladie en Afrique, il faut lire "progression de la séropositivité - mesurée d'ailleurs chez les femmes enceintes qui présentent normalement un fort taux de faux positifs... mais on peut faire ce qu'on veut là-bas, non? - et non progression de la maladie. Par exemple : ce document indique une progression annuelle de 2,5% de la population au Botswana, s'il n'y avait cette prévalence de la séropositivité de 35, non? et celui-ci donne les recensements en 1991 et 2001... ce qui permet de calculer le taux réel de progression de la population qui est de 2,4% par an, au lieu des 0,76% attendus... LOL! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Terry Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 L'évidence pour eux, est fondée sur le fait que la trithérapie foctionne. et c est quoi qui fonctionne ??? le fait que les tcd4 remontent.....au profit de la baisse d autres cellules ???....que la charge virale descend.......en fait faut se dire que d abord y a eu l azt......que fait l azt ?? elle fait chuter cette fameuse charge virale......donc la mesure de la charge virale est utile, soit disant, pour les gens sous tri therapie.....pour mesurer l efficacité du traitement.......mais cela ne renseigne en rien sur l etat des malades......la preuve est que la plus part des maladies qui touchent les seropos sous traitements arrivent lorsque les tcd4 sont haut et la charge virale basse...... conclusion : la tri therapie fonctionne dans un sens mais detruit dans un autre........ l esperance de vie est plus diminuée sous tri therapie que sans !!!!!! et ce jusqu a preuve du contraire !! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 Juste une remarque pour répondre, Terry. La trithérapie fonctionne par rapport... à la monothérapie à l'AZT ou au bactrim. C'est tout, car ces gens-là imaginent à tout crin que sans tout cela, on meurt en 1 an... ce qui est contredit par toutes les études faites en Afrique, où les gens vivent bien plus que dix ans. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
almavita Posté(e) le 9 décembre 2005 Partager Posté(e) le 9 décembre 2005 Bonjour, Quelques mots, car je n'ai pas écrit depuis longtemps. Je suis maintenant sous tri-thérapie depuis 15 mois, je fais parfois des pauses ce que je devrais pas paraît-il. Je suis séropositive depuis exactement 20 ans, soit la moitié de ma vie. Je n'ai toujours aucun effet secondaire. Je me porte très très très bien. Ma vie est très active. Mes enfants sont en parfaite santé. Mon médecin m'a informé cette semaine que d'ici un mois un nouveau médicament sans AZT est mis sur le marché. J'écris cela car si c'est possible pour moi, c'est possible pour les autres. Je vous embrasse Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 10 décembre 2005 Partager Posté(e) le 10 décembre 2005 (modifié) je viens de trouver cet article, pour ceux qui lisent l'anglais, qui critique point par point les thèses dissidentes, et meme si personnellement j'aimerais croire à toute force aux idées que sans traitement je ne vais pas tomber malade (je me passerais bien des effets secondaires), j'avoue que j'ai du mal à trouver des réponses aux arguments de cet article. si certains d'entre vous ont les éléments (en s'appuyant sur des recherches sur un grand nombre de patients plutot que sur quelques cas isolés, si possible), je suis évidemment tres intéressé. http://www.napwa.org.au/index.php?q=node/438 eric Bonjour Eric. Je comprends ton profond désarroi. J'ai moi-même découvert les thèses dissidentes il y a six mois à peine grâce à internet (alors que ses thèses existent depuis plus de 20 ans maintenant) et il m'a bien fallu deux ou trois mois pour me convaincre, non que les dissidents avaient raison, mais à tout le moins que leurs différentes théories et leurs divers arguments sont plus fondés, plus cohérents et surtout bien plus respectueux des faits constatés sur le terrain. Et à ce titre et à défaut d'arguments contraires plus probants de la part de la "médecine" orthodoxe du sida, j'estime qu'à l'heure actuelle, les dissidents ont raison. Je ne peux plus en douter à ce jour ...... à moins que les plusieurs dizaines d'incohérences relevés dans la théorie du virus tueur trouvent entre-temps de réelles explications. C'est bien cette foule d'incohérences (voir par exemple :Le Top 100 des incohérences scientifiques sur le SIDA; attention : quelques incohérences relevées doivent toutefois être quelque peu affinées depuis les dernières "découvertes" faites en la matière; il en est ainsi de l'incohérence n°7 : en réalité, la majorité, mais pas la totalité des séropositifs récupère après avoir arrêté leur trithérapie, mais les infections opportunistes reprennent toutefois après un certain temps chez une minorité, non pas parce que le pseudo virus gagnerait en virulence mais bien parce que le stress oxydatif dont ils souffrent est malheureusement et très vraisemblablement devenu irréversible) et l'absence d'explications plausibles de la part de la médecine orthodoxe qui m'ont entre autres convaincu de la "supériorité" des thèses dissidentes. Que l'on soit à l'origine pour ou contre la thèse virale du sida, il faut constater que la plupart des incohérences constatées sont bien des faits, et que ces faits vont complètement à l'encontre de la thèse de la théorie virale. Le temps me manque, donc je vais essayer d'aller à l'essentiel (mais je compte bien y revenir quand j'ai un peu plus de temps [mais mon problème, c'est bien que je n'ai jamais de temps à rien !]). L'article que tu cites et qui semble contre-attaquer efficacement les arguments des dissidents du sida a au moins de ceci de remarquable qu'il est bien un des rares à ne pas contre-attaquer les dissidents du sida en se fondant sur la soi-disante incompétence des figures marquantes de la dissidence et en se contentant de dire que les théories dissidentes sont bidon et ne méritent même pas la moindre réponse. Pour cette raison-là, cet article mérite à tout le moins notre respect car au moins, il essaie de contrecarrer par de réels arguments ceux avancés par la dissidence. Mais je vais tâcher de te faciliter les recherches en te précisant que l'article que tu cites s'inspire en réalité et pour la totalité d'un autre article (en anglais), "bien meilleur", dont il apparaît en fait être un résumé, que tu trouveras en cliquant sur le lien suivant : The Evidence That HIV Causes AIDS, datant de 2003 et émanant de la "National Institute of Allergy and Infectious Diseases" (NIAID). Ce document constitue sans conteste la "meilleure" (ou plutôt "moins mauvaise") contre-attaque aux thèses dissidentes. Il reprend des contre-arguments désormais fort bien connus des dissidents et auxquels il a déjà été repondu de façon dispersée dans divers articles. Ceci étant, quelques mois plus tard, les dissidents du sida ont eux-mêmes réfuter les trois principales contre-attaques faites à leur encontre dans le document susdit. Cette réfutation, tu l'as trouveras (en anglais) en cliquant sur le lien suivant :Réfutation des arguments avancés par le NIAID. Cette réfutation porte sur les trois principaux arguments avancés à l'encontre des thèses dissidentes, à savoir : a) Que le virus HIV aurait été isolé (au sens scientifique du terme) et répond bien aux postulats de Koch; b) Que le HIV peut être "virtuellement" détecté chez tout patient souffrant du sida; c) Que les test HIV sont fiables à 99,9999999% et prouvent à tous les coups une infection au VIH. Bref, la réfutation émanant de la médecine orthodoxe du sida (et dont l'article que tu cites est un résumé) ne tient elle-même pas la route, si tu lis l'article repris au dernier lien ci-dessus. Je vais maintenent (et encore) revenir très brièvement (faute de temps) sur les contre-arguments invoqués dans l'article que tu cites (et auxquels il a toutefois déjà été répondu aux trois principales dans la réfutation prémentionnée), essentiellement en te dirigeant vers d'autres articles qui y répondent. N'oublie cependant pas les explications déjà reprises dans le dernier post de "Cheminot". 1) Le virus aurait été isolé Sur cette question, je t'invite à cliquer sur le verbo "Isolement du virus" du site "www.sidasante.com". Tu trouveras une foule d'articles sur le sujet, évidemment toujours d'actualité, démontrant très clairement que le virus n'a en aucune façon été isolé. Tu dois bien savoir qu'à partir du moment où la base même de l'édifice construit par la médecine orthodoxe ne tient pas, tout le reste ne tient pas non plus. En ce sens, cette critique émanant de la dissidence du sida est absolument fondamentale car à elle seule, elle met immédiatement fin à toutes les théories élaborées sur base du mythe du virus tueur. Je te renvois également à la réfutation déjà mentionnée ci-dessus. Au surplus, quand bien même le virus aurait été réellement isolé, quod non, il conviendrait encore que la médecine orthodoxe prouve que le virus HIV détruit réellement les T4. Or malgré 25 ans de recherches et des centaines, non de millions, mais bien de milliards (!) de dollars, la médecine orthodoxe admet elle-même qu'elle est bien incapable de prouver ce point fondamental ! A tel point qu'elle est bien obligée de recourir à la théorie dissidente du stress oxydatif pour expliquer cela ..... mais à titre de cofacteur. C'est perdre de vue un point fondamental : la théorie du stress oxydatif est suffisante par elle-même pour expliquer la dégradation du système immunitaire. Nul besoin d'un virus en plus. Et tout cela sans compter les dizaines d'autres critiques à l'encontre de la théorie du virus tueur. 2) Les test HIV et la technique de la charge virale sont fiables Là aussi, je te renvois à la réfutation susvantée mais également au verbo "Les tests " du site www.sidasante.com, et entre autres à l'article particulièrement édifiant suivant (Tout le monde est-il positif pour le VIH ?) et d'où il ressort que nous sommes tous en réalité séropositifs ! La circonstance que certains d'entre nous réagissent positivement au test HIV signifient simplement que leur système immunitaire est simplement un peu plus endommagé, mais cela n'a absolument rien d'irréversible .... pour peu qu'on remédie efficacement au stress oxydatif plus élevé qu'à l'ordinaire qui a permis de rendre le test positif. 3) Le Sida serait bien une infection sexuellement transmissible Dans bien des articles, tu trouveras de multiples preuves du contraire, en commençant par l'exposé de Cheminot (vers le milieu : Exposé de Cheminot). Comme le signale très bien Cheminot, comment peut-on considérer que le sida serait sexuellement transmissible avec un taux de 1 pour 2000 ? Tenter de comprendre les modes de transmission du sida par référence aux relations sexuelles n'a absolument aucune pertinence vu le pourcentage atteint (1 pour 2000), alors que n'importe qu'elle autre maladie vénérienne a un risque de contamination éminemment plus élevé (syphilis par exemple : lors d'un rapport non protégé, le risque de contamination avoisine 50 % !). Et ce qui n'est pas sexuellement transmissible entre hétéros ne sauraient l'être entre gay, même si les pourcentages sont plus élevés (le pourcentage plus élevé de "contamination" entre les gays tend au contraire à prouver que la "transmission" du sida a justement d'autres causes que sexuelles). La non-pertinence de la référence de la transmission supposée sexuelle du sida saute d'autant plus aux yeux quand on constate que les statistiques de sida présentent un pourcentage bien plus élevé lorsqu'on se réfère à celles relatives aux toxicomanies. Il n'est nul besoin de faire 10 ans de médecine pour comprendre qu'on se protège bien mieux du sida en s'abstenant de consommer des drogues récréatives qu'en utilisant une capote. Car finalement, qui devient séropositif de nos jours ? Ceux qui utilisent la capote ! Vu comme cela cela choque, mais explicitons quelque peu. Dans nombre de témoignages, que lit-on ? "Mais docteur. J'utilisais toujours la capote !". Et le docteur de répondre : "Toujours ? En êtes-vous sûr ?". Le séropo : "En y réfléchissant bien, il y a bien eu une fois, il y a un an, j'avais trop bu, j'ai rencontré quelqu'un et je ne suis pas sûr d'avoir mis la capote au début !". Le docteur : "Mais Monsieur. C'est à cette occasion-là que vous avez été contaminé !". Et c'est entre autres de cette façon-là que le mythe de la transmission sexuelle du sida se répand, perdure ...... et devient un dogme ! Il ne viendra jamais à l'idée du docteur de se poser la question de savoir si la séropositivité ne serait pas dû à des circonstances sources de stress oxydatif. Et allons encore plus loin : cet autre mythe qu'est "la sainte capote protectrice du sida" est elle-même une cause essentielle à la propagation de l'épidémie du sida puisqu'elle évite de lutter contre les causes réelles du sida. Il est absolument navrant (et le mot est faible !) de constater que ceux qui font la promotion zélée et bien servile de l'usage de la capote comme seul moyen de (soi-disant) protection contre le sida ..... ne font en fait que propager davantage le sida à travers le monde ! Du moins, tel est mon intime conviction. Les auteurs de l'article que tu cites pèchent en outre par leur confusion - vraisemblablement délibérée - entre séropositivité et sida, en supposant que le premier implique le second. Ils "oublient" par ailleurs que deux faits majeurs ont successivement permis de rendre hétéros et homos égaux face au sida, donnant ainsi l'impression que le sida est sexuellement transmissible, à savoir : a) Dès 1984, l'invention des test HIV, qui a permis de donner l'impression que les hétéros non toxicomanes pouvaient aussi être contaminés par le virus HIV, et ce en raison de l'imprécision même et la subjectivité de ces tests (ce sont en outre des tests à limite), dont le caractère positif peut en outre résulter de plus de 70 circonstances (ex : certaines vaccinations) sans rapport quelconque avec le pseudo virus. b) Le deuxième événement qui a rendu hétéros et gay égaux face au sida n'est rien d'autre que les différentes drogues antivirales, en commençant par le premier, à savoir l'AZT, qui ont permis l'émergence de nombreux cas de sida (sur ordonnance) chez les hétéros que l'on croyait contaminés en raison des tests susdits. 4) Les auteurs de cet article disent que le style de vie n'est pour rien dans la survenance du sida Je n'hésite pas à dire que l'énoncé des exemples qui suit dans cet article est une suite de contre-vérités non soucieuse des faits, et même carrément de mensonges : Par exemple : - Ils "oublient" de dire qu'à compter de 1985 et surtout 1987, la principale cause de sida n'était plus seulement les drogues récréatives, mais bien l'AZT ! Nulle part, il ne cite l'AZT ! Or, c'est bien cela (avec auparavant les test HIV) qui a permis de propager le sida à l'ensemble de la population et de ne plus le confiner aux seuls groupes à risques (ces groupes à risques ont justement un style de vie particulier de nature à fortement endommager le système immunitaire). Cette omission de leur part peut alors donner l'impression que le sida n'est plus nécessairement liée à un style de vie (source de stress oxydatif démesuré). - Ils "oublient" de dire qu'à compter de 1983, la définition de sida a été artificiellement de plus en plus élargie, pour englober de plus en plus de "maladies" n'ayant plus aucun rapport avec les cas de sida originels, et ce jusqu'à y inclure des personnes en parfaite santé (<200T4). Cet élargissement artificiel de la définition de sida peut également donner l'impression que sida n'est plus nécessairement liée à un style de vie (source de stress oxydatif démesuré). - Il y a même carrément un mensonge fragrant. Par exemple, quand ils affirment qu'on avait constaté une diminution des T4 chez de nombreux cas de sida, et qu'on n'avait pas d'autres explications que l'existence d'un virus particulier attaquant les T4 (comme déjà dit beaucoup plus haut et pour rappel, après 25 ans de recherches et des centaines de milliards de recherches, les orthodoxes du sida sont toujours incapables d'expliquer comme ce soit disant virus attaque les T4). C'est carrément un mensonge là ! Dès le départ, nombre de scientifiques avaient expliqué cette baisse des T4 par les effets toxiques des drogues. Au surplus, cela est connu depuis ... le début du 20ème siècle. 5) Le sida est bien causé par un virus puisque les séropos sous drogues antivirales vont "mieux" Là, je te renvois en premier lieu à l'explication de Cheminot. Et j'ajouterai que les trithérapies ont également amélioré le pronostic de vie des "sidéens" parce que certaines d'entres elles ont la particularité (mais ce n'était pas le but originel poursuivi par les entreprises pharmaceutiques) de combattre très très efficacement deux bactéries sources de sida, à savoir celles à l'origine des infections à candida et de certaines pneumonies. Mais bien sûr, cela ne prouve pas que le sida a une cause virale. Et tout cela, sans compter les effets secondaires dramatiques toujours plus nombreux et toujours plus mortels (mais heureusement, on n'en revient pas [encore ?] au taux de mortalité de l'AZT). Ainsi depuis deux ans, on constate en outre de plus en plus de cas de cancers, les plus divers, chez les séropos sous drogues antivirales. Il fallait s'y attendre. Les trithérapies ayant été introduites en 1996, il est logique que l'on ne constate un fort accroissement des cas de cancers que bien des années plus tard puisque cela se développe en quelques années. Et il faut s'attendre avec les années à de plus en plus de cas de cancers. Il faut par ailleurs noter quelques points fondamentaux concernant les drogues antivirales surgies depuis 1996 : - Pour aucun de ces antirétroviraux, une étude placebo n'a été faite; dans ces conditions, il est réellement impossible d'affirmer qu'un séropo sous trithérapie ira mieux qu'un séropo sans trithérapie (et qui bien entendu remédie aux causes de stress oxydatif); va demander aux entreprises pharmaceutiques pour quelles raisons des études versus placebo ne sont pas faites en matière de sida, mais bien pour tous les autres médicaments mis sur le marché pour "soigner" d'autres maladies; - Les études préalables à la mise sur le marché de ces drogues se basent uniquement (ou à tout le moins, presque uniquement, sur la hausse des T4 et la baisse de charge virale, supposées traduire une amélioration de la santé), mais sans tenir compte de l'état clinique réel du patient. De manière générale, concernant la pseudo efficacité des drogues antivirales en général (donc pas que l'AZT), je t'invite à cliquer sur le lien suivant : Les causes chimiques des diverses épidémies de SIDA : Drogues récréationnelles, chimiothérapies antivirales, malnutrition (un article récent de 2002 et absolument fondamental). Enfin, pour rester objectif, au vu de ce qui précède, il faut quand même reconnaître une utilité certaine aux trithérapies (mais certainement pas dans le sens voulu à l'origine par les entreprises pharmaceutiques), à savoir qu'en cas de sida déclaré, visiblement corrélé avec un stress oxydatif devenu irréversible, l'utilisation de drogues antivirales peut à mon sens se justifier comme "booster" de l'immunité, mais certainement pas à vie, dans des cas extrêmes et pour une période de temps limitée (le cas échéant, à renouveler par période). Mais il ne faut pas perdre de vue que de toute façon, ce n'est pas dans cette voie-là que les recherches doivent être approfondies, mais bien dans celle des dissidents. Encore faut-il qu'on leur donner les moyens financiers, quod non toujours à l'heure actuelle ! Et je ne doute pas un seul instant que si l'on "détournait" une toute petite partie des moyens financiers actuellement consacrés à la seule hypothèse virale, on trouverait enfin de véritables médicaments efficaces, avec peu d'effets secondaires, et qui combattrait réellement et bien plus efficacement le stress oxydatif source du sida. Enfin, telle est mon opinion. 6) Quant à l'Afrique Je ne puis que te conseiller de cliquer sur le verbo "Afrique" de www.sidasante.com pour comprendre ce qui s'y passe réellement. Bon, c'était juste un résumé de quelques critiques qui peuvent être faites à l'encontre de l'article que tu invoques. Il avait surtout pour but de ne pas te laisser impressionner par le contenu de cet article, qui pèche par de nombreuses omissions. Et je suis certains que d'autres sur ce site pourront bien mieux que moi t'expliquer le sujet et t'aiguiller dans ta propre réflexion. Et ils pourront certainement apporter davantage de critiques à l'encontre des arguments relevés dans l'article auquel tu renvois. Il faut juste considérer ce post comme une ébauche de réfutation à cet article, ébauche que j'espère toutefois assez convaincante. Les doutes que tu peux légitimement encore éprouver s'estomperont d'elles-mêmes au fur et à mesure que tu liras les différents articles qui ont été écrits et qui seront écrits par la dissidence. Je peux également te recommander des sites en anglais, qui permettront de mieux aplanir tes doutes : - www.theperthgroup.com(c'est le groupe de scientifiques australiens qui a le premier émis l'hypothèse au début des années 90 que le sida est causé par une cause bien plus large que les drogues récréationnelles, chimiques et la malnutrition, à savoir l'hypothèse du stress oxydatif, hypothèse qui n'a fait que se renforcer au cours de ces années comme tu pourras le constater au fil de tes lectures, et que même les trithérapies ont contribué à renforcé en réalité [puisque l'efficacité - toute relative chez de plus en plus de séropos puisqu'avec les années, il y a de plus en plus d'"échecs thérapeutiques" patents] - s'explique justement par la théorie du stress oxydatif); - www.aliveandwell.com; - http://www.aras.ab.ca/haart.html: ce site critique chaque jour un peu plus les drogues antivirales. Mais il y en a bien d'autres. Maintenant, avant de venir à ton propre cas, tu dois donc comprendre que la majorité des dissidents explique le sida par le stress oxydatif exagéré, lequel peut être le résultat de plusieurs facteurs concomitants : les drogues récréationnelles bien sûr, les drogues antivirales, mais aussi l'abus d'antibiotiques (dont certains en particuliers), .... et le fameux effet nocebo, c'est-à-dire la croyance que tu vas tôt ou tard être atteint d'un sida déclaré (lequel effet nocebo peut être considéré très grossièrement comme l'exact contraire de l'effet placebo, et est en outre diablement plus efficace que l'effet placebo car il ne fait qu'accroître et qu'accompagner la tendance naturelle de l'organisme humain à combattre ce qui peut l'"agresser"). En outre l'effet nocebo s'explique très bien médicalement. En effet, la peur (d'être atteint un jour d'un "sida déclaré) entraîne dans ton organisme une augmentation pouvant être multipliée par 20 de cortisol, lequel est un puissant immunodépresseur. Et bien sûr, cela va provoquer une forte diminution de la production de tes lymphocytes, en particulier les T4. En d'autres termes, la première étape à suivre pour atteindre la "guérison" est d'être convaincu que la dissidence du sida est dans le vrai et de cesser de croire que tu vas tôt ou tard atteindre le stade du sida déclaré (maintenant, cela ne veut pas dire pour autant que tu n'"attraperas" jamais rien; comme n'importe quel séronégatif, tu pourra souffrir de maladies quelconques, mais tu dois cesser de croire que cela est dû au pseudo virus HIV; tu dois dans ce cas te faire soigner comme n'importe quel séronégatif souffrant de la même maladie; prenons par exemple tes condylomes : des tas de séronégatifs en souffrent également à répétition, cesse de croire éventuellement que cela est causé par le "virus" et ce sera déjà une première étape vers la guérison de ceux-ci). Le fait que tu t'interroges indique que tu es sur la bonne voie et lorsque tu seras enfin intimement persuadé (sans dissuasion de notre part mais grâce à la justesse de nos arguments et de ce tu auras toi-même pu constater, et parce que tu en es intimement convaincu en ton for intérieur), tu auras déjà accompli là un pas de géant. Et cette intime conviction de ta part doit forcément impliquer que tu ne te soucies plus des T4 (ce qui n'est manifestement pas ton cas; mais c'est tout à fait normal vu ce qu'enseigne la médecine orthodoxe du sida). Et c'est triste à dire, cela implique également généralement de ne plus aller chez son "médecin HIV" car continuer à aller chez lui, ne permet en principe pas de couper le cercle vicieux dans lequel tu as commencé à t'insérer. Ce qui compte, c'est de se sentir bien et en bonne santé ...... tout en mettant fin à tout ce qui pourrait causer une forte immunodépression définitive dans ton chef. L'effet nocebo est bien sûr l'un de ces facteurs (et tu es déjà sur la bonne voie pour t'en débarrasser) mais c'est bien loin d'être le seul facteur. Et si tu veux que l'on puisse davantage t'aider, il serait utile de nous donner des éléments qui puissent expliquer ton immunodépression finalement bien légère, puisque tu sembles souffrir uniquement de condylomes à répétition. Non pas que l'on veuille te juger (et je suis d'ailleurs très très très mal placé pour le faire), mais justement pour tenter d'expliquer comment tu en es arrivé là. Bref, déjà quelques premières questions que tu dois te poser. 1) Dans quelles circonstances ta séropositivité t'a été révélé ? 2) Au vu des différentes causes d'immunodépression existantes, lesquelles aurais-tu pu rencontrer à l'époque de la "révélation" de la séropositivité ou rencontres-tu encore ce jour : stress, dépression, antibiotiques, poppers, etc... 3) A quelle occasion sont survenus tes premiers condylomes, et comment ont-ils été traités (antibiotiques, comme le suggère Terry ?)? En fait, des tas de questions doivent être posées. Mais seule une explication de ton style de vie (mais sans jugement quelconque de notre part; je crois que nous sommes tous là pour comprendre ce qui cause le sida, comment y remédier, et toute expérience de vie sur le sujet ne peut être que bénéfique pour mieux appréhender le sujet) permettrait de mieux t'aider. Bon, c'est assez comme cela. Je commence à être très fatigué et quand mes écrits commencent à devenir quelque peu "philosophiques", c'est que vraiment, plus rien de bien constructif va en sortir. A + Patrick Modifié le 10 décembre 2005 par wallypat Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Viduité Posté(e) le 21 décembre 2005 Partager Posté(e) le 21 décembre 2005 Statistiques : (source insee) http://www.insee.fr/fr/ffc/figure/CMPTEF06208.XLS Intéressantes ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nowar Posté(e) le 21 décembre 2005 Partager Posté(e) le 21 décembre 2005 Statistiques : (source insee) http://www.insee.fr/fr/ffc/figure/CMPTEF06208.XLS Intéressantes ... Finalement, seuls les lettons échappent à une diminution que nous appèlerons pudiquement de sensible. Tu vois Viduité, que malgré ton cynisme, les efforts de prévention sont efficaces. Et le constat est clair, de moins en moins de personnes se protègent! quelle efficacité!!!. N'y aurait-il pas la l'empreinte redoutable de la papaye verte? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 21 décembre 2005 Partager Posté(e) le 21 décembre 2005 (modifié) Statistiques : (source insee) http://www.insee.fr/fr/ffc/figure/CMPTEF06208.XLS Intéressantes ... Intéressant, effectivement. Mais sauf erreur de ma part, ces statistiques ne tiennent compte que des 29 ou 30 maladies dites "caractéristiques" du sida (sarcome de Kaposi, pneumocystose, etc...). Quelqu'un disposerait-il en revanche des statistiques de mortalité des séropos morts alors qu'ils consommaient diverses drogues antivirales (ou qui les avaient arrêté quelques mois ou même quelques années auparavant) ainsi que les causes de ces morts-là, par exemple maladies cardiovasculaires, cancers divers, atteintes hépatiques diverses, etc... Je crois que l'on serait très étonné des chiffres obtenus (sans même tenir compte de ceux qui sont simplement malades en prenant ces drogues antivirales), du moins si lesdits chiffres ne sont pas falsifiés (car il y a certainement de tas de séropos morts dus à diverses maladies qui ne seraient pas spécifiquement liées - mais à tort - aux drogues antivirales) ? Sauf erreur de ma part, ces autres chiffres (fantômes) vont en augmentant ! Il me semble que pour apprécier objectivement la mortalité des séropos (et bien entendu, sans même tenir compte du "mal-être" au sens très large vécu par les séropos sous drogues antivirales), ces autres chiffres sont absolument indispensables. Merci. Modifié le 21 décembre 2005 par wallypat Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Viduité Posté(e) le 21 décembre 2005 Partager Posté(e) le 21 décembre 2005 Les chiffres de l'insee ne renseignent pas sur les méfaits (via les données sur la mortalité) de la papaye verte dans les pays de la Baltique : nous pouvons le regretter et appeler Tony Blair à faire montre de plus de générosité lorsqu'il mégote sur le budget des fonctionnaires de l'Union Européenne qui s'attachent à ces études passionnantes entre Bruxelles et Strasbourg. Ces mêmes chiffres sont peut-être disponibles auprès des Nations Unies et de leurs nombreuses et dispendieuses succursales (OMS, PNUD, ... ) au vu des volumes d'autres fonctionnaires qui y officient à la satisfaction implicite de tous auprès d'Etats encore plus corrompus que les précédents. Ces agents zélés à 20 à 30000 euros/mois ne ménagent pas leur peine lorsqu'il s'agit de faire parler ces statistiques par le biais de rapports sur papier glacé qui vont rejoindre au mieux une armoire et au pire le panier dans les détritus de l'inutile. Cheminot (qui n'est pas fonctionnaire émargeant sur l'APD) a rappelé que la baisse de la mortalité (sans correction de l'influence de la verte papaye) pouvait avoir comme cause, dans la dernière décennie, un surmatraquage moindre dans le dosage des thérapies ... C'est bien sûr une explication qui ne saurait être recevable pour ses collègues émargeant, eux, sur l'APD. Imaginons ainsi, au terme encore d'un petit effort, l'élimination desdites tri thérapies du marché et observons ensuite ces saloperies de courbes : si elles s'obstinent à décroître ... de quoi auraient-ils l'air ces fonctionnaires zélés ? ... de cons ! ... voire de salauds ! ... voire de génocideurs ! ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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