Liane Posté(e) le 28 mai 2007 Partager Posté(e) le 28 mai 2007 Face à un choix crucial, autant décider en connaissance de cause. Je sais que le sujet a déjà été souvent abordé sur ce forum (merci Cheminot) mais je pense qu'il mériterait un topic spécialement dédié. Pour ouvrir la danse : VIH : pourquoi lallaitement protège les bébés Une toute récente étude menée en Afrique du Sud, publiée dans le Lancet, apporte une contribution importante sur un sujet controversé. Elle montre que les bébés nés de mères séropositives bénéficiant dun allaitement mixte courent deux fois plus de risque dêtre séropositifs que ceux allaités exclusivement au sein. Plus grave : si ces bébés reçoivent en plus des laits animaux, des bouillies, le risque est onze fois plus élevé ! RFI, 9 Mai 2007 : http://www.rfi.fr/Fichiers/MFI/Sante/2101.asp Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 28 mai 2007 Partager Posté(e) le 28 mai 2007 (modifié) Oui, c'est normal. En réalité, les test VIH mesurent le taux de protéines et de déchets cellulaires présents dans le sang. Donc, vu que le lait de vache contient 2 ou 3 fois plus de protéines que le lait humain, un enfant qui boit du lait de vache va avoir 2 ou 3 fois plus de protéines dans le sang qu'un enfant allaité au sein. Du coup, il aura plus de risques d'être détecté séropositif. Surtout qu'il aura plus de maladies d'élimination (grippes, rhumes, éruptions cutanées) qu'un enfant qui boit du lait humain. Or, ces maladies sont aussi des facteurs positivant les tests. Bien sur, du coté orthodoxe, difficile d'expliquer une telle situation. Ca devrait être l'inverse qui devrait se passer, puisque le lait non-humain n'a aucune chance de contenir du vih. Modifié le 28 mai 2007 par aixur Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
delwere Posté(e) le 3 juin 2007 Partager Posté(e) le 3 juin 2007 Dans un ancien post j'avais parlé d'un article qui stipulait que l'usage de la formule augmenterait le risque d'infections autres que le HIV pour les bébés. Là on parle du risque augmenté de séroconversion. Donc si j'ai bien compris: Ceux qui prennent exclusivement le lait de leurs mères séropositives ont beaucoup moins de chance de se sérconvertir que ceux qui prennent moitié lait maternel moitié lait de vache. Je crois que ceci se justifie dans l'orthodoxie par le faite que les infections virales ou bactériennes augmenterait le risque d'infection par VIH. En effet, l'allaitement hybride provoque des infections variées, ces infections augmentent le risque d'infection par VIH transmis par le lait maternel. L'allaitement exclusif protège des autres infections et donc diminue le risque d'infction par VIH. Et puisque personne n'oserai inclure dans ces recherches un groupe de bébés ne prenant pas du tout de lait maternel, il est difficile de prouver que l'orthodoxie n'a pas raison. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Liane Posté(e) le 3 juin 2007 Auteur Partager Posté(e) le 3 juin 2007 Un des nombreux sons de cloche orthodoxe qui dit : 1- Que le lait maternel contient du "vih", lequel se transmet au bébé par divers facteurs dont des microfissures du tube digestif causé par du lait artificiel, pour les bébés à alimentation mixte. 2- Que le lait maternel est quand-même censé pouvoir inhiber le "vih". 7.2.1.2.J VIHLa contamination de l'enfant par l'allaitement est certaine : le lait et le colostrum contiennent le virus et il a été constaté des cas de transmission à l'enfant par des mères ayant été contaminées après l'accouchement. Le moment de transmission n'est pas clairement établi et le risque de transmission tardive par le biais d'un allaitement long n'a été estimé qu'à 3,2% enfants/années d'allaitement (24). Une étude récente au Malawi a suggéré que le risque de contamination était plus important lors des premiers mois d'allaitement (incidence plus importante entre le premier et le cinquième mois) (25). La conduite pratique de l'allaitement peut aussi jouer un rôle dans le risque de transmission. La plupart des études ne donnent pas de définition précise au terme « allaité » et les enfants définis comme tels peuvent en fait absorber des compléments (solides ou liquides) qui peuvent induire des lésions de la muqueuse digestive (le lait industriel, par exemple, peut induire des micro-hémorragies) ou abaisser le taux d'acidité gastrique (le VIH est sensible à l'acidité) . Ces compléments peuvent donc augmenter le risque de contamination de l'enfant, de même que d'autres facteurs susceptibles d'induire des lésions des muqueuses digestives (passage d'une sonde d'aspiration à la naissance, muguet...) Une étude récente a d'ailleurs montré que la transmission de VIH était moindre chez les enfants allaités de façon exclusive par rapport aux enfants partiellement allaités (26). D'autre part, le lait humain contient des facteurs qui ont une activité protectrice qui inhibent le VIH : glycosaminoglycanes qui bloquent la liaison du VIH sur la cellule cible (27), anticorps maternel anti-VIH, vitamine A, lactoferrine (28). Source : http://allaite.onlin.../nourrisson.htm A noter que le "vih" n'est pas supposé survivre dans l'estomac parce que la bestiole est un rétrovirus et que par conséquent, c'est un "virus à péplos" ( http://www.france-in...ic_vir_10_B.htm ; 2ème chapitre) Or les virus à péplos (quel doux nom) ne résistent pas à l'acidité de l'estomac : Dans le tube digestif, le péplos est rapidement dégradé par les enzymes digestives et le pH acide de l'estomac. Source : http://www.chups.jus...POLY.Chp.1.html En conséquence et très orthodoxement, un bébé qui dispose d'un tube digestif sain aurait tout intérêt à bénéficier de l'allaitement maternel exclusif. Enfin, comme tu le dis, Delwere, il serait intéressant de trouver des études qui portent sur le taux de transmission "vih" à des bébés exclusivement nourris de lait artificiel. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Fleur de Diamant Posté(e) le 3 juin 2007 Partager Posté(e) le 3 juin 2007 delwere, Et puisque personne n'oserai inclure dans ces recherches un groupe de bébés ne prenant pas du tout de lait maternel, il est difficile de prouver que l'orthodoxie n'a pas raison. Ma soeur et moi-même n'avons jamais été allaitées car notre mère avait des crevasses aux seins. Nous avons donc été élevées au lait de vache. Nous avons eues de nombreuses maladies virales, mais pas le sida ni de VIH, ni de séropositivité. Je trouve ton affirmation très pertinente. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 3 juin 2007 Partager Posté(e) le 3 juin 2007 (Liane @ Lundi 28 Mai 2007 23h17)Elle montre que les bébés nés de mères séropositives bénéficiant d’un allaitement mixte courent deux fois plus de risque d’être séropositifs que ceux allaités exclusivement au sein. Plus grave : si ces bébés reçoivent en plus des laits animaux, des bouillies, le risque est onze fois plus élevé ! Pour ce qui me concerne, il va de soi que l'explication aux conclusions de cette étude relevée par Liane est assez évidente, dès lors que l'on sait que l'existence du "VIH" n'a jamais été prouvée. Au contraire des bébés allaités exclusivement au sein, ceux "bénéficiant" d'un allaitement mixte (lait industriel) courent un risque plus élevé de subir des infections variées. Qui dit infections variées dit production d'un plus grand nombre d'anticorps, et, par conséquent, plus grand risque d'un test d'anticorps "VIH" positif. On comprendra tout de suite que cela n'a évidemment aucun rapport quelconque avec je ne sais quel rétrovirus "VIH". Ce sont ces diverses infections, favorisées par l'allaitement au lait industriel, qui seront susceptibles de faire réagir plus facilement les anticorps aux antigènes utilisés dans les tests "VIH" (dont on rappellera une énième fois qu'il n'a jamais été prouvé qu'ils sont les constituants d'un rétrovirus exogène "VIH", et dont il n'a jamais été prouvé que les anticorps réagissent avec une infection par le "VIH" [en revanche, il a déjà été prouvé à de multiples reprises que ces anticorps réagissent avec de tas de VRAIES infections, autre que l'hypothétique "VIH"]). Malheureusement pour le bébé en question, il sera pris dans l'engrenage fatal : il sera déclaré contaminé par le "VIH", avec ensuite une prétendue confirmation grâce à la charge virale, etc... Cette situation est d'autant plus malheureuse et dramatique que comme signalé déjà dans ce post, la seule étude faite avant la "redécouverte" de l'AZT avait clairement établi qu’environ 23% des bébés nés séropositifs redeviennent séronégatifs entre la naissance et le neuvième mois, et qu’environ 59% des bébés nés séropositifs (soit un nombre autrement bien plus important) redeviennent séronégatifs entre le 9ème et le 22ème mois (on peut forcément supposer qu’un certain nombre de bébés, quoique forcément bien moindre [18%], redeviennent également séronégatifs après 22 mois, mais l’étude n’allait pas au-delà visiblement). Certes, cette étude concernait les bébés nés séropositifs mais il n'y a aucune raison de penser que cela ne serait pas également pas le cas pour les bébés prétendument contaminés par le "VIH" peu après la naissance, en raison - soi-disant - de l'allaitement. En résumé, l'étude citée par Liane n'est qu'un bien triste exemple supplémentaire de l'argent gaspillé dans cette chimérique hypothèse rétrovirale du sida. Or, faites sauter le verrou du "VIH", et les explications aux phénomènes constatés deviennent évidentes, sans devoir user des tours de passe-passe abracadabrantesques de l'orthodoxie du sida. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 4 juin 2007 Partager Posté(e) le 4 juin 2007 Il y a en fait3 études successives qui montrent que l'allaitement maternel est protecteur : Illif, Coovadia, et Shinkala J'aime bien ce passage de Aidsmed.com : In industrialized countries, including the United States, that rate has been cut to less than 2 percent by drug treatment, birth by Caesarean section and other methods. Coovadia's 4-year study out of Durban, South Africa, found that 4 percent of babies who were exclusively breast-fed contracted HIV. Quand on sait que le traitement par la Névirapine ne donne "que" 18% de transmission (Quaghebeur) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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