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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Je crois quil faudrait déjà et entre autres demander à la presse généraliste pourquoi elle refuse de parler du sujet de lAZT, si ce nest pour encenser ce « médicament ». Sans doute parce que la moindre remise en cause du dogme « VIH = SIDA », même un peu lointaine, ne peut être journalistiquement tolérée. Oui, peut-être était-ce lAZT. Mais peu importe, des gens mouraient déjà du sida bien avant larrivée de lAZT et sans que lAZT y soit donc pour quelque chose. Ce dernier n'a en revanche pu qu'aggraver encore plus la santé du séropositif. PS : Sinon, bravo pour tout ce que tu as pu faire et continues à faire pour tenter de faire connaître la dissidence du sida !
  2. Tous les mois ou presque depuis deux décennies, lorthodoxie du sida a coutume dannoncer de la façon la plus tonitruante possible et avec l'aide de la presse toute dévouée et toujours aussi complaisante et sans esprit critique, des « percées » toujours plus « fondamentales » et toujours plus « décisives » dans la lutte contre le rétrovirus « VIH ». Les vaccins préventifs contre le « VIH » constituent à cet égard lun des domaines de prédilection. Il faut bien pouvoir tenter de justifier lusage qui est fait des deniers publics. Je me permettrai toutefois de rappeler : - que le « VIH » est le (présumé) germe infectieux le plus traqué et le plus analysé de toute lhistoire de lhumanité et pour lequel on na jamais autant dépensé (ou peut-être que le terme « gaspillé » serait plus adéquat, en tout cas pour une bonne partie des recherches en question) de centaines de milliards de dollars, la plupart de ceux-ci provenant au surplus de fonds publics, cest-à-dire des contribuables que nous sommes, - et que pourtant, en 25 ans dhypothèse rétrovirale du sida, celle-ci a « déjà » réussi à guérir 0,000000000000000 séropositif (le terme « guéri » étant envisagé sous loptique rétrovirale du sida). Au lecteur den tirer ses propres conclusions !
  3. Je reviens brièvement là-dessus car jai oublié de préciser que les anticorps à deux infections dont au moins 90% des sidéens sont affligés, à savoir les infections à candida et les pneumocystoses, ou, de manière générale, les anticorps aux mycobactéries, sont capables à eux seuls de faire réagir les antigènes du test dit « VIH » et donc dêtre déclaré séropositif ou « contaminé » par le « VIH ». Il suffit de lire par exemple cet article de 1997. Dès lors, Etant donné que les individus avec des infections mycobactériennes, même non cliniquement malades, ont des anticorps qui réagissent par eux seuls (sans autre facteur) aux protéines du « VIH », Comment lorthodoxie du sida peut-elle affirmer : 1) que les réactions entre les anticorps présents dans le sérum des sidéens et les protéines présentes dans les cultures dérivées des tissus de sidéens sont la preuve que les protéines réagissant avec ces anticorps sont les constituants dun rétrovirus unique « VIH » et que les anticorps sont spécifiques à ces protéines ? 2) quun test dit « VIH » positif chez un individu ayant des infections mycobactériennes est la preuve dune contamination par le « VIH » ?
  4. Indépendamment des objections propres à Aixur, je me permets encore dinsister pour connaître la procédure disolation du « VIH » qui a servi de modèle aux lentivecteurs. Il ne sert en effet strictement à rien dinvoquer la technique du GFP (sous réserve dailleurs des critiques formulées par Aixur) pour prouver lexistence du présumé rétrovirus exogène « VIH » sil savère en réalité que ce qui a été considéré comme un tel rétrovirus exogène nest en réalité rien dautre à lorigine quun rétrovirus endogène produit par les cellules ajoutées à la culture et/ou par suite des différentes stimulants ajoutés à ladite culture, lequel rétrovirus endogène, une fois isolé de sa source, se comportera en définitive comme nimporte quel rétrovirus exogène (sauf quil ne détruit pas les lymphocytes T4, mais ce fait na justement jamais été prouvé pour le « VIH ») et donnera ainsi limpression quil sagirait effectivement du rétrovirus exogène « VIH ». Donc, merci de me préciser quelle fut la procédure disolation utilisée pour le « VIH » en question et dans lhypothèse où lorigine de celui-ci serait en définitive un clone, merci de me préciser alors la procédure disolation du « VIH » à partir duquel a été conçu le clone en question. Comme je lai déjà dit à plusieurs reprises, il faut chaque fois (ou presque) en revenir aux sources et aux racines du mal. Sil savère en définitive que le « VIH » originel en question est celui de Montagnier et/ou Gallo, ou résulte dune procédure disolation analogue à celle qui fut utilisée par ceux-ci, cen est terminé de cet argument car le « VIH » originel en question nest en définitive rien dautre quun rétrovirus endogène résultant du mode de préparation utilisé pour tenter disoler le « VIH ». Dès lors, la GFP ne prouvera rien, si ce nest quil sagit bien dun rétrovirus endogène fonctionnel (interprété de façon erronée comme étant le rétrovirus exogène "VIH").
  5. Je t'avoue (mais je n'en ai pas honte ! lol), Liebherr, que je n'ai nullement les compétences pour comprendre tes explications si approfondies sur le sujet. Si j'essaie de comprendre ne fût-ce que la substantifique moelle de ton exposé, la méthode qPCR serait donc la méthode la plus spécifique pour détecter la charge "virale". Pourtant, quand je lis cet article-ci (également tout récemment traduit par Aixur et que je remercie au passage), cette méthode reste une technique non validée. En d'autres termes, si ta méthode de PCR est si spécifique et si fiable pour détecter le "VIH", pourquoi la CDC recommande-t-elle vivement de ne PAS utiliser seuls les tests de détection génétique du "VIH" en lieu et place des tests d'anticorps, en tout cas chez les adultes, les adolescents et les enfants "infectés" par d'autres voies que la voie périnatale ? (ceci dit, en passant, on peut se demander, d'une part, comment la PCR qui est décrite comme si spécifique pour détecter les séquences spécifiques d'un rétrovirus exogène "VIH" ne devrait pas être utilisée chez les adultes, les adolescents et les enfants "infectés" via le sang, mais est en revanche recommandé et approuvé pour détecter la transmission verticale du "VIH" [?!], et, d'autre part, comment la PCR fait-elle la distinction entre les enfants "infectés" par voie périnatale et par les autres moyens [?!]). Merci d'avance pour tes réponses. Cordialement.
  6. Tout cela est très bien, Liebherr, mais avant de continuer encore davantage sur cette voie, aurais-tu l'amabilité de bien vouloir me préciser quelle est l'origine première du "VIH" qui fut utilisé pour "fabriquer" les lentivecteurs en question ? En d'autres termes, quelle fut la procédure utilisée pour isoler le "VIH" qui a servi à faire ces lentivecteurs ? Cela devrait permettre de voir bien plus clair, à mon humble avis. Merci.
  7. Après vérification, je constate que la situation est encore bien pire que prévu pour les négationnistes du stress oxydatif. En effet, j'ai utilisé le terme "particules d'apparence rétrovirale". Or, ce n'est pas des particules d'apparence rétrovirale qui paraissent avoir été retrouvées dans les deux cultures mais bien uniquement des protéines. Dès lors, étant donné : - que les rétrovirus doivent sédimenter sur le gradient de la densité qui leur est caractéristique, - et qu'il n'y avait visiblement (en tout cas, il n'y en avait de toute façon pas dans l'"isolation" de Montagnier, de son aveu même, et Gallo n'a pas purifié non plus, de l'aveu même également de Montagnier) même pas de particules d'apparence rétrovirale sur le gradient de densité 1,16, Il n'y a que deux seules conclusions à tirer, à savoir qu'il est bien présomptueux pour l'orthodoxie du sida d'affirmer que les protéines en question auraient une origine rétrovirale (d'autant plus que l'on retrouve les mêmes dans la culture de contrôle) et qu'il y avait donc ZERO % (0%) de chance qu'il y avait bien un rétrovirus, quel qu'il soit (et encore moins du "VIH"), dans la culture censée contenir du "VIH".
  8. Dans plusieurs articles de www.sidasante.com, et entre autres celui-ci : Sinon, merci beaucoup pour tes encouragements, qui m'ont fait très chaud au coeur ! (quoique je reviendrai prochainement sur la question de la purification que tu as évoquée dans ce post d'encouragement et qui reste ABSOLUMENT NECESSAIRE pour isoler un rétrovirus, le microscope électronique ne permettant pas de savoir si la particule d'apparence rétrovirale est bien un rétrovirus ou non, très loin de là d'ailleurs [cela peut encore être n'importe quoi, à commencer par des particules cellulaires contenant de l'ARN et mimant l'apparence d'un rétrovirus]; lorsque cette technique a été employée pour isoler un nouveau rétrovirus, et pour autant qu'il y avait effectivement un nouveau rétrovirus, les chercheurs obtenait des millions de particules d'apparence rétrovirale [je n'utilise pas à dessein le mot "rétrovirus" car ces millions de particules d'apparence rétrovirale n'auront le titre tant convoité de rétrovirus que pour autant qu'il aura ensuite été prouvé qu'elles sont capables de se reproduire et qu'elles produisent exactement les mêmes particules, avec les mêmes protéines et les mêmes ARN, ce qui implique donc que seule une culture purifiée doit être introduite dans la deuxième culture, et qu'il faille à nouveau purifier dans la deuxième culture, pour pouvoir ensuite constater que les nouvelles particules d'apparence rétrovirale ont bien les mêmes protéines et le même ARN] sur le gradient de densité spécifique aux rétrovirus, et non quelques-unes; s'il n'y a pas de réplication, par définition, il ne saurait y avoir de rétrovirus] mais j'y reviendrai dès que j'aurai un peu plus de temps).
  9. Que tout le monde, même séronégatif, puisse avoir une charge "virale", je ne dirais pas cela. En revanche, que l'on puisse trouver chez des séronégatifs (pas tous bien sûr) des charges "virales", parfois allant au-dessus de 100.000, et même frôlant parfois le million, oui, c'est un fait scientifique avéré. On en cite d'ailleurs plusieurs exemple dans cet article-ci , récemment traduit par Aixur (article décidément très utile, puisque je m'en sers déjà pour la deuxième fois). En tout cas, Liane, merci beaucoup pour tes encouragements ! Ceci étant, je pense que je suis "forcé" d'écourter mes "vacances" car j'avais prévu entre autres d'écrire un très très long post sur les failles rédhibitoires de l'isolation du "VIH". Mais j'ai fait une mauvaise "manoeuvre" et j'ai perdu les 3/4 de la très longue ébauche que j'avais déjà rédigée. Et comme je n'ai plus le courage de réécrire à nouveau cette (longue) ébauche que j'avais faites, il va falloir voir cela sur le tas.
  10. A supposer même que le dernier point (que j'ai reproduit en gras) est exact, il n'empêche pas moins qu'à peine entre 0,0001% et 0,01% des "VIH" (prétendument) détectés avec la technique de la PCR sont susceptibles d'être infectieux, comme précisé dans cet article-ci, tout récemment traduit par Aixur, entre autres le passage suivant, très éloquent :
  11. J'interromps également mais momentanément mes "vacances" sur ces points. Selon la référence citée dans l'article de Duesberg, tu devrais normalement trouver les preuves en question dans cet ouvrage-ci (que je n'ai bien sûr pas) : Ellison , B. J. , A. B. Downey & P. H. Duesberg, 1996. HIV as a surrogate marker for drug-use: a re-analysis of the San Francisco Men 's Health Study. pp. 97-194 in AIDS: virus- or drug induced?, edi t ed by P.H. Duesberg. Kluwer Academic Publi shers, Dordrecht, The Nether lands. Mais ce serait étonnant que les "bonnes" bibliothèques de l'orthodoxie du sida disposent de ce genre d'ouvrage. Il faudrait justement voir si les 45 cas de sida chez les séronégatifs en question (selon Duesberg : voir l'ouvrage cité ci-dessus) ne se retrouvent justement pas chez ces 71 personnes ou la plupart d'entre eux. Concernant la question de l'AZT évoquée dans un autre de tes posts, Cheminot t'a déjà répondu. Sinon, merci beaucoup pour tes encouragements, de même qu'à Aixur et Liane bien sûr.
  12. J'interromps brièvement mes "vacances" juste pour dire que tout ce que je vois là avec ces belles protéines fluorescentes vertes, ce n'est pas l'existence d'un rétrovirus exogène "VIH" mais bien l'utilisation d'un rétrovirus ou plutôt d'un lentivecteur dérivé d'un rétrovirus présenté comme étant le "VIH". Et je dirais plus précisément : "lentivecteur dérivé d'un rétrovirus endogène présenté comme étant le rétrovirus exogène "VIH", étant l'un des innombrables "exemplaires" de rétrovirus endogènes que l'on retrouve dans les cultures lorsque l'on tente d'"isoler" du "VIH" avec TOUJOURS (on arrive JAMAIS à le faire sans les deux conditions qui suivent, ce qui est "étonnant") des cultures MIXTES (c'est-à-dire un savant mélange de plusieurs lignées cellulaires comprenant, par exemple, les cellules H9, qui sont pourtant bien connues comme porteuses chroniques de rétrovirus !) et HAUTEMENT STIMULEES ( par différents facteurs de croissance comme la phytohemagglutinin (PHA), le facteur de croissance des lymphocytes T (TCGF), plus l’Interleukin-2, ou plus encore les corticostéroides. Or, tous ces facteurs sont connus comme activateurs de l’expression des rétrovirus endogènes que nous portons tous en nous). Etant donné : - que les très rarissimes fois où l'on a fait des cultures de contrôle lorsque l'orthodoxie du sida a tenté d'"isoler" le "VIH", on a pu constater aussi bien dans la culture censée contenir du "VIH" que dans la culture de contrôle les mêmes particules d'apparence rétrovirale, la différence n'étant pas qualitative mais bien quantitative (expliqué entre autres par le mode de préparation différent de la culture de contrôle, ce qui me pousse d'ailleurs à m'interroger sur l'intégrité des chercheurs en question), - que les rétrovirus endogènes et exogènes ne peuvent pas être distingués, que ce soit morphologiquement ou chimiquement, - que pour se répliquer, les rétrovirus tant endogènes que exogènes ont besoin d'envahir et de s'intégrer dans nos cellules (avec l'incroyable propriété pour le "VIH" de soi-disant détruire les lymphocytes T4), Il n'y a qu'une seule conclusion à en tirer, à savoir que ces belles expériences avec ces belles protéines fluorescentes vertes font bien la démonstration que les rétrovirus endogènes constituent de très bons vecteurs de dissémination de ces belles protéines fluorescentes vertes dans un organisme. En revanche, ces expériences ne prouvent en aucune façon que le "VIH" est un rétrovirus exogène, ni même d'ailleurs que le "VIH" est un rétrovirus endogène du sidéen car tout laisse à penser que les rétrovirus en question sont nés, non chez le sidéen, mais bien dans les cellules ajoutées à la culture censée contenir du "VIH" et/ou des différents produits ajoutés à la culture pour la stimuler. Enfin, étant donné que c'est à partir des "isolations" de Montagnier en 1983 et de Gallo en 1984 qu'on a échafaudé tout ce que l'on croit et enseigne aujourd'hui sur le VIH, en ce compris ces plus petits détails, tels que ses protéines et ses anticorps, son ARN, sa charge "virale", son génome, etc..., il faudra d'abord prouver en quoi ces deux "isolations" sont la preuve de l'existence d'un rétrovirus exogène (et même endogène, du moins en tant qu'il serait endogène au sidéen lui-même). Si cette preuve n'est pas rapportée, il n'y aura qu'une seule autre conclusion à en tirer : le "VIH" (et je ne parle bien sûr que du "VIH", pas des lentivecteurs utilisés pour la GFP, dont je ne doute pas qu'ils aient une origine rétrovirale [de là à dire que c'est du "VIH", il faudra préalablement m'en apporter la preuve]) n'est pas un rétrovirus, pas même endogène chez le sidéen (ce qui n'empêche pas de dire que les séropositifs et les sidéens ont une myriade de rétrovirus endogènes en eux; de là à dire que ces rétrovirus endogènes sont du "VIH", il faudra aussi m'en apporter la preuve).
  13. Bonsoir Psyence. Bon, je m'avoue vaincu ! A plat de couture. Une bonne leçon de modestie et d'humiliation que tu m'a infligée, je ne peux que le reconnaître. Et après tout, je l'ai bien cherché et mérité. Je ne suis pas prêt de l'oublier (pas dans le sens "rancunier" bien sûr). La seule excuse que je me trouve, c'est ma volonté de m'impliquer le plus possible dans la dissidence du sida au point d'en perdre tout discernement et de me tromper d'ennemi. A l'avenir, je me garderai bien d'être aussi affirmatif dans la plupart de mes propos et d'être plus posé dans ceux-ci. Sinon, concernant cette fameuse étude, j'ai d'abord essayé de retrouver l'article complet mais les articles du Lancet ne sont disponibles en ligne qu'à partir de l'année 1996, semble-t-il. Mais j'ai pu retrouver ça et là quelques informations qui permettront, je crois, de compléter les propos que tu as déjà exprimés sur le sujet. 1) Premier article de Duesberg Dans cet article paru quelques mois à peine après la publication de cette étude sur les 715 homosexuels de Vancouver, Duesberg fait la critique en règle de celle-ci (ainsi que d'une autre). De manière générale, la question du safe sex ne fut jamais analysée dans cette étude, seule la question de la consommation des drogues fut abordée. Vu l'époque (1986-1993), on peut raisonnablement considérer que les séronégatifs ont vraisemblement à peu près tous, si pas tous, utilisé "religieusement" le préservatif, s'évitant ainsi une source très importante de séroconversion. En fait, l'étude n'a été faite que pour (tenter de) démolir la théorie de Duesberg selon laquelle le sida est causé par l'usage de drogues. En examinant le tableau numéro 1, on constate que 98% des séropositifs au moins étaient des consommateurs de drogues diverses. Le pourcentage était en revanche assez moins élevé pour les séronégatifs : En d'autres termes, que la toxicité des drogues dépend de son dosage et que quand on en s'en sert à des doses récréationnelles, il faut de très très nombreuses années avant que cela cause le sida (et auparavant la séropositivité, même s'il ne dit pas cela dans le passage reproduit). Donc, en conclusion, il faut s'attendre à ce que seule une minorité de consommateurs de drogues récréationnelles développe ultérieurement le sida (et auparavant devienne séropositive). Enfin, ce tableau permet d'apprendre que la plupart des séropositifs étaient sous AZT (ce qui n'est pas étonnant vu la politique appliquée à l'époque en matière de traitement). Je pense que ce seul fait permet déjà d'expliquer pourquoi le nombre des lymphocytes T4 était en moyenne (visiblement) presque forcément (beaucoup) moins élevé chez les séropositifs que chez les séronégatifs. Et d'expliquer bien sûr que les cas de sida soient survenus uniquement chez les séropositifs (sous réserve des 45 autres cas (re)découverts ultérieurement chez certains séronégatifs, comme précisé ci-dessus). Donc, complémentairement aux explications que tu as déjà fournies, je crois que l'on peut aussi ajouter que si les séronégatifs sont restés séronégatifs, c'est aussi parce : 1) Ils ne consommaient pas d'AZT (oui, évidemment), 2) Ils utilisaient sans doute quasi systématiquement le préservatif (vu la psychose de l'époque, le sida n'étant pas "banalisé" alors), 3) La durée de l'étude n'était "que" de 8,6 années, 4) Et visiblement, ils n'étaient pas de bien grands consommateurs de drogues récréationnelles (en tout cas, cela n'a jamais été vérifié par les chercheurs en question; d'ailleurs, au début de ce post les pourcentages de 56% et 58% [on peut donc supposer que pas mal d'entre eux n'en consommaient même pas du tout en fait !). Et donc, en 8,6 années, il n'y a de prime abord presque rien d'étonnant à ce qu'aucun ne soit devenu séropositif (ou peut-être quelques-uns l'ont-ils momentanément été entre deux tests dits "VIH"), et peut-être qu'avec une consommation pareille, il n'y avait quasiment aucune chance qu'ils le deviennent un jour. Ce qui est en revanche certain, c'est que cette étude n'a pas été faite pour prouver que des séronégatifs deviendraient séropositifs en consommant des drogues (or c'est sous cet angle-là que l'on analyse cette étude, qui n'a pourtant pas été faite pour prouver cela), l'orthodoxie du sida n'y ayant visiblement même pas pensé (c'était surtout les théories de Duesberg qui étaient en vogue à l'époque, et pas celle du Perth Group [à l'époque, tous les scientifiques, sauf en gros Eleni Papadopulos, pensaient réellement que le "VIH" existait]), mais bien pour prouver que les drogues ne causaient pas le sida chez les séronégatifs. L'orthodoxie du sida avait dès lors tout intérêt à trouver des participants séronégatifs qui n'en consommaient pas de manière exagérée mais trouver simplement des participants simplement exposés au risque de consommation de drogues (mais ce faisant, et en application de la théorie du stress oxydatif, forcément, le risque de devenir séropositif se réduit encore plus !). La circonstance qu'une forte minorité de séronégatifs ont visiblement déclaré ne pas en avoir en consommé du tout et que l'orthodoxie du sida ne s'est jamais donné la peine de vérifier dans quelle mesure les participants (qu'ils soient séronégatifs ou séropositifs d'ailleurs) en ont réellement consommé, et en outre à quelle dose et à quelle fréquence, me paraît le prouver. En tout cas, comme le semble dire Duesberg, on peut à peu près faire dire tout et son contraire à cette étude vu l'absence de rigueur avec laquelle elle a été menée. Voilà. Pour ma part, j'ai décidé de prendre - momentanément - vacances de la dissidence du sida. Un peu de recul me fera le plus grand bien après m'y être consacré plus d'un an à l'étudier presque chaque soir. Et je ne peux que te présenter mes excuses pour mon comportement de ces derniers jours. Les récents posts, abjects, que j'ai échangés avec toi ces derniers jours prouvent à suffisance que je suis épuisé et que j'ai besoin de me reposer et penser à autre chose que "dissidence du sida". Mais ce n'est que provisoire, bien sûr. Je me contenterai pour le moment de modifier la synthèse au gré des futures interventions sur le forum. Bonne continuation à tous et toutes.
  14. Pour moi, la meilleure preuve me paraît bien être le fait que le "VIH" n'avait pas la possibilité de survivre au procédé de fabrication du facteur VIII et donc que les hémophiles n'ont pas pu être contaminés par le "VIH". En d'autres termes, le sida ne fut pas causé par le "VIH" ou encore "Le VIH ne fut pas la cause du sida chez les hémophiles". A mon avis, c'est déjà suffisant en soi pour décrédibiliser complètement l'hypothèse rétrovirale du sida dans son ensemble. Voir la synthèse : Chapitre IV, D) Conséquences, 4) Transmission par le sang, d) Applications pratiques : le cas des hémophiles.
  15. Moi, je n'ai jamais eu la possibilité de lire chacune de ces références, mais il m'a semblé que certains de ces facteurs peuvent causer à eux seuls la séropositivité. Par exemple, une vaccination contre la grippe peut causer à elle seule la séropositivité. La malaria et la tuberculose sont très bien connues pour causer à elles seules la séropositivité. Maintenant, on pourrait dire que la plupart des personnes souffrant de ces maladies souffrent également de malnutrition, ce qui ferait donc déjà deux facteurs au lieu d'un, et favorisant encore plus le risque de positivité du test dit "VIH".
  16. Je voulais juste ajouter que lorthodoxie du sida peut faire tous les protocoles au monde, mais tout ce que ces protocoles arriveront à faire, cest identifier au mieux de futurs « candidats » prédisposés au sida (ce qui nest déjà pas si mal que ça, en fait), mais aucun de ces protocoles ne prouve en soi que le sida est causé par le « VIH ». Ces protocoles nont dailleurs pas cette portée. Cest juste un moyen didentifier de futurs « candidats » prédisposés au sida. Au surplus, ces protocoles de détection de futurs « candidats » ayant une prépension au sida sont imprécis même quant à cette détection : - car déterminés différemment dans neuf régions différentes du monde, - et car la « note de gueule » intervient également, du moins, pas quant à la détermination de la positivité éventuelle à un test dit "VIH" (de ce point de vue-là, la « note de gueule » ne peut pas intervenir [sauf erreur de ma part], les protocoles étant identiques pour tout le monde, du moins pour la région ou le pays dans lequel sapplique le protocole en question), mais bien quant à linterprétation à donner au résultat positif du test « VIH » obtenu suite à un protocole valable aussi bien pour ceux qui ont une bonne note quune mauvaise note de gueule. Sil a une mauvaise note de gueule (gay, toxicomane, ...), il ny a pas de « pardon » possible, il a bien été « contaminé » par le « VIH ». En revanche, sil a une bonne note de gueule (religieuse vivant dans un couvent depuis 30 ans par exemple), il y a de très grandes chances quil soit affirmé par lorthodoxie du sida quil sagit bien dun faux positif ! Mais en réalité, dans les deux cas, ce sont tous les deux de faux positifs, du moins quant à leur prétention à détecter une "contamination" par le "VIH". Autant dinterprétation dans un test médical est tout simplement une première dans lhistoire médicale, en particulier pour un test qui aurait la prétention de détecter une contamination par un germe infectieux !
  17. Bonsoir Liebherr. J'ai lu ton post, qui m'a interpellé. Mais pour ce qui me concerne, peu importe ce que fera l'orthodoxie du sida (à moins qu'elle tente une réelle isolation du "VIH") pour "affiner" ces tests, le problème auquel elle est confrontée est toujours le même, peu importe ce qu'elle fasse. Ces tests dits "VIH" ne seront jamais la preuve d'une infection par le "VIH" pour au moins les deux raisons suivantes : 1) Il faut déjà prouver que les anticorps réagissent avec des protéines dont on a la preuve qu'elles sont bien originaires d'un rétrovirus "VIH". Cette preuve n'a jamais été apportée, la preuve de l'existence du "VIH" n'ayant jamais été apportée jusqu'à ce jour. 2) Ensuite, à supposer même (ce qui n'est pourtant déjà pas le cas) que les antigènes utilisés sont bien des protéines du "VIH", le simple fait que des anticorps réagissent avec des antigènes spécifiques du "VIH" ne prouve toujours pas qu'il s'agit bien des anticorps du "VIH" vu que tous les anticorps du "VIH" sont polyspécifiques. La seule façon de prouver la spécificité des tests dits "VIH" est de comparer la réaction antigènes-anticorps avec le "VIH" lui-même, étant le seul étalon-or fiable, c'est-à-dire de comparer la réaction avec des malades du sida et chez qui on a isolé le "VIH" (ce qui n'a jamais été fait) et des malades de maladies du sida mais chez qui on n'a pas pu isoler le "VIH" (vu qu'aucune maladie du sida n'est spécifique au sida), et chez qui donc le test devra être négatif vu qu'ils n'ont pas le "VIH". Or la spécifité de ces tests n'a jamais été mesurée par rapport au "VIH" lui-même, seul étalon-or admissible, mais bien chez des malades du sida, dont il a été présupposé (et non "prouvé") qu'ils ont été "contaminés" par le "VIH", et en les comparant chez des personnes supposées en bonne santé par l'analyse de banques de sang (et non en les comparant avec ceux qui font les mêmes maladies du sida, sans être "contaminés" par le "VIH", vu que ces maladies ne sont pas spécifiques pour le "VIH"). Cela en fait des suppositions pour fonder une science aussi bien établie que serait le sida rétroviral ! En conclusion, ces tests sont au mieux des tests "sida", mais pas des tests "VIH" ! Et encore, quand je dis que ce sont des tests "sida", je suis encore sympa, vu que les maladies du sida ne sont même pas spécifiques du sida. Dès lors, même si les protéines sont synthétiques, cela évite sans doute le problème de contamination de culture, MAIS : - il n'est toujours pas prouvés qu'elles proviennent d'un rétrovirus "VIH", - et les problèmes de réactions croisées demeurent toujours (forcément, tous les anticorps du "VIH" étant polyspécifiques, et c'est par définition le cas vu que le "VIH" n'a jamais été isolé). Concernant les protocoles, étant donné qu'ils varient en fonction des pays (voir ici les neuf protocoles différents possibles dans le monde et peuvent dès lors aboutir à des résultats différents en fonction des pays ("contaminé" dans l'un, pas dans l'autre), ce seul fait suffit à leur enlever la moindre crédibilité. Le test "VIH" est tout simplement le premier test de l'histoire médical dont l'interprétation varie en fonction des pays ! En réalité, ces protocoles me semblent avoir été établis uniquement à l'effet de répondre à la définition clinique de séropositivité fixée dans le pays, en les comparant avec des malades du sida. Mais ces critères sont subjectifs, car variant en fonction des pays. Quant au fait que les sources de cause de fausse positivité sont peut-être anciennes, c'est peut-être possible (on peut peut-être toutefois trouver une liste plus récente ici (pages 10 à 13). Mais encore une fois, cela ne change rien au problème car l'orthodoxie du sida ne ne se réfère jamais au "VIH" lui-même mais bien aux sidéens (et à leurs anticorps) dont il est présumé qu'il a été contaminé par le "VIH". Maintenant, si je me trompe, je ne demande pas mieux qu'on me corrige. Je commence à avoir l'habitude avec Psyence ! lol
  18. Bonsoir Psyence. J'ai à nouveau relu tous tes posts depuis le début (soit depuis celui-ci, à moins que je me trompe bien sûr) que tu as consacrés au sujet de la corrélation (ou plutôt l'absence de corrélation) certaine, mais lâche, entre séropositivité et sida. Comme je me suis dit que peut-être, je comprenais mal le français et que nous n'avons visiblement pas la même définition du mot corrélation, j'ai lu la définition de "corrélation" dans le dictionnaire "Le Petit Larousse Illustré 2006" : Corrélation : n.f. (lat. correlatio). Dépendance réciproque de deux phénomènes qui varient simultanément, qui sont fonction l'un de l'autre, qui évoquent ou manifestent un lien de cause à effet. Selon le Petit Larousse Illustré, pour qu'il y ait corrélation, il faut : - deux phénomènes, à savoir ici la séropositivité et le sida, - et en lien de cause à effet, à savoir ici séropositivité mène au sida. Comme tu as écrit : Tu as retenu de cette étude que la conclusion dont tu avais besoin: à savoir que le SIDA a une forte connexion avec la séropositivité. Oui, cette étude étaye tes dires. Mais elle dit aussi que parmis des homosexuels exposés à drogues récréatives, principale source de stress oxydant,et rapport anaux non-protégés, 350 sont restés 8,6 années sans déclarer de séropositivité, ni de SIDA. Que penser alors de la notion de "catégories à rsiques" ? Que penser du fait que les drogues consommées n'ont jamais engendré de séropositivité chez eux ? Ni même les rapports anaux successifs qui devraient selon ce qui est rapporté dans les précédant posts en provoqué une ? Je continue à citer les implications contradictoires avec d'autres affirmations où j'arrête là ? Alors que le sujet portait sur le point de savoir uniquement s'il y avait une corrélation entre séropositivité et sida (mais on était en fait à deux niveaux différents de raisonnement), tu as embrayé sur les apparentes contradictions de ce passage à l'encontre de la dissidence du sida. En réalité, j'ai mis ce passage expressément en premier lieu pour vérifier si tu n'allais pas tenter de noyer le poisson en embrayant sur ces contradictions apparentes justement, au lieu d'admettre clairement que cette étude me donnait raison (mais encore une fois, on ne parlait pas du même sujet). C'est exactement ce qui s'est produit. Mais comme je l'ai dit, c'est sans doute involontaire de ta part et justifié par ton souci d'analyser de façon critique la théorie du stress oxydatif. Alors, brièvement sur le point que tu évoques, où seraient donc les implications contradictoires ? Je me le demande en fait. Les implications ne sont contradictoires que parce que apparemment, on raisonne en pensant "VIH". Il est d'ailleurs piquant de constater que le résumé (anglais, que j'ai donc entièrement reproduit dans mon post) est présenté de façon à faire croire que le "VIH" est bien la cause du sida. En d'autres termes, il est orienté. Je m'explique. 1) Premièrement, ce résumé ne réfute en rien la théorie du stress oxydatif puisque celle-ci précise que par définition, il y a une corrélation certaine, mais lâche, entre séropositivité et sida (dans les groupes à risque donc, redéfinis en fonction des critères que tu as introduits dans tes précédents posts). Il n'y a dès lors rien d'étonnant à ce que les séronégatifs ne fassent pas de sida 2) La théorie du stress oxydatif ne dit pas que tous ceux qui consomment des drogues récréationnelles et ont des rapports anaux réceptifs vont forcément devenir séropositifs. Il me semble l'avoir déjà dit à plusieurs reprises. Cela dépendra entre autres d'autres facteurs : résistance de l'individu, son statut antioxydant, fréquence de l'exposition à ces facteurs de stress oxydatif , facteurs génétiques, etc... Mais ce n'est pas parce que les facteurs en question ne causent pas nécessairement la séropositivité, qu'il ne doit pas être mis l'accent sur le fait que les facteurs en question sont gravement de nature à causer la séropositivité, et puis le sida. 3) Le résumé en question ne précise justement pas si l'ensemble de ces nombreux autres facteurs ont été analysés, ne fût-ce que quelques-uns, comme par exemple la fréquence de l'exposition aux facteurs en question. En fait, il est certain qu'ils n'ont pas été analysé du tout puisque ces études ont été faites en pensant "VIH". 4) Last but not least, il est piquant de constater que le résumé se garde bien de préciser combien il y avait de séronégatifs au début de l'étude (ce qui aurait permis la comparaison avec le nombre de séronégatifs restant à la fin de l'étude) ! Cordialement.
  19. Bonsoir Psyence. Je t'avoue que je ne comprends toujours pas tes arguments pour justifier le fait qu'il n'y aurait pas la moindre corrélation, même lâche, entre séropositivité et sida. Note que la question est de savoir s'il y a une corrélation, fût-il lâche, entre séropositivité et sida. A mon sens, dans ce cadre-ci, il n'y a donc pas lieu de parler des rarissimes cas de sida sans séropositivité (environ 3000 à 4000 cas de sida sans séropositivité plus ou moins clairement établis sur 25 millions de morts passés de sida) car là, il n'y a même pas de séropositivité. On ne peut même pas parler de la corrélation éventuelle qui pourrait exister puisqu'il n'y a même pas de séropositivité à aucun moment. Par ailleurs, la circonstance qu'il existe de rarissimes cas de sida sans séropositivité n'implique pas que dans les cas où la séropositivité existe (c'est-à-dire presque tous les cas), il ne pourrait plus y avoir de corrélation éventuelle entre séropositivité et sida. Je vais tâcher de résumer encore ma position. J'admets que tu es extrêmement fort en rhétorique, mais pour ma part, je m'en tiens aux faits constatés dans des dizaines d'études scientifiques. 1) Lorsque je parle de la corrélation lâche qui existe entre séropositivité et sida, je ne vise bien sûr que les groupes à risque de sida (homosexuels, hémophiles, toxicomanes et les personnes souffrant de malnutrition). En d'autres termes, j'estime qu'il n'a jamais été prouvé jusqu'à ce jour qu'une telle corrélation existe dans les groupes non à risque de sida, et j'estime que cette preuve reste encore à apporter. 2) Quand j'utilise l'expression "corrélation lâche" entre séropositivité et sida (dans les groupes à risque de sida, donc), j'entends par là qu'un test séropositif chez une personne (faisant donc partie d'un groupe à risque de sida) indique une propension (peut-être qu'avec ce terme, on se comprendra mieux) certaine à développer et à mourir ultérieurement de certaines maladies particulières définies sous le nom de "sida". C'est en sens-là que j'entends l'expression "corrélation lâche". Et il me semble qu'il y a là rien d'étonnant car les personnes en bonne santé ne développent pas de hauts niveaux d'anticorps (qui dépassent donc le fameux seuil) qui persistent longtemps. Le fait que par définition, des séropositifs ont de hauts niveaux d'anticorps prouvent donc déjà que "quelque chose" ne va pas. Il faut donc voir la séropositivité comme un indicateur non spécifique d'une propension, certaine mais lâche (en ce sens que ce ne sera pas nécessairement le cas), à développer ultérieurement de telles maladies (chez les groupes à risque de sida). Exactement comme : - la technique de la vitesse de sédimentation : si la vitesse est élevée, elle indique une propension certaine (mais lâche) à développer ultérieurement des maladies infectieuses et/ou inflammatoires (voir par exemple : http://www.vulgaris-medical.com/encycloped...ation-4841.html, http://documentation.ledamed.org/IMG/html/doc-10875.html ou http://www.pratique.fr/sante/examcomp/em32a05.htm). - où la mère qui prend la température de son bébé qui a l'air de mal se porter : si la température est élevée, cela sera l'indice d'une propension du bébé à développer prochainement une maladie. 3) Que l'on puisse nier qu'une telle corrélation, même lâche, ne puisse pas exister entre séropositivité (dans les groupes à risque de sida, donc, je ne le répéterai plus) et sida, me semble tout à fait incompréhensible. Outre le fait que nier une telle corrélation est de nature à permettre à l'hypothèse rétrovirale de prévaloir encore très longtemps, de multiples études ont clairement démontré cette corrélation, en constatant les faits. Je t'en cite encore d'autres et je t'en fais même un petit résumé en français pour que le problème de la langue ne soit éventuellement pas un obstacle. Si tu pouvais m'expliquer (peut-être autrement que tu l'as fait) en te basant sur chacune de ces études en quoi la corrélation n'est pas établie, je t'en serai vivement reconnaissant. Je ne demande qu'à comprendre tes arguments, que je ne saisis toujours pas. D'ailleurs, je ne demanderai pas mieux qu'on me prouve que la séropositivité n'a aucune espèce de corrélation avec le sida : voilà qui va rassurer les 40 millions de séropositifs actuels ! Ici : Une étude au Rwanda a constaté que le taux de mortalité était 21 fois plus élevé chez les enfants séropositifs que chez les enfants séronégatifs. Etc ... etc ... Sur base de ces quelques exemples (parmi tant d'autres), peux-tu m'expliquer en quoi il n'y aurait pas une corrélation, même lâche, entre séropositivité et les maladies qualifiées de sida ? 4) Notons que (mais je pense que cela s'adresse plutôt à Aixur) que ces études se basent sur des gens déclarés séropositifs, peu importe qu'éventuellement ensuite, ils ne soient plus en fait séropositifs (ce que je ne crois pas un seul instant pour les motifs expliqués ci-dessous), au motif que les tests ne sont plus refaits. 5) Notons que ce que j'ai pu entrevoir des posts d'Aixur et de toi (si j'ai bien compris), c'est la logique suivante, basée sur deux suppositions (non prouvées scientifiquement) : a) Il n'y aurait pas de corrélation entre séropositivité et sida (je parle toujours dans les groupes à risque de sida, bien sûr) parce qu'on n'aurait pas la preuve qu'ils soient encore séropositifs au moment du sida. b) Et il n'y aurait pas de corrélation entre séropositivité et sida car les survivants à long terme seraient encore séropositif. Mais si c'est cette logique-là qui est suivie, elle me semble reposer sur une contradiction interne, outre le fait qu'il s'agit de suppositions. Chez ceux qui évoluent vers le sida, il serait donc présumé que la séropositivité est réversible, tandis que chez les survivants à long terme cette séropositivité est irréversible ! Il faut au contraire être logique : s'il est supposé que les séropositifs évoluant vers le sida peuvent devenir séronégatifs, il faut également accepter que les survivants à long terme puissent devenir séronégatifs. Il me semble qu'il faut rester cohérent. Il n'y a pas lieu de prendre uniquement ce qui nous arrange (irréversibilité dans l'hypothèse rétrovirale, mais uniquement chez les survivants à long terme, et réversibilité dans la théorie du stress oxydatif, mais uniquement chez ceux qui évoluent vers le sida). Cette logique aura donc pour conséquence que le survivant à long terme aurait été contaminé par le "VIH" tandis que le sidéen se meurt de stress oxydatif. C'est soit une théorie, soit l'autre, mais pas une théorie hybride avec justement ces incohérences-là. Outre le fait qu'il s'agit de deux pures supposition, il me paraît de toute façon incontestable que la première ne semble pas prête d'être confirmée un jour quelconque. La théorie du stress oxydatif implique que la séropositivité est réversible ... à tout le moins en commençant déjà par cesser de s'exposer à des agents oxydants. On constate toutefois que les séropositifs évoluant vers le sida continuent justement à s'exposer à des agents oxydants, parfois "involontairement" (drogues dites antirétrovirales). Dans ces conditions, même dans la théorie du stress oxydatif, je ne vois pas comment ces séropositifs pourraient redevenir séronégatifs. S'il est nié que cette corrélation (du moins dans les groupes à risque de sida) puisse exister, il est alors nié que le sida et la séropositivité soient causés par le stress oxydatif. Dès lors, ceux qui nient une telle corrélation se doivent de préciser ce qui cause le sida et la séropositivité si ce n'est ni le "VIH" ni le stress oxydatif. Par ailleurs, il n'est pas nécessaire de refaire des tests dits "VIH" pour s'assurer que le séropositif est toujours séropositif. En effet, nous savons que la séropositivité est le résultat d'un très haut niveau d'anticorps. Or, il est constaté par l'orthodoxie du sida qu'à mesure que le séropositif évolue vers le sida en faisant de plus en plus d'infections opportunistes de plus en plus graves, son niveau d'anticorps ne fait qu'augmenter justement, en sorte que sa séropositivité ne fait que s'accentuer. C'est tellement admis par la communauté scientifique que même ce fait a été repris et accepté par les dissidents du sida eux-mêmes ..... mais surtout pour critiquer l'hypothèse rétrovirale ! En effet, si son niveau d'anticorps ne cesse d'augmenter à mesure qu'il fait de plus en plus de maladies de plus en plus graves du sida, comment l'orthodoxie du sida peut-elle prétendre que le "VIH" (ou séropositivité) détruit les lymphocytes T4 ..... qui produisent justement des anticorps ? Cette augmentation du niveau d'anticorps est d'ailleurs tellement vrai qu'après 22 ans, l'orthodoxie du sida déclare maintenant que le "VIH" (séropositivité) provoque le sida en hyperstimulant le système immunitaire, ce qui implique entre autres la production de toujours plus d'anticorps ... et donc que le patient est toujours séropositif quand il fait des maladies du sida. Il me semble donc difficile de nier la corrélation entre "séropositivité" et sida (sans même tenir compte des exemples cités ci-dessus). En revanche, il est vrai qu'il n'existe apparemment aucune étude scientifique ayant prouvé que les survivants à long terme soient pour la majorité redevenus séronégatifs. Et on n'est pas encore prêt de le savoir puisque nous vivons toujours dans la préhistoire du sida, à savoir que le sida est causé par le "VIH" et donc que la séropositivité est irréversible. On n'est donc pas prêt de vérifier s'il existe des cas contraires, d'autant plus que les survivants à long terme ont pour habitude d'éviter le milieu médical (et ils n'ont pas si tort que cela). Ceci étant, la circonstance que des études n'ont pas été faites pour vérifier si la majorité des survivants à long terme ne sont pas redevenus séronégatifs ne prouve pas pour autant qu'ils ne sont pas effectivement devenus séronégatifs. En outre, le fait que les sidéens soient toujours séropositifs (cf ci-dessus) tend au contraire à prouver la relation inverse, à savoir que le survivant à long terme est redevenu séronégatif. Même si cela ne peut pas constituer une preuve scientifique, on trouve ci et là des témoignages de survivants à long terme précisant qu'ils ont refait leur test dit "VIH" et qu'ils ont constaté qu'ils étaient redevenus séronégatifs. Mais j'admets que seules des études scientifiques permettront de s'en assurer (ou de s'assurer qu'ils sont toujours séronégatifs). Cordialement.
  20. OK, Cheminot. Mais pourrais-tu me dire pendant combien de temps cette prise a été retardée (il me semble avoir lu un an ou deux, mais je me trompe peut-être) et durant ce laps de temps de un an ou deux où ils n'ont pas pris d'AZT, des séropositifs sont-ils morts ou non (car on ne pourra évidemment pas dire que cela est dû à l'AZT) ? PS : Cette fois-ci, j'arrête VRAIMENT de répondre, car je n'ai plus le temps (je reprends le boulot).
  21. Faute de temps, je vous répondrai bien plus tard, Psyence et Aixur, mais déjà ces deux points parce que c'est très rapide. Voilà qui est brillamment dit ! Ceci étant, si tu veux rester cohérent, peux-tu me donner les références scientifiques de ne fût-ce qu'une seule étude scientifique peer review (ce qui ne sera toujours rien comparé aux dizaines d'articles établissant la corrélation entre séropositivité et sida et dont tu as pu trouver un [tout] petit aperçu dans mon précédent post) ayant constaté sur un nombre statistiquement significatif de séropositifs, qu'il y a un nombre statistiquement important de séropositifs ayant continué, après la découvrerte de leur séropositivité, à s'exposer à des agents oxydants de diverses sortes et qui ne font toujours pas de sida, disons au bout de 10 - 12 ans après la découverte de leur séropositivité (et qui ne consomment bien entendu pas de drogues dites "antirétrovirales")? Si tu arrives à trouver une telle étude, il sera alors possible de parler de faits contradictoires. A défaut, la corrélation reste certaine entre séropositivité et sida. Ceci étant, ce n'est qu'un petit aperçu de ma future réponse. Merci encore de me communiquer les références de ne fût-ce qu'une seule étude scientifique ayant constaté ce fait contradictoire (et pas bien sûr des "on-dit", des "je pense que", "je connais des cas de ce genre", etc... [mais cela ne te vise pas nécessairement, bien sûr], lesquels n'ont aucune valeur sur le plan scientifique).
  22. Bonjour. Je fais très vite car suis au boulot. En raison de la corrélation, certes lâche, entre séropositivité et sida. Et car ceux qui ne sont pas séropositifs ne font pas de sida (sauf exceptions tout à fait rarissimes et explicables : les cas de sida sans "VIH").
  23. J'ai lu récemment (mais je ne sais plus où) que dans les cas déjà rarissimes où l'orthodoxie du sida déclare que les singes meurent du "sida", l'usage du mot sida par l'orthodoxie du sida est très trompeur et abusif car ayant pour but de faire croire que ce serait dû au "VIH" (ou au "SIV" [soit l'"équivalent" "VIH" du singe]). En effet, les maladies en question sont bien plus en rapport avec des réactions de rejet de ce qui a été injecté aux singes qu'à des maladies traditionnellement qualifiées de sida. En plus, à supposer même que dans ces cas déjà rarissimes, certaines de ces maladies auraient été caractéristiques du sida, nonosbtant la circonstance que ces maladies (déjà rarissimes) peuvent avant tout s'expliquer par les conditions de détention et de vie des singes en question, elles peuvent également être expliquées par les différentes "impuretés" pouvant se trouver dans la préparation injectée aux singes et contenant le "VIH". Bref, il n'existe aucun modèle animal infectieux du sida à ce jour. Et cela n'a bien sûr rien d'étonnant.
  24. Bonsoir Psyence. En attendant que je trouve le temps de rédiger un post correctif sur (l'absence d')isolation du "VIH", j'aimerais toutefois apporter une (très) importante correction sur le point suivant (mais il est vrai que tu l'as repris de quelqu'un d'autre, mais l'erreur de l'auteur que tu as repris me semble tellement grosse que je pense que tu n'as pas dû le citer entièrement) : Mais donc, pour le démontrer, il faut donc déjà avoir prouvé que la particule en question se reproduit. Duesberg n'a pas entièrement tort quand il dit que le "VIH" existe réellement en tant que rétrovirus (exogène, dit-il) mais inoffensif car il n'existe aucun modèle animal infectieux ou pathogène où on a pu prouver que le "VIH" (ou plutôt : ce qui est considéré comme du "VIH" par l'orthodoxie du sida) injecté chez les animaux causait le sida. Voir à ce sujet ce topic-ci. Le seul modèle animal existant en matière de sida est uniquement un modèle non infectieux : par exemple, tu donnes de l'AZT tous les jours à des singes, et ils feront un sida. En revanche, le raisonnement de Duesberg aboutit quand même à la conclusion que le sida est bien causé par le "VIH", même s'il s'en défend. En effet, il admet que le "VIH" existe en tant que rétrovirus exogène mais qu'il serait inoffensif. Cependant, en admettant que le "VIH" existe en tant que rétrovirus exogène, il admet forcément que des anticorps du "VIH" existent également. Comme il est constaté depuis plus de 20 ans qu'il existe une corrélation très forte entre la présence des anticorps du "VIH" et l'évolution vers le sida, bien malgré lui, il doit admettre que le "VIH" cause le sida (éventuellement, avec l'aide de cofacteurs) car il accepte l'existence des anticorps du "VIH". Et quand bien même l'orthodoxie du sida est incapable d'expliquer même 25 ans plus tard comment le "VIH" cause(rait) le sida, il ne peut qu'être constaté que par des "mécanismes restant à éclaircir", le "VIH" cause bien le sida (le cas échéant, avec des cofacteurs) vu la corrélation très forte entre les anticorps du "VIH" et le sida. En d'autres termes, Duesberg est sans le vouloir un fossoyeur de la dissidence du sida, et le suivre dans sa logique, c'est conduire malgré tout la dissidence du sida vers sa perte. Seule la théorie du stress oxydatif permet d'éviter de surmonter cet écueil puisqu'il y est expliqué que le "VIH" n'existe pas en tant que rétrovirus et qu'au mieux, il pourrait être un rétrovirus endogène. Certes, Duesberg prétend réfuter cela et ces réfutations se retrouvent entre autres dans ce document-ci. Cependant, ces réfutations n'en sont réellement pas (du moins, celles relatives à la corrélation entre "VIH" et sida). Dès que j'ai le temps, j'y reviendrai mais pour le moment, je préfère me concentrer sur la question de l'isolation du "VIH" car il est vraiment temps que cette question soit définitivement et surtout très clairement résolue, d'autant plus que cela signifiera définitivement la fin du "VIH" et donc de l'hypothèse rétrovirale du sida. Cordialement. PS : Sinon, merci pour tes posts qui me forcent à mieux analyser encore le sujet et à être encore plus convaincu (à supposer que cela était encore nécessaire) que les tenants du stress oxydatif comme cause du sida ont bien raison.
  25. Oui, effectivement, c'est l'une des (très) grosses erreurs (de compréhension) figurant dans mes deux posts précédents. Dès lors, en partant déjà de cette erreur, Psyence peut s'en "donner à coeur joie" contre le Perth Group en matière d'isolation. Ceci étant, en faisant la centrifugation une nouvelle fois à partir de la bande 1,16 obtenue la première fois, il est possible de purifier ensuite encore plus (et ainsi de suite en refaisant de nouveau la centrifugation avec la nouvelle bande 1,16 obtenue). Mais cela suppose déjà qu'il y ait au moins des particules d'apparence rétrovirale dans la toute première bande 1,16 obtenue et en plus beaucoup (ce qui n'a jamais été le cas jusqu'à ce jour). J'espère bien que pour le week-end prochain, je serai en mesure de rédiger un post bien plus clair et ordonné.
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