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Cheminot

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  1. Je connais déjà depuis un certain temps. Merci de ce rappel. J'aimerais cependant savoir quel est le facteur qui active la production de cette "nagalase". Et si c'était le peroxynitrite? Je cherche encore.
  2. C'est de plus en plus évident, en effet. Cependant, chez les dissidents, aucun "officiel" n'ose s'engager dans cette voie, qui en particulier permet d'expliquer tous les effets positifs et négatifs des médicaments antisida (qui me semble bien plus approprié qu"antirétroviraux"). Henry Bauer, pourtant chimiste, n'y comprend manifestement rien, et le groupe de Perth court après la paternité de ses démonstrations sans essayer d'aller plus loin, du moins pour l'instant. Quelques progrès sont faits, mais il demeure que ces écrits ne peuvent être reçus par l'orthodoxie tant qu'il n'y aura pas de la part des dissidents la reconnaissance des effets des médicaments antisida associée à un mode d'action indépendant du dit VIH.
  3. Bonjour Jibrail, à propos de l'impact des peroxynitrites dans la biologie humaine, j'ai trouvé cette publication très complète. Elle date d'Aout 2007, et il lui manque les données expérimentales obtenues par Aquaro sur le lien peroxynitrite-P24 publiées en Octobre 2007.
  4. Bonjour, je trouve cette assertion tirée de wikipedia très intéressante. Dommage que personne ne l'ai sourcée. En effet, elle met à mal toute la théorie orthodoxe des anticorps, à savoir que ce sont eux et pratiquement eux seuls qui donnent une immunité durable, d'où le désire de favoriser toutes les vaccinations. Or ce texte montre qu'au contraire, il faut favoriser la présence de TH1, et éviter les TH2 et donc les lymphocytes B qui fabriquent les anticorps. Cela remet également en cause l'argumentation de Peter Duesberg sur le sida quand il prétend qu'habituellement les anticorps protègent des maladies. Il a bien vu que dans le cas du sida ce n'était pas clair, mais il n'en a pas tiré les conclusions drastiques qui s'imposent. Si ce document de wikipédia a une source fiable, c'est toute la théorie de l'immunité qu'il faudra revoir. Merci Brume.
  5. Bonjour Jardinier, J'ai déjà donné mon avis sur le truvada, association d'emtricitabine et de ténofovir (le premier semblable à la lamivudine, donc bénéfique a priori contre le stress oxydatif, le second étant un organophosphoré, réducteur donc, devant selon la théorie du stress oxydatif faire remonter les CD4+, diminuer la P24, donc bon également, avec le bémol que les organophosphorés sont tous des poisons...comme le roundup). Le TMC278 ou rilpivirine est très certainement un des meilleurs pièges à peroxynitrites qui puisse exister, avec des cycles aromatiques super sensibles à la nitration, donc bon pour faire diminuer la P24, mais... encore et toujours un super poison, car, en plus c'est un dinitrile. Nous chimistes, manipulons avec précaution les flacons de nitrile ou d'amine secondaire aromatique qui comportent toujours la tête de mort.
  6. les orthodoxes ne sont pas des crapules (sauf un nombre très limité), mais ils sont bornés. Ils ne peuvent imaginer que la chimie (drogues récréationnelles et médicaments oxydants) soit la cause essentielle de l'apparition du sida, de la même manière qu'ils n'ont pu imaginer que la chimie (organophosphorés) puisse être la cause de la vache folle, que la chimie (eau de javel et acide nitrique) puisse être à l'origine de la dégénérescence de la vache prime-holstein...et j'en passe et des meilleures. Une personne que je connais bien, et qui travaille sur l'hybridation des genres de bananes pour obtenir des races résistantes, m'a dit un jour ceci : - in vivo, l'hybridation se passe bien. Mais lorsqu'on veut étudier cette hybridation in vitro, un virus, sans doute inscrit dans le génome, rend la plante malade. Alors j'ai demandé quelle était la composition du milieu de culture. On m'a bien précisé qu'il contenait toujours du nitrate de sodium. Je me demande si, à la lumière des dernières découvertes concernant les oxydes d'azote, et dont je vous ai déjà abreuvé, il ne faudrait pas revoir toute la recherche en virologie de A à Z, en supprimant tout ce qui peut interférer, et en particulier ces nitrates. Gageons qu'on ne trouverait plus de virus nulle part!!
  7. Bonjour à tous, je me disais bien qu'il fallait faire attention où on mettait les pieds. Je ne sais si Etienne de Harven a volontairement publié dans Jpands pour montrer qu'il appartient au même courant de pensée. A mon avis, il a utilisé ce journal comme tribune, puisque les autres lui sont fermés. Actuellement, les dissidents font feu de tout bois pour pouvoir échanger leurs idées et les faire passer. Ce qui me gène, est que PG semble tenir plusieurs discours à la fois, en particulier sur le caractère endogène des particules appelées HIV. J'ai l'impression que le feu couve depuis longtemps entre PG, Bauer et de Harven. Je leur reproche à tous de demeurer sur le terrain de la biologie, et de faire fi de la chimie, qui les gène manifestement. Cependant, ils amènent tous des points positifs au débat, et de Harven, dans son article de jpands, demande tout de même une unification de la théorie, en faisant appel à PD, au PG et à l'orthodoxie. Maintenant, comme ils n'ont pas renoncé aux honneurs, ils se battent comme des gamins. C'est bien dommage. Moi-même j'ai été égratigné par Val Turner, pour avoir écrit des articles sans les citer in extenso. Je leur ai répondu que ce n'était pas mon désir de leur nuire, mais celui de faire un peu avancer le schmilblick, qui m'avait conduit à les publier. Ils me reprochent surtout d'avoir été publié par David Crowe. Mais c'est le seul qui me l'a permis. Vous voyez comme c'est compliqué, la "vraie vie". Quant à la bonne foi des scientifiques, elle est certainement réelle. mais quand il s'agit de remettre en question tout ce qu'on a appris, c'est une autre affaire. Une conversion, ce n'est pas facile. Il y a toute une période où on est très mal. Lorsque j'ai découvert en 2000 tout ce qu'il y avait derrière le sida, je suis resté une semaine à en trembler physiquement. Il y a sûrement des crapules, surtout ceux qui sont en cheville avec les labos. Mais ceux-ci sont si puissants qu'ils passent outre la justice (voir le cas Reuben)
  8. Merci pour tes précisions, Jibrail, j'ai été effectivement trop lapidaire dans ma réponse à Patou. Je rajouterai à la liste des molécules vraiment toxiques l'AZT, bien sûr.
  9. Le truvada contient deux substances fabriquées par Gilead, le labo de D. Rumsfeld. Tous deux sont des réducteurs, l'emtricitabine ou FTC et le ténofovir. Le premier est le frère cadet de la lamivudine (3TC) et fonctionne exactement de la même façon. Le ténofovir est le cousin germain du glyphosate (ou Roundup) et, tout en étant réducteur, et donc bénéfique pour diminuer le stress oxydatif, il est toxique car comportant une liaison carbone-phosphore. Le Kaletra contient du lopinavir et du ritonavir. Le lopinavir est le plus efficace - dixit l'orthodoxie - et je les crois aisément, puisqu'il est un très bon piège à peroxynitrites.
  10. L'AZT est un oxydant puissant. C'est le groupe N3 qui est à l'origine de ce caractère oxydant. Cependant, tant que le taux de glutathion plasmatique reste élevé, l'AZT se transforme en aminothymidine et en NO qui est géré par le glutathion justement. Mais si le taux de glutathion diminue - sous l'effets d'autres oxydants, et même de l'AZT à terme, l'AZT se transforme rapidement en peroxynitrite et devient donc léthal. C'est ainsi que j'explique l'action biphasique de l'AZT (amélioration puis dégradation rapide) qui a trompé les premiers expérimentateurs (Fischl et al.) L'AZT ne se transforme pas qu'en stavudine, celui-ci n'est qu'un des nombreux sous-produits de sa réduction par le glutathion. La stavudine est réductrice quant à elle, mais en tant qu'alcène, très facilement oxydée pour donner cette fois, non plus un oxydant azoté, mais des oxydants oxygénés qui vont intervenir dans le métabolisme des graisses (époxydes,...). NB : il est peut-être difficile de me suivre, passant de réduction à oxydation. Mais la vie cellulaire est un équilibre subtil entre ces deux réactions, équilibre facile à perturber si on insiste avec les molécules que l'on utilise actuellement.
  11. Bonjour, Tous sont antioxydants. Stavudine et Lamivudine sont sensés, selon l'hypothèse orthodoxe, être des inhibiteurs de la rétrotranscriptase, comme l'AZT. Mais selon l'hypothèse du groupe de Perth (et maintenant de Luc Montagnier), les deux premiers sont antioxydants, le dernier oxydant. L'efavirenz pose des problèmes d'addiction. Comme mode d'action, il est simplement indiqué qu'il diminue le marqueur du "VIH", la P24. La stavudine est un composé facilement oxydable (donc réducteur), mais qui donne des métabolites dangereux. D'où les troubles du métabolisme des graisses retrouvés sous stavudine. La lamivudine est sans conteste le meilleur médicament antioxydant, et, s'il faut en garder un, ce sera celui-là. http://www.sidasante.com/azt/lamivudine_et...ine_et_sida.htm Il serait intéressant de savoir si ton amie a eu plusieurs grossesses, si elle a utilisé beaucoup de médicaments (chloramphénicol, métronidazole...) ou de drogues, si elle a subi diverses vaccinations.
  12. Cheminot

    Carla Bruni

    Entièrement d'accord avec toi, Kill Elisa. Ecrire à Carla Bruni ne servira à rien. Quand à parler de drogues oxydantes en ce qui concerne la trithérapie, il me semble assez clairement qu'elle sont bien plutôt antioxydantes, de par leur structure chimique, et que c'est justement pour cela qu'elles ont une action dans la maladie. La seule qui ait eu une action oxydante - et encore dans certains cas - était l'AZT. C'est d'ailleurs à cause d'elle qu'il y a eu tant de morts avant l'introduction du 3TC en particulier. Mais le ténofovir est aussi antioxydant, même si c'est un poison par ailleurs, ce que le 3TC est sûrement beaucoup moins.
  13. Bonsoir, Attention cependant, Elena Pasca est très orthodoxe, et n'a pas voulu commenter la sortie de Montagnier lors de son dernier interview avec Brent Leung.
  14. Cheminot

    VRCO1 et VRCO2

    Cette réponse sur QA est étrange. Un rétrovirus est sensé posséder, en dehors des protéines) un ARN de 10000 bases et donc de 10000 molécules de ribose,..., qui est un sucre à 5 carbones. les sucres les plus courants ont 6 (glucose, fructose) ou 12 (saccharose) carbones. Conclus par toi même. Tu peux approfondir ici. Pour revenir à l'article, nulle part on ne trouve la structure de ces anticorps. Sont-ils riches en thiols par exemple? Je continue mes recherches
  15. Bonsoir, On peut lire dans ce document que le monoxyde d'azote joue deux rôles opposés selon la présence ou non de glutathion ou de réducteur: On y lit en particulier : et la conclusion :
  16. Cheminot

    SIDA SANS VIH

    J'y ai déjà répondu plus haut : ta remarque m'a fait penser que d'autres types d'oxydants sont capables de faire apparaître l'immunodéficience en éliminant les thiols, mais ne sont pas associés, comme le sont les peroxynitrites, avec la protéine P24 attribuée au VIH
  17. Cheminot

    SIDA SANS VIH

    La seule mention d'une anomalie CXCR4 indique que cette anomalie réside dans la perturbation du métabolisme du soufre réducteur, puisque C signifie "Cystéine", l'acide aminé comportant du soufre réduit. Il s'agit certainement, là encore, d'un dysfonctionnement redox. D'autres oxydants peuvent intervenir, par exemple l'hypochlorite (eau de Javel), qui perturbe également le fonctionnement d'enzymes indispensables. Il est possible, effectivement, que l'excès de P24 soit dû à un excès de peroxynitrites. Mais tout cela est à étudier en globalité, dans la perspective du déséquilibre oxydoréducteur qui va toucher d'abord la concentration en soufre réduit (thiols : cystéine et agents de méthylation : méthionine)
  18. @Brume, ton lien fonctionne. Mon message est le dernier. J'ai signé de mon nom, car dans le domaine scientifique, il n'y a théoriquement rien à cacher. Comme le dit Jibrail, les arguments sont toujours les mêmes depuis 20 ans, de part et d'autre, et cela ne fait pas avancer d'un iota le schmilblick. J'espère que Sidasanté est plus consulté qu'on ne le pense. Au moins ici débat-on des arguments de tous bords, et chaque bord d'ailleurs en présente de pertinents. Mais sans en faire la synthèse. Nous non plus, car c'est un domaine bien compliqué, mais je pense qu'on en a conscience, et c'est le principal.
  19. @ Jibrail Étonnant, tout de même, l'évolution de cette discussion à partir du moment où nos découvertes communes y ont été postées! @rebayima Il y a ceux à qui le vaccin ne fait absolument rien. Je suppose que ces gens-là ont déjà une bonne immunité non spécifique et l'ont gardée, les anticorps étant un plus. Les autres, ceux qui font une réaction négative au vaccin, ce sont ceux-là, je le suppose, qui sont les candidats à l'augmentation de la P24.
  20. Attention, j'ai écrit : A un moment ou un autre, lors de l'exposition simultanée à tous ces facteurs, la P24 va donc brutalement augmenter. Puis le corps va créer des anticorps classiques et devenir résistant à des nouveaux assauts similaires (par exemple la culture des cellules humaines avec un clone du VIH libérant lui aussi des peroxynitrites). Mais si ce premier assault est trop important, et surtout si la surexeposition aux peroxynitrites continue, il peut apparaître des dégâts irréversibles qui mènent au sida. Si par contre des cellules de non vacciné sont cultivées avec un clone du vih, la surproduction temporaire du VIH va faire un pic de P24.
  21. En terme de dégâts irréversibles, pose-toi la question suivante : Quelles ont été les armes de guerre efficace au 20ème siècle (en dehors des armes à feu et blanches) : les armes chimiques ou biologiques? Les petites molécules toxiques ou les gros ADN compliqués? Ne te fais pas d'illusions, si Hitler (ou d'autres) avait disposé d'agents viraux efficaces, il n'aurait pas hésité une seconde à les utiliser. Or les dégâts causés par les agents oxydants sont irréversibles la plupart du temps. PS : Je rajoute à la liste des occasions pour l'Africain de voir augmenter son taux de peroxynitrites : certains médicaments couramment prescrits là-bas et interdits ici tels le chloramphénicol, encore un dérivé nitré, LOL! Combattre les peroxynitrites en excès et leurs effets irréversibles? Je ne crois pas qu'on ait mis au point des substances inoffensives capables de les réduire parfaitement. Sinon on pourrait guérir le sida avéré. Par contre, et selon les propos même de Luc Montagnier, il y a bien eu des cas de séroréversion, à savoir que le taux de peroxynitrites est passé sous le fameux cut'off. Ceci parce que les dégâts irréversibles ne s'étaient pas encore produits. Quoique je me méfie. Le cas de Christine Maggiore montre pour moi que l'imposition au corps à un moment de sa vie de substances libérant ces composés (drogues injectables et consommables) a forcément un impact négatif même à long terme. (comparer avec l'impact à long terme du tabac)
  22. Bonsoir, je pense, Rebayima, qu'il faut inverser tes propos : La vaccination antivariolique a été une des causes de l'augmentation des peroxynitrites. Comment? Si l'on s'en tient aux découvertes récentes (20 ans) qui montrent qu'il y a deux types d'immunité, on se rend compte que l'immunité on spécifique, celle qui se fait sans anticorps, utilise le monoxyde d'azote (et libère des peroxynitrites cytodestructeurs). Si cette réaction semballe, il y a débordement de cette ligne de défense, c'st-à dire que ces lymphocytes T fabriquent du peroxynitrite de plus en plus abondamment sans pouvoir éliminer totalement le pathogène. Ce peroxynitrite en excès réveille les lymphocytes B qui, grâce à son pouvoir oxydant, vont fabriquer des anticorps, qui, on le sait, présentent des ponts disulfure oxydés. Cela signifie donc que les vaccins, pour pouvoir faira apparaître des anticorps, vont obligatoirement faire augmenter le taux de peroxynitrites. Alors, vaccin contre la variole + Vaccin hépatite B + manque de sélénium (en Afrique australe) + taux de peroxynitrite nettement plus élevé chez les populations noires = élévation immodérée de la P24 en Afrique.
  23. Merci Jibrail, Il est vrai que le puzzle commence à donner une image plus précise. Cela confirme mon intuition exposée il y quelques jours. Comme tu le dis, il est incompréhensible que personne n'ait encore fait le lien parmi nos chercheurs patentés. Mais cela reviendrait à remettre en cause 25 ans d'erreurs. Et qui le désire, en cette période de crise? Si la confiance en la recherche médicale est ébranlée, tout ce en quoi croit le monde actuel s'effondre. Et personnellement, cela ne me dérangerait pas!
  24. @ Rebayima Les séropositifs du Rwanda, selon les Rwandais eux-même, meurent très peu, et se portent souvent très bien, même après plusieurs dizaines d'années. Ce qui dit Jerman en ce qui concerne l'importance du terrain (mais est-ce vraiment un problème génétique, ou autre chose??) est très important. On dit bien que les hommes à peau sombre sont plus souvent séropositifs que les hommes à peau claire. Et si le Cut off - déterminé chez les blancs américains, il faut le rappeler - n'était pas le même chez les noirs, à cause d'un terrain différent. Et si finalement, tout ce qu'on nous raconte sur le sida en Afrique ne provenant que de cette confusion de la réactivité naturelle vis-à-vis des peroxynitrites. Là je persiste, car la génétique, ce n'est d'abord que de la chimie. Et une substance aussi réactive que le peroxynitrite interagit obligatoirement avec le génome, ne serait-ce que par nitration des bases puriques par exemple. Les enzymes eux-même sont perturbés par ses excès. Par exemple, nombreux sont les cycles aromatiques des acides aminés qui sont facilement nitrés. Disons que pour moi l'approche biologique est trop globale, trop dépendante des probabilités énoncées pour des phénomènes macroscopiques. Les règles de la chimie sont bien plus rigoureuses, et on ne peut y échapper. Malheureusement, la plupart des réactions chimiques enzymatiques nous sont encore inconnues. Alors on globalise.
  25. Brume, oui, il s'agit d'une synthèse, mais rapide... en ce qui concerne ta question, il est fort possible d'expliquer ce phénomène dans mon hypothèse, l'augmentation rapide du taux de marquer correspondant au contact avec les substances provoquant l'apparition d'un excès de peroxynitrite, puis il y a rééquilibrage - mais le retour à la normale n'est peut-être plus possible alors. Cela permettrait en plus d'expliquer ce qu'on appelle pudiquement "les réinfections".
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