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aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Ouai, il a l'air de l'avoir très mauvaise Jean Claude Chermann. Bah, j'irais pas pleurer sur lui, vu que c'est en partie à cause de ce gars qu'on est dans la situation actuelle.
  2. L'EPP est mauvais en réalité. C'est pour ça que tu as une légère leuco-neutropénie. Ce produit désagrège les cellules et particules de l'organisme. Comme le font les antibiotiques. C'est moins puissant. Donc, ça ne se voit pas trop. Mais ça le fait. Du coup, les globules blancs, puisqu'ils sont désagrégés, sont trouvés en moins grand nombre dans le sang. D'où le diagnostic de légère leuco-neutropénie. C'est aussi pour ça que tu n'as pas de problème de rhume actuellement. Le rhume consiste en une sorte de polymérisation des protéines en excès. Comme l'EPP désagrège les cellules, il empêche la polymérisation. Comme en plus, tu en mets dans le nez, le rhume risque encore moins d'apparaitre. Seulement, le problème, c'est que l'élimination des déchets cellulaires se fait moins facilement. Donc, tu es en train de lentement augmenter la quantité de déchets cellulaires dans ton sang. Ce n'est pas bon. A terme, ça pourrait te faire perdre ta forme physique, puisque avec trop de déchets cellulaires dans le sang, tes cellules respireront de plus en plus mal. Actuellement, il est probable que tu ne ressentes pas cet effet parce que l'EPP doit augmenter le taux de cortisol, ce qui augmente la forme physique. Mais il est possible qu'à un moment, tu arrives à un point où tu auras des problèmes de tonus. De toute façon, si c'est à cause de la hausse du taux de cortisol que l'effet sur la forme physique ne se fait pas trop ressentir, ça finira par avoir un impact dans d'autres secteurs : hypertension, problème de destruction des cartilages, osthéoporose, faiblesse des membres, veines des jambes qui se bouchent, etc... Et aucun autre produit à base de plante ne donnera de meilleurs résultats. Parce qu'ils fonctionnent tous sur le même principe que l'EPP. Il faut que le corps fonctionne tout seul. Tous ces produits masquent les symptomes qui devraient apparaitre si on ne prenait pas les produits en question. Ca ne soigne pas, ça masque seulement les symptomes naturels. Mais tôt ou tard, la modification du fonctionnement du corps se paye. Surtout que tous ces produits on tendance à modifier le taux de cortisol, et donc à prendre Pierre pour donner à Paul. Et Pierre ce sont les membres (bras, jambes) et Paul le centre du corps. On ne peut pas désavantager les membres indéfiniment. Au bout d'un moment, ils périclitent.
  3. Cela dit, les dissidents anglo-saxons (les seuls que je connaissent en dehors de la dissidence française) comprennent quand même que les médicaments tuent moins maintenant. Et ils comprennent aussi plus ou moins que c'est parce que les doses ont été diminuées. Donc, ils ne sont quand même pas complètement à l'ouest. Mais c'est vrai que c'est un peu flou chez eux. Ils ont tendance à penser également que les médicaments sont quand même restés assez mortels à court terme. Mais c'est compréhensible. Déjà, sur les notices des médicaments, pas mal d'effets secondaires ont l'air graves. Et en plus, ces effets secondaires graves se manifestent parfois si la dose est trop élevée. Ce qui est rare maintenant vu qu'on a diminué les doses par rapport au début des trithérapie, vers 1997. Mais ça arrivait au début. Et ça doit arriver encore quelques rares fois maintenant. Donc, la situation elle-même n'est pas complètement claire. On peut passer, en fonction des doses, de médicaments peu dangereux à des médicaments très dangereux. Mais bon, ils ont quand même tendance à manquer de lucidité et à penser que les médicaments sont plus dangereux à court et moyen terme qu'ils ne le sont réellement. Et ils n'ont pas tellement cherché à analyser le problème plus loin que ça. Donc, en fait, en ce moment, il y a trois positions dissidentes sur le sujet des médicaments, 1 anglo-saxonne et 2 françaises : 1) celle des anglo-saxons (déjà analysée) 2) celle de Cheminot, qui pense que le problème est essentiellement un problème de stress oxydatif et qui pense que c'est le 3TC l'explication de la faible dangerosité des nouveaux traitements. Selon lui, le 3TC est en fait un anti-oxydant qui annule l'effet oxydant des autres médicaments. Et concernant l'AZT, il pense lui aussi que le fait que les doses aient été diminuées au début des années 90 a beaucoup joué dans la diminution de la mortalité. 3) la mienne. Je pense que les médicaments en question sont comme des antibiotiques faiblement dosés qui ont du coup un effet de type cortisone. Et tout se joue sur des transferts d'eau dans les différentes partie du corps (beaucoup d'eau dans le tronc et peu d'eau dans les membres lors de la prise de ces médicaments, et l'inverse lorsqu'on arrête soudainement de les prendre). Donc, pour moi, les anti-protéases, les inhibiteurs non nucléosidiques de transcriptase inverse sont de simples antibiotiques et pas du tout des médicaments high-tech. Je pense moi aussi que s'ils tuent moins qu'avant, c'est tout simplement parce que la dose de produit actif est bien inférieure à celle de la période AZT. Et du coup, on peut expliquer la présence de possibles effets secondaires graves. Il suffit effectivement d'augmenter suffisamment la dose pour que ces effets apparaissent. Ce qui arrive rarement maintenant, mais arrivait relativement souvent au début. Donc, les doses sont actuellement assez faibles pour qu'il n'y ait qu'un effet de type cortisone qui se manifeste. Evidemment, je pense que mon explication est la meilleure. La où je pense qu'elle est plus convaincante, c'est qu'elle explique très bien les effets secondaires des trithérapies (ce sont exactement les mêmes que ceux de la prise de cortisone). Et elle explique aussi très bien les effets physiologiques et psychologiques lors d'un arrêt brutal (ce sont, là aussi, exactement les mêmes que ceux qui se manifestent lors d'un arrêt brutal de cortisone). Par ailleurs, j'avais prédit que le taux de cd4 pouvait monter et la charge virale baisser avec n'importe quel produit ayant le même effet que la cortisone : aspirine, anti-inflammatoires non stéroïdiens, certaines huiles essentielles et produits à base de plante. Et ça s'est vérifié.
  4. Intéressant. Il y a quelques années, sur Doctissimo, on nous disait que les labos ne faisaient pas de fric sur les vaccins. Ils étaient limite à nous faire passer ça pour de la philanthropie. Apparemment, non seulement c'est rentable au prix de base. Mais en plus, les compagnies pharmaceutiques ont semble-t-il augmenté les prix des nouveaux vaccins pour faire des profits hallucinants dessus. Moi aussi, mon expérience des vaccins a été très moyenne. Il y a longtemps, je me suis fait vacciner 3 années de suite contre la grippe. Non seulement ce sont les années où j'ai eu les rhumes les plus carabinés de toutes ces années là (à peu près 10 ans avant et 10 ans après), mais en plus, j'ai eu des courbatures dans la zone d'injection de plus en plus longtemps à chaque fois. La dernière fois, ça m'a duré presque trois semaines de courbatures. Pourtant, à l'époque, j'avais entièrement confiance en la médecine. Mais l'expérience a été si négative à chaque fois que j'ai laissé tomber.
  5. Oui, c'est sur que le paludisme est une cause de faux positif. Déjà, la crise elle-même doit être une cause possible. Et en plus, les médicaments donnés font exploser la quantité de débris cellulaires dans le sang. Et du coup, ça rend le test positif. En dehors des crises et de la prise de médicaments, le gars en question serait négatif.
  6. Ouai, Act-up, c'est financé par les labos. La collusion est telle qu'en 1998, c'était le fils du pdg de Glaxo-Welcome qui était le président d'Act-up (Philippe Mangeot). A partir de là, je crois que ça se passe de commentaire. Tiens, j'ai trouvé ça sur un blog : Glaxo-Wellcome France (Jean-Pierre MANGEOT), généreux donateur d'Act Up. * Glaxo Wellcome = Glaxo Smith Kline + Burroughs Wellcome (groupe pharmaceutique) * Glaxo Wellcome est numéro 1 sur le marché de la trithérapie et des tests VIH. * Glaxo Wellcome est à la base de la recherche et de la commercialisation de l'AZT. * Burroughs Wellcome est à la base de la recherche et de la commercialisation du poppers. On comprend pourquoi act-up a reçu autant de publicité au début des années 90, quand il fallait lancer à fond les médicaments anti-sida ; et pourquoi on les entends beaucoup moins maintenant que ces médicaments sont très bien diffusés. Glaxo n'a plus tellement besoin d'eux maintenant. Tiens, je suis aussi tombé sur la liste 2003 des entreprises remerciées par Act-up Paris pour leurs subventions et donations : Ensemble Contre le Sida, Pierre Bergé et la Berly’s Foundation, Direction Générale de la Santé, Agence Nationale de Recherche sur le Sida, Agnès b, La Fondation de France, la Mairie de Villeres-St Paul, Gandi, Daniel Cadinot, le GISTI, ATTAC Toulouse, le KO social de Lyon, Boehringer-Ingelheim, Bristol-Myers-Squibb, Chiron, Gilead Sciences, GlaxoSmithKline, Merk Sharp & Dohme - Chibret, Schering-Plough, Tepmare Comme par hasard, la page n'est plus disponible sur leur site. Heureusement, Google les a conservées en cache.
  7. La plupart des médecins sont des généralistes ou alors des spécialistes dont la spécialité n'a rien à voir avec le SIDA. Tous ces gens travaillent pas mal et doivent s'intéresser à autre chose que la médecine durant leurs heures de loisir. Donc, la plupart ne connaissent tout simplement pas la dissidence. Les rares qui la connaissent doivent en avoir entendu parler pendant 2 minutes. Et elle aura été présentée comme un truc de tarés. Et présenté comme ça, le médecin ne pourra qu'acquiescer. Du coup, il oubliera vite le sujet. Et puis, la plupart de ces médecins sont surtout de bon techniciens. Ce ne sont pas des intellectuels. Donc, ils ne font qu'appliquer les techniques qu'on leur dit d'appliquer, comme de bons petits soldats, sans trop réfléchir. Les spécialistes du SIDA, eux, ont intérêt à croire la version orthodoxe. Sinon, leur gagne-pain disparaitrait. Ils peuvent éventuellement changer de voie (toujours dans la médecine). Mais ils ne peuvent pas s'élever contre l'orthodoxie. Sinon, les grandes instances de la médecine leur tomberont dessus. Et quand on a fait 10 années ou plus de médecine, et qu'on a un job en or (très bien payé, quasiment pas de chômage possible), on évite de tout perdre en s'élevant contre la théorie en vigueur. C'est vrai des médecins traitant. C'est encore plus vrai des virologues. Là, changer de voie tout en restant dans le domaine médical deviendrait très difficile s'ils allaient à l'encontre des théories orthodoxes. Un médecin traitant, ça peut se mettre à son compte ; un virologue, ça travaille forcément pour une entreprise pharmaceutique ou pour l'état. Donc, soit on a des ignorants (la très grande majorité), soit on a des types qui ont un intérêt dans l'affaire. Oui, c'est Duesberg et ses partisans qui affirments que le VIH existe mais ne cause pas le SIDA. Et c'est le groupe de Perth et ses partisans qui disent que le VIH n'existe pas. Mais, Duesberg n'est plus très suivi maintenant. Il est assez marginalisé dans la dissidence. La plupart des dissidents se sont ralliés au groupe de Perth.
  8. Concernant l'article cité, c'est celui d'un gars qui est venu à une époque sur le forum. Il avait pour pseudo Candide. Il a fait ce site. Mais apparemment, ça n'a pas eu un grand succès. Et lui-même a laissé tomber assez rapidement. C'est aussi ça la différence entre les dissidents et ce genre de gus. Notre motivation est largement plus sérieuse. Ca fait 6 ans qu'on est là pour les plus anciens du forum. Et ça n'a pas l'air d'être parti pour changer. Sinon, pour ce qu'il y a dans l'article, les trois quarts sont du dénigrement des dissidents. Et un quart aborde le fond du débat. Mais là, il ne fait que mettre des liens vers des articles externes. Il n'y a que pour le texte "the evidence that HIV causes AIDS" qu'il a fait la traduction, non pas du texte entier, mais du début du texte. Et il cite un peu la déclaration de Durban. Ca ne casse pas trois pattes à un canard. Le texte le plus important qu'il cite est probablement "la déclaration de Durban". Seulement, ça fait longtemps que le groupe de Perth a sorti un contre-argumentaire : http://www.sidasante.com/science/refutation.htm Donc bon. Vu que la déclaration de Durban a été réfutée en bonne et due forme par les dissidents, il ne reste pas grand chose sur le site en question. Parce que jusqu'à nouvel ordre, c'est le texte le plus mis en avant, celui qui était sensé être définitif. Et puis, la plupart des autres textes reprennent en gros les arguments de la déclaration de Durban.
  9. aixur

    Bilans

    Ah, en fait, en faisant une recherche sur le sujet des tests, je suis tombé là-dessus (ça vient du document "le ying et le yang du VIH") : "Avant 1987, une seule bande WB "spécifique du VIH" était considérée comme preuve de l’infection par le VIH. Cependant, comme 15 à 25 % des individus non à risque et en bonne santé présentaient des bandes WB "spécifiques du VIH",(119,120) il devint nécessaire d'exiger des bandes supplémentaires pour déclarer un WB positif, faute de quoi plus d'une personne sur sept eût été diagnostiquée comme infectée par le VIH. (Ceci n'a pas empêché de maintenir jusqu'en 1990 l'exigence d'une seule bande dans les investigations menées dans le cadre de l'étude de cohorte dite MACS précitée(121)). Par ailleurs, bien que le SIDA ait commencé à décliner en Europe et aux Etats-Unis dès 1987,(122,123) cette tendance fut masquée et apparut même inversée par la pratique consistant à modifier sa définition et à augmenter le nombre de maladies (et il ne s'agit parfois que de simples anomalies de laboratoire !) supposées caractériser le SIDA. C'est ainsi que la première définition CDC, celle de 1982, fut modifiée en 1985, puis en 1987, puis à nouveau en 1993". Donc, il semble qu'on soit venu aux taux actuels par modifications successives du test. Reste quand même le problème de savoir qui a décidé que le nouveau taux moyen de positivité, et donc, le nouveau cut off, était le bon.
  10. aixur

    Bilans

    Je ne vois pas quelle méthode statistique aurait pu être employée pour les tests VIH. Normalement, si c'était le cas, elle devrait se fonder sur la prévalence. Mais le problème, c'est que sur une nouvelle maladie, on ne sait pas forcément quelle est la prévalence. Surtout sur une maladie aussi protéiforme et à aussi longue période de latence, et en plus en phase d'extension au départ (la prévalence pouvait être de 0,25 une année, puis à 1,5 l'année suivante**). Dans ce genre de conditions hasardeuses, c'est le test qui est sensé donner la prévalence. Sans prévalence connue par ailleurs, par de possibilité de raisonner par la méthode statistique. Méthode statistique qui est déjà un énorme sous-optimum par rapport à la situation normale, qui est d'avoir un test qui est sensé être un gold standard. Là, on n'a pas de test de type gold standard et on n'a même pas la prévalence. Donc, en fait, le cut off est déterminé complètement au pifomètre. Le problème c'est : qui a décidé des critères du pifomètre ? Qui est derrière le cut off ? Est-ce que c'est un collège de médecins qui se sont dit qu'une prévalence de 0,XX % devait être pas mal comme chiffre, en fonction de leurs croyances ? Ou est-ce que ce sont des salopards qui se sont dit qu'une fourchette comprise entre 0,25 et 0,5 était bien pour le business sans trop impacter la population active ? ** D'ailleurs, ça me fait penser que le fait que l'épidémie ne se répande pas montre bien que les tests sont bidons. Le nombre de nouveaux séropositifs ne peut pas changer fortement, parce que le cut-off des tests est plus ou moins fixe. Donc, chaque année, il y a un nombre X de personnes qui font le test et à cause du cut off, seul 2 ou 3 % réagiront positifs. En fait, c'est le nombre de personne qui font le test, et leur état de santé, qui fait varier légèrement le taux de séropositivité. C'est pour ça qu'on n'assiste pas à une épidémie de tests VIH positifs.
  11. Eh oui, c'est pas bête du tout ça. Avec un test à faire chez soi, pas de problème de fichage. Et pour ceux qui ont commencé à prendre des médocs, ça reste parfaitement valable. Il n'y a que si le taux de cd4 s'effondre à 0 que les médecins considèrent que ça n'est plus valable parce qu'il n'y a alors plus de cd4 pour réagir avec le test. Par contre, tant que le taux de cd4 est supérieur à zéro, c'est considéré comme valable. Peut-être qu'ils considèrent que si la charge virale est à zéro, ça n'est pas valable. Dans ce cas, il faudrait une charge virale supérieure à zéro. Mais je ne pense pas, parce que les anticorps anti-VIH sont sensés être encore présents. Donc, il n'y a que le premier cas, le taux de cd4 à zéro, qui serait une cause de résultat non considéré comme valable. Pour les tests VIH négatifs, moi, au contraire, j'avais lu que les médecins considère que c'est le test le plus fiable de tous. Il peut y avoir des faux positifs, mais pas de faux négatif. quand au fait que le virus se cacherait, dans la mesure où les tests analysent les anticorps de la personne, ça ne tient pas. Virus caché ou pas caché, les anticorps réagiront. Donc, si un interne dit ça, il raconte n'importe quoi. Sinon, c'est intéressant pour les Pays-bas. On savait déjà que dans les autres pays, les tests n'étaient pas refaits à cause de la croyance en l'infaillibilité des tests. Mais là, apparemment, même à la demande de la personne, on refuserait de refaire le test. On passe carrément à une situation différente. Enfin, il faudrait confirmation avec d'autres témoignages cela dit. Parce que ça pourrait être lié à l'interne en question. Si ça se trouve, dans un autre hôpital, ou même avec un autre interne dans le même hôpital, le discours aurait été différent. On voit ça tellement souvent en médecine. Chacun fait un peu sa sauce dans son coin.
  12. Ca, ça pourrait éventuellement être vrai, Cheminot, si une personne réagissait positif en n'étant pas malade et en n'ayant pris aucun médicament ou vaccination. Ca n'est quasiment jamais le cas.
  13. Ben, il faut que tu redeviennes négatif. Le problème sera alors réglé. Et c'est parfaitement possible. La situation normale d'une personne est de réagir négatif. La réaction positive au test survient seulement dans une situation anormale (maladie, prise d'antibiotiques, vaccin, et même simple rhume, etc...). Et les situations anormales sont quand mêmes rares. Et en général, ça ne dure pas très longtemps. Donc, quelqu'un qui a réagit positif une fois n'est pas condamné à réagir positif jusqu'à la fin de sa vie. En général, il va réagir négatif plusieurs fois s'il fait le test suffisamment souvent. Si tu ne prends pas de médicaments (même pas de médicaments "naturels"), que tu n'as pas de maladie actuellement, et que tu n'en as pas eu récemment, tu peux réagir négatif dès le prochain test. Je pense tout de même qu'il vaut mieux se faire tester à l'étranger. On ne sait jamais, vu que les médecins français ont accès au dossier médical, ils sauront que tu es positif. Et donc, peut-être que ça peut orienter leur résultat. Peut-être pas, mais on ne sait jamais. Il vaut mieux mettre toutes les chances de son coté. Bien sur, à l'étranger il ne faut pas dire que tu es positif, mais présenter ta demande comme un simple test de routine. Et si tu le fais en France, fais le dans une autre région que celle ou tu as fait le test la première fois. Là, aussi, on ne sait jamais, peut-être que la façon dont est réalisé le test dans le laboratoire qui a analysé ton sang la première fois le fait réagir plus facilement dans ton cas. D'où l'intérêt de le faire dans une autre région, qui fera appel à un autre labo pour réaliser le test. En tout cas, si tu fais des tests sanguins genre charge virale et cd4, demande à chaque fois qu'un test VIH soit refait. Quand tu auras un test négatif, tu ne seras plus considéré comme séropositif, puisque dans l'esprit des médecins, autant un test faussement positif est possible, autant un test faussement négatif est impossible. Donc, avec un test négatif, fini la prison de la séropositivité.
  14. aixur

    La méthode PCR

    Tiens, chose promise, chose due. Je remets mon texte de la page 3 : Concernant la PCR, s'il n'y a pas de virus VIH, les chiffres très élevés de charge virale deviennent absurdes. Si ça détecte bien une séquence d'ARN, alors, pour qu'il y ait une explosion pareille de "copies" en l'absence d'un virus, il faudrait une division effrénées des cellules. Ca voudrait dire qu'on serait face à un phénomène de type cancéreux. Il est clair qu'on n'est pas face à un tel phénomène. Donc, il n'y a pas multiplication d'arn. Donc, la charge virale ne devrait pas augmenter. La seule autre chose qui peut se multiplier comme ça, ce sont les déchets cellulaires (pas à une telle échelle. Mais la PCR va avoir tendance à amplifier la multiplication. Par exemple, une multiplication par 100 des déchets cellulaires va entrainer une multiplication par 100.000 de la charge virale). Et, si la charge virale augmente jusque à des millions de "copies", ça ne peut être que parce qu'elle détecte des déchets cellulaires, c'est à dire des petites particules. Sans virus, une charge virale de millions de copies est absurde si on reste à l'idée que ça détecte bien un morceau d'arn. ---------- Le problème, c'est qu'a priori, il n'y a que deux possibilités de multiplier l'adn et l'arn : 1) par division de la cellule ; 2) parce qu'un virus détourne la machinerie cellulaire à son profit. Et en plus, le seul processus qui peut entrainer un relargage massif d'arn dans le sang, c'est celui avec le virus. Sinon, l'adn et l'arn restent dans les cellules. Donc, s'il n'y a plus de virus, il ne peut plus y avoir de multiplication massive de l'arn ou de l'adn. Et même s'il y avait division intensive de cellules (un phénomène tumoral), l'adn resterait dans la cellule normalement. L'adn se répliquerait et on aurait une nouvelle cellule avec le nouvel adn. Le nouvel adn ne se retrouve donc pas dans la nature mais dans la nouvelle cellule. Donc, même avec un phénomène tumoral, on ne voit pas pourquoi il y aurait une présence massive d'arn dans le sang. Surtout à des quantités pareilles. Et puis, même avec un phénomène tumoral, la multiplication ne se fait pas aussi vite que dans le cas du virus. Même là, il faut longtemps pour que la cellule se divise. Mais bon, de toute façon, on n'est pas dans un phénomène tumoral. Donc, ça coupe court à ce problème. Donc, tout ça condamne l'idée que la pcr multiplie et donc mesure l'adn ou l'arn. Si c'était le cas, vu qu'il n'y a pas de virus vih, il ne devrait pas y avoir une charge virale aussi énorme chez certaines personne. Ca mesure donc bien autre chose. Et la seule chose dont la quantité augmente fortement en cas de maladie, ce sont les débris cellulaires.
  15. Ah oui, ok ! Ben peut-être bien qu'en fait, il a toujours autant de cd4, mais qu'ils sont comptabilisés comme cd8. Et du coup, on serait bien dans un truc logique ; à savoir : beaucoup de cd4+cd8 et une charge virale faible. Ca me semblait bizarre qu'il ait très peu de cd4 et en même temps une charge virale basse. En général, il y a un rapport inverse : soit on a peu de cd4 et une grosse charge virale, soit on a beaucoup de cd4 et une charge virale faible. Donc, là, ça ne collait pas. Mais si on inclue les cd8, tout redevient logique dans le cas de ton ami. Je ne sais pas trop comment il se fait que le sang réagisse moins aux cd4 et plus aux cd8. Il y a peut-être une histoire de groupe sanguin ou quelque chose. Mais enfin, ce qu'il faut retenir, c'est que la majeure partie des cd4 doivent certainement être comptabilisés en fait comme des cd8. Il doit y avoir en fait dans les 1000 cd4 ; mais 800 sont comptabilisés comme des cd8. Ca vaudrait le coup d'aller faire un test de cd4 dans une autre clinique (dans une ville éloignée, pour éviter le risque que la clinique utilise le même laboratoire d'analyse), pour voir si les résultats sont différents. On ne sait jamais. Peut-être que le résultat vient de ton ami. Mais peut-être que ça vient du labo. Sinon, pour l'hypertension, c'est normal. Ce sont les médicaments qui font ça. Comme ils engendrent un recentrage de l'eau du corps vers le tronc, avec certainement un rétrécissement du diamètre des veines situées dans les bras et les jambes, le coeur pompe beaucoup plus de sang à chaque coup, et en plus, les veines des bras et des jambes étant alors moins larges, forcément, la pression au niveau des veines des bras est supérieure à la normale. Voir mon article sur sidasante sur le fait que les trithérapies ont en fait un effet de type cortisone ici. Sinon, pour les reins, c'est possible qu'il y ait des problèmes. Les médicaments esquintent le foie. Ils est très possible qu'ils esquintent aussi les reins. Et pour ses nuits agitées, même cause. Les médicaments augmentent le taux de cortisol. Et un taux élevé de cortisol entraine un état excité. Donc, pour dormir, ce n'est pas un état idéal.
  16. A mon avis, s'il a peu de cd4 tout en ayant en même temps une charge virale basse, c'est qu'il doit y avoir quelque chose qui empêche le collage électro-magnétique entre les particules du test et les siennes. Est-ce que c'est un manque de magnesium, ou un autre truc ? Je ne sais pas. Mais ça doit être un problème comme ça je pense. Un peu comme si on essayait de faire passer un courant dans de l'eau distillée. Par manque de minéraux, le courant ne passerait pas.
  17. aixur

    pourquoi deux IP

    Moi je vois deux raisons possibles. Je rappelle d'abord que pour moi, ces médicaments ont essentiellement (à faible dose) un effet de type cortisone, et un effet de type antibiotique à plus haute dose. L'effet de type cortisone a un coté positif et négatif ; l'effet de type antibiotique est totalement négatif (rash cutanés, hémorragies, accidents vasculaires cérébraux, etc...). Donc : 1) Soit ils ont trop baissé la concentration en produit actif dans ces médicaments. Du coup, un seul médicament, à un effet de type cortisone moins important que deux. La prise de deux ou trois médicaments devient alors plus optimale que la prise d'un seul. 2) Soit la concentration n'a pas trop baissé. Dans ce cas, deux médicaments risqueraient d'être moins efficaces qu'un seul (passage à un effet de type antibiotique). Et on peut penser alors que les deux médicaments pris ensembles ont un effet seulement de type cortisone, mais qu'on joue sur la quantité prise. On augmente un peu les doses quand on prend un seul médicament et on baisse un peu les doses quand on en prend deux. Ce qui ferait qu'au final, il n'y aurait pas grande différence d'effet (et ça resterait toujours un effet de type cortisone). Les résultats positifs des études seraient alors effectivement des hasards heureux comme le dit Cheminot ; ou alors, des bidonnages purs et simples.
  18. aixur

    VIH/SIDA

    Ben si tu as eu une injection d'antibiotiques 3 jours avant le test, il est clair que c'est ça qui t'a fait réagir positif. Les tests Elisa et Western Blot mesurent en réalité le taux de débris cellulaires dans le sang. Quand le taux est bas, ces tests réagissent négatif, quand le taux est élevé, ils réagissent positif. Les antibiotiques désagrègent les cellules ainsi que les débris cellulaires. Là où il y avait un débris cellulaire, il y en a alors par exemple 10. Le taux de débris cellulaires explose et les tests réagissent positifs. Probablement qu'actuellement, si tu refaisais le test, tu serais négatif à l'Elisa et au WB.
  19. aixur

    cd4

    Bonjour et bienvenu sur le forum. La pcr ne sert pas à estimer le taux de cd4, mais la charge virale (c'est à dire, selon l'orthodoxie, la quantité de virus VIH que les séropositifs ont dans le sang). Les cd4 sont estimés par une méthode qui combine le marquage par un antigène et l'estimation ensuite du nombre de cd4 grace à un laser (couplé à un ordinateur bien sur). Laser qui estime aussi la taille des particules en question.
  20. Intéressant ça. Donc, le fait que ces médicaments inhibent la transcriptase inverse est une simple conjecture. Ils n'en savent en réalité strictement rien. C'est bien ce que je pensais. Sinon, toujours pour les inhibiteurs de transcriptase inverse, à mon avis, il n'y a aucune nouveauté, ils ont utilisé les médicaments qu'ils utilisent depuis toujours un peu partout, à savoir des médicaments qui à haute dose désagrègent les cellules (d'où les avertissements sur les notices, ainsi que les effets secondaires constatés parfois comme les rash cutanés, les céphalées, etc...) et à faible dose, ont un effet de type cortisone (d'où la prise de poids, la bosse de bison, le retour de la forme physique et mentale, l'hypertension, la dégradation des muscles des bras et des jambes, etc...). Ce sont les mêmes médicaments qu'on utilise en tant qu'antibiotiques, anti-inflammatoires (non stéroïdiens), anti-paludéens, anti-cancéreux, etc... L'AZT, au départ, ça tuait parce que les doses prises étaient élevées. En diminuant les doses (et peut-être, sans le dire, la concentration), le médicament s'est transformé en produit dont l'effet entraine surtout une augmentation de cortisol. Tout est dans la dose avec des produits là. Prenez un anti-cancéreux qui tue un malade en 3 mois, diminuez la dose, et vous obtenez un inhibiteur de protéase. Idem pour un anti-paludéen, idem pour un antibiotique puissant. C'est aussi pour ça qu'ils donnent des faibles doses d'antibiotiques aux animaux. Ce n'est pas pour les protéger des maladies ; c'est que ça les fait grossir, comme la cortisone fait grossir, et ça permet d'en tirer un meilleur prix. Et ce d'autant plus que c'est de la flotte qui fait augmenter le poids de ces animaux. C'est pour ça que les viandes bas de gamme sont remplies de flotte. Alors, bien sur, les antibiotiques ont été interdits en Europe. Mais du coup, on importe la viande de Russie ou plus généralement de pays hors de l'union européenne. Et puis, même en Europe, il y a toujours moyen de truander (un vétérinaire, ça s'achète).
  21. Mouai. On peut voir aussi la chose comme étant une sorte de lot de consolation pour Montagnier. Gallo a pu se faire un fric phénoménal avec le brevet de son test VIH et Montagnier, a priori, n'a rien eu. Et là, les quelques centaines de milliers d'euros du prix nobel, ainsi que l'honneur qui y est attaché, seraient comme une petite compensation pour Montagnier.
  22. C'est marrant ça. Tu as une charge virale très élevée avec un taux de cd4 très bas. Mais tu ne réagis pas au test de toxoplasmose. Etonnant. Cela dit, si tu ne réagis pas au test de la toxoplasmose même avec une charge virale élevé, ça vaudrait le coup de leur demander de faire un test d'anticorps au VIH. Vu qu'ils te font des tests divers après tes prises de sang, ils peuvent bien te faire ça aussi.
  23. Si tu es négatif à la toxoplasmose, tu devrais te faire tester à nouveau pour le VIH. Parce quand on est négatif à la toxoplasmose, je pense qu'on a toutes les chances d'être négatif au VIH. En effet, à mon avis, ce qu'on mesure dans ces tests d'anticorps, c'est surtout le taux de petites particules présentes dans le sang (déchets cellulaires essentiellement). Et le cut off des tests est mis plus ou moins haut par rapport au taux moyen de déchets cellulaire de la population. Si 80 % des gens réagissent positifs, c'est que la barre a été mise basse et plein de monde réagit positif. Si seulement 2 ou 3 % des gens réagissent positifs, la barre a été mise haute et peu de monde réagit positif. C'est un peu comme la barre au saut en hauteur, si on la met à 1 mètre, tout le monde la passe. Si on la met à 2 mètres, très peu de monde arrive à le faire. Donc, si on réagit négatif à un test ou 80 % des gens réagissent positifs (test de toxoplasmose), on a toutes les chances de réagir aussi négatif à un test ou seulement 2 ou 3 % des gens réagissent positifs (test VIH). Est-ce que tu fais encore mesurer ta "charge virale" ? Si oui, elle est à combien ? Si elle est basse, tu auras d'autant plus de chances de tester négatif au test d'anticorps pour le VIH.
  24. Ah oui, excellent. Il y a un papier du Docteur Gonda, responsable du département "microscopie électronique" du NIH disant que les images de Gallo ne montraient que des débris cellulaires et aucune particule virale. Et ce, 3 jours avant qu'il ne soumette son papier le plus important sur le VIH. http://www.garynull.com/articles/aids/AidsDocB.pdf Ca n'est pas très lisible. Je vais retranscrire le truc. I am sending you extra copies of results requested by Betsy Reac (Beac?). She said Dr Gallo wanted the micrographs for publication because they containe HTLV particles. If this assumption is based on the cultures being antigen positive, I would like to point out that the "particles" in micrograph 0805 (0905 ?) are in debris of a degenerated cell. No other extracellular "virus-like particles" were observed free between cells anywhere in the pellet. The small extracellulaire vesicles in 0904 are at least 50 % smaller than HTLV mature particles seen in type I, II, or III. Again, these vesicles can be found in any cell pellet. I do not believe any of the particles photographed are HTLV I, II or III. Et in french : Je vous envoie des copies supplémentaires des résultats demandés par Betsy Reac (Beac ?). Elle a dit que le Dr Gallo voulait ces micrographies pour publication car elle montrent des particules HTLV. Si cette affirmation est basée sur le fait que les cultures sont positives à l'antigène, je voudrais souligner que les "particules" de la micrographie 0805 (0905 ?), sont dans des débris de cellule en dégénérescence. Dans le récipient, aucune particule extracellulaire de type virus-like n'a été observée entre les cellule. Les petites vésicules extracellulaire de l'échantillon 0904 sont au moins 50 % plus petites que les particule HTLV matures de type I, II ou III. Une fois encore, ces particules peuvent être trouvée dans n'importe quel culture. Je ne crois pas qu'aucune de ces particules photographiées soit de l'HTLV I, II ou III. Et il y a 3 autres documents tout aussi intéressants. Merci brume. Par contre, je n'ai pas compris où se trouve le fichier audio a télécharger.
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