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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. En résumé, il y est donc précisé que jusqu'il y a peu, le dogme était que le HIV causait le sida en tuant les lymphocytes T4. Mais comme il y existe maintenant une pléthore de preuves irréfutables que le HIV ne tue pas les lymphocytes T4, ce qui est d'ailleurs normal puisque l'une des caractéristiques essentielles de tous les rétrovirus au monde (le HIV y compris [à supposer qu'il existe bien sûr en tant que rétrovirus]) est qu'ils ne tuent justement pas les cellules, la quasi-totalité de l'orthodoxie du sida a revu sa position sur le sujet tout récemment (enfin !), et arrive maintenant à la conclusion que le HIV ne cause pas le sida en tuant les lymphocytes T4 mais bien en stimulant de manière trop forte le système immunitaire ! Or que fait justement le stress oxydatif ? Il stimule trop fortement le système immunitaire, en particulier les TH1 qui constituent l'un des sous-groupes des lymphocytes T4 et dont la déficience provoquera l'apparition des maladies caractéristiques du sida ! Alors moi, je dis maintenant : "ASSEZ". Et en particulier, ASSEZ D'HYPOCRISIE de la part de l'orthodoxie du sida ! Dans la première citation, l'un des principaux tenants de l'orthodoxie du sida, à savoir Montagnier, dit que ce qui cause l'apoptose des lymphocytes T4 et, partant, le sida est le stress oxydatif (cité textuellement), mais à titre de cofacteur. Dans la seconde citation, une autre branche - visiblement très importante - de l'orthodoxie du sida dit que ce qui cause (ils disent bien que c'est la cause, pas l'une des causes comme Montagnier) l'apoptose des lymphocytes T4 et donc le sida, est l'hyperstimulation du système immunitaire, mais sans citer (comme le fait Montagnier) l'expression sacrilège "stress oxydatif". En d'autres termes, il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que l'orthodoxie du sida confirme - implicitement mais clairement - que le sida n'est effectivement pas causé par le VIH .... mais bien par le stress oxydatif (!), tout en se perdant en de multiples, vaines et hypocrites contorsions intellectuelles pour rattacher ce stress oxydatif au HIV, et ce sans être en mesure d'expliquer ce rattachement ! Et pourtant, l'explication de la relation entre stress oxydatif et HIV est aveuglante : il suffit simplement de constater que le HIV est le produit et la conséquence du stress oxydatif (et non sa cause) !
  2. Je m'interroge quand même. En effet, un bon médecin fera une analyse de sang et/ou d'urine, et ne se contentera pas des manifestations cliniques. Or à la suite de ces analyses, à ma connaissance, on constatera que le germe responsable de ces MST n'est pas présent lorsqu'il y a été diagnostiqué une cystite, mais qu'il est en revanche présent lorsque la MST en question a justement été diagnostiquée. Peut-on parler de coïncidence ? D'autant plus que les germes responsables de la plupart des MST (et entre autres la syphilis et la chaude pisse) sont des bactéries, et non des virus. Donc, on ne peut pas non plus entrer dans la controverse relative à l'existence ou non des virus. Par ailleurs, supposons qu'une personne souffre d'une chaude pisse (ou cystite le cas échéant), peut-on vraiment lui recommander comme traitement l'abstinence sexuelle, et non les antibiotiques ? Il me semble qu'il va continuer à souffrir le martyre chaque fois qu'il urinera, sans compter les complications, genre cancer de la vessie ?
  3. J'ajoute un lien vers un autre post datant de mai 2004, à savoir http://www.onnouscachetout.com/forum/viewtopic.php?p=63278, outre les posts qui ont suivi, où le sujet de ce topic-ci a également été abordé, mais plus spécialement à propos de la chaude pisse ou blennoragie (et non uniquement la syphilis comme dans ce topic-ci).
  4. Concernant ce point en particulier (pas l'herpès donc), ne peut-on pas justement considérer que la théorie du stress oxydatif permet d'expliquer cette bizarrerie apparente ? Qu'en penses-tu ? C'est ce que j'ai entre autres essayé d'expliquer à la fin de ce post-ci. En résumé, par l'effet du stress oxydatif, l'un des deux sous-groupes des lymphocytes T4, à savoir les TH2, va quitter la circulation sanguine pour stimuler dans les tissus l'immunité par anticorps, ce qui entraînera une baisse apparente des lymphocytes T4 qui sont mesurés dans le sang. En d'autres termes, les défenses immunitaires du séropo fonctionnent encore partiellement, en tout cas contre les infections opportunistes qui se manifestent par des germes extracellulaires et contre lesquels on peut se protéger par les anticorps. En revanche, toujours par l'effet du stress oxydatif, l'autre sous-groupe des lymphocytes T4, à savoir les TH1, qui est chargé de protéger l'organisme contre les germes intracellulaires en produisant du monoxyde d'azote, seront stimulés de façon trop forte et trop longtemps, ce qui entraînera l'épuisement" des TH1. Ces derniers soit "meurent" d'épuisement (+/- apoptose ?!), soit survivront provisoirement sous forme anaérobique. Mais dans les deux cas, cela permettra justement aux infections normalement combattues par la production de monoxyde d'azote (soit justement et entre autres celles que tu as citées : pneumocystose, candidose, rétinite à CMV, etc...), caractéristiques du sida, de se développer et de tuer le séropo. Cela expliquerait pourquoi un sidéen meurt de ces infections particulières ou "exotiques", tout en étant en mesure de se défendre contre les infections opportunistes "traditionnelles" (car les TH2, eux, fonctionnent encore). Ceci étant, à la fin de mon post précité, je me demandais si les TH1 détruits par l'effet du stress oxydatif étaient irrémédiablement perdus ou si au bout de quelques années, l'organisme humain n'était pas naturellement capable de produire de nouveaux TH1. A ce jour, personne n'a encore pu me répondre à cette question. Ceci étant, cela permettrait également d'expliquer que d'anciens sidéens puissent continuer à vivre normalement avec peu de TH1 ..... pour autant bien sûr que le sidéen "guéri" (mais le stress oxydatif lui a visiblement causé des dommages irréversibles, qui doivent être compensés par une vie plus "saine") fuie encore plus que n'importe quelle personne séronégative de fortes sources de stress oxydatif (faute de quoi il perdrait les derniers TH1 qu'il a encore dans son organisme avec aboutissement à un sida déclaré bien plus grave qu'auparavant [à moins que les TH1 puissent à nouveau être reproduits par l'organisme humain ? Je n'en sais rien]). Voilà quelques questions que je me pose.
  5. Pour le surplus, il serait approprié que l'on ne s'éloigne plus de l'objet de ce topic, qui est de traiter spécifiquement du sida en Afrique.
  6. Mais la dissidence du sida ne dit pas autre chose, Vitchilo ! Le sida existe bien sûr, ou du moins les maladies qualifiées de sida si une personne est séropositive au test dit "HIV". La dissidence du sida n'est pas une thèse "anti-sida", mais bien une thèse "anti-VIH" (du moins en tant que le VIH est interprété comme étant un rétrovirus, exogène et en plus pathogène). Si une personne souffre de stress oxydatif au point de rendre son test dit "HIV" positif et si ce stress oxydatif résulte d'un style de vie néfastement durable (drogues récréationnelles et manultrition par exemple), son système immunitaire est fortement endommagé et cela s'aggravera de plus en plus s'il n'y est pas remédié correctement (non par le biais des drogues dites "antivirales" mais bien en renonçant - par exemple - aux drogues récréationnelles et en remédiant aux problèmes de manultrition et d'insalubrité comme en Afrique). Le séropo en question fera naturellement et de façon répétée des pneumonies de plus en plus graves (pour reprendre ton exemple). La dissidence du sida ne conteste nullement l'existence et l'extrême gravité des maladies constitutives du sida mais bien la cause de ces maladies et, partant, la façon de les traiter efficacement (le recours aux tri"thérapies" dans cette autre vision du sida devant être exceptionnel, et non la règle comme cela est le cas à l'heure actuelle, et étant précisé que ce recours tout à fait exceptionnel aux trithérapies ne se justifie pas par je ne sais quel combat contre un rétrovirus mais bien par les propriétés antioxydantes et antibiotioques de certaines de ces drogues dites "antivirales").
  7. Bonjour Vitchilo. Cela signifie en réalité que l'orthodoxie du sida a trouvé du "VIH" dans un échantillon de sang datant de 1959. Cela ne signifie pas que le VIH en tant que rétrovirus exogène et pathogène existait "déjà" en 1959 (en fait, il n'existe toujours pas à l'heure actuelle; pour savoir ce qu'est réellement le VIH, lis par exemple ce post-ci), mais bien simplement que les scientifiques en question sont tombés sur une personne qui subissait en 1959 un fort stress oxydatif ! Et il est tout à fait possible que si des scientifiques tombent sur des échantillons de sang antérieurs (à 1959) encore préservés, certains échantillons de sang puissent se révéler positifs au test dit "HIV". Je te signale à toutes fins utiles que les tests dit "HIV" ne détectent pas une infection appelée "VIH" (lis par exemple ce post-ci) mais ne sont en réalité que des tests de stress oxydatif, la positivité à ce test signifiant un dérèglement tantôt assez profond, tantôt extrêmement profond, tantôt provisoire du système immunitaire (mais certainement pas une infection par un rétrovirus appelé "VIH"). Pour le reste, bravo pour tenter de faire connaître la dissidence du sida. Mais arme toi de patience et de courage .... et de connaissance sur le sujet ! Lis par exemple très attentivement l'ensemble des liens figurant dans le sommaire du topic "Le VIH ne causerait pas le sida". Tu seras mieux armé pour répondre aux questions que des personnes pourraient te poser.
  8. Je crois que cela ne sera pas possible justement, car Jane Doe est manifestement déjà un nom d'emprunt ! Pour le reste, je rejoins l'opinion de Viduité, à savoir qu'il faut garder courage. Si tu lis d'ailleurs les derniers posts de Cheminot dans le topic "Le VIH ne causerait pas le sida", à savoir ici, ici et encore ici, tu constateras que les choses bougent de plus en plus, non seulement en Afrique du Sud, mais même aux USA puisque des journaux écologistes et de gauche se mettent à parler ouvertement de la dissidence du sida. Serait-ce le point de départ d'une contestation qui sera enfin amplement relayée par la presse maintsream ? J'ose l'espérer, en tout cas aux USA. Mais l'effet boule de neige aidant et auquel je crois, tout pourrait s'accélérer dans le reste du monde. Ce n'est qu'une intuition mais j'ai la nette sensation que la fin de l'orthodoxie du sida est proche, peut-être bien plus proche même que ce que l'on pourrait croire. Je me permets d'ailleurs de compter les années (si pas les semestres) qui nous séparent de cet événement historique sur les doigts d'une seule main ! En attendant, je t'invite à "déjà" constituer ton futur dossier pour les innombrables procès qui ne manqueront pas de se produire lorsque la dissidence du sida triomphera. Vois à cet égard ce topic-ci.
  9. Bonjour Soangel. Je ne peux que t'inviter à lire préalablement le sommaire (qui sera retravaillé dans les prochaines semaines) figurant à la première page du topic "Le VIH ne causerait pas le sida" et les liens y renvoyant. Tu auras déjà la plupart des réponses aux questions que tu te poses. Mais pour te répondre très rapidement (je travaille en ce moment), pour savoir ce qu'est réellement le VIH, lis par exemple ce post-ci, et pour savoir ce qui cause le sida, lis par exemple cette présentation de Cheminot ou encore le début de cet article (d'ailleurs mentionné en préambule du sommaire prévanté). Je trouve ton témoignage très intéressant car il illustre - entre autres - une évidence pour le moins aveuglante, à savoir que la séropositivité n'est pas sexuellement transmissible. Quant à la cessation de son "traitement" par ton compagnon, il a de prime abord très bien fait. Mais attention tout de même : si sa séropositivité résultait manifestement d'un style de vie néfaste, genre toxicomanie, usage de drogues récréationnelles et/ou abus de certains antibiotiques, il doit bien sûr cesser ce genre de vie, sinon le risque d'infections opportunistes deviendra réel. Mais pour pouvoir en dire plus, il faudrait clairement savoir dans quelles circonstances son test dit "HIV" est devenu positif et s'il a déjà été atteint de maladies caractéristiques du sida. Mais je le répète, fais d'abord l'effort (cela prendra de nombreuses heures, il est vrai) de lire le sommaire et les différents liens y mentionnés, outre les deux articles mentionnés en préambule du sommaire, tu auras déjà de nombreuses réponses aux questions que tu te poses.
  10. Pour compléter ce point, je reproduis ci-dessous un passage tiré de cet article (A rebuttal to the NIAID/NIH document "The Evidence That HIV Causes AIDS"): Il en ressort donc que largement plus de la moitié des cas de sida africain sont HIV négatifs ! Maintenant les lecteurs attentifs diront que même si plus de la moitié des sidéens africains ne sont en réalité pas séropositifs, il n'empêche qu'une assez forte (selon les études) de ces sidéens africains sont quand même séropositifs et seraient donc porteurs du (rétro)virus HIV !? Pour ces lecteurs-là, je leur rappelle qu'il a déjà été démontré à plusieurs reprises sur ce forum que la séropositivité aux tests HIV n'est jamais un signe d'infection par le VIH (lisez par exemple ce post-ci). On rappellera que plus de 70 facteurs reconnus peuvent donner un test HIV positif. Nul besoin à cet égard d'un rétrovirus HIV, au surplus jamais isolé au sens scientifique du terme (et non dans son sens perverti et galvaudé tel qu'il est utilisé depuis plus de 20 ans quant il s'agit du HIV). Le lecteur constatera à l'examen de ces 70 facteurs (qu'il retrouvera en cliquant ici [Facteurs reconnus pouvant donner des résultats de tests VIH faussement positifs]), que plusieurs de ces 70 facteurs sont extrêmement courants en Afrique : - lèpre; - tuberculose; - malaria (paludisme); - infections des voies respiratoires supérieures (rhume ou grippe); - infection virale récente ou vaccination contre maladie virale; - grossesse chez des femmes multipares (c'est-à-dire ayant déjà été enceinte auparavant); - vaccination antihépatite B; - vaccination antitétanique. Bref, à la lecture de ce qui précède, le lecteur aura compris pour quelles raisons une minorité de sidéens africains peuvent réagir positivement à un test dit "HIV" ..... et qu'il n'est jamais nécessaire de faire pour autant intervenir un quelconque rétrovirus HIV pour l'expliquer ! Quant aux cas de sida proprement dit en Afrique, ceux-ci s'expliquent accessoirement par les drogues antivirales qu'on leur administre "pour leur bien" mais principalement par la manultrition qui s'aggrave d'années en Afrique. Je me permets à cet égard de renvoyer entre autres à ce post de Vitosi et aux différents liens qu'il a mentionnés à cette occasion. Ainsi, ce lien-ci précise entre autres ce qui suit : Cet autre lien repris dans le post de Vitosi précise également ce qui suit : Tiens, tiens, ce sont justement les maladies caractéristiques du sida ! Ne venez pas me parler de coïncidence ! Bon, le lecteur aura maintenant clairement compris qu'il n'y a pas d'épidémie de sida en Afrique mais bien une épidémie de manultrition et de maladies endémiques (malaria, lèpre, tuberculose, etc...), qualifiée à tort de sida par l'orthodoxie du sida ! Et ceci est d'ailleurs valable non seulement pour l'Afrique mais également pour tous les pays où il y a des problèmes de malnutrition en général.
  11. Intéressant ce lien ! Puisqu'on y précise que sur les 32 marques de préservatifs testés, 29 présentaient un taux anormalement élevé de nitrosamines, qui est une substance cancérigène. Mais il y a encore mieux et de plus cocasse, et cet article ne le précise pas. J'ai en effet lu dans cet article-ci que la nitrosamine est une substance qui inhibe lactivité enzymatique des mitochondries, des organites intracellulaires chargés de lactivité respiratoire, ce qui facilitera donc la survenance des fameuses infections "exotiques" caractéristiques du sida. En d'autres termes, (beaucoup) trop de nitrosamines est de nature à causer le sida (outre le cancer donc) ! Je n'irai bien sûr pas jusqu'à dire que l'usage de la capote (avec un taux anormalement élevé de nitrosamines) cause le sida puisque le lien précise que le taux élevé de nitrosamines observé sur ces préservatifs reste de loin inférieur observé dans un certain nombre d'aliments et dans la cigarette. Mais au moins on constatera que la capote n'est pas si "inoffensive" que cela (on rappellera bien sûr aux lecteurs qui liraient ce post au premier degré que la capote reste malgré tout indispensable pour se protéger le plus efficacement possible des IST en général [le sida n'en étant pas une]!).
  12. Pour ta gouverne, sache que c'est justement faux !C'est entre autres en cela que les associations de défense du sida, telles qu'Act Up, Aides, etc.... propagent (sans s'en rendre compte, ou disons plutôt, sans vouloir s'en rendre compte) l'"épidémie" dans le monde. Dans ton exemple, imagine que les personnes en question qui se connaissent si bien ont toujours des rapports sexuels "protégés" mais qu'en même temps, ils usent et abusent des drogues récréationnelles; contrairement à ce que tu penses (mais il est vrai que tu n'as qu'un seul son de cloche, à savoir celui de l'orthodoxie du sida), ils peuvent malgré tout être "contaminés". Mais pour que tu le comprennes, il est nécessaire que tu analyses le sujet sérieusement et comprennes par la même occasion ce qu'est réellement un test dit "HIV" (que ce soit d'ailleurs le test "routinier" Elisa ou le test dit de "confirmation" Western Blot). Il est vrai que dans mon exemple, en raison de l'idéologie dominante sur le sujet, peu de personnes s'en rendront compte car le docteur ès sida ne demandera pas à ces nouvelles personnes "contaminées" si elles consomment des drogues récréationnelles, mais bien, si depuis leur dernier test dit "HIV"(à supposer qu'elles en aient fait auparavant un), elles n'auraient pas eu un rapport à risque. Comme il est extrêmement rare qu'une personne n'ait pas eu au moins une fois un rapport dit "à risque", c'est-à-dire "non protégé", ne fût-ce que quelques secondes, le docteur ès sida les convaincra que c'est à l'occasion de ce rapport "à risque" qu'elles ont été contaminées. Et quand vraiment, l'une des ces personnes nouvellement "contaminées" doit être considérée comme un "saint", en ce sens qu'elle a toujours et en tout temps utilisé un préservatif, à chaque seconde de chaque rapport sexuel, le docteur ès sida lui dire par exemple que c'est à l'occasion d'une fellation sans préservatif qu'elle a été sexuellement "contaminée". C'est - entre autres - sur base de cette "argumentation" de l'orthodoxie du sida que tu obtiens les statistiques de "risque" de contamination par voie sexuelle. Je ne peux donc que t'inviter à examiner très sérieusement le sujet. Ton ignorance sur le sujet est toutefois compréhensible, raison pour laquelle je t'invite à l'examiner réellement. Cordialement. Wallypat
  13. wallypat

    Guérir le Sida!

    J'ajouterais qu'à défaut de thérapeutes ès sida spécialisés en antioxydants, le séropo qui prendrait des compléments alimentaires devrait alors consulter régulièrement un nutritionniste, mais pas n'importe lequel, c'est-à-dire pas celui qui se contente globalement de mesurer les protéines, lipides et glucides, mais bien plutôt un nutritionniste ortho-moléculaire, qui pourra repérer les insuffisances ou excès alimentaires susceptibles de générer des troubles pathologiques et qui pourra également faire un bilan régulier du stress oxydatif du séropo. Il convient en effet de ne pas perdre de vue que des compléments alimentaires, dont les fameux antioxydants, mal utilisés et mal dosés, peuvent à terme causer des pathologies. Le recours à un nutritionniste spécialisé dans le sujet paraît donc utile, en tout cas, bien plus que les "spécialistes" actuels du sida dit "viral".
  14. Ah, cela commençait plutôt bien. Des propos de ce genre, tout particulièrement l'expression "gens normaux", que renieraient certainement pas les lepénistes de tout poil et la droite religieuse, me semblent sans aucune "pertinence" (pour rester poli, et je fais là un réel effort) sur ce forum, qui essaie d'aborder le plus souvent possible la question du sida sous un angle scientifique, et certainement pas sous l'angle de la morale, et encore moins sous un angle moralisateur. Il y a d'autres forums plus "appropriés" pour ce genre de propos "moralisateurs" (encore une fois, pour rester poli, je me retiens). Merci.
  15. Oui, Cheminot, voilà une nouvelle fabuleuse ! L'orthodoxie du sida vient de subir une bien cuisante défaite. Et quand je lis l'article auquel tu renvois, il est notamment précisé que statistiquement, la plupart des sud-africains prenant des drogues dites "antivirales" meurent ..... dans les quatre ans ! Mais sinon, à part ce "détail", les tri"thérapies" font du bien en Afrique du Sud ?! Peut-on maintenant espérer que grâce à cette décision de justice historique, le gouvernement sud-africain aura enfin les coudées franches pour bouter hors du pays toute cette orthodoxie du sida et toutes leurs drogues dites "antivirales" ? J'ose l'espérer. Et en plus, cela aura un effet absolument dévastateur sur l'orthodoxie du sida. Il me semble impossible que la presse ne puisse pas en parler dans de telles circonstances.
  16. wallypat

    Guérir le Sida!

    Waouw Lasimar ! Voilà une question bien vache à laquelle je serai bien en peine de répondre (je t'ai donc répondu en privé pour le reste). N'oublie pas que je ne suis pas un nutritionniste et que je me contente de répercuter sur ce topic-ci certaines informations que je trouve absolument fondamentales pour des séropos et encore plus pour ceux qui sont en stade de sida déclaré. Bref, jusqu'à maintenant, je ne me suis guère penché sur la question du fer. Mais suite à ta question, j'ai trouvé sur le net que le fer stimule le système immunitaire et possède un rôle antioxydant. Il y a effectivement des séropos qui ont des carences en fer, mais visiblement, ce n'est pas une carence vraiment fréquente, comparé au sélénium et au glutathion. Or la carence de ces deux derniers paraît absolument fondamentale, voire même nécessaire pour aboutir à un sida déclaré. Raison pour laquelle dans mon dernier post, j'ai essayé de fort insister sur cette carence. De manière générale, je te propose (de même qu'à tout lecteur intéressé) de te reporter au guide suivant : Un guide pratique de la nutrition pour les personnes vivant avec le VIH/sida. Certes, cela émane de l'orthodoxie du sida (canadienne), mais dans la première moitié de ce guide (l'autre moitié ayant surtout pour objet de mieux "survivre" aux drogues dites "antivirales"; autant dire, que je n'ai fait que survoler cette seconde partie), il donne des informations très utiles (même si cela commence parfois à un peu dater, selon moi) sur les compléments alimentaires. En particulier, aux pages 11 et 12, tu trouveras les limites à ne pas dépasser, sinon, les oligoéléments en question pourraient devenir toxiques. Concernant le fer plus particulièrement, tu constateras que c'est l'oligoélément pour lequel le guide se montre le moins enthousiaste finalement (puisqu'il ne faudrait en prendre qu'en cas de carence avérée). Sinon, le fer, tu peux en trouver dans les aliments suivants : foie, rognon, jaune d'oeuf, chocolat, fruits secs, boudin, coquillages, noisettes, poisson, crustacés. En revanche, le lait et ses dérivés ainsi que les légumes verts en contiennent très peu, semble-t-il. Pour revenir au sélénium, la dose habituellement recommandée serait de 200-300 mg, mais en cas de sida déclaré, il paraît recommandé d'en prendre des "doses de cheval" au début, genre 700-800mg (mais pas plus, sous risque d'effets toxiques). Quant à la N-Acétylcystéine, une dose quotidenne de 1000-1500mg serait recommandée, mais absolument avec au moins une dose double de vitamine C. En cas de sida avéré, il faudrait - au début - prendre également des "doses de cheval". Notons enfin que ces compléments alimentaires seront bien sûr beaucoup moins efficaces si le séropo continue malgré tout le même style de vie qui a abouti à rendre le test dit "HIV" positif. L'idéal, bien sûr, serait que des thérapeutes ès sida se spécialisent en antioxydants. Or, quand je lis des posts de Cheminot, ce genre de thérapeute, on ne les trouve pas vraiment en France mais bien en Allemagne ! Bref, pour que les choses changent, on a tout intérêt à faire connaître la dissidence du sida et à faire en sorte que celle-ci finisse par prévaloir. Nous aurons alors plus de chance d'avoir des thérapeutes qui puissent réellement soigner le sida, sans devoir recourir à ces tri"thérapies", ou du moins, beaucoup moins souvent qu'à l'heure actuelle. Pour le moment, c'est donc un peu le règne de la débrouille. Mais c'est toujours mieux que les drogues dites "antivirales", c'est déjà ça.
  17. wallypat

    Guérir le Sida!

    Pour tenter de compléter la liste des différents compléments nutritionnels déjà reproduits ici, et pour tenter de former un tout cohérent, je rajoute en plus les suivants (en me basant entre autres sur un ouvrage que chez moi sur les thérapies naturelles). Je ne citerai que ceux (que j'ai trouvés, du moins) qui ont tendance à protéger le séropo contre le stress oxydatif, cause du sida, et donc d'amoindrir le risque de destruction des TH1 (l'un des sous-groupes des T4), lesquels ont justement et entre autres pour fonction de lutter contre les fameuses infections "exotiques" caractéristiques du sida. Je ne citerai donc pas de substances qui ont pour rôle de stimuler le système immunitaire mais qui n'ont pas essentiellement pour but de lutter contre le stress oxydatif : par exemple l'huile de foie de chimère (trois fois plus riche encore que l'huile de foie requin en squalène), l'huile d'onagre (qui aurait tendance à stimuler les T4), les probiotiques tels que le kéfir, etc... 1) Les malades du sida sont particulièrement carencés en vitamines A, C, E, B6, B12, B9 et en zinc. Or ceux-ci participent tous dans la lutte contre le stress oxydatif. 2) Une attention toute particulière doit être portée à la carence en sélénium. D'après ce que j'ai pu lire sur le sujet, c'est bien simple, presque tous (pour ne pas dire "tous") les malades du sida souffrent tout particulièrement de carence en sélénium et glutathion. Concernant le glutathion, je renvois à mon dernier post ci-dessus dans ce topic-ci. Concernant le sélénium, je renvois par exemple (et entre autres) à cet article-ci("What Really Causes AIDS"), qui émane d'un orthodoxe du sida d'ailleurs. La carence en sélénium et en glutathion est à ce point fondamental que la mesure de ceux-ci paraît même être un bien meilleur marqueur du risque de sida déclaré que la mesure des lymphocytes T4 ! Concernant la supplémentation de sélénium, on veillera toutefois à ne jamais dépasser la dose de 800mg par jour au risque de survenance d'effets secondaires. Je n'hésite pas à le dire mais d'après ce que j'ai pu lire, quelqu'un qui veut prévenir un sida déclaré ou qui veut y survivre tout en ayant un maximum de chances de se passer des drogues dites "antivirales" doit entre autres mais absolument mettre l'accent sur une supplémentation en sélénium et en glutathion (et une très forte supplémentation au départ lorsqu'il est en plein sida déclaré). Cela ne marchera pas à tous les coups (en particulier si le stress oxydatif paraît être devenu irréversible), mais cela l'aidera beaucoup. Le sélénium et le glutathion (ce dernier via la N-Acétylcystéine + vitamines C), c'est absolument fondamental. Bref, s'il n'y en avait que deux à retenir, ce serait ces deux-là en priorité. 3) Je renvois également à l'un des posts ci-dessus de crepator4 (cliquez ici) qui renvoit à un excellent article de l'orthodoxie du sida (en fait, cet article devient excellent dès lors que vous supprimez chaque fois les mots "VIH"). Et d'ailleurs, je remercie crepator4 car il met souvent dans ce topic-ci des liens vers de très intéressants compléments alimentaires. Ce renvoi par crepator4 est absolument fondamental car il met l'accent sur différents antioxydants : le glutathion et la N-Acétylcystéine, mais aussi le coenzyme Q10. Le coenzyme Q10 joue un rôle absolument essentiel dans la respiration cellulaire, et est en plus un antioxydant. Son rôle est bien mieux amélioré en association avec des vitamines déjà citées ci-dessus, à savoir A (en particulier le Bèta carotène), C et E. Lorsque l'on sait que les maladies "exotiques" qui caractérisent le sida sont en rapport avec un défaut d'oxygénation cellulaire, cet coenzyme Q10 ne devrait pas tomber dans l'oreille d'un sourd. 4) Le "germanium organique G132" est un oligoélément fondamental également car : - c'est bien sûr un antioxydant, mais en plus - il intervient également (comme le coenzyme Q10) dans l'oxygénation cellulaire (cf maladies "exotiques" du sida), - il active le système immunitaire en produisant de l'interféron gamma, en transformant les macrophages en repos en macrophages cytotoxiques pour les virus et en stimulant trois fois plus les lymphocytes K (qui combattent des tas de virus). 5) La spiruline a également montré son utilité sur le sujet : voyez ce topic-ci. Cela peut s'expliquer justement par ses larges propriétés antioxydantes, elles-mêmes expliquées par sa composition, naturellement riche en vitamines E et B, en zinc, etc... 6) Je fais également un renvoi vers un ancien topic que j'ai découvert il y a quelques jours et dont le début était relatif à la thérapie par l'ozone (cliquez ici). Ce topic a justement été appelé "Le sida ne survivrait pas à l'oxygène", ce qui est en parfaite concordance avec l'explication de l'apparition des maladies "exotiques" du sida. 7) Il y a bien sûr la méthode Beljanski (le pao pereira) qui a fait ses preuves, semble-t-il, mais vu son coût élevé, cela devrait plutôt être réservé à ceux dont les différents autres compléments alimentaires cités dans ce topic (mais je me permets encore d'insister sur l'importance fondamentale du sélénium et du glutathion) n'auraient pas produit l'effet durable espéré. Voilà, c'était pour tenter de compléter ce topic. J'ajouterai enfin qu'à mon sens, toutes les suggestions de compléments alimentaires citées dans ce topic ne remplaceront jamais le premier "remède" contre le sida, à savoir supprimer définitivement le style de vie qui a pu permettre de rendre de façon durable positif le test dit "HIV", et ce avant que le stress oxydatif ait pu causer des dommages irréversibles. Bref, ces "remèdes" s'adresseront peut-être en tout premier lieu à ceux qui ont déjà vécu un sida déclaré et/ou sont sous drogues dites "antivirales", mais on attirera leur attention sur le fait que cela ne fonctionnera pas nécessairement toujours, si justement, le stress oxydatif paraît être devenu irréversible. Dans ces cas-là (qui ne semblent heureusement pas être légion), le recours aux trithérapies pourra paraître être la seule solution, malgré les effets secondaires de celles-ci. Enfin, je terminerai en disant que si la solution des compléments alimentaires (soit en particulier des antioxydants) peut fonctionner chez des séropos ayant abandonné les drogues dites "antivirales", la baisse des T4 qui peut (assez souvent) survenir ensuite ne doit pas forcément être considérée comme inquiétante, en particulier si cette baisse (apparente, dans ce cas-ci) n'est pas accompagnée de nouvelles infections "exotiques", et doit même être considérée comme un bon signe !En effet, comme cela a été souligné à plusieurs reprises dans le topic principal "Le VIH ne causerait pas le sida", la hausse antérieure des T4 suite à la prise des drogues dites "antivirales" était en partie artificielle car cette hausse était (en partie) une conséquence de l'organisme qui luttait contre les effets toxiques de certaines de ces drogues dites "antivirales" (exactement comme l'AZT auparavant, mais dans une moins forte mesure pour les nouvelles drogues dites "antivirales"), ce qui faisait "naturellement" augmenter les T4.
  18. wallypat

    Guérir le Sida!

    Dans le topic "Le VIH ne causerait pas le sida", j'avais souligné récemment l'importance absolument fondamentale de la carence en glutathion (causée justement par le stress oxydatif) dans le risque de survenance d'un sida déclaré : lisez le post : GUERIR DU SIDA GRÂCE A UN CHEWING-GUM?!. Pour approfondir davantage le sujet, je renvois le lecteur au lien suivant "Le glutathion est vital", lequel comporte en fin d'article de nombreuses références scientifiques (très) récentes. Et je reproduis ci-dessous les parties de cet article en rapport avec le sida (et aussi avec l'hépatite C puisque de toujours plus nombreux séropos vivent avec une coïnfection au VHC et car il apparaît de plus en plus que l'hépatite C est également et fortement en rapport avec le stress oxydatif) :
  19. Bonjour Shasha. J'ai lu la seconde partie de ton témoignage avec intérêt. Concernant ta fille, je ne pense pas qu'il y a matière à s'inquiéter ..... pour autant qu'elle ait une alimentation équilibrée et qu'elle ne souffre donc pas des carences nutritionnelles que tu as vécues et vis encore manifestement. Tu as en effet été très bien inspirée de ne prendre aucune drogue dite "antivirale" durant ta grossesse. Ainsi ta fille n'a pas été confrontée à la toxicité de ces drogues. De même, tu as très bien fait de te débarrasser de l'AZT une fois sortie de l'hôpital avec ta fille. Ta fille n'a donc été exposée à ce très dangereux poison pendant une semaine uniquement. Les risques sont donc assez limités que ta fille doive souffrir plus tard de ce "traitement". En revanche, cette exposition temporaire à l'AZT ainsi que les fortes carences nutritionnelles dont tu as visiblement été victime dès ta grossesse (tu as souffert d'une très forte anémie, comme tu le précises), outre le fait que les personnes de race noire ont des taux d'anticorps en moyenne neuf fois plus élevés que les personnes de race blanche, expliquent à eux seuls que le test HIV se soit révélé positif pour ta fille. Rien à voir avec je ne sais quelque rétrovirus VIH ! A vrai dire, pour ce qui concerne ta fille, ce qui importe, c'est qu'elle ait maintenant une très bonne alimentation car elle a visiblement souffert d'une carence nutritionnelle. Il n'y a visiblement aucune raison qu'elle ne puisse pas vivre aussi longtemps que n'importe quelles autre fille de son âge vu les raisons apparentes de sa séropositivité. Il est même tout à fait possible qu'elle redevienne séronégative, mais tu ne le sauras sans doute jamais vu que l'un des dogmes - bien sûr erronés - du sida viral est que l'on est séropositif à vie. En d'autres termes, comme d'autres l'ont déjà dit dans ce topic, du moins concernant ta fille, le mieux que tu aurais à faire, c'est d'oublier définitivement ce maudit test "HIV", du moins concernant ta fille. Mais comme tu es sous surveillance, il te faudra bien continuer à aller aux examens médicaux, mais comme je te l'ai expliquée dans mes précédents posts, il n'y a plus lieu de s'inquiéter pour ta fille, du moins si elle est correctement nourrie. En revanche, je suis plutôt inquiet pour ta propre santé, car il y a réellement motif à inquiétude (sans toutefois dramatiser). Il faut tout d'abord comprendre comment tu as pu être déclarée séropositive, puisque les tests dits "VIH" ne révèlement en réalité jamais une infection au VIH. Et à cet égard, ton témoignage permet visiblement de l'expliquer. En effet, ta séropositivité a été détectée lors de ta grossesse. Cette circonstance (la grossesse) est bien connue pour être une cause potentielle de positivité au test dit "HIV". Mais d'autres facteurs permettent de l'expliquer, puisque tu précises que tu souffrais d'une très forte anémie. Or l'anémie est assez courante chez les femmes enceintes et est fortement aggravée en cas de carence nutritionnelle, ce qui a visiblement été le cas déjà dès la période de grossesse (cf attitude de ton mari). Comme en plus tu es africaine et que les personnes de race noire ont naturellement neuf fois plus de taux d'anticorps que les personnes de race blanche, tu avais encore plus de "chance" d'avoir un test dit "HIV" positif. Et comme si cela ne suffisait pas, tu vivais dans une situation de stress psychologique intense (chômage de ton mari). La conjonction simultanée de tous ces facteurs permettent aisément d'expliquer ta séropositivité, laquelle devait donc être transitoire en principe, et ne pas porter à forte conséquence. Tu le dis toi-même, tu te sentais en bonne santé à cette époque-là ! Mais le gros problème, c'est que l'orthodoxie du sida t'a fait croire que tu étais infectée par le VIH ! Bref, la solution a ton problème - clairement momentané - de séropositivité aurait dû constater à remédier au plus vite à tes problèmes de - fortes - carences nutritionnelles. Or c'est tout le contraire qui se produit. Ton mari t'impose je ne sais quel régime encore plus sévère qu'antérieurement et tu souffres manifestement encore plus de malnutrition ! Il n'est dès lors pas étonnant, ta détresse ne faisant qu'accentuer fortement les choses, que tes T4 baissent de façon vertigineuse (jusqu'à 14 donc) et que tu fasses un sida déclaré, à savoir une histoplasmose, qui est une maladie infectieuse du poumon causé par un champignon. La quadrithérapie (le FUZEON est aussi une drogue dite "antivirale" ["prometteuse" aux dires de l'orthodoxie du sida lol !]) que tu as prises et que tu sembles prendre encore a eu au moins le mérite de stopper de toute urgence ta histoplasmose, et à ce titre, c'est-à-dire l'extrême urgence, il me semble que c'était encore la moins mauvaise chose à faire, du moins à ce moment-là, sinon tu n'aurais vraisemblablement plus été là pour en parler ! Ceci étant, ton cas de sida me paraît être un cas typique de "sida nutritionnel", que ta détresse actuelle psychologique a fortement accentuée. Il va sans dire que les tri(quadri)(multi)thérapies ne sont maintenant plus la solution, et les effets pudiquement appelés de "secondaires" par l'orthodoxie du sida sont malheureusement là pour te le rappeler. Il va également de soi que je n'exprime là que mon opinion et que tu prendras seule la responsabilité de ce que tu feras ensuite. Mais comme tu viens sur ce forum, c'est justement pour avoir l'opinion de certains, du moins, je le présume. En d'autres termes, à mon humble avis (mais je pense que d'autres sur le site le confirmeront également), ce que tu dois maintenant faire coûte que coûte et le plus rapidement possible, c'est de rémédier aux - très graves - problèmes nutritionnels dont tu souffres manifestement. De nombreux "sidéens" africains ont surmonté leur sida en étant à nouveau correctement nourris et en recourant entre autres aux vitamines, quoique cela peut prendre plusieurs semaines ou même plusieurs mois avant d'être réellement rétabli. Bref, recommence à te nourrir correctement et le plus vite possible (et heureusement ton mari n'est plus là pour t'en empêcher; visiblement [et cela n'est qu'une opinion purement subjective], c'est l'attitude de ton mari qui fut la première cause de tous tes malheures antérieurs et présents, et à ta place, je ne regretterais pas qu'il t'ait abandonnée) mais tant que tu penses que tu n'auras pas remédié correctement à ce problème de carence nutritionnelle, il pourrait être assez risqué d'arrêter trop brusquement ta quadrithérapie. C'est à toi de le sentir en fait. Bien sûr, tu es en pleine détresse psychologique, ce qui n'arrange vraiment pas les choses. Mais déjà comprendre que ton sida n'est pas dû au VIH mais bien à un grave problème de malnutrition devrait déjà t'aider à surmonter cette détresse psychologique. Je me rends parfaitement compte que le conseil que je donne (soit : nourris toi correctement le plus rapidement possible et abandonne ta trithérapie) peut paraître assez dangereux. Raison pour laquelle j'insiste bien sur le fait que c'est à toi seule de prendre la responsabilité de ce que tu feras. Mais je suis fermement convaincu de ce que je dis, du moins en me basant sur les renseignements que tu m'as communiqués. J'espère sincèrement que tu te porteras prochainement beaucoup mieux. PS : J'insiste encore sur le fait que je ne suis en aucune façon médecin, que je ne te suggère par le présent post absolument aucun avis médical et que mon avis doit être interprété pour ce qu'il est, à savoir juste une simple opinion. A toi d'en faire ce que tu veux et sous ta seule responsabilité.
  20. Mais il me semble qu'il y a quelques exceptions (en France, en tout cas), résultant tantôt de la loi, tantôt de l'interprétation jurisprudentielle. Ainsi, au cas où une personne est - fortement - présumée d'avoir violé une autre, on ne lui refile pas de trithérapie certes, mais je crois qu'on peut lui faire d'office et sans son consentement un test dit "HIV". Je me trompe peut-être, mais je crois que c'est depuis peu permis en France (et c'est certainement le cas dans certains Etats américains). Evidemment, cela me choque. Mais là n'est pas la question. Et puis, il y a le cas des mineurs, du moins ceux estimés - en droit - comme n'ayant pas encore de capacité de discernement (jusque +/- 14-15 ans, voire un peu plus). Les parents ont certes l'autorité parentale et décident des traitements adéquats à administrer à leurs enfants. Mais si contre l'avis du corps médical, les parents "s'obstinent" à refuser les traitements "proposés" (disons plutôt "imposés") par l'orthodoxie médicale, celle-ci, tout confiante qu'elle est dans "sa" vérité scientifique, trouve dans le droit des moyens juridiques pour outrepasser l'autorité parentale et aller à l'encontre de celle-ci. L'une des justifications juridiques avancées est ce qu'on appelle en droit "l'état de nécessité", à savoir commettre un moindre mal (aller à l'encontre de la volonté des parents) pour éviter un bien plus grand mal qui va sans aucune doute se produire (l'aggravation de la santé de l'enfant mineur, voire même la mort de celui-ci) selon le corps médical. C'est surtout cette notion d'"état de nécessité" qui justifie juridiquement qu'un traitement médical soit imposé à un enfant mineur contre l'avis des parents. Et si le corps médical a de fortes présomptions de penser que les parents iront jusqu'à saboter l'administration des traitements en question, ils pourront même jusqu'à aller à retirer aux parents, au moins provisoirement, l'autorité parentale sur l'enfant en question et confier celui-ci à d'autres personnes "qui pourront mieux s'en occuper". Un cas typique, je crois, est à cet égard celui des parents Témoins de Jéhovah, qui refusent les transfusions de sang, même pour leurs enfants, quand bien même cela pourrait sauver la vie de ceux-ci. Sur base de l'argument juridique tiré de l'"état de nécessité", le corps médical passera outre le refus des parents. Tu te doutes bien qu'en matière de sida, je n'approuve pas du tout, mais les justifications juridiques existent. Le seul moyen pour les parents de s'y opposer est d'aller en justice. Mais comme le mythe viral du sida prévaut toujours à l'heure actuelle, c'est quasiment peine perdue. Et je ne crois hélas pas que des associations pourront venir en aide, par exemple celles qui luttent contre les vaccinations obligatoires. Car je crois que la plupart d'entre elles pensent toujours que le sida est causé par le VIH. Bref, pour remédier à cet état de fait, je ne vois qu'une seule solution "rapide" (façon de parler), à savoir faire connaître encore et toujours la dissidence scientifique du sida.
  21. J'essaie de te comprendre, Cheminot, et il est certain que je ne connais pas grand chose à l'homéopathie. Mais à te lire, tu sous-entendrais que la séropositivité pourrait être soignée grâce à l'homéopathie (si je t'ai bien compris) ? Pourrais-tu en dire plus ? Car je trouve cela très intéressant bien sûr, surtout qu'à part toi, je n'ai encore jamais lu un écrit d'un scientifique dissident du sida émettant l'hypothèse que la séropositivité pourrait se soigner grâce à l'homéopathie. Mais tu diras peut-être que l'homéopathie est déjà - à tort - dénigrée en temps normal, et qu'il est donc normal que la dissidence scientifique du sida ne pense pas à cette possibilité de "traitement". Je présume toutefois (mais je me trompe peut-être) que l'homéopathie reste sans effet en cas de stress oxydatif devenu irréversible et, de manière générale, si le séropositif n'a pas renoncé définitivement au style de vie qui l'a mené à la séropositivité. D'un autre côté, je ne crois pas que la plupart des "survivants à long terme" ont eu recours à l'homéopathie pour "survivre" à leur séropositivité. Bref, je ne sais quoi penser de ta suggestion, mais en tout cas, il serait peut-être temps que je m'intéresse de plus près à l'homéopathie (mais c'est justement le temps qui me manque ! lol).
  22. Shasha. C'est difficile à comprendre si on n'a pas vraiment analysé le sujet, mais ôte toi l'idée de la tête que ta fille a été contaminée par je ne sais quel virus et qu'il faut tout faire pour les défenses immunitaires de ta fille restent hautes pour lutter contre je ne sais quel virus HIV. Grossièrement résumé, un test HIV positif (comme ce fut le cas pour ta fille) traduit un désordre immunitaire, lequel peut parfaitement être transitoire (comme c'est de prime abord le cas avec ta fille). Comme ta fille n'a visiblement jamais fait d'infections opportunistes (et tant mieux d'ailleurs) et maintenant qu'on ne lui administre plus d'AZT (et d'autres drogues dites "antivirales"), ce que tu devrais faire, c'est faire en sorte que ta fille mange, joue et vis comme n'importe quelle fille de son âge. Il y a de grandes chances pour que ta fille s'en sorte définitivement indemne de l'épisode AZT. Joue le jeu avec les médecins, tant que cela ne se résume qu'à des prises de sang. Il est fort probable qu'elles s'espaceront au fil du temps à mesure que les médecins constateront que l'état de ta fille reste bon. Et ces prises de sang ne me semblent de toute façon pas inutiles. En effet (et malheureusement), l'AZT, même interrompu, peut parfois causer des effets secondaires ultérieurement, qui seront mis sur le compte du HIV par l'orthodoxie du sida, alors qu'ils devraient être mis sur le compte de l'AZT. Bref, fais le nécessaire pour que ta fille ait une bonne immunité en général, non pour lutter contre je ne sais quel HIV, mais bien pour lutter contre toutes les infections qui peuvent toucher n'importe quel enfant en général. Bref, agis comme n'importe quelle maman d'un enfant séronégatif, mais "profite" des prises de sang de ta fille pour t'assurer et, le cas échéant, prévenir d'éventuels effets secondaires ultérieurs de l'AZT. En collaborant ainsi (tout en s'efforçant d'éviter l'administration de n'importe quelle drogue toxique dite "antivirale" à ta fille), les autorités devraient progressivement et logiquement te laisser en paix.
  23. Bonjour Sasha, et sois la bienvenue sur ce forum, quoique nous aurions tous préféré que cela ne soit pas dans de si horribles circonstances. 1) Tu ne dois absolument pas te sentir coupable d'avoir allaité ta fille, que du contraire même ! Examine par exemple cette étude-ci qui date de 2001 et qui a été traduite en français :HIV et lait maternel : faits et mythes. Je reproduis ci-dessous certaines de leurs conclusions, lesquelles devraient définitivement te soulager et même définitivement te convaincre que tu as au contraire pris la BONNE décision en allaitant ta fille : Le lait maternel est absolument irremplaçable et tu as très bien fait de ne pas recourir aux laits industriels, dont les éventuelles substances nutritives sont de bien piètre qualité comparé au lait maternel. On peut d'ailleurs raisonnablement considérer que c'est justement grâce à l'allaitement naturel de ta fille qu'elle a pu visiblement résister relativement bien, voire même très bien, à l'AZT. Si tu avais au contraire recouru aux laits industriels, il n'est vraiment pas certain que ta fille serait en apparente aussi bonne santé que maintenant. En réalité, en l'allaitant, il est même probable que tu as sauvé la vie de ta fille, confrontée qu'elle fut à l'AZT, soit la plus toxique des drogues dites "antivirales". Donc, ôte toi définitivement l'idée de la tête que tu aurais pris la mauvaise décision, ainsi que toute idée de culpabilité. Il semble en effet fort probable que la séropositivité de ta fille résulte de l'AZT, et de rien d'autre. ET EN AUCUNE FACON TU NE L'AS "CONTAMINEE" ! SOIS EN SÛR ! 2)Ta situation est absolument symptomatique de l'arrogance sans borne de l'orthodoxie du sida, obsédée qu'elle est par le VIH. Et ta situation n'est absolument pas isolée, ce qui ne constitue toutefois pas une consolation. Lisez par exemple la terrifiante histoire suivante : Témoignage de l'horreur. Alors que faire, d'autant plus que tu sembles dans le collimateur des "autorités" ? S'enfuir ? Oui, peut-être, mais ce n'est pas évident et certainement pas à la portée de toutes les bourses. Un procès ? Oui, pourquoi pas. Mais ce n'est également pas à la portée de toutes les bourses. En outre, le succès est très loin d'être assuré car les autorités s'estiment dans leur bon droit, ce qui sera très vraisemblablement confirmé en justice. Face à la supposée "irresponsabilité" des parents, le droit prévoit généralement que la santé du mineur doit prévaloir sur l'autorité parentale, et à ce titre, le droit peut "justifier" que la garde de l'enfant puisse être retirée à ses parents, et ce en vue de la sauvegarde de l'intérêt supérieur que constituerait la santé de l'enfant "maltraité" par les parents. Et tant que le monde sera persuadé que la séropositivité est le signe d'une infection au "VIH", les autorités s'estimeront toujours dans leur bon droit. Et comme si cela ne suffisait pas, un tel procès (+ éventuellement un procès en appel) durera des années et des années, et pendant ce temps, tu risques de voir la garde de ta fille retirée et de ne plus avoir la joie de la voir grandir ! 3) Il me semble toutefois qu'il y ait un réel motif d'espoir. Ta fille n'est visiblement (si j'ai bien compris) plus sous quelque drogue dite "antivirale", en particulier l'AZT, et semble en bonne santé. Elle semble donc avoir assez bien résisté à l'AZT (entre autres, grâce à l'allaitement maternel, cela me semble de prime abord indéniable). A cet égard, ce serait peut-être utile de nous préciser pendant combien de temps elle fut confrontée à l'AZT. Maintenant qu'elle n'est plus sous AZT et grâce à la relative capacité naturelle de l'organisme humain de se "régénérer", il y a de grandes chances qu'elle puisse vivre aussi longtemps que n'importe quelle autre fille de son âge; c'est du moins ce que j'espère vraiment. Il existe des témoignages d'enfants qui ont très bien récupéré après une monothérapie en AZT et qui vivent comme n'importe quel autre enfant de son âge (lis par exemple ces témoignages-ci :Comment mon bébé en bonne santé a contracté le sida après avoir pris de l'AZT). En attendant de trouver une meilleure solution (par exemple, un déménagement dans une autre région de France ?) ou que la pensée dissidente du sida s'impose enfin, et comme tu sembles visiblement sous la surveillance des "autorités", je pense qu'il faudrait jouer "le jeu" (pour autant que l'on puisse réellement parler de "jeu", tellement ta situation est kafkaïenne) de façon hypocrite, bref continuer à aller aux "visites médicales". Comparé à l'AZT, les nombreuses prises de sang de ta fille constituent encore un moindre mal. Et je crois qu'on peut raisonnablement espérer que la santé de ta fille restant toujours aussi bonne, les examens médicaux s'espaceront d'eux-mêmes, peut-être même à la demande des médecins, surtout s'ils voient que tu collabores. Mais il est clair que tu ne devras jamais leur parler de "dissidence du sida" car tu courras le réel risque de voir la garde de ta fille retirée. Tes mésaventures me désolent vraiment mais je pense que tant que ta fille n'est plus invitée à prendre de drogues dites "antivirales", autant montrer patte blanche pendant quelque temps. Je ne crois pas que c'est le moment pour toi de tenter de faire la "révolution" et autant essayer de composer adroitement avec l'orthodoxie du sida, tout en évitant leurs traitements bien sûr. J'ose espérer que la situation se décantera ensuite d'elle-même, ta fille ayant visiblement éviter le pire. Voilà, c'était juste mon opinion. Garde courage en tout état de cause !
  24. Avant de donner ce genre du "conseil" à une personne qui a justement compris ou du moins pressenti que le sida et la séropositivité n'ont rien à voir avec toutes les âneries claironnées sur le sujet depuis 25 ans, je t'invite pour ma part à lire préalablement et à tout le moins les deux articles mentionnés juste avant le début du sommaire du topic "Le VIH ne causerait pas le sida", outre bien sûr le sommaire lui-même et les différents liens y mentionnés, et à nous démontrer ensuite que le sida est effectivement causé par le VIH, lequel existerait en plus en tant qu'entité rétrovirale exogène et même pathogène. Je ne pense vraiment pas qu'elle soit venue sur ce forum pour entendre à nouveau les mêmes commentaires que ceux de l'orthodoxie du sida. Merci. Amicalement.
  25. Bonjour Cheminot. Comme tu parles également de la N-Acétylcystéine, je me permets de te poser la question suivante. Premièrement, je connais quelques séropos qui prennent uniquement une monothérapie, à savoir la lamivudine (ou une drogue dite "antivirale" avec le même principe actif, le 3TC, je crois), qui leur a été prescrite au motif que leurs T4 ont baissé un peu trop bas au goût de leur médecin traitant, et quoiqu'il ne souffrait d'aucune infection dite "opportuniste". Soit. Force m'est de constater qu'ils ne souffrent effectivement pas (du moins, apparemment) d'effets secondaires particuliers, sauf une très légère lipodystrophie à peine visible. Soit également. Deuxièmement, la dissidence et même l'orthodoxie du sida (du moins, la ligne "Montagnier") recommandent généralement aux séropos asymptomatiques de prendre des antioxydants. L'un de ceux qui est justement recommandé est la N-Acétylcystéine que l'on peut trouver partout ou presque à titre de complément alimentaire. Il est recommandé d'en prendre en même temps qu'une dose double ou même triple de vitamines C pour accroître les effets de la N-Acétylcystéine et faciliter la formation de glutathion (le déficit en glutathion étant commun chez tous les sidéens et presque tous les séropos) mais aussi pour éviter des effets secondaires, genre calculs rénaux (si je me rappelle bien). Ma question est la suivante. Selon toi, la N-Acétylcystéine (qui est donc un complément alimentaire "naturel", disponible partout et sans ordonnance du médecin) prise chaque jour ou presque par un séropo asymptomatique : - est-elle efficace (ce que je suppose) dans une certaine mesure pour prévenir un sida déclaré ? - est-elle plus efficace que la lamivudine ou moins efficace que la lamivudine pour prévenir un sida déclaré (ce que j'ignore), - comporterait-elle éventuellement plus de risques d'effets secondaires que la lamivudine (ce que tu laisses sous-entendre, semble-t-il) ? Je te pose cette question car tout à la fin de ton post, tu sembles clairement dire que la lamivudine, qui me semble clairement être un produit issu du sidabusiness, serait moins dangereuse que la N-Acétylcystéine, qui est un produit en vente libre. Et étant donné que je connais quelques personnes séropositives asymptomatiques qui prennent de la N-Acétylcystéine, je suis vivement interpellé par ton observation finale. Merci d'avance pour ta réponse !
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