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aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. A mon avis, ce sont des évènements relativement récents qui font que les tests deviennent positifs (maximum 7 ou 8 mois avant le test). Donc, je ne crois pas que le vaccin contre la tuberculose, fait quand elle était enfant, soit à l'origine de sa séropositivité au VIH ou à l'hépatite C. Il faut voir quels étaient les évènements advenus peu de temps avant le test qui a pu le rendre positif (maladie, prise de médicaments, arrêt de médicaments, vaccination, prise de médicaments naturels, compléments alimentaires, etc...). Et je parle aussi bien du test VIH que du test VHC.
  2. Oui, ça a été aussi comme ça que Jimy le Rebel, s'est fait convaincre qu'il avait une toxoplasmose. Tout allait super bien pour lui. Il était en pleine forme. Puis, il a eu un léger accident de voiture. Au scanner (certainement pour déterminer s'il y avait traumatisme cranien), on lui a trouvé des indices de toxoplasmose. Ensuite, il s'est mis à prendre un traitement contre la toxoplasmose. Et au bout de 6 mois, on n'a plus entendu parler de lui. Comme quoi, ils sautent vraiment sur la moindre situation de faiblesse. Il faut faire super gaffe. PS : ah tiens, j'y pense, est-ce que ton amie prend la pilule ?
  3. Ah, et puis sinon, certains éléments de la candidose de ton amie peuvent s'expliquer par ce haut niveau de cortisol. Le problème, c'est que comme je l'explique dans mon article sur le sujet, un taux de cortisol élevé entraine une rétention d'eau dans les cellules du centre du corps et de la tête. Donc, ils retiennent l'eau, mais ne la relarguent pas. Du coup, dans les zones ou il y a besoin d'une relargage d'eau, ça va poser problème. Par exemple, la bouche va devenir sèche, parce qu'il n'y aura pas assez de salive émise. Et il n'y a pas assez de salive émise parce que les cellules assurant son émission gardent l'eau. Donc, la bouche va devenir sèche, et un dépôt blanc de mucus va se constituer. Idem pour le vagin. Un mucus acide est émis par le vagin. Comme les cellules ne relarguent pas assez d'eau, le mucus va devenir trop acide et va agresser le vagin. L'acidité plus la sècheresse vaginale vont entrainer des mycoses (cela dit, probablement que la sècheresse vaginale seule pourrait être suffisante pour entrainer cet effet, même sans le problème de l'acidité). Je ne sais pas si c'est le cas pour ton ami, mais souvent, ça pose aussi des problèmes d'acidité gastrique et d'agression de l'estomac ou des parties adjacentes à l'estomac. Comme l'estomac émet de l'acide chlorhydrique pour digérer les aliments, il a aussi besoin d'un anti-acide pour éviter que ses parois ne soient attaquées par cet acide. Donc, les parois émettent un anti-acide sous forme de mucus qui tapisse les parois de l'estomac. Ca permet de faire en sorte que la nourriture soit digérée, mais sans que les parois de l'estomac ne soient attaquées. Si les cellules de l'estomac ne sont pas capables de relarguer assez d'eau, le mucus va devenir trop pâteux, trop compact, pas assez fluide. Et du coup, il y a des zones de l'estomac qui ne vont plus être assez protégées de l'acide chlorhydrique. D'où agression de l'estomac, douleurs, ulcères, etc...
  4. Eh ben voilà. Dans les produits que tu cites, il y en a 3 qui peuvent augmenter le taux de cortisol et donc, qui ont du aider ton amie à ne pas ressentir d'effet de manque à l'arrêt de la trithérapie : l'ail, la spiruline, et le desmodium. L'ail a des propriétés antibiotiques. Donc, il est clair que c'est un aliment qui augmente le taux de cortisol. Pour la spiruline, il est régulièrement dit sur les sites qui en parlent qu'il est interdit d'en vendre en en ventant les vertus antibiotiques. Ce qui laisse à penser que ça a des vertus antibiotiques, mais que comme il est interdit de les mettre en avant, on n'en parle pas. Cela dit, il semble qu'on reconnaisse que ça a des vertus anti-inflammatoires. Donc, la spiruline aussi doit augmenter le taux de cortisol. Enfin, le desmodium est connu pour lutter efficacement contre l'asthme. Ca aussi, c'est assez caractéristique des produits augmentant le taux de cortisol. Donc, avec 3 produits qui augmentent le taux de cortisol, il est normal que ton amie n'ait pas eu de problème quand elle a arrêté d'un seul coup la trithérapie. En fait, c'est un peu comme si elle continuait à prendre une trithérapie à faible dose. Si demain, elle décidait d'arrêter d'un coup ces 3 produits, probablement que des effets en retour se manifesteraient (amaigrissement, manque de forme, augmentation de la charge virale et baisse du taux de cd4, etc...). Ces 3 produits doivent aussi faire que tous les marqueurs de son hépatite C sont au vert. Mais là aussi, probablement que si elle arrêtait ces produits d'un coup, les marqueurs de son hépatite C seraient à nouveau dans le rouge, et que le médecin dirait que finalement, son hépatite C n'avait pas disparu. PS : et peut-être aussi que l'argent colloïdale a ce genre d'effet sur le taux de cortisol. Donc, ça ferait alors 4 produits ayant cet effet là.
  5. N'importe quoi qui serait autre chose que de la nourriture ou de l'eau et qui s'absorberait par voie digestive (ou par injection). J'utilise une définition très large au lieu d'utiliser des termes comme "médicaments" ou "compléments", parce que les gens ont tendance à oublier des trucs quand on leur demande s'ils prennent des médicaments ou des compléments.
  6. Oui, mais peut-être qu'elle prend des trucs plus ou moins équivalents. Il y a plein de substances qui augmentent le taux de cortisol. Dans ce cas là, effectivement, on peut arrêter la trithérapie d'un coup, et il ne va rien se passer (mais, du coup, on continue à subir plus ou moins les mêmes problèmes que lors d'une tri). Donc, faut voir si elle ne prend pas des trucs pouvant avoir cet effet là.
  7. A mon avis, la trithérapie, ce n'est qu'une corticothérapie mise sous un autre nom (voir mon article sur le sujet sur cette page). Donc, déjà, il ne faut surtout pas arrêter la trithérapie d'un seul coup, parce que c'est comme pour une corticothérapie, ça provoque des effets secondaires physiologiques négatifs. Au départ, quand on conseillait d'arrêter la trithérapie d'un seul coup, sur ce forum, on a eu plein de retour d'expérience de gens qui avaient des problèmes de grosse faiblesse physique. En plus, il y a danger de développer un toux sèche qui va être considérée par les médecins comme une pneumonie ou une tuberculose. Il faut arrêter la trithérapie en diminuant les doses très progressivement, comme pour une corticothérapie. Là, ça va.
  8. En fait, Pierre allait à l'hôpital à chaque fois qu'il avait quelque chose. A mon avis, c'est ça qui a finit par le tuer. Il essayait de se soigner tout seul ; mais quand il n'allait vraiment pas bien, là, il allait à l'hopital. Et à chaque fois, ils lui filaient des médicaments qui le flinguaient un peu plus. Cela dit, il était déjà complètement esquinté quand il est arrivé sur le forum (un bras paralysé, de nombreuses hospitalisations). S'il y a bien une personne dont la mort ne m'a pas surprise, c'est bien lui (et Dakaz aussi qui, apparemment, continuait à se droguer. Et qui faisait régulièrement des séjours à l'hopital pour des pneumonies).
  9. Ah oui. Donc, si je comprends bien, le 16 décembre, ce n'était que l'Elisa qui a été fait. Ensuite, le WB (accompagné de la CV) a été fait à partir de l'échantillon prélevé le 26 décembre. C'est bien ça ?
  10. Bonjour illusion. Et bienvenue sur le forum. Est-ce que tu prenais un traitement contre le gonocoque au moment où tu as passé ton test VIH ? Et est-ce que tu prenais des médicaments lorsque tu a positivé au test gonocoque ? Est-ce que tu t'étais fait vacciner récemment ?
  11. Cheminot, J'ai lu l'article sur la "dysbiosie intestinale". Je ne suis pas convaincu. En fait, concernant la dysbiosie elle-même, ils établissent que ça se traduit par l'émission d'anticorps multi-antigènes. Et c'est à partir de ce critère qu'ils établissent ensuite ou non s'il y a dysbiosie. Dans le cas du sida, ils disent que la phase sida se traduit justement par le fait que le sérum des sidéens réagit à plein d'antigènes différents. Donc, le stade sida est accompagnée par la dysbiosie selon eux. Et donc, la dysbiosie serait à l'origine de nombreux cas de sida. CQFD. Sauf que personnellement, je pense que les tests d'anticorps sont totalement non spécifiques, qu'ils ne réagissent en fait qu'à la quantité de particules présentes dans le sérum, et que justement, le stade sida se caractérise très souvent par une explosion de la quantité de débris cellulaires. Du coup, forcément que tous les tests d'anticorps vont avoir tendance à réagir lors du stade sida. Dans mon schéma de pensée, leur théorie est donc est donc complètement fausse. Si les tests d'anticorps réagissent tous lors du sida, ça n'a rien à voir avec la dysbiosie, mais avec la prise de médicaments qui désagrègent les cellules, ou à cause de la baisse du taux de cortisol. D'ailleurs, leur définition de la dysbiosie devient complètement foireuse, vu que n'importe quel médicament qui désagrège les cellules peut faire entrer quelqu'un dans cette catégorie. Sinon, au stade sida on va avoir tendance à donner des médicaments (des antibiotiques par exemple), qui donnent mal au ventre. Donc, si on se base seulement sur les symptomes de la dysbiosie, en oubliant les effets des médicaments en question, on pourra dire que c'est une preuve de la présence de la dysbiosie. Alors que ça n'a rien à voir. Par ailleurs, ils ont tendance à étendre la problématique à d'autres problèmes que la seule sodomie. Par exemple, ils parlent du problème du lavement (j'y reviendrai). Ils parlent aussi du problème de la prise de drogue. Je suis désolé, mais c'est un problème complètement différent. Là, on retombe dans l'analyse de Duesberg qui dit que les drogues ont tendance à faire engendrer un état sidéen. Apparemment, leur but était de traiter aussi des problèmes autour de la sodomie. Mais ça élargit le problème de façon artificielle. Si on s'en tient à la seule sodomie, ils n'ont que le problème de la dysbiosie qui y serait relié (et encore, apparemment par l'intermédiaire du problème du lavement). Et à mon avis, cette histoire de la dysbiosie ne tient pas la route. Concernant le problème des lavements, c'est intéressant. On n'y pense pas assez. Peut-être que ça a un impact, mais d'une façon qui n'aurait rien à voir avec les arguments avancés dans le papier. Il est peut-être possible que le lavement entraine une perturbation du colon et aboutisse à une constipation (par quel mécanisme ? Ca, par contre, je ne sais pas). Du coup, les personnes la pratiquant prendraient des laxatifs de façon régulière. Les laxatifs auraient tendance à stimuler la production de cortisol. Lorsqu'ils arrêteraient d'en prendre, le taux de cortisol s'effondrerait, et ils se retrouveraient avec le symptomes soi-disant du sida. Sinon, est-ce que le lavement perturbe la digestion par la suite, comme ils le soutiennent ? Mouai, faut voir. Dans la mesure ou le lavement ne doit concerner que l'anus et la fin du colon, je ne vois pas trop pourquoi ça perturberait la digestion. Mais peut-être que ça va plus loin que le bout du colon. A voir. Sinon, concernant le fait que ça entrainerait le largage de déjection dans le sang, là aussi, je doute. Dans ce cas, la moindre diarrhée devrait le faire. A moins que ça ne fasse remonter les déjections dans le colon. Cela dit, le principe, c'est justement de les faire partir rapidement. Donc, même s'il y a remontée, elle ne doit être que de très courte durée. Sinon, pour le premier papier que tu cites, d'accord, le sperme est un oxydant si j'ai bien compris. Seulement, ça, ça n'est qu'une partie du problème. Encore faut-il savoir s'il arrive à traverser de façon massive la barrière de l'anus. Ca, on n'en sait rien. Et puis, il faudrait faire une étude comparant le coté oxydant du sperme à celui des déjections. A mon avis, c'est aussi oxydant que le sperme.
  12. S'il n'a dit que ça sans rien ajouter d'autre alors il raconte n'importe quoi. C'est beaucoup plus multi-factoriel qu'un simple problème de sodomie et de digestion. Même au sein de la dissidence, le problème de sodomie est considéré comme un problème parmi d'autres, et très loin d'être le plus important. Personnellement, j'ai des doutes sur cette histoire de lien entre sodomie et sida. Si ça se faisait par micro traumatismes, il faudrait que l'anus saigne en permanence, ou en tout cas fréquemment, pour qu'il y a contamination du sang. Et vu que le sang coagule, rapidement, la contamination cesserait. D'ailleurs, encore faut-il qu'il y ait contamination. Or, puisque le flux irait plutôt du système sanguin vers l'anus que de l'anus vers le système sanguin, on voit mal comment les matières fécales pourraient se retrouver dans le système sanguin. On peut imaginer que la guérison locale des lésions de l'anus se fasse plus lentement, mais c'est tout. Normalement, ça devrait rester un phénomène plutôt local. D'ailleurs, si les matières fécales contaminaient le flux sanguin, on peut penser qu'un empoisonnement local des chairs s'ensuivrait, avec risque de gangrène. Par ailleurs, je ne vois pas le lien entre sodomie et digestion. Si Gernez donne plus de détails, j'aimerai les connaitre.
  13. Oui, j'en parle sur ce topic, et j'ai fait une version plus complète sur sidasante (sur cette page). En gros, les soi-disant médicaments super high-tech que sont supposées être les trithérapies sont en fait des corticothérapies, avec tous les effets liés aux corticoides. Et si on augmente un peu trop les doses, là, on passe à des effets de type antibiotiques, encore plus dangereux.
  14. La mort de Christine Maggiore d'une pneumonie vient illustrer de manière tragique ce que je disais il y a deux jours. On lui avait diagnostiqué une pneumonie il y a 6 mois, et vu qu'elle devait certainement y croire, elle a accepté le diagnostic, puis le traitement de son médecin. Et certainement que les antibiotiques l'ont tuée ; comme ils ont tué sa fille d'ailleurs (là, il s'agissait d'une combinaison d'anti-inflammatoires et d'antibiotiques). Donc, on constate à nouveau que la dissidence du VIH/SIDA seule n'est pas suffisante. Il faut aller plus loin pour ne pas se faire avoir par la médecine.
  15. Christine Maggiore, une dissidente très connue aux USA, est morte samedi d'une pneumonie qu'elle avait développée depuis 6 mois.
  16. La question de la pathogénicité des microbes est très importante aussi pour la dissidence du sida. Tant qu'on n'a pas compris que les microbes ne sont pas pathogènes, on croit à la pathogénicité des microbes de la toxoplasmose, de la pneumonie ou de la tuberculose (les trois maladies graves les plus diagnostiquées chez les séropositifs). Et si un séropositif dissident a tout d'un coup des maux de tête, ou alors, une toux sèche avec perte de poids, son médecin risque fortement de faire un diagnostic de toxoplasmose, de pneumonie ou de tuberculose et va lui faire croire qu'il est en phase de sida. Et le séropositif dissident va avoir tendance à le croire. Or ces problèmes peuvent arriver à tout un chacun. Donc, le danger d'un tel diagnostic continue à planer sur les tête des dissidents. Quand on a compris qu'en fait, les microbes pathogènes n'existent pas, on comprend que le mal de tête en question n'est qu'un mal de tête banal et n'a rien à voir avec la toxoplasmose. On comprend aussi que la toux sèche et la perte de poids n'ont rien à voir avec la tuberculose ou la pneumonie (en plus, j'ai pu identifier la cause de ce dernier problème. Ca a l'air clairement relié au problème du cortisol. Donc, maintenant, on a même le mécanisme qui est derrière ces problèmes de toux sèche et de perte de poids). Donc, cette remise en cause est libératrice pour les dissidents du sida. Ca fait disparaitre une des dernières illusions qui maintenait la crainte du sida (quelle qu'en soit la cause) chez les dissidents. Donc, même pour la dissidence du sida, il est important de remettre en cause la théorie des microbes pathogènes. Ce n'est pas une réflexion sur le sexe des anges, qui ne concernerait les dissidents que d'assez loin.
  17. Wallypat, Bien sur que si qu'il y a des publications sur le sujet. Seulement, tout dépend de l'interprétation qu'on en fait. Mais, c'est pareil pour le VIH. Dans les documents concernant l'isolement du VIH, la conclusion de l'orthodoxie, c'est que le VIH existe. Si nous les dissidents, disons que le VIH n'a pas été isolé, c'est parce qu'on a une interprétation différente de ce qu'il y a dans le papier en question. Si on devait ne se reposer que sur la conclusion des articles scientifiques, effectivement, on pourrait dire qu'il n'y a aucune publication qui confirme mes affirmations. Avec une telle définition du fait d'être d'accord ou non, on n'est pas arrivé. S'il faut attendre qu'il y ait des articles scientifiques à peer review qui soient d'accord avec moi pour pouvoir commencer à me croire, on va attendre longtemps. Ben oui, vu que les articles à peer review sont acceptés par un comité de scientifiques qui croient à la théorie officielle, forcément, aucun article trop critique ne va passer. Si à chaque fois qu'on a une théorie nouvelle, il fallait qu'il y ait au préalable des articles dont la conclusion aille dans son sens pour pouvoir parler, on ne pourrait jamais rien dire. Et aucune théorie officielle ne pourrait jamais changer. Cette façon de réagir, ça revient à attendre que les gardiens du temple acceptent de dire qu'ils ont tort. En plus, ça revient à ne permettre la critique qu'aux gens ayant la profession de scientifiques, puisque, à moins d'un miracle, un particulier ne verra jamais un de ses articles publié dans un journal scientifique à peer review (et encore moins s'il remet tout en cause). Mais, désolé, si moi je trouve un texte qui me semble dire la vérité sur telle ou telle chose, je n'en ai rien à foutre que ça ait été publié dans un journal scientifique. Je n'attends pas l'assentiment des autorités officielles pour m'autoriser à penser. La seule chose qui trouve grâce à mes yeux, c'est la raison et les faits. Par contre, si on se repose sur le corps du texte et pas sur la conclusion, alors oui, il y a plein d'articles sur le sujet, mais tout dépend de l'interprétation qu'on en fait. Par exemple, quand je dis que plein de maladies n'ont pour 90 ou 95 % de leurs cas aucune spécificité, et donc aucune réalité, en me reposant sur le fait que les symptômes de ces 90/95 % de cas sont des symptômes grippaux, c'est dans toutes les descriptions officielles de ces maladies. Maintenant, est-ce qu'on doit attendre que l'orthodoxie veuille bien nous avouer en pleurant que oui, mon interprétation est la bonne et qu'ils avaient tort ? Je crois qu'on pourrait attendre longtemps. Autre exemple : pour plein de maladies, il y a guérison spontanée pour 80 % des cas. Ca, c'est sur tous les sites de médecine accessibles. Pas besoin de citer un papier en particulier qu'on trouverait sur pubmed. Or, s'il y a guérison spontanée, ça ouvre la porte à d'autres interprétations que la thèse des microbes pathogènes. L'orthodoxie dit que c'est parce que le système immunitaire arrive à éliminer le germe dans 80 % des cas. Je veux bien. Mais c'est juste une interprétation. A partir de ces données, on peut avoir une autre interprétation, qui est que le germe en question ne cause pas la maladie. Et puis, il y a des sujets pour lesquels on ne peut se reposer sur aucune publication tout simplement parce qu'il n'y en a pas. Par exemple, pour des raisons éthiques évidentes, le troisième postulat de Koch n'est quasiment jamais réalisé sur l'humain (inoculer le germe et voir si la maladie se développe). Donc, concernant le fait que le germe provoque la maladie chez l'humain quand on lui inocule, il n'y a aucun papier pour 99 % des maladies. Pour ces 99 % des maladies, ce serait plutôt à l'orthodoxie de fournir les preuves de ce qu'elle avance concernant le fait qu'elles seraient dues à des microbes pathogènes. Et pour les rares maladies où il y a eu expérience, ça ne va clairement pas dans le sens d'une maladie pathogène transmissible. L'expérience de Tuskegee en est un exemple : Au milieu du 20ème siècle, pendant 40 ans, de 1932 jusqu’en 1972, des médecins américains ont conduit une expérience sur 399 hommes noirs américains qui ont servi de cobayes concernant la syphilis. Les médecins avaient déterminé que ceux-ci avaient la syphilis. Mais, ces gros salopards ne leur ont pas avoué. Ils leur ont fait croire qu’ils souffraient d’un autre type de maladie. Et au lieu de leur prodiguer des soins, ils leur ont donné des placebos. Résultat, sur 40 ans, seulement 40 épouses des 399 hommes ont été contaminées. En supposant que tous aient été mariés (certains pouvaient être célibataires, mais c’était peu fréquent à l’époque. Et certains ont pu avoir plusieurs épouses successivement), ça veut donc dire qu’en 40 ans de relation, seulement un dixième des couples a vu une transmission de l’homme à la femme. Si on compte une centaine d’actes sexuels par an (soit environs un tous les 3 ou 4 jours), ça fait 4000 actes en 40 ans. Donc, au bout de 4000 actes, donc 40 ans de relations, on n’aboutit qu’à un dixième des femmes de contaminé. Il faudrait donc 40.000 actes, ou 400 ans, pour contaminer à coup sur toutes les femmes des couples. En fait, ce serait moins infectieux que le VIH, qui est lui-même considéré comme très peu infectieux. Est-ce que ça ressemble à une maladie vénérienne transmissible ça ? Non. Donc, de la littérature, il y en a. Le problème se situe surtout sur l'interprétation.
  18. Trouvez un microorganisme lors de symptomes est un indice, une correlation , supprimer les symptomes quand il disparait cela devient une cause...... Non, ça reste une corrélation. L'apparition et la disparition des deux pourraient être causés par un troisième élément. Apparemment, tu ne comprends rien à l'épistémologie.
  19. Moi je pense que le microbisme est complètement faux. Aucune maladie n'est provoquée directement par un microbe, à part la gangrène. Mais c'est un cas très spécial. le pullulement du microbe est avant tout causé par un terrain défectueux dans ce cas précis. Si on met le microbe sur un terrain normal, il ne va strictement rien se passer. D'ailleurs, le microbe est présent chez tous les individus en fait. Il y a probablement 2 maladies qui sont causées indirectement par des bactéries : le choléra et le tétanos. Et le problème ici, c'est la toxine émise par ces bactéries. On peut boire un verre remplie de bactérie du choléra sans que rien n'arrive (cf. l'expérience de Pettenkofer). Et pour le tétanos, c'est surtout lié à la gravité de la blessure, et à la qualité du réseau sanguin de la personne. A part ça, tout est bidon. On peut toujours trouver une cause physico-chimique aux symptômes des autres maladies soi-disant microbiennes. La pneumonie et la tuberculose, c'est apparemment lié au problème du taux de cortisol et éventuellement à la déshydratation. La rage, ça a l'air d'être en fait un mélange de cas de tétanos et d'encéphalites. Le rhume et la grippe, c'est dû surtout à un excès de protéines et éventuellement de graisse, parfois à un refroidissement, ainsi qu'à quelques autres éléments. Sinon, il y a des tonnes de maladies qui piquent 90 à 95 % de leur cas à la grippe (en effet, on dit que 90 à 95 % de leur cas sont constitués simplement de symptômes grippaux), donc, qui n'ont aucune réalité spécifique pour l'écrasante majorité de leur cas. Les maladies a éruption cutanée de la petite enfance sont liées en grande partie au changement de taille (on note que des éruptions cutanées arrivent aussi au moment de l'adolescence). On peut penser qu'il y a aussi pas mal de cas qui sont du à la prise d'antibiotiques. Quand aux virus, ce sont de simples déchets cellulaires à mon avis. Autant les bactéries existent mais ne sont pas pathogènes, autant les virus n'existent même pas. Etc, etc... Le problème, pour pas mal de gens qui en arrivent à ces interrogations, c'est qu'ils n'arrivent pas à remettre en cause le système immunitaire. Donc, ils sont comme dans un cul-de-sac logique, puisque s'il y a un système immunitaire, c'est qu'il doit y avoir du danger à traiter. Alors que, la conclusion logique de l'absence de microbes pathogènes, c'est évidemment qu'il n'y a pas de système immunitaire, vu qu'il n'y a que de l'air, de l'eau et de la nourriture qui rentrent dans le corps, normalement. Donc, le corps n'a aucune nécessité d'avoir un système immunitaire. Il a juste besoin d'une sorte de système d'égout pour éliminer les restes de nourriture et les déchets cellulaires. Seulement, le problème des greffes, des tests d'anticorps, des tests d'hémagglutination et des soi-disantes maladies auto-immunes bloque la remise en cause de l'existence du système immunitaire. Donc, la plupart des gens qui sont arrivés jusqu'à ces questions n'arrivent pas à sortir du cul de sac logique en question et en restent là.
  20. Ca, c'est juste une corrélation. Une corrélation c'est différent d'un lien de causalité. C'est le b.a ba de l'épistémologie.
  21. Intéressant. Mais je serais moins optimiste que lui. Ce sont des déclarations ou actions de quelques individus et des décisions de sociétés qui peuvent (les décisions) ne rien avoir à faire avec une éventuelle prise de conscience, et donc une volonté d'en finir discrètement avec le sida. L'arrêt du développement du vaccin peut s'expliquer par le fait que faire suivre un traitement à un séropositif est bien plus rentable que de lui faire un vaccin. Et la décision d'arrêter le développement de leurs médicaments anti-sida par Roche, peut venir du fait qu'ils ne sont pas super bien placés sur ce marché et que leur médicament n'a pas un effet meilleurs que l'actuelle tri-thérapie. A mon avis, vu la taille des organisations officielles et le nombre de gens impliqués, il y a une énorme inertie à tout changement profond de direction. Et puis, joue aussi très fortement le fait que les intérêts sont énormes. Donc, on risque bien d'en bouffer encore pendant minimum 20 ans les conneries sur le SIDA. Mais bon, j'espère qu'il a raison et que j'ai tort.
  22. aixur

    photos du vih

    C'est très probablement de simples débris cellulaires. Mais peut-être aussi de la nourriture absorbée par les cellules (protéines, lipides, sucres).
  23. Pour les problèmes d'inflammation au cerveau, je les ai constatés aussi. Chez les personnes âgées qui se font vacciner contre la grippe ou autre chose, observez les durant la semaine qui suit la vaccination. A mon avis, relativement souvent, vous pourrez constater qu'elles ont des légers problèmes cognitifs. En général, ça passe. Mais peut-être que chez certaines personnes âgées fragiles, au cours des années, ou lors d'une année, ça peut dégénérer en Alzheimer.
  24. Pour les 2 premiers éléments, ça, c'est ta théorie. C'est juste une théorie. Sinon, pour la citation que tu donnes, ça n'infirme absolument pas ce que je dis. Je dis que la cortisone absorbée par voie orale permet d'obtenir une rétention d'eau dans le centre du corps. Les problèmes aux poumons analysés dans l'article sont supposé venir d'une maladie auto-immune. Moi je dis que ça viens d'une déshydratation des poumons et que la prise de cortisone permet de rétablir une hydratation normale des poumons. La diminution des marqueurs de l'immunité n'est pas surprenante, puisqu'il y a alors une plus grand quantité d'eau dans la zone en question. C'est aussi ce qui fait que l'arrêt soudain de la trithérapie risque d'entrainer chez certaines personnes des problèmes de toux sèche qui sera considérée comme de la pneumonie ou de la tuberculose. D'un seul coup, à cause de l'effondrement du taux de cortisol, l'eau quitte le centre du corps, et les poumons se retrouvent en manque d'eau. Ce qui provoque la toux. La reprise de la trithérapie, puisque ça a le même effet que la cortisone, permet de réhydrater les poumons et de supprimer la toux.
  25. Concernant ce que je dis de l'effet de la cortisone, on pourrait objecter que selon les études, la cortisone est immunosuppressive. Ma théorie comme quoi ça augmenterait le taux de cd4 serait donc fausse. Mais les études se trompent. La cortisone n'est absolument pas immunosuppressive. Si les études en question en sont arrivées à cette conclusion erronée, c'est à cause de la façon dont elles ont été menées. En fait, à chaque fois, on a fait une analyse locale. C'est ça qui a conduit à l'erreur d'analyse. On a injecté de la cortisone par exemple dans le bras. Puis, une heure après, on a fait une prise de sang à l'endroit où la cortisone avait été injectée. Et le taux de cd4 ou autres globules blancs s'est révélé avoir chuté. Seulement, si le taux de cd4 a chuté, c'est parce que l'injection de cortisone entraine une rétention d'eau localement. La zone s'est gorgée d'eau. Et du coup, mathématiquement, le taux de cd4 à chuté, puisque les cd4 étaient alors dilués dans une plus grande quantité d'eau. Donc, il n'y avait absolument pas immunosuppression, mais simple dilution des cellules et débris sanguins dans une plus grande quantité d'eau. Puis, le taux de cortisone baissant graduellement, la dilution est revenue à la normale, et le taux de cd4 aussi. Mais, quand on absorbe de la cortisone par voix digestive, la dilution du sang augmente surtout dans le tronc. Et elle diminue dans les bras et les jambes. Donc, comme on fait les mesures de cd4 ou de globules blancs dans les bras, forcément, c'est le phénomène inverse qui survient. Le taux de cd4 mesuré dans les bras est en augmentation. Seulement, il n'y a apparemment pas eu d'étude concernant l'effet sur l'immunité de l'absorption de cortisone par voie orale. Tout ça est important, parce que du coup, impossible de se rendre compte que d'autres produits que la cortisone peuvent eux aussi avoir un effet sur la soi-disante immunité. Et puis, ça poserait problème à l'orthodoxie, puisqu'ils feraient face à un produit qui serait immunosuppresseur localement, mais augmenterait l'immunité globalement. Ca ne serait pas logique si on reste dans la théorie classique de l'immunité. Donc, l'orthodoxie n'a pas tellement intérêt à faire des études avec absorption orale de la cortisone si elle ne veut pas tomber sur des incohérences facheuses. En fait, ce serait pire. Parce que si les chercheurs orthodoxes poussaient plus loin leur analyse et faisaient un prélèvement dans le tronc et dans les bras, il se rendraient compte que la cortisone prise par voie orale est immunosuppressive dans le tronc et améliore l'immunité dans les membres. Là, je crois qu'ils en perdraient leur latin. Ca irait mal pour la théorie officielle du système immunitaire. Surtout qu'en cherchant encore un peu plus loin, ils verraient que plein d'autres produits ont le même effet améliorant l'immunité que la cortisone. Les produits hyper chers comme les inhibiteurs de protéase, et autre molécules de la trithérapie, seraient aussitôt révélés comme ayant été des arnaques totales. Les séropositifs ne seraient pas très contents, ça c'est sur. Enfin, en tout cas, loin de l'infirmer, l'expérience concluant au caractère immunosuppressif de la cortisone va dans le sens de ma théorie selon laquelle la cortisone entraine une rétention d'eau. Ah sinon, j'ai mis en ligne sur sidasante un article plus détaillé que le premier message de ce topic : http://www.sidasante.com/azt/tritherapie_e...orticoides.html
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