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forum sidasante

Cheminot

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  1. Peux-tu éventuellement me fournir le pdf de l'article? Merci par avance.
  2. J'ai relu le document cité par Wallypat. Ils englobent dans les risques les piqûres de seringues, les échanges de seringues lors d'injection de drogue. Voici les risques liés à ces situations donnés par le NIH : On constate qu'en aucun cas ce risque n'excède 1% si la seringue est "contaminée" Donc on ne peut pas "sauver" la prophyllaxie post-risque par ces considérations. Il faut trouver un autre biais qui permettrait de réfuter ce que dit Wally, ou bien il faut l'accepter.. Et je sais que c'est dur pour tout le monde, même pour ceux qui se posent simplement des questions.
  3. Mais il y de quoi devenir dingue, je te le concède, car si on ne trouve pas une réponse raisonnable à ce dilemne, on peut et on doit vraiment tout f... en l'air!!
  4. Bien entendu, le génome n'est pas forcément plus grand, mais ce n'est pas ce que j'ai écrit, si tu lis bien. J'ai dit "qui varie en conséquence". Car, pour que l'enveloppe ait une certaine taille, il faut que le génome contienne l'info qui indique le nombre de protéines qui forment l'enveloppe. Mais cette info ne peut varier, pour une même espèce, et même dans d'une même famille, pour donner les structures aussi différentes, sinon, on serait tous complètement différents, les uns avec un nez en entonnoir et les autres avec une peau verte... J'ai aussi réfléchi à ce que tu opposait au raisonnement de Wallypat. Tu dis : en fait, les 80% qui en réchappent avec le traitement, ce sont ceux (0,05*0,8=0,04%) finalement qui sont séropositifs et que le traitement réussit à rendre séronégatifs. Est-ce que tu t'imagines ce que ton interprétation signifie? Cela veut dire pourraient supprimer cette séropositivité chez 80% des gens. Cela va à l'encontre de tout ce qu'on nous raconte, et de l'expérience des cliniciens, qui savent qu'il n'y a pas négativation par les traitements. Le biais que tu oppose à l'argumentation de Wally fait apparaître une autre "absurdité" . Finalement, tout ceci n'est absurde que si l'on persiste à penser que la séropositivité est due à un virus sexuellement transmissible. S'il s'agit d'un trouble métabolique lié au stress oxydatif - qui est multifactoriel, il faut bien le préciser - tout s'éclaire et devient limpide.
  5. Dernière incongruité "orthodoxe", nécessaire pour garder le dogme: une étude qui, enfin, permettrait de photographier le "virus" : http://news.bbc.co.uk/1/hi/health/4642940.stm On y lit, entre autres joyeusetés sur les promesses thérapeutiques (LOL) : Ce qui signifie que notre virus peut avoir un diamètre qui varie de 1 à trois, donc un volume qui varie de 1 à 27, donc contient une masse de protéines pouvant varier de un à 27, et donc automatiquement, un génôme qui varie en conséquence. Comme quoi tout est bon pour que rien ne vienne démolir la théorie, même l'incohérence la plus débile. De toutes manières, personne n'y fera attention.
  6. Mais Nico, on trouve non seulement ce chiffre dans un document du ministère de la santé, mais encore dans un autre du NIH, et dans les deux publications que j'ai citée. Il faut donc te rendre à l'évidence, ces chiffres correspondent bien à la réalité, mais tous ceux qui les ont publiés ne se sont pas rendu compte de leur signification réelle. Alors réfléchis un peu : les 4 références que je donne indiquent que si 10000 personnes non "contaminées" ont des relations hétérosexuelles avec une personne "contaminée", seules 5 de ces personnes seront "contaminées". On ne précise pas si elles sont traitées, mais les études de Padian et de Gray précisent bien qu'elles ne le sont pas. Par ailleurs, les données cliniques concernant les personnes traitées pour avoir pris un risque peuvent vouloir dire au pire que ces personnes savent qu'elles ont eu une relation sexuelle avec une personne séropositive. On est donc dans le cas traité par les 4 références précédentes. Et là, on sait qu'elles ont été traitées, avant qu'on sache si elles sont vraiment séropositives, car il s'agit de prophyllaxie. Et dans ce cas-là, si 10000 personnes non "contaminées" ont eu des relations hétérosexuelles avec une personne "contaminée" et ont subi ce traitement prophyllactique, on décomptera 2000 personnes qui seront "contaminées" au bout du compte. Les chiffres sont les chiffres, et bravo à Wallypat pour sa sagacité.
  7. Peu d'études suivies pour répondre à tes questions. En voici deux : celui de Padian pour l'amérique (je peux te fournir l'étude détaillée) et celle de Gray pour l'afrique (uganda)
  8. Y a-t-il une faille dans le raisonnement de Wallypat? Cherchez le biais. Sinon, ce petit exercice de logique devrait conduire les traitements préventifs à la poubelle...
  9. Ma propre expérience me dit de me méfier, ayant vu au labo un copain pourtant très adroit aller directement à l'hôpital après avoir respiré quelques vapeurs de mercure métallique...
  10. L'image que l'on voit est une image statique. Où vois-tu le mouvement que tu décris? En ce qui concerne la transmission, il y a plusieurs possibilités: - les personnes en question ont le même mode de vie (voir la transmission supposée du scorbut ou du SMON). Et donc subissent l'action d'oxydants semblables. - la transmission par injection serait due au passage de protéines oxydantes (par exemple les hemagglutinines) dans le flux sanguin, en court-circuitant le tractus digestif qui sait couper ces protéines. - le sperme lui-même est un oxydant, car le taux de thiols de ses protéines est pratiquement nul à la sortie du canal déférent. Par contre les disulfures pullulent. Là encore, les pratiques dites à risque augmentent le passage de ces protéines dans le sang. - le taux de CD4 baissent lors de l'introduction de sperme d'une souris dans le rectum d'une autre souris : http://www.biolreprod.org/cgi/reprint/52/6/1209.pdf - et on a montré que les anticorps à la P24 et à la GP120 peuvent apparaître indépendemment d'une quelconque "infection" par un "vih" T. A. Kion, G. W. Hoffmann , "Anti-HIV and anti-anti-MHC antibodies in alloimmune and autoimmune mice", Science 253 , 1138-1140 (1991). http://perso.wanadoo.fr/thiacytidine/AIDS/...orps_souris.pdf Et selon le Pr Luc Montagnier, ta première assertion est fausse : http://www.robertogiraldo.com/brussels/montagnier.doc
  11. Attention quand tu cite des sources : la DATE!!! 1985=début de l'épidémie= peu de connaissances.... Rappelez vous qu'a cette époque on pensait que la présence d'A-Corps était preuve d'une rémission (je cit le ministre de la santé de l'époque là)! assertion de Milton jamais démentie cependant.
  12. Reprends tout cela à tête reposée, et tu verras qu'il y a bien des incongruités dans ce qu'on nous raconte. Relie-le par ailleurs au fait que, selon des études faites par les fabricants de condom eux-mêmes, les noirs africains ont une séxualité identique, ou même moins importante que celle des blancs européens ou américains, Et d'autre part que, selon les seules études sérieuses sur la probabilité de transmission de la séropositivité en afrique par voie hétérosexuelle, celle ci est égale à 1 pour mille actes, pas très éloignée des 1 pour 2000 existant dans les pays développés.
  13. Avec une probabilité de transmission par acte de 1 pour 2000, comment peux-tu être sûr que la séropositivité de cette personne soit vraiment due à une transmission sexuelle d'un virus? Et même s'il s'agit d'une transfusion avec un sang comportant un taux de protéines anormal, avec une probabilité de transmission de la maladie égal à 90%, comment peux-tu être sûr qu'il ne s'agit pas de la transmission d'une maladie alloimmune, chose tout-à-fait raisonnable ainsi que l'a montré Milton en 1985?
  14. réfléchis un peu. si on admet que les tests utilisés en afrique sont fiables, et voyant que les chiffres réels de progression de la population représentent le double ce qui est attendu en tenant compte de la prévalence de la séropositivité, on en déduit qu'un très grand nombre de séropositifs n'est pas mort. Les chiffres sont encoe plus frappants dans la cas de l'ouganda : 30% de prévalence en 1995, 5% en 2005, avec cependant un taux de croissance de 3,5% l'an. Ce qui signifie globalement que 3 millions de séropositifs ont disparu. S'ils sont vraiment mort, l'Uganda aurait eu sans séropositivité le taux de croissance le plus élevé jamais enregistré : 6% l'an, pour lesquels il en aura fallu des coïts, et non protégés, ce qui devrait être, selon la théorie officielle, par ailleurs incompatible avec une décrue aussi impressionante de la séropositivité. Alors... il faudra bien un jour éclaircir tout cela.
  15. Je t'attendais-là! LOL! Voici les données actuelles pour le Lesotho, avec d'une part les estimations de l'OMS utilisant un taux de prévalence de 28% de la séropositivité http://hivinsite.ucsf.edu/global?page=cr09-lt-00 Même son de cloche auprès du bureau de recensement américain : http://www.census.gov/ipc/hiv/lesotho.pdf avec un taux de croissance annuel de la population de 1,7% en tenant compte de ces 28%, une espérance de vie "calculée" de 50 ans... et à côté de cela, un taux de croissance réel égal à 3,2% par an entre 1996 et 2001 : http://www.statoids.com/uls.html soit un des taux de croissance les plus élevés de la planète. Alors, tes 100% de mortalité après un diagnostic de séropositivité....??? A moins que ces diagnostics, faits avec un seul test Elisa, ne veuillent rien dire... J'ai lu sur un autre post que les personnes déclarées faux positifs par la faculté avaient malgré tout contracté un syndrome de Kaposi. Eh bien, cela ne m'étonne pas outre mesure, car contrairement à de nombreuses personnes ici, je pense que l'augmentation des protéines dont on recherche les anticorps est une mauvaise chose, liée non pas à un virus, mais à une foultitude facteurs qu'on peut regrouper sous le terme stress oxydatif, qui nous concerne tous. Il s'agit donc pour moi d'un trouble métabolique, transmissible mais non infectieux, car parmi les causes en question, je range certaines protéines oxydantes que certains plasmas contiennent. Ce qui me conforte dans cette optique, c'est que nous tous comportons ces anticorps, puisque chacun d'entre nous présente une densité optique, en immunofluorescence, égale environ au tiers ou à la moitié de l'index défini par le fabricant. Comme il y a deux réactions antigène-anticorps, la première pour fixer l'anticorps sur la plaque sur laquelle on a fixé les antigènes, la seconde pour fixer sur les anticorps accrochés un antigène greffé avec une ombelliferone qui permet la fluorescence, cela signifie que nous avons bien dans notre sang les mêmes anticorps que les séropositifs, mais à un taux bien moindre. Quant aux réactions "soit-disant croisées", est-ce qu'un publi les a vraiment montrées (et non pas supposées)? Cela change tout en ce qui concerne l'approche légale de la maladie, et le comportement ségrégationniste des gens vis-à-vis des séropositifs.
  16. primo, l'interprétation que je donne ici est la seule qui n'est pas divulgée partout, et apparemment, tu ne la rejettes pas, si j'ai bien compris. Les personnes qui suivent ce forum n'ont pas besoin de moi pour leur rappeler l'interprétation "orthodoxe", qui est d'ailleurs faite par des personnes qui ont relativement peu de connaissances pointues en chimie. Alors oui, il y a très certainement de nombreux facteurs, mais celui-ci crève vraiment les yeux, sauf pour celui qui a des oeillères. secundo, je ne lis pas tous les topics, et tu remarqueras que je critique souvent, mais gentiment, certains points de vues...ne serait-ce que le désir que plusieurs formulent ici, qui est d'arrêter leur traitement. Ce que j'indique essentiellement, c'est qu'on peut comprendre le sida, et ses traitements actuels, en dehors de toute action présumée d'un virus transmissible... et d'ailleurs, l'étrangeté de ce qui se passe en Afrique, avec des séropositifs qui ne meurent que très rarement, est bien la preuve qu'il s'agit d'autre chose. Mais je te ferais remarquer que mon domaine, c'est la chimie organique théorique et expérimentale, et que les chimistes ont le droit et le devoir d'étudier les choses sous un autre angle que les médecins, voire de les critiquer dans leur utilisation de la chimie. Et l'AZT, c'est avant tout de la chimie. J'aurais préféré que tu critiques mon étude sur les dioxo- et oxathio-lannes.
  17. Moi aussi j'apprécie la chimie... Cependant pour un normalien, je te trouve assez peu rigoureux dans tes "démonstrations" ou explications. des exemples?
  18. Il faudra se remettre à Mozart... En tous cas, ce 100% ne fait pas l'avis de tout le monde, et sûrement pas celui de Chermann, "coinventeur" avec Luc Montagnier de ce fameux virus! LOL!
  19. Je ne suis pas intervenu pour l'instant car vous avez bien développé les arguments auxquels je pense. Pour résumer : - les "non progresseurs" à long terme sont ceux qui n'ont jamais (ou très peu) pris de trithérapie, ni d'antibiotiques, antiinflammatoires en chronique (voir l'étude de Chermann par exemple) - ceux qui ont pris de l'AZT et/ou des drogues récratives, même s'ils ont pris du 3TC concuremment, ont été perturbés profondément par ces substances et sont devenus malades chroniques. La prise de 3TC et de lopinavir par exemple leur fera du bien. Il faut remarquer d'ailleurs que le Heilpraktiker allemand dont j'ai déjà parlé, Wilfried Bales, qui pense, lui-aussi que le sida est dû à un stress oxydant, ne récuse pas, au contraire, les traitements antisida modernes. - enfin, manifestement, le taux de mortalité chez les non-progresseurs, qui sont un peu des dissidents en matière thérapeutique, est définitivement bien inférieur à celui de ceux qui se font traiter, et qui suivent l'orthodoxie les doigts sur la couture du pantalon.
  20. Lis un peu entre les lignes, Sidarta, et tu verras... que ce n'est pas si négatif que cela, qu'il y a bien quelques questionnements qui transparaissent. En ce qui concerne Duesberg, il faut se reporter à la page sur le vih : http://fr.wikipedia.org/wiki/Virus_de_l%27...icience_humaine
  21. Qui sait encore réfléchir de nos jours? L'épistémologie est devenue lettre morte pour nos scientifiques contemporains.
  22. Oui, ARN, protéines endogènes, mais apparaissant sous l'effet d'un stress chimique externe.
  23. Pourquoi ? Une infection ne donne pas 100% de mort ou absolument rien. Chacun peut répondre différement avec la plupart du temps une majorité qui répond pareil. ??? Nico, ne vous embrouillez pas... vous savez bien que tout le monde est persuadé de mourir s'il est déclaré séropositif...d'où tous ces procès.
  24. Terrible cette phrase du journaliste : "des porteurs du virus dont on aurait la certitude qu'ils ne développeront pas la maladie" il y a encore un léger conditionnel, mais cette simple phrase, rendue décisive par la présence de Jean-Claude Chermann, détruit le paradigme vih -> sida.
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