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Cheminot

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Tout ce qui a été posté par Cheminot

  1. Je ne lis ce post qu'aujourd'hui, car le 21 avril, je partais faire une virée en train de 9 jours avec 11 autres personnes. Excuse-moi donc pour ce retard. Non, la pénicilline n'est pas un oxydant azoté, regarde bien sa structure, elle ne comporte pas de liaison entre N et un atome tel que N, O, Cl ou F. Par contre, les pénicillines et céphalosporines qui "marchent" actuellement comportent bien souvent ces oxydants azotés : - la cloxacilline avec un cycle isoxazole, comme dans le bactrim -la céfotaxime : avec une fonction éther d'oxime C=N-O-CH3 -ceftriaxone, cefixime, avec des structures semblables. La doxyxycline est une tétracycline, et n'agit pas en tant qu'oxydant :
  2. Et le site d'où provient ce schéma, et où intervient Wilhelm Godschalk, docteur en biologie.
  3. A propos de ruban, voici le dessin utilisé par le site dissident néerlandais
  4. En fait, Wallypat, il est tout d'abord clair que le caractère oxydant du sperme se traduit surtout par la présence naturelle de ponts disulfures, mais aussi, apparemment par celle de radicaux oxygénés, de monoxyde d'azote, de peroxylipides... Ceci semble normal puisque le statut redox habituel du sperme (plutôt oxydant) permet très certainement à ces autres substances d'apparaître. J'ai trouvé cet article très étonnant datant de 2001 : Ils étudient cela dans le sens d'un impact possible du stress oxydatif excessif sur l'infertilité masculine. Mais, ils indiquent très clairement que le sperme d'une personne présentant par exemple une maladie urogénitale est plus riche qu'un autre sperme en oxydants, et donc aussi en oxydants azotés. On peut y comprendre aussi le mécanisme d'une acquisition du Sida : Une personne souffrant de stress oxydatif voit les membranes de ses spermatozoïdes être beaucoup plus oxydées, car le système antioxydant (glutathion) ne fonctionne pas, le taux de NO augmenté. Et donc, son sperme pourra faire apparaître les dommages dus à ces oxydants chez son partenaire, de manière bien plus importante que ne le fait un sperme normal : diminution faible et transitoire des CD4 lors d'une relation anale, et rien lors d'une relation vaginale.
  5. Un nouvel article de Neville Hodgkinson dans "the business" daté d'aujourd'hui. On y découvre en particulier que les Indiens sont de plus en plus réticents à se mettre au garde à vous devant l'Onusida. Ils ont d'ailleurs déchiré le fameux "ruban rouge" lors d'un meeting récent.
  6. Cheminot

    Oxyde nitrique

    Liane, les traitements vasodilatateurs libèrent du NO, (ce qui diminue par la même occasion la tension artérielle). D'où l'incompatibilité avec le viagra. voir http://www.arcat-sante.org/167/Article_du_JDs&article_id=414 où on voit que le viagra est bien lui-même un vasodilatateur.
  7. ce que l'on pourrait préciser ici, c'est que le taux de protéines faisant seuil dépend aussi de la personne elle-même, de son "terrain". Et on comprend mieux alors les séropositifs non progresseurs : leur taux d"alerte" est sûrement plus élevé que pour d'autres personnes. Pour bien comprendre ceci, il faut bien se rappeler qe le taux normal est d'abord défini par un screening à grande échelle : celui des dons du sang, et qui donne donc une limite "moyenne", ne dépendant pas du terrain de la personne. Il est possible aussi que les personnes présentant un sida déclaré sans séropositivité (ICL) aient en fait un terrain permettant la mort des lymphocytes alors qu'ils fabriquent peu d'anticorps. A théoriser et vérifier expérimentalement...
  8. Ce que tu dis est très juste, Psyence, aussi dois-je aussitôt modifier mon propos : L'excès de ces protéines - par rapport à une norme définie par leur taux de présence chez une personne en bonne santé (valeur déterminée par screening systématique des banques de sang) - correspond à une dégradation de la santé qui peut aller jusqu'au Sida. Gallo et Montagnier ont retrouvé un excès de ces protéines chez les personnes malades. Maintenant, l'autre hypothèse bancale, qui a été faite dans les années 60-70, si je ne me trompe, est que la bande d'ultracentrifugation en question ne peut contenir que du matériel rétroviral, ce qui n'est manifestement pas le cas au vu des travaux de Bess et Gluschankof.
  9. en fait, il serait plus juste de parler de "francique", langue couramment parlée au Luxembourg, l'alémanique étant plus spécifique à l'alsace. cependant, l'endroit où j'habite est situé à 10 km de la frontière linguistique, en zone romane (c'est-à-dire française), protégée de l'avance des colons francs au 4ème siècle par la forte urbanisation gallo-romaine de la ville de Divodurum (LOL!)
  10. Cheminot

    Guérir le Sida!

    Non, Wallypat, Hässig est mort (80 ans)... Il y a deux personnes qui pourraient t'aider : - Heinrich Kremer, qui vit en Espagne - Wilfried Bales, de Cologne.
  11. En ce moment, je bêche (mon jardin, bien sûr)...et je ne sais si ma cave aura encore assez de place pour t'accueillir, une fois que j'aurai rentré tous mes légumes! LOL! plus sérieusement, le chloramphénicol est le remède préconisé par l'OMS contre la typhoïde... sauf en Europe et aux EU où il est strictement hors la loi. Par ailleurs, le chloramphénicol est un dérivé nitré, comme le métronidazole, est très proche des poppers (nitrites) et surtout consomme le glutathion... et serait donc susceptible de donner lieu à aune augmentation des anticorps au "vih".
  12. Quand on sait que l'OMS préconise le chloramphénicol dans les pays en voie de développement pour une typhoïde....
  13. A propos de ton premier test, Viduité, puisque tu dis que tu venais de faire une typhoïde, avais-tu reçu un traitement à cette occasion, et lequel, si cela ne te dérange pas?
  14. Cheminot

    Guérir le Sida!

    Wallypat, les sélénoprotéines sont essentiellement des catalyseurs d'oxydoréduction, ce qui veut dire qu'elles permettent à ces réactions d'avoir lieu rapidement, sans qu'elles interviennent dans le bilan de la réaction. Elles permettent en particulier au glutathion de réduire les oxydants dangereux tels que l'eau oxygénée, mais aussi les peroxynitrites, semble-t-il, selon le document de la pharmacie de Montpellier précédemment cité. Sans ces sélénoprotéines, le glutathion est "mal" oxydé, ne donnant plus un composé présentant une liaison soufre-soufre, facile à réduire à nouveau en glutathion par la Glutathion Réductase, mais donnant un soufre oxydé irréversiblement en acides sulfiniques, sulfoniques, voire en sulfates (diarrhées). D'où l'importance de ces sélénoprotéines. il n'y a pas diminution de fer global en présence de nitrites, mais transformation du fer II (indispensable à la respiration) en fer III toxique. Ce qui fait que l'oxydation par les oxydants azotés conduit à une sous oxygénation. Maintenant, lis bien le QUOTE que tu nous as donné. Tu y vois que ce qu'ils appellent réactions carcinogènes (multiplication cellulaire) est inhibé par le peroxynitrite, d'où son importance primordiale. Mais s'il est en trop grande quantité, il va empêcher la respiration cellulaire, et dans un second temps, il n'y aura plus suffisamment de production du même peroxynitrite, puisqu'il n'y aura plus assez de radicaux libres oxygénés pour le synthétiser. Il y a effet en retour ici. Alors, qu'en est-il des antioxydants, tels l'acide chlorogénique ? effectivement, c'est un diphénol, et il piège certainement très efficacement les peroxynitrites. Mais il ne faut pas en abuser, comme tous les antioxydants, car sinon, l'apoptose cellulaire qui empêche la prolifération cellulaire n'a plus lieu... Encore une fois, tout est question d'équilibre.
  15. Wallypat, j'ai aussi l'impression que l'Institut Pasteur et Montagnier essayent de jouer sur les deux tableaux (stress oxydant et vih) pour, lorsque la vérité se fera jour, ne pas être emporté par le scandale qui risque de se produire. Et actuellement, tout est bloqué, parce que changer de paradigme à ce sujet, ce sera aussi changer de monde...
  16. Oui, sauf que l'effet placebo sur une petite fille qui vient de se faire renverser par une voiture, qui a un score de Glasgow de 5, et qui actuellement vit comme toi et moi (sauf des séquelles cognitives [difficulté de lecture] liées à des axones coupés lors du choc), alors que la faculté l'avait condamnée à rester "légume", moi, je n'y crois vraiment, mais alors vraiment pas. Et Medmen ou DonGiovanni pourront me trouver toutes les belles raisons théoriques du monde, ma propre expérience aura toujours le pas sur leurs dires. Le malheur est que, pour des raisons théoriques qui ne sont pas justifiées au niveau quantique, ils refusent à leur propres patients une thérapeutique qui pourra les soigner, voire les sauver, à un degré qu'ils n'imaginent même pas... certes, il leur faudra, après leurs 9 années détudes après le bac, encore plusieurs années pour maîtriser la méthode. Mais le bien d'autrui a un prix qu'il faut savoir payer de sa propre personne.
  17. Don Giovanni, toi qui te caches derrière un pseudo (n'aie donc pas peur, personne ne te fera de mal ici), tu confonds clinique et thérapeutique. Oui, la clinique est très bien assumée par les médecins, c'est leur rôle... ils voient empiriquement que telle ou telle chose marche, et l'appliquent par la suite. La thérapeutique d'urgence est essentiellement palliative, et utilise la plus part du temps des substances secrétées par le corps et dont celui-ci a besoin à un moment donné. Mais comprendre la manière dont une thérapeutique nouvelle fonctionne, c'est une autre paire de manches, et c'est-là que l'on peut dire que la médecine est d'abord fondamentalement empirique... tant qu'il n'y aura pas de véritables lois permettant d'attribuer telle thérapeutique à tel ensemble de symptomes (biologiques compris). NB : déblatère avec un seul "t"
  18. un document récent pour les anglophones : http://video.google.com/videoplay?docid=-6...on:long&pl=true
  19. La réponse est simple : ces protéines ont été retrouvées dans la bande d'ultracentrifugation où sont sensés se retrouver les rétrovirus, à partir du plasma (ou de ganglions, à préciser ultérieurement) d'un malade français du Dr Rozenbaum. On a donc pensé que ces protéines, dont la masse molaire et le séquençage ressemblaient à ceux des rétrovirus communs (et inoffensifs, il faut le préciser) étaient spécifiques d'un virus. Mais il aurait d'abord fallu retrouver ce virus en grande quantité au microscope électronique dans cette bande... et c'est ce qui n'a pas été fait, par même en 1997 par Bess ou Gluschankoff. En fait ces protéines (et la présence de l'ARN correspondant), dès le départ, dans les expériences de Montagnier et de Gallo, sont caractéristiques du Sida, et non d'un virus responsable du sida. Il n'y a donc pas de difficulté à concevoir que ce soit le stress oxydatif qui soit la cause primaire de tout cela : protéines, et sida en fin de course.
  20. Oui, Psyence, c'est exactement à cette conclusion que la plupart des "repenseurs" ici présents sont parvenus, suivant d'ailleurs dans cette démarche le Groupe de Perth. Il y a cependant une différence fondamentale entre les deux visions : l'hypothèse du stress oxydatif ne présuppose pas une irréversibilité en ce qui concerne la notion de séropositivité : il suffit de passer d'une densité optique valant 120% du "cut'off" (ou index), à une valeur de 80% pour redevenir séronégatif. Ce que vit Viduité en est un exemple. Mais attention, ne nous trompons pas, le simple fait que ces anticorps soient en quantité supérieure à la normale (environ 50% de l'index) indique déjà que le statut rédox de nos cellules immunitaires est perturbé. Dans cette hypothèse, il n'existe plus non plus de faux positifs (parce que n'appartenant pas à un groupe à risque et n'ayant jamais "fauté"). Ces gens-là sont vraiment dans la zone orange, et doivent être soignés... comment, c'est encore à discuter? (et cela ne peut évoluer dans le bon sens que si la Recherche se tourne vers cette hypothèse). Par exemple, quelqu'un qui a fait des excès de flagyl peut très certainement passer à l'orange. L'autre différence fondamentale est légale et sociale : on ne mettra plus au ban de la société, voire en prison, ces personnes. Actuellement, l'imputation à un virus venant d'Afrique noire fait beaucoup plus pour la promotion du racisme que n'importe quel "Mein Kampf".
  21. Il suffit que j'arpente pendant une semaine les pentes de l'etna avec toute ma marmaille, et c'est la dispute ici! LOL! Allons, je crois que notre ami Medmen se prend un peu la tête parce qu'ici, tout le monde ne parle pas de la même voix... alors ne nous la prenons pas non plus, et acceptons le débat, puisqu'il existe. Le fait qu'il existe est déjà un bon point, car dans de nombreux domaines scientifiques, on ne débat plus, on sait. Le principe de Carnot, lui, est irréfutable, et c'est sur lui que sont fondées des inventions aussi géniales que le réfrigérateur, la pompe à chaleur ou le bon vieux moteur à explosion. En médecine, en fait, on ne sait pas. Comme l'a dit Medmen sur un autre topic, on fait des essais, et on voit ce qui marche le mieux... du moins à court terme. Démarche intéressante, mais tellement empirique... et qui ne débouche jamais sur une loi semblable au Principe de Carnot sus-mentionné. L'ennui, c'est que cette démarche a été mise sur un piédestal, comme la seule valable en médecine. Au nom de quoi? Des résultats? Désolé, actuellement les résultats en ce qui concerne la thérapeutique ne suivent pas vraiment, et Nico a bien raison de le souligner. Au nom de quoi? Mais simplement parce qu'on ne veut pas rechercher de loi moins empirique pour se donner les moyens de mieux soigner. Et le malheur est, qu'au nom de la santé publique, cette démarche a pris valeur de loi, et que la force publique est passée aux mains des médecins contre leurs patients récalcitrants. La démarche en question permet également de contourner (puisqu'on se désintéresse complètement des mécanismes chimiques de la maladie) le reproche que l'on peut faire à certains "médicaments", et de faire passer sous le terme "nosocomial" ce qui est en fait iatrogénique, n'en déplaise à Medmen. Qu'il me cite des études où l'on a préféré suivre la piste iatrogénique plutôt que la piste nosocomiale! L'exemple le plus frappant en est le "SMON", dont Peter Duesberg parle sur son site. Moi-même, en discutant avec moult vétérinaires et médecins, je me suis aperçu que la causalité chimique (donc éventuellement iatrogénique) d'une maladie était systématiquement laissée de côté, non pas par mauvaise volonté, mais par ignorance, et je dirai surtout par ignorance de la chimie organique, car ce n'est pas avec un an de chimie qu'un médecin va pouvoir dominer cette branche de la science. Bonne après-midi ensoleillée.
  22. Et voila, viduite (excusez le manque d'accents, j'ecris de mon lieu de vacances)... tu vas pouvoir etre mis dans le meme sac de ce fameux anglais... mais les francais ne te lacherons pas, malheureusement. Et de fait, tu as simplement fait des anticorps lorsque tu as attrape la malaria. Et puis, cela montre aussi qu'il est possible de ne pas avoir trop de reactions secondaires a la suite de la prise d'un peu de combivir, et heureusement, tu es passe entre leurs griffes a l'epoque ou la monotherapie a l'AZT ne sevissait plus.
  23. Cheminot

    Oxyde nitrique

    juste un ou deux mots. le fluorure de sodium des dentifrices sert à transformer (lentement), l'hydroxyapatite naturel (hydrogénophosphate de calcium) qui forme l'émail de nos dents en fluoroapatite (monofluorophosphate de calcium), car ce dernier est plus résistant, en particulier à l'acidité. Pourquoi pas... mais cela ne correspond pas à la façon dont la nature travaille, car si la sélection naturelle avait fonctionné dans le sens de formation de ce fluoroapatite, nosdents seraient faites de ce bois-là. Il y a un autre problème avec l'ion fluorure, c'est qu'il est extrêmement complexant (caractère responsable d'ailleurs du phénomène sus cité). Il peut donc complexer des ions métalliques (oligoéléments), qui sinon, seraient demeurés dans leur forme ionique classique. Le sujet est donc encore à creuser.
  24. Cheminot

    Oxyde nitrique

    Il ne faut pas trop t'en faire, Liane, car le corps est une merveille qui se débrouille très bien en général. Mais il ne faut pas pousser mémère dans les orties, comme on dit parfois. Le terme Elisa correspond à un type paticulier de test, avec l'utilisation d'antigènes (souvent monoclonaux) fixés chimiquement sur une plaque, et les anticorps qu'on veut détecter s'y fixent par un de leur bout. Mais à un autre endroit de cet anticorps, existe un autre domaine capable de fixer un autre antigène, sur lequel on a fixé une molécule fluorescente dans l'ultraviolet par exemple . Donc s'il y a anticorps, la plaque devient fluorescente dans l'UV, parce qu'il s'y seront fixé deux molécules, dont la dernière est émettrice de lumière, alors que s'il n'y a pas d'anticorps,ou peu, la plaque émettra moins de lumière UV. Tout dépend donc de l'anticorps qu'on veut trouver, les antigènes étant modifiés en ce sens. ce que dit Wallypat est très vrai, car la cellule humaine est faite pour interagir avec l'oxygène et donc le "stress oxydatif" est une chose indispensable. Maintenant, c'est comme tout... "trop d'amour tue l'amour". Et je continue à penser, à la suite de Heinrich Kremer, que ce sont les oxydants azotés qui posent problème dans le cas du sida.
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