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forum sidasante

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Effectivement, j'utilise le conditionnel à dessein; façon de dire qu'en réalité... beaucoup d'hypothèses et peu de certitudes !

J'en ai au moins une : dans les années 80 ont été testés plusieurs vaccins. Réaction de la communauté scientifique de l'époque : "non, c'est trop tot, il faut en savoir davantage, il y a pas assez de retour sur les tests, il faut investir dans la recherche". Une autre déclaration de l'époque, peu aprés "l'identification" du virus : "il n'y a pas de virus dont le vaccin n'ait été mis au point rapidement" je sais plus qui vous m'excuserez. Est-ce que je me fais bien comprendre ? La "recherche" sur le sida est une excellente affaire pour les laboratoires qui fabriquent les médicaments ! Attention, ce n'est qu'une opinion personnelle, c'est tout.

Quand je pense que Pasteur a mis au point le vaccin contre la rage, seul et sans avoir jamais vu le virus !

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Pasteur, c'était à la fin du XIXème avec des moyens d'investigation assez minces ...

Il raisonna de manière plus ou moins empirique en mettant en évidence (au-delà de l'imagerie d'Epinal de la rage qu'on lui colle) l'intérêt de susciter des réponses immunitaires préventives ... Encore que dans le cas de la rage, on avait dépassé le stade de la prévention.

Ainsi, une école naquit et la piste à une démarche identique fut ouverte ... d'où la kyrielle des vaccinations qui furent mses en place au XXème et la non contestation de ses effets miraculeux.

La révolution "vaccinale" pour les virus est à rapprocher de la révolution "antibiotique" pour les bactéries pathogènes.

Tout ceci semble trouver des limites de nos jours. Peut-être que le bilan de ces deux révolutions est plus contrasté que cela ... Peut-être aussi que les deux écoles issues de ces révolutions s'essoufflent ... A priori, une révolution (ou une évolution) suivante tarde à venir ...

Les agitations et saltations autour du VIH permettront-elles defaire jaillir une nouvelle lumière ? ... sans doute ... mais il me semble incontournable de constater que ce n'est pas en tapant comme des mules via les tri thérapies qu'on va y arriver.

L'usage de ces drogues aux effets pervers ne peut être "encouragé" qu'à la condition expresse de laisser penser (et d'affirmer par voie médiatique) que, sans elles, la situation serait définitivement pliée. C'est la raison pour laquelle il ne peut être question de tolérer la dissidence ou le doute. C'est cette vision dogmatique qui rend les choses si difficiles : l'obscurantisme n'a jamais eu pour vertu d'initier les progressions ...

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Merci pour vos commentaires et voici les réponses à vos questions.

Aixur&Viduité

C'est sans doute une bonne idée que de refaire un test de façon anonyme mais j'ai lu dans ce forum quelque part que celui-ci serait de toute façon positif si la personne est en thérapie et qu'il faudrait d'abord arrêter puis attendre plusieurs mois pour que le test ne soit pas fausser. Est-ce vrai?

Napo

Je ne sais pas pourquoi le médecin à fait ses analyses de sang. Ma femme vient du Kenya. Merci pour la bise icon_redface.gif

Cheminot

Avant de subir le test ma femme recevait régulièrement des injections pour augmenter le taux de fer dans le sang, pas d'autres traitements. Une année après environ elle a commencé à prendre des ARV (Trizivir).

Elle n'a pas eu de vaccinations et elle n'était pas enceinte.

Je ne sais pas si les deux tests étaient des ELISA ou des Western Blot, ni les résultats détaillés. Lors de la prochaine visite médicale ce sera une des nombreuses questions que je poserai au médecin. albator7k.gif

Liane&Wallypat

Tu n'as peut-être pas tort de penser que le médecin lui est tout de suite collé l'étiquette "sujet à risque" du au fait qu'elle soit africaine.

Concernant les relations anales: je ne savais pas que le sperme dans le rectum pourrait affecter le systême immunitaire. J'ai lu un post de Wallypat qui en fait mention en parlant de rapport à très haute fréquence...je suppose qu'il veut dire plusieurs rapports par jour (?) et chaque jour de la semaine (?). Quoiqu'il en soit j'aimerais savoir pourquoi le sperme serait nocif dans le rectum et pas dans le vagin...et dans la bouche? icon_confus.gif

DDL

Je vois que tu n'es pas convaincu par la dissidence et je trouve que tu as raison: tant que l'on aura pas trouver exactement ce qui est la cause de la baisse d'immunité il vaut mieux rester prudent. Il se peut que le SIDA ne soit pas contagieux ou que je sois immunisé ou que j'ai de la chance ou même que ma femme soit un faux positif...allez savoir.

J'ai aussi l'impression que le business SIDA est trop intéressant (financièrement) pour y mettre fin.

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(petitpiment @ Samedi 06 Janvier 2007 à 20h18)

Concernant les relations anales: je ne savais pas que le sperme dans le rectum pourrait affecter le systême immunitaire. J'ai lu un post de Wallypat qui en fait mention en parlant de rapport à très haute fréquence...je suppose qu'il veut dire plusieurs rapports par jour (?) et chaque jour de la semaine (?). Quoiqu'il en soit j'aimerais savoir pourquoi le sperme serait nocif dans le rectum et pas dans le vagin...et dans la bouche? icon_confus.gif

1- Suivant le terrain vaginal de la femme, le sperme peut aggraver une pathologie existante :

- Cancer du col de l'utérus

- Vaginose bactérienne

J'en ai aussi parlé ici.

Le sperme est donc oxydatif (peu-être en rapport à la survie des spermatos) et une flore vaginale intacte protège de ses effets (sauf de la grossesse et des MST)

2- Le rectum et les intestins font partie du système digestif. Ils envoient direct dans le sang (sans digestion préalable) les molécules du sperme.

Les conséquences dépendent de la fréquence des rapports et du terrain biologique du récepteur.

3- Quant au sperme dans la bouche : avalé, il est digéré (détruit ?) par l'acide de l'estomac. D'autres pourront peut-être t'en dire plus.

...ou même que ma femme soit un faux positif...allez savoir.

Même si c'était ça, les trithérapies font partie du réel. On s'expose aux effets secondaires réels (parfois très graves) sur des suppositions qui n'ont jamais été prouvées scientifiquement.

...que je sois immunisé ou que j'ai de la chance.

C'est ce que je pensais aussi pour moi avant de comprendre plutôt que c'est le fait de n'avoir pas été exposée à un type de stress oxydatif (ou autre inflammation précédant mon test)

C'est c... comme la vie tient à peu de choses quand on ne connait pas les règles établies par des pseudos-manitous.

DDL

Je vois que tu n'es pas convaincu par la dissidence et je trouve que tu as raison: tant que l'on aura pas trouver exactement ce qui est la cause de la baisse d'immunité il vaut mieux rester prudent.

En attendant, c'est quand-même la dissidence du sida qui fait que tu cherches à récupérer les rennes de ta vie.

" Sois doux comme la colombe et prudent comme le serpent " (Paulo Coelho)

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(petitpiment @ Samedi 06 Janvier 2007 à 21h18)

C'est sans doute une bonne idée que de refaire un test de façon anonyme mais j'ai lu dans ce forum quelque part que celui-ci serait de toute façon positif si la personne est en thérapie et qu'il faudrait d'abord arrêter puis attendre plusieurs mois pour que le test ne soit pas fausser. Est-ce vrai?

Avec tous les traitements que semble prendre actuellement ton épouse, il me semble peu probable que ses anticorps puissent diminuer en-dessous du fameux seuil au-delà duquel on est déclaré "contaminé" par le "VIH", sans compter avec le fait que certains des "antirétroviraux" sont vraiment très nocifs pour la santé (probabilité, me semble-t-il, que le corps développe des anticorps en réaction ?!). En plus, avant de refaire éventuellement ce test, je pense qu'il faudrait d'abord trouver les véritables causes des problèmes de santé (carence en fer, et autres problèmes éventuels ?) de ton épouse, et y remédier.

A défaut, je pense que le résultat d'un éventuel nouveau test "VIH" ne pourra qu'être une source de déception. Enfin, c'est mon avis.

Concernant le cas de Viduité, il me corrigera si j'ai mauvaise mémoire, mais il me semble que le résultat du premier test refait après tous ces "problèmes" fut indéterminé, et que ce n'est qu'à l'occasion du deuxième test refait six ans plus tard, que le test se révéla négatif. Et bien sûr, lors de ce deuxième test, il n'était plus sous drogues "antirétrovirales" depuis bien des années déjà.

Quoiqu'il en soit j'aimerais savoir pourquoi le sperme serait nocif dans le rectum et pas dans le vagin...et dans la bouche?

Outre le post que Liane vient d'écrire, je me permets de te renvoyer à ce post qui reprend entre autres des sources où tu pourras retrouver différentes études scientifiques confirmant l'effet immunodépresseur (quant à savoir dans quelle mesure, tout cela dépend de tas d'autres facteurs, me semble-t-il), outre également ce post de Cheminot.

Quant à savoir pourquoi le sperme est assez fortement immunodépresseur dans le rectum, et beaucoup moins dans le vagin et même (visiblement) pas du tout dans la bouche, je crois que d'autres seront bien plus compétents que moi pour répondre.

Toutefois, pour ce qui concerne la bouche, cela me semble assez évident, je crois, à savoir que le sperme est immédiatement décomposé par l'organisme via les sucs digestifs, les enzymes, etc... Bref, via la bouche, le sperme n'a pas le temps d'avoir de caractère oxydant, et encore moins immunodépressif.

Quant au vagin, le sperme a certainement un caractère oxydant et donc légèrement immunodépresseur, ne fût-ce que pour permettre la nidation. En revanche, le rectum ne paraît pas avoir été "équipé" pour recevoir du sperme. En outre, la paroi du rectum est beaucoup plus mince que celle du vagin, en sorte que le risque est élevé que le sperme puisse passer au travers et oxyder les organes, les tissus, et que sais-je d'autre dans l'organisme. Si cela se produit en outre à "haute fréquence", on imagine aisément que le risque sera bien plus élevé encore. Ce risque est en revanche beaucoup plus réduit si le sperme se trouve dans le vagin.

PS : Ne me demande pas ce que signifie "haute fréquence". Je serai incapable de te répondre et je crois que peu de scientifiques se hasarderont à répondre à cette question. On pourrait penser qu'il doit s'agit d'un nombre très élevé de fois, sans doute avec de (très) nombreux partenaires différents. N'empêche certaines personnes personnes paraissent plus sensibles que d'autres, et parfois l'exposition rectale au sperme d'un seul homme semble suffire.

Ainsi le Perth Group rappelle-t-il ce cas suivant, relevé par Montagnier lui-même en 1985 :

One of the first case reports of heterosexual transmission was published by Luc Montagnier and his associates in 1985. The wife of an HIV positive haemophiliac who practised vaginal, oral and anal intercourse was found to be seropositive and to have low T4 cells. She was followed for ten months after exposure to her husband’s semen was discontinued. When retested her T4 cells were normal and had a negative antibody test.5

Il s'agit de l'un des tout premiers prétendus cas de transmission hétérosexuelle de la séropositivité. En l'occurrence, l'épouse d'un hémophile séropositif qui pratiquait la sexualité vaginale, orale et anale avec son époux fut déclaré séropositive, avec un bas niveau de lymphocytes T4. Toutefois, elle cessa de s'exposer au sperme de son mari pendant dix mois (visiblement, que ce soit oral, vaginal ou anal) et on refit le test "VIH" qui s'avéra négatif; en plus, ses lymphocytes T4 étaient remontés à un niveau "normal".

Peut-être qu'il y a d'autres explications, mais en tout cas, cela va dans le sens des différentes études épidémiologiques effectuées sur le sujet.

tant que l'on aura pas trouver exactement ce qui est la cause de la baisse d'immunité il vaut mieux rester prudent.

Les sidéens ont ceci de commun de souffrir d'une très forte carence en glutathion (et en d'autres oligoéléments d'ailleurs). Ceci va tout à fait dans le sens de l'explication du Perth Group comme cause du sida, à savoir l'exposition durable à des agents oxydants, tout particulièrement azotés (cf explication de Cheminot). C'est d'ailleurs admis par l'orthodoxie du sida, mais qui se sent obligé de relier ce stress oxydatif au "VIH" pour cause de dogme à respecter. Fais sauter le "VIH" et tu trouveras la cause plus que vraisemblable de la baisse d'immunité. Cette cause vraisemblable deviendra tout naturellement "exacte", non pas nécessairement en raison de nouvelles études scientifiques (il y en a déjà assez comme cela), mais bien le jour où le monde scientifique se rendra compte que l'existence d'un rétrovirus exogène "VIH" n'a effectivement jamais été prouvée chez un seul sidéen.

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les injections qui sont utilisées contre l'anémie sont composées soit de vitamine B12, soit de gentamycine (+ amoxicilline).

Ce dernier est un antibiotique formé de sucre aminés, comportant en particulier des amines secondaires.

Vous connaissez la méfiance que j'ai des amines secondaires (amphétamines) ou tertiaires (cocaïne), car j'estime que ces amines sont très facilement oxydées par le métabolisme normal, donnant des précurseurs de monoxyde d'azote, et donc de peroxynitrites responsables de la chute des lymphocytes T.

La structure de la cyano cobalamine (vitamine B12) est la suivante :

--Resize_Images_Alt_Text--

Ce qui est très intéressant, c'est que le cobalt s'y trouve à un degré d'oxydation extrêmement élevé (+ III), et peu donc être source de stress oxydatif. Quoique bien complexé et assez bien stabilisé, il n'en reste pas moins qu'il est capable d'oxyder l'eau oxygénée en oxygène.

Il serait intéressant de pouvoir arrêter momentanément ce traitement. Et la poursuite de ce traitement jusqu'à aujourd'hui pourrait expliquer la chute des lymphocytes TH

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Avant de subir le test ma femme recevait régulièrement des injections pour augmenter le taux de fer dans le sang, pas d'autres traitements. Une année après environ elle a commencé à prendre des ARV (Trizivir).

Elle n'a pas eu de vaccinations et elle n'était pas enceinte.

Dans le mesure où le trizivir contient de l'AZT, bonjour l'anémie ...

Je vois que tu n'es pas convaincu par la dissidence et je trouve que tu as raison: tant que l'on aura pas trouver exactement ce qui est la cause de la baisse d'immunité il vaut mieux rester prudent. Il se peut que le SIDA ne soit pas contagieux ou que je sois immunisé ou que j'ai de la chance ou même que ma femme soit un faux positif...

C'est le principe de précaution ...

A ce tarif et pour les activités quotidiennes :

- est-il prudent d'avoir des relations sexuelles protégées alors qu'une maladie transmissible non encoremise en évidence aujourd'hui pourrait se jouer du préservatif ?

- est-il raisonnable de manger de la viande, des légumes et des fruits avec tout ce qui est entendu à droite et à gauche ?

- est-il responsable de sortir de chez soi le jour avec ce gros trou d'ozone ?

- ...

Enfin, est-il judicieux de vivre ? ...

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(Viduité @ Dimanche 07 Janvier 2007 à 00h46)

Dans la mesure où le trizivir contient de l'AZT, bonjour l'anémie ...

En effet :

Parmi les effets secondaires moins courants mais plus graves, mentionnons :

- taux de globules blancs inférieur à la normale (neutropénie);Â icon_confused.gif

- taux de globules rouges inférieur à la normale (anémie);

- neuropathie périphérique (sensations d'engourdissement, de picotement ou de brûlure dans les mains ou les pieds).

Trizivir

Cheminot, la gentamicine et l'amoxilline pendant un ou deux ans, ce serait quand-même un peu fort non ?

Petitpiment, ta femme peut exiger une copie de son dossier médical. C'est sa propriété légale. Vous pourrez l'étudier tranquille chez vous et tout décortiquer.

Il me semble que tout est parti de l'anémie.

C'est donc à ce niveau qu'il faudrait déjà voir si elle a été correctement diagnostiquée avant de s'enfoncer plus loin.

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Avait-elle des troubles (avant la tri) liés à cette anémie (fatigue) ? ... ou était-ce des troubles n'apparaissant que sur le papier des analyses ?

Ce qui serait intéressant, c'est de comparer le taux de globule rouge AVANT et APRES la prise du trizivir ... et de demander des comptes ...

Ce qui serait encore plus intéressant, c'est de changer de médecin ...

S'agissant des taux :

Les normes admises (en Europe) dans les fourchettes ne sont pas nécessairement reportables en afrique et en asie ... Ainsi, il est constaté que les T4 sont rarement au dessus de 600/700 chez un africain "normal" ... alors qu'ils sont plutôt vers 1100/1200 chez un blanc "normal".

Par ailleurs et au delà des T4, il est aussi constaté que la numérotation sanguine est différente chez un expatrié blanc "normal" (afrique/asie) de longue date ...

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  • 2 semaines après...

Il me semble qu'il y a une contradiction lorsque le médecin me dit que, si je suis resté séro-négatif, ce pourrait être parce que je serais immunisé:

Pour être immunisé contre un virus il faut avoir les anticorps capable de le détruire, non? Si je possédais les anticorps au VIH ne devrais-je pas être déclaré séro-positif?

Ou n'ai-je pas vraiment tout compris? icon_confus.gif

Merci de me corriger.

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Je me suis posée la même question ici :

- Liane

Nico111 @ Mercredi 14 Juin 2006 à 07h34)

...les anticorps sont la marque du contact avec un agent infectieux et ce n'est pas parce qu'ils sont là qu'on est immunisé.

Nico, tu tombes très bien. J'ai toujours pensé qu'avoir des anti-corps est bon signe car cela prouve qu'on a été contact avec une maladie et que le corps a su y répondre de manière défensive. Je n'ai sûrement pas les mêmes connaissances que toi.

Mais il me semble que le fait d'être exposé à la rougeole, la rubéole, les oreillons ou autres, rend malade. Puis le corps développe ces fameux anti-corps qui vont nous immuniser contre une nouvelle attaque.

Dans certains cas, c'est à vie. Dans d'autres cas, les anti-corps disparaissent avec le temps.

D'où risques de recontracter la maladie si on se retrouve en présence de ses agents infectieux (et c'est là que le médececin intervient avec les vaccins ou ses rappels)

C'est que j'ai appris, comme monsieur ou madame tout le monde.

... mais en fonction des pathogènes ils sont importants ou secondaires pour la défense de l'organisme

A part le "vih", tu pourrais me donner des exemples de maladies dont les anti-corps n'immunisent pas (ou pas suffisamment) le corps ?

Désolée si ma question relève d'un niveau élémentaire, mais voilà !

Anti-corps, parlons-en, il serait temps que j'en sache un peu plus.

- Pikpikandré :

Tout à fait d'accord ! La présence d'anticorps est juste un signe de contact avec l'antigène.

C'est d'ailleurs pour cela qu'avec la vaccination il faudrait faire des rappels régulier pour "réactiver" l'immunité mémoire. Attention que l'immunité mémoire à long terme ne concerne pas les lymphocyte producteurs d'anticorps mais les lymphocytes T et B justement appelé "mémoire" qui permettent de lancer une réponse très efficace et très ciblée en moins d'une semaine. Sinon sans rappel la plupart des vaccins sont efficaces au moins 10 ans il me semble voire même ad-vitam (avec l'exemple de cas de personnes âgées vaccinés enfant contre le tétanos n'yant jamais fait de rappel et étant tjs immunisé). Par ailleurs les virus peuvent muter et donc ne plus être reconnu par les anticorps (cas d'Influenza par ex qui provoque la grippe).

Selon la maladie, sans aide exterieur avec bcp de repos et peu d'alimentation l'organisme sera donc capable de guérir seul en 1 à 2 semaines. Ce qui dans notre société est impensable puisqu'il faut guérir en 3 jours max.

Ceci concerne la plupart des maladies infectieuses de l'enfance (soit que l'on ai été vacciné soit que l'on ai rencontré la maladie) et d'autres chez l'adulte (hépatibe B en particulier) chez un sujet sain dont le système immunitaire est ok ce qui n'est pas le cas dans de très nombreux cas (dont le sida, mais aussi le cancer, toutes les maladies auto-immunes, malnutrition ou malbouffe, toxicomanie, stress intense etc etc). Ce qui explique que ces personnes sont suceptibles de développer tout un tas de maladies (dont certaines mortelles) qui pour un sujet sain provoque à un léger développement des ganglions de qqs heures à peine perceptible. Par ailleurs un organisme qui se défend fortement contre un virus baisse sa garde contre d'autres pathogène (surinfection) et dans ce cas il peut être utile aussi de lui filer un coup de pouce.

Pour répondre à Liane ce n'est donc pas tant le virus que l'état de la personne qui détermine s'il sera suffisemment immunisé... ou alors c'est que le virus n'en est pas un (ou pas tout à fait le même)

Par ailleurs La loutre exprime ici l'explication dogmatique du pourquoi on a pas réussi à identifier un virus en plus de 20 ans et encore moisn un vaccin. Il y en a une autre qui est de dire qu'on ne peut développer un vaccin contre un virus qui n'a jamais été identifié formellement et encore une autre qui est de dire qu'il est inutile de développer un vaccin contre un cirus qui n'existe pas.

Pour la suite sur les anticorps, Nico a ouvert le topic " Anticorps : quel rôle dans l'infection ? "

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