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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. wallypat

    Le glutathion

    Franchement, même des médecins nutritionnistes (en l'occurrence, du mien), je dois me méfier ! Une explication avait été donnée à cette baisse, à savoir que le résultat de la mesure du glutathion réduit n'est pas forcément entièrement fiable si la mesure n'est pas effectuée très rapidement après le prélèvement. N'empêche, une baisse de 33%, cela me semble quand même beaucoup, mais pour un résultat non entièrement fiable. Bref, je me posais quand même des questions jusqu'à maintenant. J'ai peut-être trouvé maintenant l'explication la plus vraisemblable à cette baisse. Je me suis en effet toujours étonné que l'ensemble de mes marqueurs de mon bilan nutritionnel (stress oxydatif, lymphocytes, etc...) s'étaient amélioré, mais pas pour le glutathion réduit. Il se fait que mon médecin nutritionniste, comme d'ailleurs la plupart des médecins nutritionnistes, est un grand fan de la consommation des oméga 3, et tout particulièrement des huiles de poissons, très riches en EPA et DHA. Bref, pendant six mois, je me suis aussi gavé d'huiles de poisson, suite aux "recommandations" de mon médecin nutritionniste. Toutefois, ce post d'Hector, datant d'un mois (et que je remercie au passage), a commencé à me mettre la puce à l'oreille. Je suis ensuite tombé sur de nombreux articles scientifiques anglais d'où il paraît ressortir que si la consommation, non abusive, d'oméga 3 non dérivé (l'acide alpha-linolénique) est bon pour la santé et paraît avoir clairement un effet relativement immunoprotecteur, il n'en va pas du tout de même des huiles de poissons (même en moyenne quantité) très riches en oméga 3 dérivés (EPA et DHA). J'ai même trouvé le résumé d'un article sicentifique français le confirmant également : Ce résumé en français ne fait donc que confirmer ce que j'avais lu en anglais, à savoir qu'une consommation excessive (= celle recommandée aujourd'hui par les "professionnels" et "experts" de la nutrition) d'huiles de poisson (mais à ne pas confondre avec les autres oméga 3, non dérivés) a un effet immunodépresseur, et plus particulièrement pour ce qui me concerne, fait baisser le niveau de glutathion réduit ! Il est même précisé tout à la fin qu'il faut une protection antioxydante lorsqu'on consomme une telle quantité d'huiles de poisson ! Heureusement pour moi que je prenais aussi de la NAC et de la vitamine C, sinon j'ose à peine imaginer quel aurait été le résultat ! Or il se fait que sur ce point, j'ai suivi les "judicieux" conseils de mon médecin nutritionniste à la lettre (En moyenne : 1,5 gramme d'huile de poisson chaque jour ... pendant six mois ! Soit à peine moins que les 20 sujets de l'étude cité ci-dessus, sauf que je ne suis pas sûr du tout que l'étude ait duré aussi longtemps que pour moi, à savoir six mois). J'ai vu le résultat : baisse du niveau du glutathion réduit ! Conclusion - Arrêt définitif des huiles de poisson en complément (mais je continue à manger du poisson bien sûr), et je me contenterai d'oméga 3 non dérivé, le seul qui paraît vraiment sans danger et même bon pour la santé s'il n'est pas consommé en quantité abusive. - Vérifier mon niveau de glutathion réduit dans quelques mois après un régime sans huile de poisson. - Dire ma façon de penser à mon médecin nutritionniste (qui pourtant, m'a vivement invité à continuer à consommer les mêmes doses d'huiles de poisson !) LOL ! - Méfiance également des médecins nutritionnistes, qui sont loin d'être si compétents que cela, et qui sacrifient beaucoup trop aux modes nutritionnelles sans tenir compte d'articles scientifiques allant dans le sens exactement contraire.
  2. wallypat

    Guérir le Sida!

    Message de fred83
  3. Réfléchissant à nouveau à la question de l’infection des cellules quiescentes par ce qui est appelé par l’orthodoxie du sida « clones infectieux du ‘VIH’ », je commence à me demander si je ne suis pas allé bien vite en besogne en admettant, avec l’orthodoxie du sida, que ces « clones » soient quasiment les seuls capables d’infecter les cellules quiescentes. Comme rappelé dans le post qui précède, il n’a jamais été prouvé que les clones en question sont bien du « VIH » en sorte que la question est finalement théorique. N’empêche, ces « clones » sont-ils réellement les seuls à infecter les cellules quiescentes ? L’orthodoxie du sida affirme que contrairement à la plupart des autres rétrovirus, les « clones infectieux du VIH » seraient quasiment les seuls qui soient capables d’infecter les cellules quiescentes. Ceci étant, pour affirmer que quasiment seuls les « clones infectieux du ‘VIH’ » soient capables d’infecter les cellules quiescentes, il est absolument indispensable (et peut-être suffisant [pour une fois ! lol !]) que les expériences faites avec les autres rétrovirus aient été menées exactement de la même façon, sans la moindre différence, si ce n’est qu’un autre rétrovirus est utilisé. Peut-être que cela-t-il a été vraiment le cas. Mais peut-être que non. N’y aurait-il pas eu quelques minimes différences, auxquelles les scientifiques n’ont pas prêté attention, pensant que ces différences ne prêteraient pas à conséquence ? Par exemple, pour les « clones infectieux du ‘VIH’ », a-t-on utilisé des oxydants et/ou des mitogènes ? Si oui, l’a-t-on également fait pour les autres rétrovirus ? Et si on tient compte de ces « minimes » différences, certains autres rétrovirus n’auraient-ils pas une furieuse tendance à infecter également les cellules quiescentes ? Bref, je pense que de réelles expériences de contrôle sont nécessaires et je ne suis pas sûr qu’elles aient réllement été faites, sans toutefois l’exclure. Mais comme il s’agit d’orthodoxie du sida et que celle-ci est connue pour ne quasiment jamais faire d’expériences de contrôle et lorsqu’elle en fait (ce qui est rarissime), elles sont presque toujours incomplètes et non rigoureuses, je pense donc avoir de réelles raisons d’en douter. Et à défaut de réelles expériences de contrôle, je pense que c’est aller bien vite en besogne que d’affirmer que les « clones infectieux du ‘VIH’ » soient quasiment les seuls rétrovirus à pouvoir infecter les cellules quiescentes. En outre, ces "clones infectieux du 'VIH'" sont obtenus en stimulant hautement les cultures, avec des oxydants et des mitogènes, ce qui n'est déjà pas le cas de la plupart des autres rétrovirus. A-t-on seulement réalisé des expériences pour examiner l'effet de ces mêmes oxydants et mitogènes (même sans "VIH") sur les cellules quiescentes ? Je pense que ce serait intéressant d'en connaître les résultats.
  4. wallypat

    Oxyde nitrique

    J'avoue ne pas comprendre l'apparent étonnement des chercheurs. Les traitements "antirétroviraux" ne permettent en principe pas de remédier aux carences nutritionnelles qui caractérisent généralement les séropositifs. Dès lors que les traitements antirétroviraux prolongent malgré tout la vie des séropositifs, entre autres grâce à leurs effets antibiotiques à large spectre contre les différents infections opportunistes, il me paraît évident que les carences nutritionnelles (entre autres en antioxydants, lesquels auraient la propriété de protéger dans une certaine mesure contre diverses formes de cancer) qui affectent les séropositifs vont continuer à s'aggraver puisqu'il n'y est généralement pas remédié, et tôt ou tard, la note devra être payée. Si en plus on y ajoute le style de vie immunodépressif de bon nombre de séropositifs ainsi que la toxicité des traitements "antirétroviraux", nous disposons là d'un cocktail, non pas thérapeutique, mais bien cancérigène à moyen/long terme ! Et je ne peux m'empêcher de craindre d'assister dans les prochaines années à un boom des cancers chez les séropositifs et donc à une hausse du taux de mortalité, entre autres pour les raisons qui précèdent. Nul besoin de "VIH" pour expliquer la fréquence de plus en plus élevée de cancers chez les séropositifs, comme commencent à le laisser entendre les "experts" en "VIH".
  5. wallypat

    Guérir le Sida!

    J'insère ce lien vers un récent topic où il est suggéré que le Ginkgo Biloba pourrait naturellement guérir et/ou prévenir la pneumocystose. C'est quand même bien mieux que le Bactrim, et sans les effets secondaires de celui-ci !
  6. wallypat

    Pneumocytose Carinii

    Si on fait des recherches sur pubmed avec les mots "ginkgo" et "antioxidant", on trouve 392 références. Cela pourrait déjà constituer une partie de l'explication aux bienfaits du ginkgo contre la pneumocystose. C'est complètement dingue, ça ! Sauf erreur de ma part (qu'on n'hésite pas à me corriger, le cas échéant), le trimetholprim/sulfamethoxazole, ce n'est rien d'autre que du Bactrim, non ? Dès lors, plutôt que de gaver les gens souffrant de pneumocystose avec le très dangereux, nuisible, oxydant et parfois mortel Bactrim, ne serait-il pas plus approprié de leur administrer plutôt du ginkgo balboa (avec de la lamivudine, transitoirement), qui est aussi efficace que le Bactrim selon la référence citée ? Liane, n'aurais-tu pas trouvé un remède naturel, sans effets secondaires, à la pneumocystose ? La question devrait être approfondie, à mon avis, d'autant plus que la pneumocystose est généralement la maladie typique d'entrée dans le stade sida.
  7. wallypat

    Oxyde nitrique

    Comme expliqué récemment dans ce post, et comme dailleurs lu dans différents posts échangés entre orthodoxie et dissidence du sida dans le débat qui les a opposés pendant deux ans sur le BMJ de février 2003 à avril 2005, le sarcome de kaposi chez les séropositifs est manifestement causé par la consommation de drogues récréationnelles, et tout particulièrement de poppers. Ainsi na ton par exemple jamais relevé de cas de sarcome de kaposi chez les hémophiles séropositifs ... sauf chez un seul hémophile qui était justement un gay consommateur de poppers. Selon certains dissidents, dont le Perth Group, la réception anale du sperme constituerait un facteur assez fortement aggravant (si pas une autre cause principale). Mais ce cofacteur aggravant reste controversé ou, à tout le moins, fait grincer les dents de certains.
  8. Comment se fait-il que personne n'ait répondu à cette question ? Peut-être parce quil est quand même bien vexant, voire même insultant, de mettre sur le même pied la dissidence scientifique du sida et les extra-terrestres, magnétiseurs, ... ? Non ? Même si je ne doute pas un seul instant que telle nétait nullement lintention dIrewiss. Est-il besoin de rappeler que la dissidence du sida sappuie non seulement sur exactement la même littérature scientifique que celle de lorthodoxie du sida mais également sur celle délibérément et très prudemment ignorée par celle-ci ? Jentends par là et tout particulièrement les articles scientifiques que le Perth Group a réussi tant bien que mal à faire publier dans des revues peer review ... et que lorthodoxie du sida sest bien gardée de tenter de réfuter jusquà ce jour. Les hypothèses extraterrestres, les magnétiseurs, ... sont-ils en mesure dinvoquer une littérature scientifique aussi riche que celle de la dissidence du sida ? Je ne le pense pas. En revanche, sil y a bien une science quil faut mettre exactement sur le même pied que les extratrerrestres, ce nest certainement pas la dissidence du sida qui sappuie sur des faits scientifiques avérés (chimie, stress oxydatif, carences nutritionnelles, ...) mais bien lorthodoxie du sida dont lhypothèse se fonde uniquement sur un rétrovirus invisible ... ou au mieux extraterrestre puisque jamais isolé chez ne fût-ce quun seul sidéen terrien ! Il ne peut dès lors quêtre pour le moins ahurissant de mettre sur le même pied dissidence du sida et extraterrestres. Et comme je l'ai déjà dit à plusieurs reprises, à défaut de la moindre preuve tangible et visible de l'existence d'un rétrovirus exogène "VIH", l'hypothèse rétrovirale du sida relève, elle, de la science-fiction bon marché. Je ne suis pas très sûr quun « simple » nutritionniste sera dune grande aide en la matière. Lorthodoxie du sida fait également appel à des nutritionnistes, mais cest surtout pour tenter de diminuer les effets secondaires des drogues « antirétrovirales ». Idéalement, je pense quil faudrait recourir à des praticiens médecins dissidents du sida, mais il semble que cest en Allemagne que lon peut en trouver quelques-uns. Par conséquent, dès le départ, à défaut de pouvoir trouver facilement de tels praticiens, jai suggéré de faire appel à un médecin orthomoléculaire, un peu moins difficile à trouver. Dautres sur ce site paraissent partager également cette opinion. Lavantage à mon avis, cest que même sils ne sintéressent pas à la dissidence du sida et veulent continuer à croire que le sida est causé par un mystérieux rétrovirus « VIH », ce qui sera la plupart du temps leur cas, ils devront néanmoins constater quil y a de nombreux déséquilibres dans le bilan nutritionnel et le bilan de stress oxydatif du patient. Et ils sont certainement les mieux à même à pouvoir tenter dy remédier, quelles que soient leur opinion sur la cause réelle du sida. Dans ce récent nouveau topic, Liane a repris des références où lon pourrait retrouver de tels médecins. Mais nhésitez pas à remplir ce topic de références supplémentaires. Quand à savoir quels examens effectuer, le médecin orthomoléculaire est assurément la meilleure personne à pouvoir le déterminer. Il me semble toutefois clair quun bilan de stress oxydatif, comprenant entre autres une mesure de différentes formes de glutathion, simpose. Un bilan nutrionnel relativement complet serait idéal, certainement de façon espacée. Jai reproduit dans ce post-ci lexamen qui fut fait chez moi ; en plus , le médecin prescripteur nétait même pas un médecin orthomoléculaire (difficile, voir même impossible, den trouver un dans la langue de Molière en Belgique !) mais un « simple » médecin nutritionniste (ce qui est déjà difficile à trouver). Bref, je suggérerais vivement de plutôt trouver un médecin orthomoléculaire plutôt quun simple nutritionniste, dautant plus que cela paraît un peu moins difficile à trouver en France que dans dautres pays européens.
  9. Je ne peux mempêcher de trouver ce résumé bigrement intéressant. Je me suis toutefois demandé si les microvésicules en question (qui ne sont donc pas des rétrovirus) se forment éventuellement par suite dun bourgeonnement. Sauf erreur de ma part, ce résumé ne précise pas si ces microvésicules sont libérées par suite de bourgeonnement. Toutefois, cet autre résumé, publié une année auparavant, soit en août 2005, également dans la revue «Apoptosis », précise textuellement ce qui suit : En dautres termes, ce résumé confirme bien que ces microvésicules, qui ne sont pas des rétrovirus, se forment par suite de bourgeonnement ! Voilà qui me paraît diablement intéressant. Noublions en effet pas que tant Montagnier que Gallo ont fait grand cas de photographies au microscope électronique de particules dapparence rétrovirale bourgeonnant dans les cultures. Cela a été considéré par ces chercheurs et lorthodoxie du sida comme constituant une preuve solide de ce que ces particules en question seraient des rétrovirus (sauf erreur de ma part, même De Harven a pensé cela, sauf que lui il disait que c'était des rétrovirus endogènes), et même un nouveau rétrovirus « VIH ». Or, nous savons très bien quil est bien présomptueux daffirmer que le bourgeonnement serait lapanage exclusif des rétrovirus, car dautres particules, qui ne sont pas des rétrovirus (mais pouvant avoir malgré tout leur morphologie), peuvent aussi bourgeonner, comme expliqué par exemple dans ce post. La circonstance que les microvésicules dont question dans le post de Cheminot qui précède bourgeonnent également ne fait que prouver de façon surabondante que le bourgeonnement constaté de particules dapparence rétrovirale dans une culture ne peut en aucune façon servir à prouver lexistence dun nouveau rétrovirus « VIH » ! Plus que jamais, le seul début de preuve admissible à cet égard ne peut quêtre le fait de retrouver ces mêmes particules dapparence rétrovirale au gradient de densité 1,16 mg/ml dans lequel sédimentent par définition les rétrovirus. Tant que cette preuve naura pas été apportée ou tant que lon naura pas pu isoler du « VIH » à partir du plasma frais dun sidéen, il est tout simplement illusoire de prétendre quun nouveau rétrovirus « VIH » aurait été isolé, et cela en se basant sur des marqueurs (dont le bourgeonnement) en aucune façon spécifiques des seuls rétrovirus ! La circonstance que de telles particules ne sont pas retrouvées dans ce gradient de densité tend en réalité à prouver qu'il n'y a tout simplement aucun rétrovirus (ancien ou nouveau) dans la culture.
  10. LES PREUVES MINIMALES ABSOLUMENT NECESSAIRES, MAIS NON SUFFISANTES, DEVANT ETRE APPORTEES PAR L'ORTHODOXIE DU SIDA POUR QUE L'HYPOTHESE RETROVIRALE DU SIDA PRESENTE UNE APPARENCE DE CREDIBILITE Une (toute) petite synthèse de la synthèse POURQUOI ? Car finalement, l'air de rien, ce sont finalement les mêmes questions principales qui reviennent ou, à défaut, on en revient presque toujours aux mêmes questions de base. Donc, résumons ci-dessous les preuves principales devant être apportées par l'orthodoxie du sida pour que l'hypothèse rétrovirale du sida soit quelque peu crédible. A défaut de ces preuves, il n'y a tout simplement aucune raison d'accorder la moindre crédibilité et le moindre intérêt à cette hypothèse, laquelle ne peut donc que relever d'un bien mauvais film de science-fiction. J'espère que grâce à cette mini-synthèse, nous aurons encore moins de lecteurs à se demander si malgré tout, l'hypothèse rétrovirale ne présenterait pas malgré tout une apparence de crédibilité. En tout état de cause, n'importe quel tenant de l'hypothèse rétrovirale se doit d'apporter à tout le moins les preuves suivantes, faute de quoi le débat ne pourra qu'être clos avant même d'avoir commencé ! LES PREUVES MINIMALES ABSOLUMENT NECESSAIRES, MAIS NON SUFFISANTES A) L'existence d'un rétrovirus "VIH" (qu'il soit exogène ou endogène, d'ailleurs) Les techniques génétiques et la recherche d'anticorps ne peuvent pas être utilisées pour isoler un nouveau rétrovirus, à moins d'avoir eu au moins une première fois la preuve que les protéines rétrovirales (antigènes) et le matériel génétique utilisés sont bien originaire d'une entité moléculaire unique infectieuse "VIH", c'est-à-dire d'une particule avant les caractéristiques morphologiques, chimiques et réplicatives des rétrovirus. Cette preuve ne peut être apportée qu'en isolant au moins une première fois un nouveau rétrovirus "VIH", c'est-à-dire en le séparant de toute autre chose, c'est-à-dire en le purifiant de tous les autres contaminants de la culture (à tout le moins ceux susceptibles de contenir des protéines et de l'ARN). Pour mieux comprendre encore pourquoi il est absolument nécessaire de purifier pour isoler un rétrovirus, je renvois à ce post. Malgré ses défauts, la meilleure méthode d'isolation d'un rétrovirus reste toujours la centrifugation à grande vitesse dans des gradients de densité, comme l'avaient rappelé encore les plus grands rétrovirologues de l'époque lors d'un symposium tenu à l'Institut Pasteur en 1973, soit quelques années à peine avant les prétendues isolations du "VIH" par Montagnier en 1983 et par Gallo en 1984, lesquels ont justement utilisé cette méthode ... ou plutôt ont prétendu l'avoir utilisé. En d'autres termes, pour prétendre avoir isolé un nouveau rétrovirus "VIH", il doit y avoir au moins une première étude et plusieurs études confirmatives : 1) Dans lesquels ont été publiées des photographies au microscope électronique du matériel récolté dans le gradient de densité de 1,16 mg/ml (densité à laquelle sédimentent par définition les rétrovirus) où l'on constate qu'il n'y a rien d'autre que des particules d'apparence rétrovirale, ou en tout cas de façon écrasante (notons que cette preuve n'a jamais été apportée jusqu'à ce jour, en sorte qu'il ne faut plus s'interroger sur le point de savoir si les preuves suivantes ont été apportées ou non) : ni Gallo, ni Montagnier n'ont osé publier la photographie au microscope électronique du matériel qu'ils ont retrouvé à cette densité, Montagnier ayant même avoué en 1997 qu'il n'avait en fait pas retrouvé la moindre particule d'apparence rétrovirale, même après un effort de romain (tout cela aurait dû en réalité signifier la fin même de l'hypothèse rétrovirale dès 1984 !); la seule photographie au microscope électronique d'un tel matériel fut publié en 1997 : non seulement, les chercheurs en question ne purent obtenir du matériel purifié, mais pire encore, on n'y trouve même pas de trace de quelque particule que ce soit ayant les caractéristiques morphologiques prétendument attribuées au "VIH", quand bien même le matériel récolté à cette densité n'est pas purifié ! 2) Où il a été démontré que les particules en question sont infectieuses, c'est-à-dire que ces particules d'apparence rétrovirale, une fois libérées dans une autre culture, produisent des particules identiques, aussi bien pour ce qui concerne leurs protéines que leur ARN (cela suppose bien entendu que le point 1) ci-dessus ait déjà été rempli, bien sûr). 3) Qui utilisent des cultures de contrôle, c'est-à-dire que des cultures non infectées par le "VIH", mais provenant également de malades (mais pas du sida), sont traitées exactement de la même façon que celles censées contenir du "VIH", mais donc sans avoir été infectées par le présumé "VIH"; ces expériences de contrôle doivent évidemment être effectuées en aveugle. En l'occurrence, ces preuves n'ont jamais été apportées jusqu'à ce jour. Par conséquent, il est hallucinant de prétendre que l'existence d'un rétrovirus "VIH" aurait été prouvé, et ce d'autant plus que les différents phénomènes et autres marqueurs prétendument attribués au "VIH" peuvent être expliqués tout à fait autrement (à savoir l'exposition aux agents oxydants, que ce soit d'ailleurs in vitro ou in vivo), et parfois bien plus simplement encore. B) Un test "VIH" positif est le signe d'une infection par un rétrovirus "VIH" Le test destiné à prouver la prétendue contamination par le "VIH" est le test des anticorps, soit le test "VIH". Il est affirmé par l'orthodoxie du sida que la spécificité du test "VIH" est de 100% ou qu'il s'en approche. Lorsqu'on examine les choses de plus près, on constate en fait que cette prétendue spécificité est obtenue en comparant le résultat obtenu chez des personnes dites malades du sida et le résultat obtenu chez de jeunes donneurs de sang anonymes. Il va de soi qu'il ne faut pas être grand clerc pour comprendre qu'en procédant ainsi, l'orthodoxie du sida ne prouve en aucune façon que les tests "VIH" sont spécifiques d'une infection par le "VIH". En effet, le point de départ de cette méthode consiste à supposer que la présence de ces si nombreux anticorps chez les sidéens est le résultat d'une infection par le rétrovirus "VIH", et à faire fi du fait que la présence de ces anticorps peut s'expliquer par de nombreuses autres raisons, tout particulièrement présentes dans les groupes à risque de sida. En d'autres termes, les tests "VIH" positifs sont au mieux (et encore !) des tests pouvant indiquer une propension chez certaines personnes à développer ultérieurement des maladies particulières, peu importe la cause de ces maladies vu que la spécificité des tests "VIH" n'a jamais été comparée avec le "VIH" lui-même. On l'aura compris, pour prétendre que la séropositivité est le signe d'une infection par le "VIH", il est déjà absolument nécessaire, mais non suffisant, de comparer le résultat obtenu avec la présence/l'absence du "VIH". En d'autres termes, l'étalon-or de référence doit être le "VIH" lui-même isolé/purifié ... et non la pure hypothèse que les malades du sida ont été contaminés par un rétrovirus "VIH". PAR CONSEQUENT : 1) L'orthodoxie du sida doit déjà avoir préalablement prouvé que les antigènes utilisés dans les tests "VIH" et avec lesquels des anticorps de la personne testée sont susceptibles de réagir, ont bien pour origine un rétrovirus "VIH". En d'autres termes, la preuve "A" ci-dessus (existence d'un rétrovirus "VIH") doit déjà avoir été préalablement apportée. Etant donné que cette preuve n'a jamais été apporté, le simple fait que des anticorps puisse réagir avec les antigènes utilisés dans les tests "VIH" ne prouvera JAMAIS que la personne testée a été contaminée par un rétrovirus "VIH". 2) A supposer même que l'orthodoxie du sida eût été capable d'apporter cette preuve, cela n'aurait de toute façon pas été suffisant. Très très loin de là, d'ailleurs. En effet, le simple fait que des anticorps du patient testé réagissent avec des antigènes (supposés) spécifiques du "VIH" ne prouve toujours pas qu'il s'agit là du résultat d'une contamination par le "VIH" vu que les anticorps du "VIH" sont polyspécifiques, d'autant plus que les sidéens et les séropositifs sont connus pour avoir une pléthore d'anticorps dans leur sang contre de nombreux agents infectieux et également beaucoup d'auto-anticorps. Par conséquent, la seule façon de prouver la spécifité des tests dits "VIH" est de comparer la réaction antigènes/anticorps avec la présence/l'absence du "VIH" lui-même chez chacun des patients testés, c'est-à-dire le "VIH" isolé/purifié, qui ne peut être que le seul étalon-or fiable de comparaison. 3) Il va de soi que les études en question doivent être effectuées en aveugle, sur un nombre statistiquement significatif de patients qui ont le sida et de patients qui n'ont pas le sida mais qui sont malades (des mêmes maladies que ceux du sida, sauf que chez eux, les maladies en question ne seraient pas causées par le "VIH"). 4) Ceci étant, même si les trois points qui précèdent avaient été remplis, aussi étonnant que cela puisse paraître à première vue, la spécificité des tests "VIH" ne pourrait de toute façon pas être déterminée même si un étalon-or (à savoir le "VIH") avait existé. Pourquoi ? Parce que l'orthodoxie du sida n'a même pas été fichu de standardiser le test "Western Blot". Le lecteur peut par exemple lire ce graphique comparatif, où il pourra constater que les critières de séropositivité varient en fonction de différentes région du monde. Ainsi et par exemple, un australien sera déclaré "contaminé" par le "VIH" s'il a les quatre bandes p41, p32, p24 et P18 qui réagissent positivement, mais sur base de ce même résultat, cet australien ne sera pourtant pas déclaré contaminé par le "VIH" en Afrique, où pourtant deux bandes suffisent ! Inversément, un africain sera considéré comme "contaminé" par le "VIH" s'il est positif aux protéines p41 et p120, mais ce même africain sera en revanche considéré comme séronégatif et non contaminé par le "VIH" en Australie et dans certains Etats européens ! Comprenne qui pourra. Le lecteur aura donc compris que le test "VIH" est donc le premier test de l'histoire médicale dont l'interprétation du résultat varie aussi radicalement (c'est le moins que l'on puisse dire) entre les Etats. Par conséquent, même si l'étalon-or du "VIH" avait existé, les différents tests "Western Blot" n'étant pas standardisés, la spécificité de ceux-ci sera quelque part ... entre 0% et 100% même en présence de l'étalon-or du "VIH". C) La spécificité de la PCR (charge virale) pour prouver la contamination par un rétrovirus "VIH" Pour prétendre que la PCR peut être utilisée pour détecter une contamination par le "VIH", il faut nécessairement une première étude et plusieurs études confirmatives : 1) Où il a été prouvé que le matériel génétique utilisé est bien originaire d'un rétrovirus "VIH" (ce qui implique que la preuve A) ait préalablement apportée, à savoir l'existence d'un rétrovirus "VIH"); 2) Où le résultat obtenu a été comparé avec le seul étalon-or admissible, à savoir le "VIH" lui-même, ce qui permettra de s'assurer que la technique utilisée de PCR n'amplifie que des séquences du "VIH" et rien d'autre. Tout comme pour A) et B) ci-dessus, de telles études n'existent forcément pas, en sorte que la spécificité de la PCR quant à sa prétention à détecter une contamination par le "VIH" est quelque part ... entre 0% et 100%. Impossible de parler de spécificité dans ces circonstances. Mais il y a bien mieux encore ! L'orthodoxie du sida elle-même reconnaît elle-même que les tests de détection génétique du "VIH" ne peuvent pas être utilisés en lieu et place des tests d'anticorps pour détecter une supposée infection par le "VIH", en tout cas chez les adultes, les adolescents et les enfants "infectés" par d'autres voies que la voie périnatale (ceci dit, on peut se demander, d'une part, comment la PCR qui est décrite comme assez spécifique pour détecter les séquences spécifiques d'un rétrovirus exogène "VIH" ne devrait pas être utilisée chez les adultes, les adolescents et les enfants "infectés" via le sang, mais est en revanche recommandé et approuvé pour détecter la transmission verticale du "VIH" [?!], et, d'autre part, comment la PCR fait-elle la distinction entre les enfants "infectés" par voie périnatale et par les autres moyens [?!]). D) La transmission sexuelle de la séropositivité Comme nous allons le voir immédiatement, à défaut d'avoir déjà pu prouver non seulement l'existence du "VIH" mais également la spécificité des différentes tests de détection utilisés (à supposer même que l'existence du "VIH" aurait été prouvée), il est vain de prétendre ou même de suggérer que la séropositivité puisse être sexuellement transmissible. En effet, pour prétendre que la séropositivité est sexuellement transmissible, 1)Il est absolument nécessaire, mais non suffisant, de déjà trouver du "VIH" dans les sécrétions sexuelles. Cela va de soi, bien sûr. Cette condition implique déjà que le point A) ait pu déjà préalablement avoir été prouvé, soit l'existence d'un rétrovirus "VIH" ! 2) Mais le simple fait que l'on trouve éventuellement du "VIH" dans les sécrétions sexuelles ne prouve pas pour autant que le "VIH" soit sexuellement transmissible. Seules des études épidémiologiques menées sérieusement seront de nature à le prouver. Mais bien sûr, ces études épidémiologiques ne doivent pas être faites nimporte comment, faute de quoi à peu près n'importe quelle maladie sera sexuellement transmissible. En effet, pour que des études puissent prouver que la séropositivité est sexuellement transmissible, il faut à tout le moins que les conditions suivantes soient simultanément remplies, faute de quoi la preuve de cette transmission sexuelle ne peut être apportée : 1°) Létude doit être prospective, cest-à-dire être suivie à travers le temps (et non rétrospective : c'est-à-dire deviner après coup ce qui aurait pu causer la séropositivité chez tel ou tel individu); 2°) Les tests utilisés pour prouver la séropositivité doivent avoir été prouvés spécifiques, ce qui implique que les points B) et C) susdits (spécificité des tests d'anticorps et des tests génétiques) aient préalablement été prouvés, faute de quoi il est tout simplement impossible de prétendre que la séropositivité puisse être sexuellement transmissible; 3°) Ces études doivent porter sur un nombre statistiquement important de personnes ; 4°) Les résultats doivent être statistiquement significatifs et doivent exclure toute autre possibilité de mode de contamination. Le lecteur l'aura compris, la preuve de la transmission sexuelle de la séropositivité n'a ainsi jamais pu avoir été apportée jusqu'à ce jour ! POURQUOI N'EST-CE PAS SUFFISANT ? Le lecteur aura maintenant compris qu'à défaut d'avoir pu rapporter ces preuves, il ne peut qu'être ahurissant d'accorder ne fût-ce qu'une once de crédibilité à l'hypothèse rétrovirale du sida. Au surplus, quand bien même ces preuves auraient été rapportées, elles sont tout à fait insuffisantes pour prouver que le "VIH" est la cause du sida. En effet, ces preuves ne visent en définitive qu'à prouver l'existence d'un rétrovirus "VIH" et la spécificité des différents tests utilisés en vue de détecter une contamination par le "VIH". Mais la preuve principale n'aura toujours pas apportée, à savoir que le "VIH" causerait l'apoptose des lymphocytes T4, laquelle apoptose provoquerait donc l'apparition des différentes maladies qualifiées de sida. En effet, un rétrovirus "VIH" aurait beau eu exister, ce n'est pas pour cela qu'il serait pathogène, d'autant plus que les rétrovirus ont justement pour caractéristique d'être inoffensifs (sauf rarissimes exceptions dont ferait justement partie le "VIH"). Cette question a déjà été abordée plusieurs fois sur ce forum et il a été constaté qu'il n'a jamais été prouvé que le "VIH" provoque l'apoptose des lymphocytes T4 (lire par exemple ce post-ci), ni même d'ailleurs que la baisse du nombre des lymphocytes T4 soit nécessaire ou suffisant pour causer le sida (lire par exemple ce post-ci). Toutefois, quand j'aurai le temps, je tâcherai de rédiger un essai de synthèse récapitulative (à compléter par d'autres, le cas échéant) des réfutations à l'assertion fallacieuse selon laquelle le "VIH", à supposer même qu'il eût existé, causerait l'apoptose des lymphocytes T4.
  11. On remarquera que tout cela a déjà été réfuté un nombre incalculable de fois. On s'en doute : le site en question ne survivrait pas à un tel débat !
  12. Avec tous les traitements que semble prendre actuellement ton épouse, il me semble peu probable que ses anticorps puissent diminuer en-dessous du fameux seuil au-delà duquel on est déclaré "contaminé" par le "VIH", sans compter avec le fait que certains des "antirétroviraux" sont vraiment très nocifs pour la santé (probabilité, me semble-t-il, que le corps développe des anticorps en réaction ?!). En plus, avant de refaire éventuellement ce test, je pense qu'il faudrait d'abord trouver les véritables causes des problèmes de santé (carence en fer, et autres problèmes éventuels ?) de ton épouse, et y remédier. A défaut, je pense que le résultat d'un éventuel nouveau test "VIH" ne pourra qu'être une source de déception. Enfin, c'est mon avis. Concernant le cas de Viduité, il me corrigera si j'ai mauvaise mémoire, mais il me semble que le résultat du premier test refait après tous ces "problèmes" fut indéterminé, et que ce n'est qu'à l'occasion du deuxième test refait six ans plus tard, que le test se révéla négatif. Et bien sûr, lors de ce deuxième test, il n'était plus sous drogues "antirétrovirales" depuis bien des années déjà. Outre le post que Liane vient d'écrire, je me permets de te renvoyer à ce post qui reprend entre autres des sources où tu pourras retrouver différentes études scientifiques confirmant l'effet immunodépresseur (quant à savoir dans quelle mesure, tout cela dépend de tas d'autres facteurs, me semble-t-il), outre également ce post de Cheminot. Quant à savoir pourquoi le sperme est assez fortement immunodépresseur dans le rectum, et beaucoup moins dans le vagin et même (visiblement) pas du tout dans la bouche, je crois que d'autres seront bien plus compétents que moi pour répondre. Toutefois, pour ce qui concerne la bouche, cela me semble assez évident, je crois, à savoir que le sperme est immédiatement décomposé par l'organisme via les sucs digestifs, les enzymes, etc... Bref, via la bouche, le sperme n'a pas le temps d'avoir de caractère oxydant, et encore moins immunodépressif. Quant au vagin, le sperme a certainement un caractère oxydant et donc légèrement immunodépresseur, ne fût-ce que pour permettre la nidation. En revanche, le rectum ne paraît pas avoir été "équipé" pour recevoir du sperme. En outre, la paroi du rectum est beaucoup plus mince que celle du vagin, en sorte que le risque est élevé que le sperme puisse passer au travers et oxyder les organes, les tissus, et que sais-je d'autre dans l'organisme. Si cela se produit en outre à "haute fréquence", on imagine aisément que le risque sera bien plus élevé encore. Ce risque est en revanche beaucoup plus réduit si le sperme se trouve dans le vagin. PS : Ne me demande pas ce que signifie "haute fréquence". Je serai incapable de te répondre et je crois que peu de scientifiques se hasarderont à répondre à cette question. On pourrait penser qu'il doit s'agit d'un nombre très élevé de fois, sans doute avec de (très) nombreux partenaires différents. N'empêche certaines personnes personnes paraissent plus sensibles que d'autres, et parfois l'exposition rectale au sperme d'un seul homme semble suffire. Ainsi le Perth Group rappelle-t-il ce cas suivant, relevé par Montagnier lui-même en 1985 : Il s'agit de l'un des tout premiers prétendus cas de transmission hétérosexuelle de la séropositivité. En l'occurrence, l'épouse d'un hémophile séropositif qui pratiquait la sexualité vaginale, orale et anale avec son époux fut déclaré séropositive, avec un bas niveau de lymphocytes T4. Toutefois, elle cessa de s'exposer au sperme de son mari pendant dix mois (visiblement, que ce soit oral, vaginal ou anal) et on refit le test "VIH" qui s'avéra négatif; en plus, ses lymphocytes T4 étaient remontés à un niveau "normal". Peut-être qu'il y a d'autres explications, mais en tout cas, cela va dans le sens des différentes études épidémiologiques effectuées sur le sujet. Les sidéens ont ceci de commun de souffrir d'une très forte carence en glutathion (et en d'autres oligoéléments d'ailleurs). Ceci va tout à fait dans le sens de l'explication du Perth Group comme cause du sida, à savoir l'exposition durable à des agents oxydants, tout particulièrement azotés (cf explication de Cheminot). C'est d'ailleurs admis par l'orthodoxie du sida, mais qui se sent obligé de relier ce stress oxydatif au "VIH" pour cause de dogme à respecter. Fais sauter le "VIH" et tu trouveras la cause plus que vraisemblable de la baisse d'immunité. Cette cause vraisemblable deviendra tout naturellement "exacte", non pas nécessairement en raison de nouvelles études scientifiques (il y en a déjà assez comme cela), mais bien le jour où le monde scientifique se rendra compte que l'existence d'un rétrovirus exogène "VIH" n'a effectivement jamais été prouvée chez un seul sidéen.
  13. Une très bonne nouvelle : le courageux dissident et avocat sud-africain Anthony Brink vient de déposer une plainte à la Cour Pénale Internationale de La Haye pour génocide de la part de la "Treatment Action Campaign" (TAC), chargée par l'orthodoxie du sida de faire la propagande et d'organiser la vente des traitements appelés à tort "antirétroviraux". La Cour en question a accusé réception de cette plainte le 4 janvier dernier. Souhaitons lui beaucoup de succès !
  14. Juste une toute dernière réponse avant de partir (immédiatement : désolé pour la personne qui vient de m'envoyer un message en privé, je n'ai plus le temps de le lire). Je suis bien sûr d'accord avec Cheminot. Et la synthèse consacre pleinement cette opinion de Cheminot (qui en dira sans doute plus lorsqu'il prendra connaissance de ton post) puisque dans le renvoi que j'ai fait dans mon premier post, il y a ce lien vers ce post de Cheminot. S'il n'a jamais été possible de prouver que la séropositivité est sexuellement transmissible, il y a effectivement des raisons de penser qu'il existe un - très - faible risque de transmission sanguine (du moins, s'il s'agit de simple piqûre) de la séropositivité (mais il n'y a plus de rapport avec ta question de départ, à savoir usage du préservatif ou non). Et cette transmission sanguine de la séropositivité n'a strictement rien à voir avec un rétrovirus "VIH". Il ne faut pas confondre protéines alloimunes ... et rétrovirus (et encore moins "VIH"). Bien sûr que non. Il ne s'agit plus de simples piqûres, et là le risque est extrêmement élevé. Mais comme précisé ci-dessus, cette transmission de la séropositivité n'a strictement rien à voir avec une quelconque transmission sanguine d'un rétrovirus "VIH". Donc, en résumé : si la séropositivité n'est pas sexuellement transmissible, en revanche, elle peut être transmise par le sang (ce n'est certainement pas nié dans la synthèse), quoique cela n'ait strictement rien à voir avec une quelconque transmission d'un rétrovirus exogène "VIH". Bon week-end à tous.
  15. Pourrais-tu me faire part de tes arguments sur le sujet, quoique je ne les lirai probablement plus avant dimanche (je m'en vais pendant deux jours, et d'ailleurs à l'instant) ? Merci beaucoup.
  16. Si vous êtes tous les deux fidèles, que vous n'êtes pas porteurs d'une vraie MST, et vu que par définition (homme hétérosexuel), tu ne peux pas pratiquer la sexualité anale réceptive non protégée avec ton épouse (l'inverse est en revanche possible, bien sûr), je ne vois vraiment pas à quoi servira un préservatif. C'est comme si tu me disais qu'un excès de cholestérol serait sexuellement transmissible et que le préservatif serait en mesure de l'empêcher ! Pense un peu autrement : si ta femme était cancéreuse et que tu devenais toi-même cancéreux, penserais-tu que ton épouse t'aurait transmis le cancer ? Tu dois en réalité chercher la cause ailleurs, par exemple vous êtes tous les deux fumeurs. C'est la même chose pour la séropositivité. Si jamais tu devenais séropositif ultérieurement, ce n'est pas en raison d'un quelconque "VIH" mais en raison de l'un et/ou l'autre des nombreux facteurs pouvant rendre positif le test appelé par erreur "VIH". Lire par exemple cet article. Par conséquent, Petitpiment, daigneras-tu me croire si je te disais que les martiens existent puisqu'il n'est pas prouvé qu'ils n'existent pas ?! Par ailleurs, si le "VIH" existe, comment se fait-il que l'on ne soit jamais parvenu à l'isoler chez un seul sidéen, même ayant une charge virale astronomique ? Pire encore, comment se fait-il que l'on ne trouve pas de "VIH" au gradient de densité 1,16 mg/ml dans lequel sédimentent nécessairement - et par définition - les rétrovirus ? Pour finir sur cette question maintes fois abordée, à tel point qu'elle en est maintenant éculée, je reprendrais les propos suivants du Perth Group, particulièrement sensés : Non, je ne suis pas d'accord. Merci de lire entièrement et attentivement la partie de la synthèse collective consacrée à ce sujet : Chapitre IV : Le SIDA est un syndrome toxique et nutritionnel, manifestement causé par le stress oxydatif ---> D) Conséquences ---> 4) Qu'en est-il de la transmission de la séropositivité par le sang ? Pour le surplus, pour ma part, je ne répondrai pas au reste de ton post car il paraît entièrement fondé sur l'existence d'un rétrovirus exogène "VIH", qui serait sexuellement transmissible, et qu’un test « VIH » positif serait le signe d’une infection par le « VIH ». Or aucune publication scientifique n'a pourtant prouvé ces points jusqu'à ce jour. Merci de lire à ce sujet la synthèse collective, et entre autres :Chapitre IV : Le SIDA est un syndrome toxique et nutritionnel, manifestement causé par le stress oxydatif ---> D) Conséquences ---> 3) La séropositivité n'étant pas sexuellement transmissible, le SIDA ne peut en aucune façon être une MST. En réalité, à mon avis, la véritable question à se poser n'est pas de savoir si l'usage du préservatif continue à s'imposer (la réponse me paraît clairement être négative, à moins que vous ne soyez pas un couple fidèle et que vous soyez porteurs d'une vraie MST) mais bien ce qui aurait pu causer la positivité du test "VIH" de ton épouse. Concernant la carence en fer de ton épouse, je n'ai pas d'explication, n'étant pas médecin (n'empêche, j'ai bien lu en son temps qu'une telle carence peut être le résultat d'une malformation génétique, et ce n'est pas si rarissime que cela). En revanche, je me demande dans quelle mesure cette carence à long terme en fer n'est pas susceptible de favoriser la positivité du test appelé par erreur "VIH". Par ailleurs et sans doute surtout, il serait TRES INTERESSANT de savoir quels médicaments ton épouse a reçu durant plusieurs années pour traiter sa carence en fer. Il n'est en effet un secret pour aucun dissident que certains médicaments et antibiotiques sont de nature à rendre positif le test appelé par erreur "VIH". Je ne serais probablement plus en mesure de répondre avant dimanche soir, mais d'autres répondront certainement. Merci en tout cas pour tout l'intérêt porté à ce sujet.
  17. wallypat

    Guérir le Sida!

    Ci-dessous, quelques liens renvoyant à de récents posts de Vitosi et expliquant comment il a pu combattre efficacement - et visiblement durablement - de graves et tenaces candidose et leucoplasie, et ce grâce à la spiruline, et donc sans devoir faire appel, même à titre transitoire, aux délétères traitements appelés à tort « antirétroviraux » : *Premier lien *Deuxième lien (+ lire les posts suivants de Vitosi sur le sujet) *Troisième lien *Lien vers le topic sur la spiruline
  18. Il serait intéressant de relire par exemple ce post-ci, et de rappeler quelques faits scientifiques, peut-être déplaisants pour certains. Aucune étude scientifique n'a pu prouver jusqu'à ce jour que la séropositivité est une maladie sexuellement transmissible de façon bidirectionnelle. En revanche, il y a de nombreuses preuves théoriques, expérimentales et épidémiologiques prouvant que le sida et un test "VIH" positif peuvent être sexuellement acquis. Il suffit à cet égard de lire par exemple l'étude "MAC" qui est l'étude prospective la plus large, la plus complète et la plus rigoureuse, ayant suivi sur plus de dix ans le destin de milliers d'homosexuels américains, ainsi que l'étude Padian, qui constitue l'étude la plus large et la plus complète sur les hétérosexuels. Il ressort très clairement de ces deux études scientifiques, les meilleures en leur genre : 1) Que le sida et un test "VIH" positif peuvent être sexuellement acquis; 2) Que le seul acte sexuel, aussi bien dans les rapports homosexuels qu'hétérosexuels, qui est relié au sida et à un test "VIH" positif est la sexualité anale réceptive (non protégée; raison pour laquelle le Perth Group recommande l'usage du préservatif même entre séronégatifs pratiquant la sexualité anale réceptive); 3) Que c'est la fréquence de cette pratique sexuelle (soit la relation anale réceptive non protégée), que ce soit chez la femme hétérosexuelle ou l'homme homosexuel, et non le nombre de partenaires sexuels différents (promiscuité sexuelle), qui constitue le facteur fondamental de risque de développement du sida et d'acquisition de la séropositivité. 4) Ce n'est pas l'homosexualité qui en soi peut causer l'acquisition de la séropositivité, mais bien uniquement l'acte sexuel consistant en la réception anale réceptive non protégée. En d'autres termes, il est bien possible qu'en chiffres absolus, c'est la population hétérosexuelle (à savoir les femmes pratiquant la sexualité anale réceptive non protégée) qui soit la plus exposée à la séropositivité du chef de cette pratique sexuelle. En d'autres termes, le sida et un test "VIH" positif peuvent être sexuellement acquis, tout comme le fait d'être enceinte, mais ne peuvent pas être sexuellement transmis. Il y a toutefois une différence avec le fait d'être enceinte, à savoir que dans ce dernier cas, un seul rapport sexuel peut suffire, alors que pour le sida, une très haute fréquence des relations anales réceptives non protégées sur une longue période est nécessaire. Cela n'est pas le résultat de l'acte sexuel lui-même (la relation anale réceptive non protégée) mais bien sa très haute fréquence (que le partenaire actif soit séropositif ou séronégatif bien sûr). On ne peut toutefois exclure, et on peut même très raisonnablement penser, que d'autres facteurs interviennent conjointement. En effet, cette très haute fréquence de la pratique de la sexualité anale réceptive (non protégée) n'est généralement rendue possible qu'en raison de l'usage concomittant de drogues diverses, dont le fameux poppers, et dont le caractère fortement oxydant ne doit plus être rappelé. Dans ces conditions, il est difficile de savoir quel est le facteur prépondérant : la relation anale réceptive non protégée ou la consommation de drogues ? Ce qui paraît en revanche certain, c'est que la relation anale réceptive non protége constitue un facteur élevé de risque d'acquisition (sexuelle) de la séropositivité à tout le moins. Tout cela en définitive pour dire que les rapports bucco-génitaux ne constituent pas une pratique sexuelle qui en soi, pas même avec faible risque de transmission, puisse causer l'acquisition d'une séropositivité par voie sexuelle. Cette pratique sexuelle n'a jamais constitué, par le fait même de cette pratique, une cause d'acquisition de la séropositivité. Ceci n'empêche pas que l'usage du préservatif peut malgré tout s'avérer utile dans ce cas de figure car si cette pratique sexuelle ne constitue pas une source de séropositivité, elle n'empêche en revanche et par exemple pas la transmission de vraies MST, lesquelles peuvent éventuellement positiver le test appelé par erreur "VIH".
  19. wallypat

    Guérir le Sida!

    En dautres termes, déjà en 1997 (et même déjà des années auparavant), Montagnier proposait (tout comme le Perth Group, mais ce dernier depuis 1981) le stress oxydatif comme favorisant (en décembre 2003, Montagnier fut bien plus clair et dit lui-même que lapoptose est causée par le stress oxydatif) la progression vers les maladies du sida, en provoquant la réplication virale et lapoptose des lymphocytes. Mais pour en revenir au sujet proprement dit de ce post, Montagnier dit on ne peut plus clairement dans ce passage que le stress oxydatif provoque la réplication du « VIH » tandis que les antioxydants inhibent la réplication du « VIH » ! En dautres termes, cest exactement le contraire de ce qui est affirmé par ce journaliste en herbe dans le passage reproduit au tout début de ce post ! La réalité est donc la suivante (en synthèse, bien sûr): - Exposition aux agents oxydants : réplication du prétendu « VIH » ; - Usage dantioxydants : inhibition de la réplication du prétendu « VIH ».
  20. La synthèse ne précise certainement pas qu'il n'y aurait aucun risque, quoique ce risque n'ait strictement rien à voir avec une quelconque transmission d'un rétrovirus exogène "VIH". ---> Lire plus spécialement : Chapitre IV, D) Conséquences, 4) Qu'en est-il de la transmission de la séropositivité par le sang ?
  21. Il y a quand même quelque chose de drôle dans cet article, me semble-t-il : Qui sont donc les 7% de malades qui sont ni hommes, ni femmes ? Des extraterrestres ? Même en supposant que ces 93% ne comportent pas les 3% d'enfants malades : Il y a toujours 4% de malades non identifiés ... ou non humains !
  22. Le regretté Mark Griffiths n'avait-il pas justement fait appel à un avocat pour attaquer en justice la validité des tests appelés par erreur "VIH" ?
  23. Tu peux déjà commencer à lire deux topics auxquels renvoit justement la synthèse : - Le topic sur le glutathion; - Le topic "Guérir le sida". Et également mon récent témoignage. Ceci étant, comme tu viens d'avoir été tout récemment déclaré "contaminé" par le "VIH", la première chose à faire est d'examiner pourquoi ton test appelé par erreur "VIH" a réagi positivement. Si tu fais partie d'un "groupe à risque" tout en menant un style de vie immunodépressif (ce qui ne semble toutefois et manifestement pas être ton cas), les mesures à prendre sont assez simples vu ta bien courte histoire de séropositivité. En revanche, si tu ne fais pas partie d'un "groupe à risque de sida" et que tu ne mènes pas un style de vie immunodépressif, il y a de grandes chances de penser que ton résultat positif ne veut en fait rien dire du tout. En tout état de cause, je te conseillerais déjà de faire un un bilan nutritionnel approfondi chez un médecin compétent en la matière. De prime abord, à ce stade-ci, il ne te sert strictement à rien de prendre des compléments alimentaires particuliers. Pour le surplus, bonne lecture de la synthèse !
  24. Je te proposerais déjà de prendre le temps nécessaire (cela tombe bien, ONCT sera en mode lecture pendant une dizaine de jours) pour lire attentivement la synthèse collective. Tu constateras déjà qu'il n'est nullement nié : - que les maladies qualifiées de "sida" n'existent pas, et - que les traitements appelés à tort "antirétroviraux" puissent nettement améliorer la situation, du moins à court terme. Mais il existe d'autres solutions, tout particulièrement lorsqu'on n'a encore jamais fait de sida. Le premier des remèdes consiste déjà à cesser de s'exposer aux agents oxydants auxquels sont traditionnellement exposés les futurs sidéens, et à cesser de croire que le sida serait quelque chose d'irréversible causé par un rétrovirus invisible chez n'importe quel sidéen. Bonne lecture préalable de la synthèse.
  25. Comme ONCT sera d'ici quelques heures en mode lecture uniquement, et ce jusqu'au 2 janvier prochain, je souhaite d'ores et déjà à tous et toutes un JOYEUX NOËL et une BONNE ANNEE 2007, tout en espérant que la dissidence du sida fera une avancée significative l'année prochaine !
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