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Cheminot

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  1. Cheminot

    Oxyde nitrique

    Je suis désolé si je suis provocateur ici, j'espère que vous ne m'en voudrez pas de parler de ce que je connais : l'asthme peut être soigné grâce à la détermination de la substance qui provoque les signes les plus semblables à ceux présenté par le malade. Je l'ai vu de mes yeux vu, et plusieurs fois, par application simple - mais pas facile, certes - de la loi de similitude. Dans ce cas, on régule, on ne crée pas d'excès ou de déficit en quoi que ce soit.
  2. Cheminot

    Oxyde nitrique

    pourquoi cela te ferait-il froid dans le dos? je ne vois qu'une seule raison, c'est que l'on a, par méconnaissance des propriétés de l'oxyde nitrique, imputé la séropositivité à un virus que l'on dit transmissible sexuellement. Rappelons que le prix Nobel de médecine n'a été attribué qu'en 1998 à Furchgott et Ignaro pour la découverte du rôle de NO. Alors, revenir en arrière, après 15 ans de battage médiatique sur le vih, c'est apparemment au-dessus des forces des politiques et des scientifiques, au détriment de chacun d'entre nous;
  3. Cheminot

    Oxyde nitrique

    Tiens, puisque vous parlez d'asthme, savez-vous qu'il a été montré que toutes les substances vasodilatatrices provoquent un dégagement respiratoire de monoxyde d'azote. Ce monoxyde d'azote a également été utilisé pour sauveR des enfants en hypoxie (difficultés respiratoires). Comme je l'ai déjà dit, c'est un composé ubiquitaire, indispensable à la vie, mais dont le taux doit être impérativement régulé pour que les maladies comme le sida ne puissent apparaître. A ce propos il semble que l'on arrive bien à gérer cette production avec les antagonistes des vasodilatateurs naturels (acétylcholine par exemple), mais pas avec les composés chimiques artificiels non métabolisés naturellement tels la nitroglycérine (trinitrine utilisée depuis bien longtemps dans les maladies de coeur). On peut penser qu'il en est de même avec les poppers,... Mais, ainsi que dit plus haut, tant qu'on ne cherchera pas à réguler les taux de NO, mais aussi ceux d'autre substances actives tels les prostaglandines, mais à les empêcher de se former ou inversement, à en former plus, on ne pourra atteindre l'état de santé que nous recherchons tous.
  4. En 2006 seulement, on a pu, à partir de ce qu'on appelle les clones du vih, faire apparaître des virions visibles au microscope électronique. Mais sont-ils infectieux?
  5. chers amis, pour résumer ce que je crois avoir compris jusqu'ici. premier acte : Peter Duesberg dit qu'il n'y a pas de relation de cause à effet entre vih et tests et ... sida. Parce que pour lui, qui est virologue, le vih a été isolé et les tests montrent ce virus. second acte : beaucoup de dissidents se désolidarisent de Duesberg (groupe de Perth), car, s'il est vrai qu'ils ne trouvent pas delien de cause à effet entre un virus et le sida, ils trouvent par contre une corrélation étroite entreles tests et un devenir qui peut passer par le sida. Pour eux, le lien manquant est entre un virus hypothétique et les tests, qui eux, représentent bien une notification de l'état de santé du patient. Et pour eux, plus précisément, ces tests mesurent les dégats provoqués par un stress oxydatif vécu par ces personnes : drogues, certains médicaments, certains vaccins, la malaria, les parasitoses en général, la tuberculose. Ces dégats se sont aggravés ces 20 dernières années par l'utilisation de toutes sortes de drogues pour pallier justement à ces problèmes, et là je pense pratiquement uniquement à l'AZT et au bactrim, les autres "antirétroviraux" allant plutôt dans le sens d'un maintient du staut quo rédox, à défaut de pouvoir l'améliorer. Donc : le sida existe bien et c'est une maladie grave, les traitements actuels vont de plus en plus dans le bon sens, après les errements de l'AZT, et les effets secondaires. L'hypothèse d'une transmission sexuelle par un virus est par ailleurs problématique à cause justement des statistiques que tu cites. Il faudrait maintenant que la recherche pharmaceutique aille dans le sens préconisé par le Pr Luc Montagnier : le stress oxydatif. En gros on peut dire que cette réponse sérologique est universelle, et correspond à une activation du système inmmunitaire normale, mais très fortement exacerbée - et devenue irréversible - chez les personnes qui présentent les maladies opportunistes que l'on regroupe sous le nom de sida.
  6. attention, shasha, ne te soignes pas toute seule. Soit tu trouves un médecin qui veut bien t'aider, soit tu vas voir un des thérapeutes allemands que j'ai déjà cité ici. Ce qui te rend malade, c'est très certainement le G5. Par ailleurs, il n'y a pas que des substances qui donnent des éuptions dans celles qui sont utilises en trithérapie. N'oublions pas que, même si le sida est dû à une modification profonde du statut rédox de la cellule plutôt qu'à un virus, il est définitivement montré que le stress oxydatif exagéré peut modifier de manière irréversible certaines fonctions, dont le système immunitaire. Il y a des dégats qu'on ne peut plus restaurer, et qui manifestent leur action plusieurs années après le dégat initial. Il faut éviter dans sa jeunesse d'être exposé à ces promoteurs de stress oxydatif que sont certaines drogues, certains antibios, la malnutrition (c'est démontré également). Mais une fois que l'irréversibilité s'est installée, il faut vraiment faire très attention, et surtout, essayer de demander à tester certains antirétroviraux de manière isolée (lamivudine par exemple).
  7. bonjour Viduité, As-tu des références pour tes textes? Merci... Et l'on constate encore l'utilisation de circonlocutions pour maintenir encore en vie le vieux virus (je n'ai pas voulu dire "bon vieux.."), alors que tout indique que ce sont d'autres facteurs qui sont les vrais responsables... et encore il ne s'agit souvent encore de corrélations, car, que prescrit-on en Afrique contre les parasites intestinaux? du métronidazole. Et contre la typhoïde? du chloramphénicol...
  8. Tout d'abord, le magazine Harper's vient de mettre en ligne la totalité de l'article de Celia Farber : Out of Control : AIDS and the corruption of medical science Ensuite, pour te répondre, Wallypat, je ne saurais mieux faire que de t'indiquer le lien suivant, où le Groupe de Perth met son grain de sel au sujet de cet article de Harpers, et où il écrit précisément :
  9. Voici un article paru hier dans le Washington Post. http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/conte...6040502517.html
  10. Tiens, je suis justement en train de les relire. Qu'est-ce que ces sélénoprotéines? Eh bien, tout d'abord, la glutathion peroxydase (GPX), comportant en particulier un acide aminé rare, la sélénocystéine, qui diffère de la cystéine (agent actif du glutathion) par le remplacement du soufre par le sélénium. Pas de sélénium, cela signifie pas de GPX, donc pas de réduction enzymatique de l'eau oxygénée par le glutathion, celui-ci donnant normalement un glutathion oxydé recyclable par cette voie. Si l'eau oxygénée ne peut être réduite selon ce schéma, que lui arrive-t-il? Eh bien elle oxyde totalement le soufre (pour parler vite) du glutathion en sulfate,... ce qui provoque, et c'est bien connu par les pharmacologues, une bonne crise de diarrhée (vas te fournir du sulfate de sodium, et avales en un peu... tu verras) (voir un article du CEA Ce qu'on lit dans le second document est également fondamental : Et comme la thioredoxine elle même est un composé soufré sensible à l'oxydation par les peroxynitrites en surcharge, on comprend que ce mécanisme chimique puisse pratiquement à lui seul explique l'apoptose cellulaire. Comme tu l'as compris, tout vient de l'excès de NO°, provoqué comme on l'a vu par de multiples composés.
  11. Pour ceux d'entre vous qui aiment la chimie, je vous invite à lire ces deux textes passionnants : http://pharm.pharma.univ-montp1.fr/toxico/stressox1.pdf http://pharm.pharma.univ-montp1.fr/toxico/stressox2.pdf
  12. OUAIP!! tu tires plus vite que ton ombre. Il y a un problème avec les personnes du monde médical et les biologistes que l'on peut rencontrer, c'est tout simplement qu'ils ne sont pas au courant de ces développements, et il arrive donc que ces personnes tombent des nues quand on parle du modèle alternatif, qu'elles se fâchent, qu'elles te traitent de meurtrier alors que tu ne cherches qu'à éclaircir les choses. Et pourtant, ces personnes sont de toute bonne foi, et, comme toi, cherchent la meilleure façon de servir leur prochain. La grande peur de ces personnes, c'est que ces modèles alternatifs puissent promouvoir le "bareback", et la recherche de traitements alternatifs. Il est clair qu'aucune personne du groupe "Rethinkingaids" n'a jamais promu la liberté sexuelle totale, et encore moins Eleni Papadopoulos, qui va même jusqu'à suspecter le sperme d'être en soi cause d'une augmentation du stress oxydatif dans les relations anales. Par contre, j'ai l'impression que l'horreur que ces repenseurs ont conçue (à juste titre) pour l'AZT, s'est répercutée sur tous les médicaments dits "antirétroviraux", parce qu'ils en sont resté au mécanisme d'action proposé par l'orthodoxie, c'est à dire le blocage de la rétrotranscription. Et ils ont mis dans le même sac AZT, d4T, ddI d'une part... et 3TC, FTC (quelques inhibiteurs de protéase aussi) d'autre part. Si les équipes de Pasteur ou d'Atlanta (siège des CDC!!) parlent de changer d'optique en matière thérapeutique, il s'agit très certainement pour eux de rechercher des structures permettant de contrôler ce stress oxydatif... ils vont donc tout doucement rejoindre les sceptiques, mais sans le dire. Que faut-il faire une fois tout cela clairement établi? Laisser aller pou qu'il n'y ait pas de vagues, ou bien demander des réparations pour avoir refusé d'écouter les Repenseurs?
  13. Un document récent et intéressant : http://www.pasteur.fr/recherche/RAR/RAR2005/Pil.html Etrange non? Cela fait penser, encore une fois, plus à l'action d'une substance chimique qu'à celle d'un virus qui se réplique (et ne se réplique pas en l'occurence)
  14. Nico, tu dis bien que les deux sont liés, et même que le "bouton de fièvre" apparaît systématiquement après le stress (quel qu'il soit). Il y a donc là un véritable lien de cause à effet. Selon quelle loi refuserais-tu d'admettre que la libération de certaines substances (des chémokines par exemple, mais ce nom n'est qu'un passe-partout pour désigner une molécule chimique bien particulière) provoquée par ce stress permette la formation d'ADNs particuliers, non détruits par le système de défense habituel de la cellule, qui donc vont se répliquer, pouvant être soit des marqueurs de la pathologie, soit des relais chimiques permettant à la pathologie d'apparaître? Mais en tout état de cause, ils ne sauraient être la cause première de la pathologie.
  15. Cheminot, je pense que notre amie et son époux ont parfaitement déjà compris cette nécessité d'aller au fond des choses ...
  16. Ah, Soangel, il faut bien aussi dédramatiser certaines choses, et l'ironie a des vertus thérapeutiques qu'on ne saurait nier. mais il nous faut aller plus au fond pour répondre à tes attentes... et je te donne ici mon avis : tout d'abord, sache qu'avant l'introduction du 3TC, il y a eu diminution de la dose uilisée d'AZT, et ceci en 1992. On constate à ce moment-là un arrêt de l'augmentation des morts dues au sida. Lorsque le 3TC a été introduit, la mortalité a chuté... car, selon toute vraisemblance et selon les canons mêmes de la chimie la plus classique, le 3TC supprime la fonction chimique toxique que présente l'AZT. Mais il faut lire un petit peu les sceptiques du vih, tels Heinrich Kremer ou Eleni Papadopoulos, pour voir qu'ils avancent une hypothèse bien plus globalisante que le simple vih, et présentant beaucoup moins de contradictions internes : pour eux, le sida est dû à un déséquilibre du statut oxydoréducteur de la cellule, avec un fort excès d'oxydants. Et là aussi, on peut comprendre le rôle positif du 3TC même en monothérapie, car il agit comme un antioxydant. Qu'est-ce qui peut créer ce déséquilibre cellulaire? Eh bien, tous les oxydants azotés auxquels nous sommes confrontés, et je précise bien azotés, car seuls ceux-ci ont envahi notre quotidien depuis 50 ans, chacun sachant bien sûr par contre que l'oxygène, un oxydant patenté, est lui très bien contrôlé par le métabolisme. Et ce qui conduit à la séropositivité et au sida est généralement le cumul de toutes sortes d'oxydants de ce type. Ces oxydants azotés, quels sont-ils ? en faible quantité, on en trouve dans l'air des rues envahis par les voitures, comme conservateurs (ntrites). A ce taux-là, il ne se formeque très pau de protéines du genre de celles qu'on dose par les tests en question, et ce test donne alors une valeur inférieure à la limite décidée par le fabricant. Mais l'utilisation ou le contact prolongés avec ces oxydants azotés peut faire monter le taux de ces protéines et lui faire dépasser la valeur limite fatidique : - nitrites d'alkyle (poppers) - Viagra (qui empêche la destruction du monoxyde d'azote) - toutes sortes de médicaments nitrés (chloramphénicol, nifenazone, nifuroxime, nifurtimox, nitrofurantoïne, métronidazole,.... plus généralement tous ceux qui contiennent "ni" dans leur nom) - l'AZT - les oximes (céfuroxime, cefixime) - les isoxazoles (bactrim) - les amines secondaires et tertiaires se transformant grâce au métabolisme en oxydes d'amine et hydroxylamines (toutes les drogues type amphétamines et morphine, cocaïne) - les chloramines (formées lors de l'action de l'eau de javel sur la matière organique. tous ces produits consomment la réserve réductrice des cellules (glutathion) et le stade sida correspond à une très forme diminution cellulaire de ces réducteurs.
  17. A la suite d'un article paru dans Harper's, mensuel de gauche américain, et écrit par Célia Farber, le TAC antimbeki, par la voix de Nathan Neffgen et avec la signature de Robert Gallo a écrit une réfutation des dires de Celia Farber. Voici la réponse du groupe "Rethinkingaids" (formé en particulier d'Etienne de Harven, de David Rasnick, Christian Fiala,...). intéressante également, et venant du site du TAC, cette news
  18. J'ai aussi l'impression que la solution peut venir des pays émergents comme l'Afrique du Sud et l'Inde. Déjà de nombreuses prises de position comme le rejet par l'Inde des financements proposés par Clinton montrent que ces pays veulent se libérer de l'emprise américaine. Maintenant, quelqu'un comme l'avocat Robert F Kennedy Junior, qui se bat actuellement pour rejeter les vaccins au mercure (et cela embête bien le NIH) pourrait peut-être se rendre compte qu'il y a ici aussi matière à critique... un peu comme le journaliste de gauche Dean Esmay.
  19. Reformater, non, parce que cela veut dire aussi rester dans le même paradigme. Mais il faut supprimer la partition, et ça, linux sait très bien le faire. Changeons nos partitions, c'est-à-dire les mots d'ordre qu'on nous a obligé à ressasser pendant des décénies.
  20. mais tu sais, kyubi, le scandale du sang contaminé, dans cette perspective, cela s'appellerait le scandale de l'AZT. mais maintenant, il faut que ailles de l'avant. Il y a de belles choses dans la vie. Et surtout, il y a l'espoir que tout cela change.
  21. tout d'abord, kyubi, sache que les tests sont des tests à limite. C'est-à-dire qu'on détecte chez tout le monde des protéines qui donnent une réaction avec les produits qu'on trouve dans les tests. Seulement, si tu as un taux de protéines supérieur à une certaine limite, déterminée par l'étude clinique et non par la présence ou non d'un virus, tu es considéré comme séropositif. Si ton taux est inférieur à cette limite, tu es considéré comme séronégatif. C'est une première incongruité, non, car personne ne sait si les protéines qu'on trouve si le taux dépasse cette limite sont ou non différentes de celles trouvées si le taux en est inférieur? Ensuite, il faut savoir que les plus grands spécialistes des statistiques du sida disent clairement qu'une personne séropositive après laboratoire, s'il elle ne fait pas partie d'un groupe à risque, est considérée comme ayant moins de 50% de chances d'être véritablement séropositive, c'est-à-dire hébergeant ce fameux "virus". Si par contre, une personne fait partie d'un groupe à risque, et ta mère en faisait partie, le moindre dépassement de cette limite (et même parfois le frôlement de cette limite) la fait passer dans le groupe des vrais séropositifs. Alors qu'il suffit souvent de pas grand'chose pour que cette limite soit atteinte, par exemple, avoir subi dans les mois qui précèdent une vaccination anti hépatiteB ou antigrippale, avoir vécu une grossesse, avoir pris de la cortisone, et selon moi, avoir touché à certains médicaments (bactrim, flagyl). Dès que tu es catalogué séropositif, à l'époque, tu devais prendre 1500 mg d'AZT, seule dose capable in vitro d'empêcher le phénomène de rétrotranscription, seul phénomène à partir duquel ils ont déduit la présence d'un virus. 1500 mg d'AZT, ce sont les 5 balles de Viduité. Les médicaments actuels en fait n'ont été comparés qu'à l'AZT seul, et non à un placébo, et il est normalque leur efficacité soit plus importante, car il ne contiennent pratiquement plus d'AZT, et certains d'entre eux sont même à mon avis, une bonne surprise (lamivudine). Il n'y a plus qu'une ou deux balles dans le chargeur, cela dépend de la tri qui est proposée.
  22. réfléchis un peu à ces données officielles : probabilté de sérocnversion par acte hétérosexuel non protégé : 0,1% % de séropositifs en france : 0,25% probabilité de séroconversion lors d'un rapport non protégé avec une personne inconnue = 0,001*0,0025 = 0,0000025 soit 1/400000. c'est tout de même fort de café, non?
  23. pas mal, pas mal !! Tu as toujours la verve qui convient!
  24. Heureusement, le naturel existe encore, , sacré Viduité!!!
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