Nowar Posté(e) le 22 décembre 2005 Partager Posté(e) le 22 décembre 2005 Là il ne s'agit pas de mortalité mais de diagnostics, ce qui ne signifie pas que les diagnostiqués ont obligatoirement un avenir en sapin, même à l'approche de Noel. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 28 décembre 2005 Partager Posté(e) le 28 décembre 2005 Je ne suis pour le moment arrivé qu'à la lecture de la page 62 de ce topic, mais je ne pense pas que la question suivante ait été abordée (mais si c'est le cas, n'hésitez pas à me le dire). Je constate qu'un peu partout sur ce site (et aussi sur sidasante), on n'arrête pas d'affirmer et de prouver (avec forces détails d'ailleurs) que le pseudo "VIH" n'a pas été isolé et ne remplit pas les postulats de Koch. Très bien, et j'en suis moi-même convaincu. Mais est-il vraiment nécessaire que les dissidents du sida portent leur attention sur ce point bien précis ? En effet, essayant de propager la "bonne nouvelle", je suis parfois confronté à des "orthodoxes" du sida, qui, je l'admets, émettent le contre-argument suivant qui me semble très pertinent, à savoir : "Effectivement, peut-être que le "virus HIV" ne respecte pas les postulats de Koch. Et alors ? Cela signifie-t-il pour autant que le sida ne soit pas causé par un (rétro)virus ? Ne sais-tu pas, triple idiot, que pour d'autres maladies, le germe responsable n'a toujours pas pu être isolé en respectant les postulats de Koch et pourtant, personne ne doute de l'origine virale ou bactérienne de ces maladies ?". Et avec plein d'aplomb, ils me citent par exemple les cas suivants : l'hépatite C, le choléra, la fièvre typhoïde, etc... Evidemment, je leur rétorque que nonobstant le problème de l'isolement du "VIH" (qui n'est finalement pas un problème pour ces contradicteurs), il subsiste des dizaines d'autres incohérences dans la théorie du virus tueur, outre le fait que selon certains scientifiques dissidents, le rétrovirus "HIV" existe mais est inoffensif. N'empêche, face à un tel argument, il me semble assez hasardeux d'aborder avec autrui le sujet de la dissidence du sida en commençant par affirmer avec assurance que le virus "HIV" n'a pas encore été isolé et que cela pose un (faux, visiblement) problème. Alors que répondre à ce contre-argument des orthodoxes du sida ? J'ose espérer que la réponse à fournir ne consiste pas à dire que les virus n'existent pas, car alors là, je ne suis pas prêt d'intéresser qui que ce soit avec la dissidence du sida. En plus, fournir une telle réponse consisterait à mon sens à saper l'un des meilleurs arguments de la dissidence du sida. Alors que répondre ? Pourquoi la dissidende du sida s'acharne-t-elle sur le problème de l'isolement du "VIH" alors que ce problème semble exister pour d'autres maladies sans que l'on remette en question le caractère infectieux de celles-ci ? Merci pour vos réponses ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 28 décembre 2005 Partager Posté(e) le 28 décembre 2005 Autre sujet de réflexion. De nombreux dissidents sur ce site affirment de façon péremptoire (à l'exception de Cheminot sauf erreur de ma part, et si j'en oublie d'autres, je les prie de bien vouloir m'excuser) que les séropos sous drogues antivirales doivent les arrêter immédiatement. Je partage cette opinion puisqu'ils semblent que dans la majorité des cas et pour autant que les séropos adoptent une "hygiène de vie" adéquate, ils s'en sortent très bien. N'empêche, comme je crois que Cheminot l'a dit dans un précédent post, ce conseil n'est pas à donner à la légère puisque dans certains cas, les séropos ayant arrêté leurs drogues antivirales se portent en réalité encore bien plus mal et les infections opportunistes reprennent au galop. Ce que je pense en effet également. En effet, que penser du cas suivant que je tire du site www.catie.ca ? Date d'affichage : 10/25/2005 Des médecins d'Harvard sonnent l'alerte devant les complications fatales d'une interruption de traitement En dépit du pouvoir de suppression de la production du VIH et d'augmentation du compte de CD4+ des multithérapies antirétrovirales hautement actives (HAART), il arrive que les médecins doivent interrompre temporairement le traitement des PVVIH (personnes vivant avec le VIH/sida), et ce, pour les raisons suivantes : - permettre à l'organisme de récupérer de la toxicité des médicaments laisser un répit aux PVVIH qui prennent des médicaments chaque jour depuis des années - permettre aux PVVIH de participer à des études cliniques sur les interruptions thérapeutiques Dans la majorité des cas, une interruption de traitement n'entraîne pas une réapparition soudaine des symptômes. Toutefois, une faible proportion des PVVIH développera des symptômes similaires à ceux observés à l'installation de l'infection par le VIH. Ceux-ci peuvent inclure : - fièvre - frissons - maux de gorge - tuméfaction des ganglions lymphatiques - douleurs musculaires - douleurs articulaires et aux os - éruptions cutanées - maux de tête - fatigue - nausées - vomissements - diarrhée - sueurs nocturnes - ulcères dans la bouche Dans de rares cas, ces symptômes peuvent exiger l'hospitalisation du patient. Les médecins de l'École de médecine Harvard ont rédigé un rapport sommaire sur les conséquences fatales d'une interruption thérapeutique contrôlée, lequel paraîtra dans le numéro électronique du 1er novembre 2005 de la revue Clinical Infectious Diseases. Antécédents médicaux En 1998, le patient étudié avait consulté suite à une perte de poids involontaire. Les analyses sanguines faites dans le cadre des examens visant à déterminer la cause de cet amaigrissement ont révélé la séropositivité du patient. Le patient était alors âgé de 44 ans et sa numération de CD4+ était de 20 cellules. Les médecins lui ont alors prescrit l'association suivante de médicaments anti-VIH : - AZT (zidovudine, Retrovir) - 3TC (lamivudine, Epivir) - indinavir (Crixivan) Selon les médecins, le patient suivait le traitement avec difficulté et son alcoolisme compromettait son observance encore davantage, empêchant son système immunitaire de lutter contre l'infection par le VIH. Retour à l'hôpital Comme il fallait s'y attendre, un an après la consultation, le patient retournait à l'hôpital pour des complications délétères aux poumons dues à une PCP (pneumonie à Pneumocystis jiroveci). Sa numération de CD4+ était alors de 95 cellules et sa charge virale dépassait les 100 000 copies. Nouvelle association Une fois sorti de l'hôpital, le patient a repris son traitement HAART. Plus tard, en raison d'une toxicité au niveau de la moelle osseuse, les médecins ont remplacé l'AZT par deux nouveaux médicaments, donnant la nouvelle association suivante : - ddI (didanosine, Videx) - d4T (stavudine, Zerit) - 3TC (lamivudine, Epivir) - indinavir (Crixivan) Sa numération de CD4+ est alors montée à plus de 300 cellules. Toutefois, sa charge virale était encore bien au-dessus du point limite pour le test utilisé par l'hôpital, à 75 copies. Ainsi, en août 2003, les médecins ont ajouté le ritonavir (Norvir) à son schéma de traitement et sa charge virale est tombée sous la barre des 75 copies. Complications En septembre 2004, le patient est retourné en consultation avec les graves complications suivantes : - fatigue intense - douleurs musculaires - bouche sèche - diarrhée - perte involontaire de 23 kg (51 lb) Les tests sanguins alors effectués ont révélé une numération de CD4+ de 318 cellules et une charge virale sous la barre des 75 copies. Toutefois, d'autres tests sanguins ont permis de déceler des taux plus élevés que la normale de ce qui suit : - enzymes du foie - lactate - lacticodéshydrogénase Compte tenu de ces valeurs anormales et des symptômes du patient, soupçonnant une toxicité thérapeutique, les médecins ont ordonné une interruption du traitement et une visite à l'hôpital deux semaines plus tard pour passer d'autres tests. Traitement interrompu et repris Une semaine après l'arrêt de son traitement, le patient, dont l'état s'était encore détérioré, est retourné à l'hôpital avec les symptômes suivants : - intensification de la fatigue et des douleurs musculaires - développement de fièvre - apparition de lésions de zona En outre, après juste une semaine d'interruption de traitement, son compte de CD4+ avait chuté à 26 cellules et sa charge virale avait grimpé à plus de 500 000 copies. Une nouvelle complication était apparue : une inflammation au niveau des poumons. Cette affection réduisait l'habilité de ses poumons à extraire l'oxygène de l'air, entraînant une chute du taux d'oxygène sanguin et une respiration difficile. Pour traiter ces symptômes, les médecins ont prescrit un antibiotique à large spectre et du valacyclovir (Valtrex), un médicament antiviral. Le patient a également repris son traitement anti-VIH avec l'association suivante : - 3TC - ténofovir (Viread) - atazanavir (Reyataz) - ritonavir Deux semaines après l'application de cette association, sa numération de CD4+ a passé à 294 cellules et sa charge virale est tombée sous la barre des 75 copies. L'analyse de l'échantillon de liquide pulmonaire n'a pas permis de déceler une cause infectieuse manifeste des problèmes dans ces organes. D'autre part, après la reprise du traitement HAART, son affection pulmonaire s'est améliorée. Toutefois, peu de temps après, le patient a développé des caillots dans le cerveau et dans le pied. Les facteurs de risque de cette nouvelle complication incluaient le diabète, la fumée de tabac et l'infection par le virus de l'hépatite C, tous trois fardeaux préexistants du patient. Les caillots dans son pied réduisaient la circulation sanguine, si bien que les tissus ont commencé à mourir. Pour essayer d'éviter d'autres complications, les médecins ont décidé d'amputer la jambe droite sous le genou. Au cours de cette intervention, le patient a eu une crise cardiaque et décédait, 25 jours après son entrée à l'hôpital. Pourquoi les caillots? Au cours de sa dernière visite à l'hôpital, le patient avait développé les complications suivantes : - augmentation substantielle de la charge virale - diminution importante de la numération de CD4+ - fièvre intense - zona - détresse respiratoire -altérations sanguines entraînant une susceptibilité extrême aux caillots — une affection appelée état hypercoagulable. Sa famille n'a pas consenti à une autopsie; ainsi, au vu et au su des signes observés par les médecins, on a conclu que ce cas était un exemple extrême de syndrome de rebond rétroviral sévère. Un tel syndrome se déclare lorsqu'un PVVIH interrompt son traitement et que la réplication du VIH monte en flèche, l'immunité s'affaiblit et des complications surgissent. User de prudence Les médecins d'Harvard estiment que les fournisseurs de soins de santé devraient familiariser leurs patients avec les signes et symptômes du syndrome de rebond rétroviral. Toujours selon eux, les médecins devraient également songer à rétablir le traitement HAART plus rapidement, dès l'apparition des symptômes. En 2004, des médecins de Barcelone, en Espagne, ont signalé des complications sévères (insuffisance hépatique, pulmonaire et cardiaque) chez l'une de leurs PVVIH 12 jours après l'interruption de son traitement. Fort heureusement pour elle, les médecins ont pu intervenir à temps et ces complications ne lui ont pas coûté la vie. —Sean R. Hosein RÉFÉRENCES : 1. Coco A et Kleinhaus E. Prevalence of primary HIV infection in symptomatic ambulatory patients. Annals of Family Medicine 2005;3(5):400-4. 2. Garlin AB et Sax PE. Retroviral rebound syndrome with fatal outcome after discontinuation of antiretroviral therapy. Journal of Infectious Diseases 2005;41(9):1164-70. 3. Crespo M, Paradineiro JC, Ribera E, et al. A case of multiorgan failure following interruption of antiretroviral treatment. Journal of Infectious Diseases 2004;23(1):63-65. Quelques premières questions : 1) La personne en question était visiblement alcoolique. L'alcoolisme induit-il un fort stress oxydatif ? Je suppose que oui. Mais je suppose que cet alcoolisme ne saurait justifier à lui seul un résultat positif au test "HIV". Je présume qu'il y avait d'autres cofacteurs, non indiqués dans le texte repris ci-dessus ? 2) Peut-on présumer que le stade du stress oxydatif avait chez ce séropo atteint le stade de l'irréversibilité ? 3) Ou peut-on considérer que ce sont tous les médocs prescrits à ce séropo qui ont précipité sa chute (solution à laquelle je donne la préférence pour le moment) ? Merci d'avance pour vos réponses ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 28 décembre 2005 Partager Posté(e) le 28 décembre 2005 (modifié) Mon avis est que les postulats de Koch ne sont respectés pour aucun virus ni aucune bactéries, puisque, selon moi, les virus n'existent pas (en tant que virus), et que les bactéries, existent, mais ne sont pas pathogènes. Cela dit, la réponse qu'on te fait au niveau des bactéries du genre choléra ou typhoide ne touche pas la même phase des postulats de Koch. Les bactéries sont identifiées et se reproduisent. Mais le postulat qui, ici, n'est pas respecté, c'est le postulat que la bactérie provoque la maladie quand elle se trouve dans le corps d'une personne. D'ou l'expérience de Pettenkofer, qui avala un verre entier de germes du choléra sans être affecté le moins du monde. Pour les virus, c'est bien pire, parce que le postulat qui n'est pas respecté c'est tout simplement le fait que la particule est identifiée et est bien de type virale (ie. qu'elle se reproduit). C'est à dire qu'on n'est même pas sur qu'elle existe et même si elle existe, elle ne se reproduit pas. C'est un point encore plus grave que pour les bactéries. En tout cas, l'hépatite C est un virus dont l'existence est réfutée par une bonne partie de la dissidence. Donc, mettre sur le même plan le problème des postulats de Koch des bactéries et des virus est fallacieux. Se faisant, ils cherchent à faire croire que le problème des postulats de Koch des bactéries et de virus se situent sur le même plan ; alors que que dans le cas de certaines bactéries, effectivement, elles sont impliquées dans des maladies via les toxines qu'elles produisent (donc, elles ne respectent pas les postulats de Koch, parce qu'elles agissent indirectement. Etre en contact avec elles ne suffit pas), alors que les virus eux, n'existent carrément pas et ne sont impliqués dans aucune maladie, directement ou indirectement et ne peuvent pas l'être, puisqu'ils n'existent tout simplement pas. Et pour les gars qui te répondent tout content que les postulats ne sont pas respectés, ils se sabordent eux-mêmes. Les postulats sont la seule façon de prouver indubitablement que le virus ou la bactérie existent, se reproduisent dans le corps et sont pathogènes. S'ils avouent eux-mêmes que les postulats ne sont pas respectés, on aimeraient bien savoir sur quoi ils se basent pour dire qu'on sait que les microbes en question sont directement pathogènes (et pour les virus, pour dire qu'on sait qu'ils existent et se reproduisent). Modifié le 28 décembre 2005 par aixur Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nico111 Posté(e) le 28 décembre 2005 Partager Posté(e) le 28 décembre 2005 D'ou l'expérience de Pettenkofer, qui avala un verre entier de germes du choléra sans être affecté le moins du monde. Ah oui c'est vrai, magnifique expérience quand on sait qu'il faut une dose énorme de bactéries pour s'infecter et que la maladie est développée dans seulement environ 10% des cas et qu'en plus les personnes touchées sont celles pauvres dénutries etc.....ce que ce professeur était bien sur. Certains labos qui travaillait sur le choléra pipetait les solutions de virus à la bouche , c'est dire que l'expérience de cette personne est concluante. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gosseyn Posté(e) le 28 décembre 2005 Partager Posté(e) le 28 décembre 2005 1) La personne en question était visiblement alcoolique. L'alcoolisme induit-il un fort stress oxydatif ? Je suppose que oui. Mais je suppose que cet alcoolisme ne saurait justifier à lui seul un résultat positif au test "HIV". Je présume qu'il y avait d'autres cofacteurs, non indiqués dans le texte repris ci-dessus ? Salut à tous ! Wallypat, je me permet de souligner que les tests ne mettent pas en évidence la présence de virus H.I.V , mais celle d'anticorps nommés (arbitrairement d'aprés moi ) "anticorps anti-hiv" ! Donc le resultat est " positif " aux tests d'anticorps . La distinction me semblait importante , au vue de la confusion generale concernant ce sujet ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 28 décembre 2005 Partager Posté(e) le 28 décembre 2005 Wallypat, traitement 1 : - AZT (zidovudine, Retrovir) - 3TC (lamivudine, Epivir) - indinavir (Crixivan) traitement 2 : - ddI (didanosine, Videx) - d4T (stavudine, Zerit) - 3TC (lamivudine, Epivir) - indinavir (Crixivan) traitement 3 : - 3TC - ténofovir (Viread) - atazanavir (Reyataz) - ritonavir Cherche le point commun.... et tu comprendras pourquoi il y a amélioration du taux de CD4+ et diminution de la charge virale... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 28 décembre 2005 Partager Posté(e) le 28 décembre 2005 (modifié) je me permet de souligner que les tests ne mettent pas en évidence la présence de virus H.I.V , mais celle d'anticorps nommés (arbitrairement d'aprés moi ) "anticorps anti-hiv" ! Donc le resultat est " positif " aux tests d'anticorps . Mais, Gosseyn, je suis tout à fait d'accord ! Sans doute me suis-je mal exprimé. Je voulais dire que l'acoolisme doit probablement induire un fort stress oxydatif de nature à fortement augmenter ces fameux anticorps (à tort supposés spécifiques au pseudo VIH), augmentation tellement élevée que le test "HIV" devient positif. Mais je suppose qu'il y a eu chez cette personne d'autres cofacteurs (non révélés dans cet article) qui ont permis de rendre le test "HIV" positif, faute de quoi, presque tous les alcooliques seraient séropositifs, ce qui n'est certainement pas le cas. Merci à Aixur pour sa réponse. En résumé, ta réponse est donc : - Pour le choléra et la fièvre typhoïde : la bactérie incriminée a chaque fois été clairement identifiée et peut se reproduire (les deux premiers postulats de Koch sont de prime abord respectés) mais on ne peut toujours pas démontrer que celle-ci peut causer la maladie en question chez la personne à qui on injecte ladite bactérie; alors que dans le "VIH", on ne l'a même pas identifié ni même, partant, prouvé qu'il pouvait se reproduire. - Quand à l'hépatite C : là aussi, en fait, le "virus" soi-disant responsable n'a pas été isolé et nombre de scientifiques mettent en doute que le "virus de l'hépatite C" puisse causer la maladie (ce que je pensais également, puisque j'ai déjà lu à diverses reprises que ceux qui souffrent de cette maladie sont presque toujours un peu trop penchés sur la boisson, toxicomanes ou sous drogues antivirales [d'ailleurs, pour ce dernier cas, à savoir drogues antivirales, je me demande dans quelle mesure ces drogues antivirales ne sont pas elles-mêmes de nature à rendre le test de l'hépatite C positif; mais on s'éloigne du sujet, là]). Modifié le 28 décembre 2005 par wallypat Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Viduité Posté(e) le 31 décembre 2005 Partager Posté(e) le 31 décembre 2005 J'ai attrapé (en cours) le sujet consacré, par TF1 - Sagas, à la petite Charlotte Valandrey dont nous avons déjà parlé ici. Evidemment, ce type d'emission où se chavauchent des histoires relatant les démêlés médiatoco-sentimentaux de Tom Cruise et les turpitudes sentimentaux-people du prince de monac a ses limites car les "malheurs" des uns et des autres ne sont tout de même pas de même nature, même si ceux du "pauvre" Albert sont susceptibles d'émouvoir la ménagère de 18 à 50 ans et plus ... davantage que ceux du gamin en train de crever dans un hosto à côté de chez elle. Je me disais en la voyant " eh bien, elle a bien changé cette Charlotte " ... du visage et encore, on ne la voyait que bien couverte (j'aic ru apercevoir des jambes bien maigres et un visage bien bouffi). Elle a précisé à un moment " je porte les stigmates sur le corps " ... d'où l'habillage de circonstance bien sûr ... qui peut "éclairer" sur les "bienfaits" des tri thérapies ... à n'en pas douter ... à bon voyeur, salut ! Elle a déclaré également : " Longtemps j'ai refusé les médocs ... " mais elle n'a pas précisé pourquoi elle s'y est mise ... J'ai cru comprendre que c'était au moment de sa grossesse en 99 ... est-ce bien cela ? ... Voilà un instant particulièrement propice pour convaincre du bien fondé des potions ... Donc, elle aurait vécu de 87 à 99 sans ... l'histoire ne développe pas la nature des troubles ... sauf ceux mentaux consécutifs à l'annonce de sa séropositivité ... Observations donc : 1. qu'en était-il de son physique en 98 ? ... pas trop mal si je me souviens bien ... 2. qu'en était-elle de sa santé en 98 ? ... ne tournait-elle pas ? 3. que se serait-il passé si elle avait décidé d'être enceinte en 87 et donc de se mettre au médoc (AZT par exemple) de suite ? ... aurait-elle eu un quelconque choix en 99 ? ... n'aurait-elle pas figuré à la rubrique nécro depuis longtemps ? 4. à quoi est vraiment du sa greffe cardiaque de 2003 ? ... ne serait-ce pas la conséquence d'un terrain favorable + de quelques excès + (et aussi et surtout) de 4 années de médocs ? 5. comment gère-t-on une greffe en cumulant les médocs anti-rejet (ayant vocation à court circuiter l'immunité) et les tri thérapies (ayant soi-disant l'effet de l'augmenter) ? ... pas un peu lourd, pas un peu équilibriste ? Pas très étonnant qu'à 37 balais, elle en fasse 55 ... pourtant elle était bien belle Charlotte ... J'ai aussi observé l'absence de propos de ses "sauveurs" ... merci à TF1 pour cette pudeur ... et bons voeux pour Charlotte. Sans compter ceux à adresser à Albert ... il devrait faire un peu attention, je le trouve un peu trop gros ... il va avoir des difficultés à séduire les jeunes hôtesses désormais sans bourse déliée (mais ça ne devrait pas lui poser de problème de la délier) ... il devrait plutôt conseiller à ses petites soeurs à ne pas vieillir trop vite ... car tout se passe comme si Stéphanie était passée sous un ouragan ! ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité dlg Posté(e) le 1 janvier 2006 Partager Posté(e) le 1 janvier 2006 En fait, je suis partagé... entre vos théories qui disent que le sida n'est pas ce que l'on croit et le reste qui nous est rabaché des centaines de fois par la presse... Parce que c'est quand même pas possible de faire avaler des saloperies comme celle-là qui font plus mourrir les gens que les guerir... Enfin, si c'est ça...je crois que l'enfer serait trop petit pour quicoinque ait une responsabilité là-dedans. Si votre théorie était vraie, comment cela se fait-il que des médecins, pharmaciens (et autres chimistes, biologiste et j'en passent), ne se liguent tous pas contre cette imposture monumentale...si votre groupe gonflerait, normalement le truc serait tellement énorme que cela irait trés mal contre les responsable des ces sociétés. Faut dire que jusqu'ici vos arguments sont plus convaincant que ceux qui sont contre le sida qui ne peuvent quasi rien opposer. Enfin, je ne suis rien d'autre qu'un simple citoyen qui essaye de comprendre, via son petit bout de regard sur le monde... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 1 janvier 2006 Partager Posté(e) le 1 janvier 2006 (modifié) Dlg, les personnes qualifiées qui remettent plus ou moins en cause l'hypothèse officielle et qui se sont fait connaître sont à peu près 2350 ( http://www.aras.ab.ca/rethinkers.htm ). Il y a parmi eux des médecins, des docteurs en chimie, en biologie, des prix Nobel ... Pourquoi la majorité ne réagit-elle pas? Eh bien d'abord parce qu'elle n'est pas au courant de l'existence d'une polémique. Ensuite, elle ne peut se permettre à l'heure actuelle de remettre tout cela en cause, car cela ébanlerait les bases médicales, mais aussi économiques et politiques de notre système. Cela conduirait tout droit à l'anarchie. Ensuite, ainsi que le Pr Luc Montagnier l'a dit, ils se contentent des résultats obtenus à ce jour grâce à la trithérapie, en arguant du fait que l'action de ces médicaments, qui ont été conçus dans l'espoir d'arrêter la réplication du rétrovirus, marchent effectivement (300 morts cette années). Or on peut montrer que l'action de ces nouveaux médicaments peut s'expliquer simplement grâce à leur structure chimique, sans faire appel à un intervention directe sur le virus, intervention qu'on a d'ailleurs uniquement vérifié macroscopiquement (action sur des cultures de lymphocytes avec modification de certains marqueurs moléculaires, attribués de manière exclusive [ce qui est faux] au vih) sans voir exactement ce qui se passait. Seules certaines modélisations moléculaires informatisées, créées dans cette optique, ont pu faire croire que cela avait été démontré, mais ce ne sont que des modélisations... Voir par exemple ceci Modifié le 1 janvier 2006 par Cheminot Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Viduité Posté(e) le 2 janvier 2006 Partager Posté(e) le 2 janvier 2006 En fait, je suis partagé... entre vos théories qui disent que le sida n'est pas ce que l'on croit et le reste qui nous est rabaché des centaines de fois par la presse... Le quatrième pouvoir a un impact énorme ... On n'échange pas à égalité. Ce pouvoir décide qui est légitime pour parler d'une thématique et qui ne l'est pas. Charlotte est devenue "légitime" dès lors qu'elle a pu afficher deux garanties : 1. de se conformer à la norme (les prises de médocs) ; 2. d'avoir dit ne pas s'être conformée pendant longtemps et d'avoir fait repentance après. Le repenti est un allié encore plus sûr que le mouton de base. Charlotte est rentrée dans le rang : elle en paie le prix fort. ... en correctionnelle ou en assises, c'est la même chose : un non-repenti prend le double devant le troisième pouvoir. Etre partagé, c'est déjà débattre ... être entier, c'est ne plus admettre le débat. La dictature majoritaire l'emporte. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Terry Posté(e) le 2 janvier 2006 Partager Posté(e) le 2 janvier 2006 GGL a écrit : Si votre théorie était vraie, comment cela se fait-il que des médecins, pharmaciens (et autres chimistes, biologiste et j'en passent), ne se liguent tous pas contre cette imposture monumentale...si votre groupe gonflerait, normalement le truc serait tellement énorme que cela irait trés mal contre les responsable des ces sociétés. tout simplement parce que les medecins et pharmaciens tiennent à leur carrière; ils leur faut 10 ans d études et 10 de pratique correcte de la medecine pour s appercevoir que leur role est de prescrire et de vendre des medicaments qui causeront des effets secondaires necessitant la prise d autres medicaments pour les soigner etc etc etc ......( je n inclue pas les chirurgiens; cette branche est bien au courant de la verité sur le vih mais prefere se tairent et on les comprends ! cela ). l industrie pharmaceutique est la premiere force economique de notre planete suivi de l armement, pretoles, diamants...... etc etc...elle a des ramifications dans les medias dont elle actionnaire, de maniere à diffuser leur publicités à leur guise.....personne ne peut lutter.....un peu comme Hitler et la gastapaud......un jour ou l autre cela finirat.......mal, c est sur !. pauvre docteur malheureux, depressif de se savoir faire partie d une secte qui ne pense qu a gagner du fric et à debarasser les pays riches de tout ce qui les derange, sans meme le faire exprés et sans meme le vouloir !...... enfin pour 5 000 euros par mois ! que ferait on pas ??!! YES SIR, MISTER SIR, YES SIR ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Viduité Posté(e) le 3 janvier 2006 Partager Posté(e) le 3 janvier 2006 Ce que dit Terry sur les ramifications économiques de l'hydre est fort juste : il suffit de regarder les structures des prises de participations de ces entreprises pour le constater. Les holdings ne sont pas montées au hasard des opportunités de trésorerie. Quant au pouvoir médical, il est, plus ou moins marqué par "l'académisme" ... qui engendre du "corporatisme". Plus ou moins selon les pays. En France, le corporatisme exulte : la loi a confié à la corporation le pouvoir de s'autodiscipliner par le démantelement de la juridiction de droit commun : l'Ordre ... qui a reçu compétence disciplinaire. Le résultat de tout cela est que la règle est le passage devant le conseil de l'ordre en formation disciplinaire et que l'exception est le passage devant le juge judiciaire ... d'ailleurs, ce dernier aspect, malgré son caractère "exceptionnel" insupporte la "corporation" ... mais heureusement, la corporation resurgit en "expertise" devant la juridiction de droit commun. Pas facile de s'en sortir pour le quidam moyen ... la déresponsabilisation bat son plein ... ... Ah l'académisme et ses avantages : rentes de situation et légitimité immanente ... Dans un autre domaine, il est toujours amusant de voir un "expert" s'exprimer dans les médias sur un sujet "pointu" ... Il est convoqué (et payé) pour faire une "télé" ... durant laquelle il énonce des généralités que presque n'importe quel quidam pourrait énoncer aussi bien (voire mieux) que lui ... mais il est adoubé ... il a reçu le droit de causer dans le poste ... il fait foi ... et tout le monde s'en satisfait. Il "dit" la Vérité ... et la Vérité ne se partage pas, elle se gobe ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 3 janvier 2006 Partager Posté(e) le 3 janvier 2006 (modifié) Exactement. Comme le dit Terry, médecine, ça doit être dans les 9 ans d'études, quelque chose comme ça. Le temps de se rendre compte de quoi il retourne vraiment pour sa profession, il faut bien 10 ans de pratique. Après ses études, le gars a un excellent salaire avec emploi garanti. Le rève de nos jours. Une position de notable quoi. Entrer en dissidence, ça veut dire automatiquement être viré (tot ou tard) de l'ordre des médecins. A environ 37 ans, pour retrouver une position similaire, il faudrait que le gars fasse à nouveau au minimum 5 ans d'études difficiles, avec de la concurrence. C'est le genre d'efforts que la plupart des médecins (ou autres personnes) sont capables de faire une fois dans leur vie, mais pas deux. Et même si le gars réussit à le faire, ça veut dire 5 années ou l'argent ne rentre plus. Et ensuite, des emplois qui offrent la sécurité de l'emploi à 5.000 euros par mois, il n'y en a pas des tonnes. Et à 42 ans, le gars aura du mal trouver du boulot avec un parcours pareil. En tout cas, il risque d'avoir quelques vaches maigres avant d'avoir un emploi stable. Et à 37 ans, le gars a femmes, enfants, crédits à payer. Perdre son statut de médecin, ça signifie être obligé de revendre sa maison, et éventuellement perdre sa femme. Bref, c'est risquer de passer d'un statut envié et très confortable de notable sans concurrence et emploi garanti à celui de simple employé plus ou moin précaire, voir de chomeur. Et peut-être même de clodo si les choses tournent vraiment mal (femme qui divorce, qui garde la maison, pas travail, fric épuisé). Donc, dans la terreur de descendre, le médecin ou le pharmacien ferme sa gueule. Cela dit, on peut se demander pourquoi il n'y a pas de médecins ou de pharmaciens intervenant sur Internet dans le sens de la dissidence. Après tout, sur Internet, le nom n'est pas affiché. Il n'y a donc aucun risque à intervenir. Mais en fait, ça doit venir du ressort psychologique suivant. Etant conscient qu'il est bloqué dans cet emploi et que l'emploi en question est très loin d'être reluisant, il est évident que le médecin ou le pharmacien ne va pas aller au devant de tortures psychologiques supplémentaires en lisant des trucs sur la dissidence ou autres remises en cause de la médecine qui lui feraient prendre conscience que son job est encore pire que ce qu'il pensait. Donc, il va soigneusement éviter les remises en causes un peu profondes et se tenir à l'écart de tout discourt dissident quelqu'il soit. Il en aura peut-être de très lointains échos. Mais, il lui sera facile de juger la chose en un quart de seconde avec le verdict suivant "conneries !". Et il évitera par la suite d'aller voir de plus près. Il pourra ainsi continuer à avoir un confort psychologique minimal. Bref, en plus de fermer sa gueule, pour garder une bonne petite conscience, il va carrément éviter de penser. Au final, la plupart n'auront donc peut-être même pas à penser à fermer leur gueule. Modifié le 3 janvier 2006 par aixur Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Viduité Posté(e) le 3 janvier 2006 Partager Posté(e) le 3 janvier 2006 Nous sommes tous contraints, peu ou prou et chacun dans nos domaines, de respecter un certain format ... et donc de jouer le compromis. La frontière entre le compromis social (et professionnel) et la compromission est ténue ... Le système se charge de rappeler aux fortes têtes où se situent leurs intérêts ... Il en va aussi pour les gens de santé : pourquoi en serait-il autrement d'ailleurs ? Ces gens là sont confrontés à plusieurs bouleversements : - une baisse de leur reconnaissance sociale ; - une meilleure perception de leurs limites ; - la nécessité d'aller à la soupe sur un système se précipitant droit dans le mur (la SS) ; Il n'est pas rare de les entendre se lamenter de la sorte : " Nos patients se somportent comme des clients et non plus comme des patients ... " Pourquoi en serait-il autrement d'ailleurs encore ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nico111 Posté(e) le 3 janvier 2006 Partager Posté(e) le 3 janvier 2006 l est évident que le médecin ou le pharmacien ne va pas aller au devant de tortures psychologiques supplémentaires en lisant des trucs sur la dissidence ou autres remises en cause de la médecine qui lui feraient prendre conscience que son job est encore pire que ce qu'il pensait. Donc, il va soigneusement éviter les remises en causes un peu profondes et se tenir à l'écart de tout discourt dissident quelqu'il soit. J'en lis et j'ai appris des choses intéressantes ici qui m'ont fait changer d'avis ou m'interroger sur certaines choses mais c'est très loin de remettre en cause ce que je pensais et ce que j'ai appris. Je n'ai pas peur que les choses soient remis en cause et si j'ai tort et bien soit j'accepte et je pense que beaucoup le ferait aussi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Viduité Posté(e) le 4 janvier 2006 Partager Posté(e) le 4 janvier 2006 Ca ne gène personne les salaires astronomiques des artistes, sportifs etc.... non ? ... comparons ce qui est comparable : tu n'es pas Zidane ... et tu conduis sans doute moins bien qu'Alonso ... moi de même d'ailleurs ... Ceci étant et on peut en penser ce que l'on veut, ces gens là génèrent davantage de bénéfices qu'ils ne coûtent ... ce qui n'est pas précisemment le cas des médecins ou des pharmaciens qui, comme bien d'autres, émargent directement ou indirectement sur les prélèvements obligatoires ... Personne n'oblige personne à regarder les matchs de foot ou les compétitions de formule 1 ... d'ailleurs, je ne les regarde pas. ... Les curés ont au moins cet avantage sur les blouses blanches : la quête n'est pas obligatoire ... même s'ils doivent regretter parfois la dime ... Ce qui serait bien, c'est que la clientèle des cabinets soit repsonsabilisée sur les dépenses induites ... Ainsi, elle serait plus exigeante sur l'obligation de résultats et y regarderaient à deux fois avant de consulter ... sans compter que ça ne ferait pas de mal aux "fonctionnaires" de fait qu'elle a en face ... Quant "aux années d'études" ... bof, bof, ... on en apprend tous et tous les jours : ainsi moi, je suis à bac + 34 ... et j'en apprends encore ... ô tempora, ô mores ! Quant au parchemin appelé "thèse de doctorat", il suffit d'en lire quelques unes pour se convaincre de l'aspect formel du machin ... et d'en relever le plus souvent une syntaxe et une grammaire à faire pleurer ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
sidarta Posté(e) le 4 janvier 2006 Partager Posté(e) le 4 janvier 2006 Bonjour et tout d'abord bonne année ! Vous parlez de la médecine en France. Et il est vrai qu'en 2006, tout a changé, reconnaissance sociale, fonctionnement, souplesse etc... Pour ma part, j'ai choisi un médecin traitant avec qui je peux parler et qui bien sûr me paraît compétent, c'est à dire qui se remet en question sans perdre son "assurance" : un médecin. J'en ai besoin, ou je crois en avoir besoin tel que le système de soin fonctionne en France ; quoique.... Je lui parle des approches des dissidents, tente de le faire lire mais, il est vrai qu'il n'a pas baucoup de temps ou qu'il ne s'en donne pas. Pourtant, il me parait être type bien. Sa position par rapport au Sida et aux thèses dissidentes : en fait, me fait - il comprendre, il s'en fout un peu, ce qui compte c'est moi. Il suit des patients depuis 20 ans qui ont été déclaré séroposifs, ils vont bien. Bon... Moi, je l'embête parceque je lui pose des questions qui dérangent... Il l'accepte. Tout ce qui m'importe c'est qu'il me respecte et m'accompagne. Mais, cela ne me convient pas complètement, bien entendu. Je cherche, je comprends mieux de jour en jour l'énormité de " l'affaire SIDA " et je me sens de plus en plus isolé par rapport à mon entourage. Parfois, je me mets en colère : je dis :" Mais qui êtes vous, vous qui prétendez m'aimer et qui n'allez même pas lire ou simplement approfondir ce que je vous dis avec, en plus, des sources désormais facilement consultables, pourquoi ?!...." Et là, je vois des êtres désemparés, que j'aime et qui me disent :" tu sais, ce n'est pas si facile ". Et, ils ne sont pas idiots, ne manquent pas de courage ni de coeur. Alors, qu'en est - il ? L'affaire est tout simplement " énorme " : on martèle tellement VIH=SIDA=..... Que voir les choses autrement parait impossible pour beaucoup. De plus, je crois que les êtres humains n'ont pas si soif de vérité que cela. Bon, tout cela me rend triste et c'est pas bon pour mon immunité parait-il. Dois - je me mettre au Yoga du rire ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité dlg Posté(e) le 4 janvier 2006 Partager Posté(e) le 4 janvier 2006 (modifié) Moi ce que j'en ai retenu, c'est que le sida a réapparu vers le début des années 80, puis d'aprés ce que je me souviens, on a oublié cette maladie, comme si elle avait été régulée. Puis à un moment on s'est mis à en reparler comme pas deux puis maintenant y a encore des actions sporadiques... Et maintenant, j'ai lu sur un site (sidaaction, une saleté dans le genre...), que tout les jours 12 personnes sont contaminées par ce virus. Alors, si cette maladie est incurables y a bien un moment où la population de cette planéte va y passer par dizaines de milliers tout les jours. De toute façon, vu les témoignage de personnes infectée par le VIH, je crois qu'y a pas photos entre la thése officielle et la votre y a qu'un pas. A vous de vous de vous faire connaitre, les séropositifs, car seuls vous pourraient passer un message, étant donné que vous avez la maladie et que vu les médecins (et autres) on les croira pas et qu'ils seront mis au ban... Peut-être même que vous aurez la chance d'être diagnostiqué séronégatif avec une action pareille . Edit: mis un mot bêtement oublié à sa place , hé merde j'avai pas lu le message au-dessus..., bon, ben tant pis je laisse le mien (je crois que j'était en trian de taper quand tu as posté...) Modifié le 4 janvier 2006 par dlg Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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