^pierre^ Posté(e) le 1 février 2005 Partager Posté(e) le 1 février 2005 Isis, Pour tout dire, je ne suis pas très "salle de sport". J'ai grandi dans les montagnes, alors, celà marque! Dans ma jeunesse jétais très alpinisme et randonnée. Maintenant je dois ré-éduquer mon côté gauche et je compte sur la montagne pour my aider. Après, je ferais une photo avec le contre-slogan : "Voilà, il peut encore faire de la montagne car il ne prend pas de truie-thérapie A+ Pierre Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
sicnarfa Posté(e) le 2 février 2005 Partager Posté(e) le 2 février 2005 je pense que lapproche holistique du vivant est abordée par la physique quantique et bio physique aujourdhui, que celle ci rejoint la Tradition millénaire (qui na mis aucune loi en équation, mais est basée sur la sagesse et la connaissance innée de lhumain) en une magnifique synthèse prometteuse. Cela devrait en fait nous rassurer. Il est en effet curieux de constater comment la science de pointe ne fait que découvrir ce que les grands sages répétent depuis des millénaires. Mais il est surprenant et rassurant , pour celui qui essaie et qui y parvient , de constater comment des informations viennent à nous quand on est vide de désirs et de peurs , et que c'est tu ce grand illusionniste qu'est l'intellect ! Cette connaissance existe , elle n'est pas l'apanage d'homme possédant des dons particuliers. Pour y parvenir il ne faut pas quelquechose en plus , mais quelquechose en moins. Mais le probléme c'est que ce quelquechose en plus , se comporte comme une entité qui défend sa propre existence. La peur nourrit l'intellect , l'intellect crée l'illusion , l'illusion engendre l'ignorance , l'ignorance génére le doute , le doute alimente la peur. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité rock-en-rock Posté(e) le 3 février 2005 Partager Posté(e) le 3 février 2005 Je vous conseille la lecture complète du rapport de l'avocat général dans l'affaire du sang contaminé s'agissant de la l'étape visant à contester en cassation l'arrêt du 4/07/02 de la quatrième chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris qui dit n'y avoir lieu à suivre contre quiconque. Au-delà de l'affaire proprement dite, il est intéressant d'en tirer des enseignements (de moyens) susceptibles d'éclairer encore mieux le périmètre de la notion pénale de l'administration de substances dangereuses ... Je veux parler bien sûr de la "truie-thérapie" comme dirait Pierre ... Vous pourrez trouver cela sur ce lien ... http://lexinter.net/JPTXT3/rapport_de_l...cat_general.htm un peu chiant à lire, j'en conviens ... mais la position du ministère public est intéressante ... surtout sous cet angle ... qui ne fut pas, bien sûr, évoqué dans l'affaire précitée ... Pour l'anecdote et pour Pierre, Aixur et Cheminot, je ne peux m'empêcher d'en extraire ceci ... A ces hésitations, doit être ajoutée la tragique méprise qui a caractérisé l'état des connaissances scientifiques et médicales de 1985. A l'époque, dans la plus pure tradition pasteurienne, tous les professionnels de santé étaient persuadés que la présence d'anticorps chez un patient signait le combat victorieux de l'organisme contre la contamination. Dans leur rapport remis au secrétaire d'Etat à la santé, le 22/07/85, les experts les plus avertis en cette matière - notamment les docteurs Glukman, Michaud, Montagnier, Penneau et Rozembaum - n'écrivaient-ils pas, sans la moindre hésitation : "Il faut dissiper la confusion très répandue entre SIDA et infection par le virus LAV. Le médecin devra expliquer que la présence d'anticorps contre ce virus indique que le sujet a été infecté par ce virus, mais que la probabilité de développer un SIDA est faible, les études actuelles indiquant que la grande majorité des sujets séropositifs restent bien portants".[/QUOTE] Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 3 février 2005 Partager Posté(e) le 3 février 2005 A ces hésitations, doit être ajoutée la tragique méprise qui a caractérisé l'état des connaissances scientifiques et médicales de 1985. A l'époque, dans la plus pure tradition pasteurienne, tous les professionnels de santé étaient persuadés que la présence d'anticorps chez un patient signait le combat victorieux de l'organisme contre la contamination. Dans leur rapport remis au secrétaire d'Etat à la santé, le 22/07/85, les experts les plus avertis en cette matière - notamment les docteurs Glukman, Michaud, Montagnier, Penneau et Rozembaum - n'écrivaient-ils pas, sans la moindre hésitation : "Il faut dissiper la confusion très répandue entre SIDA et infection par le virus LAV. Le médecin devra expliquer que la présence d'anticorps contre ce virus indique que le sujet a été infecté par ce virus, mais que la probabilité de développer un SIDA est faible, les études actuelles indiquant que la grande majorité des sujets séropositifs restent bien portants" Et on en revient donc à cette question lancinante : Qu'est-ce qui a bien pu provoquer l'augmentation importante du sida qui a suivi jusqu'en 92, et pourquoi y a-t-il eu décroissance ensuite? Pourquoi la mortalité a-t-elle suivi exactement à deux ans près la courbe précédente, alors qu'au départ, rien ne la laissait présager? Pourquoi n'a-t-on pas osé incriminer l'AZT, qui a commencé à être expérimenté en 1985, et dont l'utilisation a été largement freinée après 92, à la suite de l'expérimentation Concorde ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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