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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Oui, très bien, du moins c'était le cas jusqu'à maintenant. Merci. Car depuis peu (c'est-à-dire depuis que j'ai lu le post qui précède), j'ai très mal à la tête ! Je viens d'ailleurs d'appliquer une goutte de menthe poivrée sur le front pour (tenter de) soulager ce début de mal de crâne ! lol Je répète à nouveau ce que j'ai dit dans un précédent post. Il est vrai que sur le plan de la logique rhétorique, cet argument est recevable. Mais la situation sur ce forum est-elle bien celle qui est décrite ci-dessus ? Je ne le pense pas. En effet, il échet de ne pas perdre de vue que nous n'agissons pas ici dans le domaine de la logique rhétorique où on pourrait croire que tout ou presque pourrait se résoudre uniquement à coup de raisonnements logiques, mais bien en premier lieu et avant tout dans le domaine de la science ! Or la tradition scientifique (et je crois que les quelques scientifiques de ce forum pourront le confirmer assurément) veut que celui qui propose une théorie en apporte également la preuve ! En application de cette tradition scientifique, il appartient donc à l'orthodoxie du sida d'apporter la preuve que le "VIH" existe. Un scientifique ne peut dès lors pas employer l'argument du "martien", ce que tu fais exactement, à savoir que les martiens existent parce qu'il n'y a pas de preuve qu'ils n'existent pas. Et il se fait qu'à ce jour, ce sont toujours les prétendues "isolations" de Montagnier en 1983 et de Gallo en 1984 qui constituent encore les meilleurs tentatives d'isolation d'un nouveau rétrovirus appelé "VIH". Toutefois, comme les phénomènes constatés lors de ces prétendues isolations ne sont en aucune façon spécifiques aux rétrovirus et encore moins d'un nouveau rétrovirus, et que tout ce qu'on nous enseigne sur le "VIH", jusque dans ces moindres détails, résulte justement de ces deux prétendues isolations, il y a lieu de conclure que sur le plan scientifique (car telle est la véritable ambition de ce forum, me semble-t-il), l'existence du "VIH" n'a pas été prouvée. Partant, l'hypothèse rétrovirale du sida doit être reléguée au rang des plus grandes catastrophes scientifiques et médicales, et sur le plan scientifique (ce qu'est le sida), il ne saurait y avoir de place à des rhétoriques "martiennes", à moins de persister à considérer que ce forum n'aurait pas une portée scientifique mais bien une portée rhétorique (si c'est la portée rhétorique qui devait être retenue, j'en reviendrais alors et à nouveau à ma théorie du sida causé par les extraterrestres n'ayant aucune sympathie pour les toxicomanes, les gay et les hémophiles : cette explication est tout à fait plausible sur le plan rhétorique [il n'a pas été prouvé jusqu'à ce jour que cette explication ne pouvait pas expliquer], mais sur le plan scientifique, ce n'est évidemment pas le cas; et si l'explication des extraterrestres ne peut être retenue car elle n'est pas prouvée, il doit en être forcément de même de l'hypothèse du rétrovirus "VIH", laquelle, à défaut de preuve de son existence, ne peut forcément relever sur le plan scientifique que de la très mauvaise science-fiction ou du fantastique de troisième ordre). La circonstance que le sida peut être expliqué tout à fait autrement achève de le prouver surabondamment. Cordialement.
  2. Moi je pense que tu perds ton temps à tenter de refaire ces tests-là. Je me permets déjà de renvoyer à ce post-ci, d'où il ressort que tu pourrais très bien avoir été déclaré "contaminé" par le "VIH" en France mais peut-être pas dans d'autres pays. Ce qui est bien sûr complètement aberrant. Le test "VIH" est en effet le premier test de l'histoire médicale dont l'interprétation varie en fonction des régions du monde et parfois même en fonction des laboratoires (comme j'ai pu le lire récemment), et il est ahurissant que ce fait n'ait toujours pas inquiété l'orthodoxie du sida. Quant à la charge dite "virale", si tu as suivi ce qui a déjà été dit sur ce forum à de multiples reprises, cette notion ne présente pas d'intérêt. De prime abord, je ne vois que deux certitudes dans ton cas, du moins sur base de ton ancien témoignage : 1) Tu n'as jamais été contaminé par quelque "VIH" que ce soit. 2) Tu as eu (ou as peut-être encore) de réels et sérieux problèmes de santé, bien entendu sans rapport quelconque avec le "VIH". Refaire les tests "VIH" ne t'apportera pas beaucoup d'indications, si pas aucune, sur la source réelle de tes maux. Par conséquent, à défaut de savoir quels en sont la ou les causes, peut-être que faire un bilan nutritionnel complet, quoique un peu cher te permettra de voir réellement plus clair quand aux causes de tes problèmes de santé. En tout cas, je crois qu'un tel bilan aura plus de chance de t'aider que n'importe quel test "VIH", n'importe quelle mesure de T4 ou de charge virale ou n'importe quel entretien avec un orthodoxe du sida, faute de pouvoir en trouver la cause réelle.
  3. Je pense que lon peut en outre ajouter les explications complémentaires suivantes. Rappelons nous en effet que lhypothèse rétrovirale du sida fut avant tout élaborée pour expliquer les trois points suivants : 1) La chute (en réalité apparente, comme expliqué ultérieurement par le Perth Group) des lymphocytes T4. 2) La forte augmentation des cas de sarcome de kaposi. 3) La forte augmentation des cas de pneumocystose (Pneumonie à pneumocystis). Rappelons nous également que quand on parlait à lépoque du sida, on parlait les premières années de cancer gay. Et pour cause, vu que ceux qui souffraient de ces soi-disant « nouvelles » maladies étaient en grosse majorité des gay consommateurs de drogues récréationnelles. Examinons maintenant le tableau 2 de ce document. Nous constatons que les deux maladies en question pour lesquelles a été avancée cette fichue hypothèse rétrovirale du sida se retrouvaient avant tout chez les gay (il y a « ++ » chez les gay, pas chez les toxicomanes [drogues intraveineuses]). En effet, le sarcome de kaposi ne se retrouvait que chez les gay consommateurs de drogues récréationnelles, dont le poppers (et de façon tout à fait exceptionnelle et anecdotique dans les autres groupes à risque, dont les toxicomanes). Quant à la pneumocystose, cest avant tout les gay qui sont à nouveau les plus touchés. Certes, la pneumocystose touche plus les toxicomanes que le sarcome de kaposi ne les touche (quasiment inexistant chez les toxicomanes) mais il y a plusieurs explications possibles : - la pneumocystose est beaucoup moins liée au poppers que ne lest le sarcome de kaposi, raison pour laquelle elle peut se retrouver beaucoup plus souvent chez les toxicomanes (quoique toujours dans une moindre proportion que chez les gay) que les cas rarissimes de sarcome de kaposi chez eux ; - le post de Cheminot qui précède donne des explications tout à fait plausibles à lapparition de cas de pneumocystose chez les toxicomanes. En revanche, lorsquon examine toujours ce tableau 2, on constate que la maladie typique chez les toxicomanes, englobée abusivement sous le vocable sida, nest pas la pneumocystose et encore moins le sarcome de kaposi, mais bien ... la tuberculose ! Or la tuberculose a toujours existé chez les toxicomanes, et cela ne date pas du début des années 80 mais bien de décennies antérieures ! Quant à la troisième raison pour laquelle a été élaborée cette hypothèse rétrovirale du sida, ma foi, ce qui était exceptionnel, cétait bien de trouver une chute des lymphocytes T4 chez de jeunes gay, pas chez les toxicomanes (cela a toujours existé chez ces derniers). En dautres termes, lhypothèse rétrovirale a avant tout été proposée pour expliquer le sarcome de kaposi et la pneumocystose chez les gay (= cancer gay). Ce nest que parce quon a étendu le vocable sida à des maladies de plus en plus communes (tuberculose) rencontrées chez des catégories de gens (par exemple : les toxicomanes) qui pourtant avaient déjà la caractéristique davoir de bas niveaux de lymphocytes T4 (dont la technique de comptage fut justement mise au point juste quelques mois avant lapparition des premiers cas dits de « sida ») que lon a pu parler abusivement de sida chez les toxicomanes. Le fait que les toxicomanes ont pu ensuite réagir positivement aux tests appelés par erreur « VIH » na pu que « confirmer » (à tort, bien sûr) que le sida frappait également les toxicomanes. Mais en fait il nen est rien vu que les toxicomanes souffrent de maladies qui ont toujours existé chez eux avant le début du sida, à lexception peut-être des pneumocystoses. Mais Cheminot a donné des explications à ce sujet dans le post qui précède, et en plus, cétait surtout les gay (et non les toxicomanes) qui souffraient le plus de pneumocystose. Je terminerai en reproduisant ci-dessous un passage, très révélateur, tiré de larticle susvanté : A partir du moment où la répartition des maladies dites du sida nest pas aléatoire entre les personnes censées avoir été contaminées par le « VIH » et que cela doit être expliqué par des cofacteurs (comme avancés par les orthodoxes du sida), il faut alors se demander si ces cofacteurs (toxicomanies, drogues récréationnelles , facteur VIII non chauffé, ...) ne peuvent pas expliquer à eux seuls la répartition de ces différentes maladies. Comme cest justement le cas, il y a lieu den conclure que le sida est expliqué par ces seuls facteurs (sans nul besoin de "VIH"), dénommés à tort « cofacteurs » par lorthodoxie du sida. La circonstance que lexistence du « VIH » na en réalité jamais été prouvée achève de le prouver surabondamment !
  4. Pour ma part, jessaierai de rester modérément optimiste. Il est vrai que la tâche sera dure, et même très dure, mais je pense quil y a un net avantage à tenter de faire trancher la question par un tribunal plutôt que par lopinion publique. Nous sommes en effet dans le domaine du droit. Et plus précisément dans le domaine du droit de la preuve, domaine dans lequel sont tout particulièrement versés les juristes (bien plus que les orthodoxes du sida, car tout ce qui relève du droit même de la preuve relève par essence des études de droit). Cest bien simple, dans nimporte quel procès, quel que soit lobjet du litige, la première question est toujours celle de la preuve. Et en matière de sida rétroviral, on est en plein dedans ! En matière du droit de la preuve, il nest pas possible de réfuter les preuves demandées par la dissidence du sida (comme par exemple : preuve de lexistence du « VIH » et de sa véritable isolation, preuve de la transmission sexuelle de la séropositivité, etc..) par des arguments du genre « le consensus scientifique considère que tout cela a été prouvé ». De tels arguments nen sont en réalité pas (ce ne sont pas des arguments juridiques mais bien des discussion de comptoir de café) et justifieront immédiatement un recours en cassation faute davoir répondu en droit aux questions posées par la dissidence du sida. La Cour de cassation (ou Cour Suprême en Australie, je crois) naura pas dautre choix que de casser larrêt et soit de renvoyer à une autre cour pour quelle réponde en droit aux questions posées, soit de trancher elle-même en droit. Quitte à ce que cela prenne des mois, des mois et encore des mois de délibération. Pour répondre en droit aux questions posées, lorthodoxie du sida se doit dapporter les publications prouvant (et non supposant, car les suppositions ne sont à nouveau pas des preuves en droit) les points remis en question par la dissidence du sida. Si lorthodoxie narrive pas à apporter ces preuves (ce qui sera le cas) mais que le juge décide malgré tout de donner raison à lorthodoxie du sida en se basant sur des suppositions, des avis, des opinions, au surplus vagues, juridiquement, le juge na pas respecté le droit. Car en droit, cest à celui qui prétend une chose (existence du « VIH », sa transmission sexuelle, etc...) de la prouver. A défaut de pouvoir la prouver, juridiquement, cette chose nexiste tout simplement pas. Et dès lors, juridiquement, il ny a quune seule conclusion à en tirer (à défaut dapporter ces preuves) : le « VIH » nexiste pas et nest donc pas sexuellement transmissible. Décider autrement justifierait ipso facto un recours en cassation. Car il nest juridiquement pas licite et possible de répondre à des arguments juridiques (ceux de la dissidence du sida) par des arguments relevant de la soi-disant sagesse populaire et/ou du prétendu consensus scientifique (ceux de lorthodoxie du sida). Les seconds ne font juridiquement pas le poids face aux premiers ! Je suis d'avis que la question du sida rétroviral est justement faite pour être tranchée par les tribunaux car il y a énormement de problèmes juridiques, tout particulièrement des problèmes de preuve.
  5. wallypat

    Oxyde nitrique

    Je n'ai pourtant nulle part exclu l'hypothèse des femmes nymphomanes se faisant sodomiser. Et justement, la sodomie subie par les femmes et, partant, leur exposition par cette voie-là au sperme est bien connue comme étant un facteur possible de séropositivité (d'ailleurs constaté par l'orthodoxie du sida elle-même : il suffit de lire le fameux rapport "Padian" de 1997, dont on a déjà souvent parlé sur ce forum). Bref, rien là qui contredit l'hypothèse de la réception anale du sperme comme à tout le moins cause possible de la séropositivité (et pourquoi pas de sida, mais à mon avis, dans ce cas-là, en conjonction avec d'autres facteurs, comme l'usage de drogues récréationnelles). Sauf erreur de ma part (qu'on me corrige si je me trompe), cet acteur porno est hétéro et il n'a jamais pratiqué la sodomie réceptive ... en tout cas sur lui ! En conclusion, je n'ai rien lu dans ton argumentaire qui puisse contredire l'hypothèse fort probable que la réception anale du sperme puisse avoir un effet immunodépressif, fût-il de façon transitoire, ainsi que les nombreuses études scientifiques que j'ai citées et l'ayant constaté de façon extrêmement probable.
  6. wallypat

    Le glutathion

    Oui, bien sûr, cela ne fait pas l'ombre d'un doute. Lis par exemple cet article pour le moins édifiant (avec références scientifiques à l'appui). Quelques morceaux choisis : Ou encore cette étude de 2004 (en anglais) qui fait pour la première fois la démonstration in vivo (et non plus seulement in vitro) que le stress psychologique chronique peut causer un stress oxydatif profond. Ou encore cette étude (en anglais) qui énumère de nombreux facteurs causant une (parfois extrêmement forte, comme chez les séropositifs) baisse des lymphocytes T4 chez des séronégatifs (seuls des séronégatifs furent retenus pour rédiger cet article). Parmi ces très nombreux facteurs, se retrouve justement le stress psychologique.
  7. wallypat

    Oxyde nitrique

    Le cas que tu soulèves, Lasimar, paraît tout à fait exceptionnel. Car j'ai lu que l'on pouvait retrouver des cas de sarcome de kaposi chez des gay séronégatifs ... mais ayant la particularité de consommer du poppers, donc exposés à des agents oxydants. Il semble apparemment clair que le sarcome de kaposi est lié au stress oxydatif en général, plus particulièrement chez les séropositifs mais pas nécessairement. Ainsi, on trouve des cas de sarcome de kaposi chez des transplantés rénaux recevant des médicaments anti-rejet, quoique séronégatifs. Bref, un sarcome de kaposi chez une personne séronégative, non exposée à des agents oxydants ou à du stress oxydatif paraît tout à fait rarissime, semble-t-il. En tout cas, cela n'est certainement pas la règle.
  8. Oui, avec ton accord, j'ai mis comme nouveau lien le teaser d'une vingtaine de minutes que tu as trouvé. Malheureusement, le film lui-même paraît avoir été retiré du net depuis peu (raison pour laquelle j'ai remplacé l'ancien lien qui ne fonctionnait de toute façon plus par cet autre lien, à défaut d'autre chose).
  9. Dans ce post, Liane a cité plusieurs articles intéressants, dont celui-ci. On y lit entre autres ce qui suit : On y apprend donc que l'orthodoxie du sida considère que l'un des "cofacteurs" les plus importants de l'hypothétique transmission sexuelle du "VIH" est la transmission sexuelle de ce virus de l'herpès type 2, qui faciliterait la transmission du "VIH". Evidemment, il en n'est rien. C'est au contraire ce virus de l'herpès sexuellement transmissible qui est parfaitement de nature à rendre positif le test appelé par erreur "VIH". Il s'agit justement de l'un des nombreux facteurs pouvant causer une séropositivité, comme énuméré dans cet article-ci (en anglais : allez à la page 12) :
  10. Cette dépêche (en anglais) nous apprend qu'une Cour de justice australienne va analyser cette semaine la question de l'existence du "VIH" ! Un séropositif a en effet fait appel d'un jugement qui l'a condamné parce qu'il aurait prétendument mis la vie en danger de trois femmes avec lesquelles il a eu des relations non protégées alors qu'il se savait "contaminé" par le "VIH". Pas content du tout du jugement (on s'en douterait), il a interjeté appel en invoquant le fait, très juste, que l'existence du "VIH" n'avait jusqu'à ce jour jamais été prouvée et que, partant, il n'a en aucune façon pu mettre en danger la vie de ces trois femmes. La Cour en question analyse donc ce dossier cette semaine-ci. Le Perth Group a d'ailleurs été appelé à la rescousse et témoignera au procès. Croisons les doigts ! En cas de réussite, cela pourrait constituer un grand pas en avant pour la dissidence du sida et pour les millions de séropositifs du monde entier, injustement stigmatisés. D'ailleurs, il y a vraiment des jours où en en matière de sida, je me dis que l'on en est encore au temps de la saignée du Moyen Âge !
  11. Cette dépêche me paraît intéressante, en particulier le passage suivant : Evidemment, aucun "VIH" n'a été transmis du tout. En revanche, d'autres maladies ont bel et bien été transmises, et ce sont ces maladies (avec d'autres facteurs, comme sans doute la mauvaise nutrition de certains des enfants) qui ont rendu positif le test "VIH", et ainsi fait croire en cette ânerie d'inoculation du "VIH" à plus de 400 enfants.
  12. wallypat

    Oxyde nitrique

    Je suis également d'accord. On trouvera d'ailleurs ici (mais en anglais) une liste de références le confirmant. Oups, sujet hyper sensible ! lol Et pourtant. Outre les références reprises déjà dans ce post, tu en trouveras beaucoup d'autres ici (en anglais, hélas) ou encore ici (toujours en anglais). Ce sont des références reprises par des dissidents eux-mêmes du sida. On y constate entre autres qu'il y a de très grandes indications selon lesquelles la réception anale du sperme provoque une baisse des lymphocytes T4, affaiblit le système immunitaire, favorise les infections bactériennes et virales (jusqu'alors restées "silencieuses"), etc... Mais je crois qu'il faut relativiser tout cela. Premièrement, ces effets sont généralement transitoires. Deuxièmement, des tas de choses "naturelles" peuvent faire baisser également et temporairement les lymphocytes T4 et favoriser les infections bactériennes, par exemple s'exposer au soleil, me semble-t-il. Troisièmement, cette explication de la réception anale du sperme comme l'une des causes possibles du sarcome de kaposi paraît avoir été surtout avancée par le Perth Group pour des gay qui avaient plus de 1.000 rapports anaux réceptifs par an (non protégés bien sûr, comme cela fut le cas juqu'aux premières campagnes de safe sex en 1985). Il me semble que c'est assez gigantesque (+/-3 rapports sexuels consommés ... par jour, cela ne me paraît pas à la portée de n'importe qui), d'autant plus que c'était en outre (et peut-être surtout) avec des partenaires différents. Donc, réception de tas de protéines étrangères d'un millier de donneurs différents par an. Cela ne peut pas être bon pour l'immunité. Quatrièmement et sans doute surtout, ce facteur n'a pu qu'aggraver la principale cause par excellence du sarcome de kaposi chez les gay, à savoir l'usage du poppers. Or, pour pouvoir maintenir un rythme aussi infernal de rapports sexuels (je répète, plus de 1.000 rapports anaux réceptifs par an), l'usage de drogues, telles que le poppers, paraît indispensable justement. Bref, poppers et sexe à profusion semblent indissolublement liés. Donc, je pense que la réception anale du sperme ne cause vraisemblablement pas le sarcome de kaposi (quoique .... si cela provient de milliers de donneurs différents en peu de temps, il y a des raisons de penser le contraire, me semble-t-il), mais c'est certainement un facteur extrêmement aggravant en présence d'autres facteurs (poppers, par exemple). Pour en avoir le coeur net, il aurait fallu suivre des gay ayant une telle fréquence de rapports anaux réceptifs mais ne consommant pas de drogues quelconques, comme le poppers. Mais de telles études paraissent impossibles à réaliser puisque sexe à profusion et poppers sont indissolublement liés. Nous en sommes donc réduits en des conjectures, toutefois extrêmement plausibles au vu de toutes les preuves réunies jusqu'à ce jour.
  13. wallypat

    Oxyde nitrique

    Pour compléter ce topic-ci auquel renvoit tout spécialement la synthèse collective, jajoute ce lien vers un post de ce jour de Cheminot qui me paraît fondamental quant aux relations « amour-haine » pouvant exister entre lAZT et loxyde nitrique et ses mé(bien)faits sur lorganisme du séropositif.
  14. Sans vouloir jouer à l'avocat du diable, cette hypothèse pourrait-elle s'appliquer aussi au poppers, et est-il alors encore exagéré de dire que le poppers à faible dose (et en présence de glutathion) pourrait également favoriser l'augmentation des CD4+ ? A moins que cette hypothèse n'est malgré tout pas valable pour le poppers (mais bien pour l'AZT) car le poppers est encore plus oxydant que l'AZT ? La question m'intrigue, il est vrai.
  15. J'ai répondu à cette question, et très récemment en plus. Il suffit de lire ce post-ci.
  16. wallypat

    Silence radio

    Non seulement moi mais également et bien sûr de nombreux autres membres de ce forum, pour la plupart bien avant moi d'ailleurs. Mon ancien docteur "VIH", et bien, je ne le vois plus (c'est bien mieux pour ma santé), donc je n'ai pas eu l'occasion de lui en parler. Et de toute façon, cela aurait été inutile. En effet, avant même que je découvre la dissidence du sida, mon ancien docteur "VIH" m'avait invité à ne pas lire ce que l'on peut trouver sur le net en matière de sida. A l'époque, je ne comprenais évidemment pas ce qu'il entendait par là. Maintenant, j'ai compris ! Quant aux médecins, et bien, j'ai de la chance, puisque je n'ai pas de pépins de santé m'obligeant à les voir. Jusqu'à maintenant, j'arrive très bien à soigner tout seul mes (rares) "bobos". Reste mon médecin nutritionniste. Mais je connais déjà son point de vue, à savoir qu'il se réfère à ce que disent les scientifiques, qui s'y connaissent mieux que lui (et que moi, paraît-il ! lol). D'autant plus que ce n'est pas son sujet de prédilection, ni même un sujet auquel il s'intéresse beaucoup. Mais c'est en revanche un très bon médecin nutritionniste, visiblement très compétent. Donc, je continue à aller chez lui. Mais le problème, chez n'importe quel scientifique, c'est que visiblement PERSONNE (pas même les grands pontes de l'establishment SIDA) ne s'interroge sur l'origine même de ces protéines et ARN. Dès lors que cette origine n'est pas remise en question (il faut dire qu'il est alors nécessaire de remonter aux "isolations" de Montagnier en 1983 et Gallo en 1984), les scientifiques continueront peut-être encore longtemps à croire au mythe du "VIH".
  17. wallypat

    Le glutathion

    Le cas de ton meilleur ami me paraît relativement interpellant, en particulier s'il mène visiblement la vie d'un "saint". Ceci étant, à supposer même que ton meilleur ami ne s'expose même pas périodiquement à des agents oxydants (et parfois, on ignore parfaitement lesquels et il est bien difficile de les trouver [cf les bronchodiladateurs des asthmatiques]), il y a aussi une explication autre qu'un agent pathogène externe non identifié pour expliquer la baisse (qui peut n'être que purement apparente, rappelons-le) de ses lymphocytes de 700/900 à 300 en six ans (notons pour la petite histoire que chez moi, les T4 sont tombés à 176 [= le stade sida car en dessous de 200 ! lol] mais je sais très bien pourquoi), ce que je me permets de considérer comme presque anecdotique si c'est bien là le seul mauvais point chez lui (il n'est jamais ou presque jamais malade, hormis les bobos habituels de tout un chacun par exemple ?). Cette autre explication est tout simplement le stress psychologique chronique, laquelle peut parfaitement causer sur une longue période (comme pour ton ami) un stress oxydatif ... profond au surplus, même si l'ensemble des mécanismes expliquant cette corrélation sont encore loin d'avoir tous été élucidés. Cela a d'ailleurs été rappelé encore récemment dans cet article datant de décembre 2004 : Et il n'y a d'ailleurs aucune raison de penser que je devrais justement faire exception à ce que de nombreuses études ont démontré quant aux bienfaits des antioxydants chez de nombreux séropositifs examinés lors de ces études. En tout cas, chez moi, il n'y a déjà aucun effet nocebo du tout ! lol
  18. wallypat

    Le glutathion

    Voilà. J'ai fait ma prise de sang ce matin, chez mon médecin nutritionniste. Résultats début décembre (pas plus tôt pour cause d'agenda incompatible). Pas de problème pour faire le rapport glutathion réduit/glutathion oxydé. En revanche, il serait impossible de faire une analyse du glutathion au niveau intracellulaire car seuls quelques très rares laboratoires seraient en mesure de faire une telle analyse. En plus, elle serait extrêmement coûteuse et de telles analyses ne sont faites à ce jour qu'au niveau de la recherche scientifique. Bref, je dois me contenter de l'analyse du glutathion au niveau plasmatique. C'est toujours ça, et cela reste important. Autre (grosse) déception. J'avais demandé d'analyser à nouveau mes IgG, soit le nombre des anticorps, beaucoup trop élevés (forcément, puisque le test "VIH" est positif). J'espérais que cela soit descendu à un niveau normal, auquel cas j'aurais refait à nouveau le test "VIH". Il a toutefois (très) fortement tempéré mes espoirs en précisant qu'il faut des années (un minimum de 5 années, paraît-il) pour que cela descende de manière significative, et certainement pas en six mois. En d'autres termes, il ne sert à rien de déjà refaire cette analyse. Voilà qui expliquerait pourquoi on ne redevient pas séronégatif du jour au lendemain, mais bien au bout de plusieurs années (du moins, lorsque la séropositivité résulte de facteurs "profonds"), et en commençant d'ailleurs avec des résultats indéterminés. Pour le reste, résultats début décembre, donc.
  19. On a donc cité auparavant des vidéos parlant de la dissidence du sida. Le gros problème avec ces vidéos, c'est qu'elles sont quasi exclusivement et entièrement basées sur la "logique" de Peter Duesberg, c'est-à-dire la théorie selon laquelle le "VIH" existerait effectivement en tant que rétrovirus exogène, mais qu'il serait toutefois passager et inoffensif. Autant dire qu'à mon sens, on devra se satisfaire (au mieux) de demi-vérités et que le combat sera encore bien long avant d'en finir avec l'hypothèse rétrovirale du sida. Toutefois, je viens de trouver une vidéo (hélas en anglais) de 9 minutes 38 secondes qui, elle, relate la théorie du Perth Group, à savoir que le "VIH" n'a en réalité jamais été isolé et que le sida est causé par l'exposition durable aux agents oxydants. La voici : http://www.virusmyth.net/aids/video/jsisolation-80kbps.ram. Si quelqu'un se sent capable et motivé de faire des sous-titres en français, je préconiserais qu'il commence plutôt avec cette vidéo-ci, non seulement parce qu'elle est bien plus courte que les autres (ce sera donc bien plus rapide à traduire), mais surtout parce qu'elle est extrêmement radicale et ne laisse absolument plus rien subsister de cette foutaise d'hypothèse rétrovirale du sida. Attention, il faut disposer de Realplayer et le son ne paraît pas très bon. Notons pour la petite histoire que cette vidéo fut commandée par la chaîne britannique Channel 4 en 1998 mais elle n'eut finalement pas le courage de diffuser ce petit documentaire ! On ne s'en étonnera guère, on commence à connaître la chanson. C'est l'occasion de voir en chair et en os les membres les plus éminents du Perth Group, dont la si célèbre et courageuse Eleni Papadopulos. Franchement, je la trouve assez sexy dans son genre ! On voit tout de suite qu'elle a un sacré caractère. Et son accent ... Divin ! (c'était la première fois que je l'entendais).
  20. wallypat

    Le glutathion

    Je ne peux m'empêcher de m'inquiéter pour les derniers résultats biologiques, visiblement assez catastrophiques, de ton meilleur ami. Car si ces résultats deviennent de plus en plus mauvais, c'est qu'il y a bien une ou même plusieurs raisons derrière cela (sans rapport avec un rétrovirus "VIH" bien sûr). A moins que ce soit l'effet nocebo (hypothèse fort probable bien sûr) lié à la croyance erronée qu'il a été contaminé par le si délétère et malfaisant "VIH", croyance pouvant susciter un cercle vicieux menant progressivement et chimiquement à des résultats biologiques catastrophiques, il y a tout lieu de penser que ton meilleur ami est avant tout exposé régulièrement à des agents oxydants. Avant toute chose, il doit absolument cesser de continuer à s'exposer à ceux-ci car à défaut, les antioxydants et autres compléments ne lui serviront finalement que d'emplâtre sur une jambe de bois, en d'autres termes, deviendront inutiles à la longue et seront sans effet. Si ces résultats sont devenus de plus en plus négatifs, c'est bien qu'il y a des raisons derrière cela. Et c'est avant tout sur ces raisons-là que ton meilleur ami doit travailler. Les antioxydants ne pourront ensuite qu'améliorer, parfois fortement, la situation. Sinon, pour le surplus, mais cela n'est qu'une simple impression sur ce point-là, je suis persuadé que l'effet des antioxydants est en outre bien plus efficace encore dès lors que l'on a compris que l'on n'a jamais été contaminé par quelque "VIH" que ce soit et que ces antioxydants sont susceptibles de combattre la cause même du sida. Bref, aux effets positifs scientifiquement prouvés des antioxydants il me paraît opportun d'y accorder un effet "placebo", jamais inutile d'ailleurs, ne fût-ce déjà que pour inverser le cercle vicieux (effet "nocebo" ici) dans lequel était emprisonné le séropo crédule ayant cru en l'existence du "VIH" et en ses effets délétères soi-disant irréversibles. Comprendre que le "VIH" n'existe pas et comprendre ce qui cause réellement le sida est déjà le premier réel pas vers la guérison !
  21. Par conséquent, ne nous voilons pas la face : avec des chiffres pareils aussi minimalistes, la "charge virale" ne constitue tout simplement JAMAIS un marqueur fiable, et c'est vraiment à se demander pourquoi on perd encore son temps à la mesurer (en tout cas, moi, je ne le fais plus mesurer du tout, c'est clairement une perte de temps et d'argent ... sauf pour les laboratoires d'analyse !). Je pourrais constater également que 10% des patients passés en dessous d'une échelle ont développé très vite la maladie. Il ne me viendrait pourtant pas à l'esprit de dire que passer en dessous d'une échelle constituerait un marqueur fiable de l'évolution vers le sida. Et pourtant, c'est ce que cet article essaie tant bien que mal de nous faire croire avec la "charge virale", certainement pour cause de dogme (déjà fort mis à mal, manifestement) à respecter. Comparée à la charge virale, la baisse des lymphocytes T4 devrait alors être considérée comme le nec plus ultra des marqueurs prédictifs de l'évolution vers le sida, et de loin d'ailleurs ! lol Et pourtant, on a déjà vu que la baisse des lymphocytes T4 n'était pas un facteur de l'évolution vers le sida déclaré aussi fiable que l'on pourrait penser de prime abord, et que seule la mesure du niveau de glutathion paraît être un marqueur réellement prédictif d'une telle (éventuelle) évolution vers le sida. Alors, on a maintenant tout de suite une idée bien précise de l'absence totale de crédit à accorder à cette notion bien trompeuse de "charge virale" !
  22. wallypat

    Le glutathion

    Voilà qui me semble extrêmement encourageant ! Quoique je n'accorderais aucune espèce d'importance à la charge dite "virale". Mais la véritable épreuve, je crois, consistera à voir comment les choses vont évoluer quand tu arrêteras ta trithérapie, laquelle a certainement aidé également à l'obtention de ces résultats quelque peu "fabuleux". Et à l'occasion de cet arrêt, pour remédier à la perte des quelques effets positifs des trithérapies, je proposerais que tu augmentes - provisoirement - certains des antioxydants que tu prends. D'ailleurs, combien en prends-tu chaque jour et les prends-tu en les espaçant au moins trois fois sur la journée, et sur un estomac vide ? Bien entendu, il est tout de toute façon plus que jamais indispensable que tu ne sois pas exposé à des agents oxydants bien connus pour favoriser le résultat espéré. En tout cas, tout cela me paraît de bonne augure puisque j'utilise les mêmes antioxydants depuis bientôt cinq mois et je suis bien curieux de connaître les résultats fin novembre prochain. Et je crois que si amélioration il y a, elle ne pourra être due qu'aux seuls antioxydants que je prends (et à l'arrêt du ... poppers ! lol) puisqu'il n'y a pas chez moi de trithérapie pour gâcher un tant soit peu la fête. A suivre, donc, pour moi également.
  23. wallypat

    Silence radio

    Moi, en tout cas, j'en profite pour un peu me reposer. Et je commence à me dire que les points principaux et même de nombreux points accessoires du sujet ont déjà été analysés, reanalysé, rereanalysés, etc.. Je me dis parfois qu'on commence à faire le tour du sujet et qu'il n'y a plus qu'une seule chose à faire : voir le monde continuer à aller droit dans le mur, nonobstant la circonstance que la plupart des arguments du Perth Group, si pas l'écrasante majorité, reste irréfutés à ce jour. Et puis, j'avoue que je commence à décourager un peu. En effet, aujourd'hui, cela fait exactement un an que je suis inscrit sur ONCT, et en un an, la dissidence du sida ne paraît pas avoir fort progressé, ni même progressé du tout; au moins n'a-t-elle déjà pas reculé, c'est déjà ça. Bref, mon optimisme de départ laisse peu à peu la place à l'amertume. Je crois que pour que les choses changent un jour, il faudrait que des revues pour beaufs genre "Télérama", "Voici", etc... fassent une couverture avec comme sujet "Et si le "VIH" n'existait pas en fait ?". Alors, là, les choses changeront, probablement du moins.
  24. Lexistence du « VIH » na beau jamais avoir été prouvée, les maladies définies sous le vocable « sida » existent réellement. Il faut donc soigner ces maladies, et même très vigoureusement, quil y ait « VIH » ou non. Doù lutilité des bilans nutritionnels (et voire même des trithérapies dans certains cas, même si lefficacité de celles-ci na strictement rien à voir avec leurs soi-disant propriétés dites « antirétrovirales »). Comme a semblé lavoir démontré antérieurement Psyence, un test « VIH » positif chez une personne non à risque de sida na visiblement aucun caractère prédictif de sida. En revanche, pour ce qui me concerne, un test « VIH » positif chez des personnes à risque de sida est pour moi le signe dune propension certaine, quoique lâche, à développer ultérieurement certains maladies particulières qualifiées de sida. Telle est la position du Perth Group et la mienne. Telle nest cependant pas la position dautres personnes sur ce forum. Si tu examines cette liste de différents facteurs pouvant entraîner un test « VIH » positif, bon nombre de ces facteurs paraissent de nature à provoquer un fort stress oxydatif, fût-il provisoire, lequel pourra se traduire par la production de nombreux anticorps qui pourront être détectés par les tests « VIH ». La personne sera alors déclarée « contaminée » par le « VIH », mais à tort bien sûr ! Ceci étant, pour une personne ayant un style durable de vie à risque de sida, la séropositivité nest certainement pas une nouvelle anodine en raison de la propension précitée à développer des maladies particulières (cest cependant contesté par certains). Dès lors, il paraît en tout cas bien plus judicieux de dire que les tests « VIH » sont des tests de stress oxydatif plutôt que des tests ayant une quelconque prétention à détecter une « contamination » par le « VIH ». Cependant, lidée pourrait être défendue quil ny a pas que le stress oxydatif qui puisse causer autant danticorps, auquel cas lutilisation de lexpression « test de stress oxydatif » nest sans doute pas appropriée. Mais cela reste toujours bien plus approprié que test « VIH », ce test ne pouvant JAMAIS avoir une telle prétention.
  25. wallypat

    Le glutathion

    Tout ce que je crois pouvoir faire, c'est renvoyer à ce post où j'ai reproduit l'ensemble des points qui furent mesurés chez moi, et qui ne se limitent donc pas qu'au seul stress oxydatif sensu stricto.Car, comme l'a encore récemment rappelé Aixur, tout réduire au stress oxydatif pourrait être un peu ... réducteur ! Concernant les valeurs limites, je pense que les laboratoires faisant ces mesures les connaissent bien mieux que moi, d'autant plus que les valeurs "normales" me paraissent devoir déjà évoluer en fonction de l'âge et du sexe. Sinon, pour ma part, je demanderai la prochaine fois à mon médecin nutritionniste de faire ces autres mesures en matière de glutathion, et, si cela est possible, l'ensemble des mesures (dont certaines figuraient déjà dans mon bilan nutritionnel précédent) reprises dans ce post. Pour le reste, je crois que le problème premier est tout d'abord de trouver un médecin qui s'y connaisse au moins déjà un peu dans ce sujet, ce qui n'est visiblement pas une sinécure ! lol
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