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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Pour les trithérapies, c'est expliqué dans mon post précédent. Pour l'AZT en monothérapie, je te mets au défi de me donner une référence prouvant que l'AZT a sauvé la vie d'un seul séropo (ce sera déjà énorme, un seul séropo). L'étude Concorde réalisé de 1990 à 1993 a montré sans le moindre doute possible que comparé à un groupe de séropo prenant un véritable placebo (car dans les quelques rares études faites pour les nouvelles drogues antivirales, le placebo est parfois rien d'autre que de l'AZT ! Pas étonnant que les nouvelles drogues antivirales paraissent avoir un effet positif sur la santé des sidéens !), ceux du groupe AZT avait 25% de plus de chance de mourir que ceux du groupe placebo. Il en va de même à court terme d'ailleurs. En effet, l'étude très brève (4 mois environ) qui a servi à mettre l'AZT sur la marché en 1987, trafiquée au surplus, a certes montré qu'une seule personne sous AZT était morte durant ces quatre mois et 19 dans le groupe sans AZT. Mais quand on lit mieux cette étude, on constate qu'une trentaine de personnes dans le groupe AZT n'était artificiellement en vie que parce qu'on leur faisait des perfusions sanguines en permanence en raison de l'anémie (causée par l'AZT) dont ils souffraient. Sans cette tricherie, cette trentaine de personnes seraient mortes également, soit bien plus que dans le groupe sans AZT. Au besoin, je reproduis ci-dessous quelques passages de cet article :
  2. Cela a déjà été expliqué une bonne quinzaine de fois (au moins) dans le topic "Le HIV ne causerait pas le sida". En (très gros) résumé, les sidéens font un sida en raison d'un stress oxydatif très puissant, qui cause une hyperstimulation trop longue ou trop forte des cellules immunitaires productrices de monoxyde d'azote. L'AZT que l'on refilait aux séropo en monothérapie jusqu'en 1996 (apparition des trithérapies) ne faisait qu'aggraver leur état et accélérait encore davantage l'apparition du sida déclaré. Il se fait qu'à partir de 1996, certaines drogues antivirales, dont notamment le 3TC (toujours à l'heure actuelle inclus dans la plupart des multithérapies), ont un effet antioxydant absolument remarquable qui a pour effet d'inverser, parfois très longtemps, ce stress oxydatif (auquel contribuait également l'AZT) et de ramener à la vie (en raison justement de la suppression ou très forte atténuation de ce fameux stress oxydatif, qui lui cause le sida [et pas un pseudo virus jamais isolé]) un sidéen en phase terminale de la maladie. Par ailleurs, en y ajoutant l'effet tondeuse à gazon de la plupart de ces drogues antivirales, c'est-dire leur effet antibiotique à large spectre élimant la plupart des germes sources des maladies opportunistes, il n'y a absolument plus rien d'étonnant à ce qu'ils se rétablissent rapidement, et pour certains, longtemps. Il convient toutefois de ne pas perdre de vue que compte tenu de leurs effets immunotoxiques et de manière générale simplement toxiques (voir par exemple ici et ici), ces traitements de la dernière chance ne doivent en principe être réservés qu'à ceux qui souffrent d'un stress oxydatif devenu irréversible (ce qui était assurément le cas d'un bon nombre de sidéens sous AZT en monothérapie), ou qui après être revenus à une vie "saine et équilibrée" (en commençant entre autres et premièrement par arrêter leurs pratiques de toxicomanie et leurs drogues récréationnelles), refont malgré tout des infections opportunistes à répétition (heureusement, ils ne sont pas nombreux). Il y a alors lieu de considérer qu'ils souffrent malheureusement d'un stress oxydatif devenu irréversible et les drogues dites "antivirales", malgré leurs effets particulièrement délétères, constitueront un moindre mal. Pour le surplus, je t'invite à lire le topic général "Le HIV ne causerait pas le sida" et à lire l'article suivant de Cheminot.
  3. Juste pour dire que je suis tout à fait d'accord avec toi, Aixur, pour autant que la personne en question n'ait pas un style de vie prédisposant au sida, telle que la consommation de drogues récréationnelles ou la toxicomanie, car dans ces cas-là, effet nocebo ou pas, il a vraiment toutes les chances de faire un sida, et ce ne sera pas par suite d'un stress psychologique quelconque (mais bien par suite d'un stress oxydatif très sévère). Mais en dehors des cas manifestes où le style de vie est la cause du sida, comme avaient tous en commun les sidéens de 1981 à 1984, effectivement, ce qui tue, c'est la peur, le stress psyclologique et toute la connotation y attachée (+ les antiobiotiques et les drogues antivirales que l'on sera ensuite amené à prendre dans ce cadre-là). Raison pour laquelle dans d'autres posts, j'ai fortement suggéré aux personnes n'ayant pas ce style de vie vraiment à risque de ne pas passer de test HIV (et si cela a été fait, de l'oublier définitivement), de ne pas mesurer ses T4 et sa pseudo charge virale, sous peine de tomber dans les travers dénoncés par Aixur. Tous ces tests ne pourront servir qu'après avoir été complètement retravaillé de façon à servir de mesure de l'état de dégradation du système immunitaire, comme les tests de cholestérol sur le plan de la prévisibilité des maladies cardiovasculaires, et ce dans une future époque où il sera considéré comme une évidence que le sida n'est pas causé par un (pseudo) virus.
  4. Une hypothèse : elles meurent de ce qu'elles sont convaincues de l'imminence et de l'inéluctabilité de leur mort. Tout à fait. C'est ce qu'on appelle l'effet nocebo. Si le stress oxydatif est assurément à l'origine la cause de la plupart des cas de sida, l'effet nocebo peut dans certains cas (mais ce n'est pas la cause principale bien sûr) causer lui-même un sida déclaré. Voyez par exemple ici et ici. Ceci étant, même si ce n'est que dans des cas assez rares que l'effet nocebo peut causer à lui tout seul le sida, en revanche, il contribue assurément dans presque tous les cas à favoriser l'accélération plus ou moins rapide (en fonction des gens et de leurs croyances) de la survenance du sida. Cet effet nocebo ne jouerait en revanche presque plus si la population pouvait être informée de ce qu'est réellement le sida. Ce n'est pas pour rien qu'il est affirmé à maintes reprises et à juste titre que connaître l'existence de la dissidence de la sida est déjà le premier pas vers la "guérison du sida" !
  5. Si le SIDA n'existe pas de quoi sont malades ces femmes là (et les enfants) ? SVP pas de pirouettes du style "c'est inventé" ou ces observations sont fausses soit dénigrer les faits. Des tas d'explications réalistes ont été données, mais il n'y aura jamais d'explications définitives, tout simplement parce qu'on ne sait pas de quelles maladies souffrent ces 16 femmes et ces enfants, à supposer qu'elles souffrent réellement d'une maladie. On pourrait donner des explications plus définitives si on savait de quelle(s) maladie(s) souffrent éventuellement ces femmes. Mais à lire ce petit texte, j'ai pour ma part l'impression que la plupart de ces femmes et de ces enfants sont qualifiés comme ayant le sida simplement parce qu'elles (et leurs bébés) ont été déclarés positifs au test HIV, et compte tenu des croyances erronées et dogmatiques à ce sujet, séropositivité = sida. Bref, un abus de langage qui permet de terrifier les esprits non informés de l'existence de la dissidence du sida. Et si, comme j'en ai la nette impression, ces 16 femmes et bébés sont tous séropositifs alors que ces femmes ont pour point commun d'avoir eu des relations sexuelles (à supposer non protégées) avec le même homme, il y a des centaines d'explications sans qu'il faille en venir au mythe du virus. Et même des explications très simples. Pour les bébés, c'est extrêmement simple. Si les mères étaient séropositives, les bébés qui sont nés ont eu toutes les chances d'hériter des (pseudo) anticorps de leur mère au (pseudo) virus HIV, et donc d'être déclarés séropositifs, et donc, dans la pensée orthodoxe du sida, d'être atteints du sida. Quant aux mères, plusieurs explications ont déjà été données. Mais il y en a une que l'on n'a pas donnée, et qui est très simple. Cet enseignant qui aurait couché avec ces huit femmes (et en fait, on peut raisonnablement supposer qu'il y a eu des tas d'autres femmes aussi, car j'aurais dû mal à croire que chaque femme ayant eu des relations sexuelles avec cet enseignant doit forcément tomber systématiquement enceinte) était peut-être tout simplement porteur d'une ou plusieurs maladies vénériennes (genre syphilis, chlamidiae, etc...), très courantes en Afrique du Sud (ce n'est pas l'apanage du monde occidental !). Comme on sait que les risques de transmission de certaines MST dépassent 50% et que les MST sont bien connues pour créer dans l'organisme un très fort stress oxydatif, il n'y a plus aucune raison de s'étonner que ces femmes aient été déclarées positives au test HIV (en raison justement du stress oxydatif causé par ces MST), et donc comme "atteintes du sida". Comme on a pu le voir dans ce topic, des tas d'explications peuvent être fournies et il n'y a pas lieu de se laisser impressionner une seule seconde par cet article ! PS : Notons que si ces femmes étaient porteuses d'une MST quelconque, non traitée, alors qu'elles ne vivent pas dans de bonnes conditions d'hygiène et d'alimentation (ce qui est très souvent le cas en Afriques du Sud pour la population noire), il n'y a vraiment aucune raison de s'étonner qu'elles tombent rapidement malades, de même que leurs bébés (on sait très bien que les enfants qui naissent alors que leur mère est malade d'une MST, naissent eux-mêmes très malades, et souvent bien plus que leur mère même).
  6. Je crois qu'il vaut la peine d'y apporter une précision, laquelle résulte de mon expérience tendant à faire connaître la dissidence à qui veut l'entendre. En effet, on peut expliquer comme on veut aux curieux qu'il résulte de l'étude Padian que la séropositivité n'est pas sexuellement transmissible ou que de nombreuses études ont démontré que les prostituées qui font uniquement un sida sont celles qui se droguent, rien n'y fait ..... tant que l'on ne leur a pas apporté la réfutation à la "preuve" suivante que la séropositivité est sexuellement transmissible. Il est vrai que la presse en fait grand cas. Alors, pour les curieux qui nous lisent, on va tout de suite réfuter cette preuve. Et quelle est cette preuve ? Il y a de nombreux exemples où un gay séronégatif devient séropositif après un rapport sexuel "à risque", c'est-à-dire sans préservatif, avec un gay qui, lui, avait été diagnostiqué séropositif avant ce rapport "à risque". Une étude du génotype et autre phénotype du "virus HIV" prouve que la victime a le même type de virus que le "contaminateur". C'est donc la "preuve" que c'est bien le gay séropo qui a "contaminé" la victime gay alors séronégative, et donc la preuve que la séropositivité est sexuellement transmissible. CQFD Vu comme ça, cela a l'air très convaincant. Mais quand on gratte un peu cette apparence de preuve, il n'en est strictement rien ! Il faut d'abord savoir que lors d'un rapport sexuel, il y a un échange de millions de protéines entre les deux partenaires. Cela est particulièrement le cas lors d'un rapport sexuel sans préservatif, et encore plus lors d'un rapport sexuel sans préservatif avec un séropositif, puisque par définition, celui-ci "souffre" de stress oxydatif et a donc augmenté à un niveau suffisamment élevé le nombre de protéines dites spécifiques du HIV pour atteindre le seuil au delà duquel il est déclaré séropositif. Il s'ensuit très clairement que lors d'un rapport sexuel sans préservatif, vous avez naturellement toutes les chances du monde de recevoir dans votre organisme des protéines du partenaire, et, partant, d'être porteur de protéines ayant forcément le génotype ou phénotype du "contaminateur". Cela sera en outre plus le cas si cette recherche de génotype ou phénotype a lieu quelques semaines ou quelques mois après le rapport dit "à risque". Mais qu'est ce que cela démontre-t-il en fait ? Uniquement que vous avez eu un rapport sexuel (vraisemblablement sans préservatif) avec le "contaminateur". Mais vous n'êtes pas pour autant séropositif ! Car pour devenir séropositif, la victime doit lui-même souffrir de stress oxydatif, c'est-à-dire que son organisme doit de lui-même augmenter à un nombre incroyablement élevé le nombre de protéines dites spécifiques au HIV (et parmi lesquelles on aura évidemment toutes les chances de retrouver - mais entre autres - des protéines du pseudo contaminateur) pour rendre son propre test HIV positif ! Mais ce test est rendu positif uniquement en raison du stress oxydatif dont souffre personnellement la pseudo victime du pseudo contaminateur, la circonstance que la pseudo victime de la pseudo contamination est - entre autres - porteuse de protéines ayant le même génotype ou phénotype que le pseudo contaminateur n'ayant forcément aucun rapport avec la survenance de la séropositivité ! Il est clair qu'après un rapport dit "à risque", car sans préservatif, avec un séropositif, le partenaire resté séronégatif après ce rapport dit à risque est lui-même porteur de protéines de même génotype que de ceux provenant du séropositif. Mais il reste séronégatif indépendamment de ce rapport qualifié à tort de risqué car il ne souffre pas lui-même de stress oxydatif. Il n'y a strictement aucun rapport (entre le stress oxydatif qui cause la séropositivité et la transmission de protéines d'un certain génotype) ! La croyance erronée de la pseudo transmission sexuelle provient du fait qu'en cas de séropositivité et dans l'optique de la théorie virale du sida, on fait une recherche de génotype. Et forcément, si le rapport dit à risque a eu lieu plusieurs semaines ou mois auparavant, on a de grandes chances de trouver encore des protéines ayant les mêmes caractéristiques génotypiques que ceux du pseudo contaminateur. Mais nous la savons, ce n'est pas cette transmission de protéines qui cause la séropositivité (à moins éventuellement qu'il s'agisse de transmission sanguine, mais là, ce n'est donc plus une transmission sexuelle), mais bien le stress oxydatif personnellement enduré par le pseudo contaminé ! CQFD Donc, messieurs les orthodoxes du sida, arrêtez de venir avec cet argument de la transmission sexuelle de la séropositivité. Je viens clairement de le réfuter.
  7. En tant que tel, il n'y a pas de différence entre les toxicomanes et les gay consommateurs de drogues récréationnelles souffrant du sida ("récréationnelles" : je définirais cela comme représentant une personne consommant des drogues non parce qu'elle en a impérativement besoin tous les jours comme un toxicomane qui cherche sa dose de drogue chaque jour, mais bien dans le cadre de circonstances bien précises : relations sexuelles, faire la "fête", etc....) car tous deux souffrent d'immunodéficience. Ce que je voulais dire, c'est que c'est à tort (selon moi) que l'on a englobé les toxicomanes dans les cas de sida. L'orthodoxie du sida a fait mine de s'en étonner alors que l'on savait depuis plusieurs décennies (si pas même avant) que les toxicomanes avaient de graves déficiences immunitaires. Donc, parler de sida pour les toxicomanes était complètement abusif et constitue déjà un premier pas vers la psychose et l'hystérie collectives du sida que nous connaissons maintenant. En revanche, ce qui était vraiment incroyable, c'est que de jeunes gay (20-35 ans), dans la force de l'âge, se mettaient à développer également de graves maladies dues à un affaiblissement immunitaire, tout comme les toxicomanes. Là, réside la nouveauté. Et ces premières maladies, alors rares à l'époque, devenaient courantes chez eux : sarcome de kaposi, pneumocystose, graves infections à candida alibicans, toxoplasmose, cryptococcose (forme de méningite causé par un champignon), rétinite à cytomégalovirus, etc.... Bref, des maladies "exotiques" alors très rares. Le sida, en tant que réelle nouveauté (c'est-à-dire affectant uniquement des gay plutôt jeunes; bon, il y a aussi les hémophiles et les polytransfusés, mais c'est vraiment deux tout petits groupes à risque comparés aux deux autres, et tout comme la toxicomanie, elles trouvent leurs explications [cf le début de l'article que j'ai reproduit ci-dessus] en dehors de toute psychose de sida), c'était ça uniquement et cela aurait dû le rester, et aurait dû rester confiné chez les gays consommateurs de drogues récréationnelles (en particulier le fameux poppers, dont les propriétés chimiques expliquent ces différentes maladies "exotiques" du sida; c'est bien simple, presque tous les gays sidéens étaient consommateurs de diverses drogues, et 96% d'entre eux consommaient régulièrement du poppers [maintenant, le poppers et les autres drogues récréationnelles, c'est un peu comme la cigarette : tous ceux qui en consomment ne vont pas nécessairement faire un sida; cela dépend de chaque personne, mais aussi de son mode de vie, de son alimentation, etc...]). Pourquoi dis-je cela ? Parce que si l'épidémie dite de "sida" (tel que défini de façon restrictive ci-dessus) est apparue en 1981, elle était en réalité déjà contrôlée dès 1983 ! Dès 1983, les cas de sida définis restrictivement diminuaient, corrélativement à une diminution de l'usage de poppers et autres drogues chez les gay. En d'autres termes, l'épidémie du sida était déjà jugulée dès 1983, à une époque où il n'y avait pas de test HIV et pas de test de charge virale. Cela signifie que l'on peut très bien approcher le sida sans se référer à ces deux tests, même à l'heure actuelle. Mais le grand malheur, c'est que cette baisse de cas de sida a été tranformé artificiellement en augmentation parce que l'orthodoxie du sida n'a cessé d'augmenter la définition du sida en y incluant des maladies qui n'avaient plus rien d'exceptionnelles mais étaient au contraire banales : par exemple démence, diarrhées, herpès, tuberculose, pertes de poids, fièvres chroniques, qui affectaient également les gay non encore atteints par les maladies exotiques (car encore aux premiers stades préalables) et qui pourraient également être traitées sans référence psychotique au sida (en commençant d'ailleurs par arrêter la consommation de drogues récréationnelles). Ensuite, les tests dit "HIV" en 1984 et ensuite la définition de Bangui du sida en 1985 ont permis d'étendre artificiellement cette pseudo épidémie respectivement à l'ensemble de la population hétérosexuelle non toxicomane, et à des maladies purement endémiques comme en Afrique (ex : la malaria; tant que vous êtes aux premiers stades de cette maladie, vous êtes atteint de malaria, mais quand vous arrivez à un stade plus avancée avec perte de poids de plus de 10%, une toux persistante pendant 1 mois, on ne dira plus que vous êtes atteint de malaria mais bien de sida [c'est bien plus impressionnant en effet !). Mais en pratique, vous êtes simplement à un stade avancé de la malaria !). Et l'effet nocebo aidant, on a ainsi perdu de vue que le sida, en réalité, n'était exceptionnel que parce qu'il touchait de jeunes gay, consommateurs de drogues récréationnelles, et atteints par des maladies alors très exotiques, épidémie qui fut en réalité jugulée dès 1983 par la diminution de la consommation de drogues récréationnelles par les gay. J'ai voulu essayer de démontrer que l'épidémie dite de sida est purement artificielle et a rapidement fini par englober des maladies qui n'ont rien de si exceptionnel, déjà existantes avant l'épidémie de sida et qui était déjà traitées en tant que tel. Certes, le phénomène de stress oxydatif, découvert en 1987 comme expliqué dans l'article reproduit ci-dessus, permet d'expliquer non seulement la survenance ces maladies "exotiques" de départ mais également l'ensemble des maladies non exotiques reprises dans la définition de sida élargi, de même que d'autres maladies non reprises dans cette définition. Mais en tant que tel, les tests de stress oxydatif, tant qu'ils sont interprétés comme des tests HIV, sont inutiles pour guérir du "véritable" sida de départ car dès 1983, l'épidémie diminuait en réalité. Les autres maladies existaient déjà avant l'épidémie et étaient déjà traités auparavant, sans qu'il faille faire référence à une pseudo épidémie ou ces tests dits "HIV". Et en conclusion, j'ai essayé de démontrer que si le stress oxydatif explique presque tout, il ne faudrait pas qu'après la psychose du pseudo virus tueur, on tombe sous la psychose du stress oxydatif. Ce stress oxydatif devrait à mon sens être considéré comme une mesure de l'état immunitaire, tout comme les tests cardiovasculaires servent à prédire de futures éventuelles maladies cardiovasculaires. Et à cette fin, les tests HIV et les tests dits de charge virale (qui ne mesure certainement pas la présence de virus, mais indique en revanche certainement une dégradation du système immunitaire) pourraient être utilisés mais après avoir été remaniés, d'une part pour éviter toute référence nocebo à la séropositivité et au sida, d'autre part, pour s'en servir comme on se sert actuellement des tests de cholestérol pour prédire (et prévenir bien sûr) diverses maladies cardiovasculaires. Ces tests pourraient dès lors servir pour prédire et prévenir diverses maladies dues à un affaiblissement du système immunitaire, en dehors de toute psychose du sida et à l'effet nocebo qui y est lié. Mais il est vrai que là, je me place déjà dans la future époque où la théorie du virus tueur HIV sera considérée comme la pire catastrophe médicale de tous les temps et l'orthododie du sida comme la risée des scientifiques. Certes, on n'y est pas encore (mais on y arrive lentement mais sûrement). Mais en attendant, j'espère avoir démontré que pour "guérir" du sida, on peut le faire sans recours psychotique et hystérique aux tests HIV (d'autant plus que la séropositivité n'est pas sexuellement transmissible, évidemment) et aux mesures des T4. Car ne l'oublions pas, dès 1983 (soit à une époque où ces tests n'étaient pas pratiqués), l'épidémie régressait déjà et auraît dû rester un épiphénomène limité aux gay consommateurs de drogues récréationnelles. Sauf, que le dogme du virus tueur virus s'est entre-temps imposé à tort, contribuant définitivement à la naissance de la psychose dans laquelle nous vivons actuellement. Et puis, n'oublions pas aussi que même avant 1983, des sidéens étaient remis entièrement sur pied avec les moyens de l'époque mais rechutaient à nouveau et plus gravement car ils se remettaient à consommer des drogues récréationnelles.
  8. Merci Lasimar pour ses compliments ! Mais bon, il ne faut certainement pas prendre pour argent comptant tout ce que j'écris, surtout que je ne suis pas un scientifique, et en particulier quand, enthousiasmé par le sujet, je m'avance par exemple sur des tentatives d'explication sur les incohérences constatées avec les T4 (cf l'un de mes tout derniers posts sur ce topic). En revanche, je ne crois pas que tu vas trop apprécier ce qui suit. Et pourtant, c'est vraiment pour ton bien que je te dis cela. En tout cas, c'est que je pense en mon for intérieur. J'avais bien sûr déjà lu quelques-uns de tes posts. Quand on les lit, j'ai l'impression en fait que tout ce que tu as retenu de la dissidence du sida, c'est qu'il y aurait des traitements "miracles". D'où tes questions récurrentes pour savoir s'il n'y aurait pas des thérapies alternatives, la prise d'antioxydants, etc.... Et quand je prends le passage repris ci-dessus et d'où il ressort très clairement que tu crois encore que le VIH existe (ce qui est encore concevable pour une minorité de dissidents) et - sacrilège (lol) - qu'il est pathogène, je suis d'avis que tu suis plutôt les thèses du professeur Montagnier, coïnventeur du virus HIV, et certainement pas un dissident du sida. Finalement, tu veux jouer sur les deux tableaux. Le stress oxydatif est bien la cause du sida mais ce stress oxydatif n'est possible qu'en raison de l'existence de ce virus (je crois que c'est en gros la thèse de Montagnier; et il me semble d'ailleurs qu'il lui est d'ailleurs "financièrement" impossible d'aller plus loin en tant que coïnventeur du virus). Bref, mes posts ne paraissent finalement pas aussi clairs que çà ! lol En tout cas, c'est l'impression que tu me donnes. Je la respecte, quoique je n'y crois pas une seule seconde. Effet nocebo ? Tu es en plein dedans en fait, mais tu ne t'en rends pas compte ou tu refuses de t'en rendre compte. Tu contrôles des T4, ta (pseudo) charge virale, tu t'inquiètes de comment bloquer l'entrée du pseudo virus dans les T4, etc.... Bon, venons-en à ta question essentielle. En gros, quelles seraient les "recettes miracles" de la dissidence pour combattre le sida ? Et bien, pour moi, c'est extrêmement clair, le remède miracle, à supposer qu'il y en ait un, consiste en premier lieu, non à voir l'évolution des T4 et de la pseudo charge virale, mais bien A ANALYSER TON STYLE DE VIE ET A VOIR CE QUI A BIEN PU CAUSER DANS TON ORGANISME UN STRESS OXYDATIF AUSSI FORT QU'IL A PU RENDRE TON TEST HIV POSITIF ! Stress oxydatif qui, rappelons le, est réversible .... tant qu'il n'est pas devenu irréversible (La Palice n'aurait pas dit mieux ! lol). A mon humble avis, c'est en priorité là-dessus que tu dois agir, non sur tes T4 et ta pseudo charge virale. Evidemment, si tu crois encore que le HIV est la cause du sida et qu'à supposer même qu'il existât, que celui-ci soit pathogène, tu n'es pas prêt d'y arriver ! En faisant abstraction du sida nutritionnel (Afrique, etc...; c'est un tout autre problème, ou presque), quand je lis la dissidence du sida, cela me semble très clair (et sans doute de ce point de vue-là, je suis peut-être plus proche de la position du professeur Duesberg que du Groupe de Perth [mais je ne mets nullement en doute l'explication du stress oxydatif, ceci étant]) : le sida que je qualifierais "de base" est causé par l'usage et/ou l'abus de drogues récréationnelles (poppers, coke, XTC, GHB, amphétamines, etc...). Et pourquoi pas par l'abus de certains antibiotiques bien particulier, qui produisent à la longue les mêmes effets chimiques que les drogues récréationnelles. Et bien entendu, par les drogues dites "antivirales", mais par définition, on n'espère pas devoir arriver à cette extrémité (cependant parfois nécessaire, il faut l'admettre). Et je vais profiter du présent post pour faire part de mon opinion personnelle sur la façon d'"apprivoiser" le sida. N'étant justement pas un scientifique mais ayant lu énormément d'articles sur le sujet (+/- 150, et un grand merci à www.sidasante.com), je crois pouvoir justement ne pas devoir (ni pouvoir d'ailleurs) m'attacher aux détails, mais être en revanche en mesure de me distancier un peu du sujet et d'avoir une vue d'ensemble. En résumé, être en mesure de prendre du recul. Mais pour comprendre mon point de vue, il faut revenir au début de l'épidémie. Et à quatre de ses travers les plus tragiques (les deuxième et troisième constituant d'ailleurs des erreurs patentes, nous le savons maintenant). Le premier travers : l'"épidémie" a coïncidé avec la possibilité scientifique de mesurer les T4, et ce dès le début des années 80. Les conséquences de cette faisabilité scientifique (quoique constituant une véritable avancée scientifique) me semblent absolument incalculables sur le plan du sida. J'y reviendrai. Le deuxième travers : la possibilité envisagée dès 1982 que le "sida" soit causé par un rétrovirus, possibilité devenue dogme infaillible dès 1984. Le troisième travers, conséquence du deuxième travers : on l'a deviné, l'invention des test HIV en 1984, laquelle a véritablement créé l'effet nocebo que l'on connaît bien, alimenté bien sûr par l'"obligation" de mesurer les T4 (et plus tard, à partir des années 90, l'"obligation" de mesurer sa pseudo charge virale). Le quatrième travers : l'élargissement - jusqu'en 1993 - de la définition des maladies qualifiées de sida, avec le pire élargissement à ce jour (et le terrible effet nocebo que cela a entraîné) : les séropos avec moins de 200 T4 ont le sida, alors que pourtant 70% d'entre eux se portent comme un charme !. Ces différents élargissements de la définition de sida ont contribué à donner l'impression que le sida est une épidémie dévastatrice à travers le monde (sans compter cet autre pire élargissement de la définition de sida qu'est la définition de Bangui de 1985 qui a permis de qualifier artificiellement de sida des maladies courantes et endémiques existant en Afrique et liés tout simplement à la pauvreté et à la manultrition : lèpre, malaria, tuberculose, etc...). Que se passe-t-il de 1981 (début de l'épidémie) à 1984 (invention du VIH) ? Ce qui a été remarquable, c'est que les seules personnes qui ont souffert et sont morts du "sida" de 1981 à 1984, étaient des gay et des toxicomanes (gay ou hétéros). A de rares exceptions près (peut-être justement expliqués par l'abus d'antibiotiques, genre Bactrim, produisant le même genre de stress oxydatif que les drogues récréationnelles), il n'y avait qu'eux. Et cela fut ainsi certainement jusqu'en 1984 (invention du test HIV qui a permis de créer le sida hétérosexuel [mais virtuel à ce moment-là pour cause de non-"découverte" de l'AZT; il n'est devenu quelques fois réels qu'en raison essentiellement de l'effet nocebo] pour non toxicomanes par la croyance erronée que la séropositivité est le signe d'une infection par le VIH supposé dogmatiquement être la cause du sida) et même aussi jusqu'en 1987 (quoique un tout petit peu plus d'hétéros non toxicomanes se mettent à mourir du "sida" entre 1984 et 1987, mais il faut clairement mettre cette très légère augmentation sur l'effet nocebo lié à la révélation de la séropositivité). Pourquoi 1987 ? Car c'est cette année-là que l'orthodoxie du sida enjoint aux séropos de prendre ce fabuleux "médicament" qu'est l'AZT et qui a vraiment permis à des hétéros non toxicomanes de mourir du sida tout comme les gay et les toxico (= sida sur ordonnance). Et permis de persister dans l'idée que le sida est décidément une terrible maladie dévastatrice pour le genre humain (alors qu'à l'exception des maladies réellement rares endurées par les gays les premières années, les autres maladies n'ont strictement rien d'exceptionnel). En réalité, le sida est réellement une maladie virtuelle et s'il existe, c'est uniquement pour les gays. Pourquoi dis-je cela ? Parce que visiblement, l'orthodoxie du sida a "oublié" que les toxicomanes souffraient depuis des décennies de déficiences immunitaires terribles et mortelles. Ce n'était pas nouveau. Mais comme certaines des maladies des toxicomanes étaient aussi communes aux gay consommateurs de drogues récréationnelles, on a abusivement créé l'illusion que les toxicomanes souffraient de sida. Mais c'est faux ! Ils en crevaient déjà depuis des décennies de ces maladies (qualifiées de sida) mais elles n'ont pu être qualifiées de sida que parce que certaines de ces maladies étaient communes aux gay (+ il est vrai que certaines maladies "nouvelles" sont apparues chez ces mêmes toxicomanes, mais celles-ci peuvent clairement être mis en relation avec l'arrivée de nouvelles drogues au début des années 80 (le crack par exemple). N'en déplaise à certains, il faut le dire haut et fort : le sida, en tant que réelle nouveauté, n'était réservé qu'aux gay (ce n'est pas pour rien qu'on a appelé cela jusqu'en 1984, le cancer gay), et cela aurait d'ailleurs dû le rester. Mais c'était sans compter avec les associations de défense des gay (entre-temps devenus associations de défense du sida) qui faisaient - peut-être plus ou moins incconsciemment - pression pour que ce syndrome soit élargi le plus possible. Or que se passe-t-il dès 1983 ? L'épidémie de sida, dans les faits, diminue ! Corrélativement à une diminution de la consommation de poppers et autres drogues chez les gay. Et pourquoi dit-on alors que l'épidémie continue à augmenter en 1983 malgré tout ? A cause des premiers, deuxièmes et quatrièmes travers. L'orthodoxie du sida constate que de plus en plus de gay (quoique non encore au stade du sida déclaré, du moins en fonction des premières maladies apparues en 1981) ont des T4 en baisse, ont dans le sang ce qui s'apparenterait à ce pseudo virus, et, partant, élargissent de plus en plus et artificiellement la définition de sida en y incluant des maladies qui existaient déjà bien avant 1981 chez les gay et couramment. Car les sidéens de départ, ce qu'ils avaient de réellement particulier, c'étaient uniquement quelques maladies alors très rares, mais nullement inconnues, mais devenues extrêmement communes chez les gay: le sarcome de Kaposi, la pneumocystose, les très graves infections à candida (et peut-être aussi, faudrait mieux réétudier l'histoire du début de l'épidémie, d'autres maladies bien moins récurrentes ceci étant : le cytomégalovirus qui rend aveugle; la toxoplasmose). Or toutes ces maladies trouvent leur cause dans l'usage des drogues récréationnelles par les gay de l'époque (et aussi de nos jours, ceci étant), en particulier le poppers. Ce que je veux essayer de démontrer (et tant pis si cela en vexe quelques-uns), c'est que le sida était et aurait dû rester une "maladie" confinée aux seuls gays consommateurs de drogues récréationnelles, et rien d'autres (et je n'y inclus donc pas les toxicomanes [gay ou hétéros] pourtant désignés comme mourrant du sida car cela n'avait en réalité rien de bien exceptionnel chez les toxicomanes; ce qui était exceptionnel, c'était l'émergence de maladies très particulières dans une population bien particulière, à savoir le milieu gay). L'extension par la suite du syndrome du sida à davantage de gay et ensuite aux hétéros non toxicomanes est ensuite devenue purement artificielle car en raison de la mode de la mesure des T4, la découverte de ce qui serait qualifié de HIV dans d'autres maladies, a permis d'étendre la définition du sida à des maladies qui n'avaient absolument rien d'exceptionnel et tout à fait communes, avec ensuite une extension aux hétéros non toxicomanes "grâce" aux tests HIV et à l'AZT. En d'autres termes, ce que j'essaie de démontrer, c'est que le sida n'aurait jamais dû devenir hétérosexuel (pour non toxicomanes bien sûr, mais même si toxicomanes, cela n'a toujours rien à voir avec le sida de départ propre aux gay), il ne l'est devenu qu'à cause de l'invention de la séropositivité et ensuite l'AZT. Bref, le sida était et aurait dû rester un syndrome propre aux seuls gay consommateurs de drogues récréationnelles. Et dans ma vision, ce n'est pas "était" ou "aurait dû rester" mais bien "est toujours" un syndrome réservé aux gay consommateurs de drogues récréationnelles, car dans ma vision, je fais l'effort d'apprivoiser le sida sans les quatre travers qui précèdent. Quelles sont les implications du raisonnement qui précède (mais j'apporterai un bémol rectificatif à la fin de ce post sur base justement de la théorie du stress oxydatif auquel je crois bien sûr, car les implications qui suivent peuvent paraître choquantes de prime abord) ? Il est "strictement" (mais un bémol suivra, comme je viens de le dire) inutile de passer un test HIV [troisième travers] (un tel test, tel qu'envisagé à l'heure actuelle ne saurait se justifier que si la séropositivité était réellement sexuellement transmissible, mais nous le savons déjà tous, ce n'est justement pas le cas) et de mesurer ses T4 [premier travers]. Pourquoi "ose"-je dire cela ? Parce qu'aussi bizarre que cela puisse sembler, cela me semble la meilleure façon de responsabiliser les victimes du sida et aussi d'échapper à l'effet nocebo (sans pour autant vouloir entrer dans le contexte de la moralisation). 1) Si vous êtes toxicomanes, à quoi sert-il de faire un test HIV et de mesurer les T4 (je ne parle évidemment même pas de la charge virale, car là et contrairement aux test HIV et aux T4, on frôle vraiment le n'importe quoi) ? Vous savez quand même très bien (et on le sait depuis des décennies) qu'en raison de votre toxicomanie, vous risquez de souffrir de diverses maladies liées à votre immunodépression progressive. Si vous contractez malgré tout de même de telles maladies, vous en connaissez déjà la cause .... et le remède le plus efficace (sans qu'il faille passer formellement par un test HIV ou une mesure des T4) : faites une cure de désintoxication ou ne toucher plus à la drogue, et ne vous ferez pas ou plus les maladies (abusivement qualifiées de sida, car elles n'ont rien d'exceptionnel aux toxicomanes). Bref, inutile de parler d'épidémie de sida. 2) Si vous êtes gay, à quoi sert-il de faire un test HIV et de mesurer les T4 puisque vous savez très bien que pour ne pas attraper les maladies caractéristiques premières du sida (et qui sont effectivement uniquement propres à certains gay, et peuvent effectivement être qualifiées de sida dans ce cas-là car réellement particulières), vous n'avez qu'à ne pas toucher aux drogues récréationnelles. Et si jamais vous contractez malgré tout de telles maladies, vous en connaissez déjà la cause ..... et le remède le plus efficace (sans qu'il faille passer formellement par un test HIV ou une mesure des T4) : cessez de consommer les drogues récréationnelles avant que le stress oxydatif causé par la consommation de ces drogues ne devienne irréversible et vous oblige réellement à recourir aux drogues appelées erronément "antivirales". Passez un test HIV et mesurer les T4 n'est pas la solution. 3) Si vous êtes en dehors des deux catégories précitées, et bien, il n'y a en principe rien à craindre et il y a en principe pas lieu de passer un test HIV (tel qu'interprété à ce jour) ou de mesurer les T4, parce que par définition, vous ne ferez pas les maladies si caractéristiques du sida (à moins éventuellement d'abuser de certains antibiotiques particuliers de nature à causer ce fameux stress oxydatif bien particulier). Vous en ferez peut-être qui sont également qualifiées de sida, mais celles-là n'ont rien à voir avec les maladies typiques du sida "de départ" car elles existaient déjà depuis des temps immémoriaux et doivent être traitées comme elles ont toujours (et en tenant bien entendu compte des avancées scientifiques intervenues dans le traitement de ces maladies) été traitées avant l'invention de l'"épidémie" du sida. Ce que je veux essayer de démontrer, c'est que formellement, passer un test HIV et mesurer les T4 est "formellement" inutile. Soit vous faites les maladies réellement rares du sida du départ (sarcome de Kaposi, PCP, formes graves de candida) et vous en connaissez déjà la cause (en dehors de toute hystérie de sida) ..... et le traitement. Soit dans votre vie, vous faites n'importe quelle autre maladie, qu'elle soit non typique du sida de départ, ou non reprise dans la liste des 29 ou 30 maladies qualifiées de sida, et au motif que ces maladies sont communes et ont leur explication en dehors de toute psychose collective de sida, elles doivent être traitées en tant que tel comme elles ont toujours été traitées avant l'invention de l'épidémie du sida. En d'autres termes, le sida "n'existe pas", hormis les maladies très typiques (ou "exotiques") du sida de départ. On en connaît les causes en dehors de toute psychose collective de sida, et peuvent être traitées sans qu'il faille l'aggraver par l'effet nocebo résultant des test HIV et de la mesure des T4. Maintenant, pour les catégories 1) et 2) précitées, si malgré tout, elles persistent dans leurs "vices" (je ne veux pas être méchant, mais réaliste), elles en connaissent réellement la cause et le traitement (que la prise d'antioxydants naturels peut assurément aider). Mais si les vices en question sont plus fort que tout (ce qui est humain), et bien, il y a les drogues antivirales (mais espérons bien sûr que la science fasse bien sûr de plus grands progrès prochainement). J'espère avoir passé l'idée que formellement, ce qui est erronément qualifié de sida peut être traité sans devoir passer par l'effet aggravant qu'est l'effet nocebo des test HIV et de la mesure des T4. Ceux qui ont des "pratiques à risque" (j'entends donc la toxicomanie et la consommation de drogues récréationnelles) n'ont pas besoin de ces tests et mesures pour savoir qu'ils ont un style de vie qui les prédispose au sida (que je définis donc comme étant les premières maladies très caractéristiques du sida "de départ", tous les autres maladies et leur extension à une population autre que toxicomane et gay consommateurs de drogues récréationnelles n'étant que le fantasme et le désir de l'orthodoxie de sida de donner naissance à une nouvelle épidémie ..... de nature à assurer leur survie professionnelle [car sans le pseudo HIV et en raison de la défaite éclatante de leurs recherches antérieures durant les années 70 de rétrovirus causes de cancers, la rétrovirologie serait assurément devenue depuis le début des années 80 une science bien mineure, ce qu'elle n'est justement pas aujourd'hui grâce à l'"épidémie" du sida qu'ils ont réussi à créer et propager - certes, involontairement - au-delà de toutes leurs espérances professionnelles à tout le moins]). Quant aux autres, soit ceux sans "pratiques à risques", recourir aux tests HIV et à la mesure des T4 est parfaitement inutile, du moins dans "l'optique sida". Pourquoi dis-je "optique sida" ? Pour justement en arriver au fameux bémol annoncé auparavant. Le stress oxydatif est une réalité incontestable et explique bien sûr le sida. Mais si j'ai bien compris, le stress oxydatif est de nature à expliquer la survenance de tas de maladies en dehors de l'optique sida, et ce en raison des mécanismes chimiques mis en oeuvre par ce phénomène qu'est le stress oxydatif. Si j'ai bien compris, le stress oxydatif est un phénomène tout à fait naturel, que l'organisme humain combat naturellement. En cas de dérèglement des mécanismes de défense de l'organisme humain contre le stress oxydatif, cela est de nature à causer des maladies assez sévères et mêmes extrêmement sévères puisqu'il peut aboutir au sida déclaré. Dans cette optique seulement (et pas celle de la psychose collective du sida), les test HIV ont une utilité inconstestables mais ils doivent être complètement remaniés. J'entends par là que ces test dits HIV devraient déjà être appelés tests de stress oxydatif et être retravaillés de façon à mesurer le degré de stress oxydatif subi par l'organisme humain. Ce retravail doit se faire sur des mécanismes et une appréciation beaucoup plus large que le fameux seuil au delà duquel vous êtes qualifié de séropositif. En d'autres termes, les test de stress oxydatif (anciennement appelés et à tort test HIV) doivent être réétudiés pour devenir des instruments de mesure de la bonne ou mauvaise santé de l'organisme humain (en dehors de toute référence à la notion de séropositivité et encore moins à la notion de sida), exactement comme les tests de mesure du cholestérol (mais bien sûr sur un autre plan). Il n'y aurait plus aucun effet nocebo dans cette mesure. Dans cette optique bien plus large que l'optique sida, les test erronément appelés test de "charge virale" pourraient même mériter une seconde chance, et être retravaillés de façon à mesurer également une autre forme de dégradation du système immunitaire, exactement comme un test de cholestérol, et toujours forcément sans effet nocebo. Et quant à la mesure des T4 ? C'est assurément un instrument très utile à la gestion du système immunitaire. Mais assurément, il y a encore vraiment beaucoup à faire pour connaître la valeur prédictive de la baisse des T4 sur la survenance d'un sida déclaré. Certes, les sidéens ont des T4 très bas ou même absents, mais nous savons que de nombreux séropos vivent très bien avec peu de T4, et c'est justement ceux qui ont repris une vie "saine et équilibrée" en renonçant aux drogues récréatives. Raison pour laquelle, et du moins et uniquement dans l'"optique sida", ces tests de mesure devraient être évités (à l'heure actuelle du moins) car nous l'avons vu, ce qu'il faut faire, la solution est de renoncer aux drogues récréatives, pas mesurer ces T4. J'espère que j'ai réussi à me faire comprendre sur l'essentiel et pourquoi j'estime que pour combattre le sida, les tests HIV et de mesure des T4 sont en réalité superfétatoires. Le problème du sida peut être réglé en dehors de ces tests. En revanche, ils redeviennent utiles et même nécessaires dans une "optique plus large d'aide à la gestion du système de défense immunitaire", mais dans cette optique-là, ces deux tests (et même celui de la charge virale) doivent être complètement retravaillés pour éviter toute comparaison ou analogie avec le sida et toute l'hystérie qui y est liée actuellement. J'ai parfois été dur, mais si on relit ce post, finalement, même sans relire entre les lignes, c'est une vision très optimiste (et je crois, tout à fait réaliste et réalisable car en aucune façon suicidaire ou irresponsable, me semble-t-il) d'approcher le syndrome du sida que je propose, enfin, je crois du moins ! Et en dehors de l'effet nocebo, particulièrement nuisible. Wallypat PS : Lasimar, tu l'auras compris. Il n'a absolument et réellement aucune méchanceté envers toi dans ce post !
  9. En résumé, la Chine étant en train de s'"occidentaliser", les causes principales de sida et d'une partie importante de séropositivité dans ce pays sont identiques qu'en Occident, c'est-à-dire l'usage de drogues (et on peut clairement supposer que les prostituées en question en font usage).
  10. Je reviens à nouveau aux maladies "exotiques" caractéristiques du sida, pour tenter d'étayer davantage mes propos à ce sujet, et peut-être même pour tenter ensuite de déboucher sur une ébauche de solution aux différentes incohérences constatées avec les T4 chez les séropos et sidéens. Pourquoi j'y reviens ? Grâce à Ganaëlle, qui dans le topic "Fluorocarbone, espoir pour les sidatiques et autres", a reproduit un petit article sur le fluorocarbone. Certains passages de cet article m'ont diablement intéressé et m'ont donné des "idées". Peut-être que mes "idées" ne valent pas grand chose, mais elles permettront peut-être à d'autres d'en avoir de bien meilleures et mieux fondées. Donc, reprenons. Le sidéen ne meurt pas réellement de maladies opportunistes puisqu'il résiste à la plupart des bactéries et autres virus qu'il rencontre. Il n'a pas besoin de vivre dans une bulle à l'abri de ces "méchants" virus et bactéries. En effet, les maladies caractéristiques et si particulières dont meurent le sidéen semblent plutôt être causées par différents "germes" qui ont la particularité de ne pouvoir se développer que dans un organisme en manque d'oxygène (le sang ne parvient plus à faire circuler le sang correctement dans l'organisme). Ce manque d'oxygène peut très bien s'expliquer par le stress oxydatif qui provoque une hyperstimulation trop longue ou trop forte des cellules immunitaires productrices de monoxyde d'azote. Reprenons maintenant certains passages qui m'ont marqué dans ce petit article reproduit par Ganaëlle, mais bien entendu en l'interprétant d'un point de vue dissident (et non du point de vue de l'orthodoxie du sida). Or que nous est-il justement fait miroiter dans le petit article sur le flurocarbone ? La possibilité de moins souvent respirer (voire "des hommes marins allant coloniser l'océan" lol!). Et de prime abord, je ne vois pas pourquoi ce qui est valable pour les insectes ne seraient pas valables pour des mammifères, dont l'homme qui respire aussi l'oxygène et est confronté à chaque instant au phénomène du stress oxydatif. Bref, toutes ces considérations sembleraient bien confirmer que le sida a davantage trait à un problème d'oxygénation qu'à un problème d'immunodéficience. Et cela me donne une idée de plus. La respiration (à laquelle fait indubitablement référence l'article susdit sur le sang artificiel) a justement (et entre autres) pour objectif d'enrichir le sang en oxygène. Et ce sang artificiel, qui freinerait l'apparition du sida, agit clairement sur la respiration. D'où ma question : le sida ne devrait-il pas également être abordé sur l'angle de la respiration ou d'une façon bien plus scientifique, sur les différents mécanismes chimique qu'implique la respiration (et ses relations avec le sida) ? L'étude de ces mécanismes ne permettrait-il pas de mieux faire avancer la recherche sur le sida, surtout qu'il est évident que la respiration a des implications manifestes sur le transport de l'oxygène dans le sang, et, partant, sur l'apparition des maladies "exotiques" du sida ? Ne se focalise-t-on pas ainsi trop et à tort sur la chute des T4 ? Pour combattre le sida, ne faudrait-il pas moins respirer mais respirer mieux et plus fort (plus grande capacité pulmonaire par exemple ? Influence d'une activité sportive ayant pour objectif l'endurance et donc une plus grande capacité de respiration)? Venons en justement aux T4. Rappelons quelques faits. 1) Les sidéens qui meurent du sida ont un nombre de T4 égal à zéro ou qui frise ce niveau. Devant cette constatation, l'orthodoxie du sida (et aussi la quasi totalité de la dissidence du sida, me semble-t-il) est depuis le début de l'"épidémie" obsédée par la mesure des T4, de prime abord avec raison. Et sur base de ce seul "marqueur" (et aussi sur base de celui de la pseudo charge virale), elle décide d'administrer des drogues antivirales lorsque les T4 chutent trop bas, quand bien même dans la majorité des cas, les séropos confrontés à cette chute des T4 et non affectés par l'effet nocebo, se portent à merveille. Mais ce premier fait fait fi des faits suivants. 2) Les séropos qui abandonnent les drogues récréationnelles, mangent correctement, ne s'en font pas, ont une vie saine, se portent à merveille. Il en va d'ailleurs de même de la majorité des séropos qui abandonnent les drogues antivirales et adoptent le même style de vie. Toutefois, malgré tout, pour certains, les infections exotiques reprennent de plus belle : il y a lieu de penser que ceux-là souffrent dorénavant d'un stress oxydatif hélas devenu irréversible (mais pour en être sûrs, il faut, me semble-t-il, qu'ils arrêtent de consommer ces drogues dites antivirales et que malgré une vie "saine et équilibrée", les infections exotiques se produisent à répétition) et ils sont bien obligés de recourir à la solution du dernier recours et hélas pleinement justifié, à savoir le recours aux drogues antivirales. Notons que ces survivants à long terme ont généralement un taux de T4 "normal", du moins quand ils estiment devoir faire cette vérification (mais cela me semble malgré tout très dangereux en raison de l'effet nocebo que cela pourrait causer; à mon avis, ils devraient continuer à vivre comme n'importe quel séronégatif qui ne fait pas contrôler ses T4 et sa charge virale). Mais ce deuxième fait est incompatible avec un troisième fait. 3) Des séropos qui ont le même style de vie que 2) vivent très bien, certes, mais ont des T4 ridiculement bas pendant des années et des années, et continuent à se porter très bien (tout en ne s'en inquiétant pas [éviter effet nocebo]) Quelles premières impressions à la lecture de ces trois faits ? La chute des T4 semble être un marqueur important, certes. Mais n'explique pas tout, loin de là, puisque certains séropos vivent très bien des années durant avec peu de T4. Alors je me dis : Finalement, la chute des T4 sur laquelle on se focalise autant, ne serait-elle pas un épiphénomène, au pire annonciatrice d'un autre phénomène ultérieur, sur lequel les chercheurs ne se focalisent pas ou très peu ? Surtout que les T4 mesurés sont uniquement les 3% circulant dans le sang, et non les 97% réfugiés dans les tissus. Les T4 sont-ils forcément détruits ou n'arrive-t-il pas (comme je l'ai lu) qu'ils aillent "se cacher" dans les tissus (entre autres par l'effet du stress <--- effet nocebo entre autres). Certes, il a été démontré que le stress oxydatif détruit les T4. Mais lesquels ? Ceux circulant dans le sang ou aussi ceux dans les tissus ? Il serait intéressant (moi, je l'ignore en tout cas) si les T4 dans le sang et ceux dans les tissus ne remplissent pas des objectifs quelque peu différents. Bref, beaucoup de questions, peu de réponses. Mais il y a quand même quelques certitudes qui pourraient nous aider à voir plus clair. La chute des T4 mesurables dans le sang ne traduit pas une baisse de l'immunodéficience "traditionnelle" puisque le sidéen meurt de maladies "exotiques" qui surgissent malgré un système immunitaire finalement en bon état puisqu'il résiste aux infections opportunistes "traditionnelles". Autre certitude, me semble-t-il. Le stress oxydatif, au niveau du sida, produit deux effets majeurs, et je soupçonne que ces deux effets ne se produisent pas nécessairement conjointement mais successivement. Premièrement, le stress oxydatif dont on parle tant dans le sida détruit les T4. Mais visiblement et spécialement ceux circulant dans le sang. D'où la chute (peut-être apparente ? Certains T4 ne vont-ils pas se réfugier dans les tissus ?) des T4 mesurables. Deuxièmement, le stress oxydatif va entraîner progressivement un problème de circulation de l'oxygène dans le sang. Mais je me dis : finalement, la chute (peut-être parfois apparente) des T4 n'est-elle finalement pas un épiphénomène annonçant ULTERIEUREMENT (mais le laps de temps varierait en fonction des individus et de leur style de vie) l'installation de ce système anaérobique de l'organisme, qui, lui, va entraîner l'apparition des maladies exotiques du sida ? En d'autres termes, la chute des T4 est certes un critère important mais en rien décisif de l'apparition du sida déclaré car ce qui causerait le sida, c'est l'effet suivant du stress oxydatif, à savoir le problème d'inoxygénation ? Cela permettrait peut-être de rendre compatibles les trois faits relatés ci-dessus. Premièrement, les sidéens qui meurent du sida avec presque aucun ou plus de T4 sont arrivés au deuxième stade, lui mortel, du stress oxydatif, soit celui de l'inoxygénation. Deuxièment, les survivants à long terme avec un taux de T4 "normal" ont réussi à inverser le phénomène de stress oxydatif avant que celui-ci ne devienne irréversible au premier stade (chute des T4). Troisièmement, les survivants à long terme vivant très bien (et sans effet nocebo) avec très peu de T4 n'ont réussi à inverser le cercle vicieux du stress oxydatif qu'avant que celui-ci ne devienne irréversible au niveau du deuxième stade (inoxygénation) mais après l'irréversibilité du stress oxydatif au niveau du premier stade (chute des T4). Mais ils ne font pas de sida déclaré car ils ont réussi à agir avant que le stress oxydatif ne devienne irréversible au niveau du deuxième stade, qui, lui, cause les maladies typiques du sida, le niveau bas - visiblement permanent - des T4 n'ayant pas de si graves conséquences au niveau immunitaire (et d'ailleurs, nombre de scientifiques admettent qu'ils doivent encore beaucoup apprendre du système immunitaire, car il reste encore assez mal connu). Dans cette vision, la chute des T4 n'est plus qu'un épiphènomène certes sérieux, mais nullement synonyme de sida déclaré. En tout cas, il ne saurait justifier l'administration de drogues dites antivirales. Ce qui compte, c'est surtout d'empêcher que le deuxième effet du stress oxydatif, soit l'instauration d'un problème d'inoxygénation dans le sang, ne s'installe de façon irréversible. Par conséquent, la mesure des T4 ne s'avère plus un problème aussi crucial, d'autant plus qu'il est de nature à causer l'effet nocebo. Dans cette vision, ce qui importerait, c'est d'éviter l'apparition des maladies exotiques. Mais à ma connaissance, on n'arrive pas au stade du sida déclaré du jour au lendemain. Il y a des maladies intermédiaires qui, elles, sont annonciatrices d'un futur sida. C'est là-dessus (et non uniquement et surtout sur les T4) qu'il faudrait peut-être se focaliser. Lorsqu'on a un style de vie à risque et que ces maladies intermédiaires annonciatrices d'un futur sida déclaré surviennent et surtout ont tendance à se reproduire, il ne faut pas faire l'autruche : il est alors plus que temps de "changer de style de vie". Et je ne crois pas qu'il sera alors encore trop tard car ces maladies intermédiaires ne sont pas, je crois, synonyme de stress oxydatif devenu irréversible, mais synonyme que cela commence vraiment à devenir sérieux. Dans cette vision, les test HIV (ou tests de mesure de stress oxydatif) et la mesure des T4 ne seraient plus forcément d'une absolue nécessité, et seraient même à éviter en raison de leur effet nocebo. Mais cet effet nocebo tombera de lui-même lorsqu'il sera enfin admis que les tests HIV ne révèlent pas une contamination par un virus mais bien l'existence d'un (fort) stress oxydatif à gérer au mieux (un peu comme le cholestérol). Bref, je ne sais ce que cela vaut, mais cela donnera peut-être des idées à d'autres. Je pourrais encore dire des tas de choses (d'autres idées me viennent en en tête) mais c'est assez pour ce "soir" (c'est la nuit déjà !). PS : Désolé pour les fautes de frappe, mais je suis maintenant trop fatigué pour relire !
  11. wallypat

    Fluorocarbone

    Ganaëlle N'aurais-tu pas mal réécrit l'adresse de ce site ? Je n'arrive pas à y accéder ! Merci
  12. Je ne peux m'empêcher d'éprouver un certain plaisir en reproduisant ci-dessous le début de cette dépêche parue hier. Il est piquant de constater qu'ils aimeraient avoir de nouvelles idées pour combattre le $isa. Et pourtant, des nouvelles idées, ce n'est pas cela qui manque depuis 20 ans au niveau de la dissidence du $ida ! Mais il est vrai que les nouvelles idées doivent remplir préalablement une condition : respecter le dogme de l'existence du virus tueur et mutant. Il est vraiment navrant de constater que l'orthodoxie du $ida persiste encore et toujours depuis 25 ans dans cette voie alors qu'elle aurait depuis longtemps dû reconnaître que cette voie n'aboutit pas à grand chose (comme elle l'admet d'ailleurs), hormis l'existence de certaines drogues dites "antivirales" dont l'utilisation peut être justifiée dans certains cas (mais certainement pas sur base des marqueurs spécifiques que seraient les T4 et la pseudo charge virale). Tant que l'orthodoxie du $ida continuera dans cette voie, des avancées réellement spectaculaires dans le traitement de cette "maladie" se feront encore bien longtemps attendre.
  13. Pour tâcher d'éviter que des lecteurs pensent - à tort - en lisant ce passage que les protéines du pseudo VIH seraient spécifiques à celui-ci, et en particulier la "fameuse" protéine P24 , je me permets de reproduire les passages suivants tirés de cet article (Cheminot l'a déjà expliqué à diverses reprises, me semble-t-il, mais comme il se réfère souvent [et c'est normal] à des articles en anglais, je reproduis malgré tout ces quelques passages parce qu'ils ont été traduits en français, ce qui est plus commode pour la plupart des lecteurs que nous sommes). Concernant les protéines en général qui seraient spécifiques au pseudo VIH
  14. Pour encore mieux comprendre combien il est vain d'affirmer que la séropositivité est sexuellement transmissible, je me permets d'ajouter ce court passage en français tiré de cet autre article :
  15. wallypat

    Fluorocarbone

    Et voilà une preuve de plus que les infections "exotiques" caractéristiques du sida résultent bien d'un défaut d'oxygénation du sidéen/séropo, sans rapport direct avec une immunodéficience ! Bravo pour cet article très intéressant qui confirme, une fois de plus, l'hypothèse du stress oxydatif comme cause du sida (et non un pseudo rétrovirus) ! PS : Il me semblerait judicieux de reproduire cet article et le présent post dans la synthèse générale du "le VIH ne causerait pas le sida".
  16. Mais je suis tout à fait d'accord avec toi ! Je n'ai jamais dit que c'est l'effet nocebo qui a causé toutes les petites maladies qu'elle a pu endurées avant ce fichu test positif de séropositivité. En revanche, à compter du moment où sa séropositivité a été révélée, là, l'effet nocebo a indubitablement commencé a jouer et à aggraver la situation. Moi, ce que je constate, c'est qu'avant ce test positif, elle souffrait de maladies communes à nombres de personnes séronégatives. Certaines personnes (séronégatives) sont plus "fragiles" (ce n'est certainement pas le bon terme Anthea, mais tu m'auras compris, il n'y a rien de négatif dans mes propos) que d'autres et subissent plus d'infections que d'autres. Bref, elle n'a qu'à les soigner comme n'importe quelle personne séronégative, sans se soucier une seule seconde de ce fichu test HIV et ne lui accorder dans son cas aucune valeur car elle n'a visiblement pas un style de vie prédisposant au sida. Je n'ai jamais dit cela. J'ai dit que dans son cas, elle devait vivre comme si ce test HIV n'avait jamais existé. En revanche, ces problèmes de santé, qui existent, et peuvent s'expliquer et dehors de toute psychose de virus HIV ou même de stress oxydatif, doivent naturellement être soignés comme le font n'importe quelles personnes séronégatives, ces dernières ayant en outre le net avantage de ne pas en plus endurer l'effet nocebo désastreux de l'annonce d'une séropositivité (à moins de croire à 100% dans la justesse des arguments de la dissidence du sida). Raison pour laquelle elle doit définitivement oublier ce fichu test HIV. Mais je crains qu'en recourant aux drogues antivirales, même à titre transitoire, il lui sera dorénavant impossible d'oublier définitivement ce test HIV, et, partant, de se débarrasser de cet effet nocebo. En tout cas, je suis presque sûr d'une chose : si Anthea avait continué à vivre sans accorder le moindre crédit à ce test HIV, elle n'en serait pas là aujourd'hui.
  17. il ne s'agit pas d'arsenic, mais d'aspirine, obtenue en quantité industrielle à partir de la première guerre mondiale par Bayer. Mille excuses, Cheminot. Je ne voulais certainement pas trahir ta pensée ! Je pensais effectivement au mot "aspirine" (c'est plus fort que moi, j'allais à nouveau écrire "arsenic" !), mais visiblement, j'ai dérapé. Il se fait qu'une heure auparavant, je faisais quelques recherches sur d'éventuelles rapports entre l'arsenic et des IST autres que la syphilis. Et visiblement, mon obsession à l'égard de l'arsenic a fait en sorte qu'inconsciemment, j'ai remplacé le mot "aspirine" par "arsenic". Bref, assurément un lapsus de ma part. Malgré le profond et réel respect que j'ai pour toi, je ne suis pas d'accord avec toi (et c'est la première fois, je crois). Sauf erreur de ma part, la dissidence du sida ne justifie le recours aux drogues dites antivirales essentiellement qu'en cas de stress oxydatif irréversible, d'une part (1) pour combattre ce stress oxydatif devenu irréversible, d'autre part (2) pour éliminer, grâce à leur effet "tondeuse à gazon", la plupart des germes qui causent des infections opportunistes (exotiques). (1) Alors ici, dans le cas d'Anthea, il faudra me dire ce qui dans le mode de vie d'Anthea (à supposer qu'elle n'ait omis aucun détail compromettant) a pu causer un stress oxydatif devenu irréversible. Dans son mode de vie, tel qu'expliqué, je ne vois apparemment aucune explication plausible. (2) Dans le cas d'Anthea, les graves infections opportunistes récemment subies par Anthea me semblent pouvoir trouver leurs causes en dehors de toute psychose de stress oxydatif irréversible : l'immunothérapie, certains antibiotiques qu'elle a pu prendre (comme tu l'as toi-même souligné), et bien sûr et sans conteste l'effet nocebo. A partir du moment où les maladies récemment endurées par Anthea semblent trouver leurs causes ailleurs que dans un stress oxydatif causé par un style de vie néfaste, proposer comme solution des drogues antivirales (éventuellement, à titre transitoire) me semble être la solution de facilité. Et quelque part dangereuse car je crains qu'en agissant ainsi, elle sera cette fois-ci définitivement entre les griffes de l'orthodoxie médicale du sida. Pour ma part, maintenant qu'elle est rétablie, les deux premières choses qu'elle devrait faire, c'est de s'assurer que sa mésaventure médicale résulte très probablement de cette immunothérapie et éventuellement de la prise de certains antibiotiques, et dans une telle hypothèse, la deuxième chose à faire, c'est de se débarrasser de ce fichu effet nocebo, ce qui implique qu'elle doive vivre comme n'importe quelle séronégative vivant une vie "saine et équilibrée" et ne faisant pas contrôler ses T4 et sa pseudo charge virale. Bref, qu'elle oublie ce fichu test HIV et soigne ses "bobos" comme n'importe quelle personne séronégative. Les séronégatifs ne sont pas immortels et souffrent également de tas d'infection. Et à l'exception de ce qui lui est malheureusement arrivé ce mois de janvier, les autres infections dont elle a pu souffrir au cours de ces cinq dernières années et même avant qu'elle devienne séropositive, sont des infections absolument communes et courantes chez n'importe quelle personne séronégative. Malheureusement, la croyance, même lointaine (car elle paraît partager les arguments de la dissidence) dans le concept orthodoxe du sida, et l'effet nocebo que cela implique, suffit amplement à expliquer la chute de ses T4 et les maladies plus ou moins importantes qu'elle a pu subir ces dernières années. Evidemment, je serai en revanche d'accord avec ta proposition de recourir aux drogues antivirales (fût-il de façon transitoire, mais cela me semble risqué, d'un point de vue psychique, et de nature à accroître encore davantage l'effet nocebo) si tu me démontres en quoi Anthea souffre d'un stress devenu irréversible et quelles en seraient la ou les causes.
  18. Chère Anthea, Lorsque je t'ai demandé de me faire part de ton parcours médical, j'étais au boulot et je n'avais évidemment pas encore eu l'occasion de lire tes posts précédents sur ce site. Ce que j'ai fait maintenant (ainsi que tes posts ultérieurs de ce jour). L'avis que je vais te donner n'est qu'un simple avis et ne saurait engager ma responsabilité quelle qu'elle soit (et de toute façon, cela ne saurait en principe être pire que l'avis de la médecine orthodoxe, vu les excès auxquels elle s'adonne); tu en feras ce que tu veux, même si je souhaite évidemment que la "mésaventure" que tu viens te subir ne se reproduise plus. Pour moi, c'est très clair : l'explication réside surtout dans l'EFFET NOCEBO, dont on parle très peu sur ce site, voire pas du tout. Quand je lis tes différents posts, je me rends compte (et pour autant que tu dises vrai, ce que je pense de prime abord) qu'en résumé, tu as une vie très saine et très équilibrée (pour faire simple et court). Bref, tu devrais avoir toutes les raisons de penser que ta séropositivité il y a 5 ans résulte de l'un et/ou l'autre des 70 facteurs pouvant rendre un test HIV séropositif (pour connaître la liste de ces 70 facteurs, clique ici), sans que ton mode de vie (drogues récréationnelles et chimiques [genre abus d'antibiotiques]), qui, lui, cause vraiment le sida, y soit pour quelque chose. Bref, ce que tu avais à faire, à mon humble avis, était d'ignorer ad vitam eternam ce maudit test HIV et continuer ta vie comme si de rien n'était, car justement, ton mode de vie ne te prédispose en aucune façon au sida. Si jamais tu avais quelque infection que ce soit (et pas forcément des maladies dites caractéristiques du sida), tu n'aurais eu qu'à te soigner comme n'importe quelle personne séronégative. Malheureusement, tu sembles avoir découvert la dissidence du sida bien plus tard et entre-temps et jusqu'à maintenant d'ailleurs, tu as cru bon (ce que je comprends parfaitement quand on n'a pas découvert la dissidence du sida) d'aller contrôler régulièrement tes T4 et ta charge virale. Et là, réside ton erreur (tout à fait normale et humaine ceci étant, vu la psychose et l'hystérie collectives dans lesquelles nous vivons à l'heure actuelle). En effet, et tout particlièrement à partir du moment où tu n'as pas adopté un style de vie prédisposant au sida (et pour ce qui me concerne, cela reste valable - du moins au début - pour ceux qui ont adopté un style de vie à risque, sauf qu'en cas de survenance de premières maladies "bizarroïdes" [mais cela n'est pas systématique forcément; un peu comme ceux qui fument et qui n'ont jamais de cancers de poumons ou d'autres graves maladies], il est alors plus que temps de changer de style de vie et de mener une vie plus "saine et équilibrée" [mais pas besoin d'aller compter ses T4 et sa pseudo charge virale pour changer de style de vie], du moins après avoir soigné ces maladies "bizarroïdes" [qui doivent sonner comme un très sérieux avertissement, mais pas encore fatal, à moins de perséverer dans ce style de vie à risque] comme n'importe quel séronégatif), il est absurde d'aller chez le médecin HIV faire un contrôle de ses T4 et de sa pseudo charge virale ..... sous peine de tomber dans les travers de l'effet nocebo ! Or c'est justement ce qui t'est arrivé. On le constate très régulièrement dans tes différents posts : quand bien même tu semblerais approuver les thèses dissidentes du sida, c'est plus fort que toi (et c'est parfaitement humain, vu le contexte), tu t'inquiètes de ta diminution de tes T4, et ce à chacune de tes visites. Cela te travaille l'esprit, même si tu t'en défends. C'est plus fort que toi. C'est malheureusement l'illustration parfaite de l'effet nocebo (en d'autres termes, un stress psychologique sévère et répété, les croyances négatives, etc...), dont on a démontré à maintes reprises qu'il a le pouvoir d'affaiblir et même de détruire le système immunitaire d'une personne, et bien entendu, de faire baisser les T4. Je t'invite à cet égard à lire très attentivement les deux articles suivants, certes très longs mais très instructifs :SIDA et sorcellerie Vaudou et Extrait du livre L'EFFET NOCEBO de Richard Sunder ). L'effet nocebo, ce n'est pas de la rigolade. C'est on ne peut plus sérieux et est de nature à causer le sida (ne tiens toutefois pas compte de certains passages de ces deux articles où les auteurs, très enthousiasmés par le sujet, s'emportent parfois dans des considérations assez délirantes [je ne sais plus lesquelles, mais je me souviens très bien de l'existence ces considérations délirantes, sans rapport ceci étant avec l'effet nocebo dont tu souffres, tout simplement parce que l'orthodoxie du sida, dans certains articles, ont reproduit ces considérations délirantes pour discréditer les thèses dissidentes; l'orthodoxie du sida omet en revanche d'analyser les considérations principales et essentielles de ces deux articles, qui, elles, sont parfaitement et scientifiquement fondées, pour ne retenir que les quelques rares propos extravagants de ces auteurs pour discréditer la dissidence du sida dans son ensemble]) . Il est prouvé scientifiquement que l'effet nocebo cause une diminution des T4. Tantôt lentement (comme dans ton cas), tantôt rapidement (le cas "typique" me semble être celui du séropo, qui pourtant pète la super forme depuis des années, qui estime "devoir" [mais je le comprends, bien sûr] refaire un comptage de ces T4 plusieurs années après le dernier : même s'il s'en défend ou ne s'en rend pas consciemment compte, le stress psychologique causé par ce nouvel examen est suffisamment énorme que pour causer un effondrement momentané des T4 mesurables dans le sang; alors quand on ajoute des facteurs comme une prise de sang faite le matin, où le nombre des T4 est naturellement bien plus bas qu'en fin de journée, il n'y a plus grand chose d'étonnant). En résumé, ta diminution progressive des T4 n'a à mes yeux rien d'étonnant (j'admets toutefois que c'est facile à dire pour moi, car je ne suis pas dans ta situation; mais n'empêche, l'effet nocebo, dont tu souffres manifestement, l'explique parfaitement), et s'explique parfaitement par l'effet nocebo. Dans le même ordre d'idée mais beaucoup moins grave, j'ai commencé à avoir les premières angines de ma vie et à répétition lorsque j'ai commencé à fréquenter l'orthodoxie médicale du sida; elles ont subitement cessé lorsque j'ai de plus en plus souvent espacé mes visites, et ce avant même que je découvre la dissidence du sida. Reste maintenant l'immunothérapie (et heureusement que tu en parles d'ailleurs !) que, comme par hasard, tu as subie de plein gré chez ton homéopathe juste avant de tomber gravement malade. Je ne peux pas croire un seul instant que la maladie dont tu as souffert n'est pas la conséquence directe de cette immunothérapie ! Certes, je ne connais strictement rien à cette technique d'immunothérapie, sauf un point essentiel : elle n'est pas liée (ou de façon très éloignée) à l'homéopathie, et à ce titre, elle n'est certainement pas inoffensive (comme l'est dans le pire des cas la médecine homéopathique). Et j'en suis absolument sûr car il y a quelques mois, après avoir découvert la dissidence du sida, j'ai décidé de me retirer de l'engeance médicale orthodoxe, mais n'étant pas inconscient, j'ai pris la précaution de prendre un rendez-vous chez un homéopathe près de chez moi (j'ai maintenant mille fois plus confiance en l'homéopathie qu'en la médecine orthodoxe, tout particulièrement après avoir lu un article de Cheminot où il explique très bien que ceux qui sont morts de la grippe espagnole ont pour point commun d'avoir été traités "grâce" à la médecine orthodoxe par de l'arsenic, lequel a visiblement induit des modifications génétiques dans le virus de la grippe espagnole; en revanche, ceux qui ont survécu sont ceux qui ont été traités par homéopathie et à de rares exceptions près, ils ont tous survécu), pour obtenir des explications sur la médecine homéopathique, qui pour moi, reste toutefois l'une des dernières solutions (la toute dernière solution étant bien sûr le recours à la médecine dite "traditionnelle"), car je privilégie les thérapies naturelles (phytothérapie, aromathérapie). Et d'ailleurs, cela a toujours été le cas toute ma vie puisqu'avant de fréquenter l'orthodoxie médicale du sida, je n'avais de toute ma vie pris qu'une seule fois des antibiotiques (les vaccins, c'est malheureusement autre chose : ce n'est que récemment que j'ai appris l'existence de cette autre supercherie de taille, et ce "grâce" à l'encéphalite dont j'ai souffert pendant trois semaines, mais guérie sans le moindre médicament [sans doute parce que je ne m'en suis jamais vraiment inquiété et que le diagnostic de cette encéphalite ne m'a été révélé qu'après la guérison, donc pas d'effet nocebo qui a pu jouer pour moi]). Bien entendu, j'ai parlé de la dissidence du sida à cet homéopathe et il a semblé très ouvert sur le sujet; en tout cas, je lui ai renseigné certains sites sur le sujet, et il m'a promis qu'il allait s'informer plus longuement sur le sujet. Mais justement, il m'a parlé de cette "immunothérapie". Je n'y ai pas prêté une oreille bien attentive, sauf justement sur un point capital : il m'a expressément dit que cette homéopathie n'a qu'un rapport bien ténu avec l'homéopathie. Et j'en tire évidemment comme conséquence que cette immunothérapie n'est forcément pas si inoffensive que cela. En conclusion, je dirais donc que la chute progressive et jusqu'à maintenant inexorable de tes T4 est la conséquence de l'effet nocebo et que cette immunothérapie, pour une raison que j'ignore (forcément, je n'y connais rien), a indubitablement causé tes ennuis de santé (car je ne peux manifestement pas croire à une simple "coïncidence" dans ce cas-ci). Il serait à cet égard très intéressant que tu te renseignes auprès de ton homéopathe (ou ailleurs) sur les mécanismes d'action de cette immunothérapie; on comprendrait sans doute mieux. Et maintenant que dois-tu faire ? Evidemment, c'est justement là que les choses se corsent. Si on va jusqu'au bout du raisonnement qui précède, il ne fait hélas aucun doute, pour ce qui me concerne, que tu risques de développer à nouveau et assez rapidement des infections opportunistes, et ce aussi longtemps que tu feras contrôler tes T4 et ta pseudo charge virale, et que tu ne te sors pas de cette orthodoxie médicale du sida. L'effet nocebo joue clairement à 100% pour toi. Et dans ces conditions, les trithérapies sauront hélas la seule solution. Et bien sûr, l'orthodoxie du sida en profitera pour te dire que c'est la confirmation que la dissidence du sida a "évidemment" tort. Pour te sortir de là et éviter le recours aux drogues antivirales, il te faudra une sacrée force de caractère et de courage, ce qui n'est pas donné à tout le monde (moi, y compris), et ce d'autant plus que tu as vraiment été malade et que tu en as réellement souffert. Pour ce qui me concerne, c'est très clair. Comme tu n'as visiblement jamais eu et n'as à ce jour visiblement pas un style de vie prédisposant au sida, tu devrais à mon sens sortir définitivement du monde médical orthodoxe du sida, et carrément oublier ce maudit test HIV qui t'a condammé à tort. Oublier définitivement que tu risques d'être atteint une nouvelle fois d'une maladie dite opportuniste. Bref, tu dois vivre, et oublier toute cette "merde". Vivre comme n'importe quelle séronégative. Que je sache, un séronégatif ne contrôle pas ses T4 et sa charge virale (il serait d'ailleurs surpris d'obtenir une charge virale détectable). C'est juste mon humble avis, et je me garderai de te dire que c'est la voie à suivre. Et moi-même, dans ton cas, je ne suis pas sûr qu'après avoir vécu ce que tu viens de vivre, je suivrai mon propre conseil. Quoique .... Mais ce qui t'es arrivé me semble très clair et tout à fait explicable, sans nul besoin de recourir à ce si mythique et insaisissable HIV : EFFET NOCEBO et IMMUNOTHERAPIE. A toi d'apprécier et de prendre tes responsabilités, ce qui n'est pas facile, c'est clair. Il s'agit de ta vie et surtout de ta future qualité de vie. Mais n'oublie jamais que tu n'as visiblement jamais eu et n'a à ce jour un style de vie te prédisposant au sida selon la dissidence du sida, et qu'à ce titre, le recours aux trithérapies semble parfaitement incongru. En tout cas, avant de prendre quelque décision, il serait sage de tenter de te renseigner sur les mécanismes d'action de cette immunothérapie. Si tu obtiens des indications qui te font penser à la possibilité que celle-ci a bien pu être de nature à induire, par quel que mécanisme que ce soit, les maladies dont tu as souffert (conjugué à l'effet nocebo), il me paraît alors clair que le recours aux drogues antivirales est à proscrire. Voilà, ce n'était que mon avis, que j'ai toutefois tâché d'argumenter le plus possible. Porte toi bien, Anthea !
  19. Anthea Pour pouvoir t'aider, je pense qu'il serait nécessaire de connaître l'entièreté de ton parcours médical (ainsi que ton "style de vie") avant et après la découverte de ta "séropositivité", les médicaments que tu as pu prendre (avant et après), etc ..... Ce n'est pas par indiscrétion que je demande cela mais pour essayer de comprendre comment tu as pu arriver à ton état actuel, alors qu'il y a un peu plus d'un mois à peine, tu déclarais que tout allait pour le mieux. A défaut d'infos, je soupçonne pour ma part l'effet nocebo. Et effectivement, de prime abord et à défaut d'autres infos, le recours à la trithérapie semble ici parfaitement nécessaire, je le crains, s'il n'est pas possible que tu guérisses par d'autres biais et malgré une vie "saine et équilibrée". Merci d'avance pour les infos que tu pourrais nous communiquer.
  20. Peu d'études suivies pour répondre à tes questions. En voici deux : celui de Padian pour l'amérique (je peux te fournir l'étude détaillée) et celle de Gray pour l'afrique (uganda) Concernant l'étude de Padian de 1997 (et aussi la première étude sur le sujet datant de 1985 et qui aurait "prouvé" que la séropositivité est [hétéro]sexuellement transmissible), je me permets de reproduire le commentaire suivant du groupe de Perth, parce qu'il a été traduit en français. Je l'ai trouvé dans le commentaire 7 de cet article. On en conclut entre autres : - que l'étude de départ de 1985 qui aurait prouvé la transmission (hétéro)sexuelle de la séropositivité a été faussée, et - qu'on peut même considérer que le taux de transmission (hétérosexuelle) est en fait égal à 0% (!) quand on se réfère à l'étude de Padian, soit encore moins que le bruit de fond (comme le dit si bien Cheminot). Et touche personnelle de ma part : un (pseudo) virus qui n'est pas hétérosexuellement transmissible ne saurait bien entendu pas l'être homosexuellement ..... à moins de croire à des fadaises ou autres niaiseries du genre "Punition de dieu", etc...
  21. Je reconnais que maintenant, je ne crois plus à mon raisonnement, entre autres après avoir lu hier cet article-ci. C'était bien trop "beau" pour être vrai. Bref, Rosalie, qui était la première à réagir, avait vraisemblablement raison. Ceci étant, j'ai trouvé de très bonnes raisons de me consoler. 1) Il est maintenant clair que ce chiffre de "diminution des risques" de 80% (et d'ailleurs quel que soit ce chiffre) n'a strictement rien de scientifique et ne repose sur rien. D'ailleurs, comment pourrait-il en être autrement ? En effet, par quelle méthode scientifique pourrait-on prouver que le traitement "post-exposition" a été efficace alors que par définition, on ne sait si la personne a été contaminée ou non ? Bref, dire que les traitements post-expositions sont efficaces dans 80% ou 0% des cas, c'est la même chose. Mais la propagande incite bien sûr à proposer plutôt un chiffre de 80%. 2) Encore et toujours, la bien virtuelle efficacité de ces traitements se fonde uniquement sur l'obtention d'un test négatif aux tests HIV. Toujours la même obsession de l'orthodoxie du sida. Exactement comme l'administration des drogues antivirales aux femmes enceintes pour prévenir la supposée transmission verticale du "virus" aux nouveau-nés, la circonstance que l'enfant naît ou devienne plus rapidement séronégatif aux tests que les autres étant la "preuve" que le traitement a été efficace. C'est perdre de vue que plusieurs études ont clairement démontré que ces mêmes bébés séronégatifs ont une plus forte probabilité de développer des maladies graves ou une sévère immunosuppression que les bébés répondant positivement aux tests HIV. Il serait à cet égard très intéressant de connaître le futur parcours médical de ces personnes ayant subi ces traitements post-exposition. Evidemment, il n'en sera rien. 3) Enfin, cela m'a permis de me rendre compte que j'ai lu de nombreux articles de la dissidence, mais AUCUN ne s'est penché sur les travers des traitements post-exposition. Il est vrai qu'il y a déjà plus qu'assez à boire et à manger avec les autres travers de l'orthodoxie du sida, mais peut-être que les scientifiques dissidents devraient aussi s'y pencher pour mettre au jour d'autres incohérences de l'orthodoxie du sida. Question à creuser sans doute.
  22. Je rends à César ce qui appartient à César ! En faisant tout à l'heure une recherche sur yahoo avec les mots "kaposi" et "anaérobie", j'ai été surpris de trouver un lien renvoyant à plusieurs posts de ce topic-ci, étant des posts d'Aixur, à la page 4 de ce topic, datant de fin décembre 2002 et début 2003. Il évoquait déjà à l'époque et très largement ce que je disais dans mes derniers posts. J'ai toutes les raisons de penser que "mes anciennes lectures" auquelles j'ai inconsciemment fait référence ..... sont celles d'Aixur, et dont j'avais retenu quelques idées essentielles ! Il avait donc déjà répondu deux ans à l'avance à la question de diamant bleue qui datait de novembre 2004. Mais compte tenu de la longueur de ce topic, cette explication d'Aixur a été perdue de vue, visiblement. Mais une "piqûre de rappel" n'est jamais inutile de toute façon. Bref, je ne peux qu'approuver ce qu'il disait déjà à l'époque, d'autant plus qu'entre-temps, j'ai trouvé deux articles qui le confirment. Ainsi, celui-ci (SIDA, ses causes et son traitement), dans lequel les auteurs précisent ce qui se passe si le stress oxydatif perdure de façon prolongé : Quoique je n'ai pas compris les trois/quarts de cet article, je suis quand même frappé par le mot "anaérobie", soit l'absence d'oxygène. Les auteurs font donc clairement comprendre qu'en raison du stress oxydatif, un phénomène d'anaérobie se produit et les infections opportunistes apparaissent et se développent. Je me permettrai toutefois de préciser : "les infections opportunistes exotiques ", soit celles survenant en raison de ce défaut d'oxygénation dans l'organisme. Et finalement, je ne crois pas que c'est aller trop loin en disant simplement "infections exotiques" en omettant le mot "opportuniste" car elles peuvent se produire même quand le système immunitaire fonctionne bien (ce qui est finalement le cas des sidéens). Ce phénomène d'anaérobie à la suite de stress oxydatif est également expliqué à plusieurs endroits de cet article. En résumé, à l'examen de ces différents faits, je ne peux qu'abonder dans le sens d'Aixur et penser que le sida n'a finalement, au départ du moins, strictement rien à voir avec un phénomène d'immunodéficience, mais bien un phénomène de carence en oxygène causé par le stress oxydatif. Et j'ajouterai que les infections opportunistes "traditionnelles" que l'on peut toutefois également constater chez les sidéens sont vraisemblablement davantage le résultat de leurs traitements (entre autres). Il est d'ailleurs piquant de constater (je l'ai lu récemment) que la plupart des gay ayant souffert du sida au début de l'"épidémie" du sida prenaient régulièrement du bactrim ..... A TITRE PREVENTIF (!) pour tenter de prévenir différentes infections qu'ils pourraient contracter en raison de leur style de vie. Cela me semble très important de le signaler car on insiste très souvent sur la circonstance que les premiers traitements administrés aux gay sidéens étaient le bactrim. Or nombre d'entre eux en prenaient déjà régulièrement AVANT de souffrir du sida (et je ne crois pas qu'on a beaucoup insisté sur ce point en revanche). Voilà qui pourrait expliquer la présence de bon nombre d'infections opportunistes "traditionnelles" découverts aussi chez les sidéens au début de l'épidémie.
  23. Oui , mais ....ces maladies dites opportunistes existaient avant ....elles existaient avant l'invention des drogues récréatives , et avant l'invention des drogues chimiques , produites dans les éprouvettes et les cornues . Alors qu'est ce qui pouvait faire qu'elles apparaissaient deci delà , et parfois de façon épidémique. J'avoue que je ne sais pas trop à quoi tu veux en venir, en particulier quand tu utilises l'expression "maladies opportunistes". Cela va toutefois me permettre de peut-être mieux affiner "ma" théorie (ainsi, j'ai entre-temps effectué des recherches sur google au sujet de la pneumocystose, et cela a, semble-t-il, confirmé mes dires; j'y reviendrai ci-dessous). Ce que je disais dans les posts qui précèdent est que les maladies "exotiques" du sida, qualifiées de maladies opportunistes par l'orthodoxie du sida (et aussi la dissidence, après tout), ne sont sans doute justement pas des maladies opportunistes car elles peuvent survenir même chez les personnes dont le système immunitaire fonctionne bien. Ces maladies "exotiques" ont pour point commun (contrairement à nombre de maladies réellement opportunistes) de survenir chez une personne en manque d'oxygène, par exemple, me semble-t-il parce que le sang ne peut plus transporter l'oxygène (ce qui peut être causé par le stress oxydatif lorsque ce dernier résulte d'une hyperstimulation des cellules immunitaires productrices de monoxyde d'azote, laquelle hyperstimulation peut être causée par le poppers [à base de nitrite d'amyle], absorption de trop de protéines étrangères [par exemple : pénétration anale non protégée], abus d'antibiotiques à base de monoxyde d'azote ou de nitrosamine [je crois], la toxicomanie en général, etc... etc...). Ces maladies exotiques peuvent survenir même quand le système immunitaire fonctionne très bien (a fortiori, ils peuvent bien entendu survenir aussi quand le système immunitaire ne fonctionne plus, bien sûr). Or que se passe-t-il chez un sidéen ? Il se défend généralement très bien contre les infections réellement opportunistes (j'entends par là qu'il résiste généralement très bien contre la plupart des maladies bactériennes et virales, ce qu'a souligné justement en son temps diamant bleue). Ce qui sous-entend en fait que son système immunitaire n'est pas si affaibli que cela. Et peut-même pas du tout lorsqu'on constate que le sidéen succombe presque toujours à ces fameuses maladies "exotiques", lesquelles ont justement la particularité de pouvoir survenir même en présence d'un système immunitaire pas forcément affaibli. Il "suffit" qu'il y ait un (grave) défaut d'oxygénation dans l'organisme (pouvant, je crois, être causé par un stress oxydatif résultant d'une hyperstimulation des cellules productrices de monoxyte d'azote) pour que ces maladies "exotiques" soient susceptibles de survenir, même si le système immunitaire fonctionne très bien. Sur base de ce qui précède, je me demande maintenant si les scientifiques n'ont pas fait une erreur d'interprétation (parmi bien d'autres, bien entendu) au début de l'épidémie du sida. Qu'ont-ils constaté ? Ils voient arriver chez eux de jeunes gay (ce n'est pas pour rien qu'on appelé au départ ce syndrome comme étant "le cancer gay") souffrant d'une maladie alors très rare, le PCP (pneumocystose pulmonaire). A cette même époque, on commençait seulement à être capable de mesurer les T4. Ils constatent que les gay (et toxicomanes) souffrant du sida ont un taux de T4 très bas. Ils en déduisent que leur système immunitaire est affaibli (pour l'orthodoxie, en raison de ce - si introuvable - HIV) et que c'est pour cela, qu'ils développent des infections opportunistes. Mais à réfléchir, cette explication ne tient pas, me semble-t-il. En effet, si le système immunitaire est affaibli, les séropos devraient souffrir de n'importe quelle maladie opportuniste. Or ce n'est pas le cas. Ils ne souffrent et meurent que de maladies "exotiques", qui ont été mis sur le compte de l'affaiblissement immunitaire préalable. Mais alors, pourquoi uniquement ces maladies exotiques ? A ma connaissance, l'orthodoxie du sida est strictement incapable de l'expliquer. Ils peuvent certes expliquer par exemple comment le sarcome de Kaposi peut survenir de je ne sais quelle variante du virus de l'herpès (explication - peu convaincante - qui fut donnée dans les pages 30 et suivants de ce topic), mais ils sont strictement INCAPABLES d'expliquer pourquoi seules ces maladies "exotiques" surviennent. C'est bien l'une des innombrables incohérences de la théorie orthodoxe du sida. Supposons que nous examinions le début de l'épidémie du sida autrement (mais cela reste toujours valable aujourd'hui, sauf que l'administration du bactrim, de l'AZT et autres drogues antivirales ont permis de réellement affaiblir le système immunitaire car étant immunotoxiques, ce qui fausse complètement la situation; pour y voir plus clair, il faut donc revenir au début de l'épidémie, c'est-à-dire avant qu'on administre tous ces traitements). A savoir que l'on considère qu'en raison du mode de vie des gay et toxicomanes de l'époque et qui induit le stress oxydatif expliqué ci-dessus, ceux-ci sont en manque d'oxygène dans leur organisme. C'est alors que se manifestent justement ces fameuses maladies exotiques (et qui s'expliquent justement par cette carence en oxygène), alors même que leur système immunitaire est en assez bon état puisqu'ils résistent aux infections opportunistes. Ce n'est qu'ENSUITE que leurs T4 diminuent. Donc, dans ma proposition, l'affaiblissement immunitaire n'est pas préalable aux maladies exotiques (qualifiées peut-être par erreur de maladies opportunistes), car alors cela n'explique pas pourquoi le sidéen ne meurt que de quelques maladies erronément appelées "opportunistes", c'est-à-dire des maladies exotiques. Au contraire, dans ma proposition, survient d'abord les maladies exotiques (qui s'expliquent par une carence en oxygène dans l'organisme suite aux habitudes de vie des sidéens de l'époque), et PUIS SEULEMENT la chute des 3% de T4 mesurables dans le sang (mais pas forcément des 97% des T4 dans les tissus), chute dont on sait maintenant très bien qu'elle peut être causée par les maladies en général (mais ici, il s'agit des maladies exotiques; et nul besoin de faire intervenir un rétrovirus dans l'affaire), mais à laquelle a certainement beaucoup contribué le bactrim (administré comme premier traitement) et bien sûr le stress oxydatif lui-même (en d'autres termes, le stress oxydatif tel que défini ci-dessus aurait deux effets majeurs : faciliter d'une part la survenance de ces fameuses maladies exotiques en empêchant le sang de transporter l'oxygène, peu importe l'état immunitaire de la personne, et bien sûr détruire les T4 mesurables dans le sang, mais sans que cette chute des T4 du sang soit réellement le signe d'une immunodéficience puisque les sidéens résistent justement aux infections opportunistes). Bref, il y a peut-être eu une monumentale erreur d'interprétation au départ (qui subsiste toujours à ce jour d'ailleurs !) : l'affaiblissement immunitaire n'est pas préalable à la survenance des maladies exotiques typiques du sida, mais bien postérieur ou au pire concomitant à la survenance des maladies exotiques. La circonstance que l'affaiblissement immunitaire du sidéen n'est justement pas préalable à la survenance des maladies (exotiques) dont souffre généralement le sidéen permet justement d'expliquer pourquoi le sidéen ne souffre que de ces maladies exotiques. C'est du moins ce que je commence très sérieusement à penser. Et pour m'en convaincre encore davantage, je prends l'exemple du PCP, qui est LA MALADIE CARACTERISTIQUE ET EMBLEMATIQUE du sida (les deux/tiers des cas de sida aux USA, semble-t-il). D'après ce que j'ai pu trouver sur le net, le PCP est causé justement par un mycète (sorte de champignon). Or les mycètes ne peuvent se développer justement que dans un organisme raréfié en oxygène. Et ce manque en oxygène peut justement résulter du stress oxydatif tel que défini ci-dessus. Bref, les sidéens ont d'abord souffert de cette maladie exotique (mais pas forcément opportuniste puisque pouvant survenir même quand le système immunitaire est en bon état, ce que paraît attester la résistance des sidéens aux maladies opportunistes "traditionnelles"), et puis seulement ou au mieux en même temps, les T4 mesurables dans le sang ont commencé à diminuer sous l'effet de ces maladies exotiques (et des traitements administrés au début, et du stress oxydatif lui-même bien sûr), mais sans que cette chute des T4 signifie pour autant une réelle baisse de l'immunité du sidéen puisque justement, il résiste aux infections opportunistes. En revanche, ils meurent des maladies exotiques qui se manifestent même sans affaiblissement de l'immunité. Voilà ce qui me fait dire (et ce grâce à la question posé par diamant bleue il y a plus d'un an) que le sida n'a peut-être finalement pas grand chose à voir avec un affaiblissement immunitaire. Car si c'était le cas, le sidéen devrait mourir de n'importe quelle infection opportuniste. Pour en finir, je sais très bien que ces maladies exotiques existaient déjà avant l'apparition du "sida". Mais elles étaient rares. L'orthodoxie du sida en tire argument pour dire que l'épidémie qui a suivi à partir de 1981 ne peut s'expliquer que par un (rétro)virus. Mais c'est perdre complètement de vue l'épidémiologie. Par exemple, aux USA, jusqu'en 1987 (soit jusqu'à l'apparition de l'AZT qui a permis de fausser toutes les interprétations épidémiologiques), 95% (les 5 autres % étant donc des femmes, pour la plupart toxicomanes) des cas de sida concernaient des hommes, dont 2/3 étaient gay consommateurs de poppers et autres drogues récréationnelles et 1/3 des hétéros toxicomanes (il y a sans doute quelques cas qui ne s'y retrouvent pas, mais c'est statistiquement pas significatifs et en cherchant bien, on trouverait sans problèmes d'autres explications sans rapport avec quelque virus que ce soit; notons que ces faits épidémiologiques sont parfaitement incompatibles avec un virus : l'orthodoxie du sida explique que cela est quand même dû à un virus car les premières années, le virus se cantonnait chez les gays, et puis, "à cause" des bisexuels, le virus s'est propagé des gays vers la population hétérosexuelle; mais à supposer que cette version ait un semblant de vraisemblance, comment alors expliquer que le virus préférait se transmettre sexuellement à des femmes toxicomanes en priorité ? A ma connaissance, un virus ne fait pas de telles discriminations ! ). Or les gays n'ont commencé à faire un énorme usage du poppers et des autres drogues récréationnelles qu'à partir de la fin des années 70. Quant aux toxicomanes, ils souffraient surtout de tuberculose et de multitudes formes de pneumonies assez traditionnelles (et non exceptionnelles), lesquelles maladies étaient courantes depuis des décennies chez les toxicomanes (mais de plus en plus courantes à partir de la fin des années 60 et de la libération sexuelle qui a suivi), et ont abusivement été regroupées sous le vocable "sida" alors que ces tuberculoses et ces pneumonies n'avaient pas grand chose d'exceptionnel chez les toxicomanes. . Tu y tiens à ton mercure ! lol Il est clair que tu t'y connais en mercure ! Je suppose que maintenant tu l'auras compris, je n'ai jamais essayé de prétendre ni même pensé que le sida serait causé par je ne sais quoi lié au mercure. Je me suis juste inspiré des (brillantes) considérations développées (entre autres par toi et Aixur) sur un autre topic pour me dire que le syndrome du sida a été (et est) peut-être mal interprété depuis le départ. Voilà. PS : Durant les prochains jours, je n'aurai plus guère le temps de poster des messages sur ce site.
  24. Il n'y a absolument aucun rapport. Je voulais simplement tenter de démontrer que tout comme pour la syphilis en son temps, on a attribué au concept du "SIDA" des maladies qui ne lui sont peut-être pas directement spécifiques mais qui pourraient être la conséquence des traitements (en parallèle avec le mercure et l'arsenic à l'égard de la syphilis) qui sont données aux séropos ou la conséquence d'un affaiblissement immunitaire induit au départ par ces maladies "exotiques", et auquel s'ajoute les effets des différents traitements (bactrim, AZT, ...) et le stress oxydatif lui-même. Comme il semble résulter d'anciennes lectures dissidentes (et de mémoire), ces maladies "exotiques" caractéristiques du sida n'ont en soi pas grand chose à voir avec un affaiblissement immunitaire préalable car ils peuvent surgir même en présence d'un système immunitaire en bon état de fonctionnement, et seraient causées par des "germes" pouvant se développer dans des corps en manque d'oxygène ou, de manière générale, surviendraient (quelle soit le germe ou la cause responsable) en raison du manque d'oxygène dans l'organisme, ce manque de circulation d'oxygène dans le sang étant causé par le stress oxydatif (lui-même induit par les drogues récréationnelles consommées par les gays et la toxicomanie ... des toxicomanes, soit à peu près tous les cas de sida de 1981 à 1984, et même jusqu'en 1987, c'est-à-dire jusqu'à l'administration de l'AZT [j'ai d'ailleurs lu qu'aux USA, les cas de sida jusqu'en 1987 concernaient à 95% des hommes, dont 2/3 étaient gay et 1/3 était toxicomane; l'AZT a ensuite permis de donner réellement naissance au sida hétérosexuel non toxicomane]). En fin de compte, je commence à me demander si la diminution des T4 dans le seul sang (pas dans les tissus où se trouvent les 97 autres % de T4), qui peut avoir de multiples causes (maladies, stress oxydatif), dans la mesure où cette diminution serait causée par le stress oxydatif, ne signifierait pas forcément un affaiblissement immunitaire (ce que semble démontrer les séropos vivant très bien depuis nombre d'années avec un nombre de T4 mesurables ridiculement bas), mais empêcherait en revanche (par des mécanismes qui dépassent de loin mes connaissances sur le sujet) le sang de transporter efficacement l'oxygène (or les T4 détruits sont justement ceux circulant dans le sang), et faciliterait ainsi l'apparition de ces fameuses maladies "exotiques", quoique pour le surplus le système immunitaire du sidéen se porte en réalité très bien puisqu'il se défend généralement très bien contre les réelles infections opportunistes. Et en ce sens, le SIDA n'aurait finalement plus grand chose à voir avec une immuno-déficience acquise (mais l'affaiblissement immunitaire causé ENSUITE par ces maladies exotiques et les différents traitements administrés + le stress oxydatif lui-même ont donné - peut-être à tort - l'impression à l'orthodoxie du sida que ce syndrome était dû à un affaiblissement immunitaire; or, si cela était le cas, cela ne permettrait pas d'expliquer justement pourquoi les sidéens meurent principalement desdites maladies "exotiques", et non des infections opportunistes traditionnelles; en revanche, le stress oxydatif pourrait très bien l'expliquer, me semble-t-il).
  25. Je ne suis pour le moment qu'à la page 86 de ce topic, mais il me semble que l'on a demandé et obtenu des réponses de l'orthodoxie du sida (aux environs des pages 30 et suivants, me semble-t-il, entre autres pour ce qui concerne le sarcome de Kaposi). Et si je me rappelle bien, les réponses données étaient très alambiquées et bien peu convaincantes. Je me rappelle même très bien de la réponse de Cheminot à ces explications de l'orthodoxie du sida : "Quelle naïveté !".
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