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forum sidasante

Des "bienfaits" des trithérapies ...


Invité claudej
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salut!!

merci pout ta notice.

il y a une phrase qui m'interpelle, 1-marteau.gif vraiment bizarre, elle se trouve page 15 au quatrième paragraphe (de la notice) dans les informations au patient où il nous est dit que l'efficacité est la même chez les toxicos,les minorités éthniques et chez les femmes que chez l'homme de race blanche.

5-euh.gificon_confus.gif

donc l'étalon,la référence c'est l'homme de race blanche,si c'est bon pour lui,ce sera bon pour les "minorités ethniques".

bizarre

à plus

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  • 4 weeks later...
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Meme les plus coriaces y en viennent ! :

http://www.actupparis.org/article1798.html

Sida : combien coûtent nos vies ?

Vivre avec le vih/sida aujourd’hui

publié le 8 novembre 2004

L’enthousiasme qu’a suscité l’arrivée des trithérapies est depuis longtemps retombé. Certes, on meurt moins du sida qu’au début des années 90 - du moins dans les pays où les traitements sont accessibles. Mais la mortalité liée au vih a depuis lors repris sa progression, ses causes ne cessent de se diversifier et notre état de santé de se dégrader.

Une mortalité en hausse

Le système de surveillance la mortalité ne permet pas de donner des chiffres fiables quant à la mortalité liée au vih. On doit donc se contenter d’une enquête mortalité produite en 2000, et qui sera reconduite simplement en 2005, ce qui ne permet aucunement un suivi régulier, donc une alerte des politiques et de l’opinion publique.

Faute d’une surveillance globale, nous regardons autour de nous. Les décès se multiplient. Cet été, trois membres ou proches de l’association sont morts, ce qui ne nous étaient pas arrivé depuis 1996. De nombreux militants ont perdu des connaissances ou des proches. La mort est à nouveau bien présente, beaucoup plus qu’elle ne l’a été ces dernières années.

Des causes de décès de plus en plus diverses

Quand on est séropositif, on peut mourir d’une infection liée au sida, quand les traitements n’ont plus d’effets et que le système immunitaire s’est dégradé. Mais les causes de la mortalité peuvent être tout autres : un cancer non classant sida (dont l’incidence peut être jusqu’à deux fois plus élevé chez les séropositifs [1]), une ou plusieurs hépatites, des accidents cardio-vasculaires, des infections bactériennes, des suicides, etc. C’est cette variété même des causes de décès qui n’est pas suffisamment étudiée et qui fait que la mortalité liée au vih est aujourd’hui sous-estimée.

Plus inquiétant encore, nous avons récemment perdu des ami-es ou des amant-es dont les indicateurs biologiques étaient bons. Leur charge virale (qui mesure l’activité du vih dans le sang) était indétectable, leur taux de CD4 (qui indique l’état du système immunitaire) était correct. Le virus s’en est pris directement à leur cerveau, via le liquide céphalo-rachidien, entraînant encéphalite, coma et décès. Quel avenir avons-nous si le vih déjoue sans cesse les thérapeutiques dont nous disposons, et si la recherche n’avance pas assez vite pour le contrer ?

Une dégradation générale de notre état de santé

Il faut le réaffirmer sans cesse : les traitements contre le vih ne sont pas anodins. Nous payons au prix fort leur efficacité, qui n’est par ailleurs pas définitive. Quels que soient les progrès effectués depuis des années, les traitements existants ne peuvent être pris une vie entière. Les effets secondaires sont trop lourds : diarrhées, nausées, vomissements, neuropathies (qui entraînent des douleurs insupportables au bout des membres et des terminaisons nerveuses), rash cutanés et autres problèmes dermatologiques, calculs rénaux, troubles du comportement, insomnies, cauchemars, déséquilibres de la répartition des graisses qui déforment les silhouettes et causent des accidents cardio-vasculaires, ostéoporoses qui provoquent des fractures spontanées, etc. Le sida n’est en aucun cas devenu une maladie chronique. À Act Up-paris, l’état de santé de nombre d’entre nous est préoccupant, notamment à cause d’infections pulmonaires ou d’accidents cardio-vasculaires.

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  • 1 month later...

Et hop un de plus icon_bravo.gif

super la tri malice.gif

http://fr.news.yahoo.com/050120/85/4883b.html

Sida: l'administration américaine met en garde sur un médicament

WASHINGTON (Reuters) - L'autorité américaine de santé a reçu des informations sur des décès liés à des intoxications du foie de patients prenant du Viramune, un médicament entrant dans le traitement du sida.

Ce médicament est produit par le laboratoire allemand Böhringer Ingelheim.

La Food and Drug Administration (FDA) exhorte les médecins à évaluer les risques de ce médicament avant de prescrire du Viramune, dont le générique s'appelle Nevirapine.

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Le lien que tu donnes ne fonctionne pas : voici le Lien correct

Je suspecte toujours l'AZT, ainsi que son principal métabolite, le d4T, comme étant les plus toxiques, le premier parce qu'il diminue le pH en oxydant tout, le second parce il crée sûrement une pathologie hépatique et pancréatique. Lorqu'on administre que le d4T, il n'y a pas de stress oxydatif, alors que l'AZT crée et le stress oxydatif, et l'atteinte hépatopancréatique

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Suite du ménage icon_confused.gif

Les CDC ont donc étendu ces recommandations fédérales aux victimes de viol, les drogués utilisant des seringues et les personnes ayant des relations sexuelles non protégées.

Les CDC spécifient que le traitement préventif devra commencer pas plus de 72 heures après qu'une personne a été exposée au virus du sida. Ces médicaments, des trithérapies comprenant de l'AZT et du 3TC, devront aussi être administrés quotidiennement pendant 28 jours.

http://fr.news.yahoo.com/050121/202/48agh.html

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  • 2 months later...
Invité rock-en-rock

Lu dans le journal "Le monde" ... avril 2005

En 1984, le sida avait 3 ans. Jacques en avait 40. Il se souvient s'être "bien amusé cette année-là". Trop, sans doute. "De la cocaïne, du sexe à tout va... J'ai abusé, concède-t-il. Avec la vie que j'ai eue, je ne pouvais pas passer à côté." A côté du VIH, bien sûr. Artiste de music-hall, ce prince de la nuit parisienne était connu, à l'époque, pour ses numéros de transformiste. Deux décennies après, que reste-t-il de "Rita Patchwork" ­ son nom de scène ? Un corps décharné, un faciès creusé, une bouche édentée. "Je suis vivant, certes. Mais dans quel état !", lance l'ancien disciple de Zizi Jeanmaire et Roland Petit avant d'expliquer qu'il s'est réfugié dans l'écriture. Dans son studio du 20e arrondissement de Paris, il rédige actuellement trois livres en même temps. Dont un entièrement consacré à son combat contre la maladie. Sur la carte épidémiologique du sida, Jacques n'est plus une exception. Les populations touchées par le virus ont vieilli. Aujourd'hui en France, un peu moins d'un séropositif sur cinq (19 %) a 50 ans ou plus. Contaminé peu après l'isolement du virus en 1983, Jacques est de ceux qui ont tout connu de la pandémie. Le désespoir d'abord, quand le sida était synonyme de mort inéluctable. La résurrection ensuite, avec l'avènement des trithérapies en 1996 et la promesse d'une vie plus longue. Le "vivre avec", enfin, qui n'est pas forcément le plus facile à endurer.

Non seulement ces "vétérans du VIH" doivent souvent soigner en parallèle des maladies opportunistes qui se sont développées avec l'affaiblissement de leur système immunitaire, mais ils doivent supporter la lourdeur de leur traitement antisida. Dix ans de trithérapie les ont généralement épuisés, quand ils n'ont pas salement endommagé leur organisme pour un grand nombre d'entre eux. "On a été des cobayes, nous, les vieux malades", atteste Jacques. Une ordonnance à la main, le vieux comédien s'en va chercher, ce matin-là, une nouvelle molécule ­ le reyataz ­ dont il se demande bien dans quel état elle va le mettre.

Parfaitement identifiés, les effets secondaires des traitements antirétroviraux sont aussi nombreux que divers : vomissements, insuffisance rénale, vertiges, diarrhées, neuropathie, anémie, pancréatite... Rien ne semble pire, cependant, que la lipodystrophie, à en croire les vieux patients. Cette affection métabolique a pour effet de déplacer les graisses à l'intérieur de l'organisme : d'un côté, les joues et les membres maigrissent ; de l'autre, le ventre se met à gonfler. Chez certains hommes, une boule de graisse ­ appelée "bosse de bison" ­ peut même se développer au bas de la nuque. Métamorphoses corporelles difficilement acceptées par les séropositifs, qu'ils aient ou non déclaré un sida."Dans le métro, il n'est pas rare qu'on me laisse la place car on croit que je suis enceinte", témoigne Christine. Il arrive aussi qu'on l'appelle "monsieur", elle qui n'a que 36 ans, dont quinze de VIH après une contamination lors de son tout premier rapport sexuel. Ce matin-là, Christine ne cache pas son angoisse. C'est la fin de l'hiver, le retour annoncé des beaux jours. "Ça va être l'horreur. Comment vais-je m'habiller ? J'aimerais porter des vêtements féminins, et pas seulement des jeans et des T-shirts amples", confie cette ancienne footballeuse de la section féminine du Paris - Saint- Germain. Le sport lui est aujourd'hui interdit, à cause de varices à l'oesophage, conséquences d'une maladie rare apparue il y a deux ans. Parce que le foot est "la passion de - sa - vie", Christine a néanmoins décidé, cette année, d'entraîner une équipe féminine à Montreuil-sous-Bois. Mais pas question de prendre la douche avec les autres filles. "Ce corps abîmé, je n'ose plus le mettre en avant", murmure-t-elle.

Déglingués, sabotés, détraqués, ces organismes ne sont pas condamnés, toutefois, à le rester. Retrouver une partie de son apparence physique est l'un des enjeux d'aujourd'hui. Même si elles ne font pas toutes l'unanimité, les techniques ne manquent pas, entre la chirurgie esthétique, les produits de "comblement" pour les joues creuses et les anabolisants. Derrière ce marché appelé à se développer, une équation très simple : plus un patient accepte sa propre image, mieux il suivra ses traitements. Car ceux-ci restent extrêmement contraignants malgré la réduction du nombre de pilules à avaler quotidiennement.

Il n'est pas rare de voir certains séropositifs, las d'ingurgiter des comprimés depuis des années, s'autoriser des "vacances thérapeutiques" pendant lesquelles ils oublient volontairement de prendre leurs gélules, ce qui est vivement contre-indiqué sans l'accord du médecin. On a beau être un "élève studieux" comme François, 44 ans, infecté depuis 1985, une observance à 100 % est quasiment impossible. Lui se permet "deux interruptions par an : le jour de - son - anniversaire et le 31 décembre". Un "rituel", explique-t-il, dans un marathon pharmacologique qui l'a contraint à absorber 43 comprimés par jour à ses débuts, puis 30, et 13 aujourd'hui.

Comme d'autres, cet ancien instituteur a vieilli avec le VIH au gré des soubresauts de son histoire. "Jusqu'en 1996, c'était très simple : on ne vieillissait pas avec le VIH, on mourait, se souvient-il. Et puis sont arrivées les trithérapies. On a alors vu les gens se remplumer. On parlait de faire le deuil du deuil. Une drôle d'idée... On s'est surtout retrouvé dans une situation de mort-vivant au sens littéral. On se croyait condamnés et l'on a dû réapprendre à vivre." D'autant moins que de nombreux séropositifs ont vu leur situation économique et sociale voler en éclats.

"On a appris à mourir à beaucoup de patients en leur disant qu'ils n'en avaient plus que pour six mois ou quelques années, et qu'il fallait donc qu'ils en profitent. C'était un peu : après moi le déluge, explique le psychologue Philippe Arlin, qui suit de nombreux patients VIH. Certains ont alors arrêté de travailler, d'autres se sont endettés. Le jour où ils ont appris que de nouveaux traitements les maintiendraient en vie plus longtemps que prévu, cela a été la panique totale."

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Invité rock-en-rock

Une note d'espoir à retenir de cet article encourageant :

Déglingués, sabotés, détraqués, ces organismes ne sont pas condamnés, toutefois, à le rester. Retrouver une partie de son apparence physique est l'un des enjeux d'aujourd'hui. Même si elles ne font pas toutes l'unanimité, les techniques ne manquent pas, entre la chirurgie esthétique, les produits de "comblement" pour les joues creuses et les anabolisants.

... quelle note ? ... mais si voyons (vous ne comprenez donc rien !) ... pour les chirurgiens esthétiques, les industries des produits de comblement et les fabricants d'anabolisants ... d'ailleurs, grosso modo, ce sont les mêmes que les intervenants sur le marché des tri thérapies qui précèdent ...

Ils maîtrisent donc désormais l'intégralité de la chaîne : de la cause aux effets ...

Pour faire simple : ils cassent les pieds et gâchent le plâtre ...

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Invité rock-en-rock

L'année prochaine dans le Sidaction, je pense que Madame Line pourrait développer les avancées dans ces matières ... et rendre hommage aux chiffres d'affaires générés par ces marchés incidents mais très prometteurs ...

Parfois (je m'adresse à Sic et à Aixur), je me demande d'une manière "optimiste" si nous ne touchons pas le fond ...

Sic ... toujours "pessimiste" va encore dire : " Non, ils peuvent aller encore plus loin ... et plus profond ... "

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Ils maîtrisent donc désormais l'intégralité de la chaîne : de la cause aux effets ...

En économie, on appelle ça un monopole vertical. D'un strict point de vue économique, c'est impressionnant. Ils pourront donc donner des cours de commerce en prison. Ca les occupera.

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Parfois (je m'adresse à Sic et à Aixur), je me demande d'une manière "optimiste" si nous ne touchons pas le fond ...

C'est vrai qu'ils font fort. Mais, je suis sur qu'en s'y mettant, ils peuvent faire encore mieux. Ce sera dur, c'est sur, mais ils peuvent le faire.

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Invité rock-en-rock

Aixur,

Alors la suite tu la vois comment ?

Des produits de la 3ème génération pour contrer les effets nocifs de ceux de la seconde ?

Ce n'est plus un marché porteur ... c'est le tonneau des danaïdes ! 4-piout.gif

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BRAVO !!!!!

Je felicite l auteur de cet article qui decrit bien la situation.....avec un minimum on arrive trés à bien a comprendre ce que ce texte veut dire et surtout ce qu'il se degage " d entre les lignes "......fabuleux donc !.

Certaines grosses tetes bien pensantes de notre société en riront , d autres en seront dégoutés et d autres en chialeront.....tandis que le lecteur bas de game ( style mebre actif d associations ) y verront le message d une maniere differente : on peut arreter son traitement deux fois par an, avec l accord de son medecin.....pour lutter contre les effets secondaires qui modifient l apparence physique il exite des produits ( hormones et botox )...il suffit juste de demander à son medecin...

LE JOURNALISME ?? UN GRAND ART NON ????

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Invité rock-en-rock

Terry,

Peut-être alors que nos interventions ici peuvent éviter à la troisième catégorie de chialer ... envers et contre tout ...

C'est peut-être là que ces interventions prennent du sens ...

Peut-être là également que "l'arme" médiatique peut se retourner contre la perfidie des auteurs ... en exposant une solution alternative SANS prise de tri ... et sans aller systématiquement dans le trou ... comme se "plaisent" honteusement à le faire comprendre ces salauds ...

Toujours est-il que la lecture de cet article devrait être soumise à tous ceux qui s'apprêtent à entrer dans la ronde ... et à tous ceux qui sont déjà dedans ... ce serait, à mon avis, un minimum ...

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Dommage que Le Monde ne soit pas lu dans les milieux ouvriers !!!

Moi en attendant tout cela me degoute, parfois à un point que je me demande si à la longue cela va pas finir par me tuer.....bref,les toubibs diront que je suis mort du sida car je prennais pas de medocs.....les gays que je connais diront que j avais le sida, que je baisais de droite a gauche ( oui les gays sont tres homophobes ENTRE EUX...due a mauvaise acceptation du soi ) et que la tri therapie ne m a pas aidé a vivre plus vieux.....et les dissidents de ce site se poseront des questions sur les causes de mon déces au bout de cinq a six mois d abscence sur ce forum !!

cool comme programme non ?,

à ce sujet, je me pose des questions sur jimmy le rebel dont on est sans nouvelles...ainsi que la disparation spectaculaire de pierre candidiasis ....qui aurait des infos??

serieusement je voulais dire aux dissidents, pour vivre heureux, c est malheureux a penser je sais, vivons caché......nous ne sommes pas des masses comme dissidents et vous savez pourquoi ? car beaucoup sont morts.....donc de la pour la population generale il est impossible de leur expliquer d une maniere simple ce qu est le sida, c est pour cela que les scientifiques ont vulgarises legalement ce qu est le sida..........car si on expliquer clairement ce qu est le sida.....une pharmacie sur 5 fermerait ses portes, je vous laisse imaginer les consequences......donc faut pas rever.......on ne peut pas lutter contre le pouvoir planetaire de l argent.....à moins d une revolution mondiale quasiment impossible....non, vous ne revez pas , l infernale machine est lancée....pourvu qu en ecrivant ses lignes, ou en les lisant on ne mets pas, d une maniere ou d une autre, sa prope vie en danger !......je me pose ces question aussi, mais pas que celles la...je cherche a comprendre le pourquoi du comment et une seule reponse me vient en tete : $ !

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Invité rock-en-rock

Terry,

Oui cet article est dégueulasse et je comprends qu'il puisse t'écoeurer ... (comme moi d'ailleurs) ... je comprends ton désir de résignation car souvent je le partage ... parfois, j'exagère en cynisme humoristique ... j'en conviens ... au risque de choquer ...

Pierre est passé la semaine dernière : il n'est pas mort ! (Pierre rassure Terry stp)

Le silence est plus confortable ... on en a besoin parfois ... mais bon, vivre "couché" ce n'est pas bien terrible non plus ... ça peut tuer aussi.

Tu vois, en lisant cet article répugnant (bien que paru dans "Le monde"), je me suis dit une chose :

... Pourquoi ne pas le faire paraître (et l'expliquer) aux pauvres d'afrique que l' on veut tant "aider" ... ? Est-il bien indispensable d'exporter tant de n'importe quoi ?

C'est quoi le combat de demain ? ... lever des fonds pour faire "accèder" les pauvres aux hormones diverses et au silicone réparateur des dégats des tris ?

Pourquoi les pauvres n'aurait-ils pas droit à tout cela aussi ? ... Un pauvre, ça le fait chier aussi d'être défiguré et transformé en n'importe quoi ... non ?

Tu vois Terry : j'ai honte souvent d'appartenir à ce monde de merde.

Amitiés ... et courage.

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lol ! desolé mais je n ai pas du tout de desir de resignation........vois tu recement la personne qui compte le plus pour moi au monde ( non seropositive...ensemble depuis 15 ans)........viens de subir la pire des erreurs medicales ( une faute de B A BA )....dans notre malheur, nous venons d apprendre que cette personne va pouvoir pretendre a des indemnités ( soit pas le systeme anti iatrogene pour les tribunaux de la loi kouchner)...ou soit par la justice.........dans un sens ou l autre le gain de cause est assuré car le corps medical reconnait son erreur gravissime, fatale et qui a ce jour pourrait, peut etre , detruire une vie a 32 ans ainsi que d un debut de carriere prof exemplaire chez une personne qui avait ete jamais malade aupravant ..........du coq a l ane : mais avec un lien avec cette histoire, on peut dire .donc les tests vih devant des tribunaux, dans le sens dissidence , faut pas compter dessus ( à moins de s appeler "fabius" ) .....ca existera jamais....ce n est pas une resigniation mais une realité........puis meme si cela arrivait c est qu il y aurat autre chose de bien pire qui se ferat en bas fond.

resignation ? non à ce niveau de souffrances , vois tu, on encaisse tout, meme le pognon quand on te l offre ( claude francois disait : quand un public t ouvre ses bras, ne lui montre pas ton cul.....lol! c est une boutade car je n aime pas claude francois et il faut je rigole c est important pour moi ).....on a pas tendance a se faire petit mais on essaye de se preserver....faudrait pour cela que j arrete aussi de venir sur ce site.ca aide pas .........est ce une dependance ??

par rapport a l afrique, il y a des dessins qui circulent dans les bars et autres lieux avec des ecrits du genre : le sida est une maladie de dollar, de blancs..........bref il y en a aussi la bas des aussi sensés que nous.........

ben moi aussi parfois j en ai marre D ETRE HUMAIN......mais comme dit mon ami : on prends le train ou le prends pas.........tu vois vivre toi sans une pharmacie a cote de chez toi ? ( je veux dire coupé de tout confort du $, incluant plus d ordi-internet anti vie privée (lol!)......moi non.........donc faut faire avec.......accepter sans pardonner ?....dur,........pourtant c est la seule chose a faire.........meme en etant multimilliardaire on pourrait pas faire changer chose..........le sida fait partie de l evolution de la race humaine.........

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Invité rock-en-rock

par rapport a l afrique, il y a des dessins qui circulent dans les bars et autres lieux avec des ecrits du genre : le sida est une maladie de dollar, de blancs..........bref il y en a aussi la bas des aussi sensés que nous.........

Je n'ai jamais vu cela ... mais bon pourquoi pas ... l'afrique étant en grande majorité musulmane, les bars ne sont pas si nombreux que cela ...

Derrière toute information afférente au VIH, tu retrouves un blanc ... subventionneur et subventionné pour le faire ...

Toujours est-il qu'au sein des bars et même en dehors, la question n'est pas un sujet de préoccupation ... c'est un signe ...

Peut-être vont-ils réussir leur entreprise de " traumatisation ", je n'en sais rien ... mais bon, ils s'y cassent les dents depuis un bon bout de temps, force est de le constater ...

Hier, j'écoutais une "émission" consacrée au paludisme ... une chanteuse locale, Miss Gabon (charmante sans doute), avait créé une NGO pour "sensibiliser les gens sur l'impérieuse nécessité de dormir sous une moustiquaire " ... Une espèce de Line Renaud (mais plus jeune)

Ainsi, nous avons appris qu'elle était subventionnée par je ne sais plus trop qui (Unesco, OMS, ...) pour sensibiliser ...

Car bien sûr, comme nul ne peut l'ignorer, l'africain de base ignore tout, lui, du moustique ...

La Miss expliqua doctement aussi qu'une moustiquaire imprégnée ne valait que 4 euros ... "sensibiliser à ce prix là, c'est du gâteau ... " ai-je donc pensé benoîtement ... dormant moi-même nu et sans moustiquaire ... (je vais songer à dormir sous une cloche dans un scaphandre désormais ...)

Imaginons donc qu'en lieu et place de subventionner,

- à hauteur de plusieurs milliers de dollars et par le truchement de "jeux festifs" à la con, la Miss, aux formes généreuses et au charisme sautant aux yeux, afin qu'elle sensibilise le peuple ignorant,

- à hauteur, cette fois, de plusieurs millions de dollars de salaire des subventionneurs de ladite miss,

Imaginons donc qu'on achète tout simplement quelques wagons de moustiquaires ... non ? et qu'on les distribue gratuitement ... trop simple sans doute ...

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Vraiment, les amis, à vous écouter, je ne me sens plus seul. Effectivement, l'histoire du "sida", c'est l'aboutissement de l'erreur médicale qui a cru pouvoir décrypter la chimie du corps et la remplacer. C'et une longue chaîne qui a commencé avec l'utilisation du sublimé corrosif et de la mort aux rats au moyen-âge.

Et tout cela, quoique vous en pensiez, parce qu'on n'a pas voulu et su suivre le grand médecin qu'a été Hahnemann.

Je reviens sur cette différence de traitement des soit-disant séronégatifs et soit-disant séropositifs.

Savez vous que le très officiel "Institut Max Planck" de Berlin a publié un document où il indique (je résume) que la probabilité pour qu'un test positif chez une personne ne faisant pas partie d'un groupe à risque indique la présence du "vih" est inférieure à 50 % :

http://www.mpib-berlin.mpg.de/dok/full/gg/.../ggacfac__.html

Donc, en conclusion, si tu n'est ni gay, ni noir, ni transfusé et que tu est un bon père de famille blanc, ta séropositivité ne peut être due qu'à des réactions croisées.

Seulement, il y a un hic : les gens chargés de donner les résultats du test ne connaissent pas la loi de Bayes, et fourrent tout le monde dans le même sac, et donc, même la théorie de nos penseurs médicaux est totalement méconnue.

Tout cela montre bien que cette histoire de vih infectieux, c'est du pipeau. Par contre, les personnes non à risque, mais séropositives, feraient bien de se tourner vers des médecines alternatives pratiquées par des pros en la matière.

Bonne nouvelle: Certaines personnes dans mon boulot, intrigués par certaines phrases laconiques que j'ai lancées à la cantonnades, m'ont demandé des explications, et se sont montrées assez ouvertes à cette optique iatrogène.

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