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This article is primarily about HHV-6 (human herpes virus 6), discovered in 1986 by Dr. Robert Gallo, who also was the co-discoverer of HIV.

L'article en question

Traduction :

" Cet article est d'abord consacré au HHV-6 (human herpes virus), découvert en 19986 par Dr. Robert Gallo, qui était aussi le codécouvreur du VIH. "

Mon avis strictement personnel :

Je ne vais pas jetter l'eau du bain (Gallo) avec tous les bébés (virus) mais j'aimerai bien savoir ce qu'en dit Gallo lui-même car c'est fou comme tous les virus qu'il a "découverts" ont les mêmes effets :

As far as the difference in potency between HIV and HHV-6 goes, HHV-6 is much more efficient at damaging the immune system and the brain than is HIV. HHV-6 is extremely “lytic,” meaning that it splits, cuts up, and destroys cells.

Traduction approximative :

" Le HHV-6 est différent du VIH dans le sens qu'il est plus féroce à attaquer le système imunitaire et le cerveau que le VIH.

Le HHV-6 est extrêmement "lytique" ce qui veut dire qu'il percute, hâche et détruit les cellules. "

Si quelqu'un peut mieux traduire, merci.

En résumé, Gallo a "découvert" :

- le HL23V : officiellement et orthodoxement complètement foireux comme coup,

- le HTLV-1 : période de latence de 40 ans (!), explose le système immunitaire,

- le HHV-6 : longue période de latence, explose le système immunitaire,

- le VIH (coup réussi) : longue période de latence (mais impossible à définir après 25 ans d'études sur le sujet), explose le système immunitaire.

Tous se transmettent sexuellement et aucun d'eux ne réagit de manière satisfaisante aux antiviraux actuels.

Où se situe le problème ? Dans les antiviraux ou dans les "virus" découverts par Gallo, ou dans les deux ?

Pendant qu'on y est, Gallo en a "découverts" d'autres comme ça , de virus, grâce à l'invention de Duesberg ?

Si on n'en a pas assez (des virus sexuellement transmissibles et qui explosent le système immunitaire après une longue période de latence), vu qu'il sait utiliser la "machine" (à sous), il suffira de lui demander !

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Je reconnais que je n'ai pas été plus loin que le premier quart de l'article car à ce stade-là, on comprend tout de suite qu'il n'y a pas le moindre crédit à lui accorder.

1) Rappelons nous que nous avons déjà sous la main une théorie quasiment parfaite expliquant le sida (à savoir les agents oxydants causant le stress oxydatif), sans avoir besoin de faire intervenir un germe quel qu'il soit. Pourquoi dès lors chercher des explications ailleurs, et pire encore, pourquoi absolument vouloir faire intervenir un germe quelconque ?

Le gros "désavantage" de la théorie du Perth Group, c'est que le malade est généralement seul responsable de son état, car dû généralement à son style de vie. On peut dès lors aisément comprendre que cela ne plaise pas à certaines personnes et qu'il est plus commode d'attribuer la responsabilité de son état à un germe quelconque : si ce n'est pas le "VIH", pourquoi ne pas attribuer la cause au HHV6 ? Ne nous gênons pas, tant qu'on y est.

2) Il n'y a pas une seule référence scientifique à cet article. Comment y accorder une once de crédit ?

3) Il y a même carrément des mensonges (au mieux des erreurs) éhontés manifestement destinés à faire passer la théorie du HHV6 (et encore, je n'ai lu que le premier quart de l'article !).

Deux exemples parmi tant d'autres :

And there are many people with AIDS who are HIV negative. That's right. They have AIDS but do not have HIV. Very curious.

Comme on l'a déjà signalé, si on entend par "sida" des maladies rares (pas les tuberculoses, herpès, diarrhées, etc...) devenues fréquentes chez les personnes séropositives, les cas de sida sans "VIH" sont extrêmement rarissimes. Et encore, ce n'est que parce que ces cas rarissimes ne réagissent pas aux tests d'anticorps. En revanche, le "VIH" (du moins dans l'optique orthodoxe du sida) peut être détecté d'autres façons, au surplus de façon bien plus directe et plus précise (du moins, sous l'optique orthodoxe du sida, pas sous l'optique du Perth Group bien sûr) d'ailleurs : culture, tests génétiques, ...

Visiblement, cet auteur ne lit vraiment pas beaucoup la littérature orthodoxe et scientifique du sida ! Dès lors, encore une fois, comment accorder une once de crédibilité aux assertions de cet auteur ?

AIDS cancer, in particular Kaposi Sarcoma, is directly related to HHV-6. In the absence of HHV-6, AIDS patients rarely develop Kaposi Sarcoma.

Rien n'est plus faux. Toujours sous l'optique orthodoxe du sida, le sarcome de kaposi serait causé ou à tout le moins relié étroitement au HHV8, pas au HHV6. En outre, "association" ne rime pas avec "causalité".

4) L'auteur croit en l'existence du rétrovirus exogène "VIH". Voilà qui doit inspirer la plus grande méfiance à son égard.

5) On peut faire à l'encontre de la thèse du HHV6 les même critiques, peut-être même en pire, que celles faites à l'encontre du HHV8 et du sarcome de kaposi (lire ce post) :

a) Le HHV6 a-t-il réellement été isolé ?

J'en doute, en particulier quand je lis par exemple cet article où je constate que l'on prétend pouvoir isoler dorénavant de nouveaux germes à l'aide de la seule biologie moléculaire et que c'est justement grâce à ces techniques de biologie moléculaire, que les présumés virus HHV6, HHV7 et HHV8 ont été découverts. On rappellera à cet égard que le prétendu virus de l'hépatite C a également été "isolé" de cette façon-là. On peut dès lors tout simplement douter de l'existence même de cette présumée entité virale "HHV6".

b) Si le HHV6 n'a pas été correctement isolé, par conséquent, les tests prétendant le détecter dans le cadre de certaines maladies ne sont pas fiables, que ce soit des tests d'anticorps ou des tests génétiques.

c) A supposer même que le HHV6 existe réellement, et bien, le moins qu'on puisse dire, c'est que ce virus est fortement répandu : quasiment le monde entier en est porteur, et sans en être malade, heureusement d'ailleurs (la maladie constitue au contraire l'exception) !

Ainsi, avant même d'avoir 4 ans, 70% des enfants ont déjà été "contaminés" par le HHV6 :

Le virus de la roséole infantile ou HHV6 : la contamination a lieu très tôt au cours de la vie (70% des enfants de moins de 4 ans ont des anticorps spécifiques), mais la primo-infection est généralement inapparente. Si elle se manifeste, c'est par une hyperthermie (3 à 4 jours) qui peut occasionner des convulsions suivie d'une défervescence et d’un exanthème subit rubéoliforme (1 à 2 jours) siégeant sur le tronc et le cou : c'est la "6e maladie infantile" (ou roséole). Il n'y a pas de formes sévère de cette maladie et sa guérison est toujours spontanée.

Voir aussi cet article :

Très loin dans l'échelle du temps, on trouve une variante du virus de l'herpès, le HHV6 qui infecte plus de 97% de la population sans causer de problèmes sérieux de santé. La plupart des humains sont donc infectés durant leur enfance et on ressent alors à ce moment là des symptômes assez ressemblant à celui d'une grippe.

Franchement, si on supposait que le "VIH" et le "HHV6" existaient tous les deux, on devrait logiquement déduire que la corrélation avec le sida est bien plus étroite avec le "VIH" qu'avec le "HHV6".

d) On peut se demander dans quelle mesure l'immunodépression ne serait pas en mesure de réactiver le virus HHV6 (à supposer qu'il existe bien sûr) endormi, donnant ainsi l'impression qu'il aurait un rôle causal, alors que c'est plutôt l'inverse : le HHV6 ne cause pas de quelque façon que ce soit le sida ou des maladies quelconques, mais c'est l'immunodépression qui réactive et provoque la visibilité du HHV6 ou à tout le moins l'apparition de séquences d'ADN prétendument attribuées à un supposé nouveau virus de l'herpès, le si mal nommé "HHV6".

CONCLUSION

Il me paraît logiquement impossible d'accorder un quelconque crédit à cet article. Il y a vraiment bien mieux à lire, me semble-t-il. Si je devais comparer cet "article" à la littérature de l'orthodoxie du sida, cette dernière me paraît solide comme du béton armé. Or, comme nous savons qu'il n'en est pourtant déjà strictement rien, nous pouvons que nous gausser des assertions figurant dans cet article. Telle est du moins mon opinion.

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Pardon de sortir du cadre technique pour vous coller ça (à prendre avec des pincettes),

que vous connaissez sans doute :

Le mémorandum du Dr Strecker sur le sida

Voici le dernier drame en date. En fait, il y a beaucoup d'autres situations dangereuses (je pourrais en parler pendant des heures),

mais je vais seulement vous expliquer celle-ci à propos du sida.

Je suggère que vous vous procuriez la vidéo si vous ne l'avez pas encore fait.

Les gouvernements essaient tant bien que mal de la supprimer.

En effet, le Dr Strecker a enregistré sur vidéo le mémorandum de ce qu'il pense qu'il s'est vraiment passé avec le sida.

C'est un homme brillant. Il a travaillé avec les rétrovirus pendant longtemps et c'est un expert en la matière.

Il a montré sa vidéo à la télévision et les gouvernements l'ont menacé. On prétend qu'ils ont tué son frère ainsi que le sénateur qui le parrainait.

Mais ils ne firent rien à Strecker lui-même, c'eut été trop évident, je suppose. Le docteur Strecker a distribué beaucoup de ses vidéos.

Il les a répandues dans le monde, quand bien même on n'en entend plus parler.

Dans cette vidéo, le Dr Strecker montre comment les Nations unies ont tenté de résoudre le plus gros problème dans le monde aujourd'hui,

c'est-à-dire la surpopulation. Au rythme actuel, la population mondiale aura doublé en l'an 2010 ou 2012.

Mais étant donné les mesures prises par la Chine, qui ne permet qu'un seul enfant par couple, et d'autres mesures draconiennes

prises un peu partout dans le monde, on était parvenus à ralentir cette croissance.

L'organisation croit encore à ce doublement de la population.

On estime maintenant qu'en 2014 environ, la population mondiale aura doublé par rapport à aujourd'hui.

Si cela s'avère exact, les modèles calculés par ordinateur ont montré que toute vie sur terre cessera

ou que l'on désirera ardemment qu'il en soit ainsi. En effet, selon l'Organisation des Nations unies,

nous pouvons à peine nous en sortir avec une population de presque six milliards d'individus.

Pouvez-vous imaginer ce que ce serait s'il y avait onze ou douze milliards de gens dans le monde?

Il n'y a simplement pas moyen que ça fonctionne, du moins avec notre présent système.

Par conséquent, si vous aviez un poste important aux Nations unies et saviez que ce désastre allait probablement se produire

et qu'une décision s'imposait, que feriez-vous?

Je ne juge pas ceux qui ont choisi de faire ce qui a été fait, mettez vous à leur place!

Vous vous rendez compte que la Terre va bientôt faire face à un mur et qu'elle sera complètement détruite

si les choses ne changent pas.

Ces gens-là prirent donc une décision, ce que le Dr Strecker démontre dans son mémorandum télévisé.

L'ONU décida ainsi : plutôt que d'avoir à faire face à une population mondiale de onze milliards d'individus en peu de temps,

ses membres voulurent la réduire des trois quarts. Dans la vidéo, ce spécialiste cite des extraits du document de l'ONU

qui nous incitent à penser qu'un plan visant l'élimination des trois quarts de l'humanité doit être mis en place.

Le Dr Strecker démontre scientifiquement et de manière précise comment les responsables s'y sont pris.

Le virus du sida fut créé en combinant un virus de mouton avec un virus de vache. Mais avant de le propager, on créa également son antidote.

Les gouvernements ont une cure pour ce virus en ce moment même, selon le Dr Strecker. Les gens qui ont fabriqué ce virus,

et l'histoire prouvera ce fait, étaient évidemment remplis de préjugés, puisqu'ils ciblèrent deux groupes : les Noirs et les homosexuels.

Il y avait à Haïti une épidémie d'hépatite B dans la communauté gay et tous avaient besoin d'un vaccin contre cette maladie.

Des agents de l'ONU prirent donc le virus du sida, l'ajoutèrent au vaccin contre l'hépatite B et permirent

que ce nouveau produit soit injecté dans le corps des patients haïtiens...

C'est comme ça que le virus a commencé ses ravages, selon le Dr Strecker.

Autre évidence démontrant que ce fait est vrai : le virus ne fut pas transmis exclusivement aux homosexuels dans le reste du monde.

En Afrique, où il y a au moins 75 millions de gens atteint du sida, le rapport entre hommes et femmes infectés

est presque exactement de moitié-moitié depuis le début jusqu'à aujourd'hui.

C'est seulement à Haïti, et un peu plus tard aux Etats-Unis, que le virus s'est répandu presque exclusivement dans la population homosexuelle.

Si vous étudiez les statistiques de notre pays, ce sont les femmes qui attrapent le sida beaucoup plus vite que n'importe qui d'autre.

Bientôt sans doute, vous allez voir la nature équilibrer les plateaux de la balance de telle manière que vous aurez exactement

la même situation partout dans le monde, c'est-à-dire un nombre égal d'hommes et de femmes ayant le sida.

Ce n'est pas une maladie d'homosexuels du tout, nos inclinations sexuelles n'ont rien à voir là-dedans.

Ce que nous observons, c'est le préjugé des gens qui ont créé ce virus.

Selon le Dr Strecker, c'est l'OMS (l'Organisation mondiale de la santé) qui a aidé à créer cette maladie,

mais qui s'est également occupée correctement d'autres maladies, tout comme les médecins du monde entier.

En ce qui concerne le sida, on dénombre 9000 genres de virus, mais à la puissance quatre, soit 6 561 000 000 000 000 différents de virus du sida,

un nombre gigantesque. Et chaque fois que quelqu'un est atteint du sida, un virus tout nouveau est créé, qu'on n'avait jamais vu auparavant, jamais.

Cela veut dire qu'il est inévitable, mathématiquement parlant, c'est juste une question de temps,

que le sida se répande rapidement dans le monde entier, tout comme jadis la grippe asiatique.

Une rumeur circule à propos de l'Organisation mondiale de la santé et de ses dirigeants, qui croient que cette forme de sida

a déjà commencé à se propager rapidement.

Aux environs de 1990 ou 1991, l'OMS fit examiner une tribu africaine de 1 400 membres, des plus âgés aux bébés qui,

eux ne peuvent être accusés de mauvaises pratiques sexuelles, et on découvrit que tous les membres de la tribu, sans exception, avaient le sida.

C'est alors que l'OMS annonça secrètement que le virus était sans doute maintenant dans l'air ou dans l'eau

et qu'il se pouvait que la maladie se répande telle une traînée de poudre. Si c'est bien ce qui s'est passé,

savez-vous si vous êtes à l'abri d'un tel mal?

Vous avez besoin de connaître la vérité, vous êtes beaucoup plus que ce que vous savez sur vous- mêmes.

Désolé, je vois que c'est sur le forum

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Ce qui est affolant, c'est que la grande majorité des gens croient plus facilement à des théories complètement farfelues (le site de "On nous cache tout" en est malheureusement truffé", d'ailleurs à mon avis ça aide pas du tout à la crédébilité de ce Forum "très sérieux" sur le Sida) , les gens ont besoin de sensationnel, d'irrationnel; ils croient tous au grand complot, à Big Brother (je crois que les séries type x-file ont fait bcp de dégats dans la tête de nos enfants (j'ai 48 ans)).

Par contre, si on leur explique simplement (tel que c'est fait ici), qu'il y a d'autres voies à explorer, qu'il y a des scientifiques sérieux qui pensent autrement, qu'en 1983 la course à une découverte d'un éventuel virus n'a pas respecté le cheminement normal d'une recherche scientifique (pré-requis, postulats ...) ; et bien là; BOF ! c'est pas assez spectaculaire, ils veulent pas y croire.

C'est un peu triste .......

Modifié par did23
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Par contre ...et bien là; BOF ! c'est pas assez spectaculaire, ils veulent pas y croire.

Justement, c'est ça le plus spectaculaire, le plus fascinant, le plus apte à mobiliser

tout le potentiel de l'esprit humain.

Mais je ne vois pas que ce soit contradictoire avec la plus grande constante de l'humanité :

l'instinct de domination basé sur la peur.

Cette démarche basique vieille comme le monde n'exclut pas celle qui scrute ses conséquences.

Le diable, comme le pseudo-VIH, est dans les détails et l'homme-dieu englobe tout d'un regard neuf.

Bien sûr, le plus urgent est de considérer les faits qui eux n'affabulent pas.

Il n'empêche que, pour ne pas faire mentir la sempiternelle dualité, à côté de la forme (variabilité)

préexiste le fond, lequel fond a deux acceptions : substrat et contexte, matière et esprit.

Et, de mon humble avis, ne pas prendre de la hauteur pour tout englober dans un schema plausible,

c'est tout aussi triste.

Modifié par rené
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