Aller au contenu
forum sidasante

**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 1/3


EcliptuX
 Share

Recommended Posts

Invité johanne

Qui pourrait me parler un peu de ce sois disant SV40

AUTRES CONTAMINATIONS DES VACCINS

Les vaccins ont besoin de sérum bovin pour nourrir leurs virus tout comme

un milieu vivant pour les cultiver. C'est ici qu'entrent en jeu les cellules

animales du singe, chien, souris ou embryon de poulet. Les cellules

humaines, comme dans le vaccin de la rougeole, rubéole, rage ou varicelle,

proviennent de tissu foetal humain d'avortements.

Pendant la "purification" du vaccin, a l'aide de produits hautement toxiques

comme le formaldéhyde, les compagnies pharmaceutiques affirment que la

totalité du sérum bovin et des cellules, animales ou humaines, sont

retirées. Elles ne nient pas cependant que des traces de protéines en

provenance de ces cellules peuvent demeurer dans le vaccin. Assez

curieusement, inoculer et ingérer des vaccins contenant des tissus humains

ne revient-il pas, dans un certain sens, à une forme de cannibalisme, une

pratique pourtant défendue et tabou dans nos sociétés modernes?

La mise au point de différents vaccins antirotavirus illustre bien cette

manipulation problématique des virus et des tissus animaux. Le rotavirus est

la cause la plus fréquente de maladie diarrhéique grave chez le nourrisson

et chez le jeune enfant, partout dans le monde, notamment dans les pays en

développement. Plusieurs groupes de rotavirus peuvent être pathogènes. En

août 1998, un vaccin antirotavirus, comportant à la fois 1 rotavirus de

singe rhésus, 3 virus rhésus humain, des cellules diploïdes de rhésus foetal

et du sérum foetal de boeuf, a été autorisé sur le marché aux États-Unis.

Après inclusion de cette mixture virulente dans le calendrier vaccinal des

nourrissons américains et la vaccination de près d'un million de sujets,

plusieurs cas graves d'invagination intestinale postvaccinale ont été

signalés. Les 3 à 10 jours qui ont suivi la première des trois doses orales

semblaient être ceux où le risque d'invagination devenait maximal. Le

fabricant du RotaShield, les laboratoires Wyeth-Ayerst, a retiré le vaccin

du marché des États-Unis 9 mois après son introduction mais dispose toujours

de son autorisation de mise sur le marché. En Chine, un vaccin avec un

rotavirus ovin est autorisé sur le marché. Un vaccin ayant une souche bovine

de rotavirus et comportant les gènes communs aux rotavirus humains est à

l'essai tout comme plusieurs autres vaccins expérimentaux: l'un d'eux

utilise une souche humaine de rotavirus et deux autres sont réassortis

humains-bovins.

VACCINS POLIOMYÉLITIQUES

Une multitude d'animaux payent de leur sang et de leur chair pour cette

folie vaccinale. Sur l'autel de la vivisection des millions de singes

meurent pour l'élaboration, le contrôle et la mise sur le marché des

vaccins. Ils sont les cobayes les plus recherchés pour tester la phase

finale des vaccins, ce qui ne garantit en rien l'innocuité d'un vaccin

lorsqu'il est injecté dans l'organisme d'un nourrisson humain.

Le vaccin pour la poliomyélite est un exemple tragique, parmi tant d'autres,

de cette histoire de la vaccination jonchée de souffrance animale, humaine,

d'augmentation de maladies, de manipulations et de contaminations mortelles.

1934: les expérimentateurs développent un vaccin provenant de la moelle

épinière infectée de singes. 20'000 enfants sont vaccinés, six en meurent;

douze autres demeurent gravement paralysés. Le vaccin doit être retiré.

1954-1963: on produit un vaccin pour la polio à partir de cultures de

cellules de reins de singes ou cellules Vero. Des dizaines de millions de

cobayes-humains, aux États-Unis, en Union Soviétique, en Europe et au Canada

reçoivent ce vaccin poliomyélitique. Cela prendra des années à la communauté

scientifique pour admettre que le vaccin était bel et bien contaminé par un

virus provenant du singe, le SV40. Plus de 60 études récentes ont découvert

sa présence dans des cas de cancer du cerveau et des os, de tumeurs

intracrâniennes chez l'enfant et de leucémie.

1999: le Journal of National Cancer Institute confirme l'implication du SV40

dans un certain type de cancer du poumon.

2002: icon_confus.gif une équipe de chercheurs publie dans le Lancet une étude portant sur

le lien entre des cas de lymphome non Hodgkinien et le SV40. Ce virus a été

détecté dans 42% des cas étudiés. Les lymphomes non Hodgkiniens sont un

groupe de cancers prenant naissance dans les cellules du système lymphatique

et qu'on retrouve souvent chez les malades infectés par le virus du Sida

VIH.

Des théories, fort controversées, indiquent qu'il est possible que le VIH

ait été transmis des singes aux humains à la suite des vaccinations de masse

pour la polio menées en Afrique entre 1957 et 1959 avec des vaccins obtenus

à partir de cellules Vero et contaminés par un virus du sida du singe

similaire au VIH. Rappelons qu'en Afrique, le Sida touche 24,5 millions de

personnes ou 71% de toutes les victimes connues. icon_confus.gif

L'industrie pharmaceutique et les autorités médicales prétendent que les

vaccins pour la polio disponibles au Canada et aux États-Unis et obtenus à

partir de cellules de reins de singes, sont exempts de virus de singes.

Pourtant, les primates hébergent un nombre considérable de rétrovirus,

d'herpèsvirus et autres agents infectieux. Jusqu'à ce jour, seulement 2% de

tous les virus de singes ont été identifiés. Il est toujours possible que

des virus de singes inconnus soient transmis aux humains par les vaccins. Le

transfert d'un virus simien à l'humain peut en modifier la virulence et

avoir des conséquences pathologiques et catastrophiques insoupçonnées. La

recherche se continue tout de même aveuglément et toute une panoplie de

vaccins est toujours mise au point avec des cellules de singe: variole,

diphtérie, rage, grippe, SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère), Sida,

etc.

POUR EN FINIR AVEC LE MYTHE DE LA VACCINATION

Pour valider le bien-fondé de l'expérimentation animale, les partisans de

la vivisection parleront immédiatement des "miracles" des vaccins. Pourtant,

en fouillant la littérature scientifique, une montagne de preuves s'accumule

contre cet argument absurde. Sans grande difficulté, il devient évident que

les vaccins présentent d'énormes risques pour la santé, qu'ils sont tous,

sans exception, potentiellement contaminés et dangereux. Le "risque zéro", à

court et à long terme, n'est jamais garanti en matière de vaccination.[/color]

MERCI JOHANNE

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 1,9k
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

Invité Candide

comme le dit le texte de la réfutation de la déclaration de Durban, 25 personnes seulement sur les 56 dont la séroconversion est documentée ont développée le SIDA. Donc, là-dessus, les dissidents disent vrais (le texte de la réfutation parle bien de personnes ayant développé le SIDA, pas de séropositifs).

Et apparemment si les dissidents qui ont écrit le texte parlent de zéro cas, c'est parce qu'ils considèrent que les cas "documentés" sont considérés séropositifs dans l'exercice de leur fonction parce qu'on n'a pas pu trouver de meilleure explication. Ce qui veut dire qu'on n'est pas du tout sur à 100 % que les cas en question ont été contaminés a tel ou tel moment. Percutaneous exposure, ça ne signifie pas forcément qu'on connait le moment précis où ils se sont fait piquer, mais qu'ils ont pu être amené à être piqués dans l'exercice de leur profession. C'est très différent. Parce que dans ce cas, c'est une reconstruction a posteriori. Tandis que si on teste juste après une piqure, là, c'est plus convaincant. Ici, on n'a aucune preuve que le test a été fait juste après une piqure précise. Donc on reconstruit le scenario a posteriori en disant que c'est "probablement" une piqure qui a été faite il y a 1, 2, 3 ou 4 ans qui a causé la séroconversion. On reste dans le domaine de l'hypothèse et pas du tout de la chose sure et certaine.

Eh oui, pauvre Candide, tu aurais du penser que les dissidents qui ont rédigé le texte ne sont pas des rigolos, et que s'ils ont sorti ça, c'est qu'ils avaient des arguments derrières. Tu aurais dû te douter que c'était un peu trop facile de pouvoir démonter cet argument de cette façon

C'est terrible, ça : il ne t'est pas possible de reconnaître l'évidence, alors que je t'ai apporté tous les éléments sous les yeux ? Je recommence une dernière fois sur ce point. Tu as copié le texte que vous appelez la "réfutation de la déclaration de Durban". Ce texte prétend que "aux Etats-Unis, aucun personnel paramédical ni technicien ou chirurgien urgentiste n'a contracté le SIDA à l'occasion de son travail". Le texte cite à l'appui une étude du CDC menée en 1999. Et moi, je te mets sous le nez un tableau extrait de l'étude en question qui établit la listes des personnels de santé ayant été contaminés durant leur travail. Tu ne vois pas où est le problème ?

Tu es d'une mauvaise foi invraisemblable lorsque tu me réponds que l'on n'est pas sûr que ces personnes ont bien été contaminées durant leur travail. Il y a deux colonnes dans le tableau que j'ai cité : la première colonne établit la liste des personnels de santé contaminés par le virus lors de leur travail, et pour lesquels on dispose de documents attestant d'une exposition au VIH. La deuxième colonne contient une liste de personnels de santé contaminés également durant leur travail, mais pour lesquels on ne dispose pas de documents prouvant qu'ils ont été exposé au VIH. Dans la première colonne, ce sont donc des personnes certainement contaminées durant leur travail. Pourquoi nier l'évidence ? Tu dis que "les dissidents qui ont rédigé le texte ne sont pas des rigolos et que s'ils ont sorti ça, c'est qu'ils avaient des arguments derrière". Ca, c'est ton point de vue, mais ce n'est pas une preuve. Tu peux citer des sources, des travaux, des articles ?

Je le redis une nouvelle fois : la "réfutation de la déclaration de Durban" a cité un article pour lui faire dire autre chose que ce qu'il dit vraiment. Ca s'appelle un mensonge, une interprétation biaisée, de la malhonnêteté intellectuelle. Point barre.

Et puisque tu le demandes, je veux bien continuer mon enquête sur ce château de carte que vous appelez "la réfutation de la déclaration de Durban". Il n'est pas compliqué de démontrer que c'est un tissu de mensonges : il suffit de repérer, dans le texte, ce qui paraît le plus énorme et qui reposerait sur des travaux scientifiques. On retrouve l'article cité, son auteur, et on compare l'original à ce qui est écrit dans votre "réfutation". Et pfiou ! Le château de carte s'écroule.

Nouvel exemple : je cite un passage de la "réfutation"

Katz et ses collègues (1997) ont également constaté que le nombre de nouvelles infections par le VIH dans la ville de San Francisco (considérée comme "l'épicentre de l'épidémie") avait diminué dès la fin de 1982, c'est-à-dire bien avant le démarrage des premières campagnes de "safe sex" et même deux ans avant qu'on ne décide que le VIH était la cause probable du SIDA

L'article de Katz et ses collègues en 1997, c'est : Katz M et al (1997). Projected incidences of AIDS in San Francisco: The peak and decline of the epidemic. Journal of Acquired Immune Deficiency and Human Retrovirology 16:182-189. On en trouve un résumé sur Pubmed : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...bstr&query_hl=3. Dans ce résumé, on apprend que les auteurs ont élaboré une projection du nombre de nouvelles personnes atteintes par le Sida chaque année à San Francisco. Ce modèle explique que le nombre de nouvelles personnes porteuses de la maladie en 1992 était de 3332 et qu'il diminuait progressivement chaque année, pour atteindre 1196 en 1998. L'étude conclut que le déclin de "l'incidence du Sida à San Francisco reflète la baisse considérable du nombre de personnes infectées une dizaine d'année plus tôt, et qui résulte d'un changement significatif des comportements à risque, notamment chez les homosexuels et les hommes bisexuels".

C'est écrit noir sur blanc : la baisse du nombre de nouveau cas de Sida est imputable à une diminution des comportements à risque à San Francisco. Il s'agit donc d'un nouveau contresens et d'un nouveau mensonge par omission de la "réfutation". Pourquoi les auteurs du château de carte (euh... pardon, de la "réfutation") tiennent-ils absolument à nous dire que la diminution du nombre de nouveaux cas de contamination a diminué avant les campagnes de prévention ? Parce qu'ils aimeraient faire croire qu'il n'y a pas d'épidémie, que le VIH n'est pas un virus et que le Sida n'est pas une maladie contagieuse. Le problème, c'est que c'est faux. Une nouvelle fois, les auteurs de la "réfutation" ont fait mentir les travaux scientifiques qu'ils ont cités.

Précisons que M. Katz est directeur du département de santé publique de San Francisco. Sur le site du département de la santé, on trouve plusieurs études relatives au VIH/Sida. Il y a par exemple ce document qui montre la progression de l'épidémie dans la ville de 1981 à 2000 (pdf). On trouve aussi les rapports épidémiologiques annuels sur le VIH/Sida à San Francisco. Je vous recommande par exemple le rapport 2004 (pdf), dans lequel on trouve, à la page 3, les courbes montrant l'évolution du nombre de nouveaux cas de Sida, du nombre de morts par Sida. On y voit que le nombre de morts par Sida chute de manière spectaculaire entre 1995 et 1997, grâce à l'efficacité des traitements par anti-rétroviraux. Il faudra un jour que les "dissidents" m'expliquent pourquoi les personnes qui se soignent avec des anti-rétroviraux ont une plus grande espérance de vie que les autres.

La mauvaise foi des "dissidents" est sans borne. Car ils connaissent très bien les travaux de M. Katz. En effet, en 1999, trois d'entre eux (D. Pasquarelli, M. Bellefountaine, C. Maggiore) ont rencontré M. Katz, et ce dernier leur a expliqué en détail les raisons de la décrue du nombre de nouvelles contaminations à San Francisco. Ces trois "dissidents" avaient demandé à être reçu par le maire de San Francisco de l'époque, W. Brown. Celui-ci avait accepté d'entendre les arguments "dissidents", accompagné par M. Katz, en sa qualité de directeur du département de la santé publique de San Francisco. J'imagine que tout le monde ici connaît le compte-rendu de cet entretien, retranscrit sur ce site "dissident". Voici ce qu'a dit M. Katz à propos de cette fameuse étude de 1997 : "San Francisco a organisé des campagnes de prévention au début des années 1980, et ces campagnes ont permis de faire chuter le nombre de séroconversions de manière très importante".

En fait, plus le mensonge est énorme, plus les "dissidents" se disent qu'on va le gober facilement. L'étude de M. Katz indique que la diminution des contaminations s'explique par une réduction des comportements à risque, suite aux campagnes de prévention menées à San Francisco. Les auteurs de la "réfutation" affirment, sans sourciller, que la baisse des nouvelles contaminations a eu lieu avant les campagnes de prévention. Et, comme ils ne manquent pas d'air, ils citent les travaux de M. Katz comme preuve de ce qu'ils avancent. Il fallait oser... Apparemment, ça a marché auprès de certains d'entre vous, puisque vous êtes nombreux ici à vous référer à cette "réfutation" de la déclaration de Durban. Combien d'entre vous ont pris la peine de vérifier que l'on ne vous racontait pas des salades ?

Aixur, dois-je vraiment continuer à souffler sur le château de carte ?

Ce texte, que vous appelez la "réfutation de la déclaration de Durban", est, je le répète, un tissu de mensonges, d'allégations et de contrevérités. Je ne comprends pas que vous continuiez à vous y référer.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On y voit que le nombre de morts par Sida chute de manière spectaculaire entre 1995 et 1997, grâce à l'efficacité des traitements par anti-rétroviraux

Il a déja été répondu à cette observation que cette chute est due à la diminution des doses d'AZT et à l'association à l'AZT d'un composé qui réagit chimiquement avec lui et le transforme en d4T principalement, le 3TC, qui est un réducteur soufré. Et ceci ne souffre pas de discussion, car c'est de la chimie toute simple. Malheureusement, tous ces gens qui pérorent n'en connaissent pas un iota.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

salut,je trouve qu'on tourne autour du pot et que ce n'est pas en mettant systématiquement en doute l'honnèteté des uns et des autres que nous léveront le voile sur le mensonge.

On peut se demander qu'est ce que les "dissidents" ont à gagner, et ensuite que gagnent les "anti-dissidents".

Si la vérité sur ce virus fantôme était vraiment connue de tous, pourquoi cette déclaration de Durban, on le sent bien en le lisant que ce n'est pas des arguments scientifiques, mais plutôt une suite d'affirmation que le commun n'est pas à même de réfuter, sauf ceux qui connaissent déja par exemple la non-spécificité des tests et aussi qu'il est possible d'être atteint de sida sans test positif....

Qui cherche trouve, continuons de chercher et occupez vous bien de vos santé, quoique je sois assez d'accord avec une déclaration d'Itsuo Tsuda:"L'homme n'a besoin d'aucune méthode pour rester en santé."

Je suis assez d'accord avec cette déclaration, arrêtons de nous faire du souci pour des querelles de scientifiques et vivons notre vie sans méthodes ni médics, celui qui vivra aura raison icon_biggrin.gif

à plus,bise à tous

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité Candide

...arrêtons de nous faire du souci pour des querelles de scientifiques et vivons notre vie sans méthodes ni médics, celui qui vivra aura raison icon_biggrin.gif

Voila une des réponses les plus sensées que j'ai lu sur ce forum. Si vous ne voulez pas prendre de médicaments, c'est votre choix : vous amputez votre espérance de vie de nombreuses années, mais, après tout, chacun fait ce qu'il veut avec sa vie.

Mais arrêtez de vous placer sur le terrain scientifique pour tenter de défendre vos croyances. Cette posture ne résiste pas deux secondes à l'examen. Cela revient à donner des verges pour se faire fouetter.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

m'enfin,ne me fait pas dire ce que je n'ai pas dit, si j'avais pris tes médocs, je serais dans un état bien lamentable, ou mort,et là ce n'est pas des querelles de scientifiques c'est la réalité, c'est ce que j'ai vu, ce que j'ai expérimenté, je sais que si je vis aujourd'hui, ce n'est en tout cas pas grâce à des thérapies chimiques, mais bien grâce à de grands changements dans ma vie, ce que tous ne peuvent ou ne veulent pas...comme je dis parfois c'est plus facile, pour certains de mourir que de changer...je ne sais pas quel est ton but, si c'est juste pour contrarier ou si tu as un intérêt quelconque ou si tu es vraiment convaincu, mais je t'autorise à ouvrir les yeux sur des cas comme le mien...et d'autres!!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

de toutes façons, c'est au-delà de croire ou ne pas croire, peut-être qu'il y a virus peut-être pas...le débat c'est est-ce suffisant pour nous tuer?

je ne le pense pas et comme je l'ai déja dit, les virus quel qu'il soit on ne peut rien faire contre eux, par contre notre système immunitaire on peut le garder intact, c'est ça qui intéresse les séropos, vivre dans la confiance plutôt que dans la peur, qui détruit notre santé mentale, spirituelle et physique.

Pourquoi veux-tu instiller la peur?As-tu peur toi-même de vivre?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mon cher Candide,

Je suis le débat depuis pas mal de temps ; tu parles de mauvaise foi des dissidents. Pour ma part, je ne le crois pas, comme je ne crois pas que les pro " le vih existe et il entraine le sida " le soient.

Alors que se passe-t-il ? Tout d'abord il y de l'émotion car les enjeux ( vie/mort ) sont ....vitaux. Mais, cela suffit - t il a tout expliquer ?

Je ne le crois pas . Le problème est d'être capable de dépassionner le débat sans pour autant ne pas y mettre d'émotion. Accepter la parole de l'autre, comprendre ses raisons, ne pas se croire à fortiori plus lucide ou plus conscient que lui : simple question d'écoute... préalable nécessaire à tout échange constructif et enrichissant.

Candide, crois moi, tu n'es pas plus convaincant que ceux que tu dénonces ; je parle au sens stricto sensu de la raison ; je suis et fais suivre le forum par des amis - critiques - de tout bord - philo, psy, médecin.... normaliens - sup etc...

Tes assertions ne font pas avancer le débat . Les arguments des dissidents, crois moi, posent de vraies questions... Le reconnais - tu ?

Ou simplement, pourrais - tu nous citer une ou deux questions posées par les " dissidents " qui te paraissent te questionner également.

Tu connais les 10 points posés ( tu les as en début de forum - ou sur le site sidasante. Tu as une réponse à toutes questions ? Quelles sont celles auquelles tu n'as pas réponse ou qui t'interpellent quelque part ?

Merci de nous répondre.

Bien à toi.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pourquoi veux-tu instiller la peur?As-tu peur toi-même de vivre?

Bonjour ,

On comprend trés bien la ou les raisons des interventions des personnes qui sont concernés par la maladie , mais on est en droit de se demander quelles sont les motivations profondes de ceux qui viennent nous dire "le bien et le mal" sur le sujet.

L'attidude arrogante et moralisatrice de ces gens est d'abord ressentie comme désagréable ....mais en deuxieme analyse elle apparait surtout pitoyable et est le reflet d'un état de misére spirituelle absolue.

Derriere tout cela la peur .

Cette peur je l'ai rencontré sous toutes ses formes pendant mes activités militaires.

Plus un individu manifeste ostensiblement son assurance , plus il a besoin de rassurer les autres et lui même sur ses capacités , et plus il est fragile .

L'homme sur lequel on peut compter connait ses peurs , il doute avant l'action , mais il est résolu dans ces choix , non pas qu'il soit devenu tout à coup assuré de son fait , mais simplement parce qu'il sait que quand on a choisi une direction , il vaut mieux s'y tenir que d'en changer pour un oui ou un non .

Maintenant , la prétention de l'approche scientifique à décrire le monde dans sa vérité profonde et le fait d'individus à l'intellect hypertrophié et tyranique qui ont renoncés à affronter les peurs existencielles élémentaires.

Les fondements de la " science" ne sont que des croyances comme les autres , et par consequences , ses conclusions ne sont que des suppositions.

Amicalement ,

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ajouterai surtout que la biologie est loin d'être une science exacte , surtout lorsque les expériences se font sur un système en partie inconnu comme l'est un corps humain.

Demandez à n'importe quel médecin , à propops d'un traitement que vous allez prendre :

"est-ce que ça va marcher ?"

Sa réponse sera invariablement :

" je ne sais pas ... On va voir ..."

Si vous ajoutez :

" qu'est ce qu'on va faire si ça ne marche pas ?"

La réponse sera tout aussi invariablement :

" on va ESSAYER autre chose ..."

La science peut donner un verdict sur ce qu'elle maîtrise or en biologie elle ne maîtrise pas car si c'était le cas, aurions nous eu les affaires du sang contaminé et de la vache folle ?

Les corps des animaux et des hommes sont des objets trop complexes pour qu'on puisse se permettre d'affirmer quoi que ce soit à leur sujet ( je veux dire avec une probabilité de 100%). La biologie a-t-elle PREVU les cas de personnes qui sans se soigner résistent au SIDA notamment en Afrique ? Non . Donc elle ne comprend pas encore le phénomène et ne peut donc faire de prévisions sérieuses.

Elle peut se fonder sur les statistiques pour avancer une issue probable mais là on n'est plus en présence de la biologie mais des statistiques ... et elles sont inapplicables à un individu unique.

Modifié par Daman
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour ,

C'est pour cette raison , et des dizaines d'autres , qu'il faut arrêter la supercherie qui consiste à faire croire que les scientifiques sont détenteurs de la vérité .

Cela n'est vrai dans aucuns domaines scientifiques , et cela l'est encore moins dans le domaine de la biologie.

Il faut arrêter cette duperie , pour que chaque individu retrouve la pleine responsabilité de ses actes .

Certains scientifiques ( soi disant) utilisent la science pour dire en substance :

Vous êtes des crétins et des ignorants , mais nous nous savons ce qui est vrai et ce qui est faux , nous savons ce qui est bien et ce qui est mal ....nous savons mieux que vous ce qui est bon pour vous et pour la communauté ....et en conséquences , pour le bien de tous , vous devez vous aligner sur nos décisions.

On peut même dire que dans l'intêret de tous , il apparait légitime que tous les moyens (même repressif) doivent pouvoir être utilisé pour imposer la vision scientifique.

Sur le fond il n'y a pas de différence avec un intégrisme religieux.

Il faut se rebeller contre ce systéme de pensée , qui réduit l'homme à un nombre dans des statistiques.

Il faut se révolter contre des théories qui parlent de "bénéfices risques" à propos de l'humain.

L'homme n'est pas une marchandise et n'a pas de prix , et dix hommes ne valent pas plus qu'un seul homme...et ainsi on n'a pas le droit d'appliquer de tels théories à l'humain.

Chaque individu , et le dissident en particulier , doit pouvoir exprimer son point de vue , sans qu'on vienne lui dire qu'il met en danger la vie d'autrui ...ce qui revient à dire qu'il existe des "sous humains" incapable de discernement , qui pourraient se laisser influencer.

Quand un humain est majeur , il est sensé jouir de facultés mentales normales et de pouvoir faire des choix pour lui même.

Si tel n'est pas le cas , et s'il existe des "sous humains" , je pense qu'il faudrait le dire clairement .

Amicalement ,

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

bonjour,

Excusez-moi d'arriver d'une façon aussi impromptue mais est-ce que quelqu'un a des nouvelles de ^Pierre^? J'ai lu une annonce de décès portant le même nom que lui et établi dans la même ville.

J'aimerais me tromper.

Je vous embrasse tous

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité Candide

Vous pouvez disserter autant que vous voulez sur la science. C'est un débat passionnant, mais ce n'est pas mon propos.

Pardonnez-moi d'être terre à terre, ce que je vous dis est bien plus simple : le texte que vous appelez "la réfutation de la déclaration de Durban" est truffée de contrevérités et de mensonges. Je vous en ai apporté la preuve par deux fois. C'est tout.

Et, pour répondre à quelques unes de vos questions : je ne fais la morale à personne, je n'ai pas peur de vivre (bien au contraire icon_smile.gif). C'est juste que je n'aime pas qu'on me raconte des salades et qu'on essaie de manipuler les gens sur des sujets aussi graves.

Quant à la liste des 10 questions sur le Sida soi disant restées sans réponses, elle est complètement périmée, ça serait bien de la mettre à jour. Il n'y a pas une question qui ne trouve pas sa réponse sur mon site, par exemple. En outre, ces questions n'en sont pas vraiment, ce sont surtout des opinions.

Exemple : "Où est la preuve de l'efficacité des médicaments anti-rétroviraux qui sont les substances les plus toxiques jamais mises sur le marché dans toute l'histoire de la médecine ? ". Il doit y avoir une erreur dans la formulation de la question. Son auteur a certainement voulu dire "les substances les plus toxiques de tout l'univers, que même si tu les regardes, tu meures"

Une réponse, parmi des dizaines possibles : il n'y a qu'à regarder la décroissance du nombre de morts par Sida à San Francisco entre 1995 et 1997, lorsque les tri-thérapies sont devenues disponibles :

--Resize_Images_Alt_Text--

Source (pdf)

C'est assez parlant, non ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce serait trés parlant si on pouvait affirmer que dans la premiére moitie des courbes (1982 à 1992) il n'y avait pas de traitement , et donc que les "malades" mourraient de leur maladie et non pas à cause du traitement....est ce que c'est le cas ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité blablaz

figure 6.1

5% en 95

43% en 96

59% en 97

66% en98

71% en 99

74% en 2000

76% en 2001

très instructif candide icon_biggrin.gif

j'éspère que certaines personnes de ce forum vont ouvrir les yeux...

la 3.1 est très instructive aussi

http://www.dph.sf.ca.us/PHP/RptsHIVAIDS/HI...0609-fnlWeb.pdf

Modifié par blablaz
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Vous aurez tous remarqué, chers amis, que Candide et autres prétendent démontrer la vanité de notre questionnement en utilisant les mêmes données que nous utilisons pour montrer qu'il y a problème.

Ces graphes, je les ai donnés (c'est comme si Candide ne les avait pas regardés, mais cela ne m'étonne pas, il doit être téléguidé) et ai expliqué qu'effectivement, si la trithérapie a permis une survie, c'est précisément parce qu'elle contient des substances antioxydantes qui s'opposent au stress oxydatif responsable de la séropositivité (maladie alloimmune) et surtout à l'AZT oxydant par excellence.

AZT qui a sévi à raison de 1500 mg/jour jusqu'en 1992, date de l'expérimentation Concorde, où son dosage a déjà été divisé par 3 ou 4.

Remarquer que les cas de sida ont commencé à décroître à cette date, c'est-à-dire les maladies opportunistes. On sait que les personnes qui on ces maladies opportunistes ne vivent pas très longtemps, le signe "maladie opportuniste" étant, lui, de diagnostic très négatif. C'est pourquoi la baisse de la mortalité a commencé 2 ans plus tard.

L'année 95 a été marquée par l'introduction de la lamivudine, antioxydant remarquable, car libérant des thiols à pH=1 avec un temps de demi-réaction d'environ 2 heures.

Par contre, la courbe verte et la courbe bleue se contredisent : la beue donne les cas de sida "full blown". Que veut dire "vivant avec le sida"? Sont-ce les séropositifs? Cela voudrait dire que dans les années 80-90, tous les séropositifs passés entre les mains des toubibs et soignés à l'AZT sont morts? C'est la conclusion logique, non?

Alors, avant de donner des graphes, posez-vous la question de toutes les conclusions que chacun peut en tirer en appliquant la méthode logique.

Modifié par Cheminot
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Très intéressant et concernant l'anomalie africaine, est l'interview faite au journal "leftiste" "Frontpage Magazine" par John Potterat, Stuart Brody, Matthew Hogan et Steve Hands où ils suivent les repenseurs en déclarant que les relations pénivaginales ne sont pas à risque :

http://frontpagemag.com/Articles/ReadArticle.asp?ID=18294

Même s'ils ne vont pas jusqu'à nier l'existence du rétrovirus, ils mettent tout de même à mal le paradigme qui s'est installé, sans aucune démonstration scientifique, ainsi qu'ils le prouvent.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je pense en effet que certains se foutent effectivement de la plus élémentaire logique.

Ils se comportent comme les politiciens et les publicistes qui travaillent sur les sentiments les plus bas de l'espéce humaine , et qui se disent que pour qu'un mensonge finissent par avoir l'air vrai , il suffit de le répéter avec assurance un nombre suffissant de fois , en l'associant à des éléments émotionnels (ici surtout la peur) pour qu'on s'y accoutume comme à un élément du décors .

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Suite à une lecture rapide de quelques échanges ...

La question référendaire européenne impliquait, pour les « élites » (dans leur immense majorité) une réponse positive ... tellement évidente quils se sont risqués (sans crainte) à « consulter » les intéressés ... et pourtant ...

La question olympique parisienne ne faisait quasiment aucun doute quant à la réponse ... tellement évidente que l « on » fit le voyage de Singapour au risque de se faire prendre, une fois de plus, pour des loosers ... et pourtant ...

Les « élites » en sont réduites à « vendre » leur monde en essuyant revers et déconvenues ... le « peuple » est aussi ingrat quinjuste ... envers elles ... pauvres « élites » ...

Mais une « élite » qui accumule autant dabsence de résultats et de gamelles doit-elle être encore qualifiées comme telle ? Thats the question ...

Mieux vaut donc peut-être quun petit docteur toulousain sessaie à tricoter dans la diplomatie (au point où la nôtre en est) ... et que dautres sexpatrient dans lhumanitaire dans lindifférence générale des « bénéficiaires » in situ ... chacun sa vocation ... chacun sa manière de résoudre ses propres problèmes existentiels ...

De los à ronger quest le VIH, os plein vigueur sil en fut, « on » ronge jusquà plus soif ... On en tartine des pages et des pages, des galas de charité et des colloques, ... le sillon est profond ... le trip juteux ... pour les uns (les labos) comme pour les autres (les humanistes) qui se retrouvent ensemble pour conjuguer « leurs efforts » ...

Les Candide et autres Finally se sentent investis dune mission divine dans ce petit monde : ils transposent (en moins performant) ce qui « doit » se lire et se dire partout ...

Quel serait lintérêt dun tel topic si nous devions subir la lecture du contenu de « doctossimo » ou autre machin de ce genre ? ... Candide, Finally ne vous posez-vous jamais cette question ? ... Non ? ... vous devriez pourtant ...

La foire aux insultes que vous mettez en place à lendroit de Cheminot et de Sic (pour ne parler que deux) est navrante ... imbécile même ...

Croisés des temps modernes rangez vos fleurets ... ils nintéressent pas une bonne partie des lecteurs de ce topic ... eux, dans leur immense majorité, sinterrogent sur la pertinence du comportement des blouses blanches et savent parfaitement que sil y a vraiment problème et que, le cas échéant, s'il doit y avoir des solutions, ce nest pas de ce côté-là quil faudra les chercher ... Restez dans votre monde de fonctionnaires ou assimilés et gardez votre politique de « santé publique » sans emmerder le monde ... 10% de la richesse nationale pour vous payer vos rentes de situation me semblent suffisants ... Le passage à la caisse obligatoire devrait suffir à votre soif de reconnaissance ... merci.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 8 months later...
Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
 Share


×
×
  • Créer...