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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Bon, je tombe sur cet ancien sujet. Quelqu'un pourrait-il me donner des liens, même en anglais, permettant de mieux analyser les deux points suivants. 1) Il semblerait que le virus de l'hépatite C n'aurait jamais été convenablement isolé (un peu comme le VIH donc). C'est ce qu'affirme l'article reproduit dans le premier post de ce topic. Mais n'y aurait-il pas d'autres articles, même en anglais, qui approfondissent le sujet ? Cela me paraît quand même suspect que le "virus" de l'hépatite C ait été isolé par la méthode PCR. Cela me semble un peu n'importe quoi, mais j'aimerais bien approfondir ce point. 2) Il apparaît de plus en plus que l'hépatite C serait en réalité causé par certaines formes de stress oxydatif. Ce ne serait donc pas un hasard qu'entre 30 à 40% des séropositifs au "VIH" deviennent ensuite séropositifs à l'"hépatite C", à supposer que ce dernier existe réellement. Concernant le stress oxydatif comme cause de l'hépatite C, je n'ai de prime abord trouvé que cet article-ci qui le suggère : "Le glutathion est vital". Mais cet article ne dit pas en tant que tel que le stress oxydatif cause l'hépatite C mais précise que cela y contribue très fortement. Mais cet éventuel détournement de langage ne serait-il pas en réalité un moyen pour maintenir coûte que coûte l'hypothèse du virus comme cause de l'hépatite C ? Bref, quelqu'un pourrait-il me communiquer des liens intéressants, même en anglais, où il serait précisé que le stress oxydatif serait également la cause de l'hépatite C ? Merci.
  2. Oops ! Je ne suis quand même pas Steve Austin, l'homme qui valait trois milliards ! En fait, c'est 5,5km en une demi-heure, donc, à une vitesse de 11km/heure.
  3. Oui, effectivement, ce n'est pas un médecin généraliste ni un "expert" VIH qui fera des analyses approfondies de ce genre, et encore moins qui pourra les interpréter. Il faut plutôt aller chez un médecin nutritionniste, et s'il est bon, il ne se contentera pas de la mesure du glutathion et du sélénium mais fera un bilan global car beaucoup d'éléments sont liés : stress oxydatif bien sûr, mais aussi le profil protéique, le bilan nutritionnel et antiradicalaire, le statut des acides gras. Celui que j'ai "trouvé" est "tellement" zélé qu'il a aussi analysé, sans mon accord, le typage lymphocytaire. Quand je l'ai su, je lui ai dit qu'il peut analyser tout ce qu'il veut, sauf justement mes lymphocytes, faute de quoi je change à nouveau de médecin. Il m'a fait de grands yeux, et il a semblé ne rien comprendre à l'effet nocebo lié à l'annonce de la baisse (apparente) des lymphocytes T4. Bien qu'il croit comme presque tout le monde au mythe du rétrovirus tueur, je continue quand même aller chez lui (à moins qu'il analyse à nouveau derrière mon dos mes T4) car il me semble très calé sur le sujet. Pour ce qui me concerne, finalement, ce qui était le moins mauvais chez moi, c'est le bilan de mon stress oxydatif ainsi que mon bilan antiradicalaire (finalement, les points les plus importants en matière de sida). Malgré les assez fortes doses de N-Acétyl cystéine que je prends (+/-1800mg par jour), mon taux de glutathion est juste en bas de la fourchette "normale". En revanche, j'ai beaucoup trop de sélénium. Je dois diminuer. Il faut dire que j'en prenais 300mg par jour depuis 5 ans (avant même que je découvre la dissidence du sida). Bref, pas de déficit dans n'importe quelle forme de glutathion et trop de sélénium. Quant aux autres postes du stress oxydatif, c'est bon aussi. Le bilan n'est donc pas mauvais et comparé à bon nombre de séronégatifs, c'est même assez bon. En revanche, j'ai une forte carence en fer et en vitamines D. Je vais devoir prendre des compléments pour y remédier pour le moment. Trop de protéines également. Cela résulte manifestement des nombreux compléments alimentaires que je prenais quand je faisais beaucoup de musculation, et certainement des fortes doses de spiruline que je prenais chaque jour. Mais ce qui est vraiment assez grave, ce sont mes oméga 3 qui sont bien en-dessous de la "norme". Et si cela continue, cela causera des dommages aux mitochondries, avec risque de sida. Je dois donc y remédier : manger plus de poissons, et entre-temps, je dois consommer beaucoup d'huile de poisson : huile de cameline et de capelan. Tout cela pour dire qu'un médecin "HIV" ne fera pas ce genre d'analyse, il ne s'intéresse qu'aux T4 et à la charge dite "virale". Et bien sûr, en cas de survenance d'un sida déclaré, il dira que c'est le "virus" alors que les carences nutritionnelles entre autres provoquées par le stress oxydatif permettent de l'expliquer !
  4. LE CAS DE PIERROT : ESSAI DE SYNTHESE Avertissement Pour ceux qui en douteraient encore, ce qui est arrivé à Pierrot n'a évidemment strictement rien à voir avec le "VIH". Tout s'explique par le stress oxydatif, encore une fois. 1)Rappel des faits Pierrot a été politoxicomane (désolé de la rappeler, mais c'est absolument indispensable pour comprendre ce qui s'est passé) pendant plusieurs années. Le stress oxydatif engendré par cette politoxicomanie a naturellement rendu le test dit "HIV" positif. Heureusement pour lui et peut-être sans le savoir au départ, il a suivi les conseils de la dissidence du sida : arrêt définitif de la toxicomanie, reprise d'une vie saine, pas de médicaments quelconques pendant plusieurs années, il ne fume plus depuis 10 ans, plus d'alcool depuis 3 ans, beaucoup de sport, etc... Un style de vie qu'il a donc mené pendant plusieurs longues années, sans souffrir de quelconques graves maladies. Et il a très bien fait. Rappelons en effet qu'il est bien connu que les survivants à long terme (appelons les plutôt : "résistants" à long terme) ont pour caractéristique commune d'avoir arrêté les pratiques sources de fort stress oxydatif (telles que justement la toxicomanie), n'ont jamais pris d'AZT, de drogues dites "antivirales" et d'autres antibiotiques. C'est bien là le point commun de presque tous les "survivants" à long terme vivant très bien. Et quand ils sont forcés de prendre des antibiotiques, c'est uniquement en cas de réelle nécessité (comme c'est justement le cas à l'heure actuelle de Pierrot) et uniquement le temps de surmonter un grave problème de santé. On ne connaît pas de "survivants" à long terme et en bonne santé (et j'entends par là : ne souffrant pas d'effets secondaires liés à la prise de médicaments quelconques, tels que justement les drogues dites "antivirales") parmi ceux qui prennent les drogues dites "antivirales". Certes, il y en a beaucoup parmi ceux qui prennent les tri"thérapies", mais ce n'est évidemment pas sans effets secondaires. Et ne venez pas me dire que cela est dû à je ne sais quelque modification de je ne sais quel gène. Chaque fois que des "explications" pareilles ont été avancées par l'orthodoxie du sida, quelques années plus tard, différentes études ont clairement démontré qu'il n'en était rien et qu'on ne trouvait pas ces modifications génétiques chez la plupart des "survivants" à long terme. Après ces longues années sans problème de santé, assez "subitement", en quelques semaines, il développe ce que l'orthodoxie du sida appelle une "pneumocystose". Quoique ce soit, c'est assurément très grave et Pierrot est hospitalisé, mis sous bactrim et sous trithérapie. Il se sent mieux et c'est normal. Mais est-il vraiment nécessaire qu'il continue encore après son complet rétablissement ? Là, j'en doute. Il existe d'autres moyens de remédier à la situation, plus naturels et bien moins chers. Ce n'est que si cela répète encore assez fréquemment (à apprécier au cas par cas, mais j'admets que déjà la première fois, c'est déjà une fois de trop; ce n'est toutefois pas une raison à mon sens de se précipiter sur les drogues dites "antivirales", on peut obtenir les mêmes résultats par d'autres moyens) que le recours aux drogues dites "antivirales" doit vraiment sérieusement être envisagé. 2)Tout d'abord, comment expliquer ce qui est arrivé à Pierrot ? Encore une fois, le stress oxydatif. Mais avant d'y venir, rappelons, comme l'ont souligné antérieurement Terry et Aixur, qu'il n'est pas sûr que Pierrot ait réellement eu une pneumocystose. Lisez les posts qui précèdent. Indépendamment de cela, la nature même de la pneumocystose reste plutôt inconnue. J'invite en effet le lecteur intéressé à lire l'article suivant (en anglais) : ACQUIRED IATROGENIC DEATH SYNDROME (AIDS) : Pneumonias & Lung Diseases. L'orthodoxie du sida n'est en effet pas à une contradiction près : Concernant les acides gras oméga 3, je présume que c'est surtout en cas de début de pneumocystose. Mais indépendamment de cela, mais il faudrait une confirmation d'un aromathérapeute, je me demande si des huiles essentielles, bien utilisées, ne permettraient pas de guérir une pneumocystose, étant entendu que dans un tel cas, le recours à un aromathérapeute est absolument indispensable. On sait en effet que bon nombre d'huiles essentielles ont des effets antibiotiques et bactéricides bien supérieurs à ceux de bon nombre d'antibiotiques, et cela a pu être scientifiquement prouvé et vérifié par l'aromatogramme, dont la technique est identique à celle utilisée pour mesurer l'activité bactéricide des antibiotiques. Dès lors, je pose la question : des huiles essentielles ne peuvent-elles pas guérir une pneumocystose, du moins tant qu'on n'est pas arrivé au stade où l'on a besoin d'un appareil respiratoire ? Par exemple : les huiles essentielles ravensare, Eucalyptus globulus, sarriette des montagnes, etc... Je n'en sais rien, mais je crois qu'il serait utile de le vérifier et d'avoir l'avis d'un aromathérapeute. En tout cas, sur le net, j'ai trouvé un traitement proposé en aromathérapie pour soigner une pneumonie atypique, ce qui ne me semble pas moins dangereux qu'une pneumocystose. Certes, l'aromathérapeute en question dit que cela doit être utilisé comme adjuvant à un traitement allopathique. Mais je pense qu'il dit cela pour couvrir sa responsabilité car d'un autre côté, il dit à la fin que quand sa solution est utilisée comme adjuvant, les doses doivent être adaptées. Cela ne signifie-t-il pas en réalité que les huiles essentielles pourraient guérir une pneumonie (atypique, dans le cas en question) à elles seules, sauf que la quantité à utiliser devrait être plus élevée ? Ailleurs, j'ai trouvé d'autres huiles essentielles de nature à soigner des pneumonies, telles que l'origan à inflorescences compactes (attention : je crois qu'il faut d'abord s'inscrire sur ce site pour lire la fiche en question). Bref, l'aromathérapie, à fortes doses, pourrait peut-être soigner une pneumocystose pas encore arrivé à un stade trop gravissime. Il faudrait creuser la question, me semble-t-il. 4) Et pour l'avenir maintenant? Effectivement, il ne fait aucun doute que les drogues dites "antivirales" vont très certainement améliorer la situation de Pierrot. Certaines de celles-ci vont agir comme antibiotiques à large spectre et supprimer les germes susceptibles de causer des infections, tels que la pneumocystose, et d'autres, comme la lamivudine, vont faire remonter, un peu artificiellement, le taux de glutathion et accessoirement ces T4. Mais est-ce la seule solution ? Je ne le crois pas. Certes, je les prendrais encore quelques semaines, le temps d'être complètement d'aplomb, sans avoir trop à souffrir des effets secondaires à moyen ou long terme, mais je profiterais surtout de ce laps de temps pour faire un bilan nutritionnel très détaillé chez un médecin nutritionniste et qui porterait entre autres sur : - le stress oxydatif bien sûr, dont le glutathion peroxydase et le sélénium(attention : les trithérapies pourraient déjà avoir amélioré la situation), mais d'autres éléments également, - le bilan antiradicalaire, - le profil protéique, - le statut des acides gras (peu d'oméga 3 par exemple favorisera également le sida), - etc... Un médecin nutritionniste saura bien mieux que moi. En fonction de ce futur bilan, je proposerais qu'il corrige les carences constatées par la voie de compléments adaptés, et ensuite par une alimentation adaptée. Car il faut le rappeler, le sida est causé par le stress oxydatif. Ce stress oxydatif cause, entre autres, une chute de la concentration en glutathion, et ensuite par exemple la pneumocystose. Pour y remédier, on peut très bien y arriver avec des compléments alimentaires adaptés, qui permettront généralement d'arriver aux mêmes résultats ..... mais de façon moins chère et sans les effets secondaires des drogues dites "antivirales". Ce n'est que si on n'arrive pas à corriger cela (ce qui peut arriver) ou que si malgré tout, des épisodes de sida se reproduisent à nouveau et de plus en plus graves, que le recours aux drogues dites "antivirales" peut s'avérer réellement nécessaire. On rappellera enfin que Pierrot n'a visiblement JAMAIS fait de bilan nutritionnel (et donc par exemple jamais contrôlé sa concentration en glutathion et sélénium), ce qui est en principe assez justifié car ce qui lui est arrivé, quoique tout à fait justifiable par la théorie du stress oxydatif, reste rare. Mais s'il l'avait fait, il aurait certainement pu constater les carences nutritionnelles dont il souffrait (et souffre encore certainement ce jour), y remédier et éviter, très vraisemblablement, ce malheureux épisode de la pneumocystose. En d'autres termes, et sauf exceptions, le recours aux drogues dites "antivirales" ne me semble pas forcément nécessaire, même à moyen terme, et encore moins à long terme. A Pierrot d'en décider bien sûr. Et d'ailleurs, je reconnais que j'ai le "bon" rôle, n'étant pas le coup pyschologique de ce qui lui est arrivé. Mais même s'il doute, il pourrait déjà commencer à faire un tel bilan nutritionnel détaillé. Cela ne coûtera presque rien et c'est de toute façon la première étape à faire. PS : Ayant passé beaucoup de temps à l'analyse de ce qui est arrivé à Pierrot, le lecteur m'excusera si je n'ai pas eu le temps d'avancer dans le nouveau projet de sommaire. Mais j'espère bien le terminer dans les prochaines semaines. Et le plus gros, à savoir la démolition des "arguments" de l'orthodoxie du sida et l'exposé des arguments de la dissidence du sida, y figure déjà. Le lecteur pourra le retrouver en cliquant ici.
  5. wallypat

    Guérir le Sida!

    Très intéressant ces deux liens sur les mitochondries ! En lisant ces deux articles, on comprend tout de suite le lien avec le stress oxydatif comme cause du sida (même si ce n'est évidemment pas dit comme cela dans les deux articles), et la nécessité de supplémentations en différents antioxydants et oligoéléments, comme les vitamines A, C E, le sélénium, etc... qui protégeront les mitochondries et, par voie de conséquence, contre le sida. On signale également l'importance fondamentale des oméga 3 et de l'acide alpha-lipoïque. En d'autres termes, comme déjà signalé à plusieurs reprises ci-dessus, pour prévenir et, le cas échéant, surmonter un épisode de sida déclaré, la première solution ne consiste pas à consommer des drogues dites "antivirales" (sauf éventuellement à très court terme pour surmonter un tel épisode de sida ou éventuellement à plus long terme dans l'hypothèse où les infections dites opportunistes se répètent un peu trop souvent) sur base des marqueurs que seraient les lymphocytes T4 et la charge dite "virale", mais bien à faire régulièrement un bilan nutritionnel pointilleux en analysant toutes les carences de son alimentation. Très souvent, on constatera chez les séropos et sidéens de fortes carences en sélénium et glutathion et il faudra y remédier. Mais il conviendra également de remédier par la même occasion aux autres carences qui peuvent aussi contribuer au "sida", mais visiblement à plus long terme. Bien plus que la simple mesure des T4, dont la baisse ne peut systématiquement est analysée comme constituant un signe vers la progression du sida, un bilan nutritionnel REGULIER est INDISPENSABLE pour prévenir le sida, en particulier lorsque le séropo a des raisons de penser qu'il continue à être exposé à des sources importantes de stress oxydatif.
  6. Est-ce que tu n'aurais pas mal lu ? Dans les posts de Pierrot du début de l'année, je ne lis nulle part qu'il aurait eu auparavant 600 T4. Au contraire, il semble préciser qu'il n'avait plus fait cette mesure depuis plusieurs années. Peut-être pourrais-tu nous communiquer la date précise du post où Pierrot aurait affirmé cela ? Merci.
  7. Dans je sais plus quel pays, un type a été condamné à mort et donc des types en ont profité pour faire une expérience: ils ont dit au gars: "on va t'ouvrir les veines, puis le sang coulera, tu te videras, ainsi tu mourras rapidement et sans souffrance." Ils ont bandé les yeux du type. Ils ont fait mine de lui inciser le bras. Et lui ont fait couler de l'eau chaude dessus pour faire croire que c'est le sang qui se vidait. Et le type est mort, cash. C'est comme la catalepsie... tout ça c'est des rucs fous, mais cela fait partie des capacités de l'homme... Voilà deux brillantes applications de l'effet nocebo ! Grâce à ces deux exemples, on comprendra donc encore mieux l'effet nocebo que peut induire l'annonce d'une séropositivité (ou pour rester plus proche avec les derniers événements, l'annonce d'une pneumocystose), supposée à tort comme constituant le signe d'une "infection" par le "VIH", et son effet aggravant désastreux dans la survenance d'un sida déclaré (ou une récidive de celui-ci).
  8. PROBABILITES D'INFECTION D'UNE GONORRHEE ET DU "VIH" Dans un document bigrement intéressant, j'ai entre autres trouvé un tableau des statistiques de contamination d'une femme par un homme, lors d'un rapport hétérosexuel, d'une vraie MST, à savoir ici la gonorrhée (ou blennoragie ou encore chaude pisse) par rapport à une bien fausse MST, à savoir le "VIH". C'est absolument édifiant comme vous le constaterez. Ne sachant pas (encore) comment reproduire ici ce tableau tel quel, j'ai reproduit les chiffres de façon manuscrite (mais le lecteur pourra le vérifier par lui-même à la page 13 du document susvanté). Le premier nombre de chaque ligne indique le nombre de rapports sexuels nécessaires, le deuxième nombre concerne la gonorrhée et le troisième nombre, le (bien hypothétique) "VIH" (et uniquement le "VIH" pour les deux dernières lignes). 0 ----> 0% ---> 0% 1 ----> 50% ---> 0,09% 2 ----> 75% ----> 0,18% 3 ----> 88% ----> 0,27% 4 ----> 94% ----> 0,36% 5 ----> 98% ----> 0,45% 777 -----------> 50% 3333 ----------> 99% Le lecteur constatera qu'une vraie MST est diablement contagieuse. En revanche, les statistiques de "contamination" du "VIH" correspondent clairement à un bruit de fond (comme l'a déjà dit à plusieurs reprises antérieurement Cheminot sur ce site), en d'autres termes qu'il est scientifiquement impossible d'affirmer, sur base de ce genre de chiffres et sans peur du ridicule, que le "VIH" est sexuellement transmissible. Si l'on devait se baser sur ce genre de chiffres pour prétendre que oui, il faudrait alors également affirmer que le cancer par exemple est aussi sexuellement transmissible. Quand on examine ce tableau et qu'on tient compte de tout ce qui a déjà été dit antérieurement sur ce sujet sur ce forum, il ne fait aucun doute que la séropositivité n'est en aucune façon sexuellement transmissible et que le SIDA n'est en aucune façon une MST. Il s'agit encore là de l'un des pires préjugés encore en vigueur. Ceci étant, ne faites pas les "imbéciles", l'usage du préservatif est bien sûr toujours indispensable pour se protéger des VRAIES MST. Mais le sida ne "s'attrape" pas en ayant une relation dite "non protégée" avec une personne dite "séropositive" (ou pire encore : dite "contaminée"). Ce n'est là qu'un mythe de plus, qui ne fait aucun doute lorsqu'on examine tout ce qui a déjà été dit antérieurement sur ce sujet bien précis, non seulement sur ce forum mais également ailleurs.
  9. Faute de temps, je me contenterai pour le moment de reproduire les quatre premières réponses déjà reçues. D'abord deux réponses qui en tant que tel n'apportent pas d'explication mais illustrent les méthodes utilisées par certains orthodoxes du sida pour discréditer les dissidents du sida : J'espère pouvoir revenir sur le sujet un de ces tout prochains soirs et faire une petite synthèse. En tout cas, une chose est d'ores et déjà claire. RIEN (à mon sens en tout cas) ne justifie qu'après complet rétablissement, Pierrot et le mari de Zab poursuivent leurs drogues dites "antivirales", du moins pour le moment. Ce n'est que si cela se répète à nouveau ou assez fréquemment que cette possibilité devrait sérieusement être envisagée. Ceci étant, il est maintenant clair que les quelques années de toxicomanie ont - malheureusement - laissé des traces bien plus graves que prévues et qui ne se manifestent que maintenant (mais s'ils n'avaient pas changé de style de vie, cela se serait manifesté bien plus rapidement bien sûr). D'ailleurs, si le sarcome de Kaposi est une maladie du sida qui frappe le plus souvent les gay consommateurs de drogues récréationnelles, la pneumocystose est quant à elle plutôt caractéristique de la toxicomanie. Tout cela ne relève évidemment pas du hasard. La circonstance que Pierrot et le mari de Zab n'aient jamais vérifié leur concentration en glutathion (et c'est légitime, ce qui leur est arrivé est loin d'arriver à tous les séropos ayant repris une vie "saine", et c'est même assez rare) explique tout à fait raisonnablement ce qui leur est arrivé. Celle-ci n'a fait que progressivement baisser au cours des années, et peut-être parfois assez brusquement suite à des circonstances auxquelles il n'a pas été prêté attention. Il appartient d'y remédier vu qu'ils ont pu constater, dans ces tristes circonstances, que leurs anciennes années d'excès ont malgré tout laissé des traces bien plus importantes que prévu. Mais il est - généralement - tout à fait possible d'y remédier. J'espère revenir sur le sujet demain soir.
  10. Bonjour Zab. Je suis moi-même trop fatigué pour tenter d'expliquer maintenant. Je viens de passer deux heures pour expliquer - en anglais - le cas de ton mari et de Pierrot sur http://groups.msn.com/AIDSMythExposed/yourwebpage.msnw. J'espère que le message sera compréhensible (mon anglais est tout ce qu'on veut, sauf bon), qu'il ne comporte pas trop de fautes et qu'ils accepteront de le publier. Une fois que j'aurai des réponses, je les répercuterai ici. Car je tiens à avoir leur avis aussi. Tu trouveras d'ailleurs ci-dessous le message que je viens de soumettre au modérateur de ce site : Oui, le stress oxydatif a assurément un côté assez effrayant, en raison de sa capacité à causer des dommages irréversibles à l'organisme humain, qui peuvent passer inaperçus pendant plusieurs années, pour apparaître ensuite sans que l'on s'y attende. Cela paraît de prime abord être le cas pour ton mari et Pierrot. Le Perth Group, à l'origine de la théorie du stress oxydatif comme cause du sida, n'a jamais dit que le sida est un syndrome à prendre à la légère. Et je ne le pense pas non plus. De là à dire que les drogues (du moins, certaines) dites "antivirales" sont forcément la solution systématique pour des cas aussi graves de stress oxydatif, je me permets de croire que non. Il me semble clair qu'il conviendrait à tout le moins de d'abord tenter d'augmenter la concentration en glutathion (par la voie de compléments alimentaires, tels que la N-Acétyl cystéine et le sélénium) de l'organisme avant de commencer à penser à recourir systématiquement aux drogues dites "antivirales". Des personnes ayant fait des cas de sida déclaré s'en sont ainsi sorti ensuite sans devoir recourir aux trithérapies. Mais cela ne semble pas fonctionner dans tous les cas, hélas. L'idéal serait de recourir à un bon nutritionniste pour faire un bilan régulier à cet égard, à défaut de médecins spécialisés (en France du moins) dans ce genre de thérapie. En tout cas, dès que je reçois des réponses de l'autre site (enfin, je l'espère), je viendrai les répercuter ici. Mais ce ne sera de toute façon pas pour demain car j'ai certaines obligations à remplir. Sans doute pour samedi.
  11. Etant belge et vivant en Belgique, je ne peux que parler pour la Belgique. Pour faire ces mesures, je suis allé chez un médecin nutritionniste, qui m'a fait une prise de sang. Deux semaines pour connaître tous les résultats, non seulement pour le sélénium et le glutathion (bien sûr) mais pour faire un bilan global de toutes les formes de stress oxydatif par la même occasion (étant entendu que je me concentrerai surtout sur le glutathion et le sélénium). Le coût en Belgique : +/-100 EUR dont seule la moitié est remboursée. Mais vu l'importance absolument fondamentale de ces examens, je compte bien les faire régulièrement, malgré leur coût. Après tout, la santé n'a pas de prix. Pour la France, je ne sais pas comment cela fonctionne. Mais d'après les échos que j'ai eu d'amis séropos, peu de médecins ès VIH sont disposés à faire ce genre d'examen, encore moins un examen réellement approfondi, et même quand ils le font (de façon superficielle), ils n'y portent pas de grande importance. Tout ce qu'ils recommandent, c'est de prendre leurs drogues dites "antivirales". Ce serait la seule solution, selon eux. Même s'ils ne sont pas dissidents du sida, ils pourraient pourtant suivre les recommendation du professeur Montagnier qui ne dit pas autre chose que le stress oxydatif est bien la cause du sida (tout en le reliant, pour des raisons que l'on comprendra aisément, avec le "VIH" mais sans pouvoir l'expliquer). Bref, je crois qu'en France aussi, il vaut mieux aller chez un médecin nutritionniste. Mais je crois que l'avantage en France, c'est que ce genre d'examen est un peu mieux remboursé qu'en Belgique, en particulier si le séropo bénéficie du remboursement des frais médicaux à 100% (il paraît que cela existe en France, mais pas en Belgique). Bref, va chez un médecin nutritionniste et demande un bilan de ton stress oxydatif, qui comportera en tout état de cause un examen de ton taux de glutathion et de sélénium (et d'autres "choses" également, mais pour cela, c'est bien un des rares points sur lesquels je veux bien faire confiance à la médecine traditionnelle).
  12. Concernant le cas de Zab, je me permets de renvoyer provisoirement à l'explication (du moins, pour ce qui me concerne uniquement) que j'ai donnée à Pierrot, les deux cas étant fortement similaires, en attendant d'y voir prochainement plus clair. On la trouvera ici.
  13. Bonjour Pierrot. Je suis réellemment attristé par ce qui t'arrive et je suis d'autant plus touché que de prime abord cela pourrait m'arriver un jour. Il y a quelques mois, je t'avais dit que si j'étais à ta place, je n'aurais pas fait mesurer mes lymphocytes T4 et que si je l'avais fait quand même, je n'en aurais pas tenu compte. Je maintiens toujours et envers et contre tous cette opinion, d'autant plus que j'applique ce précepte à moi-même. En effet, il n'y a plus à démontrer que la baisse des lymphocytes T4 n'est pas le meilleur indicateur du risque de progression faire l'une des maladies dites caractéristiques du sida. En revanche, je m'en veux terriblement de n'être pas revenu plus tôt vers toi pour te suggérer de faire mesurer ton taux de glutathion (et de sélénium, qui participe à la formation de glutathion), car si ce taux était particulièrement bas (comme cela a dû être le cas), là, il y aurait eu de réelles raisons de s'inquiéter. D'ailleurs, moi-même, j'ai fait contrôler ces deux mesures et je devrais avoir les premiers résultats ce vendredi. Mais pour ma part, je crains plutôt d'en avoir beaucoup trop, ayant récemment abusé de beaucoup d'antioxydants. J'ai encore eu une confirmation de plus selon laquelle la mesure du glutathion (et du sélénium) est le seul bon et véritable indicateur du risque de progression vers le sida déclaré (et certainement pas la mesure des lymphocytes T4). Une baisse de ce taux est systématiquement prédictive d'un cas de sida. De même, après un cas de sida déclaré, même sans drogues dites "antivirales", une supplémentation en glutathion permettant de ramener ce taux à un niveau normal est très généralement associé à une amélioration de la santé et à une forte diminution du risque de sida déclaré. Cette confirmation de plus, je l'ai lu tout récemment dans le BMJ Debate, qui a eu lieu tout récemment pendant deux ans entre orthodoxes et dissidents du sida : Si je ne doute pas un seul instant qu'à court terme (tu es ici dans le cas typique de la "médecine d'urgence"), les drogues dites "antivirales" sont la solution, je me refuse à croire qu'elles doivent cependant être systématiquement la solution à moyen terme, et pis encore à long terme, malgré les dommages irréversibles causés par le stress oxydatif et qui ne se manifestent que maintenant. Pouvant moi-même être concerné par ce sujet, et malgré mon anglais écrit très déplorable, je vais un de ces tout prochains soirs écrire un petit post sur le sujet (c'est-à-dire ton cas et celui du mari de Zab) sur le site AIDSmythExposed pour demander leurs explications (mais de prime abord, c'est clairement lié au stress oxydatif) et surtout leurs solutions. Ils sont en effet généralement encore bien plus négatifs que moi sur les drogues dites "antivirales". De prime abord, la première chose à faire serait déjà de rebooster ton taux de glutathion (et de sélénium). Je suis vraiment peiné par ton cas, et plus que jamais, j'exècre la médecine orthodoxe du sida et leurs 25 années presque entièrement perdues à l'étude de leur petit bonhomme vert de "VIH". Ma haine envers cette médecine du pire n'a jamais été sans équivalent à ce jour, et plus que jamais, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour faire triompher la dissidence du sida et pour que par conséquent, les dizaines de milliards de dollars actuellement gaspillés sur l'étude de cette chimère de VIH soient réellement consacrés à l'étude du stress oxydatif et aux façons d'y remédier et d'y guérir. Quel temps perdu depuis 25 ans. Aussitôt que j'aurai reçu des réponses sur AIDSMythExposed, je t'en ferai part, ainsi qu'aux autres.
  14. Personnellement, je considère que dans le domaine de la chirurgie, la médecine occidentale fait de bonnes choses (même s'il y a pas mal de trucs qui déconnent même dans ce domaine là et qu'il y a certainement de nombreuses opérations inutiles). Dans l'optique aussi. Et probablement dans un certain nombre de domaines divers. Outre la chirurgie (dans laquelle j'inclurais la chirurgie dentaire), j'ajouterais également la médecine d'urgence, dont on ne saurait nier non seulement la réelle utilité mais aussi le caractère indispensable. La plupart des recherches faites par les entreprises pharmaceutiques, leurs antibiotiques, médicaments, etc... peuvent, à mon sens, se justifier dans le cadre de la médecine d'urgence. Quant au reste de la médecine, et bien, Aixur, je ne puis que partager ton point de vue.
  15. Pas par moi en tout cas! Ni par moi d'ailleurs, en ce sens que je n'ai pas estimé devoir répondre à tes critiques épistémologiques. J'avoue ne toujours pas comprendre ce que tu as voulu dire. Car à mes yeux, le "problème" est très simple et relève du même "langage" pour les deux "camps". Pour l'orthodoxie du sida, l'explication du sida est très simple : le sida est causé par un rétrovirus exogène appelé "VIH" et qui existe sans même qu'on ait pu l'isoler selon les règles qui étaient habituellement en vigueur (et comme ils ne le peuvent pas, l'orthodoxie du sida change ensuite les règles du "jeu" en prétendant que l'on peut l'isoler selon d'autres méthodes). Pour la dissidence du sida, il s'agit "simplement" de démontrer que le sida n'est pas causé par ce rétrovirus exogène, qui n'a toujours pas été isolé (mais dont il n'est cependant pas exclu qu'il puisse exister, mais si on y arrive, il s'agira plus que vraisemblablement d'un rétrovirus endogène), que le sida a une cause chimique (et non (rétro)virale), laquelle permet d'expliquer la presque totalité si pas la totalité de tout ce que l'on voit dans le phénomène du sida, sans avoir besoin de déformer la réalité comme le fait l'orthodoxie du sida depuis 25 ans. Donc, pour moi, les deux camps utilisent le même langage. Le problème en fait, c'est que l'orthodoxie du sida refuse de se remettre en question, est incapable de réfuter les critiques de la dissidence du sida (en particulier celle du Perth Group) et espère que cela ne se saura pas. Heureusement, les choses évoluent grâce à internet. Clique par exemple ici.
  16. Pour "simple" réponse, je reproduirai la citation reproduite sur le site du Perth Group : En d'autres termes (et approximativement traduit), rien n'est plus difficile au monde que de résoudre des problèmes que l'on pense avoir déjà résolu.
  17. Pour ceux qui n'auraient pas compris : "L'ABSENCE DE PREUVE N'EST PAS LA PREUVE DE SON ABSENCE" ! Comme je trouvais cela vraiment trop "gros", j'ai examiné à nouveau ce soir et à "tête reposée" (ce n'était pas du tout le cas hier) le passage en question que j'ai retrouvé dans ce post du Perth Group : Ayant eu cela, j'ai légitimement pu croire que ce représentant de l'orthodoxie du sida, étant Brian Foley, avait effectivement écrit cela. Après vérification, il s'avère que "non" (désolé pour ceux à qui j'aurais pu donner de faux espoirs sur le sujet), quoique ... En effet, quand on lit le post en question du 8 juin 2004, il s'avère que nulle part on peut retrouver cette citation. En vérité, "Absence of evidence is not evidence of absence" est le titre qui a été donné à ce post de Brian Foley par ceux qui ont restructuré la totalité du "BJM Debate" sur le sujet. Bref, ce tenant de l'orthodoxie du sida n'a visiblement jamais dit cela textuellement. Ceci étant, quand on lit sa réponse du 8 juin 2004, c'est bien comme cela qu'il faut interpréter sa réponse, raison pour laquelle cette réponse a été intitulée "Absence of evidence is not evidence of absence". Cela reste bien sûr toujours stupéfiant pour le surplus !
  18. Encore au sujet des clones dits "infectueux" du soi-disant "HIV" Je reviens encore sur le sujet des clones infectieux du VIH. En effet, dans le cadre du fameux débat intervenu récemment pendant deux ans sur le "British Medical Journal" (BMJ) entre l'orthodoxie et la dissidence du sida, la question fut évidemment abordée. J'en ai reproduit certains passages pour le moins éloquents et parfois effrayants, dont j'ai (parfois brièvement) résumé en français la teneur. Autant commencer d'emblée par la conclusion : Où Nicholas Bennett, l'un des plus ardents défenseurs de l'incroyable mythe viral du sida, affirme que pour prouver l'existence du génome du "HIV" lui-même et de ses protéines et, partant, du "HIV" lui-même, il n'est pas nécessaire de purifier les particules "HIV". Il estime en effet que la forme la plus pure du (supposé) "HIV" consiste en fait à en faire un clone et à séquencer son ARN viral ou son ADN proviral et que ce clonage serait une méthode acceptable pour prouver l'existence du "HIV". Il y a cependant un problème ...... de taille et pour cause. Jusquà ce jour, il n'existe même pas une seule publication ayant prouvé l'existence, non forcément du "HIV" lui-même, mais ne fût-ce que d'un de ses clones infectieux (puisque selon Bennett, obtenir un clone du "HIV" serait à lui seul une preuve suffisante de la preuve de l'existence du "HIV") ! En effet, comme le précise très justement le Perth Group: C'est-à-dire que pour prouver l'existence d'un clone du "HIV", il est absolument nécessaire d'avoir préalablement prouvé que le clone provient déjà à l'origine d'une particule "HIV". A défaut de cette preuve, il est impossible d'affirmer que les clones en question sont bien ceux du soi-disant "HIV". En effet, que s'est-il passé au niveau de la (tentative de) démonstration de cette preuve ? En d'autres termes, tout comme a visiblement tenté de le faire Nico111 dans un post placé un peu plus haut, un autre tenant du mythe viral du "HIV", à savoir Brian Foley, a communiqué une longue liste de références scientifiques qui prouveraient l'existence de clones infectieux du "HIV". Après examen de ces "références", le Perth Group a cependant dû arriver à la conclusion que les "références" en question ne comportaient pas la preuve de l'existence de clones infectieux du "HIV". Et voici par conséquent l'aveu - terrible et absolument effrayant - de cet orthodoxe du sida (Brian Foley, donc) qui a suivi peu après : Pour ceux qui n'auraient pas compris : "L'ABSENCE DE PREUVE N'EST PAS LA PREUVE DE SON ABSENCE" ! Hallucinant ! Stupéfiant ! ..... Et écoeurant ! Ce n'est pas parce qu'on n'a pas la preuve que le "HIV" existe que celui-ci n'existe pas pour autant ! Oui, vous avez bien lu ! C'est sur base de ce fondement "scientifique" que la science actuelle du sida fait ses recherches sur le sujet depuis 25 ans. En d'autres termes, sur base de rien du tout ! Pas une seule preuve ! Donc, le monde entier est sommé de croire à l'existence d'un rétrovirus "HIV" dont on n'a pas la preuve de l'existence et encore moins la preuve de son lien de causalité avec le sida et en même temps, il est interdit d'accorder la moindre crédibilité à la théorie dite "dissidente" du stress oxydatif comme cause du sida, théorie élaborée dès 1984 et qui, elle, permet visiblement d'expliquer tout ce qui passe dans le sida sans devoir faire intervenir le mythique "VIH". Chercher l'erreur ! ******************************************************************************** Pour aller un peu plus loin au sujet du soi-disant caractère infectueux des clones du "HIV" Il faut par ailleurs constater qu'à supposer que le clone en question soit bien celui du "HIV" (mais nous venons de voir ci-dessus que ce n'est déjà pas le cas [cf. l'aveu reproduit ci-dessus]), l'orthodoxie du sida elle-même n'est pas capable de prouver que le clone en question est infectueux selon sa propre définition ! Au cours du débat intervenu sur le BMJ, Nicholas Bennett définit ainsi ce qu'est un clone viral infectueux (ici du bien hypothétique "HIV") : Où il explique donc en gros que cloner un virus est pratiquement la même chose que cloner une molécule. Un peu plus loin, le Perth Group fit la démonstration que pour cloner un virus, il faut faire bien plus que cloner de simples molécules, et pour défendre leur point de vue, le Perth Group reprit les termes mêmes d'un autre tenant du mythe viral du sida : Selon donc Brian Foley, autre tenant du dogme du virus tueur, un clone viral infectieux doit produire des particules virales qui sont identiques au virus d'origine quant à la sérologie, la morphologie, la séquence de protéines, etc... et ces particules doivent aussi être infectueuses. Si un génome viral cloné ne répond pas à ces critères, ce N'est PAS un clone infectueux du virus, que ce soit du HIV ou un autre virus ! On remarquera donc que cette définition de Foley du caractère infectueux d'un clone viral est bien plus précise que celle de Bennett. Le Perth Group a demandé des références d'articles scientifiques prouvant que le clone en question, à supposer que ce soit bien du "HIV" (mais nous savons déjà que ce n'est pas le cas, faute de preuve), est infectueux au sens de la définition orthodoxe de Foley de "clone viral infectueux". Et bien, vous savez quoi ? L'orthodoxie du sida a été incapable de fournir la moindre référence scientifique du caractère infectueux de ces clones dits "infectueux" du "HIV" (à supposer que cela soit vraiment un clone du "HIV", quod non) ! CONCLUSION Non seulement l'orthodoxie du sida ne dispose toujours pas de la preuve de l'existence du "HIV", non seulement elle ne dispose pas de la preuve que les clones en question sont bien ceux du "HIV", mais en plus, à supposer même que ceux-ci soient vraiment des clones du "HIV" (quod non), l'orthodoxie du sida n'est pas en mesure de prouver que les clones en question sont vraiment infectueux, que ces clones soient du "HIV" ou un autre (rétro)virus ! HALLUCINANT !
  19. Quelqu'un pourrait-il me préciser si l'un et/ou l'autre des trois antibiotiques cités ci-dessous et utilisés dans le traitement de certaines MST comporterait ou non des oxydants azotés ? Merci d'avance. 1) Pénicilline On peut trouver la formule chimique en cliquant ici. 2) Keladox Dont la composition est la suivante : Doxycyclinum 100mg (sub forma monohydr.) - Cellulos.microcristallin. - Natr. amylum glycol. - Colloidal silicon. dioxid. - Magnesii stearas pro tabl. compr. una. Il est précisé dans une ancienne notice que le Keladox est un antibiotique du groupe des tétracyclines. 3) Vibratab (qui semble fort semblable au précédent) Dont la composition est la suivante : Doxycyclini monohydratum (= doxycyclinum 100mg) - Acid. silicic. colloid. - Cellulosum microcristall. - Magnes. stearas - Pro compresso uno. Il est également précisé dans une ancienne notice que le Vibratab est un antibiotique du groupe des tétracyclines.
  20. C'est une très bonne idée car il y a l'"avantage" qu'en Grande-Bretagne, ils ne font pas de test Western Blot, car ils le jugent ..... peu fiable ! D'après ce que j'ai lu sur le sujet, ils remplacent le Western Blot par un troisième test Elisa. Je suis vraiment impatient de connaître le résultat, quel qu'il soit.
  21. En fait, Papillon de nuit, Nico ne critique pas la structure du projet de sommaire. Il a juste répondu à un autre intervenant qui l'avait cité dans le cadre d'un autre topic. En tout cas, merci pour tes encouragements. J'espère avoir le temps d'avancer encore dans ce sommaire durant ce week-end.
  22. Tenant compte de la remarque épistémologique de Psyence dans le topic sur la synthèse collective, pour la compréhension de ce qui suit, il faut donc rappeler que pour l'orthodoxie du sida, le "HIV" serait un rétrovirus exogène. Moi je ne connais que ce VIH, apparement sequencé des virus intégrés dans l'ADN de lymphocyte T infectée. Il résulte de l'examen de la littérature scientifique sur le "HIV" que le génome du "VIH" n'est rien d'autre qu'une construction théorique faite à partir d'une sélection de l'ARN retrouvé dans des cultures qui "bandent" à la densité de 1,16 mg mais sans qu'aucun rétrovirus n'ait pu être isolé à cette densité. Il est par conséquent impossible de prétendre que le génome, l'ARN ou l'ADN du "VIH" provient bien d'un rétrovirus, au surplus exogène. En outre, à ce jour et sauf erreur de ma part, il n'existe aucune étude prouvant la présence d'un exemplaire complet du "génome entier de "VIH" dans des cellules T4 fraîches d'un patient souffrant de SIDA ou appartenant à un groupe à risque. En d'autres termes, le génome du "VIH" est une construction purement théorique, faite en s'inspirant d'autres rétrovirus (au surplus inoffensifs), qui, eux, ont réellement été isolés. Par conséquent, prétendre que l'ARN en question est celui du "VIH" relève de la pure spéculation que les quelques faits suivants achèvent définitivement d'enterrer : - On n'a JAMAIS trouvé deux "VIH" ayant le même génome, pas même dans un même patient, lequel pourrait héberger jusqu'à 100 millions de génomes différents du "VIH"; - Les différences dans le génome du "VIH" peuvent aller au-delà même de 40% et frisent même les 50%; - L'écrasante majorité (plus de 99%) des génomes du "VIH" sont défectifs, c'est-à-dire que des parties de gène ou même des gènes entiers sont manquants. En outre, étant donné que tout fragment d'acide nucléique peut être cloné et séquencé, le clonage et le séquençage d'un fragment d'acide nucléique ne peut pas être utilisé pour prouver l'existence d'un rétrovirus (ou de son génome). Devant ces quelques considérations et compte tenu du fait que le "VIH" n'a jamais été isolé, il est impossible de prétendre que l'ADN en question est celui du "VIH". Pure spéculation, le "VIH" n'ayant jamais été isolé. Oui, tout cela peut être fait en laboratoire, les scientifiques disposent de multiples techniques (entre autres de culture) pour le faire et il n'y a là rien de bien extraordinaire. Cela ne signifie toujours pas que c'est bien du "VIH" puisque ce dernier n'a pas été isolé. En outre, c'est un secret de polichinelle que même chez les sidéens en phase terminale et sur le point de mourir, ayant une charge virale astronomique, on ne trouve du "VIH" que chez 30% d'entre eux, et encore, dans une cellule sur mille ou dix mille. Donc, à supposer même (mais cela reste à prouver) que le "VIH" soit un rétrovirus, il n'est vraiment pas terriblement infectueux, à supposer qu'il le soit. Ce qui est en revanche fait en laboratoire, et bien, rien ne prouve que cela soit du "VIH" justement, et la science dispose des techniques nécessaires pour rendre infectueux, multiplier, etc... ce que l'orthodoxie du sida appelle à tort du "VIH" (exogène); cela n'a rien d'extraordinaire et ne prouve toujours pas que c'est du "VIH". Cf.mon post précédent : Oui, je suis d'accord, le "VIH" est certainement "quelque chose" produit sous l'effet du stress oxydatif, bref une conséquence du sida, peut-être même un rétrovirus endogène, mais il faut le prouver. Mais si on prouve que c'est un rétrovirus endogène, et bien, c'est la fin du mythe du rétrovirus tueur (en fait, c'est déjà le cas maintenant, mais cela le prouvera encore plus). Le VIH de l'orthodoxie si, pas celui que tu considères ou qui n'existe peut être pas dans la pathologie SIDA. Effectivement alors, pour la suite isolation, etc......ça ne peut pas correspondre ! Je ne puis donc que persister dans mon opinion : à défaut d'avoir pu isoler le "VIH", il est impossible de prétendre que ce qu'on multiplie et rend infectueux en pathologie expérimentale est bien du "VIH" chez les sidéens et séropositifs. mélangé à des vésicules tu veux dire non ? dans la publi de 2006, c'est plutût pur, hustement leur technique de production permet d'éviter cela apparement Quand je lis ce que le Perth Group a écrit sur ce sujet, cela ne semble pas si pur que cela puisque sur les photographies en question, il y a de nombreuses particules dont on a retenu 75 particules désignées comme étant du "VIH", mais sans expliquer sur quelles critères. Et bien entendu, pas de culture de contrôle. Le Perth Group a par ailleurs - et peut-être surtout - constaté que les cultures utilisées sont des cellules MT-4 et des cellules C8166. Et on sait depuis longtemps que les cellules MT sont de vraies "soupes à rétrovirus" (endogènes) et que les cellules C8166 produisent des particules "retrovirus-like". Par conséquent, dans ces conditions, comment prétendre que les 75 particules en question sont bien du "VIH" (exogène donc, pour l'orthodoxie du sida) alors qu'elles peuvent justement être des "retrovirus-like" ou des rétrovirus endogènes, compte tenu des cellules utilisées pour la culture ? Donc, la technique de production utilisée ne permet justement pas d'aboutir à la conclusion que c'est effectivement du "VIH", contrairement à ce que tu as justement écrit. Je te dirais que je n'ai jamais vu une seule publi qui montre les images des cultures de contrôle pour la microscopie, ce n'est jamais montré. Effectivement, il n'y a (presque) jamais d'images de cultures de contrôle publiées. Et ce n'est pas un hasard. En effet, l'expérience ne fut menée sérieusement qu'une seule fois, au début de l'ère du sida, en 1988 pour être plus précis. Il y avait eu plusieurs cultures de contrôles, à tel point que même le Perth Group n'avait rien à y redire. Mais cette seule fois où cela a été fait, et bien, les conclusions de cette expérience sont absolument dévastatrices pour l'orthodoxie du sida. Voici comment cela a été relaté par le Perth Group : En d'autres termes, aussi bien chez les sidéens (90%) que chez les personnes non atteintes du sida ou à risque de sida (88%), il fut retrouvé des particules définies par l'orthodoxie du sida comme étant du "VIH". En d'autres termes, ces particules en question ne peuvent prouver une infection par le "VIH" (exogène) puisqu'on les retrouve également chez les non-sidéens. On comprend dès lors facilement pourquoi depuis 1988, l'orthodoxie du sida n'essaie plus d'isoler le prétendu "VIH" en faisant appel à des cultures de contrôle, celles-ci allant à l'encontre de leur "magnifique" théorie. Ils ont 120 nm +/- 14 ça correspond pas mal aux rétro qui sont aux environ de 100. Il me semble qu'ils sont parti d'ADN sous forme de plamsides pour faire les stock don cje ne vois pas comment il n'y aurait pas la gp120. Comme expliqué ci-dessus, on ne peut prétendre avoir isolé le rétrovirus (exogène) HIV en partant de son - supposé - ADN. Par ailleurs, ce n'est pas parce qu'une particule ressemble à un rétrovirus (entre autres, pour ce qui concerne la taille) que c'est un rétrovirus. En effet, des particules qui ressemblent à des rétrovirus, il y en a pratiquement partout. Dans les années 70, on en a découvert dans les tissus leucémiques, les tissus embryonnaires, dans la majorité des placenta d'animaux et d'humains. Et voici ce qu'en dit justement le Perth Group (commentaire 17) à ce sujet : CONCLUSION : Le "VIH" n'a jusqu'à ce jour jamais été isolé et l'orthodoxie du sida ne peut en aucune façon décemment prétendre que le "VIH" existe bien en tant que rétrovirus exogène, au surplus infectieux.
  23. wallypat

    Oxyde nitrique

    En fait, "test Elisa" est l'abréviation de "Enzyme Linked Immunosorbent Assay". C'est un nom générique visant les tests destinés à détecter et/ou doser une protéine dans un liquide biologique, généralement dans le sang. Il y a donc une grande variété de tests Elisa, la tristement plus connue étant celle permettant de détecter le soi-disant "HIV". Juste une remarque concernant le stress oxydatif. En fait, c'est un phénomène tout à fait naturel. Mais ce qui cause plus que vraisemblablement le sida (et avant, la séropositivité) est un excès d'oxydants azotés, soit une seule des variétés d'oxydants possibles. Un excès des autres types d'oxydants est en revanche susceptible de causer d'autres maladies, par exemple le cancer (du moins, d'après ce que j'ai brièvement lu sur le sujet).
  24. Finalement, l'air de rien, nos positions (mais je ne parle que pour moi, pas forcément pour les autres dissidents) semblent bien plus proches que ce qu'on pourrait penser, en particulier quand je te relis sur le point suivant : Tu dis bien : "à l'agent qui potentiellement serait créé lors du sida après stress oxydatif". Donc, quand je te lis, ce "rétrovirus HIV" n'est donc que le produit et la conséquence du stress oxydatif, ce dernier étant la cause du sida, en d'autres termes, le HIV serait un rétrovirus endogène. Or, même le Perthgroup n'exclut pas cette possibilité (rétrovirus endogène donc). Encore faut-il le prouver selon la méthode "traditionnelle", avec culture de contrôle, et cela n'a toujours pas été fait à ce jour selon le Perthgroup. Et cela ne me dérangerait pas du tout que l'on prouve - un jour - que le HIV est bien un rétrovirus endogène. Car ce serait la fin du sida viral. D'après ce que j'ai compris, un rétrovirus endogène, quand il peut se transmettre, il ne peut se transmettre que verticalement (parents-enfants). Or la séropositivité est supposé se transmettre par excellence horizontalement, tout particulièrement lors de rapports sexuels. Quant au fait que ce "HIV", tel que défini par l'orthodoxie du sida, serait infectieux, ma foi, cela ne me surprend guère, qu'il y ait 100 ou 1.000.000 d'articles scientifiques le "confirmant". En effet, quand je lis Etienne De Harven, dont les compétences en rétrovirologie ne peuvent être contestées, il précise qu'il existe approximativement 30.000 rétrovirus au monde mais que ceux-ci ont la particularité d'être inoffensifs, à l'exception, pour le moins "bizarre" (pour rester poli), justement de ce "HIV" (et de quelques autres, mais cela semble également contesté). Or Etienne De Harven précise également qu'en pathologie expérimentale (pas humaine, justement), il a toujours été possible de rendre des rétrovirus inoffensifs dans le corps humain .... infectueux et pathogènes (j'ai lu cela dans "Les 10 plus gros mensonges sur le sida"), et de faire en sorte que ces rétrovirus normalement inoffensifs causent par exemple des cancers et des leucémies. Conclusion : oui, effectivement, sur le plan de la pathologie expérimentale, le HIV (tel que "défini"par l'orthodoxie du sida), à supposer qu'il existe en tant que rétrovirus (endogène), peut être infectieux, cela ne semble visiblement pas un exploit à réaliser pour les scientifiques. Mais sur le plan de la pathologie humaine, et bien, cela reste encore à prouver. Et le premier pas à cet égard consisterait déjà à l'isoler dans les règles de l'art, avec culture de contrôle.
  25. wallypat

    Oxyde nitrique

    Merci Liane pour tous ces liens. En faisant une toute petite recherche sur google, je constate qu'effectivement tous les produits que tu énonces (thé vert, etc....) comportent des antioxydants, parfois très forts. Ce qui explique effectivement pourquoi cela "inhiberait le VIH", comme le dit l'orthodoxie du sida.
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