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forum sidasante

aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Ouai, c'est pas idiot ce que dit Terry. Personnellement, je ne crois plus à aucun test d'anticorps. Et du coup, effectivement, on peut se demander comment sont faits les tests de mesure de Glutathion. Et même s'ils arrivent vraiment à mesure le taux de Glutathion, on peut se demander si, comme les cd4, le Glutathion ne se trouve pas principalement dans les cellules, hors de portée de quelque mesure que ce soit, rendant ainsi les mesures sanguines non significatives. En tout cas, l'expérience de Terry avec le test de syphilis est encore un exemple de l'inanité des tests d'anticorps (quelqu'ils soient). Les tests de syphilis sont bidons, comme les autres tests d'anticorps.
  2. Oui, il y a l'exemple ici même de viduité. http://www.onnouscachetout.com/forum/index...showtopic=11991 Sinon, aux USA, il y avait aussi Christine Maggiore, si je me souviens bien.
  3. Tiens, il y a un nouveau forum dissident (en anglais). http://www.hivvoice.com/
  4. Merci Jeff-Lyon, Et la dernière relation (celle où il y a eu contamination), elle a duré combien de temps ?
  5. Super, cet article. Justement, j'étais en train de faire une nouvelle section à la partie thème de sidasante, sur les incohérences de la transmissibilité de la séropositivité, et j'étais en train de chercher des témoignages de séropositifs n'ayant pas contaminé leur partenaire malgré de longs mois ou années de rapports sans préservatifs (et inversement, de séronégatifs n'ayant pas été infectés). D'ailleurs, s'il y en a qui ont d'autres témoignages, ça m'intéresse (pour le moment, j'ai récupéré ceux de Claire, d'Anjayl, et de DaK'AZ. Et j'ai aussi l'histoire de Paul Michael Glaser).
  6. Pour l'effet Lazare, franchement, on peut se demander quelle est la réalité de cette histoire. Est-ce que ce n'est pas une légende balancée pour promouvoir les trithérapies ? Je n'ai pas l'impression qu'il y ait beaucoup de littérature sur le sujet. Donc bon... Mais, s'il y a une réalité derrière ça, moi, je verrais plutôt ça de la façon suivante. Il est bien possible que l'effet Lazare soit du à un élément peu pris en considération lorsqu'on analyse la réussite d'une hospitalisation : la réhydratation via perfusion avec distribution en même temps de sels minéraux. Selon le Dr Fereydoon Batmanghelidj, les problèmes liés à la déshydratation peuvent être importants et beaucoup plus courants qu'on ne le croit. Et, à mon avis, les problèmes de manque de sels minéraux sont plus ou moins aussi dans ce cas. Du coup, peut-être bien que des gars qui arrivent à l'hôpital sont déshydratés et/ou manquent de sels minéraux. Et ces deux éléments leur sont fournis par la mise sous perfusion. Du coup, O miracle, tel Lazare, ils reviennent à la vie en quelques jours. Pourquoi ça arrive avec les trithérapies et pas l'AZT ? Ben, probablement parce que les trithérapies sont beaucoup moins létales que l'AZT. Avec la mise sous doses massives d'AZT, les effets négatifs maintiennent le patient au 36ème dessous. Donc, pas d'effet Lazare quand on donne un poison violent. On peut rapprocher ça avec l'effet Lazare qui est soi-disant apparu lors de l'introduction des antibiotiques. Peut-être que là aussi, on donnait avant des médicaments extrêmement agressifs et que l'introduction des antibiotiques, beaucoup moins létaux, a permis de donner un effet Lazare artificiel. C'est à dire, pas lié à l'efficacité de l'antibiotique, mais à sa moins grande létalité par rapport aux anciens médicaments. Cela dit, en faisant une recherche sur l'histoire de la perfusion, il y a quelques temps, j'ai appris que celle-ci a été généralisée en Europe à partir de 1944, grace à la société Baxter. Avant, la perfusion demandait une attention trop importante de la part des infirmières (une infirmière devait rester au moins une heure pour voir si la perfusion se passait bien) et était apparemment peu employée. Bref, ça s'est généralisé juste au moment de l'introduction des antibiotiques. Du coup, on peut penser que l'effet Lazare des antibiotiques était en fait un effet Lazare de la perfusion. Peut-être qu'il n'y avait même pas de problème de moins grande létalité des antibiotiques par rapports aux anciens médicaments, et que c'est la généralisation des perfusions qui est entièrement responsable de l'effet Lazare attribué aux antibiotiques.
  7. Ah oui, excellente cette comparaison des graphiques. Sacré corrélation. J'avais entendu parler du fait que la consommation d'héroïne s'était complètement effondrée à parti du milieu des années 80. Ca confirmerait ça. Comme quoi, les articles de journaux de l'époque destinés à faire peur au bourgeois en nous faisant croire que tous les adolescents allaient devenir des camés à l'héroïne, c'était vraiment de la connerie. Cela dit, sur le graphique, la diminution sur les deux courbes corrèle aussi très bien avec la consommation d'AZT. Et en plus, elle ne date pas des années 80, mais de 1994, date proche de celle à laquelle l'AZT a commencé à être donné en doses moins importantes. Donc, on peut se demander si la courbe des décès par overdose n'aurait pas pu diminuer avant (à partir des années 80). Et, on peut se demander si l'augmentation des décès par overdose jusqu'en 1994, ce n'était pas du en fait à l'AZT. Mais, on aurait masqué ce fait en accusant la drogue. Et à partir du moment où on aurait diminué les doses d'AZT chez les héroïnomanes, les cas de SIDA auraient diminués dans cette population, et également les morts par injection d'héroïne. Donc, avec ces graphiques, on aurait deux hypothèses possibles (dissidentes bien sur ; je ne mets pas l'hypothèse officielle, connue de tous). 1) C'est la diminution de la consommation d'héroïne, à partir de 1994, qui a conduit seule à la diminution des cas de morts par overdose ET à la diminution des nouveaux cas de sida liés à l'utilisation de drogues absorbées par voie intraveineuse. 2) C'est la diminution de la consommation d'AZT qui a conduit principalement à la diminution des cas de morts par overdose ET à la diminution des nouveaux cas de sida liés à l'utilisation de drogues absorbées par voie intraveineuse. Je vais mettre ça sur sidasanté.
  8. De toute façon, quand on voit comment sont faits les tests d'ADN, on appréhende d'un regard nouveau cette histoire de mutations. Comme je l'ai écrit ici, apparemment, on ne voit pas grand chose sur une bande d'ADN. Il faut pousser fortement le contraste avec l'ordinateur pour identifier les bandes. Et là, problème, il y a en fait plein de bandes. Beaucoup plus que ce qui est montré à la fin. Et c'est le technicien qui élimine, repositionne et redimensionne les bandes au gré de son inspiration. Bref, ces tests d'ADN sont complètement bidons. Donc, on peut penser que les soi-disantes mutations sont liées à ce qu'affirment les chercheurs et donc, à ce que le technicien capte en amont de son travail. Si on lui dit que le virus mute très peu, il va traficoter le résultat pour le faire correspondre à ce qu'on attend de lui (et qui là, est assez stricte). Et si on lui dit que le virus mute beaucoup, il va toujours suivre le sens du vent, mais comme là il n'a pas de contrainte de résultat, il va être beaucoup plus libre de trouver n'importe quoi. Donc, le résultat va varier. Donc, je pense que ce ne sont pas les résultats des tests qui donne le là, mais la théorie qui donne le là pour les tests. Et la théorie s'établit en fonction des besoins. Si, comme pour le SIDA, il faut faire peur aux gens, il vaut mieux dire que le virus mute. Idem, si les médicaments donnés au patient ne marchent pas (parce que ce sont eux qui tuent le patient en réalité), accuser les mutations rapides du virus permet de reporter la responsabilité de la mort sur le virus. La mode doit aussi intervenir. Il faut se souvenir que les années 80 étaient une période de délire sur les soi-disantes mutations des virus. C'est sur que sur les virus trouvés il y a lontemps, et pour lesquels on a un vaccin par exemple, ou un traitement supposé efficace, et qui ne sont pas des virus tueurs, c'est difficile de balancer une histoire de mutation super rapide. On peut appliquer, par contre, aux virus qui reviennent régulièrement, comme la grippe.
  9. Effectivement, comme dit Wallypat, il y a peut-être une opportunité. Il y a un précédent qui permet d'être relativement optimiste : celui des tests d'ADN, comme j'en ai parlé sur ce topic. Dans ces différentes affaires, des avocats on mis en avant le fait que les tests d'ADN ne sont pas fiables, voir, que les méthodes utilisées relèvent carrément du trucage pur et simple. Et apparemment, ils sont gagné. Or, on peut dire que les tests d'ADN, dans l'esprit d'une personne lambda de notre époque sont considérés comme aussi intouchables, voir encore plus intouchables que l'existence du VIH. Donc, si ça a marché pour les tests d'ADN, peut-être que ça peut marcher pour l'existence du VIH. Par contre, ça se passait aux USA. Peut-être que dans d'autres pays, la justice sera plus expéditive. A voir.
  10. Tiens, sur les tests d'anticorps au VIH, parfois les orthodoxes disent que c'est normal qu'ils soient si dilués. Mais, a priori, on peut penser que la dilution est fonction de la quantité d'anticorps dans le sang (on ne voit pas trop quelle autre raison pourrait pousser à diluer). Donc, si c'est lié à la quantité d'anticorps, on ne voit pas pourquoi les tests devraient être plus dilués que d'autres tests. Il doit y avoir une quantité à peu près similaire d'anticorps que dans le cas d'une maladie comme l'herpès par exemple, ou la tuberculose, etc... Donc, aucune raison de diluer plus. Et c'est encore plus vrai pour les tests d'antigènes (ceux où on utilise des anticorps de synthèse pour trouver des antigènes se trouvant dans le sang). Dans la mesure où on a beaucoup de mal à trouver du VIH dans le sang, au contraire, il ne faut surtout pas diluer. En fait, si c'est un problème de quantité d'anticorps (ou d'antigène) qui pousse à diluer, quelque soit le cas, finalement, on se demande pourquoi diluer. Parce que si la quantité d'anticorps est élevée, on ne voit pas trop pourquoi diluer. De toute façon, le test va réagir positif. Et si la quantité d'anticorps ou d'antigène est basse, a priori, il ne faut pas diluer, parce qu'on va avoir encore plus de mal à trouver ce qu'on cherche. Par contre, par rapport à l'explication que je donnais dans le topic "critique des tests d'anticorps", la dilution devient beaucoup plus logique. En fait, on dilue en fonction du pourcentage d'individus qu'on veut faire réagir positif (bon, ce n'est probablement pas un choix conscient, mais en gros, ça revient à ça. Disons qu'on dilue en fonction de ce que dit la théorie sur le pourcentage des gens ayant des anticorps. Si c'est 95 % des gens qui doivent réagir, le test sera peu dilué et réagira donc 95 % du temps). http://www.onnouscachetout.com/forum/viewtopic.php?p=234838
  11. aixur

    La méthode PCR

    Tiens, par rapport à ce que j'ai mis samedi dernier dans le topic sur la fiabilité des tests d'ADN, il est clair que c'est complètement en liaison avec la validité de la méthode PCR. Et il est clair que si la méthode pour identifier l'ADN est en pratique complètement bidonnée (via retouche logicielle), alors, d'une façon générale, la méthode PCR s'effondre avec la méthode d'identification de l'ADN, puisque aucun résultat donné par la méthode PCR ne peut être identifié sérieusement. http://www.onnouscachetout.com/forum/viewtopic.php?p=248524
  12. aixur

    Silence radio

    Ouai, ça va ça vient. Il y a déjà eu d'autres fois où le forum était calme. Et puis, tout d'un coup, pouf, ça reprend. Ca peut pas être tout le temps à fond. Sinon, c'est vrai que depuis un an, on n'a pas eu des tonnes de nouveaux. C'est sur que pour la motivation, c'est moyen. Ca donne l'impression de pédaler dans la semoule. Par contre, je constate que sur d'autres forums, la vision dissidente devient de plus en plus répandue, parfois presque banalisée. Relativement souvent, je vois 2 ou 3 mecs qui, sans être forcément très au courant des détails techniques, ne croient plus du tout à la version officielle. Et un certain nombre citent sidasante.
  13. Ben oui, mais quand on parle de ça (de la fièvre), les orthodoxes disent que c'est le corps qui crée la fièvre en réaction à l'invasion des germes pathogènes. Mais si le corps ne peut plus réagir (parce que ses défenses sont neutralisées), normalement, il ne devrait pas y avoir de fièvre. Alors, ensuite, tout dépend de l'étape de défense de la part du système immunitaire dans laquelle se situe ce phénomène, et si c'est indépendant ou pas. Si ça se passe en amont de l'intervention des T4, ou si c'est un système indépendant du système dans lequel interviennent les T4, effectivement, la réaction peut perdurer. Mais, c'est à voir.
  14. Sinon, en lisant le livre de Etienne de Harven, je crois avoir compris pourquoi il faut aussi isoler le virus directement à partir du sang d'un séropositif, sans faire de culture. Jusque là, je pensais que bien sur, ce n'était pas suffisant, mais qu'en plus, ce n'était pas nécessaire, parce que la culture donnait tous les résultats voulus. Et avec culture de controle, eux (alors qu'on ne peut pas avoir de controle avec l'échantillon sanguin). Isoler directement à partir du sang n'est bien sur pas suffisant, mais, je pense qu'en fait, il faut le prendre comme un mécanisme de controle supplémentaire. Parce que si on trouve du virus par la suite dans les cultures réalisées à partir du sang du séropositif, ben, il est logique qu'on en trouve aussi dans le sang du supposé séropositif. Si on n'en trouve pas dans l'échantillon de sang, y a comme un problème. Comment ça se pourrait se faire qu'on puisse cultiver du virus à partir du sang d'un séropositif sans en trouver dans ce même sang ? Donc, il faut forcément trouver du virus aussi dans le sang du supposé séropositif. Si on en trouve dans la culture et pas dans le sang, il y a une grosse contradiction.
  15. Tiens, un truc qui peut poser question. On dit qu'un séropositif qui a une forte fièvre, c'est un symptome du SIDA. Mais, est-ce que la fièvre n'est pas une caractéristique de la défense active du système immunitaire ? Donc, si le système immunitaire était en berne, au contraire, il ne devrait pas y avoir de fièvre. Le germe pathogène devrait progresser en silence, sans provoquer de réactions, jusqu'à ce qu'il soit trop tard.
  16. De toutes façons, il n'y a pas que le stress oxydatif comme problème. Il y a le problème de l'équilibre acido basique, le problème de l'hydratation ; comme l'a souligné Cheminot, le problème des oligo éléments. On peut aussi penser au problème des poisons qui vont créer des problèmes spécifiques : pollution, injection d'hydroxyde d'aluminium et autres trucs contenus dans les vaccins, etc... Il y a aussi le problème de la surcharge en protéines et graisses, qui va provoquer je pense, des maladies d'encrassement et des phénomènes d'élimination plus ou moins violents. Il y a également, selon moi, le problème des substances comme le cortisol, la cortisone, les antibiotiques, qui vont fluidifier temporairement le sang, mais qui vont poser plein de problèmes par ailleurs : hémorragies, élimination insuffisantes des déchets entraînant ainsi une perte d'énergie, endommagement de la moelle osseuse, etc... Donc, avec ces problèmes, on pourra prendre tous les anti-oxydants qu'on voudra, ça ne changera pas énormément de choses. Le problème du stress oxydatif lui-même est, comme l'a souligné Wallypat, un problème d'équilibre entre oxydant et anti-oxydant. Si la quantité d'oxydant surpasse la quantité nécessaire d'anti-oxydants, il y aura problème (même si on prend beaucoup d'anti-oxydants). Et puis, il ne faut pas oublier la différence globale/locale. Il peut y avoir des surcharges locales d'oxydant. Surcharges locales qui ne pourront pas être compensées par le taux moyen d'anti-oxydant dans le corps. Par exemple, un antibiotique va agresser particulièrement le système digestif, vu qu'il est encore fortement concentré à cet endroit là. Ou les Poppers vont agresser les vaisseaux sanguins proches du nez.
  17. Ouai. C'est aussi ma position. Je pense qu'un test positif ne signifie qu'un éventuel stress (pas toujours). Stress éventuel qui peut déjà être en train de passer. Et si non, qui peut tout à fait ne pas dégénérer en maladie (s'il n'est que passager). Et s'il dégénère en maladie, ça peut ne pas être du tout une maladie grave. Très souvent, il peut ne s'agir que d'un truc tout à fait bénin. Les rares cas ou effectivement, on peut penser qu'il y a risque que ça dégénère de façon relativement sérieuse à court terme, à mon avis, c'est que la personne est déjà clairement mal en point et/ou prend des substances agressives, ou manque des nutriments essentiels. Et alors, il n'y a pas besoin de test pour prédire que la personne risque de tomber malade. Et ça, c'est à court terme. Je ne pense pas du tout que les tests puissent indiquer quoi que ce soit à long terme. Parce que je crois que la suppression des poisons, et/ou le rééquilibrage des substances nécessaires au fonctionnement du corps (via l'alimentation) permettent de retrouver la santé. Je ne crois pas à une lente et inévitable dégradation alors même que tout à été réglé (plus de poison et apport des nutriments nécessaires). Je ne parle pas des cas extrêmes bien sur : genre le gars qui a été complètement déglingué par des opérations diverses. Là, ok, le gars peut parfois continuer à avoir des problèmes. Et encore, là, je ne crois pas vraiment à une lente dégradation, mais plutot à un organe qui lache ou quelque chose comme ça, un truc plutot soudain quoi. Donc, à mon avis, la relation "test positif --> maladie" est vraiment hyper hyper lache. Et même sur le type de population pour laquelle il a un éventuel pouvoir prédictif à court terme (drogués surtout, ou poly médicamentés), ça n'a alors pas grand intérêt, vu que par ailleurs, il est évident que la personne ne va pas bien et qu'elle risque de tomber malade.
  18. Franchement, je ne vois pas où est le problème. Il est normal qu'un certain nombre de séropositifs croient qu'ils ont fait une primo-infection, vu que souvent, ils vont faire le test APRES avoir été malade. L'idée de la primo-infection, dans ce cas, c'est une simple théorie après coup. C'est le cerveau qui construit un rapport de causalité alors qu'il ne s'agit que d'une simple corrélation. Tu es dans ce cas là, à mon avis. Sinon, pour le pourcentage de personnes qui ont une primo-infection, 5 %, pourquoi pas ? C'est peut-être plus, comme tu as l'air de le penser. Mais en tout cas, on ne peut pas se baser sur ta seule expérience, Jeff-Lyon. Pour l'instant, tu ne nous a donné que ton expérience et celle de ton copain je crois. 2 personnes, on ne peut pas dire que ça fasse un super échantillon statistique, pour le moins. Surtout que, dans ton cas, on peut penser que le fait de t'être fait vacciner contre la fièvre jaune 3 semaines avant n'a pas du aider. Personnellement, je me souviens qu'il y a 15 ans, je m'étais fait vacciner 3 années de suite contre la grippe. Et, alors que les 10 années précédentes, mes rhumes avaient été de moins en moins violents, pouf ! ces 3 années là, j'ai eu un rhume particulièrement violent (limite grippe), puis, un truc carrément bizarre que je n'avais jamais eu avant (ni après) ; une espèce de toux qui a duré quasiment un mois. Et je crois que le dernier truc a été un rhume assez important qui a récidivé au bout de 15 jours. Lorsque j'ai arrêté la vaccination contre la grippe, à nouveau, les rhumes sont devenus de moins en moins violents. Tout ça ajouté au fait que les courbatures post vaccination duraient de plus en plus longtemps (1 semaine la première fois, 3 semaines la dernière). Donc, avant de penser à la primo-infection, je crois qu'il faudrait s'interroger sur le problème du vaccin. En tout cas, il y a une explication alternative toute trouvée. Et il y en a peut-être d'autres : chaleur de ce mois de juin 1990 augmentant les symptomes de la grippe à cause d'une légère déshydratation, etc....
  19. Pour en revenir à la procédure d'isolement standard, à mon avis, la procédure d'isolement du VIH faite en 97, c'est la procédure standard (à quelques détails près). Et comme elle est facile à mettre en oeuvre (on cultive, on purifie et on identifie les protéines et l'ADN/ADN, tout ça avec une culture de contrôle), elle est utilisée tout le temps. C'est la raison pour laquelle des virologues comme Nico111 disent qu'ils font la procédure d'isolement tout le temps. Et effectivement, ça doit être vrai (à quelques détails près, très importants). Or, c'est surprenant pour les dissidents. En effet, vu ce qu'on lit dans les documents dissidents, on a tendance à penser que c'est une opération qui se fait rarement. Et même, en l'occurrence, pour le VIH, normalement, elle n'a du se faire que deux fois (en 1984 et 1997. Et encore, en 1984, c'était complètement baclé). Donc, quand on apprend que cette procédure est réalisée fréquemment par les virologues, on ne comprend pas. Ca va complètement à l'encontre de ce qui est suggéré par les documents émanent de Etienne de Harven ou du groupe de Perth. Et donc, on peut se mettre à douter et penser que puisque cette opération se réalise si fréquemment, ben, les virologues es SIDA travaillent bien sur quelque chose de réel. Sinon, ils auraient fini par se rendre compte du problème. Parce que, ne pas voir qu'il y a quelque chose qui cloche quand seulement 2 groupes de scientifiques ne réalisent une opération que 2 fois en 20 ans, d'accord. Mais quand elle est réalisée très souvent pas de nombreuses personnes différentes, là, ce n'est plus du tout là même chose. Il y a forcément quelqu'un qui va se rendre compte du problème. Et on peut penser que sur le nombre, il y en a bien qui réalisent l'opération correctement. Et s'ils arrivent à trouver des particules qui se répliquent, c'est bien qu'il y a quelque chose quand même. Et puis, on se dit que les scientifiques dissidents ont raconté n'importe quoi alors, quand ils disent que l'opération d'isolement n'a été faite que 2 fois en 20 ans. Donc, il y a un truc quelque part. mais quoi ? Je n'en suis pas encore complètement sur, mais à mon avis, le problème vient d'une différence sur un détail ; en l'occurrence, sur le fait que les virologues orthodoxes en question doivent travailler sur des cultures supposées contaminées, mais pas des cultures de cellules venant de personnes séropositives ET sans mélange avec d'autres types de cellules. Ca doit être là que se situe toute la différence. Ce n'est qu'une très subtile différence, mais ça change tout, parce que les virologues ne travaillent pas sur une culture de cellules qui vient directement d'un séropositif ET non mixte, mais soit sur des cultures de cellules contaminées ET mixtes (mélanges de cellules cancérisées n'ayant rien à avoir avec les lymphocytes, et de lymphocytes ; et parmi ceux-ci, soit des lymphocytes qui ne viennent pas directement d'un séropositif, soit si), soit peut-être sur des cultures de cellules où là, il n'y a carrément aucun lymphocyte (donc, on se fie uniquement au fait que la culture à du être contaminée par le virus). Donc, dans la mesure où il ne s'agit pas d'une culture pure de lymphocyte venant d'un séropositif, mais au minimum d'une culture mixte, on ne peut pas parler d'isolement. L'isolement doit venir uniquement d'une culture de lymphocytes venant d'un séropositif et non mixés avec d'autres cellules. Si les virologues orthodoxes travaillaient sur une culture constituée uniquement de lymphocytes venant d'un séropositif, là, ok, on pourrait considérer qu'il s'agit d'un isolement. Mais dans la mesure où ce n'est pas le cas, il ne s'agit pas du tout d'un isolement. Le truc qui permet d'obtenir quelque chose, c'est que la partie non lymphocyte de ces cultures est constituée de cellules cancérisées, produisant un peu ce qu'on veut en matière de particules de taille virales. Ben, c'est sur que comme ça, ce n'est pas difficile d'obtenir ce qu'on veut (*). Mais dans la mesure où les virologues travaillent peut-être sur des cultures qui peuvent contenir des cellules venant de la culture originelle de Gallo (qui venait d'un séropositif), ils ont beau jeux (si c'est le cas) de dire que la culture contient des cellules venant d'un séropositif et donc, que leur procédure est équivalente à un isolement. Seulement, ce n'est pas suffisant qu'il y ait des cellules venant d'un séropositif. Il faut qu'il n'y ait que ça pour pouvoir dire qu'on procède à un isolement. Mais comme les virologues n'ont, à mon avis, pas trop conscience de ce problème, ben, pour eux, pas de problème, ils font un isolement. PS : (*) : en particulier, le fait de travailler sur des cultures de cellules cancérisées, doit permettre de faire se multiplier l'expression d'une protéine. En fait, ce n'est à mon avis pas le virus qui se multiplie et donc, qui multiplie la protéines, mais très probablement les cellules. C'est ce que je faisais remarquer pour l'expression des protéines fluo à partir d'embryons de divers animaux. On n'arrive apparemment pas à faire se répandre la fluorescence dans des animaux ayant fini leur croissance (à part à des distances de quelque µ, ce qui n'est pas significatif). Dans une culture de cellules, l'illusion que c'est le virus qui se multiplie et donc, multiplie la protéine vient de ce qu'on utilise des cellules cancérisées. Ce sont elles qui se multiplient et qui multiplient la protéine. Mais on attribue ça au "virus".
  20. Pour revenir sur la méthode que devait utiliser Etienne de Harven, le fait qu'à son époque, il ne devait pas y avoir d'identification des protéines et de l'ADN/ARN me semble clairement confirmé par la date de découverte des tests divers et aussi des débuts du décryptage de l'ADN. Historique des test d'anticorps et d'ADN/ARN : Entre 1961 et 1966, premier séquençage d'ADN par Marshall Warren Nirenberg (méthode apparemment longue et laborieuse) 1971 : Le test Elisa est le premier à être découvert, par deux suédois : Eva Engvall and Peter Perlman 1975 : Le test Southern Blot (test servant à identifier l'ADN) est découvert par Edward M. Southern 1977 : Le test Northern Blot (test servant à identifier l'ARN je crois) est découvert par Alwine, Kemp et Stark 1981 : Le test Western blot est découvert par W. Neal Burnette 1984 ou 85 : la méthode PCR est mise au point par Kary Mullis Donc, tous ces tests ont été mis au point après les années 60, à partir des années 70. Donc, effectivement, on ne pouvait pas identifier les protéines et l'ADN/ARN des virus ou d'autre chose, avant les années 70. Donc, la méthode qui devait être utilisée dans les année 50 et 60, ça devait bien être une méthode purement visuelle, comme l'évoque de Harven. Et une simple méthode visuelle, ça ne permet pas d'aller bien loin dans l'identification d'un virus. Donc, tous les isolements faits avant les années 70 ne valent à mon avis rien du tout. Bon, alors bien sur, les virologues pourraient avoir complété le travail après coup. Seulement, ça, il faut le prouver. Et puis, comme la méthode actuelle ne vaut à mon avis pas plus que la méthode précédente, forcément, on n'est pas tellement plus avancé.
  21. C'est clair. C'est ce qui s'était déjà passé avec la trithérapie d'ailleurs. On avait là un poison qui tuait moins. Ca a été considéré comme un médicament qui soignait mieux.
  22. Evidemment, comme, à mon avis, il n'y a pas de système immunitaire, je pense que mixer la théorie du système immunitaire avec la théorie du stress oxydatif conduit à des illogismes et des théories bancales. On est obligé d'assumer tout le bestiaire et tous les processus compliqués de la théorie du système immunitaire. A mon avis, c'est foireux. Je pense que sans le système immunitaire, la théorie du stress oxydatif est beaucoup plus simple et logique. Sinon, je pense qu'il est important d'en parler. Il ne faut pas laisser les problèmes potentiels dans l'ombre. Par contre, il faudrait faire un topic dédié. Comme ça, on ne dévirait pas du sujet du présent topic.
  23. Tiens, un autre truc qui m'est venu à l'idée (à l'instant). C'est à propos du fait que les séropositifs aient des anticorps pour apparemment la plupart des protéines du VIH. Chose qu'on constate à travers le Western Blot. Pourquoi les séropositifs devraient-ils avoir des anticorps à toutes les protéines du VIH, puisque seulement une ou peut-être deux protéines servent de point de contact avec les anticorps (la gp120 je crois) ? La gp120 est normalement la seul protéine qui doit entrer en contact avec l'anticorps. Donc, normalement, il n'y a pas de contact avec les autres protéines et donc, pas d'anticorps. Donc, comment se fait-il que sur le WB, on ait une réaction à 10 protéines différentes ?
  24. Ok. Effectivement, j'étais passé à coté de ça. Je suppose qu'il fallait bien prendre un critère pour déterminer qu'on avait bien un séropositif. Et il a du prendre un critère propre à l'orthodoxie, pour qu'il n'y ait pas de discussion. Cela dit, je ne suis pas sur qu'on parle vraiment de la même chose. Moi, en parlant des méthode utilisées par de Harven, je parlais de celles qu'il utilisait et qui devaient être utilisées dans les années 50/60. Je ne parle pas de ses considérations sur le VIH. Cela dit, ses considérations sur la technique d'isolement du VIH ne parlent pas de culture virale. Donc, je pense que ça montre bien qu'il en est resté aux anciennes techniques. Sa technique d'isolement proposée pour le VIH ne suffirait pas à prouver qu'on a un virus (et encore moins, le VIH). Avec la méthode utilisée, dans la mesure où on ne peut pas savoir ce qui est, et n'est pas du virus, on peut raconter n'importe quoi.
  25. Je reviens sur le problème des controles et comment on peut les contourner. Il semble qu'il y ait donc deux controles. Un premier, ou on utilise individu supposé sain pour voir s'il réagit aux protéines contenues dans la purification virale. Et un deuxième qui consiste à faire une deuxième culture, mais avec des cellules supposément saines. Pour le premier, il semble qu'on joue sur le fait qu'on ne va pas utiliser 36 personnes saines pour tester la purification. Apparemment, en général, on ne va utiliser qu'un personne. Du coup, avec un peu de chance, la personne ne va pas réagir. Oui, mais si on utilisait de nombreuses personnes supposées saines, pour faire le controle ? Ben, ça ne serait probablement pas gênant. Parce qu'on intégrerait alors le pourcentage de personnes réagissant dans la conclusion de l'analyse. Supposons que sur 100 personnes supposées saines, on ait 80 personnes qui, malgré tout, réagissent positives. Ben, au lieu de dire qu'on ne peut pas conclure à la présence d'un virus, on va alors dire que la prévalence est de 80 % dans la population générale. Cool la vie. Par exemple, prenons le virus de l'herpes. La prévalence est de 80 % dans la population générale. Donc, lors de l'isolement, si on avait utilisé plusieurs personnes pour faire le premier controle et qu'on avait obtenu 80 % de positifs, on aurait dit que la prévalence était de 80 %. Pour le deuxième controle, déjà, il y a le fait qu'apparemment, les résultats des tests sont variables et que là aussi, on ne teste pas grand monde. Donc, cette variabilité et le peu de monde testé doit beaucoup aider à obtenir ce qu'on veut trouver. Mais en y réflechissant à nouveau, je vois encore une autre méthode pour passer outre ce controle. Elle apparait clairement dans le cas du VIH. On va être très exigeant sur la similarité du Western Blot (WB) réalisé sur le controle avec celui réalisé sur la purification de la culture virale. Par exemple (exemple imaginaire), si le WB fait sur la culture "virale" réagit positif sur 10 bandes et que le WB fait sur le controle réagit positif sur "seulement" 9 bandes, on va dire qu'il n'y a pas la même chose dans les deux cultures (et ça va être le cas même si la 10ème bande réagit quand même un peu). Par contre, comme par hasard, l'exigeance extrême qui est de mise pour le WB lors de l'isolement, ne l'est plus une fois les tests entrés en production. Si on teste une population à risque, et qui ne risque pas de venir gueuler (comme les africains, par exemple), on va considérer que, finalement, le fait de réagir positif à toutes les bandes n'est plus si important que ça. Cette technique peut d'ailleurs s'appliquer au premier type de controle.
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