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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. J'avoue avoir assez de mal à croire qu'elle ait pu dire cela. L'orthodoxie du sida sait très bien pour l'avoir constaté depuis le début de l'épidémie du sida que ce qui fait l'extrême gravité de ce syndrome (le sida donc), ce n'est pas le fait que le sidéen puisse faire le même genre de maladie qu'un séronégatif, mais bien le fait qu'après être soigné pour la maladie opportuniste en question et contrairement à un séronégatif qui a pu souffrir également de la même maladie (par exemple à la suite d'une chimiothérapie, soit une circonstance ponctuelle) , le séropo recommence à refaire la même maladie et en plus grave en plus (à moins bien sûr et sauf exception, qu'il reprenne définitivement une vie "saine et équilibrée", ce qui constitue d'ailleurs le meilleur remède pour éviter d'atteindre le stade du sida déclaré, sauf cas exceptionnels comme par exemple stress oxydatif devenu - hélas - irréversible). Certes, le séropo et le séronégatif peuvent faire exactement la même maladie mais il y a souvent une différence primordiale entre les deux : la cause de la maladie chez les séronégatifs est plutôt ponctuelle (exemple : une chimiothérapie) alors que la cause de cette maladie chez un séropo a une cause bien plus profonde, cause étant interprétée par l'orthodoxie du sida comme étant due à un rétrovirus, et par la plus grande partie de la dissidence du sida comme étant due au stress oxydatif. Par conséquent, j'ai un peu de mal à croire qu'elle ait pu suggérer que trois mois de drogues dites "antivirales" soient suffisants et qu'on puisse ensuite arrêter car un représentant quelconque de l'orthodoxie du sida sait très bien que l'une des caractéristiques du sida est que les infections opportunistes reprennent de plus belle (à cause de l'improbable virus VIH). Or pour éviter cela, la seule solution (ce n'est bien sûr pas la solution de la dissidence du sida bien sûr, à moins que le stress oxydatif soit devenu irréversible) consiste à prendre justement tous les jours les tri"thérapies", dont l'un des - très rares - avantages est de consister en des "antibiotiques" très puissants à très large spectre (du moins, cela est l'explication dissidente[outre d'autres explications]; pour l'orthodoxie du sida, les tri"thérapies" lutteraient contre le VIH). En les prenant tous les jours, la plupart des germes opportunistes seront en permanence tués, du moins jusqu'à ce qu'un phénomène de résistance survienne. Et qui peut justement - partiellement - être évité en changeant plus ou moins régulièrement la composition des drogues dites "antivirales", ce qui pourrait permettre de retarder dans une certaine mesure ce phénomène de résistance des germes opportunistes. C'est pour ces raisons que j'ai un peu de mal à croire qu'elle ait pu affirmer cela, surtout en tant que représentante de l'orthodoxie du sida. Ceci étant, ne te méprend pas, je n'ai nullement l'intention de faire l'éloge des drogues dites "antivirales" et je ne suis certainement pas un partisan de celles-ci, sauf dans des cas exceptionnels !
  2. Je n'ai jamais dit que la sodomie tue. Manifestement, tu sembles croire que la vie sexuelle que les gay ont pu connaître à partir des années 70 n'avait absolument rien d'exceptionnel et que depuis l'aube des temps et en tout temps, les gay ont toujours connu une vie "dépravée" (je le mets en guillemets car moi-même, je n'aime pas le terme, mais il a au moins le mérite d'être clair) avec plusieurs milliers de gay différents. Finalement, la libération sexuelle gay des années 70 était une fausse révolution à te lire ! Je ne crois cependant pas que les gay d'avant les années 70 qui faisaient de la prison en raison de leur sexualité, qui étaient sans cesse tracassés par les autorités, ou même déportés dans les camps de concentration (pour ne citer que quelques exemples parmi tant d'autres) aient eu l'impression de vivre une libération sexuelle quelle qu'elle soit et qu'ils aient même eu l'occasion d'en rêver ! Mais si cela te fait plaisir d'y croire, soit. Quant à tous tes exemples, Jules César et compagnie, bien sûr que cela a existé, je n'en doute pas. Mais encore une fois, je ne crois pas un seul instant que dans tous tes exemples, ils pratiquaient la sodomie anale réceptive, tous les jours ou presque, avec une multitude de partenaires différents, comme cela fut certainement le cas à partir des années 70. Non, là franchement, cela dépasse mon entendement. Mais si tu peux me recommander des ouvrages historiques prouvant que tous ces illustres personnages n'étaient pas hétéros mais bien gay "pur et dur" comme presque tous les gay sidéens morts lors des premières années de l'épidémie (c'est-à-dire jusqu'en 1985, quand les premières campagnes de safe sex ont débuté chez les gay en premier lieu [et il ne fait aucun doute que le safe sex a permis de diminuer les cas de sida dans une relative mesure, mais sans rapport quelconque avec le pseudo VIH bien sûr]), alors n'hésite pas à m'en donner les références. Quant à tes "débauchés" hétéros, peut-être y en a-t-il bien plus que d'homos, et peut-être qu'occasionnellement (donc, rien à voir avec les gay morts du sida au début des années 80), ils pratiquaient la sodomie passive, mais encore une fois, c'est occasionnel, et partant, moins de risque de sida. Contrairement à toi, je me refuse à croire que les "débauchés" hétéros soient gay. Je conçois que les découvertes scientifiques faites au travers du prisme des expériences de l'administration rectale de sperme chez des souris aient pu te vexer, mais bon, jusqu'à nouvel ordre, à moins que l'on me prouve que ces expériences ne sont pas scientifiquement fondées, je ne doute pas des conclusions. Même si je sais parfaitement que cela n'est pas ton but ni même ta pensée, te rends-tu compte que tes propos sont EXACTEMENT les mêmes que ceux qui furent tenus par la communauté gay au début de l'épidémie du sida ..... et qui ont permis de grandement faciliter l'émergence de l'idée d'un rétrovirus comme cause du sida car cette communauté ne voulait pas envisager un seul instant que son mode de vie puisse être la cause du sida ? C'est d'ailleurs toujours à l'heure actuelle l'une des raisons qui empêchent cette même communauté gay (représentée par les associations telles que Act Up, Aides, etc..., soit les associations de défense du sida) d'envisager un seul instant que les dissidents du sida puissent avoir raison, car ce faisant, elle devra admettre que c'est son mode de vie qui en a été et est la cause du sida (outre bien sûr maintenant l'AZT et consorts). De toi à moi (façon de parler, bien sûr ! lol), je peux te jurer sur l'honneur qu'en presque vingt ans de vie gay, j'ai connu (d'assez loin) plusieurs dizaines de gay qui ont mené et mènent exactement le même genre de vie que ceux du début des années 80. Ils ont presque tous (il y a bien 2 ou 3 exceptions) à l'heure actuelle pour point commun ..... d'être sous tri"thérapie" (et de continuer pour la plupart le même "genre de vie"), et pour une minorité, d'être morts ! Désolé si cela ne te fait pas plaisir à lire, mais c'est ce que moi je constate personnellement "sur le terrain". Et cela confirme donc les expériences faites avec les souris. Pour quand même finir sur une note concordante avec toi, je dirais quand même que la cause principale du sida reste bien sûr (et peut-être de loin) l'abus de drogues récréationnelles. Mais une vie "dissolue" tels que les gays de la fin des années 70 et du début des années 80 ont pu connaître (et que d'autres connaissent encore à ce jour d'ailleurs) ne peut qu'aggraver la situation et les précipiter vers le stade du sida déclaré. Cela me semble l'évidence même.
  3. Oui, cela me semble finalement la moins mauvaise solution ..... et la plus rapide en plus ! Mais comme il y aura sans doute une certaine subjectivité de ma part (après tout, qui suis-je pour "décider" quels posts sont assez "scientifiques", et d'autres non), j'aurais préféré dans un premier que le topic de 142 pages (du moins à l'heure actuelle) continue à subsister momentanément et parallèlement à ce futur topic de synthèse. Si ensuite (au bout de quelques semaines par exemple), il est généralement estimé que ce futur topic de synthèse a été plus ou moins bien raccourci par mes soins, alors on pourrait décider de supprimer définitivement le topic d'origine de 142 pages. Cela me semble la façon la plus prudente d'agir. Donc, en résumé, je proposerais finalement ce qui suit : 1) Je tâche de raccourcir le topic de base de 142 pages en supprimant les posts dits "non scientifiques", tout en gardant exactement le même ordre strictement chronologique pour les posts qui subsisteront. Et j'en profite peut-être pour ajouter dans le sommaire qui figure à la première page des renvois supplémentaires vers d'autres posts de ce seul topic, à l'origine de 142 pages (je ne touche donc certainement pas et supprime encore moins les liens du sommaire qui renvoient à des posts se trouvant ailleurs que dans le topic "Le VIH ne causerait pas le sida"; je ne travaille "que" sur le topic de 142 pages). 2) Pendant ce temps, le topic de 142 pages continue à subsister bien sûr, éventuellement enrichi de nouveaux posts. 3) Lorsque j'aurai fini de raccourcir le topic de 142 pages, je le soumets aux lecteurs. Et s'il est généralement estimé que ce n'est pas trop mal fait (éventuellement après quelques petites adaptations suggérées par des lecteurs), alors on pourrait définitivement supprimer le topic de 142 pages. 4) Et bien sûr, comme tu le suggères à la fin de ton post, le sommaire continuerait ensuite à être remis à jour régulièrement par des renvois à de nouveaux posts "scientifiques" pertinents. Et d'ailleurs, il ne devrait pas toujours forcément être nécessaire de créer presque chaque fois de nouveaux titres ou sous-titres à cette synthèse. Parfois, des posts abordent des points déjà mentionnés dans le sommaire, mais sous des angles différents. On pourrait simplement préciser que le lecteur peut lire les posts relatifs à tel sous-sujet en cliquant ici, ici et encore ici. Ce sera loin d'être parfait, mais ce sera déjà bien plus "digeste" à lire.
  4. Oui, bien sûr. Mais je suppose que tu vises par là l'hypothèse où la totalité d'un post ne serait pas retenue, mais bien une partie seulement de ce post, auquel cas le système ne précise jamais ou presque (je crois) l'identité de l'auteur du post .
  5. Au moins, Terry, j'ai le net avantage par rapport à la plupart des autres intervenants que tu ne pourras pas m'accuser d'homophobie (lol). Là, OK, je n'ai pas de preuve, juste une intuition, qui ne demande qu'à être vérifiée. Mais je n'ai pas le temps de le faire. Mais je crois que ce serait utile de vérifier, à supposer que cela soit possible, de quelles maladies les "débauchés" de l'époque mourraient. Par définition, les hétérosexuels ne pratiquement pas la sexualité anale. Ils pouvaient et peuvent encore être des "débauchés", ils courent par définition moins de risque de sida (à supposer qu'ils ne consomment pas de drogues bien sûr) car ce que la théorie du stress oxydatif a démontré, c'est l'effet immunodépresseur - passager - de l'administration rectale du sperme. C'est peut-être "injuste" (lol) mais un tel effet n'existe pas en cas d'administration vaginale. Il n'est dès lors pas étonnant qu'il y ait peu de cas de sida hétérosexuel (non toxicomane, bien sûr) même chez les "débauchés" hétérosexuels. Cet effet immunodépresseur de l'administration rectale du sperme(désolé si cela ne fait pas plaisir à lire, mais c'est ainsi) est transitoire ou provisoire, mais cela tombe sous le sens qu'il ne peut pas rester transitoire et est susceptible de devenir permanent si les homo passent en revanche leur temps à "ça" (ce qui était manifestement le cas des premières années du sida gay), et cela peut réellement devenir grave (en fonction de la constitution des individus) si en plus, ils le font avec "n'importe qui", vu que le volume et la diversité des protéines étrangère ne font qu'augmenter. Pour ce qui concerne les hétéros, j'ai déjà répondu ci-dessus. S'ils sont vraiment hétéros, ils ne sont par définition pas sujets au risque provenant de la sexualité anale et de l'effet immunodépresseur qu'elle implique (normalement transitoire, mais pouvant devenir permanent en cas d'exagérations "exacerbées"). Quant à la sexualité des gay des années 50, je ne peux m'empêcher de me dire que tu fantasmes un peu beaucoup. Tu dois quand même te rappeler que jusqu'au début des années 70 (si pas un peu plus tard), l'homosexualité était un délit. Dans ces conditions, il me semble un peu hardi d'affirmer que la plupart des homosexuels de l'époque aient - en général - pu avoir ne fût-ce que la possibilité d'avoir une vie sexuelle aussi "trépidante" que celle qui a pu exister à partir du milieu des années 70. Dans ces conditions, il est normal qu'il n'y ait pas eu de bien nombreux cas de sida apparents à l'époque. Si tu as des sources confirmant que les gay de l'époque aient eu une vie sexuelle semblable à celle des années 70, cela m'intéresserait vraiment de les connaître. Maintenant, il est bien connu par exemple que certains acteurs des années 50 ou 60 étaient gay et de fameux "débauchés". C'est bien pour cela que dans mon dernier post, j'ai parlé de "cercles fermés". Mais je ne pense vraiment pas que même pour ces quelques gay "privilégiés" des années 50 ou même 60, leurs parties de débauche aient pu atteindre les sommets et les fréquences atteints à partir du milieu des années 70. En outre, à ma connaissance, ce n'est qu'à partir des années 70, qu'il y a vraiment eu une épidémie de MST devenue permanente dans le milieu gay, la preuve par excellence que le milieu gay avait atteint un summum d'"activités" à cette époque. Et les MST contractées de manière répétée (c'était quasiment à chaque relation sexuelle, semble-t-il) constituent un risque supplémentaire terriblement aggravant vers le stade du sida déclaré.
  6. UNE SUGGESTION Après 5 mois de lecture attentive, j'ai donc fini par terminer il y a peu la lecture du topic de base de 142 pages. C'était assurément très instructif, surtout si on avait déjà des notions avant de commencer. N'empêche, maintenant, je me mets surtout à la place des nouveaux lecteurs, et je pense qu'à de rares exceptions près, ce ne sera pas toujours limpide. La plupart des nouveaux lecteurs - non bornés d'esprit - auront peut-être la nette impression qu'il y a vraiment des choses qui "clochent" avec l'orthodoxie du sida, que les arguments de la dissidence du sida sont intéressants, mais je pense que la plupart d'entre eux seront bien en peine d'expliquer même à leur façon la plupart des choses qu'ils auront lues et de les répercuter de façon convaincante auprès d'autres personnes. Le problème pour un nouveau venu, à supposer qu'il ait réellement le courage de lire le topic de 142 pages depuis le début, c'est qu'il est extrêmement long et bien peu y arriveront. En plus, il y a très souvent de véritables "chutes de rythme" car très souvent, on y parle de sujets accessoires, certes ayant un rapport avec le sida, mais assez éloigné des questions principales que se poserait un nouveau venu. Exemple (mais attention, je ne critique pas le contenu des posts en question, qui restent tous intéressants, et en aucune façon, je proposerais leur suppression, c'est sur leur utilité afin de permettre à un nouveau lecteur de comprendre rapidement les points essentiels que je m'interroge) : pendant 9 ou 10 posts, on parle par exemple du chauffage du sang "contaminé" comme prouvant que le sida est causé par le HIV, avec les arguments des uns et des autres (= le véritable sujet principal du topic). Puis tout à coup, il y a un intervenant qui poursuit en disant que son beau-père est séropositif et malade. Suivent ensuite une vingtaine de posts pour savoir ce qu'il a réellement, les conseils que tout un chacun veut donner pour que le beau-père aille mieux, mais ces conseils vont bien au-delà de la problématique principale et on s'en éloigne véritablement. Suit ensuite un post sur l'homophobie supposée de certains sur le forum, suivi lui-même de 7 ou 8 posts pour prouver que ce n'est pas vrai ou que cela résulte d'une erreur d'interprétation. Suivent enfin finalement 8 ou 9 posts où on aborde réellement et à nouveau le sujet, par exemple la transmission sexuelle du supposé VIH avec les arguments des uns et des autres. Et puis suit un post sur un ouvrage français paru récemment dénonçant la supercherie du sida, suivi lui-même de 5 ou 6 posts où certains intervenants font l'éloge de cet ouvrage mais sans aborder le fond du débat. Etc... Dans cet exemple, tous les posts en question auront pris 3 ou 4 pages. Mais si on laissait uniquement les 9 ou 10 posts concernant le chauffage du sang "contaminé", suivi immédiatement des 8 ou 9 posts concernant la transmission sexuelle du supposé VIH, cela formerait déjà un tout un peu mieux cohérent, réduit à 1 page ou 1,5 page, sans qu'un nouveau lecteur ait l'esprit distrait sur les points accessoires (maladie du beau-père, l'homophobie supposée de certains, l'ouvrage français dénonçant la supercherie du sida, etc....). Cela n'était qu'un exemple mais il y en a plusieurs dizaines ainsi dans ce topic. C'est pourquoi, dans un premier temps, j'avais d'abord pensé à ce qu'il soit créé EN OUTRE (donc, en aucune façon, je ne suggère ni même pense à supprimer le topic de base de 142 pages, lequel continue donc à s'enrichir de nouvelles contributions, auxquelles il sera le cas échéant renvoyé via la synthèse de la première page) une synthèse de ce topic de 142 pages, où on trouverait uniquement les posts (mais tous ces posts sans exception ou presque) abordant uniquement et très principalement le sujet "Le VIH ne causerait pas le sida". Et compte tenu de ce que j'ai lu, il est clair que la moitié, si pas les deux tiers des posts pourraient être supprimés sans problème. Il ne resterait dès lors plus qu'une synthèse d'environ 40-50 pages, ce qui est quand même plus "digeste" à lire, sans chute de rythme, d'autant plus que seuls seront retenus les posts abordant directement le sujet. Ce ne serait cependant pas un best of car tous les posts "scientifiques" seraient retenus (pas ceux qui seraient jugés les "meilleurs"), que ce soit ceux émanant de l'orthodoxie du sida ou ceux de la dissidence du sida. En réalité, ce serait une synthèse plus "scientifique", où subsisteront essentiellement les arguments scientifiques des uns et des autres, sans les considérations accessoires, quoique intéressantes, comme citées par exemple ci-dessus. Donc, l'idée de départ consisterait en fait à garder le topic exactement dans le même ordre chronologique mais pour le réduire à 40-50 pages en conservant uniquement les arguments "scientifiques" des uns et des autres (étant entendu que le topic de base de 142 pages subsiste toujours bien sûr, et continuera à s'enrichir de nouveaux posts, avec le cas échéant un renvoi depuis la synthèse figurant à la première page). En somme, mon idée de départ n'est pas si compliquée que cela, mais cela prend beaucoup de temps puisqu'il faut tout relire depuis le début et supprimer tous ces posts qui ne sont pas réellement "scientifiques" pour le tout. Cette idée me semble présenter les avantages suivants : le topic est plus court, donc forcément plus rapide à lire pour un nouveau lecteur, les questions abordant directement le sujet se suivent immédiatement sans cassure de rythme. Mais il présente bien sûr un désavantage de taille (mais c'est également le cas et en bien pire pour le topic de 142 pages) : les posts se suivent certes en abordant toujours le sujet directement, mais sans réelle structure. Exemple : aux pages 13 à 16, on parle de l'isolation du virus, puis on n'en reparle plus jusque par exemple aux pages 76 à 80, puis on en reparle à nouveau aux pages 129 à 131, etc.... Donc, cela m'a donné l'idée dans un second temps que l'on essaie ensuite d'agencer les posts restants (après que l'on ait donc supprimé la moitié, voire les deux tiers des posts "non scientifiques") : dans l'exemple ci-dessus (isolation), les posts concernant le sujet de l'isolation situés aux pages 13 à 16, seraient immédiatement suivis des posts concernant ce même sujet mais situés aux pages 76 à 80 et ceux situés aux pages 129 à 131. Cela serait bien sûr encore loin d'être parfait, mais ce serait déjà un peu mieux structuré. Cela impliquerait en quelque sorte qu'une autre table des matières figure au début de ce topic de synthèse. Ceci étant, depuis deux jours, j'ai examiné un peu au hasard quelques-uns de ces posts "scientifiques". Et finalement, cette seconde idée ne semble vraiment pas très praticable, non pas parce que cela prendrait énormément de temps, mais bien parce qu'il est tout simplement rare qu'un post "scientifique" n'aborde qu'un seul angle de la dissidence du sida ou même de l'orthodoxie du sida. Tous les aspects de ces théories semblent irrémédiablement liés. Il faudrait alors dans chaque sous-sujet de ce topic synthétique reprendre à plusieurs reprises les mêmes posts ........ en sorte que finalement, ce topic synthétique n'aurait plus rien de synthétique et deviendrait presque aussi long que le topic d'origine de 142 pages. Par conséquent, je me suis interrogé sur les utilités de ce forum, absolument indispensable ceci étant, et je me suis dit qu'en principe, ONCT n'a pas vraiment vocation à refaire l'argumentaire - théorique - de l'orthodoxie et de la dissidence du sida alors qu'il existe déjà très bons articles théoriques sur le sujet rédigés en français sur www.sidasante.com. Je me dis que ONCT, du moins le topic du sida, a plutôt pour vocation à compléter très utilement et de façon indispensable www.sidasante.com, en permettant de réexpliquer les arguments des uns et des autres (avec, il est vrai, une préférence pour la dissidence du sida en raison de la supériorité de l'argumentaire de celle-ci), de les confronter, de les mettre en application et d'aller encore plus loin dans l'analyse sur de nombreux points. En définitive, ma suggestion finale serait la suivante, et celle-ci est surtout faite pour aider tous les nouveaux lecteurs sur ce topic, quel que soit leur bord d'ailleurs (s'ils sont au départ des orthodoxes du sida, qu'ils prennent d'abord la peine de lire le "dossier" en question, surtout s'il est devenu "synthétique") : 1) Maintenir bien sûr au début de la synthèse collective le renvoi à "Réponses aux questions du docteur Mbeki", mais ajouter également un renvoi à la "Réfutation de la Déclaration de Durban" (qui constitue en soi déjà une synthèse de l'argumentaire dissident sur les points les plus essentiels, tout en reprenant les multiples arguments invoqués par l'orthodoxie du sida). Je crois qu'il n'y vraiment pas lieu de douter de l'utilité de ce renvoi vers la Réfutation de la Déclaration de Durban car il me semble qu'il s'agit à ce jour du meilleur "article" synthétisant les principaux arguments de la dissidence du sida, du moins, la meilleure synthèse traduite en français ! J'en veux d'ailleurs pour preuve que dans ce topic de 142 pages, on y fait très souvent référence (l'orthodoxie du sida aussi, d'ailleurs; raison de plus, à mon sens, de prévoir un tel lien). 2) Créer un topic synthétique de 40-50 pages en ne retenant que les posts dits "scientifiques", quasiment dans le même ordre chronologique (et avec toujours ou presque la même synthèse que celle figurant à la première page du topic de 142 pages). Certes, cela ne sera toujours pas très structuré, mais comme le nouveau lecteur est censé avoir déjà lu ce qui précède, il sera censé bien mieux comprendre une grande partie des posts "scientifiques" qui subsisteraient dans le topic de synthèse. Au moins, en procédant ainsi, le nouveau lecteur ne pourra plus invoquer l'énormité de ce topic pour justifier le fait qu'il n'aurait pas eu le courage de le lire dans son intégralité. Reste à savoir qui souhairerait s'atteler à cette tâche ! A moins que quelqu'un d'autre ne souhaite le faire également, je suis tout à fait disposé à le faire ..... mais à mon rythme bien sûr. Mais je pense sincèrement pouvoir "rédiger" (en fait, c'est retenir uniquement les posts dits "scientifiques") ce topic de synthèse en trois ou quatre mois, voire même moins, vu que j'ai fini tout récemment de lire l'intégralité de ce topic, et que cela est encore bien "frais" dans ma tête. Evidemment, il y aura un peu de subjectivité de ma part, mais je me ferai un point d'honneur à retenir la presque totalité des posts de l'orthodoxie du sida, dont nombre d'entre eux m'ont d'ailleurs paru très pertinents,..... bien entendu suivis des contre-arguments repris dans les posts de la dissidence du sida. Ce n'est bien sûr pas parfait, même très loin de là, mais je crois que créer un topic synthétique est déjà un bon pas vers la bonne direction. Il ne s'agissait bien sûr que d'une suggestion. Et à la base, l'idée de cette suggestion est venue de trois ou quatre autres personnes que j'avais contactées sur d'autres sites et que j'avais renvoyées à www.sidasante.com et à ONCT, mais qui devant la longueur de ce topic, n'avaient pas eu le courage de le lire. Toute autre suggestion est bien sûr la bienvenue.
  7. Cet article de l'observatoire zététique a déjà fait l'objet d'une analyse approfondie, la conclusion est plutôt la suivante : il y a effectivement eu des erreurs d'écriture dans quelques articles relatant les faits attribués en Espagne au docteur Willner, mais pour le reste, - cet article ne réfute toujours en rien l'argumentaire de la dissidence du sida, - et les deux conclusions de cet article, à savoir que le geste du docteur Willner ne prouverait rien et que son geste aurait été diablement courageux, sont pour le moins sujettes à des critiques radicales ! Même avec la meilleure volonté du monde, je ne peux m'empêcher de voir dans cet article un parti pris évident, alors que l'observatoire zététique semble invoquer la "raison" comme sous-tendant son action.
  8. Je crois, Terry, que tu as mal compris ce que ces dissidents du sida ont voulu dire. Et je ne crois vraiment pas qu'il y a là une once d'homophobie de leur part. Ce n'est pas le rapport anal non protégé qui est cause de sida, mais son extrême fréquence, avec une multitudes de partenaires sexuels différents, en très très peu de temps, étant entendu que le risque évolue en fonction de la "constitution immunitaire" de chaque personne. Effectivement, l'homosexualité existe depuis toujours et visiblement, cela n'a jamais causé le sida. En revanche, je crois que tu dois admettre que jusqu'au début des années 70, l'homosexualité n'avait pas pignon sur rue, et cela était jusque là assez "discret", avec peu de partenaires sexuels différents. Mais avec le début de la libération sexuelle gay dans le courant des années 70, cette libération a connu des excès que l'homosexualité n'avait jusque là jamais ou presque connus. Je veux dire par là que ce n'est qu'à partir du milieu des années 70 (et excuse moi d'être assez direct pour la suite) qu'il a été possible pour des gays de "se faire" par exemple dix pénétrations anales avec éjaculation par soir, et avec dix partenaires différents (pour être encore plus direct et quoique le terme ne me plaise guère, parlons carrément de "débauche" ou même gang bang anal), et cela très régulièrement, voire presque tous les jours et/ou soirs. Ce que les dissidents ont démontré scientifiquement (entre autres, avec leurs expériences sur les souris), c'est que de telles pratiques anales passives intensives, avec autant de réception de sperme et de protéines étrangères provenant de si nombreux donneurs différents, en plus, en si peu de temps, induisent un très fort stress oxydatif, et donc une très forte détérioration du système immunitaire (vérifiée par la chute des T4, pour faire un lien avec ce topic). Ceux qui étaient atteints du sida les premières années avaient eu plus de 1000 partenaires sexuels différents, et certaines même 2000, voire même 3000. Quand tu tiens compte en outre que pour pouvoir avoir physiquement la possibilité de mener une telle vie sexuelle, ils devaient consommer des drogues récréationnelles, il ne devient vraiment plus étonnant qu'ils aient fait un sida déclaré. Ce n'est pas un hasard que durant les premières années, les gays atteints du sida étaient essentiellement ceux vivant dans les grandes métropoles américaines et européennes, c'est-à-dire là où un tel style de vie était possible. L'homosexualité a toujours existé et n'a jamais abouti à une forme de sida quelconque; en revanche, à ma connaissance, une telle forme de sexualité anale intensive, extrêmement répétée en peu de temps, avec en plus, consommation de drogues récréationnelles dont le poppers, cela n'a été possible que depuis le milieu des années 70. Pas étonnant que les premiers cas de sida soient survenus au tout début des années 80 (en fait, il y avait déjà eu quelques cas isoles à la fin des années 70 mais cela était passé inaperçu à l'époque car ceux qui allaient devenir les orthodoxes du sida, n'avaient à l'époque pas pensé à faire un lien avec ces quelques premiers cas de la fin des années 70). Avant le milieu des années 70, une telle forme de sexualité anale était à ma connaissance extrêmement rare. Mais peut-être que cela a existé auparavant, mais dans des "cercles" très fermés, mais alors par définition, il n'y avait déjà pas une telle possibilité quasi infinie de partenaires sexuels différents, et donc un moins grand risque de sida déclaré. Et peut-être que quelques uns ont quand même fait un sida déclaré, mais cela était forcément tellement rare que cela est passé complètement inaperçu, sans qu'il soit fait une relation avec les risques d'une sexualité anale passive intensive et extrêmement répétée avec de nombreux partenaires sexuels différents. Ceci étant, pour remonter très loin dans le temps, je ne serais pas étonné d'apprendre qu'une telle sexualité anale passive intensive et extrêmement répétée en peu de temps ait pu exister à l'époque de la Rome "décadente" et que les diverses maladies dont mourraient les "décadents" romains de l'époque n'auraient pas été qualifiées de sida à l'époque actuelle. Enfin, pour finir, si on prend ton exemple des femmes qui souhaitent ou subissent une sexualité anale, peut-être qu'au total, elles sont plus nombreuses que les gay à pratiquer la sexualité anale (forcément) passive, mais je doute très fort que parmi celles-là, il y en ait vraiment beaucoup qui pratiquaient une telle forme de sexualité anale aussi intensive, aussi répétée en peu de temps, avec autant de partenaires sexuels différents que les gay sidéens du début des années 80, et en plus en consommant autant de drogues récréationnelles que les gay. Je pense qu'un tel mode de vie était réellement caractéristique des gay atteints du sida au début des années 80 (et d'ailleurs de nombreux gay d'aujourd'hui, d'après ce que j'en sais). Mais j'admets qu'il y a quand même un petit relent moralisateur dans l'affaire, mais cela ne doit pas être mis sur le compte de la dissidence du sida ou de qui que ce soit en fait. Le corps humain ne semble visiblement pas avoir été constitué pour vivre une telle sexualité anale passive aussi intensive, répétée en aussi peu de temps avec en plus des milliers de partenaires sexuels différents, ce qui me semble évident de prime abord ! Bref, le petit relent moralisateur relève du bon sens : il ne faut pas trop user et abuser jusqu'à plus soif des "possibilités" offertes par son corps ..... car cela finit par se payer un jour ou l'autre et d'une façon ou l'autre. Mais cela est valable pour tout, pas uniquement pour la sexualité anale passive.
  9. A la page 114 de ce topic, en date du 1er octobre 2005, Bardamu a reproduit un article quasiment hilarant (scientifiquement parlant, je veux dire) publié dans le Figaro du 30 mai 2005 et intitulé "Le virus du sida actuel est moins actif". Le passage le plus intéressant qui posait "problème" était le suivant : Bref, encore une explication digne du légendaire mythe de la mutabilité du VIH. En réalité, il existe une toute autre explication qui tombe sous le sens et que n'importe quel lecteur trouvera de lui-même s'il lit préalablement ce post-ci : Qu'est ce que le VIH finalement ? Après avoir lu ce dernier post, le lecteur aura compris que la différence de soi-disant "virulence" du VIH entre ceux de 1986-1989 et ceux de 2002-2003 doit s'expliquer en se demandant si les causes de stress oxydatif n'auraient pas évolué de façon à devenir un peu moins "virulentes" ou moins élevées. Cela demande bien entendu un travail de recherche bien plus compliqué que celui consistant à dire que comme par hasard, le VIH est devenu moins virulent afin de mieux se transmettre entre humains. Mais déjà, sans même faire de recherches approndies, on peut constater, je crois, que certaines causes de stress oxydatif (et donc de séropositivité et ensuite de sida si rien n'est fait pour y remédier) ont fortement diminué pour devenir moins courantes. Je pense entre autres au poppers, accusé - à juste titre - de tous les maux en la matière. Je me rappelle très bien par exemple quand j'ai commencé à fréquenter le milieu gay à 17 ans (c'était donc en 1988), sur les pistes de danse, on voyait des tas de types en train de danser en sniffant quasiment sans arrêt du poppers. Aujourd'hui, en tout cas en Belgique, vous ne voyez quasiment plus la chose (c'est même bien simple, je ne me rappelle plus avoir vu cela depuis 10 ans au moins, en Belgique en tout cas). En d'autres termes, ce que je veux dire, c'est que par rapport à la période 1986-1989, la consommation de poppers a assez fortement baissé. En témoigne le fait que dans de nombreux pays, comme en France, le poppers est tout simplement - officiellement - interdit et on ne peut certainement plus le trouver dans l'"épicerie" du coin (lol). D'ailleurs, en France, il est interdit depuis 1990 et a été remplacé par une substance moins nocive (voyez par exemple les posts suivant : axelwebb, wallypat et cheminot). A partir du moment où une telle source de stress oxydatif survient moins souvent comme cela semble être justement le cas, il va de soi que ce que l'orthodoxie du sida appelle "les souches virulentes" soient ..... moins souvent virulentes ! Il s'agissait bien entendu d'un élément d'explication, mais en cherchant davantage, on pourrait certainement trouver d'autres explications complémentaires résultant d'une modification à travers les années des sources de stress oxydatif très élevé ..... sans devoir faire appel à la légendaire mutabilité du VIH ! Notons que cet article paru dans Le Figaro semble contredire l'impression générale selon laquelle on ne cesse d'entendre l'orthodoxie du sida affirmer que les souches virulentes ne s'arrêtent pas de se multiplier depuis ces dernières années ..... corrélativement bien sûr à la multiplication des séropos mis sous drogues dites "antivirales" ! Encore une fois, les dires et explications de la nébuleuse orthodoxe du sida pèchent par leur manque de clarté, tout le contraire des explications scientifiques fournies par la dissidence du sida !
  10. La théorie du stress oxydatif n'est pas une théorie non prouvée mais est au contraire un fait scientifique prouvé par plusieurs centaines d'études. Tellement bien prouvé d'ailleurs que même les orthodoxes du sida, tels que l'Institut Pasteur et le Professeur Montagnier, s'y intéressent de très près et incitent d'ailleurs les étudiants universitaires à étudier ce phénomène chimique, mais sans toutefois aller au bout de leur raisonnement, à savoir que le phénomène du sida est bien mieux expliqué par le phénomène du stress oxydatif que par l'hypothèse virale. L'hypothèse virale du sida n'a jamais permis de faire des prédictions correctes, tandis que l'hypothèse chimique du sida, soit un stress oxydatif très élevé, a quant à elle permis de faire de nombreuses prédictions qui se sont bel et bien réalisées. Encore un point, pour le moins absolument fondamental, qui plaide une fois de plus en faveur de la dissidence du sida. Et pour que plus personne n'ait de doute (du moins, je l'espère) sur le bien-fondé de l'hypothèse (ou plutôt : fait) du stress oxydatif, source de sida, je reproduis ci-dessous un passage tiré de cet article : Le Yin et le Yang du VIH :
  11. Tout comme proposé par Aixur dans le tout nouveau topic "Les statistiques africaines bidon sur le sida", je propose que l'on fasse entre autres ensuite des renvois vers d'autres topics et posts qui parleraient également de la problématique des tests HIV. Je crois qu'après un tel article de synthèse, des liens vers d'autres topics et d'autres posts sur le même sujet permettraient d'un peu centraliser le sujet. Ce serait particulièrement utile pour les nouveaux lecteurs puisqu'il y a plus de 260 topics dans cette section-ci du forum. Donc, quand quelques personnes ont un peu de temps libre pour le faire, qu'elles n'hésitent pas ! Bien entendu, de nouveaux posts sur ce topic-ci peuvent toujours être ajoutés. NB : J'ai suggéré à Ecliptux de supprimer du topic "Le VIH ne causerait pas le sida" le post identique au premier de ce topic-ci et de le remplacer par un lien vers ce premier post, afin de ne pas alourdir davantage le topic de base "Le VIH ne causerait pas le sida".
  12. LA DEMONSTRATION DE L'INQUALIFIABLE IGNOMINIE DES TESTS DITS "HIV" Au travers de la réfutation de deux arguments invoqués par l'orthodoxie du sida, en la personne de Candide, à l'encontre de la dissidence du sida, et restés jusqu'à ce jour visiblement irréfutés (d'une pierre, deux coups)! INTRODUCTION Je suis actuellement arrivé à la page 115 du topic "Le VIH ne causerait pas le sida", soit peu de temps avant que j'arrive sur ce forum. J'ai pu constater que jusqu'à la page 97 de ce topic, les arguments réellement pertinents invoqués par les tenants de l'orthodoxie du sida ont chaque fois pu être réfutés, et le plus souvent avec une facilité pour le moins déconcertante. Ce fut également le cas à partir des pages 98 et suivantes et jusqu'à maintenant (du moins, sur les points essentiels). Force m'est cependant de constater qu'à la page 97 de ce topic, Candide, qui, à mon sens, est assurément le moins mauvais de nos contradicteurs, a invoqué à l'encontre de la dissidence deux arguments APPAREMMENT très pertinents (il s'est également demandé pour quelles raisons les trithérapies ont pu paraître si efficaces au début des premières années des trithérapies, mais Cheminot a pris bien soin d'y répondre, tout en lui rappelant que cela avait déjà été expliqué à plusieurs reprises auparavant), deux arguments qui APPAREMMENT ont eu l'heur exceptionnel de laisser la dissidence du sida complètement K.-O. ! Arrivé à la page 115, je constate qu'il n'y a toujours pas été réfuté clairement (et je suppose que cela n'a pas été le cas ensuite). Certes, des considérations frôlant la philosophie ont immédiatement suivi ces deux fameux contre-arguments mais il faut bien le reconnaître que, quoique ces considérations soient intéressantes, elles ne font pas le poids et ne réfutent en rien ces deux fameux contre-arguments. Cela ne peut que me laisser qu'un goût bien amer dans la bouche puisque cela revient à donner l'illusion à l'orthodoxie du sida qu'après plusieurs années de bataille acharnées sur ce site contre la dissidence du sida et 97 pages de ce topic, celle-ci aurait - enfin - pu réfuter des arguments de la dissidence sur deux points, au surplus très fondamentaux. Cette situation est d'autant plus "grave" que l'occasion faisant le larron, Candide en profite pour en déduire "évidemment" que la fameuse et célèbre Réfutation de Durban n'est qu'un château de cartes pour le moins inconsistant, à laquelle aucun crédit ne pourrait "forcément" être accordé. Et je me mets également à la place du lecteur découvrant récemment la dissidence du sida qui lisant cela, ne pourrait s'empêcher de se dire que les arguments de la dissidence du sida ne sont que pur mensonge et se détournerait donc de la bonne voie pour celle, mortifère, de l'orthodoxie du sida. Par conséquent, le présent post aura pour objet de réfuter clairement et de façon la plus impitoyable possible chacun de ces deux soi-disant contre-arguments invoqués par Candide ainsi que les différentes réflexions qui la sous-tendent, et, partant, d'aboutir à la conclusion que la Réfutation de la Déclaration de Durban reste toujours LA référence en la matière, je dirais même la bible de la dissidence, et que la Déclaration de Durban, en elle-même, reste toujours et encore une suite ininterrompue de mensonges et d'inepties, qui doivent toujours être prouvées scientifiquement. La présente réfutation me permettra par ailleurs d'illustrer le fait qu'au contraire de la "Réfutation de la Déclaration de Durban", la meilleure (ou plutôt moins mauvaise) contre-argumentation existante à ce jour aux arguments de la dissidence du sida, étant " The Evidence That HIV Causes AIDS" du NIAID (cliquez ici pour le lire dans son intégralité) est, elle, un véritable château de cartes, entre autres en approchant la question des soi-disant tests dits "HIV". En effet, la contre-argumentation avancée par l'orthodoxie du sida pour affirmer que les tests HIV sont fiables est tout simplement symptomatique de la plupart des autres contre-arguments qui figurent dans ce document. Réfuter cette contre-argumentation avancée à l'appui de la fiabilité des tests HIV permettra en effet de comprendre la logique complètement biaisée qui est utilisée dans la presque totalité de ce document pour défendre envers et contre tous le dogme de l'origine virale du virus. Notons que pour ce qui me concerne, les présentes réfutations sont quasiment d'une simplicité infantine, ou presque. Mais je me mets à la place de ceux qui découvrent la dissidence du sida et pour qui, forcément, cela n'est pas si enfantin que ça (d'autant plus qu'ils sont pour la plupart encore imprégnés de toutes les croyances erronées et dogmatiques que leur a inculquées l'orthodoxie médical). Raison pour laquelle les réfutations sont assez longues, et ce pour permettre aux lecteurs de bien les comprendre, sans la moindre zone d'ombre (du moins, je l'espère). Commençons donc avec le premier "argument" de Candide. I) LA REFUTATION DU PREMIER ARGUMENT DE CANDIDE C'est terrible, ça : il ne t'est pas possible de reconnaître l'évidence, alors que je t'ai apporté tous les éléments sous les yeux ? Je recommence une dernière fois sur ce point. Tu as copié le texte que vous appelez la "réfutation de la déclaration de Durban". Ce texte prétend que "aux Etats-Unis, aucun personnel paramédical ni technicien ou chirurgien urgentiste n'a contracté le SIDA à l'occasion de son travail". Le texte cite à l'appui une étude du CDC menée en 1999. Et moi, je te mets sous le nez un tableau extrait de l'étude en question qui établit la listes des personnels de santé ayant été contaminés durant leur travail. Tu ne vois pas où est le problème ? Tu es d'une mauvaise foi invraisemblable lorsque tu me réponds que l'on n'est pas sûr que ces personnes ont bien été contaminées durant leur travail. Il y a deux colonnes dans le tableau que j'ai cité : la première colonne établit la liste des personnels de santé contaminés par le virus lors de leur travail, et pour lesquels on dispose de documents attestant d'une exposition au VIH. La deuxième colonne contient une liste de personnels de santé contaminés également durant leur travail, mais pour lesquels on ne dispose pas de documents prouvant qu'ils ont été exposé au VIH. Dans la première colonne, ce sont donc des personnes certainement contaminées durant leur travail. Pourquoi nier l'évidence ? Tu dis que "les dissidents qui ont rédigé le texte ne sont pas des rigolos et que s'ils ont sorti ça, c'est qu'ils avaient des arguments derrière". Ca, c'est ton point de vue, mais ce n'est pas une preuve. Tu peux citer des sources, des travaux, des articles ? Je le redis une nouvelle fois : la "réfutation de la déclaration de Durban" a cité un article pour lui faire dire autre chose que ce qu'il dit vraiment. Ca s'appelle un mensonge, une interprétation biaisée, de la malhonnêteté intellectuelle. Point barre. Apparemment, l'argument invoqué par Candide semble imparable, mais voyons cela d'un peu plus près. La "preuve" de la contamination par le pseudo HIV résulte donc de la circonstance que dans les 56 cas retenus, il a chaque fois pu être prouvé (et je n'en doute pas d'ailleurs) qu'ils avaient tous été exposés directement au HIV (disons plutôt : à ce qui est supposé dogmatiquement par l'orthodoxie du sida comme étant le rétrovirus exogène et pathogène HIV) d'une façon ou d'une autre (piqûre, ...), et qu'"à la suite" de cette exposition, chacune de ces 56 personnes est devenue séropositive. Le lien apparement direct entre cette exposition au pseudo HIV et la séropositivité au test HIV qui s'en est "suivi" est donc la "preuve" qu'il y a bien eu "contamination". Evidemment, il n'en est strictement rien et cet argument ressemble à s'y méprendre à un autre invoqué par certains orthodoxes du sida, à savoir la circonstance qu'à la suite un rapport sexuel "à risque" la "victime" devenue séropositive est porteuse du même génotype du pseudo virus que le "contaminateur". J'ai déjà clairement démontré l'absurdité de cet argument et je n'y reviendrai plus (voyez ce post-ci). L'"argument" de Candide n'est à cet égard rien d'autre qu'une variation sur le même thème. Et on constatera d'ailleurs à la lecture du post précité et de la réfutation qui suit que quand bien même il serait prouvé que la personne "contaminée" à la suite de cette exposition directe au pseudo virus HIV aurait en outre été porteur du même génotype que ce même pseudo HIV, cette circonstance n'énerve en rien les raisonnements qui suivent. En effet, la "preuve" de Candide n'est même pas un commencement de preuve ou même une supposition, elle est tout au plus une simple coïncidence, que le très faible nombre de cas (56 cas sur toute l'histoire du sida aux USA, ce qui est tout simplement statistiquement insignifiant !) ne fait que conforter davantage. Et jusqu'à nouvel ordre, une coïncidence n'a jamais constitué une preuve, en particulier sur le plan scientifique. Une association ou coïncidence n'est pas causalité ! C'est un peu comme si moi (= le HIV), j'étais présent dans une banque au moment d'un hold-up (= le SIDA) et que je ne suis évidemment pas le voleur (= l'auteur du hold-up ou stress oxydatif). * LA CRITIQUE DES TESTS DITS "HIV" 1) Introduction Cet argument ne se peut se justifier qu'en s'appuyant sur un des (nombreux) autres dogmes de l'orthodoxie du sida, à savoir que la séropositivité serait le signe d'une infection virale (le HIV donc) et que le test HIV est assurément fiable, sensible et spécifique, et que, partant, il détecte indubitablement une infection au pseudo HIV. Or nous savons qu'il n'en est strictement rien. Et quand je dis RIEN, c'est vraiment RIEN ! Je veux dire par là que les tests HIV ne détectent JAMAIS une infection virale au HIV! Pas dans 98% des cas, pas même dans 50¨% des cas, pas même dans 5% des cas, pas même dans 1% des cas, non, dans AUCUN cas ! Et j'insiste là-dessus car le dogme selon lequel les tests HIV détecteraient une infection virale au HIV est tout simplement la plus grande de toutes les ignominies de l'orthodoxie du sida puisque c'est à cause des tests HIV que les séropositifs pensent - à tort - qu'ils sont atteints d'une maladie (virale) et qu'ils sont contagieux ! Le pire mensonge qui soit ! Ceci étant, même si les tests HIV ne détectent aucune infection virale au HIV, cela ne signifie pas pour autant qu'il y a lieu de s'en désintéresser. En effet, être positif à un test HIV signifie quand même généralement (mais pas toujours) que le système immunitaire est (assez) fortement endommagé (tantôt beaucoup, tantôt très très gravement) et donc un résultat positif ne doit pas être pris à la légère, quand bien même il ne représente pas la sentence de mort que l'orthodoxie du sida veut nous imposer. Mais tel n'est pas l'objet du présent post, lequel n'a ici pour vocation qu'à démontrer que le HIV ne cause pas le sida, et plus particulièrement dans les passages qui suivent, que les tests HIV ne détectent en aucune façon une infection virale HIV, et que les deux arguments invoqués par Candide n'ont évidemment aucune pertinence. 2) Arguments invoqués par l'orthodoxie pour prouver la fiabilité des tests HIV Et à cet effet, et par souci de réelle honnêteté intellectuelle, je vais carrément reprendre la moins mauvaise contre-argumentation existante (à l'encontre de la dissidence du sida donc) à ce jour invoquée par l'orthodoxie du sida pour "prouver" que les tests HIV détecteraient une infection à ce pseudo rétrovirus HIV. On la trouvera dans ce document-ci, à savoir The Evidence That HIV Causes AIDS : Traduction : MYTHE : Les tests HIV ne sont pas fiables. FAIT : Le diagnostic de l'infection par le procédé du test de détection des anticorps est l'un des mieux établis par la médecine. Le test de détection des anticorps HIV est supérieur à la plupart des autres tests de détection de maladies infectueuses aussi bien en matière de sensibilité (la capacité de détecter avec précision la présence d'anticorps lorsque la personne testée a vraiment la maladie) qu'en matière de spécificité (la capacité de détecter avec précision l'absence d'anticorps lorsque la personne testée n'est pas malade). La sensibilité et la spécificité des tests actuels de détection des anticorps HIV excèdent les 98% et par conséquent, ils sont extrêmement fiables. WHO, 1998; Sloand et al. JAMA 1991;266:2861). De continuels progrès dans les méthodes de détection ont aussi permis la détection du matériel génétique viral, des antigènes et du virus lui-même dans les fluides corporelles et les cellules. Quoiqu'elles ne sont pas utilisées de façon routinières en raison de leur coût élevé et de la nécessité d'avoir l'équipement du laboratoire adéquat, ces techniques de détection directe ont confirmé la validité des tests d'anticorps (Jackson et al. J Clin Microbiol 1990;28:16; Busch et al. NEJM 1991;325:1; Silvester et al. J Acquir Immune Defic Syndr Hum Retrovirol 1995;8:411; Urassa et al. J Clin Virol 1999;14:25; Nkengasong et al. AIDS 1999;13:109; Samdal et al. Clin Diagn Virol 1996;7:55. 3) Des réfutations des arguments "accessoires " invoqués ci-dessus Notons tout d'abord le procédé malhonnête utilisé par le NIAID au tout début de son argumentation. L'orthodoxie du sida se contente de reprendre la conclusion finale émise par la dissidence du sida au sujet de la fiabilité des tests HIV, sans même reprendre, fût-il partiellement, les arguments de la dissidence qui la sous-tendent. Il est vrai que lu de cette façon-là, on ne pourrait qu'être impressionné et penser que l'orthodoxie du sida aurait brillamment relevé le défi de la dissidence. Mais cette première impression ne résulte que du fait que ce document n'explique en rien l'argumentation sous-jacente de la dissidence du sida aboutissant à la conclusion que les tests HIV ne détectent en aucune façon une infection au HIV. Cette technique, consistant uniquement à retenir le résumé pour le moins très succinct des conclusions de la dissidence de la sida, utilisée par l'orthodoxie du sida pour appuyer ses dires est particulièrement symptomatique de ce document du NIAID puisqu'il en est truffé. On peut dès lors s'interroger sur le caractère réellement scientifique de ce document, qui, pourtant, se veut être la meilleure réponse aux arguments de la dissidence du sida, ce qui est un comble ! Concernant ensuite les huit références citées dans cette "argumentation", ce qui semble lui donner davantage de poids et donc impressionner, nous verrons ultérieurement, lorsque nous réfuterons le deuxième argument de Candide, que nous avons en réalité toutes les raisons de nous en gausser ! Je ne m'attarderai pas longtemps sur le deuxième alinéa, lequel fait implicitement référence aux tests dits de détection directe du pseudo HIV. Il s'agit des tests de charge virale (PCR) et de l'observation directe au microscope électronique. En effet, il est tout simplement ahurissant que l'orthodoxie du sida prétende valider la fiabilité des tests HIV par le biais de deux autres méthodes qui souffrent d'autant et même de davantage de critiques que les tests HIV eux-mêmes. Je n'en parlerai guère, faute de quoi ce post deviendrait véritablement kilométrique. Pour ce qui concerne la charge virale, en guise d'introduction, il n'a jamais été prouvé que l'ARN à partir duquel la technique du PCR est utilisé provient bien du rétrovirus pathogène et exogène que serait le HIV. Ensuite, j'invite le lecteur à par exemple lire ce post-ci, les différents articles qu'on peut trouver sur le sujet sur www.sidasante.com ou encore ce topic particulier. Pour ce qui concerne l'observation directe au microscope électronique du virus HIV, il s'agit en fait de tout le problème relatif à l'isolation du virus. Quoique j'y reviendrai partiellement ci-après, j'invite le lecteur à lire par exemple les articles suivants : un,deux, trois, quatre et cinq. Le lecteur constatera que le virus HIV n'a jamais réellement été isolé selon la bonne vieille méthode, sûre, logique et sensée utilisée depuis des lustres pour prouver l'existence des rétrovirus, méthode basée sur la définition même du rétrovirus (particule ayant une taille, une forme, une apparence, une constitution bien définies, outre la capacité de répliquer), méthode abandonnée pour une raison inconnue lorsqu'il s'agit de l'appliquer au HIV. Ce sur quoi travaille depuis plus de 20 ans l'orthodoxie du sida est au pire une infinité de débris cellulaires, au mieux des rétrovirus endogènes produits naturellement par l'organisme humain suite au stress oxydatif. En d'autres termes, l'orthodoxie du sida travaille sur les symptômes ou conséquences (= le pseudo HIV) de la maladie, et non sur sa cause (le stress oxydatif). Et étant donné que le degré du stress oxydatif varie sans cesse et que les sources de stress oxydatif sont quasiment infinies, la conjonction de ces deux variables engendre une infinité de souches de matériel endogène (pas exogène donc, car produite par l'organisme humain lui-même) et donc non pathogène qualifié de HIV, ce qui a entre autres donné naissance au légendaire mythe de la mutabilité du virus HIV, l'orthodoxie du sida prétendant que le génome du virus pouvant varier jusqu'à 40% ! (C'est d'ailleurs absolument ahurissant; en effet, à supposer que le HIV soit vraiment un rétrovirus exogène et pathogène, comment, en variant autant, pourrait-il rester le même acteur tout en continuant à construire les mêmes protéines fonctionnelles et à induire les mêmes anticorps ? Voilà qui relève carrément de la magie et du paranormal ! En revanche, si le HIV est considéré [au mieux] comme un rétrovirus endogène, les millions de génotypes différents de ce rétrovirus peuvent s'expliquer car étant le produit et donc la conséquence d'un stress oxydatif au degré et aux sources quasiment infinies, et la circonstances que le HIV, considéré donc comme rétrovirus endogène, n'est qu'une conséquence de la maladie et non sa cause, explique que le HIV "muté" n'ait nul besoin de conserver la fonctionnalité de ses protéines. Remarquons que cette même notion "endogène" explique la notion orthodoxe du sida de "souche virulente du virus". Une "souche virulente du virus" n'est en réalité rien d'autre que l'expression endogène d'un stress oxydatif extrêmement élevé. Et le caractère endogène du "HIV" ne fait aucun doute d'ailleurs. En effet, si une souche est dite virulente, comment se fait-il qu'une personne contaminée par la souche virulente du "HIV" provenant d'un autre séropo [qui en est mort] peut parfaitement continuer à très bien vivre sans en souffrir si le HIV cause le sida ? Tout simplement, parce que le HIV n'est que du matériel endogène qui a été transmis par le second à la première et que celle-ci ne souffre pas elle-même d'un fort stress oxydatif. Certes, une méthode de détection directe constatera qu'elle est porteuse d'une souche dite virulente, mais étant donné que cette souche n'était que l'expression endogène du stress oxydatif dont est mort l'autre séropo, il n'y a évidemment aucune raison que la nouvelle porteuse de cette souche en souffre). En réalité, ce qui m'intéresse, c'est le premier alinéa de l'argumentation de l'orthodoxie du sida, à savoir la soi-disant sensibilité et spécificité des tests HIV, et c'est là-dessus que mes critiques vont fuser. 4) Un énoncé - au surplus incomplet - d'une multitude de critiques à l'encontre des tests HIV (à propos donc du premier alinéa susrelaté) et, partant, de son ignominie sans nom Par boutade, je commencerai déjà par dire que oui, effectivement, les tests HIV, lorsqu'ils détectent les protéines supposées spécifiques au HIV, sont précis à 98%. Quand ils détectent par exemple la protéine p24, il y a 98% de chance qu'il s'agit bien de la protéine p24 et pas une autre ! Cessons la plaisanterie. Ceci n'a été dit que pour impressionner le lecteur et pour montrer de quelle manière Candide a pu lui-même impressionner les intervenants sur ce forum avec ces deux arguments, c'est-à-dire par l'effet d'annonce ! a) Aucune des 10 protéines n'est spécifique à 100% au HIV ! Comme nous le savons, les tests HIV ont pour objectif de détecter (en l'occurrence, 10 lorsqu'il s'agit du test Western Blot, le test dit de "confirmation") des protéines supposées spécifiques du HIV, censées donc constituer la "carte d'identité moléculaire" du HIV. Or, JAMAIS, il n'a pu être prouvé que ne fût-ce qu'une seule de ces dix protéines (arbitrairement) sélectionnées proviennent d'un virus isolé appelé HIV, et encore moins qu'elle soit spécifique à 100% au (pseudo) HIV. Et à partir du moment où pas même une de ces dix protéines n'a une spécificité de 100% avec le supposé rétrovirus HIV, il devient dès lors logique que chacune de ces dix protéines puisse être l'indice de dizaines ou même centaines d'autres choses que le supposé HIV. Au contraire, certaines d'entres elles correspondent à des éléments n'ayant rien à voir avec un virus quel qu'il soit. Par exemple, les protéines p24 et p41 correspondent au poids moléculaire de respectivement de la myosine et de l'actine. Or, ces deux protéines sont des protéines essentielles des muscles, que l'on trouve donc naturellement dans le corps. De manière générale, voyez également cet autre post. Donc, il n'a jamais été démontré que pas même une de ces 10 protéines aurait une spécificité totale au pseudo HIV. Comment peut-on affirmer cela ? * Car le rétrovirus HIV n'a jamais été isolé, pardi ! Et faute d'avoir pu l'isoler, il est strictement impossible de dresser sa carte moléculaire et de déterminer les protéines qui lui seraient spécifiques (fût-il partiellement) et d'affirmer leur origine rétrovirale de ces 10 protéines (il en est d'ailleurs strictement de même pour ce qui concerne son génome : la meilleure preuve en est que l'orthodoxie du sida n'a pas peur du ridicule en affirmant que le génome du virus HIV peut varier jusqu'à concurrence de 40% de son génome ! Si une telle différence pourrait encore se justifier dans l'hypothèse - possible - où le HIV serait un rétrovirus endogène et inoffensif, marqueur de la maladie et non cause de la maladie, elle ne saurait l'être dans l'hypothèse où le HIV serait un virus exogène et pathogène). * Car il a été démontré que nous sommes tous séropositifs au test HIV, à partir du moment où on ne dilue pas le sérum à tester. La preuve même que nous sommes tous naturellement porteurs de ces dix protéines en plus ou moins grande quantité, que le stress oxydatif permettra de multiplier jusqu'à atteindre le seuil au-delà duquel vous êtes déclaré séropositif au test dit "HIV" ! Lisez par exemple cet article-ci. Seuls seront en effet déclarés séropositifs ceux dont le nombre de ces protéines dépasse un certain seuil, au surplus défini arbitrairement ! b) Mais il y a bien mieux encore ! Quand bien même le HIV existerait en tant que rétrovirus exogène et pathogène et quand bien même on supposerait que les 10 protéines en question seraient chacune 100% spécifiques au VIH (mais on vient de voir justement que ce n'est déjà pas le cas pour aucune de ces 10 protéines) et que tous les virus et bactéries du monde ont chacun leurs protéines 100% spécifiques (pas de phénomène de réaction croisée donc, ce qui n'existe également pas), à défaut d'avoir pu isoler préalablement ce HIV exogène et pathogène, il est tout simplement impossible de créer un test d'anticorps ayant la prétention de détecter le HIV en raison des deux faits suivants cumulativement réunis chez chaque séropo et sidéen sans exception. En effet, le HIV n'ayant jamais été isolé (1er fait), quand bien même on supposerait qu'il existerait 10 protéines 100% spécifique au HIV, on ne saurait identifier lesquels il pourrait s'agir (et donc créer un test HIV détectant ces protéines ou anticorps) au motif que chaque sidéen ou séropo sans exception est TOUJOURS porteur d'une multitude d'autres bactéries, virus ou microbes (2ème fait), en sorte qu'il est tout simplement impossible de dire quelles protéines réagissent avec les microbes qui lui sont spécifiquement attribuées à 100% ...... faute d'avoir pu isoler le HIV ! SEULE l'isolation du (pseudo) HIV permettrait d'effectivement déterminer quelles seraient les protéines spécifiques du HIV. Mais cet exploit n'a justement jamais pu être réalisé ! C'est ce que Papadopoulos me semble avoir très bien expliqué dans cet article-ci et dont je ne peux m'empêcher de reproduire ci-dessous le passage en question : c) Au sujet de la sensibilité A la lecture déjà des deux seules critiques fondamentales qui précèdent, les autres critiques qui suivent ne peuvent que confirmer encore plus la vaine prétention de l'orthodoxie à affirmer que les tests HIV détecteraient le pseudo HIV. Ainsi pour ce qui concerne la pseudo sensibilité du test HIV, celle-ci ne peut à l'évidence n'être qu'une chimère puisque pour l'apprécier, il faudrait l'évaluer sur la population la plus importante possible dont nous savons, preuves à l'appui, qu'ils sont effectivement porteurs de ce pseudo virus. Ces preuves n'ont jamais pu être apportées car nous savons tous que chez plus de 50%, voire même 60% des sidéens en phase terminale, ce qui est considéré comme étant du HIV est absolument indétectable ! Raison pour laquelle d'ailleurs le concept, particulièrement trompeur, de "charge virale" a été inventé par l'orthodoxie du sida au milieu des années 90. d) Au sujet de la spécificité Exactement pour la même raison, il est évidemment impossible d'affirmer que les tests HIV revêtent une quelconque spéficité puisqu'ils supposent qu'on ait pu l'évaluer à partir d'une population dont nous savons, preuves à l'appui, qu'elle n'est pas porteuse du pseudo virus ! e) Au sujet des réactions croisées Le lecteur aura déjà compris à ce stade-ci du présent post que le phénomène de réactions croisées est extrêment courant dans les tests HIV. Je les invite à lire par exemple l'article suivant et d'où il ressort que plus 70 facteurs sans rapport quelconque avec le pseudo HIV sont parfaitement de nature à rendre le test HIV positif. Et pour illustrer cette 5ème critique avec l'argument de Candide, je ne vois absolument pas en quoi la circonstance qu'il a été prouvé dans ces 56 cas qu'il y a eu un contact antérieur (au test) avec le pseudo HIV exclut l'un et/ou l'autre de ces 70 facteurs dont il est reconnu qu'ils peuvent rendre un test dit "HIV" positif ! f) Le seuil Le lecteur aura également compris que les tests HIV sont en outre des tests avec seuil. Si le nombre des protéines soi-disant spécique dépasse un certain seuil, vous êtes considéré comme séropositif, et donc porteur d'un virus contagieux et mortel. Si ce nombre est inférieur à ce seuil, vous êtes considéré comme séronégatif et donc, comme non porteur d'un virus contagieux ou mortel. Si par malheur, le résultat est douteux (car trop proche du seuil), on examinera si vous faites partie d'un groupe à risque. Si cela est malheureusement le cas, vous êtes séropositif. Dans le cas contraire, vous êtes séronégatif ! Où est la logique dans ce procédé de détection du virus, quand en outre, si vous êtes proche du seuil et que le résultat est donc incertain, on vous cataloguera de séropositif si vous êtes dans un groupe à risque et séronégatif si vous n'êtes pas considéré comme étant dans un groupe à risque !? Mais il y a bien pire encore comme nous allons le voir immédiatement ! g) Le nombre de protéines Si comme l'affirme l'orthodoxie du sida, ces dix protéines seraient effectivement spécifiques au HIV (mais nous avons déjà vu que ce n'est absolument pas le cas, pour aucune d'entre elle), nous pouvons nous poser les deux questions suivantes, totalement contradictoires l'une de l'autre : * Pourquoi la détection (par ces fameux tests, donc) d'une seule de ces dix protéines ne serait pas suffisante pour détecter ce (fameux et si insaisissable) HIV ? * Tout à l'opposé, pourquoi ne pas au contraire exiger que les tests HIV détectent chaque fois ces dix protéines avant de déclarer une personne séropositive, puisque ces dix protéines sont dites "spécifiques" du HIV ? Ces deux questions sont parfaitement illustrées par la courte mais hélas tragique histoire du sida, et ce d'ailleurs jusqu'à ce jour. En effet, les premières années, il suffisait qu'une seule de ces dix protéines soit détectée, à savoir la p24, et que la personne testée soit gay pour qu'il soit déclarée comme séropositive et donc porteuse de ce pseudo HIV. Et les choses ne sont pas améliorées à l'heure actuelle. Tantôt deux protéines suffisent (comme en Afrique, du moins dans les cas rarissimes où ces tests sont effectuées), tantôt trois protéines (USA et la plupart des états européens), tantôt quatre protéines (comme en Australie par exemple). Trouvez-vous normal et scientifique qu'un français, chez qui trois de ces dix protéines ont dépassé le seuil, soit considéré comme en mauvaise santé car porteur d'un dangereux virus sexuellement transmissible, soit en revanche considéré comme étant en parfaite santé et non porteur de ce virus lorsqu'il traverse la frontière australienne ?!? Expliquez moi çà ! h) Les facteurs raciaux Les différentes races (je n'aime guère le terme, mais nous nous comprenons) ont naturellement des taux d'anticorps différents. Ainsi, les personnes de race noire ont en moyenne 9 fois plus d'anticorps que les personnes de race blanche et même 33 fois plus que les Asiatiques, et donc respectivement 9 et 33 fois plus de chances d'être déclarées séropositives. C'est ce qu'explique très bien David Rasnick dans ce document-ci Ceci (entre autres) explique (les chiffres qui suivent sont citées de mémoire, mais même si dans la réalité, c'est un peu différent, cela reste éloquent) que 7 ou 8 personnes séropositives sur 10 aux USA sont de race noire, alors qu'il y a 6 ou 7 fois moins de personnes de race noire que de personnes de race blanche aux USA ! L'explication (mais il y en a d'autres bien sûr) vient de là, et non parce que les personnes de race noire seraient 40 ou 50 fois moins prudentes que les personnes de race blanche en omettant d'utiliser un préservatif. C'est (entre autres) cette explication qui explique aussi qu'il y ait une telle "épidémie" de sida en Afrique. C'est (entre autres) cette explication qui explique que l'"épidémie" de sida ait été déclaré en dernier lieu en Asie : voyez par exemple la Chine avec seulement (650.000 personnes séropositives [cliquez ici] pour une population de plus de quasiment 1,3 milliard d'habitants (et encore, il semble s'agir d'une estimation véritablement exagérée basée sur le modèle mathématique, viral et orthodoxe du sida). Voyez par exemple le cas du Japon (c'est peut-être un bien meilleur exemple finalement puisqu'il s'agit d'une nation occidentalisée pour la totalité, contrairement à la Chine) avec à peine 600 nouveaux cas de séropositivité en 2002 pour une population de 125 millions d'habitants, alors qu'il y avait 3000 nouveaux cas de séropositivité en France en 2003 pour une population deux fois moins importante : cliquez ici. Je suis sûr d'avoir oublié encore quelques autres critiques des tests HIV tellement elles sont innombrables (ainsi n'ai-je par exemple pas mentionné que les fabricants eux-mêmes [et pour cause, à la lecture des critiques absolument rédhibitoires qui précèdent !] annoncent dans les notices explicatives que leurs tests ne peuvent servir à affirmer ou infirmer la présence du HIV [!!! Et on continue encore à s'en servir pour condamner à mort !]), mais le lecteur - même un peu distrait - aura pu constater aisément à l'énoncé de cette liste de critiques, dont l'une ou l'autre se suffit d'ailleurs à elle-même pour dénier aux tests la moindre prétention à détecter ne fût-ce qu'un seul cas d'infection au (pseudo) HIV, que LES TESTS HIV NE DETECTENT JAMAIS UNE INFECTION AU SUPPOSE RETROVIRUS EXOGENE ET PATHOGENE QUE SERAIT LE HIV ! On notera également que toutes les objections énumérées ci-dessus à l'encontre des tests HIV et, partant, à la théorie virale du sida, peuvent en revanche toutes et sans exception aucune être expliquées par la théorie chimique (ou stress oxydatif) du sida. Mais tel n'est pas l'objet du présent post. N'empêche, devant cette seule considération, il est absolument inouï de continuer à marteler sans cesse que le sida est causé par le HIV ! * ET MAINTENANT, REVENONS PLUS SPECIFIQUEMENT AU PREMIER ARGUMENT DE CANDIDE POUR EN CONCLURE AVEC SA REFUTATION En résumé, si Candide veut démontrer que ces 56 cas sont bien plus qu'une simple coïncidence d'une infection au pseudo HIV mais bien la preuve réelle d'une infection au HIV, il doit tout d'abord démontrer que les tests HIV sont fiables, sensibles et spécifiques au HIV et donc qu'ils sont la preuve, ne fût-ce que dans quelques cas déjà (ce ne sera déjà pas si mal !), d'une infection virale. Etant donné qu'une telle preuve n'a encore jamais pu être faite par l'orthodoxie scientifique du sida (et je ne vois par conséquent pas comment Candide pourrait relever une telle gageure) et qu'il n'a donc pas été démontré que le test HIV est la preuve d'une infection au virus HIV, il est particulièrement vain et malvenu d'affirmer que ces 56 cas sont la preuve d'une infection au HIV ou, même de manière générale, que le HIV cause le sida ! Et comme si cela ne suffisait pas pour anéantir cet "argument" de Candide, il échet en outre de s'interroger avec quelle fréquence des tests HIV ont été effectués dans ces 56 cas. En effet, faisaient-ils des tests HIV régulièrement, toutes les semaines voire uniquement tous les mois, ou pire encore, l'ont-ils fait pour la première fois après l'exposition au pseudo HIV ? Car dans ces hypothèses, qui paraissent logiquement correspondre à la réalité, on peut parfaitement se dire qu'il est tout à fait possible qu'ils étaient déjà séropositifs avant même cette exposition au pseudo VIH vu qu'il est par définition et par exemple impossible d'exclure que l'une et ou l'autre des 70 facteurs dont question ci-dessus ait pu se produire entre le dernier test (par définition séronégatif) effectué avant l'exposition au pseudo HIV et celui (par définition séropositif) effectué après l'exposition au pseudo HIV. Et à supposer même qu'ils faisaient de tels tests chaque semaine (mais on rentre là carrément dans le domaine de la science-fiction), il ne peut en aucune façon être exclu que de tels facteurs aient pu se produire en quelques jours (hypothèse tout à fait vraisemblable vu le nombre [56] statistiquement sans signification au regard du nombre de cas de sida total aux USA depuis le début de l'"épidémie"). Comme le lecteur aura aisément pu le constater, ce premier argument de Candide, qui avait l'air d'être très impressionnant au premier abord mais qui après analyse ne l'est absolument pas, n'est pas prêt de faire florès ..... et un seul et unique sort ne peut que lui être réservé : le rebut, et sans le moindre ménagement d'ailleurs ! Passons maintenant au deuxième "argument" ou "preuve" de Candide selon laquelle le HIV causerait le sida. II) LA REFUTATION DU DEUXIEME ARGUMENT DE CANDIDE L'article de Katz et ses collègues en 1997, c'est : Katz M et al (1997). Projected incidences of AIDS in San Francisco: The peak and decline of the epidemic. Journal of Acquired Immune Deficiency and Human Retrovirology 16:182-189. On en trouve un résumé sur Pubmed : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...bstr&query_hl=3. Dans ce résumé, on apprend que les auteurs ont élaboré une projection du nombre de nouvelles personnes atteintes par le Sida chaque année à San Francisco. Ce modèle explique que le nombre de nouvelles personnes porteuses de la maladie en 1992 était de 3332 et qu'il diminuait progressivement chaque année, pour atteindre 1196 en 1998. L'étude conclut que le déclin de "l'incidence du Sida à San Francisco reflète la baisse considérable du nombre de personnes infectées une dizaine d'année plus tôt, et qui résulte d'un changement significatif des comportements à risque, notamment chez les homosexuels et les hommes bisexuels". C'est écrit noir sur blanc : la baisse du nombre de nouveau cas de Sida est imputable à une diminution des comportements à risque à San Francisco. Il s'agit donc d'un nouveau contresens et d'un nouveau mensonge par omission de la "réfutation". Pourquoi les auteurs du château de carte (euh... pardon, de la "réfutation") tiennent-ils absolument à nous dire que la diminution du nombre de nouveaux cas de contamination a diminué avant les campagnes de prévention ? Parce qu'ils aimeraient faire croire qu'il n'y a pas d'épidémie, que le VIH n'est pas un virus et que le Sida n'est pas une maladie contagieuse. Le problème, c'est que c'est faux. Une nouvelle fois, les auteurs de la "réfutation" ont fait mentir les travaux scientifiques qu'ils ont cités. Précisons que M. Katz est directeur du département de santé publique de San Francisco. Sur le site du département de la santé, on trouve plusieurs études relatives au VIH/Sida. Il y a par exemple ce document qui montre la progression de l'épidémie dans la ville de 1981 à 2000 (pdf). On trouve aussi les rapports épidémiologiques annuels sur le VIH/Sida à San Francisco. Je vous recommande par exemple le rapport 2004 (pdf), dans lequel on trouve, à la page 3, les courbes montrant l'évolution du nombre de nouveaux cas de Sida, du nombre de morts par Sida. On y voit que le nombre de morts par Sida chute de manière spectaculaire entre 1995 et 1997, grâce à l'efficacité des traitements par anti-rétroviraux. Il faudra un jour que les "dissidents" m'expliquent pourquoi les personnes qui se soignent avec des anti-rétroviraux ont une plus grande espérance de vie que les autres. La mauvaise foi des "dissidents" est sans borne. Car ils connaissent très bien les travaux de M. Katz. En effet, en 1999, trois d'entre eux (D. Pasquarelli, M. Bellefountaine, C. Maggiore) ont rencontré M. Katz, et ce dernier leur a expliqué en détail les raisons de la décrue du nombre de nouvelles contaminations à San Francisco. Ces trois "dissidents" avaient demandé à être reçu par le maire de San Francisco de l'époque, W. Brown. Celui-ci avait accepté d'entendre les arguments "dissidents", accompagné par M. Katz, en sa qualité de directeur du département de la santé publique de San Francisco. J'imagine que tout le monde ici connaît le compte-rendu de cet entretien, retranscrit sur ce site "dissident". Voici ce qu'a dit M. Katz à propos de cette fameuse étude de 1997 : "San Francisco a organisé des campagnes de prévention au début des années 1980, et ces campagnes ont permis de faire chuter le nombre de séroconversions de manière très importante". En fait, plus le mensonge est énorme, plus les "dissidents" se disent qu'on va le gober facilement. L'étude de M. Katz indique que la diminution des contaminations s'explique par une réduction des comportements à risque, suite aux campagnes de prévention menées à San Francisco. Les auteurs de la "réfutation" affirment, sans sourciller, que la baisse des nouvelles contaminations a eu lieu avant les campagnes de prévention. Et, comme ils ne manquent pas d'air, ils citent les travaux de M. Katz comme preuve de ce qu'ils avancent. Il fallait oser... Apparemment, ça a marché auprès de certains d'entre vous, puisque vous êtes nombreux ici à vous référer à cette "réfutation" de la déclaration de Durban. Combien d'entre vous ont pris la peine de vérifier que l'on ne vous racontait pas des salades ? Aixur, dois-je vraiment continuer à souffler sur le château de carte ? Ce texte, que vous appelez la "réfutation de la déclaration de Durban", est, je le répète, un tissu de mensonges, d'allégations et de contrevérités. Je ne comprends pas que vous continuiez à vous y référer. L'argument de Candide, de nouveau apparemment très pertinent, consiste finalement à dire que les "contaminations", tout particulièrement chez les gay, ont baissé grâce au safe sex. Le safe sex consistant à adopter des pratiques sexuelles évitant la (pseudo) transmission sexuelle du (pseudo) virus HIV, ceci est donc la "preuve" que le HIV est la cause du sida. Mais avant d'y venir, nous allons d'abord commencer par analyser ce qui a mis le feu au poudre et permis à Candide de littéralement se déchaîner, à savoir la circonstance que dans le cadre de la Réfutation de la Déclaration de Durban, les dissidents du sida auraient invoqué à mauvais escient une étude scientifique qui dirait exactement le contraire de ce qu'ils affirment dans la célèbre Réfutation de la Déclaration de Durban, en sorte que les dissidents du sida seraient des gens naturellement malhonnêtes ! 1) La réfutation du prétexte a) Notons tout d'abord et sans que cela réfute le prétexte invoqué par Candide que ce dernier a profité d'une faiblesse de la traduction française de la Réfutation de la Déclaration de Durban. En effet, dans la version française de la Réfutation de la Déclaration de Durban, il est écrit que le nombre de nouvelles infections par le VIH dans la ville de San Francisco (considérée comme "l'épicentre de l'épidémie") avait diminué dès la fin de 1982, c'est-à-dire bien avant le démarrage des premières campagnes de "safe sex" et même deux ans avant qu'on ne décide que le VIH était la cause probable du SIDA. Or dans la version originale de la Réfutation de la Déclaration de Durban, soit le version anglaise, que le lecteur trouvera en cliquant ici, il est écrit: Pour ma part, "peaked in 1982", je le traduirais par ""atteindre son apogée en 1982". En réalité, la traduction française de la Réfutation de la Déclaration de Durban introduit une nuance qui n'existe pas forcément dans la version anglaise. En effet, si on se base sur la version originale ("atteindre son apogée"), les cas de "contamination" n'ont pas forcément diminué dès la fin de 1982, mais on peut au contraire imaginer que les cas de contamination sont restés stables au cours des années qui ont suivi avant de diminuer. Mais peu importe. Je voulais simplement montrer qu'avant de faire de telles affirmations, Candide aurait bien dû analyser minutieusement les documents sur lesquels il s'appuie, et nous verrons bientôt que le défaut d'analyse de Candide est particulièrement flagrant. b) Personne ne semble avoir constaté cette évidence mais pour étayer cette accusation de malhonnêteté intellectuelle à l'encontre de la dissidence, Candide s'appuie uniquement ..... sur un résumé, pour le moins très succinct, de l'étude invoquée par la dissidence dans la Réfutation de la Déclaration de Durban. Un résumé ! Le résumé relatant en fait uniquement la conclusion principale (que je nie pas, j'en parlerai plus loin) de l'étude, à savoir que les "contaminations" ont baissé corrélativement à la diminution des comportements dit "à risque", c'est-à-dire corrélativement à la promotion du safe sex. Mais dites moi, où est-il précisé dans ce résumé qu'au cours de cette étude, les chercheurs en question n'auraient effectivement pas constaté cette incohérence flagrante à la théorie virale du sida, à savoir que les cas de "contamination" ont baissé dès la fin de l'année 1982 ? NULLE PART ! Candide a fait dire à ce résumé ce qu'il voulait entendre, et rien d'autre. Il a interprété ce résumé dans le sens qu'il souhaitait, et rien d'autre. En réalité, ce qui s'est passé est le suivant. Contrairement à l'orthodoxie du sida, la dissidence du sida, elle, prend le temps et le soin d'analyser les études invoquées à l'appui de l'abracadabrantesque théorie virale. Et la dissidence a pu constater qu'au cours de cette étude, les chercheurs en question ont constaté que les "contamination" avaient malgré tout diminué dès la fin de l'année 1982, soit avant même le début des campagnes de safe sex. Et c'est tellement "gros", comme le dit si bien Candide, que la dissidence du sida n'a légitimement pas pu s'empêcher de reprendre cette anomalie tellement "grosse" à la théorie virale et orthodoxe du sida dans la Réfutation de la Déclaration de Durban ! Et cette anomalie, ne pouvant justement être expliquée par le dogme du virus tueur et ayant en outre été constatée par l'orthodoxie du sida elle-même (!), cela ne peut que lui conférer encore davantage de poids ! La dissidence du sida n'allait quand même pas s'en priver ! En revanche, si Candide avait affirmé avoir lu, non le résumé très succinct de cette étude, mais bien l'intrégralité de cette étude et qu'il avait affirmé qu'il n'avait pas relevé dans cette étude cette incohérence flagrante à la théorie virale du sida, alors son accusation de malhonnêteté intellectuelle de la dissidence du sida aurait pu présenter quelque intérêt. Mais ce n'est pas ce qu'il a fait ! c) Mais il y a bien pire encore ! Et c'est bien ici que la malhonnêteté intellectuelle sans fin de Candide, je dis bien de Candide (!), est dévoilée de façon éclatante au grand jour. En effet, le résumé lui-même, et malgré son caractère fort succinct, étaye l'affirmation de la dissidence du sida selon laquelle les cas de contamination ont baissé dès la fin de l'année 1982, ce qui est pour le moins le comble du comble ! Je reproduis ci-dessous la partie de ce résumé y relative : En d'autres termes, le résumé précise lui-même que les cas de SIDA (il est bien écrit dans ce résumé "SIDA", et non "contamination" !) ont culminé en 1992 et ce en raison de la diminution des cas de "contamination" intervenue une décennie auparavant ! Si vous retranchez une décennie à 1992, vous arrivez à ..... 1982 ! Donc, le résumé lui-même laisse entendre que les cas de contamination ont effectivement baissé dès la fin de 1982. L'accusation portée par Candide à l'encontre de la dissidence du sida est non seulement purement gratuite, mais pire encore, mensongère. Nous voyons là quel est le vrai visage de l'orthodoxie du sida ..... et de Candide ! d) Mais il y a encore et toujours pire ! Et cela est d'ailleurs particulièrement cocasse. Nous venons de voir que l'accusation de malhonnêteté intellectuelle de la dissidence de sida émise par Candide est tout simplement un mensonge aveuglant. Nous venons de constater que contrairement à ce que Candide a essayé de nous faire croire, la dissidence du sida n'a en aucune façon invoqué une étude de façon malhonnête mais bien de façon parfaitement justifiée. En revanche, l'orthodoxie du sida, elle, est particulièrement coutumière du fait. Celle-ci, et contrairement donc à la dissidence du sida, a effectivement pour très fréquente habitude d'appuyer ses affirmations sur base d'études ..... qui n'ont strictement rien à voir avec ces affirmations ou qui les contredise au contraire. Ainsi, le document "The Evidence that ...... " du NIAID déjà cité ci-dessus lorsque j'ai abordé la question de l'absence totale de fiabilité des test HIV est à cet égard particulièrement éloquent puique ce procédé y est utilisé à de maintes reprises. Lorsqu'on sait que ce document ne constitue déjà que la moins mauvaise contre-argumentation à celle de la dissidence du sida, on est vraiment en droit de se demander comment l'orthodoxie du sida peut invoquer ce château de cartes (oh pardon .... La preuve que le HIV cause le sida) pour continuer à affirmer sans honte que la dissidence aurait tort. L'orthodoxie du sida est vraiment d'une mauvaise foi sans bornes. Rappelez-vous. Plus haut, à l'occasion de la réfutation du premier argument de Candide, j'avais littéralement repris le passage qui prouverait la fiabilité à 98% des tests HIV (mais nous avons déjà vu plus haut que cette fiabilité est égale ..... à 0%). Rappelez vous que dans le passage en question, l'orthodoxie du sida invoquait à l'appui de ces affirmations huit études. Voilà qui aurait dû être de nature à impressionner le lecteur, quoique nous étions déjà arrivés auparavant à la conclusion qu'il n'en était rien en tout état de cause. Mais savez-vous ce qu'il faut penser de ces huit références ? Et bien, vous allez le savoir. En effet, la dissidence du sida a examiné ces huit études et voici sa conclusion (vous la trouverez en cliquant ici) : En d'autres termes, sur les huit références invoquées, sept (!) n'ont strictement rien à voir avec leur assertion selon laquelle les tests HIV seraient fiables pour détecter pour détecter le pseudo HIV ! Quant à la huitième référence, qui est donc en réalité la seule pouvant être invoquée avec une certaine pertinence par l'orthodoxie du sida, les conclusions sont tout simplement biaisées en raison du parti pris de ces auteurs, à savoir que le sida est "forcément et naturellement" causé par le HIV. Ce cas permet d'illustrer combien, et contrairement à l'orthodoxie du sida, la dissidence du sida, elle, étudie et épluche dans ses moindres détails les études et articles scientifiques invoqués à l'appui du dogme du virus tueur, et ce pour bien mettre en évidence les incohérences criantes de ce dogme. Avant de faire des reproches, au surplus non fondés comme nous venons de le voir, Candide aurait d'abord été mieux inspirer de faire le ménage dans son propre camp. Et pour paraphraser Candide, je reprends les termes qu'elle a utilisés tout à la fin de son post pour qualifier - à tort, nous n'arrêtons pas de le démontrer tout au long du présent post - la Réfutation de la Déclaration de Durban, mais cette fois-ci, pour l'appliquer à cette soi-disant contre-argumentation du NIAID : ""Ce texte, que vous appelez la "La preuve que le HIV cause le sida", est, je le répète, un tissu de mensonges, d'allégations et de contrevérités. Je ne comprends pas que vous continuiez à vous y référer" ! Nous venons donc de démontrer que le prétexte invoqué par Candide pour accuser la dissidence du sida de malhonnêteté intellectuelle est complètement bidon. Reste toutefois à réfuter l'argument proprement dit de Candide. C'est ce que nous allons justement faire. 2) Et la réfutation de l'argument proprement dit ! En effet, Candide a profité - à tort, nous le savons maintenant - de ce prétexte pour faire l'énumération pour le moins fastidieuse de diverses études scientifiques prouvant que les "contaminations" chez les gay (et au surplus, dans la population hétérosexuelle en général, quoique selon l'orthodoxie du sida elle-même, les risques de transmission hétérosexuelle de la séropositivité frisent le zéro absolu) ont baissé corrélativement à la généralisation de la pratique du safe sex. Ce serait donc la preuve que le sida est causé par le HIV, le safe sex étant l'ensemble de pratiques sexuelles de nature à éviter la transmission du supposé rétrovirus HIV. Pour réfuter cette "preuve", est-il réellement nécessaire que je m'évertue à lire ne fût-ce qu'une seule des études invoquées ? Non, bien sûr, car toutes les études en question pèchent par le même biais, à savoir que les tests dits "HIV" qui seraient positifs révéleraient une infection au virus HIV. Or, à l'occasion de la réfutation du premier argument invoqué par Candide à l'encontre de la dissidence du sida, nous avons déjà pu constater que les tests HIV ne détectent JAMAIS une infection au HIV. Ces tests ne font que détecter des protéines qui, par l'effet du stress oxydatif, se multiplient à tel point qu'ils dépassnt un seuil arbitrairement défini et au-delà duquel vous êtes déclaré séropositif. Pour en avoir la confirmation définitive et en finir avec ce pseudo argument, il suffit de se demander si l'utilisation du préservatif (dont, je le répète, la dissidence du sida ne nie en aucune façon l'utilité, ne fût-ce déjà que pour amoindrir les risques de contracter une - véritable - MST; donc, ne vous méprenez pas sur mes propos) n'aurait pas été de nature à diminuer fortement les causes de séropositivité (ce terme est bien entendu beaucoup plus exact que "contamination"), c'est-à-dire de stress oxydatif, chez les gay. Et la réponse est oui, bien sûr. Mais avant d'énumérer lesdites causes, je dois d'abord prévenir le lecteur aux yeux et oreilles bien chastes que les explications qui vont suivre seront parfois bien crues. Nous ne pouvons toutefois pas faire autrement si nous voulons définitivement enterrer en bonne et due forme cet argument de Candide. Donc, allons y franchement. La pratique du safe sex a effectivement permis de supprimer ou, à tout le moins, de fortement amoindrir au moins trois causes fréquentes de séropositivité ou stress oxydatif chez les gay. Nous aurons par ailleurs l'occasion d'aborder très brièvement une quatrième cause de séropositivité chez les gay, assurément la cause la plus grave et de nature à causer un sida déclaré, quoique cette quatrième cause n'ait qu'un rapport indirect avec la pratique du safe sex. Je les citerai par ordre de gravité, étant entendu que la première, quoique constituant une cause fréquente de séropositivité, ne saurait causer le sida, l'histoire de l'homosexualité l'ayant démontré. a) L'effet immunodépresseur mais transitoire de l'administration rectale du sperme (pour le "passif" donc) Il va sans dire que l'usage du préservatif empêche cette forme de sexualité d'aller jusqu'au bout ! (lol) Or il a déjà été démontré à diverses reprises par la dissidence du sida que l'administration rectale de sperme au "receveur" est de nature à causer un stress oxydatif provisoire. Je renvois à cet égard et entre autres à divers posts de Cheminot en personne (voyez par exemple ce premier post, ce deuxième post et ce troisième post), et je le cite d'ailleurs textuellement : En d'autres termes, l'orthodoxie du sida a réussi à faire croire à nombre de gay qui avaient pour seul tort d'avoir une sexualité épanouie (lol) d'avoir été contaminés par un rétrovirus sexuellement transmissible ! Voilà une affirmation pour le moins éhontée et révoltante ! Et si cette circonstance est susceptible de causer un test dit "HIV" positif, il ne saurait bien sûr causer à lui seul du moins un sida déclaré, vu l'histoire de l'homosexualité. Car les autres causes de séropositivité que j'énumère ci-après et que la pratique du safe sex a utilement empêché ou presque empêché de se produire sont en revanche bien plus graves et de nature à causer, quant à elles, un sida déclaré. Le problème est que les tests dit "HIV", qui ne sont en fait que des tests de stress oxydatif, ne font pas dans la nuance et ne permettent pas de faire la distinction entre une séropositivité légère, moyenne, forte, très forte, voire même mortelle à court terme. Raison pour laquelle dans divers posts antérieurs (voyez par exemple ce post-ci), j'ai émis la suggestion que les tests de stress oxydatif que sont les tests dits "HIV" soient retravaillés en dehors de toute psychose et hystérie collectives du sida pour devenir une sorte de "test de cholestérol de l'immunité", ce qui serait bien entendu plus utile. b) Les MST Evidemment, l'usage des préservatifs est un moyen efficace pour prévenir la transmission de MST. Or les MST sont connues pour causer un fort stress oxydatif à l'organisme. Il n'est dès lors pas étonnant qu'avec les campagnes de safe sex, les cas de "séropositivité" aient fortement diminué. Il est piquant de constater qu'il arrive fréquemment et actuellement de constater l'existence de - véritables - MST à l'occasion de tests HIV. Ce n'est évidemment pas un hasard. Les MST en question sont par elles-mêmes de nature à rendre positif le test de stress oxydatif qu'est le test "HIV" ! Nul besoin d'un rétrovirus pour expliquer cela. Notons que la presque totalité des gay morts du sida, du moins jusqu'en 1987 et à l'apparition de l'AZT qui a permis à bien davantage de gay (et fait nouveau à de nombreux hétérosexuels) de mourir du sida sans même rencontrer les causes de séropositivité énumérés sub b), c) et d) avait justement la particularité de souffrir justement de MST à répétition, outre les deux autres facteurs de séropositivité énumérés ci-dessous et dont l'implication dans le risque de survenance d'un sida déclaré est encore bien plus fort. c) La "débauche" anale passive Il va de soi que la réception par le gay passif de multitudes de protéines étrangères (sans même tenir compte du sperme donc) d'innombrables partenaires sexuels différents est de nature à causer à causer un fort stress oxydatif et, partant, un test dit "HIV" positif. Cela est bien entendu rendu impossible par la pratique, toujours à recommander bien sûr, du safe sex. Là également, il s'agissait d'un trait commun à nombre gay morts du sida durant les premières années de l'"épidémie". C'était des partouzeurs exceptionnels ! lol Nombre d'entre eux avaient eu durant leur vie plus de 1000 partenaires sexuels différents ! d) Les drogues récréationnelles Evidemment, le safe sex n'a en soi pas formellement provoquer une diminution de la consommation de drogues récréationnelles chez les gay. Cependant, l'usage de ces drogues étaient corrélé avec la cause de séropositivité citée ci-dessus sub c) puisqu'à l'effet de pouvoir continuer leur vie sexuelle effrénée, de nombreux gay avaient recours à la consommation de drogues récréationnelles (tels que le poppers) pour pouvoir tenir ce rythme sexuel pour le moins infernal. A de rarissimes exception près, jusqu'en 1987 (apparition de ce médicament "fabuleux" qu'était et est encore l'AZT), tous les gay morts du sida étaient consommateurs de drogues récréationnelles. Lisez à cet égard et par exemple l'article suivant : Les causes chimiques des diverses épidémies de SIDA). Voilà, la réfutation du deuxième "argument" de Candide se termine ici. Nous avons clairement démontré que celui-ci ne démontrait en rien que le sida était causé par le HIV, et que cette apparente preuve de Candide ne résultait uniquement de son seul effet d'annonce ! CONCLUSION Au cours de ces dernières semaines, grâce à cet espace d'expression qu'est ce forum et grâce entre autres aux nombreux posts de Cheminot, que je remercie encore au passage, j'ai été amené à mieux comprendre encore l'argumentaire de la dissidence du sida. J'ai pu constater que s'il était indispensable d'avoir une formation scientifique pour réfuter des arguments de l'orthodoxie du sida, de nombreux arguments de celle-ci peuvent toutefois être réfutés par la simple logique, ce qui n'est bien entendu pas l'apanage des seuls scientifiques. C'est justement ce que j'ai tâché de démontrer dans le cadre du présent post. Il est à cet égard particulièrement malfaisant d'affirmer qu'à défaut d'avoir une formation scientifique, on ne saurait avoir voix au chapitre et qu'on serait obligé de croire sur parole les innombrables stupidités de l'orthodoxie du sida, faute d'avoir la formation scientifique adéquate. J'ose enfin espérer que maintenant, les quelques personnes qui auraient encore pu être impressionnés en son temps par les propos pour le moins mensongers de Candide ne le sont maintenant plus. La seule logique a permis de réfuter les arguments de celui-ci !
  13. Je signale aux lecteurs intéressés que j'ai rédigé un long post - par lequel je crois avoir clairement démontré que les tests dit "HIV" ne détectent JAMAIS une infection virale dénommée "HIV", - et à l'occasion duquel je réfute les deux (bien seuls) arguments essentiels apparemment très pertinents invoqués à la page 97 de ce topic à l'encontre de la dissidence du sida, par l'orthodoxie du sida, en la personne de Candide, arguments qui semblent avoir été jusqu'ici irréfutés. Pour lire ledit post, le lecteur est invité à cliquer ici. Merci
  14. Pour commencer, il faut déjà savoir comment les cas de sida sont diagnostiqués en Afrique (voyez par exemple et entre autres cet article-ci). En effet, les méthodes de détection des cas de sida en Afrique sont absolument différentes de ce qui a cours dans les pays occidentaux, et reposent essentiellement sur deux méthodes, qui expliquent à elles seules (mais il y a aussi d'autres facteurs) que les statistiques de sida en Afrique soient complètement bidon ! 1) LA DEFINITION DE BANGUI Il faut en effet savoir qu'en Afrique, les cas de sida ne sont que très rarement détectés à l'aide des tests Elisa et Western Blot, ceux-ci étant entre autres jugés trop chers pour les finances des Etats africains. Par conséquent, les cas de sida en Afrique sont détectés à l'aide de la Définition de Bangui, datant de 1985. Les cas de sida sont détectés à partir de symptômes cliniques ..... qui ont la particularité d'être très fréquents en Afrique ! L'orthodoxie du sida considère qu'il y a un sida africain lorsque le malade présente simultanément et au moins deux symptômes majeurs et un symptôme mineur. Symptômes majeurs - Une perte de poids de plus de 10%: - Une fièvre persistante ou récurrente pendant un mois au moins; - Une diarrhée chronique pendant un mois au moins. Symptômes mineurs - Toux durant au moins un mois; - Herpès cutané; - Démangeaisons généralisées; - Candidose; - Affection des ganglions lymphatiques. Si un africain a le malheur de présenter en même temps deux de ces symptômes majeurs et un de ces symptômes mineurs simultanément, et bien, il a le sida ! (remarque : si un africain souffre d'un sarcome de Kaposi ou d'une méningite à cryptocoques, l'orthodoxie du sida ne tient pas compte de ces symptômes, et il est immédiatement diagnostiqué comme souffrant du sida, sans même faire de "tests" de détection "virale"). On constate tout de suite l'absence patente de critères scientifiques à ces symptômes, ceux-ci n'étant rien d'autre que les symptômes de nombreuses maladies endémiques en Afrique, résultant tout simplement de la pauvreté et/ou manque d'hygiène et de la manultrition en général : tuberculose, malaria, lèpre, etc... En d'autres termes, un africain souffre au départ d'un début de tuberculose ou de malaria : selon l'orthodoxie du sida, il souffre effectivement de la tuberculose ou de malaria. En revanche, si ce même africain est ultérieurement à un stade plus avancé de ces maladies et qu'il a le malheur de réunir certains des symptomes précités, et bien, l'orthodoxie du sida affirme qu'il souffre du sida car soi-disant contaminé par le VIH ! Mais en pratique, il souffre toujours de la tuberculose ou de la malaria mais à un stade plus avancé de la maladie ! Rien à voir avec le VIH ! Certes, si on fait parfois un test Elisa à certains de ces cas de sida africain, ce test peut effectivement parfois réagir positivement. Mais les maladies en question (tuberculose, malaria, etc...) ainsi que la malnutrition en général expliquent à elles seules la survenance d'anticorps élevés (non spécifiques au pseudo VIH, rappelons le) que les tests dits "HIV" détectent. Bref, par ce biais-là, on a fait croire à ces "sidéens" africains et au monde en général qu'il y a une épidémie de sida en Afrique, au surplus hétérosexuellement transmissible ! En réalité, il n'en est rien. Il y a surtout une épidémie de pauvreté en Afrique, qui permet de perpétuer ces maladies chroniques en Afrique. Et on ne doit pas en douter, les gouvernements africains étant invités à destiner leurs maigres ressources financières, non à lutter contre la pauvreté, la manultrition et le manque d'hygiène, mais bien à acquérir ces si "bénéfiques" drogues antivirales, les cas de "sida" africain, au sens de la définition de Bangui, ne pourront qu'augmenter et donner ainsi l'impression que l'épidémie de sida n'est plus "contrôlée" du tout en Afrique ! Notons que c'est entre autres "grâce" à la définition de Bangui que l'orthodoxie du sida a pu prétendre que le sida africain touche aussi bien les femmes que les hommes, contrairement au sida des pays occidentaux. 2) LA METHODE SENTINELLE La deuxième méthode utilisée en Afrique pour évaluer les cas de sida consiste à faire passer un test HIV aux femmes enceintes fréquentant les hôpitaux, et puis à extrapoler les résultats ainsi obtenus par des méthodes mathématiques acrobatiques à l'ensemble de la population africaine, hommes et enfants compris ! Or le fait d'être enceinte est en soi une source de "fausse" séropositivité, à tel point d'ailleurs que dans les pays occidentaux, il est généralement déconseillé de faire passer de tels tests aux femmes enceintes. Mais pour l'Afrique, ce serait en revanche une très bonne méthode ! Quand en plus on sait que pour les tests dits de "confirmation", soit les tests Western Blot, il suffit que deux des dix bandes réagissent positivement (alors que pour les pays occidentaux, c'est tantôt trois bandes, tantôt quatre bandes ![sinon, à part ça, les tests de détection "virale" sont très fiables ! lol Il suffit que vous changiez de frontière pour ne plus être considéré comme porteur d'un virus dangereux et sexuellement transmissible]), on aura définitivement compris que les statistiques des cas africains de sida relèvent de la pire forme de mensonge qui soit ! Et c'est - entre autres - "grâce" à ces deux méthodes de détection que les africains se croient "contaminés" par un virus mortel sexuellement transmissible, alors qu'ils ont pour seul tort de souffrir de manultrition, source de nombreuses maladies remplissant les symptômes de la définition de Bangui et expliquant déjà à elles seules que les test HIV (du moins, les rares fois où elles sont faites) puissent se révéler positives ! Voilà. Il s'agissait d'une introduction au sujet.
  15. Etant au boulot, je n'ai pu que survoler pendant une quinzaine de minutes ce document de "L'Empire (du sida business) contre-attaque". L'un des principaux contre-arguments phares qui est brandi à d'innombrables reprises par l'orthodoxie tel un leitmotiv consiste à dire que de nombreuses études récentes ont prouvé que ceux qui sont "infectés par le virus" évoluent plus rapidement vers la mort, qu'ils soient pauvres ou non, quel que soit leur style de vie, etc... En faisant ainsi comprendre que le style de vie (drogues récréationnelles par exemple) ou la pauvreté (le cas de l'Afrique par exemple) ne sont pas les causes du sida, mais bien le virus. Je me demande bien en quoi ce contre-argument, brandi tel un bouclier, constitue une réfutation des thèses dissidentes. En effet, la dissidence, entre autres représentée par le "Perth Group", ne cesse de préciser dans leur argumentation que le système immunitaire des HIV+ est affaibli en raison du stress oxydatif subi par ceux-ci et évoluent plus rapidement et naturellement vers la mort. Bref, ce contre-argument de l'orthodoxie du sida, ne fait que conforter davantage l'argumentaire dissident. Et dans mon rapide survol, plusieurs contre-arguments invoqués relèvent du même acabit. En revanche, sur certains points mais accessoires de l'argumentation dissidente, l'orthodoxie semble réfuter efficacement, mais franchement, cela ne remet nullement en question le bien-fondé de l'essentiel de l'argumentaire dissident. Bref, rien de bien interpellant finalement dans cette contre-attaque de l'Empire, du moins à l'occasion d'un premier survol de celui-ci.
  16. J'ai examiné la proposition de plan, assurément intéressante, de Psyence. Mais cette proposition de plan correspond déjà approximativement au plan de la Réfutation de la Déclaration de Durban, réfutation pour le moins cinglante et dont la validité n'a pu que se confirmer au cours de ces dernières années (à l'époque, en 2000, on était - par exemple - bien loin de connaître l'ensemble de ce qu'on appelle pudiquement les "effets secondaires" des drogues dites "antivirales", on n'en connaissait que les tout premiers). Par conséquent, je suggère qu'au début de la synthèse collective, il soit renvoyé à cette Réfutation. Evidemment, je serai accusé par certains d'un fort parti pris. Mais ce n'est pas à moi qu'il faut en faire le reproche mais à l'orthodoxie du sida, dont on attend toujours à ce jour la Réfutation à la Réfutation de la Déclaration de Durban, ainsi qu'à la presse qui, à de rarissimes exceptions près, ne parle pas de l'existence de contestations toujours plus fortes à l'encontre du présupposé viral du sida. Et évidemment, comme quasiment personne n'est au courant de l'existence d'une dissidence sur le sujet, l'orthodoxie du sida n'a guère de raison de se fatiguer à tenter de prouver que la dissidence aurait tort, à supposer bien sûr que l'orthodoxie du sida le puisse. Et d'ailleurs, à supposer que celle-ci l'eût pu faire, cela ferait bien longtemps qu'elle l'aurait fait, ne fût-ce que pour mettre définitivement un terme à l'existence de cette dissidence. Quod non, justement.
  17. Soit la bienvenue "laurie" et merci pour ton témoignage de "survivante à long terme". Il illustre a contrario l'effet nocebo résultant de l'annonce de la séropositivité. Contrairement à la majorité des séropos, tu n'as jamais accordé d'importance à l'annonce de cette séropositivité, faute d'avoir compris ce que cela voulait réellement dire. En réalité, ce fut une grande chance pour toi ! Manifestement, ton test positif ne résultait pas d'un style de vie néfaste prédisposant au sida, mais bien de circonstances ponctuelles, à savoir bactrim et autres antibiotiques. En revanche, si tu avais cru que cette séropositivité résultait d'un virus, tu aurais été irrémédiablement emportée dans la spirale de la mort résultant de la croyance en la cause virale du sida, bref, l'effet nocebo dans ce cas-ci. En définitive, tu dois continuer comme tu l'as toujours fait, à savoir ignorer définitivement ce fichu test dit "HIV", qui, dans ton cas, n'avait pas les conséquences dramatiques de ceux dont la séropositivité résulte d'un style de vie néfastement durable. Encore merci pour ce témoignage !
  18. A moins bien sûr de souffrir de stress oxydatif (ce que révélera l'état clinique du séropo), auquel cas la baisse des T4 traduira le plus souvent une poursuite de l'aggravation du stress oxydatif et l'augmentation du risque de souffrir d'une maladie "exotique" du sida.
  19. Mais Pierrot, ces études ne sont pas si vieilles que ça. En revanche, elles ne sont pas nombreuses, lorsqu'on les compare à celles faites sur les T4 des séropos. Mais à ma connaissance, la stratégie de comportement des T4 chez les séronegs ne me semble pas avoir évolué au cours de ces dernières années (lol). Quant à dire que ces études ne seraient pas pour toi, c'est bien toi qui le dis, car tu présupposes que tu es encore séropo. Mais une chose est claire : je ne ferai jamais de tests HIV chez ton médecin. Vu qu'il partage la conception du sida viral, tu peux être certain que le test ne sera pas réellement anonyme et qu'il sera de toute façon positif ! Ton ami homéopathe me semblait pour ma part de bien meilleur conseil, du moins d'après le peu que tu en as dit.
  20. C'est ce que j'ai essayé de démontrer dans mon long post. Des tas de facteurs influent sur la baisse des T4 et de prime abord, effectivement, les mesurer n'a pas vraiment une grande utilité. C'est entre autres pour çà que de telles mesures sont rarement effectuées chez les séronégatifs. Mais il y a une très nette différence avec les séropos qui souffrent de stress oxydatif. Dans ce cas-là, mesurer les T4 est un véritable indicateur fiable du risque de survenance de maladies exotiques chez le séropo. Plus les T4 baissent, plus cette baisse traduit une aggravation du stress oxydatif et, partant, une aggravation du risque de survenance de maladies exotiques de plus en plus grand graves. Tout n'est pas forcément à jeter dans la théorie orthodoxe du sida. Presque tout, certes, mais certainement pas la mesure des T4 si le séropo n'a pas remédié à son problème de stress oxydatif démesuré. Or, de prime abord, quasiment seuls les "survivants à long terme" ont remédié à ce problème et ce sont bien les seuls séropos qui à mes yeux n'ont pas de raisons particulières de s'inquiéter de la baisse de leurs T4 ou tout simplement de les mesurer. Mais Pierrot n'étant pas dans ce cas-là (stress oxydatif), la mesure de ces T4 ne me semble effectivement pas constituer un marqueur présentant une quelconque fiabilité quant au risque de prédiction d'une maladie quelconque chez lui. Le stress oxydatif est un phénomène naturel qui touche n'importe qui et avec lequel nous vivons tous très bien. En effet, l'organisme humain dispose déjà en soi d'antioxydants naturellement produits par le corps humain pour lutter contre le stress oxydatif. Des facteurs peuvent toutefois faire en sorte que le corps humain ne dispose plus assez de moyens pour combattre naturellement le stress oxydatif. L'un de ses facteurs, c'est justement la vieillesse, l'organisme humain ne développant plus par lui-même d'assez antioxydants pour lutter contre le stress oxydatif. C'est pourquoi, plus on vieillit, plus il est recommandé de prendre des antioxydants à titre de compléments alimentaires. Mais le stress oxydatif dont souffre les personnes âgées est absolument sans aucune mesure avec celui des séropos et encore plus avec celui des sidéens. La preuve en est que la vieillesse en elle-même n'entraîne pas la séropositivité. Chez les séropositifs, il s'agit d'un hyper stress oxydatif résultant de facteurs extérieurs entraînant une hyperstimulation du monoxyde d'azote (rien de tel et d'aussi grave se produit chez les personnes âgées) : l’inhalation de nitrite d’amyle (poppers) et autres drogues, l’abus d’antibiotiques dont les produits de catabolisme sont le monoxyde d'azote et des nitrosamines, l’absorption d'une multitude de protéines étrangères résultant d'une multitude de coïts anaux non protégés avec de nombreuses personnes différentes (la débauche anale passive "non protégée" pour faire simple), .... Chez les séropos, ce stress oxydatif est à ce point hyper élevé qu'il entraîne des infections "exotiques" à répétition et de plus en plus graves (que justement la baisse des T4 permet de prédire), ce qui en fait l'extrême gravité de la maladie, et aboutit à la mort si rien n'est fait pour y remédier. Ce stress oxydatif est d'ailleurs tellement élevé au moment du test dit "HIV" que celui-ci devient positif. Tellement élevé et de plus en plus élevé qu'il peut même parfois devenir irréversible. Heureusement (et je le pense dans ce cas-ci), certaines drogues dites "antivirales" permettent de remédier provisoirement à ce problème de stress oxydatif devenu irréversible. Bref, le stress oxydatif dont souffre les séropos et surtout les sidéens n'a qu'un rapport très éloigné avec celui des gens âgés et de la population en général.
  21. Comme tu as pu le constater à la lecture de cet article scientifique anglais, qui fait en réalité la synthèse de toutes les études existantes sur les causes de baisse en général des T4 chez les séronégatifs, tu auras constaté que la baisse APPARENTE (car les TH2 s'en vont dans les tissus et les TH1 ne sont pas détruits) des T4 en dessous de 200, et même très largement en dessous, peut avoir de nombreuses explications, forcément en dehors de tout stress oxydatif (puisqu'ils sont séronégatifs), tel que justement une pratique de sport intensive ou le stress psychologique répété ou de longue durée. Il n'y absolument aucune raison de penser qu'un séropo ne souffrant plus de stress oxydatif ne puisse pas également souffrir de ces mêmes facteurs, si ce n'est que la baisse APPARENTE (car les TH1 ne sont plus détruits) est bien plus prononcée en raison des dégâts causés auparavant par le stress oxydatif du séropo sur les TH1 de ce dernier. Et je pense que ces dégâts laissent malgré tout des séquelles pour ce qui concerne les TH1, en sorte que les baisses de T4 sont APPAREMMENT bien plus prononcées chez un séropo survivant de longue durée (c'est-à-dire ne souffrant plus de stress oxydatif) que chez un séronégatif en cas de survenance de l'un et/ou l'autre de ces facteurs causant une baisse APPARENTE des T4. L'important est en réalité de faire le nécessaire afin de ne pas perdre le capital restant des TH1 qui reste suffisant pour vivre sans infections "exotiques" pour autant que le "survivant de longue durée" vive une vie encore plus "saine" qu'un séronégatif. Concernant ma suggestion t'invitant à repasses un test HIV vraiment anonyme, je le maintiens. Mais c'est bien sûr une arme à double tranchant. Si ce test est négatif ou encore douteux, cela contrebalancera certainement le choc psychologique (mais injustifé donc à mon sens comme précisé dans mon précédent post) résultant de la baisse APPARENTE de tes T4. En revanche, s'il s'avère qu'il est positif (ce qui pourrait parfaitement être expliqué par ton stress actuel), cela pourrait au contraire aggraver le stress que tu subis maintenant. A toi donc de voir si le jeu en vaut la chandelle. Mais en tout cas, si j'étais dans ta situation (mais ce n'est pas le cas bien sûr), je ne pourrais pas m'empêcher de passer un test anonyme, surtout quand je sais que la recherche de la protéine p24 est déjà négative. Tiens nous au courant de ce qui se passe !
  22. POUR TENTER D'Y VOIR PLUS CLAIR AVEC LA MESURE DES T4 Attention : il s'agit ici d'une hypothèse de travail, pas de l'évangile (lol), quoique j'ai fort tendance à croire ce que j'ai écrit dans ce post ! Première observation : Je serai amené à reproduire des passages de certains articles et pour permettre au lecteur d'y voir un peu plus clair, je reprendrai certains de ces passages en gras. Deuxième observation : Je serai souvent amené à utiliser l'expression "maladies exotiques". Pour savoir pourquoi, j'invite le lecteur à relire préalablement ces posts-ci : un, deux, trois, quatre et cinq. I) UN RAPPEL DE BON ALOI : TOUS LES SIDEENS QUI MEURENT ONT DES T4 TRES BAS, VOIRE MEME PLUS AUCUN Au début de l'apparition de l'épidémie du sida en 1981 (en réalité, j'ai pu lire qu'il y avait déjà eu au cours des années qui ont immédiatement précédé quelques autres cas de maladies "exotiques" chez de jeunes gay, mais à l'époque, on n'avait pas encore "pensé" à faire des relations, et encore moins à parler d'une pseudo épidémie), ce qui devint très rapidement l'orthodoxie du sida avait constaté que ce qu'il y avait entre autres de communs chez les sidéens était un taux bas et parfois même très bas de T4. L'orthodoxie du sida en a très rapidement déduit que plus les T4 baissent, plus les risques de survenances de maladies "exotiques" augmentent. L'orthodoxie tâche en outre d'"affiner" ce "marqueur" du risque de sida en mesurant également le taux des T8, le rapport T4/T8, etc... Sur base de ces mesures, et tout particulièrement de la chute des T4", l'orthodoxie du sida ne ménage pas ses efforts pour enjoindre les séropos dont les T4 "ont l'air" de baisser, de consommer au plus vite des drogues dites "antivirales" pour éviter la survenance de ces maladies "exotiques". Là où l'orthodoxie du sida atteint les records de cynisme, c'est lorsque elle donne exactement le même conseil à des séropos dont les T4 ont l'air de baisser très fortement alors qu'ils sont en forme olympique; à défaut de recourir sans tarder aux "cocktails thérapeutiques, leur vie serait en grave danger puisque la mesure des T4 serait un indicateur infaillible. Depuis cette époque et jusqu'à ce jour, la mesure des T4 serait donc devenue un instrument de fort grande utilité pour prédire le risque de survenance de maladies exotiques chez les séropos.D'où l'angoisse de la quasi-totalité des séropos au sujet de la mesure des T4, et tout particulièrement de la baisse de ceux-ci (angoisse multipliée bien sûr par l'effet nocebo, ce qui fera qu'amplifier encore plus le, phénomène de la baisse des T4). Et leur souci de vouloir les mesurer et, le cas échéant, de les faire remonter coûte que coûte et par n'importe quel moyen. Mais est-ce aussi simple que cela ? Est-il raisonnable de recommander des trithérapies sur base de ce marqueur (avec celui de la pseudo charge virale) ? Selon moi, la réponse est indubitablement : NON ! Avant de recommander la prise de drogues dites antivirales à un séropo, il convient selon moi d'approcher la personne dans sa globalité, et non en fonction des deux soi-disant "marqueurs" précités. Les seuls vrais marqueurs véritables sont les marqueurs "cliniques", c'est-à-dire de véritables et réelles symptômes de maladies, et dans lesquels il conviendra de tenir compte du "style de vie" du séropo, outre son environnement psychologique et social. La circonstance qu'un séropo souffre de manière répétée et de plus en plus grave de maladies opportunistes malgré un retour à une vie "saine et équilibrée" est par exemple et à mon sens (et hélas d'ailleurs) un "bon" prétexte pour devoir recourir aux drogues dites antivirales. Bref, on est extrêmement loin de la nécessité de mesurer les T4. Et c'est ce que je vais essayer de démontrer. II) UNE PETITE INTRODUCTION A CE SUJET Dans un post antérieur (cliquez ici), j'avais déjà écrit entre autres ce qui suit. Mais tâchons maintenant d'aller bien plus loin encore. III) LE DECLIC Au hasard d'une lecture, à savoir dans cet article-ci, le passage suivant n'a pu que m'interloquer et confirmer mes doutes quant à l'utilité - relative - de mesurer les T4 : A lire ce passage, on aurait l'impression que c'est par accident que les T4 se retrouvent dans le sang. Evidemment, il s'agit encore ici d'une atteinte à un des dogmes fondateurs de la théorie orthodoxe du sida. Ceci étant, comme Lanka se réfère à une publication scientifique qui date de 1981, je me suis dit qu'il serait pour le moins souhaitable d'obtenir des confirmations scientifiques concordantes et plus récentes, ce que j'ai justement tâché de faire comme nous allons le voir. IV) LA CHUTE DES T4 NE PRECEDE PAS LA SURVENANCE D'UNE MALADIE, ELLE LA SUIT AU CONTRAIRE ! Je vais commencer par citer certains (et parfois longs) passages de deux articles, avec quelques brefs commentaires. 1) "Low CD4+ T Lymphocyte counts" (cliquez icipour le lire, mais c'est hélas en anglais) Il ressort entre autres de cet article de synthèse que des taux très bas de T4 sont monnaie courante chez les séronégatifs, même en dessous de 200 T4. Et plus ces maladies (ou toute autre cause autre qu'une maladie d'ailleurs) durent, plus les T4 diminuent. Une multitude de facteurs peuvent expliquer la chute des T4, comme par exemple : lorsqu'on se trouve en soins intensifs, pneumonie, abcès, ulcère, mononucléose, le simple fait d'être porteur d'un virus quelconque ou presque est susceptible d'entraîner une baisse des T4, quand bien même on vit très bien avec ce ou ces virus, hémophilie, drogues (bien sûr, on n'est pas étonné), blessures ou brûlures sévères, le simple fait d'être enceinte, le surentraînement, la malnutrition ou le simple fait de ne pas se nourrir correctement, la variation journalière des T4 (donc sur la même journée, ils peuvent assez fortement augmenter ou diminuer), le simple stress psychologique, l'isolement social, les drogues dites antivirales (on n'en est évidemment pas étonné), etc... etc... En réalité, comparé aux séropos dont on traque à chaque instant la baisse éventuelle des T4, peu d'études ont été faites sur les niveaux des T4 chez les séronégatifs. Mais sur base ce peu d'études, on peut déjà être absolument sûr qu'il existe une multitude de facteurs pouvant expliquer une baisse parfois très durable des T4 chez les séronégatifs. Et certains de ces facteurs sont d'ailleurs parfaitement inconnus. J'en veux pour preuve les "pas si rarissimes que ça" séronégatifs qui vivent avec des T4 en dessous de 200 sans qu'aucune explication puisse être fournie malgré tout et qui peuvent parfaitement vive comme n'importe qui, sans trop de "bobos", et pour lesquels un nouveau concept a été inventé : ils "souffrent" de lymphocytopénie des cellules T ou CD4 idiopathiques (car s'ils avaient eu le malheur d'être déclarés séropos, ils étaient immédiatement diagnostiqués comme "souffrant" du sida). Ce petit échantillon de facteurs expliquant une baisse parfois très prononcée des T4 (dont même en dessous de 200, et même très largement en dessous) n'a certainement pas pour but de nier le fait que le stress oxydatif ne causerait pas une baisse des T4 mais bien de prouver qu'une baisse des T4 chez des personnes ne souffrant pas ou plus de stress oxydatif peut bien entendu survenir de façon prolongée, car il existe une multitude de facteurs autres que le stress oxydatif qui peuvent causer cela. Or ce qui cause le sida, c'est uniquement le stress oxydatif, nous le savons déjà. Si les T4 baissent pour l'une et/ou l'autre des facteurs autres que le stress oxydatif, c'est sur ces facteurs qu'il faut agir. Or ces facteurs n'ayant rien à voir ou presque avec le stress oxydatif, l'administration de drogues dites antivirales ne saurait en principe se justifier puisque l'un des biens rares (mais indispensables) effets positifs de certaines drogues dites antivirales consiste justement à lutter contre le stress oxydatif, par hypothèse en principe absent dans ces cas-là. Tout cela pour dire que ces facteurs sont tellement communs chez des séronégatifs qu'il n'y a absolument aucune raison de penser que ces facteurs ne puissent pas se retrouver chez des séropos ne souffrant pas de stress oxydatif. Quelques morceaux choisis. Un bas niveau de T4 est tellement courant que cela sape l'affirmation fondamentale selon laquelle le HIV provoque une baisse des T4. La grande majorité des séropos ont vécu au moins une fois dans leur existence l'une ou l'autre de ces facteurs pouvant causer une baisse des T4, et il n'y a aucune façon de savoir si le HIV en est la cause. Alors que la plupart des gens savent que les taux bas de T4 sont monnaie courante chez les séropos, bien peu de gens ou médecin semblent au contraire savoir combien il est courant de retrouver des bas niveaux de T4 chez les séronégatifs. Des études ont démontré que les T4 peuvent chuter d'une façon extrêmement basse, en particulier chez une personne souffre de certains facteurs. Ceux-ci incluent une multitude de maladies virales, infections bactériennes, infections parasitaires, chic septique, défaillance de plusieurs organes, tuberculose, brûlures, traumatisme, transfusions sanguines, malnutrition, surentraînement, être enceinte, variations normales quotidiennes, stress psychologique, et isolation sociale. Quand plusieurs de ces conditions sont combinés dans une même personnes, comme cela est souvent le cas chez des personnes diagnostiquées séropositives, un niveau extrêmement bas de T4 peut être la conséquence naturelle. Etant donné que les séropos rencontrent nombre de ces facteurs pouvant entraîner une chute des T4, cet article recommande la plus grande précaution concernant l'usage de la mesure des T4 pour décider de la mise en place d'un traitement et pour faire des diagnostics. Cette précaution est d'autant plus grande que certains de ces facteurs, tels que le stress psychologique, sont fortement augmentés chez les personnes à qui on annonce que les T4 sont bas, ce qui peut par voie de conséquence provoquer une plus grande chute encore des T4. Le stress psychologique et l'isolement social sont également suscité par l'annonce d'un test HIV positif, et par le diagnostic lui-même de sida, ce qui peut entraîner des effets de baisse chronique sur les T4. En fin de compte, l'idée largement acceptée selon laquelle le HIV ciblerait spécifiquement les lymphocites T4 doit être remis en question, puisqu'il apparaît qu'un bas de niveau de T4 est une réaction normale à toutes sortes de facteurs de stress physiques et psychologiques. En se basant sur les résultats repris ci-dessus, il est cependant extrêmement possible que la chute des T4 dans les premiers cas de sida était simplement la conséquence des infections opportunistes (ndlr : on a donc mal interprété dès le départ la cause de la chute des T4 dans les premiers cas de sida; et c'est en se basant sur l'analyse de ces premiers cas qu'est née l'idée qui perdure jusqu'à nos jours que la chute des T4 est forcément de nature à prédire le risque d'apparition de maladies opportunistes; or, cette chute des T4 est plutôt la conséquence des maladies survenue précédemment [ou dans l'optique du seul sida, la conséquence du stress oxydatif] qui étaient présentes, et non la conséquence d'un nouveau germe ciblant les T4. Cet argument est renforcé par la circonstance qu'il est toujours continuellement difficile d'expliquer le mécanisme par lequel le [pseudo] HIV détruit les T4). 2) "Sida et sorcellerie Vaudou" (cliquez ici; en plus, cela a été traduit en français) c) Conclusion à ce stade-ci On peut clairement constater à l'examen de ces différents passages que la chute des T4 a une furieuse tendance à suivre ou tout au plus à être concomitante avec la survenance de maladies (si on met cela en rapport avec le stress oxydatif, cause du sida déclaré, on dira naturellement que le stress oxydatif précède la survenance du sida déclaré et, partant, la baisse des T4). C'est exactement ce qui s'est passé au début de l'épidémie du sida. La chute des T4 était la conséquence des différentes maladies exotiques endurées par les sidéens, elles-mêmes causées par le stress oxydatif. Mais la chute des T4 ne précède visiblement pas la survenance de maladies. En réalité, il faudrait - à mon sens - faire une distinction. On constate que les T4 baissent, mais SOIT on est déjà malade ou on a souffert il y a peu de diverses maladies, et les T4 continuent de baisser : cette baisse des T4 est alors effectivement annonciatrice de futures et encore plus graves maladies et la mesure des T4 est assurément utile et même indispensable, quoiqu'on est déjà sans cesse malade. Pas vraiment besoin de mesurer ces T4 pour le savoir ! (Mais la mesure des T4 peut quand même servir à prédir la survenance de maladies encore plus graves : par exemple, si les T4 baissent en dessous de 20, les risques de souffrir par exemple d'une rétinite à CMV (qui peut rendre aveugle) sont éminemment plus élevés). Dans ce genre de cas, la trithérapie s'impose de toute urgence pour éviter le pire, à savoir la mort ou des maladies gravissimes qui laisseront de toute façon au mieux des séquelles. Toutefois, si le séropo a de fortes raisons de penser que cette succession de maladies était due à son style de vie, après s'être remis grâce (et ici je le pense vraiment) aux drogues antivirales, je n'ai pas peur de le dire, je lui suggérerais d'arrêter ses drogues dites antivirales et de mener une vie "saine et équibrée" (et en prenant des antioxydants naturels, au moins au début, pour tenter de compenser les effets positifs de certains drogues dites antivirales), tout en l'avertissant du risque réel qu'il soit malheureusement possible que son stress oxydatif soit devenu irréversible (mais pour le savoir et sauf erreur de ma part, il n'y a pas d'autre solution que d'arrêter ces trithérapies). Alors, ou bien où il tombe dans le groupe visiblement majoritaire de ceux qui se portent bien et ont des "bobos" comme n'importe quel séronégatif, ou bien (et hélas) il tombe dans le groupe visiblement minoritaire de ceux où les infections opportunistes reprennent de plus belle, et les trithérapies s'imposent de prime abord jusqu'à de nouvelles avancées de la science, espérons, dissidente du sida. SOIT les T4 baissent et continuent de baisser mais on n'est pas malade ou si peu ou pas souvent ou "légèrement". Manifestement, cette baisse - apparente (on l'expliquera plus loin) - n'est visiblement pas la conséquence de maladies et du stress oxydatif, mais de facteurs moins graves (mais certainement pas à prendre à la légère pour autant, comme on l'expliquera plus loin) : l'effet nocebo, le stress psychologique, l'isolement social, un mal-être, etc.... A mon sens, le recours aux drogues antivirales ne s'impose absolument pas, en particulier à défaut de "maladies cliniques" (par oppositions aux "maladies-marqueurs" que sont la chute des T4 et la hausse de la pseudo charge virale, quoiqu'il n'y ait pas forcément de corrélation en plus entre ces deux "marqueurs spécifiques du sida"). Bref, dans les deux cas, les T4 sont bas, voire très bas, mais seul le premier cas exige réellement le recours aux drogues dites antivirales, du moins si cela se produit malgré un style de vie "sain et équilibré". Or la mesure des T4, telle qu'elle est pratiquée aujourd'hui, ne permet pas de faire cette distinction, outre l'effet nocebo qu'il provoque. Seule une analyse du style de vie du séropo pourra indiquer dans quel cas de figure on se trouve. Et si le lecteur n'est toujours pas convaincu à ce stade-ci du raisonnement développé jusqu'ici, j'invoque "l'argument ultime". En effet, même quand un sidéen meurt en stade terminale (et sauf exceptions, qui peuvent s'expliquer par des facteurs parfaitement étrangers à la mesure des T4 : par exemple, les effets secondaires de certaines drogues dites antivirales et de certains antibiotiques provoquant des infections opportunistes "traditionnelles") et qu'il a 0 T4 (je dis bien : "zéro" T4), de quoi meurt-il donc ? De maladies "exotiques", pardi ! Il ne meurt toujours pas de maladies virales ou bactériennes ordinaires, il n'a toujours pas besoin d'une bulle pour survivre. Il ne meurt que de maladies exotiques causées par le stress oxydatif. Bref, même avec zéro T4, il semble tenir le coup. Ceci étant, zéro T4 ne semble quand même pas recommandé pour autant ! Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Manifestement, cette chute à zéro T4 est la conséquence du stress oxydatif. Mais même dans ce cas de figure, on constate qu'avec zéro T4, le système immunitaire fonctionne encore apparemment contre les maladies opportunistes. Ce qui me semble en tout cas clair, c'est qu'on est loin de bien connaître le système immunitaire et préconiser des drogues dites antivirales à des séropos ayant des T4 très bas mais ne souffrant pas de maladies quelconques me semble assez hardi ! Nous allons maintenant encore essayer d'aller plus loin dans l'analyse, et peut-être trouver des explications encore plus scientifiques à la distinction de ces deux cas de figure. V) IL Y A DEUX GROUPES DE T4 : LES TH1 ET LES TH2. OR LES TESTS DE MESURE DES T4 NE FONT PAS LA DISTINCTION ENTRE CEUX-CI ! 1) Citation de deux passages a) Tiré de "Réponses aux questions du Président Mbeki" (cliquez ici) b) Tiré de "Interview de Kremer sur le sida et le cancer" (cliquez ici) 2) Tentative d'interprétation (au regard de ce que nous avons déjà dit plus haut) Si je fais la relation avec ce qui a déjà été dit ci-dessus, les TH1 correspondraient aux fameux 2 à 3% de T4 circulant dans le sang, tandis que les TH2 sont les fameux 97% ou 98% T4 plutôt de nature à rester dans les tissus humains, mais une partie des TH2 peuvent se retrouver par accident dans le sang (cf. le passage de départ "III) LE DECLIC". Le gros problème de la mesure des T4 est que cette mesure ne fait nullement la distinction entre les deux sous-groupes de T4, les TH1 et les TH2. On peut distinguer deux hypothèses différentes : * En cas de stress oxydatif, cause du sida, les TH1 seront détruits et/ou survivront en faisant appel à un système de "respiration" anaérobique (sans oxygène, donc). La destruction de ces TH1 et/ou leur survivance sous une forme anérobique va causer les fameuses infections "exotiques du sida". EN OUTRE, l'organisme du séropo va réagir en faisant davantage fuir les TH2 vers les tissus. Il se produit un sida déclaré "confirmé" par la baisse GLOBALE des T4 sur le plan des "marqueurs". * Pour de toutes autres raisons (maladies en général, stress psychologique, etc...), les TH2 vont également s'enfuit vers les tissus. Cela va également se traduire sur le plan des "marqueurs" par une baisse GLOBALE des T4, exactement comme en cas de stress oxydatif et dans les mêmes proportions. Mais il y a une différence gigantesque sur le plan clinique : quoique dans les deux hypothèses les T4 sont extrêmement bas, dans le second cas, IL N'Y A PAS DE SIDA ! Pourquoi ? Parce que contrairement au cas du stress oxydatif, ces différentes causes de baisse GLOBALE des T4 (exactement comme en cas de stress oxydatif) n'entraîne pas une diminution RELLE des TH1, lesquelles ne meurent pas ou ne survivent pas sous forme anaérobique. Or c'est la mort et/ou la survivance sous forme anaérobique des TH1 qui cause le sida. Ceci étant, la bascule des TH1 et TH2 ne doit pas se poursuivre indéfiniment car quand bien même les TH1 ne sont pas détruits, si cette bascule dure trop longtemps, cela peut quand même aboutir visiblement à un réel affaiblissement immunitaire, sans même stress oxydatif. Il s'agit en fait des cas de sida causé par un stress psychologique répété et durable. En d'autres termes, dans le premier cas, soit le stress oxydatif, la baisse des T4 est REELLE car les TH1 sont détruits ou ne survivent plus de façon naturelle; cela mène au sida rapidement. Dans le second cas, la baisse des T4 n'est qu'APPARENTE car les TH1 ne sont pas détruits; cela ne mènera au sida ou de manière générale à des infections opportunistes en général que si cette baisse apparente se produit longtemps (sida sur stress psychologique répété et durable). Mais ces deux cas, aux conséquences diamétralement différentes, ne peuvent être distingués par le biais des tests de mesure des T4, car les TH1 ne représente que 2 ou 3% des T4 globaux, alors que les TH2 représentent 97 à 98% des T4 globaux. Une diminution réelle des TH1, qui se produit dans le premier cas uniquement, soit le sida déclaré, passera absolument inaperçu (vu qu'ils ne représentent que 2 à 3% du total des T4 globaux). La seule façon de distinguer ces deux cas est le recours à l'analyse clinique du patient : souffre-t-il ou non et de façon assez répétée d'infections "exotiques" ? Dans le premier cas (stress oxydatif), la mesure des T4 est INDISPENSABLE pour prédire l'aggravation du sida ou non. La mesure des T4 est assurément utile et nécessaire. Dans le second cas (absence de stress oxydatif), la baisse globale des T4 (c'est-à-dire une diminution APPARENTE des T4, puisque les TH1 ne sont pas détruits) ne prédispose pas au sida rapidement. Mais si cela dure assez longtemps, le sida peut malgré tout survenir. C'est tout particulièrement le cas en cas de stress psychologique durable. Ce stress peut justement découler de l'importance accordée à une baisse des T4.D'où le danger de continuer à mesurer ces T4 quand le séropo n'a plus de raison de penser qu'il souffre encore de stress oxydatif. Dans le second cas toujours, la baisse des T4 résulte de facteurs sans rapport avec le stress oxydatif, tout comme pour n'importe quelle personne séronégative. Et tout comme une personne séronégative qui ne mesure pas ses T4 et ne prend pas de drogues antivirales , un séropo qui ne souffre pas de stress oxydatif (ce qui est révélé par l'analyse clinique, non la mesure des T4) n'a pas à recourir aux drogues antivirales pour y remédier. Ce même séropo souffre en réalité des mêmes facteurs qui affectent également la baisse des T4 des séronégatifs. Le raisonnement exposé ci-dessus peut toutefois se heurter une objection de taille, que j'essaie toutefois de relever avec la simple logique (encore une fois, d'ailleurs). Certes, des études ont démontré que les T4 peuvent descendre très bas, même largement en dessous de 200 T4, chez des séronégatifs en raison de multiples facteurs énumérés ci-dessus. Mais visiblement aucune étude n'a montré des séronégatifs avec des niveaux de T4 baissant jusqu'à 10, voire même un peu moins, comme pour certains séropos qui ont des T4 à seulement entre 3 et 10 (par exemple) et qui, pourtant, vivent très bien et sans maladie. Dans tout ce que j'ai lu, je n'ai pas trouvé d'explication. Mais il me semble qu'il existe une explication vraisemblable, mais à vérifier. Avant de devenir le séropo vivant très bien avec des T4 inférieurs à 10 par exemple, il a souffert d'un stress oxydatif démesuré, lequel a causé la perte définitive d'un certain nombre de TH1. Alors que les TH1 ne semblent que représenter "normalement" 2% du total global des T4, la perte, vraisemblablement définitive d'une partie de ceux-ci (peut-être la moitié, les trois quarts même) à la suite d'un fort épisode de stress oxydatif, les TH1 ne représenteront par exemple déjà plus que 1% du total, voire même 0,5%, au lieu des 2 ou 3% habituels. Par conséquent, en cas de causes de baisse APPARENTE des T4 globaux (c'est-à-dire les hypothèses énumérées ci-dessus en dehors de tout stress oxydatif), la baisse apparente des T4 sera bien sûr très largement accentuée puisque on ne part déjà plus de 2 ou 3% mais bien de 1 ou 2%. Cela pourrait expliquer pourquoi la baisse APPARENTE des T4 globaux est plus accentuée chez les séropos survivant à long terme (parce qu'ils ont déjà perdu définitivement une partie importante de leurs TH1) que chez les séronégatifs qui, par définition, n'ont jamais perdu définitivement auparavant une partie de leurs TH1. Mais l'organisme humain semble ainsi (heureusement) fait qu'il est possible de vivre avec moins de TH1 que ce qui avait été prévu au départ, POUR AUTANT que les survivants à long terme adoptent un style de vie encore "plus sain et équilibré" que n'importe quel séronégatif (parce qu'ils ont justement déjà perdu une partie de leurs TH1). Pour que cette explication tienne, il conviendrait toutefois de s'assurer si la perte des TH1 est définitive ou non. Et cela, je l'ignore. CONCLUSION Pour une fois, elle sera courte car tout a déjà été dit auparavant. Les séropos ayant des raisons de penser qu'ils souffrent encore de stress oxydatif DOIVENT faire mesurer et contrôler leurs T4, car la chute des T4 (globaux) est un instrument fiable de prédiction de risque de sida déclaré. En pratique, il s'agit de presque tous les séropos (excepté le cas du sida nutritionnel) puisque très peu d'entre eux connaissent la dissidence du sida et le fait que le sida est causé, non par un rétrovirus exogène chimérique, mais bien par le stress oxydatif. Ne le sachant pas, la plupart d'entre continuent à souffrir de stress oxydatif. Les séropos n'ayant plus de raison de penser qu'ils souffrent de stress oxydatif ne devraient vraisemblablement plus mesurer leurs T4 car l'importance accordée à une baisse de celle-ci (laquelle ne peut être qu'apparente puisque ne souffrant plus de stress oxydatif) est succeptible de susciter un stress psychologique répété, de nature à causer le sida, mais sur le long terme. Ils doivent en réalité vivre comme n'importe quel séronégatif, avec toutefois la particularité de vivre encore plus "sainement" que n'importe quel autre séronégatif car ils ont déjà perdu antérieurement et définitivement (vérifier toutefois si cela est vraiment définitif ou s'il n'y aurait pas une possibilité de "résurrection" des TH1 perdus) une partie de leurs TH1 contrairement aux séronégatifs. PS : Désolé pour les fautes de frappe. J'ai rédigé ce post sous le "bénéfice de l'urgence".
  23. On ajoutera que cette variation du "génome" du VIH se traduit dans les autres notions devenues également légendaires de "génotype" et "phénotype" du VIH, certains de ceux-ci étant représentatifs de "souches dites virulentes" du VIH.
  24. QU'EST-CE QUE LE VIH FINALEMENT ? ou encore : Le SIDA cause le VIH, et non l'inverse ! ou encore : Sur quoi travaille l'orthodoxie du sida ? En attendant que je termine mon long post par lequel je réfuterai les deux (bien seuls) arguments essentiels - visiblement restés irréfutés à ce jour - qui ont été invoqués sur ce forum à l'encontre de la dissidence du sida (du moins jusqu'à la page 112 où je suis actuellement arrivé, soit presque au même moment où je suis arrivé sur ce forum) et au cours duquel j'aurai l'occasion de dénoncer l'infamie sans équivalent à ce jour que constituent les tests dits "HIV", j'ai estimé utile d'en extraire un passage, de le développer et de le retravailler de façon à ce qu'il puisse avoir les "honneurs" d'un post à lui tout seul (lol). Je vais tâcher dans ce post d'expliquer aux nouveaux lecteurs et avec mes propres mots ce qu'est réellement le VIH (il y aura certainement des imprécisions et même quelques petites erreurs, mais je crois que pour un nouveau lecteur, cela l'aidera quand même énormément), en faisant la relation avec des notions et des termes couramment utilisés par l'orthodoxie du sida pour faire croire que le VIH est un rétrovirus exogène causant le sida, tels que mutation du virus, génotype, souche virulente, etc... Ce sont d'ailleurs ces notions-là de l'orthodoxie du sida qui m'ont réellement empêché au départ d'accorder le moindre crédit à tout ce qu'affirmait la dissidence du sida. Je crois donc que le présent exercice ne sera certainement pas inutile ! Ce sera également l'occasion de comprendre ce sur quoi travaille réellement l'orthodoxie du sida depuis plus de 20 ans, et d'aboutir en outre à la conclusion que le VIH ne cause pas le sida, mais bien que le sida cause le VIH ! Je vais tâcher de l'expliquer de deux façons. Premièrement, d'une façon "scientifique", bien qu'avec mes propres termes (n'étant pas scientifique moi-même), deuxièmement et ensuite d'une façon extrêmement simple et imagée en faisant la comparaison avec la banque qui est victime d'un hold-up commis par un voleur et à la suite duquel la police se dépêche très prestement sur les lieux. De façon humoristique (enfin, je crois), cette deuxième façon a été appelée "Dissidence du sida pour les Nuls" (lol). Après la lecture de ce post, normalement plus aucune personne ne pourra décemment affirmer qu'il ne sait pas ce qu'est réellement le VIH. Commençons par la version "scientifique". A) La version "scientifique" du VIH (avec mes propres termes donc) 1) Le stress oxydatif, qui est la réelle cause du sida (pour que le nouveau lecteur puisse comprendre ce qu'est le stress oxydatif, je l'invite d'abord à lire le début de ce post-ci, et les considérations relatives au monoxyde d'azote) provoque dans l'organisme la production de multiples débris cellulaires, voire éventuellement de rétrovirus endogènes (mais cela reste encore à prouver; et quand bien même cela serait prouvé un jour, cela ne prouverait toujours pas que le VIH causerait le sida puisque le VIH en question est justement produit par l'organisme humain lui-même et est donc endogène et inoffensif). Ces multiples débris cellulaires sont appelés VIH, et c'est bien là-dessus que travaille l'orthodoxie du sida. 2) Ces innombrables débris cellulaires ont donc pour point commun d'être le produit et la conséquence spécifique du stress oxydatif. C'est entre autres pour cette raison qu'il n'a à ce jour toujours pas été possible de faire la photographie au microscope électronique du VIH "isolé". L'excuse invoquée par l'orthodoxie du sida consiste à dire que le "virus" est très fragile et se décante très rapidement. Et bien, je crois en cette excuse. Et pour cause ! Comme ce matériel endogène (qualifié donc de VIH par l'orthodoxie du sida) n'est produit et ne vit que par l'effet du stress oxydatif, une fois séparé de ce qui l'a fait naître, soit le stress oxydatif, le "VIH" ne peut susbister par lui-même (à moins de reproduire en laboratoire des techniques de culture produisant les mêmes effets que le stress oxydatif), se décante forcément très rapidement et disparaît (et constitue l'une des raisons pour lesquelles il n'a jamais été possible à ce jour d'isoler le "VIH"). La preuve même que ce matériel endogène n'est pas la cause du sida mais bien le sympôme du stress oxydatif ou sida ! 3) La circonstance que ce matériel endogène est le produit spécifique du stress oxydatif explique que certaines protéines (les fameuses 10 protéines du VIH dont l'existence éventuelle est révélée par le test dit de "confirmation" Western Blot) soient grossièrement spécifiques à ce qui est appelé VIH par l'orthodoxie du sida. 4) Le point commun à tous ces débris cellulaires est qu'ils ont été produits par le stress oxydatif. Ce point commun a été analysé par l'orthodoxie du sida et a été traduit par celle-ci comme consistant en le génome du VIH. Le stress oxydatif ayant des sources et des intensités extrêmement variables en fonction du style de vie des séropos, il relève de la logique absolument stupéfiante que la combinaison de ces deux variables aboutisse respectivement aux notions devenues légendaires de "extrême mutabilité du VIH" et de "souche virulente du VIH". 1°) En réalité, le lecteur l'aura déjà compris à ce stade-ci de la lecture, le VIH n'étant que le miroir et la conséquence du stress oxydatif ou sida, l'orthodoxie du sida travaille en fait depuis plus de 20 ans sur les symptômes ou conséquences de la maladie, soit le matériel endogène que le stress oxydatif produit ou VIH, et non sur sa cause, le stress oxydatif. Le "génie" ou plutôt l'erreur dramatique de l'orthodoxie du sida est d'avoir voulu nous faire croire et de continuer à nous faire croire que le VIH cause le sida. Alors qu'elle a confondu et confond toujours à ce jour l'action, à savoir le stress oxydatif, et la réaction, à savoir le VIH. On comprend dès lors mieux pour quelle raison l'orthodoxie du sida n'a jamais pu guérir le sida à ce jour. On comprend également pour quelle raison, le modèle viral du sida a pu quand même aboutir à quelques drogues qualifiées d'"antivirales" qui ont pu montrer une certaine efficacité, quoique cette efficacité est en réalité expliquée scientifiquement par le modèle dissident du sida. En étudiant les symptômes du maladie (donc, le VIH), l'orthodoxie du sida peut quand même arriver à inventer des médicaments qui suppriment momentanément les symptômes (les fameuses tri"thérapies"), sans pour autant soigner sa cause ! Mais l'idéal est bien sûr d'étudier directement sa cause, comme le demande désespérément et depuis 20 ans la dissidence du sida. Etant donné que les sources et l'intensité du stress oxydatif sont quasiment infinies, ceux-ci expliquent, comme l'affirme l'orthodoxie du sida, que les variations du génome du VIH puisse porter jusqu'à 40% de celui-ci ! Ce qui ne serait évidemment pas possible d'affirmer sans honte si le VIH était la cause du sida. Mais n'étant au contraire que son produit, cela reste scientifiquement admissible. De même, étant donné que le VIH n'est que la conséquence du sida ou stress oxydatif, il est logique d'arriver à la conclusion que cette extrême variabilité du VIH est sans incidence sur la fonctionnalité de ces protéines puisque le VIH, n'étant que le produit du stress oxydatif, aucune fonction pathogène n'est assigné aux protéines du VIH. De même, le lecteur comprendra ainsi pour quelles raisons les "chercheurs" de l'Institut Pasteurs n'ont pas peur de se ridiculiser en annonçant des chiffres défiant toute logique, à savoir qu'un séropo asymptomatique pourrait héberger jusqu'à un million (!) de variantes génétiquement distinctes du VIH tandis qu'un patient à sida déclaré pourrait quant à lui être porteur jusqu'à cent millions (!!!) de variantes génétiquement différentes du VIH. Si ce VIH était un rétrovirus exogène et pathogène, et bien, ce serait l'organisme vivant le plus intelligent de l'évolution. En revanche, en tant que matériel endogène produit par le stress oxydatif du séropo et variant à chaque instant, cette affirmation de prime abord ridicule de l'orthodoxie du sida tombe sous le sens, du moins dans une mesure relative. 2°) a) Lorsque l'orthodoxie du sida déclare avoir identifié des souches virulentes du VIH, le VIH en question n'est que la représentation génomique d'un stress oxydatif démesuré. Ainsi, il y a de cela un peu plus d'un an, une souche extrêmement virulente du VIH avait été détectée aux USA chez un séropo, lequel a fait un sida déclaré extrême. Il ne répondait plus à aucune drogue "antivirale", à l'exception d'une seule. Lorsqu'on a examiné le style de vie du séropo en question, on a pu relever que depuis plusieurs années, il consommait avec force de multitudes drogues récréationnelles et qu'il était un partouzeur hors norme. D'ailleurs, il avait passé le week-end précédant l'apparition de son sida déclaré à consommer toutes les drogues possibles et inimaginables afin de pouvoir réaliser un gang bang de premier ordre ! Compte tenu de son style de vie, il n'était vraiment pas étonnant qu'après un tel week-end, il ait subi un stress oxydatif absolument démesuré qui se soit traduit par un sida déclaré accélé et une souche extrêmement virulente de VIH. b) Une des preuves que le VIH ne saurait causer le sida est la circonstance qu'il existe légion de séropos supposés porteurs de souches virulentes (à la suite de rapports sexuels dit "non protégés") et qui ne font quand même pas de sida déclaré. Si le VIH était la cause du sida, cela serait pour le moins incompréhensible. En revanche, à partir du moment où le VIH est considéré comme étant un produit du stress oxydatif, en quelque sorte la carte d'identité de celui-ci, il est logique que le nouveau porteur de cette souche supposée virulente ne fasse pas de sida déclaré si ce nouveau porteur ne souffre pas lui-même d'un fort stress oxydatif. En revanche, si le nouveau porteur souffre lui-même d'un fort stress oxydatif, il fera naturellement lui-même un sida déclaré, mis erronément sur le compte de la pseudo souche virulente du sida par l'orthodoxie du sida. c) L'orthodoxie du sida ne cesse de se plaindre de la circonstance qu'il y aurait de plus en plus de souches virulentes du VIH, et cela est mis sur le compte de la multiplication des rapports sexuels dits "non protégés", lesquels favoriseraient la variation génomique du VIH. Evidemment, l'explication réelle est tout autre. Les drogues dites "antivirales" sont connues pour causer elles-mêmes du stress oxydatif, et donc causer à moyen ou long terme un sida déclaré. Comme évidemment de plus en plus de séropos sont sous drogues dites "antivirales", il n'y a plus aucune raison de s'étonner que les "souches virulentes" du VIH continuent à se multiplier. 5) Lorsque l'orthodoxie du sida parle du phénomène de "résistance", il y a tout simplement lieu d'entendre par là que le séropo en question souffre d'un stress oxydatif (qui peut donc lui-même être causé par les drogues dites "antivirales" !) de plus en plus fort, voire parfois devenu irréversible, à tel point que les drogues dites "antivirales" ne réagissent plus et ne peuvent plus contrecarrer les effets délétères et mortifères du stress oxydatif. 6) Enfin, après avoir lu ce qui précède, le lecteur pourra de lui-même corriger la tristement célèbre équation de la mort de l'orthodoxie du sida, à savoir : VIH = SIDA = MORT, à savoir que le VIH cause le SIDA et ensuite la MORT. La dissidence du sida a déjà précisé que cette équation est manifestement erronée et est plutôt celle-ci : VIH >< SIDA><MORT, à savoir que le VIH ne cause pas le SIDA et encore moins la MORT. Mais maintenant, nous pouvons affiner davantage cette équation, laquelle devient : (SIDA = VIH) >< MORT, à savoir que le SIDA cause le VIH, mais que le SIDA n'est en aucune façon synonyme de MORT. Arrivé à la fin de la version "scientifique" des explications sur le VIH, le lecteur peut maintenant aisément comprendre comment l'orthodoxie du sida a été et est toujours capable depuis plus de 20 ans de pondre des milliers d'ouvrages et d'articles et d'organiser des dizaines de conférences internationales sur le sida, sans avancer d'un iota dans une guérison véritable de la maladie. En effet, la médecine orthodoxe du sida n'est qu'une médecine de symptomalogie et leurs différents traités et autres écrits ne sont que des études sans fin des symptômes (soit le VIH) du sida. Seule la dissidence du sida ne s'attache qu'à l'étude des causes du sida, et ce malgré l'absence de moyens financiers mis à leur disposition, la totalité de ceux-ci étant mis à la disposition de l'orthodoxie du sida non afin de guérir le sida ..... mais bien d'étudier les symptômes du sida. Des remèdes efficaces contre le sida existent déjà, mais imaginez les avancées spectaculaires que la dissidence scientifique du sida pourrait encore davantage faire si on lui mettait à sa disposition ne fût-ce qu'une infime partie du gigantesque budget alloué à l'étude des symptômes du sida ! En tout cas, le lecteur n'aura maintenant plus aucune raison d'être impressionné par n'importe quel discours de je ne sais quel ponte de l'orthodoxie du sida, ce dernier n'ayant pour seule connaissance, certes extrêmement approndie (c'est le moins qu'on puisse dire !), que des symptômes superficiels du sida, à savoir le matériel endogène produit par le stress oxydatif et appelé "VIH" ! Maintenant, pour ceux qui n'auraient pas encore tout compris, je vais passer à la version imagée de ces explications. B) La version "Dissidence du sida pour les Nuls" (lol) Imaginons une banque victime d'un hold-up commis par un voleur. Dans les minutes qui suivent, quelques agents de police se dépêchent prestement sur les lieux du "crime". Dans notre exemple, la banque est le séropo, le hold-up n'est rien d'autre que le sida déclaré, le voleur est le stress oxydatif et les agents de police le "VIH". Nous constatons qu'à la suite de l'action du voleur (le stress oxydatif), une réaction se produit, à savoir la venue des agents de police (le VIH). En l'occurrence, tout le "génie" de l'orthodoxie du sida a consisté à nous faire croire jusqu'à ce jour que la police (le VIH) est l'auteur du hold-up (sida déclaré) ! Alors que la dissidence du sida ne cesse de crier à cor et à cri que c'est le voleur (le stress oxydatif) qui est l'auteur du hold-up (sida déclaré) et que la police (le VIH) n'est là que pour constater les faits et enquêter. La police (VIH) n'est que le miroir et la conséquence de l'agression commise par le voleur (stress oxydatif) à l'encontre de la banque (le séropo). Pour comprendre le modus operandi ayant conduit au hold-up (sida déclaré), l'orthodoxie du sida étudie depuis plus de 20 ans le mode opératoire des agents de police (le VIH), alors qu'elle devrait étudier le mode opératoire du voleur (stress oxydatif). L'étude de la façon de procéder des agents de police (le VIH) a abouti à une littérature absolument déchaînée sur le sujet. En revanche, la dissidence du sida, elle, essaie avec la pauvreté de ces moyens, d'étudier le mode opératoire .... du voleur (stress oxydatif) ! Il arrive parfois que des hold-up (sida déclaré) soit commis sans que des agents de police (VIH) se manifestent, par exemple parce que la banque connaît les voleurs et qu'elle a des raisons de cacher ce hold-up (sida déclaré). Il s'agit de l'exemple des cas de sida déclaré (hold-up) sans VIH (agents de police). Il existe au moins quelques milliers de cas clairement et scientifiquement documentés et intitulés "CD4 idiopathiques avec lymphocytopenie des cellules T" (pour éviter de prononcer le mot "sida", puisque cela va à l'encontre du dogme selon lequel il y a toujours VIH (agents de police) quand il y a sida déclaré (hold-up). Les agents de police (VIH) ont pour points communs d'être munis de revolvers, d'être à l'affût du moindre indice, d'avoir un chef qui les commande, etc... Ceux-ci sont les protéines grossièrement spécifiques du VIH. Toutefois, parfois ils sont quatre, parfois dix, parfois ils ont des cheveux noirs, d'autres bruns, etc.... Il s'agit de la légendaire mutabilité de ce qui est considéré comme le VIH. Lorsqu'il s'agit d'un hold-up audacieux et de grande envergure (grave cas de sida déclaré), ce ne sont plus quelques agents de police (le VIH) qui se rendent sur les lieux, mais carrément tout le commissariat de police. Le commissariat en question n'est rien d'autre qu'une souche virulente du VIH. L'action du voleur (stress oxydatif) a été en effet à ce point impressionnante que la réaction s'est traduite par la venue, non de quelques agents de police, mais bien de tous les agents de police du commissariat (la souche virulente). Leur enquête aboutit à la conclusion qu'un hold up (sida déclaré) d'une aussi grande envergure devrait prochainement être commis dans une autre banque (un autre séropo) et tout le commissariat de police se rend en cette autre banque (transmission de la souche virulente chez un autre séropo). Mais en réalité, il ne se passe rien, ils se sont trompé. Aucun hold-up (sida déclaré) n'est commis. La circonstance que le commissariat de police (souche virulente) se soit déplacé dans cette autre banque (transmise à un autre séropo) n'a évidemment pas eu pour conséquence qu'un autre hold-up (sida déclaré) ait été commis ..... faute de voleur (stress oxydatif) dans cette autre banque (autre séropo porteur de la souche virulente) ! Nous pouvons pousser l'analogie encore plus loin. Que fait le voleur (stress oxydatif) avant de commettre le hold-up (sida déclaré) ? Il éteint toutes les caméras de surveillance (baisse prononcée des T4). Cependant, le voleur (stress oxydatif) arrive parfois à commettre le hold-up (sida déclaré) juste en éteignant quelques caméras de surveillance (baisse légère des T4). Il s'agit-là des cas de sida déclaré sans baisse prononcée des T4. L'une des autres idées de "génie" de l'orthodoxie du sida est d'avoir voulu nous faire croire que chaque fois que les caméras de surveillance sont éteintes (baisse prononcée des T4), ce serait la preuve qu'un hold-up (sida déclaré) est sur le point d'être commis. C'est perdre de vue qu'il peut arriver que la totalité ou presque toutes les caméras de surveillance (baisse prononcée des T4) peuvent être éteintes sans pour autant qu'un hold-up (sida déclaré) soit commis et sans que cette extinction des caméras de surveillance (baisse des T4) n'ait été causée par le voleur (stress oxydatif), par exemple en cas de panne d'électricité dans la ville ou en raison d'un erreur d'un employé de la banque (par exemple stress psychologique répété de cet employé de banque..... ou du séropo). Mais nous nous avançons trop loin, et je n'ai justement pas parlé des T4 dans la version "scientifique" car il fera ultérieurement l'objet d'un post plus détaillé. En conclusion, le lecteur aura pu constater que le trait fondamental de l'orthodoxie du sida est d'avoir fait et de toujours faire preuve à ce jour d'une monstrueuse ignorance et arrogance en matière de monopole de la connaissance du VIH !
  25. Et bien, Pierrot, compte tenu des intérêts en jeu, je t'invite encore et avec la plus grande énergie à refaire ce test, de façon ANONYME, sans passer chez ton médecin ou tout autre médecin. Je ne leur fais guère confiance quand ton médecin déclare que le test aurait été effectué de façon anonyme. Le cas échéant, ils feront et referont le test jusqu'à obtenir un test à tout le moins douteux car cela DOIT être comme cela selon l'orthodoxie du sida. Si pour te permettre de faire un test réellement ANONYME, tu dois faire 50 ou 100 km, l'enjeu en vaut sacrément la chandelle. Tu as fait mesurer tes T4. Soit. Mais maintenant, tu dois avoir toutes les données du "problème". Donc, repasse un test dit "HIV" de façon réellement anonyme, sans donner ton nom à qui que ce soit. Tu ne souffres manifestement plus de stress oxydatif et tu sais déjà que la protéine P24 est indétectable. Les chances sont très grandes que tu sois redevenu séronégatif (et pas simplement un résultat douteux)! Il serait bien que tu sois définitivement fixé là-dessus, me semble-t-il. Tu n'auras alors vraiment plus de raison de t'inquiéter de la baisse - apparente - de tes T4. Merci.
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