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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Certes, ce serait peut-être une bonne initiative, mais crois-tu vraiment que cet ouvrage aurait un quelconque succès, même destime ? Pour moi, cet ouvrage de témoignages de séropositifs français (et belges) qui auraient survécu à la folie du sida rétroviral desservira complètement la dissidence française, du moins en prenant les témoignages que lon trouve sur ONCT. Parmi ceux qui nont « encore » jamais consommé de drogues dites « antirétrovirales », tu peux déjà oublier ceux qui sont séropos depuis quelques années ou de manière générale ceux qui le sont depuis moins de dix ans. Leur témoignage ne prouvera rien, sauf quils suivraient les préceptes dune bande dhallucinés. Parmi ceux qui ont consommé des drogues dites « antirétrovirales » , tu peux oublier ceux qui ont arrêté depuis quelques mois ou de manière générale depuis moins de deux ou trois ans, car cela ne prouvera toujours rien, sauf quils suivraient les préceptes dune bande dhallucinés. Et parmi ceux qui restent, je ne vois pas trop quel témoignage on pourrait retenir puisque soit ils font une pneumocystose (Pierrot, DakAZ, Anarista, Melloute, ...) soit prennent linitiative de reprendre la consommation de drogues dites « antirétrovirales » (Almavita). Alors, des explications peuvent être données à ces différents cas, mais peu importe, tout ce que le lecteur lambda et/ou un peu beauf retiendra, cest quils ont quand même fait un sida déclaré et/ou ont consommé à nouveau des drogues dites « antirétrovirales », cest-à-dire la confirmation (apparente) quils ont bien suivi les préceptes dune bande dhallucinés. Reste encore quatre ou cinq autres témoignages de très anciens séropositifs, mais soit on nen entend plus jamais parler, soit leurs tout derniers posts faisaient part de très graves problèmes de santé annonciateurs de sida (et puis, plus de nouvelles). Je ne vois à ce jour quun seul témoignage probant (mais cela me semble bien peu pour faire un ouvrage collectif), à savoir celui de Viduité (devenu séronégatif). Mais même là, je vois déjà (tellement cest évident) la parade qui sera trouvée par lorthodoxie du sida : même si Viduité prouvait effectivement quil était redevenu séronégatif par des tests à son nom, lorthodoxie du sida dira tout simplement que Viduité ne faisait manifestement pas partie dun groupe à risque et qu'il était par conséquent en réalité un faux positif au départ (la fièvre typhoïde ayant fait réagir le test de stress oxydatif appelé par erreur "VIH"). Je parais peut-être un peu cynique mais cest bien ainsi que je vois - personnellement (en tout cas) - les choses. Dans ces conditions, ce futur ouvrage aura toutes les chances dêtre considéré comme le témoignage dune bande dhallucinés. Je navais pas dit cela sans y avoir réfléchi. Bref, jai toutes les raisons de penser que lespoir viendra surtout de ce qui passe dans dautres pays. Mais sinon, oui, pourquoi pas un tel ouvrage collectif. Reste à trouver au moins quelques témoignages probants.
  2. Je dois reconnaître que ma propre expérience donne raison à Psyence, à tel point qu'à l'heure actuelle, je ne recommande plus la lecture de ce site en première lecture, sauf pour recommander les articles figurant sous la section "Livrets". Pour commencer, à ceux qui me contactent, je ne recommande qu'en première instance, la lecture de deux sites : www.theperthgroup.com et les 153 interventions d'Eleni Papadopulos-Eleopulos qui ont eu lieu au cours du récent débat scientifique qui a opposé pendant deux ans orthodoxes et dissidents du sida. Et j'insiste bien également sur le fait que les 153 interventions en question ridiculisent à tout jamais et pour le restant de l'humanité l'hypothèse rétrovirale du sida (ce qui est bien exact d'ailleurs). Comme je donne là deux sites plutôt scientifiques, cela impressionne un peu et en tout cas, cela ne suscite déjà pas le rejet. C'est déjà ça. Vient alors la réponse habituelle : "C'est en anglais, je ne comprends rien" ! Alors là, cela devient un peu plus dur. Je dois alors recommander la lecture de la synthèse (car je ne vais pas perdre mon temps à expliquer tout cela en privé, j'aiguise sa curiosité, mais c'est à lui de faire ensuite le travail de réflexion; s'il ne le fait pas, tant pis pour lui, c'est un cas irrémédiablement irrécupérable) et uniquement la synthèse (je ne dis pas de lire l'ensemble des interventions sur ce forum car certaines interventions de dissidents ridiculisent complètement la dissidence du sida), mais désolé pour ONCT, je dois préalablement commencer par fortement dénigrer ONCT (mais si je ne le pense pas vraiment) et préciser que la dissidence du sida se trouve sur ONCT uniquement parce que c'est le seul forum où l'on peut discuter, en langue française, du sujet sans censure. Cela passe mieux. Et ce n'est finalement en dernier lieu (à supposer que je le recommande d'ailleurs) que je recommande la lecture de certains articles de sidasante, avec toutes les précautions d'usage (entre autres, en précisant qu'il faut considérer ce site comme une bibilothèque en langue française de la dissidence du sida, mais qu'il ne faut pas tout prendre au pied de la lettre). Tout cela n'enlève rien à la considération que www.sidasante.com reste un "must", bien sûr ! Que faire ? L'un des problèmes, je crois, c'est qu'on n'est pas assez nombreux, en France du moins, même si ce nombre augmente (très) lentement. Ecrire un ouvrage collectif ? Oui, pourquoi pas, mais ce sera un ouvrage de plus parmi tant d'autres déjà parus et il passera sans doute complètement inaperçu. Encore un ouvrage d'une bande d'hallucinés ! C'est du moins mon avis. J'avais pour ma part pensé à l'ouverture d'une association "spécifique" de lutte contre le sida, genre Act Up et consorts. Mais les difficultés juridiques seront légion (genre loi anti-secte). Et puis, qui aurait le temps de se consacrer à une telle association ? Et surtout, avec quels moyens en outre (à supposer que les difficultés juridiques aient d'ailleurs été résolues) ? Un grand pas en avant serait, je crois, réalisé en France si la question de l'hypothèse rétrovirale du sida était examinée par un tribunal (comme cela est actuellement le cas en Afrique du Sud et en Australie). Encore faut-il que le séropositif soit informé du sérieux de cette controverse, outre de la controverse elle-même. En d'autres termes, je suis très pessimiste (du moins, pour ce qui concerne la France, car pour la dissidence en général, je suis modérément optimiste), et je ne vois de salut que dans ce qui se passe dans d'autres pays, bien plus avancés que nous dans la dissidence du sida. Et en cas de réussite dans ces pays, tôt ou tard, la presse généraliste française devra bien en parler (même si ce sera négativement, mais au loin, le lecteur sera enfin informé de l'existence d'une dissidence de sida, ce que bien peu de monde sait en fait). Bref, en attendant, et pour ma part, je ne vois que le bouche à oreille, qui fonctionne bien mieux que ce qu'on pourrait croire, mais surtout chez les séronégatifs (malheureusement !).
  3. A la lecture des derniers posts, je me rends compte que finalement tout le monde est d'accord sur tout (ou presque), mais que le problème réel est : "Comment faire comprendre aux gens que le sida n'est pas causé par le 'VIH'" ? J'avoue que je fonde mes espoirs dans d'autres pays que la France : - Afrique du Sud : l'hypothèse rétrovirale est actuellement analysée par la Cour Suprême; - Australie : une personne séropositive est poursuivie pour avoir "contaminé" et tenté de "contaminer" deux femmes (l'affaire est actuellement jugée devant un tribunal et le séropositif a eu la bonne idée de demander l'aide du Perth Group pour le défendre); - Aux USA : le débat commence enfin à se développer suite à un article paru en mars dernier (l'édifice du sida "rétroviral" commence tout doucement à se fissurer, visiblement). A vrai dire, pour le moment, c'est surtout d'Afrique du Sud que j'en attends le plus. L'avenir le dira (prochainement, d'ailleurs). Pour ma part, j'essaie de faire passer le message sur des sites de rencontre. Alors, je sais que le sujet sera vite censuré, mais au moins, les écrits restent (généralement). Et même si le débat finit rapidement en queue de poisson et surtout en insultes, d'autres intervenants finissent par lire les écrits en question (et entre autres, le renvoi vers la synthèse de ce forum) ... et finissent par me contacter ! Ils ne sont pas nombreux certes, mais ils le sont bien plus que ce qu'on pourrait croire. Et chaque semaine, en moyenne, j'ai une ou deux personnes qui me contactent pour me dire que toute cela n'est pas si stupide que ça et qu'elles veulent mieux s'informer sur le sujet (dans ce décompte, ne sont évidemment pas comprises les personnes qui m'envoient des messages d'insulte). Je donne des infos complémentaires, et généralement, je n'en entends plus parler. Mais parfois, ils deviennent de nouveaux (rares) intervenants sur ce forum-ci ! C'est déjà ça !
  4. Il a dit que 2 à 5% sont INFECTEES par le HIV (résultat de recherches) et qu'au microscope toutes les cellules sont ALTEREES (je suppose en cas d'effondrement du système immunitaire) et non infectées. Juste pour préciser à l'attention de n'importe quel lecteur que chaque fois (!) que l'orthodoxie du sida prétend qu'elle a découvert que le "VIH" a infecté telle ou telle cellule, cela ne signifie JAMAIS qu'elle a effectivement isolé le "VIH" (le terme "isolé" est chaque fois galvaudé par la "science" du sida "rétroviral") mais bien qu'elle prétend avoir détecté le "VIH" par suite de soi-disant marqueurs qui seraient spécifiques au "VIH" : transcriptase inverse, protéine P24, etc... Le seul problème, c'est qu'AUCUN (sans la moindre exception) de ces marqueurs n'est spécifique au "VIH" ! Il faut que cela soit bien clair dans la tête du lecteur que l'orthodoxie du sida n'essaie plus depuis bien longtemps déjà de tenter d'isoler le "VIH", n'y étant jamais arrivée comme elle aurait dû le faire selon la méthode préconisée, non par les repenseurs du sida, mais bien par les rétrovirologues eux-mêmes ! Dès lors, les négationnistes du stress oxydatif prétendent chaque fois que le "VIH" existe parce que sa présumée existence est inférée de divers marqueurs ... qui n'ont pourtant rien de spécifique aux rétrovirus en général, et encore moins à un tout nouveau rétrovirus dénommé "VIH" ! Et que le lecteur comprenne bien que les belles images informatisées du "VIH" que l'on peut voir partout, tous les jours, ne sont rien d'autre que des modélisations informatiques de ce que devrait être le "VIH", si ce dernier existait réellement. Reste encore à prouver son existence, et non à inférer son existence de différents marqueurs non spécifiques. Pour le reste, lisez la synthèse collective sur ce point.
  5. wallypat

    Le glutathion

    S'il y en avait que trois à retenir pour augmenter le niveau de glutathion, ce serait donc la NAC, la vitamine C et l'acide R-alpha-lipoïque. Dans le premier post de ce topic-ci, l'importance fondamentale de l'acide R-lipoïque a été tout particulièrement soulignée pour augmenter le niveau du glutathion. Il a également été insisté sur le fait que l'acide R-lipoïque, malgré son coût plus élevé, est bien plus efficace que son équivalent plus ou moins "synthétique", à savoir l'acide alpha-lipoïque (en fait sur le marché, on ne trouve essentiellement que des mélandes d'acide alpha-lipoïque et d'acide R-lipoïque, alors que l'idéal, c'est justement la forme pure d'acide R-lipoïque). Or quelques heures plus tôt, dans ce même topic, Liane a publié un post dans lequel elle mentionne la société belge "Equilor". Je viens de surfer sur leur site et il y est très bien confirmé également que l'usage de l'acide R-lipoïque est bien plus vivement recommandé que celui de l'acide alpha-lipoïque , et bien plus encore que ce que je pensais jusqu'alors ! Plus que jamais, l'acide R-lipoïque est recommandé pour augmenter son niveau de glutathion. Malheureusement, il ne paraît pas techniquement possible de reproduire certains passages de ce document. C'est pourquoi, je me contenterai de résumer, très brièvement, certains points (pour en savoir plus, le lecteur est invité à lire l'article en question) : 1) L'acide R-lipoïque est 4 à 10 fois plus actif que son équivalent généralement vendu, à savoir l'acide alpha-lipoïque. 2) L'acide R-lipoïque combat bien mieux le stress oxydatif que l'acide alpha-lipoïque. Il a en outre la capacité unique de pouvoir se régénérer ! 3) L'acide R-lipoïque stimule la production d'ATP (molécule d'énergie), ce qui permet bien sûr de mieux combattre le sida. Or la combinaison d'acide acide alpha-lipoïque et R-lipoïque que l'on trouve généralement le marché serait en revanche de nature à diminuer la production d'ATP ! 4) L'acide R-lipoïque (au contraire de l'acide alpha-lipoïque et de presque tous les autres compléments alimentaires d'ailleurs) est l'un des extrêmement rares antioxydants pouvant arriver jusqu'au cerveau et pouvant effectivement augmenter le niveau de glutathion dans le cerveau ! Voilà qui est essentiel lorsque l'on sait que le sida est entre autres caractérisé par des encéphalites et autres crises de démence. Une déficience en glutathion dans le cerveau est justement l'une des explications possibles (ou en tout cas, l'un des facteurs essentiels), et l'utilisation de l'acide R-lipoïque serait donc de nature à prévenir ce genre de maladies. 5) L'acide R-lipoïque est de nature à protéger le foie contre les cirrhoses et les hépatites, améliore l'oxygénation des cellules (essentiel pour combattre le sida), etc... 6) Etc... Dans la fin du passage reproduit au tout début de ce post, je précisais que pour augmenter son niveau de glutathion, les premiers compléments alimentaires auxquels il fallait penser étaient la NAC, la vitamine C et l'acide R-lipoïque (outre les polyphénols). Et je ne pensais pas si bien dire car à l'époque, j'ignorais complètement que l'acide R-lipoïque était l'un des rares compléments alimentaires pouvant efficacement faire augmenter le niveau de glutathion dans le cerveau. En tout cas, entre l'acide alpha-lipoïque et l'acide R-lipoïque, il n'y a pas photo : c'est manifestement l'acide R-lipoïque qu'il faut préférer, malgré son coût plus élevé !
  6. Je présume que tu as cru bien faire, Magnus, mais je ne vois pas pourquoi tu as eu l'idée de publier la dépêche en question, alors tout cela a été réfuté. Des dépêches ou des articles de ce genre, on en trouve des millions dans la presse. On aurait beau tous les reproduire sur ONCT que cela ne prouve toujours pas que le sida est causé par le "VIH". Tout cela n'est que de la propagande. Et le plus triste, c'est que celle-ci fonctionne ! En d'autres termes, le lecteur trouvera dans la synthèse les réfutations à toutes les bêtises et autres contrevérités contenues dans cette dépêche reproduite dans ton post, car on ne va pas commencer à réfuter par des posts ce qui a déjà été réfuté antérieurement, en plus à d'innombrables reprises. Mais sinon, en bref : Pour savoir pourquoi la circoncision peut être de nature à diminuer les cas de stress oxydatif (= "séropositivité 'VIH'"), le lecteur est invité à lire, encore une fois, la synthèse : Chapitre IV, D) Conséquences, 3) La séropositivité n'étant pas sexuellement transmissible, le SIDA ne peut en aucune façon être une MST, d) Applications pratiques. Je me permets de suggérer qu'à l'avenir, les posts consistant uniquement à reproduire une suite longue et ennuyeuse de dogmes des négationnistes du stress oxydatif, sans commentaires, et alors que ces dogmes ont déjà été réfutés, entre autres via la synthèse collective elle-même, soient à l'avenir PNIsés sans la moindre hésitation (mais pas celui-ci puisqu'il y a été répondu), car cela n'apporte strictement rien au débat qui a cours sur ce forum depuis plusieurs années, si ce n'est de devoir se répéter, encore et toujours, et de surcharger inutilement ce topic-phare de ce forum-ci. Merci pour votre compréhension.
  7. En cliquant sur ce premier lien ainsi que sur ce second lien, le lecteur trouvera 13 autres cas de bébés devenus séronégatifs plus de neuf mois après leur naissance, c'est-à-dire en perdant leurs propres anticorps au "VIH" (et non en perdant les anticorps transmis antérieurement par leur mère respective). Il s'agit donc d'autres cas authentiques de passage à la séronégativité !
  8. wallypat

    Le glutathion

    Malheureusement, non ! Mais je ne peux que recommander un médecin orthomoléculaire. Lorsque je lui en ai parlé, il m'a regardé de travers ! Encore plus quand je lui ai parlé "dissidence du sida" ! Mais bon, à défaut d'en trouver, je me "contente" de celui-ci car c'est déjà extrêmement dur de trouver un médecin qui : 1) S'y connaisse en matière de nutrition (il est homéopathe également), 2) Soit en mesure de prescrire un bilan nutritionnel général mais porté quand même sur le stress oxydatif (il fait comme s'il croyait en l'explication du stress oxydatif comme cause du sida, mais en fait, il ne veut pas trop s'y intéresser), 3) Et qui sache me conseiller au vu des résultats obtenus (genre très forte carence en fer, en vitamines D, etc...) A vrai dire, je ne suis pas tous ces conseils mais bien une partie (par exemple, il m'a prescrit entre autres du fer en complément; j'ai toutefois fait des recherches et il s'est clairement avéré que même en cas de carence en fer, le seul "bon" fer est le fer chelaté; donc, je me suis procuré du fer chelaté, pas celui qu'il m'a prescrit; autre exemple : c'est lui le premier qui a attiré mon attention sur le fait que le lait de vache n'est pas si bon que cela pour la santé, en tout cas, pas chez tout le monde). En d'autres termes, je m'en sers comme "assistant" (lol), à défaut pour lui de s'intéresser vraiment au sujet du sida. Donc, je suis bien forcé de faire des recherches par moi-même et de me débrouiller (faute de pouvoir me faire suivre par l'un des trop rares thérapeutes allemands réellement compétents sur le sujet), ce qui aboutit parfois à des posts sur ce forum (si cela peut aider d'autres personnes concernées). Et puis, je fais aussi un bilan nutritionnel pour m'assurer que je ne fais pas trop de "bêtises" malgré tout. La seule "erreur" manifeste qu'il a pu relever dans mes compléments et à l'examen de mon bilan nutritionnel est l'excès de sélénium, qui serait un peu trop au-dessus de la limite maximale de l'échelle "normale". Mais même sur ce point, je ne suis pas sûr que je vais continuer à le suivre vu ce que j'ai récemment lu sur le sélénium (voir ici). Si je devais suivre à la lettre ces conseils sur le niveau de sélénium, à la lecture de ce que j'ai lu, je me dirigerais tout droit sur une plus haute probabilité d'infections à candida (ce dont je me passerais bien volontiers) ! Mais pour le moment, la top priorité est bien de faire augmenter mon niveau de glutathion. Je suis vraiment très très curieux de connaître mes prochains résultats (en novembre). Bref, je suis mon propre sujet d'expérience ... mais je me fais contrôler ! lol
  9. wallypat

    Guérir le Sida!

    Les dissidents du sida sont souvent accusés, mais à tort, de propager l'idée que les compléments alimentaires permettraient de lutter assez efficacement contre le sida, mais de ne pas avoir de références scientifiques (ou très peu) le démontrant. Et bien nos détracteurs sont invités à lire par exemple cet article-ci datant de 2003 qui énumère une liste de très sérieuses références scientifiques pour différents compléments alimentaires (NAC, sélénium, vitamines A, B, C et E, Padma28, acide alpha-lipoïque, etc...) ayant montré leur utilité certaine pour lutter contre le sida. Alors, ils diront que c'est loin d'être toujours efficace et qu'il faut parfois modifier la combinaison gagnante (un bilan nutritionnel régulier permettra justement de mieux la déterminer), ce à quoi je répondrai en précisant que les trithérapies sont également loin d'être "gagnantes". Qu'il suffise de lire ce post d'où il ressort entre autres que 26% des trithérapies échouent également et qu'il faut donc changer la combinaison "gagnante" des trithérapies. Il y a toutefois une très grande différence entre les compléments alimentaires et les drogues dites "antirétrovirales" : les premiers sont généralement éminemment moins toxiques que les secondes !
  10. wallypat

    Guérir le Sida!

    Attention également au niveau de sélénium, qui permet de constituer l'une des variantes du glutathion. Il ressort de nombreuses études scientifiques qu'un niveau optimal de sélénium est absolument nécessaire pour combattre le sida. Par exemple, il ressort de cette étude-ci datant de 2002 que les infections mycobactériennes des séropositifs (mais cela pourrait être également valable pour les séronégatifs, me semble-t-il) sont fort associées à une déficience en sélénium, tout en restant "pourtant" dans les échelles normales de référence ! Ainsi, dans l'étude en question (confirmant d'anciennes études), il a été constaté que les séropositifs qui ont moins de 135 microgrammes/litre de sélénium ont 13 fois plus de "chance" de développer des infections mycobactériennes ! Voilà qui me paraît très inquiétant car lorsque je relis mon bilan nutritionnel, l'échelle "normale" de référence est de 90 à 150 (mais cela change certainement un peu en fonction de l'âge et du sexe) ! Donc, si j'étais dans la moyenne "préconisée" (soit 120), j'aurais 13 fois plus de "chance" de faire des infections mycobactériennes ! J'ai vraiment tendance à croire que ces échelles de "référence" ont juste été établies pour éviter que les gens ne souffrent de maladies extrêmement graves ou même mortelles, mais n'ont pas été établies pour prévenir des maladies plus "bénignes". Par ailleurs, lorsqu'un séropositif fait une infection à champignon quelconque (comme les fameuses infections à candida), il devrait donc et entre autres se poser la question de savoir si elle ne souffrirait pas ne fût-ce que d'une relative carence en sélénium (ce qui semble relativement courant dans la population en général). Si c'est bien le cas, une supplémentation en sélénium est certainement de nature à fortement remédier au problème. Enfin, tout cela illustre la nécessité de faire un bilan nutritionnel approfondi régulièrement ! Même chez des séronégatifs aussi, à mon avis.
  11. wallypat

    Guérir le Sida!

    Pour mieux comprendre encore pourquoi l'usage des polyphénols est si essentiel pour traiter le sida, le lecteur est invité à lire ce post-ci placé dans le topic "Le glutathion" ainsi que l'article scientifique auquel ce post fait référence.
  12. wallypat

    Le glutathion

    Il a par ailleurs déjà été signalé à plusieurs reprises l'intérêt fondamental de l'usage des polyphénols, par exemple dans ce post-ci, pour traiter le sida (et la séropositivité). Cet article scientifique paru en 2005 donne, un peu involontairement (car pas spécialement consacré au sida), la raison (ou, en tout cas, l'une des raisons les plus fondamentales). En effet, les chercheurs en question ont découvert que les polyphénols permettent l'augmentation d'une enzyme particulière, à savoir, la glutamylcystéine. Or il se fait que pour synthétiser un taux élevé de glutathion, l'organisme doit disposer en abondance d'un taux élevé de cette enzyme particulière, que la consommation de polyphénols permet justement d'augmenter. On comprend donc encore mieux pourquoi le binôme glutathion-polyphénols est si essentiel pour traiter le sida !
  13. wallypat

    Le glutathion

    Entre-temps, j'ai également pu retrouver l'intégralité de la première étude scientifique qui confirma le passage reproduit, pour la première fois, en 1997. D'autres études scientifiques ultérieures ne purent encore que le confirmer surabondamment. Le lecteur intéressé pourra lire l'intégralité de cette première étude datant de 1997 en cliquant sur ce lien. Ce premier article scientifique sur le sujet s'intitule d'ailleurs "Glutathione deficiency is associated with impaired survival in HIV disease". On ne peut donc pas faire plus clair !
  14. wallypat

    Le glutathion

    Entre-temps, j'ai trouvé deux autres liens (en anglais, malheureusement) où l'on peut trouver davantage d'explications encore sur le sujet. Quand j'ai un peu le temps, je les lirai plus attentivement. Premier lien Deuxième lien
  15. wallypat

    Le glutathion

    Mais au moins de clarifier les concepts de la biochimie qui concernent directement le sida et l'expliquerait. Je crois même que c'est indispensable pour continuer à soutenir la thèse stress oxydatif même si suffisamment d'études démontrent déjà les affirmations dissidentes. Pour ce qui me concerne, ces explications ne sont pas indispensables pour soutenir lexplication du stress oxydatif comme cause du sida. En effet, quand jexamine le débat qui a opposé lorthodoxie et la dissidence du sida, en deux ans de débat intense, le Perth Group na jamais eu besoin daller aussi loin dans les explications biochimiques du stress oxydatif pour montrer labsurdité de lhypothèse rétrovirale et ridiculiser lorthodoxie du sida, car toutes ces explications sont déjà admises par la communauté scientifique (sauf par lorthodoxie du sida, du moins pour certaines explications dont elle ne veut pas entendre parler, quoique admises par dautres branches scientifiques [dont la chimie]). Que le stress oxydatif soit présent chez tous les sidéens est déjà admis (par tous les orthodoxes du sida, dailleurs), que le stress oxydatif puisse être causé par les oxydants azotés est admis par nimporte quel chimiste et que ce stress oxydatif cause lapoptose des cellules immunitaires TH1 (sous couvert de lymphocytes T4 pour lorthodoxie du sida) est même déjà ouvertement admis par une partie de lorthodoxie du sida. Le vrai problème, cest que lorthodoxie du sida refuse dadmettre que toute cela puisse déjà sexpliquer sans « VIH ». En revanche, ces explications sont indispensables, non pour soutenir lexplication du stress oxydatif comme cause du sida, mais bien uniquement pour mieux comprendre encore ce phénomène, ce qui est bien sûr tout à ton honneur.
  16. wallypat

    Le glutathion

    Sur ce coup-là, je suis bien incapable de répondre à la plupart de tes questions, nayant pas étudié la chimie pendant dix ans (ni même un jour dailleurs). Je crains que pour réellement comprendre tous ces mécanismes, une telle formation soit préalablement nécessaire (formation dont ne disposent dailleurs pas la plupart, si pas tous les « experts » « VIH », ce qui est bien regrettable). Mais pour ma part, même si je nai pas la compétence pour prétendre comprendre tous ces mécanismes, je ne doute pas un seul instant que léquilibre TH1/TH2 est déterminé par le glutathion et le monoxyde dazote, tout cela ayant été scientifiquement démontré à multiples reprises, et que les mécanismes de destruction des germes intracellulaires par les TH1 et leur monoxyde dazote ont tout aussi bien été prouvés et démontrés (un Prix Nobel a même été délivré à ce sujet). Et sur le point essentiel, à savoir que la mesure du glutathion est de loin le marqueur le plus fiable de lévolution vers le sida déclaré, je nai pour ma part pas retrouvé dans la littérature scientifique un argument qui va à son encontre en sorte que je nai aucune raison den douter (même si forcément, je nai pas la formation adéquate pour comprendre tous les tenants et aboutissants du rapport glutathion - NO - TH1/TH2 - sida). Je ne vais par conséquent pas me priver de le répercuter sur ce forum, en particulier vu tout lintérêt que cela représente pour un séropositif. Je présume que sur ce forum, seul Cheminot sera en mesure de répondre. Peut-être trouvera-t-il le temps de donner un long cours de chimie approfondie. En revanche, je suis au moins presque sûr dune chose, cest quil ny a pas de peroxynitrite qui se forme à lintérieur des TH1. Elle se forme à lextérieur, entre autres à laide du monoxyde dazote provenant de lextérieur de lorganisme, et cest surtout cette forme-là doxydants azotés qui provoquera lapoptose des TH1. Du moins, si cela peut t'aider. Désolé de ne pouvoir faire plus sur ce point.
  17. wallypat

    Le glutathion

    Oui, je saisis maintenant pourquoi j'ai été mal compris de toi. C'était "évidemment" la deuxième lecture; l'usage du pronom "en" t'a induit en erreur. Dans mon esprit, "en" visait bien sûr "le monoxyde d'azote", pas le "glutathion" (qui n'a rien à faire dans le mécanisme proprement dit de production de monoxyde d'azote par les TH1). C'est fou comme un petit pronom personnel de deux lettres, apparemment inoffensif, peut ensuite faire des dégâts sur le plan de la rhétorique ! Cheminot pourra sans doute en dire plus. Mais je pense (sans certitude, car franchement, cela ne relève vraiment plus trop du sida mais de mécanismes purement chimiques et biologiques, enfin, je crois) que cela signifie que lorsque les TH1 apportent le monoxyde d'azote à la cellule infectée par les germes intracellulaires (causant les maladies du sida), cet apport se fait sous la protection du glutathion que les TH1 ont trouvé dans leur environnement extérieur, sans doute pour faire en sorte que seuls les germes pathogènes intracellulaires soient détruits, et pas également la cellule infectée (qui est donc protégée elle-même du monoxyde d'azote qui lui est apporté pour se débarrasser du germe pathogène grâce à l'apport concomitant en glutathion trouvé dans l'environnement humain). C'est du moins la première explication qui me vient à l'esprit.
  18. wallypat

    Le glutathion

    Pour tâcher de mieux comprendre encore (et c'est d'ailleurs valable aussi pour moi) les rapports pouvant exister entre monoxyde d'azote (oxyde nitrique), glutathion, TH1, TH2 et sida, je reproduis certains passages tirés de cet article intitulé "Interview du Dr Heinrich Kremer sur le SIDA et le cancer". Comme Kremer le précise plusieurs fois dans son interview, les considérations qui suivent ne sont que des confirmations résultant de centaines d'études scientifiques sur le monoxyde d'azote. Cela n'est même pas nié par l'orthodoxie du sida (parce que celle-ci ignore les lois fondamentales de la chimie en travaillant dans son coin et sans doute aussi parce que celle-ci ne veut pas y prêter attention, trop occupée qu'elle est à analyser sous toutes les coutures son chimériques rétrovirus "VIH"; et pourtant, les considérations sur le monoxyde d'azote confirmées par des centaines si pas des milliers d'études scientifiques suffisent déjà à expliquer très bien le sida, c'est-à-dire sans les multiples artifices usés par l'orthodoxie du sida pour tenter de faire tenir vaille que vaille son hypothèse rétrovirale). D'abord, comment se fait-il que l'être humain soit capable de synthétiser du monoxyde d'azote ? Le début de ce passage confirme d'ailleurs l'un des arguments que j'ai avancés dans ce post pour dénier à la mesure du nombre de lymphocytes T4 (mesurés dans le sang) le caractère de marqueur (qui serait en plus fiable selon l'orthodoxie du sida !) de l'évolution vers le sida, à savoir que cette mesure ne fait pas la distinction entre les TH1 et les TH2. La fin de ce passage confirme plus que jamais que c'est bien la mesure du niveau de glutathion qui est le marqueur le plus fiable de l'évolution vers le sida car sa carence progressive est en relation directe avec la survenance progressive de maladies de plus en plus graves du sida.
  19. wallypat

    Le glutathion

    J'ai exprimé exactement l'inverse: - à savoir que lorsque le stress oxydatif avait épuiser les ressources de gluthation de l'organisme (qui défend entre autres les TH1), ce dernier utiliserait le gluthation qui est produit par les TH1 pour se défendre contre monoxyde d'azote qu'elles produisent à l'intérieur d'elle-même contre les germes. (Je signal que dans ta remarque il y a la conception que les TH1 produisent du monoxyde d'azote et fabrique du gluthation. C'est sur cela que je me base.) Ah, Psyence, je pense avoir enfin compris doù proviennent tes erreurs dinterprétation sur le sujet, à savoir que les TH1 produiraient également du glutathion, outre du monoxyde dazote. Si jai écrit dans un post que les TH1 produiraient en outre du glutathion, cest évidemment une énorme stupidité scientifique (pour ne pas dire plus !), et je métonne dailleurs très fortement que jeusse pu avoir écrit une sottise pareille. Si jai bien écrit cela, je te remercierais de bien vouloir reproduire le passage en question car cest évidemment complètement faux. Et dailleurs, je nai jamais pensé cela. Je me demande dailleurs où jaurais pu trouver cela. Certes, mes avis sur le sujet du sida évoluent, mais toujours dans le sens de lamélioration, à mesure que je comprends de mieux en mieux cette incroyable supercherie de sida rétroviral. Mais sil y a bien une chose sur laquelle je naurai jamais pu changer davis (et dailleurs, je ne laurais jamais pu, ne layant jamais lu ailleurs que dans ton post), cest bien le fait que les TH1 ne produisent évidemment pas de glutathion ! Les TH1 ne produisent que du monoxyde dazote (ou peut-être dautres choses également, mais certainement pas du glutathion !). Le glutathion est produit autrement par lorganisme, mais certainement pas par les TH1. Ce glutathion protège - entre autres - les TH1 contre - entre autres - le monoxyde dazote extérieur aux TH1 et qui menace ces derniers. Le glutathion agit comme antioxydant contre les oxydants attaquant lorganisme, dont entre autres le monoxyde dazote. Mais encore une fois, je te remercierais de bien vouloir reproduire le passage où jaurais écrit que les TH1 produiraient du glutathion (outre bien sûr le monoxyde dazote), ce qui est bien sûr une absurdité sans nom de ma part (si je lai effectivement écrit du moins, auquel cas il conviendra de rectifier cette gigantesque sottise, tout à fait involontaire de ma part [et si cest bien le cas, je te présente mes excuses]).
  20. wallypat

    Le glutathion

    Personnellement, ce nest pas ainsi que jai compris les explications de Cheminot, ainsi que ceux que jai pu lire ailleurs. Les ressources en glutathion de lorganisme ne servent pas normalement à lutter contre la production de monoxyde dazote par les TH1 puisque les TH1 se débrouillent eux-mêmes très bien pour en produire de façon optimale. Les ressources en glutathion de lorganisme servent au contraire normalement (et même toujours lorsqu'on envisage les rapports du glutathion avec le monoxyde d'azote) à défendre les TH1 contre les agressions extérieures (il ny a donc pas dinversion de fonction comme tu as pu le penser). Parmi ces agressions extérieures, figure justement le monoxyde dazote provenant de lextérieur et qui est lui-même cytotoxique pour les TH1. Les TH1 ont été conçus pour produire du monoxyde dazote depuis lintérieur de lorganisme ; cela nimplique pas pour autant quils aient été également conçus par Dame Nature pour résister contre le monoxyde dazote provenant de lextérieur. La seule protection relativement efficace contre le monoxyde dazote extérieur est justement le glutathion. Tant quil ny a pas trop de monoxyde dazote extérieur, le glutathion nest pas débordé et continue à protéger efficacement les TH1 contre le monoxyde dazote extérieur. Les TH1 peuvent donc continuer à produire le monoxyde dazote qui tuera les germes causant les maladies caractéristiques du sida. En revanche, sil y a trop de monoxyde dazote extérieur, le glutathion est débordé, finit par se réduire et à ne plus pouvoir protéger les TH1 (contre le monoxyde dazote extérieur) produisant le monoxyde dazote tuant les germes des maladies caractéristiques du sida. Dès lors, le nombre de TH1 ne fera que diminuer par apoptose (induit par ce monoxyde dazote extérieur contre lequel ils ne peuvent plus se protéger en raison dune carence de plus en plus forte en glutathion) et les maladies caractéristiques du sida apparaîtra. Cest bien pour cela que les études que javais citées avaient constaté une corrélation, visiblement parfaite (et indépendamment du nombre de lymphocytes T4), entre carence progressive en glutathion et apparition progressive des maladies caractéristiques du sida. Le paradoxe nest quapparent et résulte du fait que les TH1 produisant eux-mêmes à lintérieur des cellules du monoxyde dazote ne peuvent eux-mêmes se défendre, depuis l'extérieur, contre le monoxyde dazote provenant de lextérieur. Mais cest ainsi que Dame Nature a visiblement conçu les TH1.
  21. wallypat

    Guérir le Sida!

    Une très intéressante étude scientifique parue il y a quelques jours : HIV treatment response and prognosis in Europe and North America in the first decade of highly active antiretroviral therapy: a collaborative analysis. L'orthodoxie du sida ne cesse de faire de la publicité pour ses "antirétroviraux", toujours plus "efficaces". Mais efficaces en quoi ? Et bien, l'étude en question a analysé 22.217 séropositifs ayant commencé, entre 1995 et 2003, pour la première fois de leur vie un traitement dit "antirétroviral". Leur conclusion est sans appel : Soit : la réponse "virologique" s'est améliorée en 10 ans (c'est-à-dire que la charge dite "virale" ne cesse de diminuer plus rapidement) MAIS le taux de mortalité n'a toujours pas baissé en 10 ans de traitements toujours plus "efficaces" ! Voilà qui laisse pour le moins songeur !
  22. wallypat

    Le glutathion

    Bonsoir Psyence. Pour le moment, faute de temps, je ne pourrai pas (tenter de) répondre à toutes tes questions. Mais je répondrai déjà à ton observation qui me semble la plus fondamentale à mes yeux, car niant visiblement l'utilité vitale de la mesure du glutathion chez les séropositifs(alors qu'il s'agissait justement de la conclusion de mon post précédent). Visiblement, lorsqu'il y a déjà beaucoup de monoxyde d'azote provenant de l'extérieur, l'organisme humain éprouve moins la néssité de produire des TH1 produisant eux-mêmes déjà du monoxyde d'azote.L'organisme aura alors plutôt tendance à produire davantage encore de TH2, toujours en raison de ce mouvement de balancier. PS : Je n'aurai vraisemblablement plus le temps de répondre avant deux jours ou trois.
  23. Cest encore et toujours la même chose, à savoir la force des mots ! Lorthodoxie du sida utilise le mot « sida », et hop, le lecteur a tendance à "naturellement" croire que les professionnels de la santé en question ont été contaminés par le « VIH » ! Il serait en réalité plus légitime de préciser de quelles maladies les professionnels de la santé locaux meurent effectivement. On rappellera que le sida ne fait que regrouper des maladies qui nont rien de nouveau. Savoir de quelles maladies ces professionnels de santé sont effectivement morts permettra également de savoir pourquoi ils en sont morts. Dire quils sont morts du sida ne le permet pas et ne laisse quune seule explication de prime abord possible au lecteur, à savoir quils auraient été contaminés par le « VIH ». Par ailleurs, dans ce topic-ci, on a déjà résumé ce quil faut réellement entendre par « sida africain » ou de manière générale « sida nutritionnel ». A cet égard, il serait naïf de croire que les professionnels locaux de la santé (je ne parle pas de ceux des ONG bien sûr, et larticle en question ne les visait pas) vivant en Afrique mènent le même genre de vie que les professionnels de la santé de loccident. Ils sont également exposés aux mêmes sources dimmunodépression que pour lensemble de la population, quoique pour une majorité dentre eux certainement dans une relative moindre mesure, entre autres en raison de leur formation et d'une moins mauvaise rémunération. Par exemple, quand leau est polluée dans certaines régions dun Etat africain, il y a également toutes les raisons de croire quelle puisse également lêtre dans les "hôpitaux" (du moins, ce qu'on peut appeler "hôpitaux" dans ces régions démunies d'Afrique, qui n'ont évidemment strictement rien à voir avec les hôpitaux de l'Occident, bien loin de là d'ailleurs) de la région (il y a peut-être des antibiotiques disponibles dans ces hôpitaux, et encore, lesquels ? Ceux interdits en Occident en raison de leur toxicité ? Mais je doute quil y ait en revanche des systèmes développés dépuration deau dans tous ces mêmes hôpitaux). Par ailleurs, de quels professionnels de la santé sagit-il réellement ? Des « médecins » qui vivent pieds nus au sein des populations démunies ? En fait, tant que lon ne sait pas de quelles réelles maladies ces professionnels de la santé sont morts, on en est réduit à de multiples conjectures. Ce qui est en revanche certain, cest bien quils nont pas été contaminés par le « VIH » ! Et par ailleurs, jaimerais bien savoir si les chiffres en question ne sont également rien dautre que des extrapolations statistiques. En outre, quel est le pourcentage de médecins par rapport à la population totale du pays ? Si ce pourcentage est déjà extrêmement faible à la base, évidemment, quelques centaines de morts de médecins en quelques années feront irrémédiablement penser à une « épidémie » de « sida » chez le médecin vu quil ny a déjà pas beaucoup de médecins au départ. En dautres termes, il y a une myriade de facteurs à prendre en considération. Sans compter les statistiques qui sont établies par l'orthodoxie du sida de façon à faire croire qu'il y aurait effectivement une épidémie de "sida". Cette force du mot « sida » est une arme pour faire croire que les personnes en question ont été « contaminées » par le « VIH ». Cest exactement comme quand lorthodoxie du sida dit que les cas de sida en Afrique du Sud ont augmenté de 60 % au cours de ces dernières années. Voilà qui frappe les esprits ! Mais elle « oublie » de préciser par exemple que durant la même période, les cas de tuberculose (par exemple) ont également augmenté de 130 %, soit bien plus que la présumée épidémie de "sida". A partir du moment où lon sait que la tuberculose est justement lune des maladies du sida en Afrique et est parfaitement de nature à faire réagir le test de stress oxydatif appelé par erreur « VIH », on comprend tout de suite ce quil y a réellement lieu dentendre par épidémie de « sida » en Afrique !
  24. En réalité, la question n'est pas tant de savoir "Comment faire remonter le nombre de ses lymphocytes T4 ?" mais bien "Comment faire augmenter son niveau de glutathion ?".
  25. Ce post, figurant à la page 5 de ce topic-ci, doit être considéré comme périmé, sauf en tant qu'il énumère un ensemble de facteurs pouvant causer une baisse des lymphocytes T4. Le lecteur comprendra pourquoi en lisant ce post-ci.
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