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Messages posté(e)s par wallypat

  1. (pierrot @ Lundi 06 Mars 2006, 11:45)

    depuis là, pas de maladie nécessitant d'aller voir un médecin ou même de prendre quoi que ce soit.

    Bref, Pierrot, tu es devenu une force de la nature ! lol

    Imagine maintenant que tu n'aies jamais fait de ta vie ce fichu test HIV et que tu considères comme une évidence et à juste titre que le sida n'est pas causé par un virus et que les tests HIV ne détectent JAMAIS un quelconque virus dénommé HIV, aurais-tu pensé un seul instant à faire mesurer maintenant tes T4 ..... et à t'inquiéter du résultat ?

    Non, bien sûr. Pour ma part, tu dois te considérer comme séronégatif (d'ailleurs, la recherche de la protéine P24, pourtant considérée comme soi-disant la plus spécifique du VIH, est négative chez toi) et comme n'importe quel séronégatif, tu n'as plus à faire mesurer tes T4.

    Mais j'admets que je ne suis pas à ta place.

    Une des explications que je donne à la baisse apparente (car presque tous tes T4 sont maintenant dans les tissus, c'est-à-dire là où se réalise l'essentiel du travail immunitaire) est la suivante, à savoir que tu as adopté une vie tellement "saine" que celle de la plupart des gens que ton organisme n'a pour le moment pas vraiment besoin de plus de T4 dans le sang.

    Au cours de ces dix dernières années, n'aurais-tu justement pas modifié encore davantage ton style de vie de façon à éviter encore plus que tout séroneg (qui souffre également de stress oxydatif comme n'importe qui; c'est en fait un phénomène naturel, mais quand cela dépasse un certain seuil variant en fonction des individus, cela devient très dangereux) n'importe quelle source de stress oxydatif ?

    Je constate par exemple qu'au cours des dix dernières années, tu n'as plus jamais pris d'antibiotiques. Cela pourrait expliquer bien des choses.

    Sache enfin que si des milliers d'études ont été faites sur les T4 chez les séropos, à peine quelques-unes ont été faites chez les séronegs. Mais la conlusion est impitoyable : même chez les séronégatifs, la baisse des T4 peut être très prononcée ..... sans que cela provoque quelque maladie que ce soit ! Et ce fait est complètement ignoré par l'orthodoxie du sida, obsédée qu'elle est sur les T4 (et à juste titre, mais uniquement si le séropo souffre encore d'un stress oxydatif prononcé, ce qui n'est manifestement pas ton cas) !

    Mais tu verras sans doute encore plus clair dans mon futur long post sur ce sujet.

    NB : Je te suggère vivement de passer un test HIV anonyme, en précisant que es hétéro et fidèle depuis toujours (et peut-être est-ce vrai, je n'en sais rien et cela ne me regarde pas de toute façon), mais que tu as commis récemment une anicroche. Je crois que tu sera réellement surpris du résultat ! Mais je t'en prie, sois détendu lors du test, sinon cela pourrait fausser le résultat !

  2. GUERIR DU SIDA GRÂCE A UN CHEWING-GUM?!

    Aussi bien l'orthodoxie que la dissidence du sida sont d'accord (et c'est bien l'un de leurs rarissimes points communs d'accord !; donc, on ne peut certainement pas douter de cette affirmation) sur le fait que tous les sidéens et la quasi totalité des séropos ont pour caractéristique de souffrir d'un déficit en glutathion et en sélénium. Ce déficit (en particulier, celui en glutathion), provoqué justement par le stress oxydatif, va tôt ou tard amener au sida déclaré.

    Par conséquent, la dissidence du sida (mais également l'orthodoxie du sida personnifiée en la ligne du Professeur Montagnier, mais uniquement à titre de remèdes aux "cofacteurs") recommande - entre autres - que les séropos prennent des compléments alimentaires, tels que justement du sélénium (avec par exemple les vitamines A, C et E qui permettront, entre autres également, de mieux faire circuler le sélénium et d'en accroître l'efficacité [dans toutes les bonnes pharmacie, on peut trouver des compléments déjà tout prêts "sélénium-ACE") pour prévenir les risques d'un sida déclaré (pour rappel, le meilleur moyen d'éviter le sida ..... est bien sûr de supprimer les sources de stress oxydatif !).

    Quant au glutathion, le problème est beaucoup plus compliqué car il a été constaté que la prise de glutathion par voie orale n'est pas vraiment efficace car pas très absorbable par cette voie-là. La meilleur façon serait de s'injecter directement dans le sang du glutathion. Mais comme ce n'est pas un procédé bien commode, il est recommandé de prendre à titre de compléments alimentaires de la "N-acétyl cystéine"(le lecteur intéressé peut en commander par exemple sur ce site-ci) conjointement avec de la vitamine C (qui est par ailleurs un très bon antioxydant), la conjonction de ces deux compléments devant favoriser la formation de glutathion chez le séropo.

    Quelle n'a pas été ma surprise lorsque ce soir, j'ai lu entre autres ceci (le lecteur intéressé trouvera l'intégralité des explications en cliquant ici) :

    Cest donc un supplément particulièrement important et innovant (et une première mondiale !) que Smart City® met à votre disposition ce mois-ci puisque pour la première fois, il devient possible de rétablir à son niveau optimal le constituant central du système de défense antioxydant de lorganisme, dune manière sûre et pour un coût abordable !

    Chaque chewing-gum (sans sucre) contient 100 mg de glutathion réduit (GSH) de qualité pharmaceutique.

    D'où le titre de mon post : "Guérir du sida grâce à un chewing-gum ?!" (pour être honnête, ce titre est empreint d'emphase, et on devrait plutôt dire que le chewing-gum en question amoindrirait le risque d'un sida déclaré).

    Et je pose dès lors la question suivante aux scientifiques de ce forum : Est-il réellement possible d'absorber efficacement du glutathion dans son organisme grâce à un chewing-gum de glutathion ? Est-ce de l'info ou de l'intox ?

    Merci pour les réponses.

    NB : Je réfute d'ores et déjà et à l'avance les quelques personnes de ce forum qui ne pourront s'empêcher d'affirmer à nouveau que la prise de tels compléments alimentaires est dangereux pour l'organisme humain et doit être proscrit. Avant de réaffirmer à nouveau cela, je les invite d'abord à examiner par exemple le tableau figurant aux pages 11 et 12 de ce document-ci et où le lecteur constatera qu'il faut réellement des doses "astronomiques" de ces compléments alimentaires avant qu'ils causent de graves dommages à l'organisme, tels que des cancers (ce dont je ne doute pas pour le surplus). Je n'ai plus guère envie de lire des considérations comme quoi des absorptions quotidiennes de 500mg de vitamines C provoquent le cancer. A moins bien sûr qu'on me communique les études scientifiques qui démentiraient ce qui est précisé dans le tableau susvanté. Et quand bien même les données figurant dans ce tableau seraient mensongères (ce dont je doute), je crois qu'il vaut encore mieux qu'un séropo prenne de tels compléments alimentaires, à défaut bien sûr de supprimer à tout le moins les sources de stress oxydatif, plutôt que d'adopter la politique de l'autruche et d'évoluer vers un sida déclaré, dont le risque très élevé de survenance est, lui, sans comparaison possible avec les risques éventuels et hypothétiques liés à une prise quotidienne et pas trop élevée de compléments alimentaires.

  3. (Terry @ Dimanche 05 Mars 2006, 11:59)

    greeeuu, wallypat a écrit :

    ceci étant, si ta peur de la chute (apparente) de tes T4 continue, alors, là, les choses peuvent effectivement devenir graves, car un tel stress (psychologique donc ici, pas oxydatif), s'il se poursuit de façon durable, risque effectivement de t'amener - par d'autres mécanismes physiologiques (le fameux effet nocebo) - à vivre un sida déclaré ou même d'autres infections (et l'orthodoxie du sida en profitera pour te dire : "Vous voyez bien, Monsieur. C'est le virus !").

    t'as pas l impression d avoir ecris quelque chose de grave ? on dirait bien des menaces genre vih : si ton stress continues patati patata..tu auras à vivre un sida déclaré !! lol !!..

    Non, ce n'est pas une menace (je ne souhaite que le bien de Pierrot, et de tous les séropos du monde, à l'exception de ceux qui m'empêchent de mieux faire connaître encore la dissidence du sida et qui sont complètement étroits d'esprit [en pratique, les associations de défense du sida, ce sont les pires : Act Up et consorts]) mais c'est bien en revanche quelque chose de grave ou la cruelle réalité.

    C'est ce qu'on appelle l'effet nocebo. Je l'ai déjà souligné à plusieurs reprises dans des posts antérieurs. Les mécanismes chimiques induits par la peur et le stress psychologique répété peuvent amener dans un délai variable au sida déclaré, sans que cela ait un rapport direct avec le stress oxydatif. Je t'invite par exemple à lire la totalité de cet article-ci.

    Et c'est bien ce que je compte bien essayer de mieux faire comprendre dans mon futur post sur le sujet.

    Si j'estime qu'il est extrêmement dangereux qu'une personne fasse contrôler ses T4 en raison de l'effet nocebo qu'il provoque et, partant, du risque de sida déclaré et de n'importe quelle autre infection opportuniste que cet effet nocebo peut produire à plus ou moins moyen ou long terme, contrairement à toi (du moins, si j'ai bien compris les posts antérieurs que tu as écrits sur ce sujet), je fais une notable et très importante exception sur le sujet, à savoir si le séropo a des raisons de penser qu'il souffre encore d'un stress oxydatif (que seul son état clinique, et non les tests de mesure des T4, pourra révéler).

    En pratique, cela signifie que presque tous les séropos du monde (du moins ceux des nations "occidentalisées"car en Afrique par exemple, le problème du sida est tout à fait différent et revêt dans la majorité des cas d'autres causes sans rapport avec les causes du sida en Occident) doivent continuer à faire contrôler leurs T4. Et il est à mon sens complètement irresponsable et dangereux d'affirmer le contraire, comme tu sembles le suggérer dans tes posts antérieurs (du moins, si j'ai bien compris).

    Pourquoi dis-je cela ? Tout simplement, parce que le monde entier est encore persuadé que le sida est causé par un virus. Par conséquent, la majorité des séropos ne font généralement pas grand chose, faute d'en être informés, pour supprimer les causes du stress oxydatif dont ils souffrent (mais à la lecture des posts de Pierrot, il n'est manifestement pas dans ce cas-là) et qui causera effectivement et tôt ou tard un sida déclaré.

    La seule façon d'y remédier est de faire triompher la dissidence du sida, et je ne cesse de m'y employer, du moins à ma bien trop petite échelle.

  4. (pierrot @ Jeudi 02 Mars 2006, 21:32)

    je suis revenu parler passque ça me turlupine...

    Pierrot,

    A la fin de mon dernier post dans ce topic-ci, je disais que je publierais un tout prochain soir un long post démontrant qu'il ne faut en principe pas accorder d'importance à la chute (tantôt apparente, tantôt réelle) des T4. Mais faute de temps et parce que je me consacre pour le moment à l'élaboration d'un autre (très) long post, c'est remis à dans quelques semaines.

    Ce que je tâcherai d'y démontrer, c'est que la chute des T4 n'est réellement véritable (c'est-à-dire que "certains" T4 sont réellement détruits) et ne présente un caractère réellement dramatique que dans la mesure où la chute (réelle) des T4 est le résultat d'un fort et durable stress oxydatif (qui, lui, est la cause du sida).

    A mon avis, il est en effet plus que temps que l'on comprenne que la chute des T4 n'est réelle que quand on souffre de stress oxydatif et n'est généralement qu'apparente (car les T4 se réfugient alors dans les tissus, c'est-à-dire là où s'effectue réellement le travail du système immunitaire) dans la plupart des cas autres que celui du stress oxydatif. L'un de ces autres cas, est entre autres le stress psyclologique répété (dont tu es clairement victime, et cela est compréhensible).

    Dans l'espoir que tu puisse attendre quelques semaines avant de prendre - éventuellement - la décision extrêmement grave de recourir aux drogues dites "antivirales" alors que pourtant, tu pètes la forme depuis de nombreuses années, je reproduis déjà un passage que j'ai trouvé dans cet article-ci : L'INTERVIEW DE STEFAN LANKA

    Afin d'expliquer l'échec à découvrir un rétrovirus causant directement le cancer, ils ont prétendu pouvoir mesurer le système immunitaire. Mais c'est ridicule. Dans le journal de l'association médicale américaine du 28 août 1981, il a été publié que ça n'a pas de sens de mesurer des lymphocytes dans le sang parce que seule une petite partie d'entre eux se trouvent dans le sang. Le système immunitaire est réalisé, non pas dans le sang, mais dans les tissus. C'est seulement rarement et accidentellement que nous voyons certains d'entre eux dans le sang. Nous avons déjà effectué des milliers d'études qui n'ont prouvé aucune corrélation entre la maladie ou la santé, chez les vieux ou les jeunes, et les cellules T ; et encore moins, naturellement, dans les sous-ensembles de cellules T.

    Mais, même s'ils savaient que ces tests de cellule T n'avaient aucune signification, ils les vendaient au marché. En commençant en 1977 par les Etats-Unis, il était possible de faire breveter des entités biologiques ou des techniques biologiques, ainsi des gens ont commencé à faire de l'argent à partir d'idées biologiques.

    C'est le moment définitif ou la médecine moderne et la biologie moderne ont perdu leur 'Unschuld', leur innocence. C'est ça. La théorie de la surveillance immunitaire du cancer - la croyance que si vous mesurez la force du système immunitaire, alors vous serez en mesure de déterminer à quel moment vous développerez le cancer - était la base du SIDA, de l'idée du SIDA. Ils ont dit que si vos fonctions immunitaires sont faibles, vous développerez toutes les formes virales d'infections opportunistes et toutes les formes de cancer. Et ceci ne s'est jamais produit, en fait. Dans le SIDA nous n'avons jamais vu des infections opportunistes. Nous n'avons jamais vu toutes les formes virales de cancer; seulement une forme de cancer, le KS [le sarcome de Kaposi].

    Et ce que j'essaie maintenant de faire, c'est de confirmer ce que dit justement Lanka. Or, à ce que j'ai pu lire dans d'autres articles (dont je reproduirai certains passages dans ce futur post), c'est effectivement le cas, SAUF si tu souffres d'un fort stress oxydatif. Or, les tests de mesure des T4 (mais bien les tests HIV, mais ils sont bien sûr très imprécis puisqu'ils n'ont pas cette prétention-là) ne peuvent te dire si tu souffres d'un stress oxydatif. C'est ton état "clinique" qui te l'indiquera ou non. Or ce n'est justement pas ton cas ! Cela me semble clair à la lecture de ce que tu as déjà écrit.

    Ceci étant, si ta peur de la chute (apparente) de tes T4 continue, alors, là, les choses peuvent effectivement devenir graves, car un tel stress (psychologique donc ici, pas oxydatif), s'il se poursuit de façon durable, risque effectivement de t'amener - par d'autres mécanismes physiologiques (le fameux effet nocebo) - à vivre un sida déclaré ou même d'autres infections (et l'orthodoxie du sida en profitera pour te dire : "Vous voyez bien, Monsieur. C'est le virus !").

    C'est bien pour cela que dans des posts antérieurs, je n'hésite pas à affirmer que quand une personne n'a pas de raison de penser qu'elle souffre d'un stress oxydatif de nature à causer le sida, elle ne doit surtout pas s'inquiéter de savoir si ces T4 diminuent ou non (apparemment). Et oserais-je le dire, elle doit même arrêter de fréquenter cette engeance médicale qui ne cesse de marteler le contraire (car justement, l'orthodoxie du sida est persuadée que c'est le pseudo virus qui cause le sida, et non le stress oxydatif).

    Ce soi-disant marqueur de l'état immunitaire est une invention - très lucrative - de la médecine, comme précisé dans le passage reproduit ci-dessus. Il ne présente en fait et en principe de réelle utilité qu'en cas de progression du stress oxydatif.

    Un peu de patience, donc, et j'espère que tu partageras mon raisonnement à l'examen de ce futur post.

  5. dans son article , elle précise que la mortalité chez les séropositifs asymptômatique(comme moi) serait due surtout à une toxicité des antiprotéases au niveau du foie, intéressant et inquiétant.

    Est-ce qu'on a une confirmation de celà?

    Oui, tout à fait. Les drogues dites "antivirales" sont connues pour causer de graves dommages au foie, qui peuvent être mortels.

    Et cela arrive encore plus souvent lorsque le séropo souffre en plus d'une hépatite B et/ou C.

    Tu trouveras les différentes preuves en cliquant ici.

  6. Bonsoir Ecliptux

    Concernant la synthèse, je me permets d'émettre deux suggestions.

    1) J'ai maintenant quasiment terminé la lecture intégrale de l'énorme topic (142 pages donc !) "Le HIV ne causerait pas le sida".

    Avant que je n'arrive sur ce site, j'avais déjà lu plusieurs dizaines d'articles sur le sujet (grâce à sidasante.com), en sorte que j'ai eu la chance de comprendre et d'apprécier dès le départ et à leur juste valeur la plupart des interventions sur ce topic.

    Mais je me mets à la place des nouveaux venus (par exemple ian82 il y a deux ou trois jours) qui n'auraient pas eu cette "chance". La synthèse, c'est bien certes, mais pour un nouveau venu, cela reste quand même un peu nébuleux à mon avis. Et peut-être surtout, un nouveau venu aurait du mal à comprendre malgré tout ce qui cause le sida (soit l'essentiel, finalement !), car on rentre souvent dans les détails.

    Par conséquent, je propose qu'on précise au début de la synthèse, que l'idéal, avant même de lire les posts auxquels la synthèse se réfère, que l'article suivant soit préalablement lu : Réponses aux questions du Président Mbeki.

    En effet, lorsque je me réfère à mon expérience personnelle, ce fut le premier article qui m'a réellement permis de commencer à agencer les différents arguments de la dissidence du sida. A mon sens, il n'est pas long et répond pourtant déjà, et sans rentrer dans les détails comme dans le topic, à la plupart des questions principales qu'un nouveau venu se poserait sur le sida (il suffit d'ailleurs de lire les trois questions de départ auxquelles cet article prétend répondre). Et en outre, il explique très clairement ce qui cause les différents cas de sida.

    Je pense qu'après avoir lu ce premier article, le nouveau venu sera déjà bien armé pour mieux apprécier les différents posts auxquels renvoit la synthèse.

    2) J'ai constaté qu'à la fin de la synthèse, il y a un renvoi intitulé "L'abracadabrante thèse de la maladie imaginaire" (qui émane d'un orthodoxe du sida). Si ce n'est pas trop présomptueux de ma part, au parfait opposé de ce renvoi, je suggérerais de créer un autre renvoi qui s'appellerait "L'abracadabrante thèse de la maladie virale" (qui émane donc d'un dissident du sida) en renvoyant à ce post-ci que j'ai rédigé récemment. Je pense qu'il montre (sans prouver, il est vrai) très bien le caractère abracadabrant de la thèse virale orthodoxe sur un ton tout aussi sarcastique. En quelque sorte, la réponse du berger à la bergère.

    Voilà, ce n'était que deux suggestions.

    Merci.

  7. Je n'ai pas écrit cela. Je me demande simplement pourquoi, alors que le matériel nécessaire est le même et que, selon sa vision des choses, le risque n'était pas plus grand (le VIH n'étant pas dangereux), Willner, en sachant que les scientifiques estiment, eux, que le danger est plus grand par injection, n'a pas procédé comme cela pour leur clouer le bec.

    Mais je te l'ai déjà expliqué ! Mais il est vrai que visiblement, tu ne connais pas grand chose aux arguments scientifiques de la dissidence (attention, je ne prétends pas pour autant connaître l'entièreté de l'argumentation scientifique dissidente, tellement elle est approfondie d'ailleurs), mais je ne te le reproche pas (encore) vu que les dissidents du sida sont - à tort - considérés comme des fous dangereux.

    La dissidence reconnaît elle-même que les injections de sang contaminé constitue un risque extrême de séropositivité (et éventuellement de sida). Le problème, c'est que tu en es encore au stade de la réflexion où tu considères que les tests de séropositivité serviraient à détecter une infection virale. Or il n'en est strictement rien ! Je ne vais pas dans le présent post t'expliquer ce qu'est réellement un test dit "HIV", tout simplement parce que depuis deux semaines, je suis en train de rédiger un très long post devant réfuter deux arguments - décisifs - invoqués il y a quelques mois à l'encontre de la dissidence du sida et auxquels il ne semble n'avoir jamais été réfuté sur ce site (un oubli, certainement; en tout cas, ce sont bien les deux seuls que j'ai pu relever sur ce topic et auxquels il ne semble ne pas avoir été réfuté; je ne dirai pas lesquels, je ménage le suspense lol). En l'occurrence, cette réfutation est entre autres basée sur la critique des tests HIV; mais elle n'est toujours pas prête car en raison de tes posts auxquels je me sens obligé de répondre, je ne trouve plus le temps de rédiger cette réfutation. J'ose espérer que celle-ci sera prête d'ici deux semaines.

    En (très fort) résumé, il n'a jamais été prouvé que les tests HIV détectent une infection virale dénommée "HIV". Ces tests réagissent positivement lorsque certaines protéines (les soi-disant anticorps du VIH) dépassent un certain seuil. L'un des innombrables critiques relatives à la fiabilité des tests HIV est qu'il n'a jamais été prouvé que les protéines sélectionnées proviennent d'un virus isolé appelé HIV, sans même tenir compte du phénomène des réactions croisées qui empêchent d'affirmer que les protéines en question sont bien spécifiques du HIV. Pour d'autres critiques relatives à la fiabilité des tests HIV, je te demandrai de bien vouloir attendre cet autre post que j'essaie "désespérément" de terminer.

    Mais en réalité (et toujours en très gros résumé), une personne devient positive au test HIV par l'effet d'un fort stress oxydatif qui multiplie les protéines (dont nous sommes en réalité tous porteurs, ou presque) jusqu'à atteindre le fameux seuil qui te rendra positif au test.

    Il y a plusieurs causes à ce stress oxydatif, entre autres la toxicomanie (raison pour laquelle le docteur Willner n'aurait pas utilisé la piqûre de toxicomane pour faire sa démonstration) et aussi la réception d'une multitude de protéines étrangères. Raison pour laquelle de nombreux gay "passifs" devient rapidement séropositifs lorsqu'ils ont de multiples contacts sexuels anaux sans préservatifs. Mais cela n'a bien sûr strictement rien à voir avec une contamination avec un virus !

    Alors imagine, si au lieu de réceptionner cette multitude de protéines étrangères lors de pénétrations anales non protégées, il se fait plutôt une injection de sang "contaminé" (c'est-à-dire contenant bien davantage encore de ces protéines étrangères), la personne en question sera encore plus certain de devenir séropositive. Ce mécanisme de transmission de la séropositivité disparaît toutefois si le sang est chauffé préalablement (cela a été démontré dès 1985).Cheminot a déjà expliqué à plusieurs reprises le mécanisme de transmission de séropositivité via le sang, et s'il trouve le temps, il pourra bien mieux le faire que moi encore.

    La dissidence du sida ne conteste pas (que du contraire d'ailleurs) que la transmission de sang (comme une injection de sang justement) contenant des tas de protéines étrangères "immunodépressives" (soit le sang dit "contaminé") est une cause extrême de séropositivité. Le docteur Willner n'allait évidemment pas faire sa démonstration par ce biais-là, cela n'est nullement contesté.

    (wallypat @ Mardi 28 Février 2006, 17:40)

    [...] sans toutefois que ce mécanisme de transmission potentielle de séropositivité implique une quelconque transmission d'un pseudo virus HIV.

    Cette phrase n'est-elle pas contradictoire ? D'après ce dictionnaire en ligne, la définition de séropositif est :

    séropositif, -ive, adj.

    Qui donne une réaction positive à un ou plusieurs tests sérologiques`` (MAN.-MAN. Méd. 1980).

    Quand on tape "seropostif definition" dans Google, la première page renvoyée est ce lexique qui indique :

    Séropositif

    Le résultat d'un test sanguin montrant qu'une personne a été infectée par le virus VIH.

    Si je lis bien, une personne séropositive est une personne chez qui la présence du virus a été objectivée.

    Une "transmission [...] de séropositivité" (je reprends tes termes) implique donc une transmission du virus.

    J'ai déjà répondu ci-dessus. Tu bases ton argumentation en supposant - dogmatiquement - que les tests HIV détectent une infection virale. Il n'en strictement rien ! Evidemment, comme tu te réfères à la littérature orthodoxe du sida, il n'est pas étonnant que tu penses cela.

    Encore en résumé, la séropositivité est essentiellement "iatrogène", c'est-à-dire produite par ton propre organisme, à la suite de facteurs extérieurs (comme l'usage de drogues récréationnelles, source de stress oxydatif qui va multiplier les soi-disant protéines spécifiques du HIV). Les rares fois où la transmission de la séropositivité se transmet d'une personne à une autre, c'est lorsqu'il y a une forte transmission entre ces personnes de ces fameuses protéines. Le cas typique est justement la transmission sanguine. Un autre cas typique, c'est le bébé qui va naître et qui durant sa gestation a reçu les protéines de sa mère "contaminée".

    Ce n'est pas parce que le risque est faible qu'il n'existe pas. Je suis prêt à faire la même expérience que le Dr Willner, mais je prendrais effectivement un traitement immédiatement après parce que l'état de la connaissance scientifique montre que le VIH est la cause du SIDA.

    Donc, ne jouons pas sur les mots, tu admets que l'expérience du docteur Willner a "prouvé" (mais comme je l'ai déjà dit, c'est bien loin d'être la meilleure preuve) que le sida n'est pas causé par le HIV, car sinon, le docteur Willner n'aurait pas pris ce risque, certes faible, mais réel. En outre, à l'époque, les traitements post-exposition n'existaient même pas, ce qui ne faisait qu'augmenter davantage le risque de son geste. En 1993 et 1994, on est en pleine crise psychotique du sida (la "maladie" n'est nullement banalisée comme aujourd'hui) et personne croyant au dogme viral du sida n'aurait fait le geste du docteur Willner à moins d'être suicidaire. Je pense que cela est absolument incontestable et à ce titre, le geste du docteur Willner constitue une preuve anecdotique de l'absence de cause virale au sida.

    Toi qui est convaincu que le VIH n'est pas dangereux (si j'ai bien compris la position des dissidents), serais-tu prêt à te faire une injection de sang contaminé ?

    Bien sûr que non, j'ai déjà expliqué cela plus haut. Une injection de sang "contaminé" constitue une transmission d'une myriade de protéines étrangères source de stress oxydatif et donc de séropositivité (mais comme brièvement expliqué ci-dessus, la séropositivité n'est nullement le signe d'une infection par le HIV, et à ce titre, une personne séropositive n'est en aucune façon promise au sida comme veut nous le faire croire l'orthodoxie du sida). Cela n'est nullement contesté par la dissidence du sida.

    Non. Pour que son test ait une valeur quelconque, il aurait fallu qu'il injecte du sang contaminé à un petit millier de volontaires issus d'une population qui, selon lui, n'était pas "à risque" (des gens convenablement nourris, pas sous AZT, non-drogués, etc), et puis qu'il montre que cette population ne développait pas plus de SIDA que ceux qui n'étaient pas porteur du VIH.

    Comme déjà expliqué ci-dessus et dans mes précédents posts, le docteur Willner et la dissidence du sida ne peuvent faire ce genre d'expérience car cela constitue justement une source de séropositivité. Cela n'est pas contesté. Mais ce qui est entre autres contesté concernant la séropositivité, c'est que celle-ci serait le signe d'une infection virale.

    Dans mon article, je commente à la fois les affirmation de Sunder et celles de l'éditeur de Willner, en 1994. Tu peux donc ajouter à ta liste que cela "n'a jamais fait la une des journaux". Voilà les 4 erreurs majeures que j'ai relevé.

    Je suis de prime abord d'accord avec toi sur ces quatre erreurs; n'empêche, le geste du docteur Willner prouve - certes, d'une façon anecdotique - que le sida n'est pas causé par un virus, le risque, quoique faible, étant réel (selon l'orthodoxie du sida, bien sûr). Et comme expliqué dans mon autre post (tu n'as pas eu le temps d'y répondre, je sais), son geste n'est nullement courageux.

    Pour être tout à fait honnête, je pense que si Willner ne s'est pas injecté de sang, c'est soit par prudence (ce qui n'exclue pas la sincérité... on peut tout à faire être convaincu et prudent parce qu'on laisse une toute petit place au doute), soit par ignorance (parce qu'il pensait qu'inoculation avec une aiguille et injection représentaient la même chose.

    Comme déjà expliqué plusieurs fois ci-dessus, il ne l'a pas fait car une injection de sang "contaminé" est un réel risque de séropositivité. Cela n'est pas contesté. Et cela se savait déjà en raison de l'affaire des hémophiles "contaminés". Mais cette "contamination" n'a strictement rien à voir avec une infection virale.

    l'expérience de Willner ne prouve rien (à part son courage), même si elle est un indice de sincérité (mais en aucun cas une preuve). S'il connaissait la probabilité d'infection et que malgré tout il s'était injecté du sang contaminé, alors sa sincérité serait bien plus sûrement établie.

    Alors encore une fois, si cette expérience ne prouve rien selon toi, donne moi des exemples de médecins orthodoxes du sida prêts à faire ce geste, en partculier sans traitement dit de "post-exposition" ..... puisque ce geste est censé ne rien prouver ? Va au bout de ta logique.

    Je persiste et je signe aussi.

    Amicalement

    PS : Ne t'étonne pas si je ne te réponds pas immédiatement les prochaines fois. Tout comme toi, je suppose, je n'ai pas toujours le temps de donner la suite qui s'impose. Mais je me permets de compter sur d'autres intervenants sur ce site.

  8. (wallypat @ Mardi 28 Février 2006, 18:40)

    Alors, que devait-il faire ?

    Le risque suivant "le plus élevé" consistait à se piquer avec du sang contaminé ; et c’est ce qu’il a fait.

    Quand on examine le tableau publié quelques posts plus haut par Cheminot, on constate bien sûr que la piqûre cutanée (risque de 30/10.000) n'est pas le "risque suivant le plus élevé".

    En fait, il y a encore deux risques plus élevés, mais le lecteur attentif aura compris pourquoi j'ai sciemment dit qu'il s'agissait ici du risque suivant le plus élevé pour le docteur Willner.

    En effet, selon ce tableau de l'orthodoxie du sida, le premier de ces deux autres risques plus élevés (67/10.000) est le partage d'une aiguille ayant servi à s'injecter une drogue quelconque. On comprendra aisément que le docteur Willner ne pouvait pas utiliser ce moyen-là pour prouver que le sida n'est pas causé par le VIH car justement, la toxicomanie constitue un risque élevé de sida ou, plus particulièrement ici, de séropositivité (sans bien sûr que cela ait quelque rapport avec un pseudo virus HIV).

    Quant au deuxième de ces risques plus élevés (50/10.000), soit la pénétration anale "passive", ma foi, je ne vais pas vous faire un dessin ! _biglol.gif

  9. (wallypat @ Mercredi 01 Mars 2006, 02:56)

    que le soi-disant rétrovirus VCPA survient après le début du cancer du poumon

    Petite rectification :

    Je voulais plutôt dire "que le soi-disant rétrovirus VCPA survient (ou plutôt : est susceptible de survenir) après avoir fumé du tabac après plusieurs mois ou années" (par analogie au sida où le pseudo virus HIV est susceptible de survenir après une exposition plus ou moins longue à une source durable de fort stress oxydatif).

  10. (nikoteen @ Dimanche 26 Février 2006, 17:18)

    (*) ... si ce n'est qu'il est diablement courageux. Même avec une probabilité aussi faible que celle-ci, je ne l'aurais pas fait.

    Je poursuis maintenant sur ma lancée pour réfuter la deuxième de tes conclusions, à savoir que le docteur Willner aurait fait preuve d'un courage hors norme en se piquant le doigt à plusieurs reprises avec du sang contaminé.

    Et bien, pour ce qui me concerne, le docteur Willner n'a évidemment pas fait preuve de la moindre once de courage dans cette affaire. Son attitude n'a en réalité été estimée courageuse que parce que la quasi-totalité du monde est convaincue que le sida est causé par le fameux (et pourtant si insaisissable) rétrovirus HIV. A l'aune de la théorie orthodoxe et virale du sida, soit celle qui prévaut actuellement (mais pour combien de temps encore ?), son geste paraît effectivement diablement courageux.

    Mais évidemment, à l'aune de la théorie dissidente et chimique du sida, il n'en est strictement rien et constitue en réalité ... un non-événement !

    Pour un orthodoxe du sida, ce que je viens d'écrire peut paraître absolument incompréhensible.

    C'est pourquoi et afin que tu comprennes, je te propose de remplacer le mot "sida" par "cancer du poumon" et à imaginer le scénario suivant dans le cadre duquel nous serons tous les deux considérés comme les plus grands rétrovirologues au monde (notons qu'il s'en est réellement fallu de peu que le scénario que je vais maintenant te décrire ne relève pas de la science-fiction, mais au contraire, devienne réel !; toute coïncidence ou toute analogie avec une autre maladie existante n'est en aucune façon fortuite !).

    Au début des années 80, une maladie alors rare, étant le cancer du poumon, fait rage chez de jeunes gay américains et européens. En quelques années, le cancer des poumons devient rapidement une véritable épidémie mortelle chez les gay et ils en meurent. Le monde, particulier gay, tombe dans la psychose et l'hystérie collectives, et parle déjà de cancer gay.

    De nombreux scientifiques constatent toutefois que tous les gay en question avaient la particularité de fumer des cigarettes, et que depuis 1976, cela devenait une pratique extrêmement courante (alors qu'auparavant, cela était rarissime) chez les gays des grandes cités, telles que San Francisco. Les scientifiques constatent également que les gay fument le tabac de diverses façons : tantôt des cigarettes, tantôt des cigares, tantôt via une pipe, tantôt ils chiquent le tabac. Des études plus poussées aboutissent visiblement à la conclusion logique (et que l'épidémiologie confirme d'ailleurs) que la consommation de tabac cause le désormais célèbre cancer gay qu'est le cancer du poumon.

    Toutefois, des milliers de rétrovirologues, dépités de ne pas avoir pu découvrir le rétrovirus de la maladie d'Alzheimer (une maladie en pleine expansion chez les personnes âgées), malgré les 10 années de recherches effectués durant toute la décennie 70 et malgré des dizaine de milliards de recherche, ont vent de l'affaire. Ces chercheurs, frustrés de ne pas avoir pu découvrir le rétrovirus de la maladie d'Alzheimer, ni d'ailleurs n'importe quel autre rétrovirus pathogène, cette quête étant devenue un échec cuisant, et craignant pour leurs avenirs tant professionnel que financier, constatent que les gay en question mourant du cancer du poumon ont une vie sexuelle "débridée", non protégée, et vivent dans une forte ambiance de promiscuité sexuelle. Ils constatent que tous les cancéreux du poumon ont des T4 très bas. Ayant constaté cela, ces mêmes rétrovirologues, qui cherchent coûte que coûte à sauvegarder leur profession, émettent l'hypothèse suivante : Et si le cancer du poumon n'était pas causé par la consommation de tabac, mais bien par un rétrovirus sexuellement transmissible surgi du néant, causant une baisse des T4 et que nous devons encore "découvrir" (disons plutôt, "inventer") ?

    Pour que cette hypothèse, certes possible, tienne le coup, il faut d'abord prouver que le cancer du poumon n'est pas causé par le tabac. Et bien, ils financent en 1983 une étude "scientifique" prouvant que le tabac ne cause pas le cancer de poumon, et le monde gay, soulagé de constater que leur mode de vie n'est pas en cause, prend fait et cause pour cette étude. Sauf que cette étude a été biaisée : on a étudié les effets du tabac sur les ouvriers qui fabriquent les cigarettes et on a constaté de façon "irréfutable" que le tabac ne cause pas le cancer du poumon chez ces ouvriers. Mais on en a cure; le monde pense déjà que le cancer du poumon est causé par un rétrovirus qu'il appartient d'"isoler" et cela ne saurait plus tarder puisqu'il y a maintenant des milliers de rétrovirologues qui ne travaillent plus que sur cela, heureux et soulagés d'avoir pu trouver un nouveau débouché à leur profession.

    Il ne reste plus qu'à trouver le fameux rétrovirus qui "doit" causer le cancer du poumon.

    Par un beau jour d'avril 1984, plus précisément le 23 avril 1984, un minable rétrovirologiste qui n'avait jamais réussi à devenir membre de l'Académie des Sciences Américaines, faute d'avoir pu réellement isoler ne fût-ce qu'un seul rétrovirus pathogène, et sous la férule duquel travaillaient les milliers de rétrovirologues à la recherche de ne fût-ce qu'un seul rétrovirus pathogène, flanqué de la ministre américaine de la santé, annonce au monde entier, médusé, au cours d'une conférence de presse devenue célèbre, avoir isolé "très probablement" le rétrovirus du cancer du poumon ! Il faut le croire sur parole car contrairement à ce qui avait toujours été pratiqué en matière scientifique, l'urgence et la gravité de la situation exigent de faire sans tarder cette déclaration, les preuves scientifiques seront publiés quelques semaines plus tard. Au cours de cette conférence de presse, il annonce également que le rétrovirus du cancer du poumon, dorénavant appelé le VCPA (Virus du Cander du Poumon Acquis), est sexuellement transmissible (la "preuve" en est que durant les premières années, seuls les gay étaient atteints et avaient une vie sexuelle débridée) et que le monde entier est dorénavant en danger et susceptible d'attraper le VCPA, sexuellement transmissible.

    Le monde gay est soulagé (fin des discriminations puisque les hétéros peuvent également être atteints du VCPA; en outre, le cancer du poumon n'est pas lié à leur mode de vie). En outre, l'"ennemi" est maintenant clairement identifié, et pour le "bien de l'humanité", un test (pourtant non fiable et répondant positivement à des tas de stimuli autres que le VCPA) de détection du VCPA est brevetée dans l'heure suivant la conférence. Il annonce également qu'un vaccin sera créé d'"ici deux ans" et que des remèdes vont rapidement être découverts.

    En 1985, une première étude constate "irréfutablement" que le VCPA est sexuellement transmissible (quoique le risque soit très faible) et qu'il est également susceptible d'être transmis pas piqûre cutanée (quoique le risque soit très faible également). Instantanément, le dogme du VCPA, cause du cancer du poumon, est né. Des histoires le "confirment". Plusieurs personnes ont eu une relation sexuelle non protégée avec un cancéreux séropositif au test du VCPA et qui l'avait caché; ces personnes ayant eu une relation sexuelle à risque, très inquiets, font à leur tour le test du VCPA, et oh malheur, ils sont séropositifs au test ! Ils sont encore en parfaite santé mais la médecine orthodoxe du cancer du poumon leur annonce que dans un avenir assez rapproché, ils développeront inéluctablement le cancer du poumon. La psychose collective du VCPA est maintenant définitivement ancrée dans les esprits !

    Quelques années plus tard, un autre co"découvreur" du virus du cancer du poumon, fait des déclarations tonitruantes : attention, il y a des cofacteurs dans la survenance du cancer du poumon, le VCPA n'est peut-être pas suffisant finalement ! Et le tabac est justement un cofacteur fondamental. Mais attention : ce cofacteur ne peut causer le cancer du poumon qu'en présence du VCPA, qu'on a bien entendu parfaitement isolé.

    Et puis, nous deux, nous intervenons. En effet, nous sommes considérés par la communauté scientifique comme les deux plus grands rétrovirologues au monde, entre autres pour avoir découvert au début des années 70 la rétrotranscriptase inverse, entre autre caractéristique des rétrovirus, et pour avoir dessiné pour la première fois au monde la carte génétique des rétrovirus. Bref, personne ne connaît mieux que nous deux les rétrovirus.

    Jusqu'en 1992, nous nous intéressions guère au cancer du poumon; nous faisions plutôt des recherches sur le cancer du sein et la relation éventuelle de la survenance de cette forme de cancer avec un éventuel rétrovirus. Mais en 1992, nous nous intéressons cette fois-ci très sérieusement à la question du VCPA. Et que constatons-nous ? Et bien, ce rétrovirus est en fait parfaitement inoffensif. Il ne précède pas la survenance du cancer du poumon, il la suit au contraire; il a tout d'un rétrovirus endogène passager et parfaitement inoffensif. Et nous faisons ensuite des recherches plus approfondies et nous restons complètement cois lorsque nous constatons qu'en réalité, ce rétrovirus n'a jamais été isolé ! La procédure d'isolation ne respecte pas les postulats de Koch : les cultures ne sont pas purifiées, les procédés utilisés produisent les mêmes effets que la consommation de tabac et créent une apparence de rétrovirus, etc... Nous continuons nos recherches indépendantes de toute pression des entreprises pharmaceutiques et nous arrivons à la conclusion que la consommation de tabac à lui seul cause le cancer du poumon, que le soi-disant rétrovirus VCPA survient après le début du cancer du poumon, qu'une nouvelle analyse des études réalisées auparavant aboutissent finalement à la conclusion que la séropositivité au test VCPA n'est pas transmissible sexuellement ni par piqûre contanée !

    La consommation de tabac est la cause du cancer en fait ! Nul besoin d'inventer par exemple la légendaire mutabilité du VCPA pour excuser le peu d'effet du traitement, ou une légendaire mutation d'un gène empêchant le VCPA de causer le cancer du poumon chez des séropos au VCPA mais absolument réfractaires à la maladie !

    Et bien, nous en faisons la déclaration publique début de l'année 1993, avec moult preuves. Et malgré tout, nous sommes mis au ban de la communauté scientifique, nous perdons nos crédits de recherche malgré notre hyper compétence jusque là reconnue, car nous avons heurté de plein fouet ce qui est devenu un dogme !

    Toufois, d'autres scientifiques, courageux et n'écoutant que leur intégrité scientifique, et pourtant acquis à l'origine au dogme du VCPA cause du cancer du poumon, analysent nos preuves, en découvrent d'autres ..... et retournent définitivement leur veste pour adhérer définitivement à la théorie, non plus virale, mais bien chimique, de la consommation de tabac, cause du cancer du poumon; ce que pourtant la plupart des scientifiques avaient pensé dès le début de l'épidémie !

    Ils forment ensemble ce qui deviendra "La dissidence du cancer du poumon".

    Mais les moqueries, les regards accusateurs se multiplient. Tout le monde sait bien que le cancer du poumon est causé par le si dangereux rétrovirus VCPA !

    Excédé, convaincu que le cancer du poumon est causé par la consommation de tabac et non par un quelconque rétrovirus, au surplus non transmissible par piqûre contanée, tu organises à Madrid, le 13 octobre 1993, une conférence, peut-être télévisée, et oh, comme tu es bien courageux et que tu as foi dans tes convictions, tu prouves que le cancer du poumon n'est pas causé par le VCPA en te piquant avec le sang contaminé d'une personne séropositive au VCPA !

    Cher Nikoteen.

    Arrivé à ce stade du scénario, tu auras compris qu'en te piquant avec le (pseudo) virus VCPA, tu n'as évidemment pas accompli un quelconque acte terriblement courageux en te piquant avec le sang "contaminé" au VCPA. Mais il est vrai que pour l'orthodoxie du cancer du poumon, cet acte pourra effectivement être interprété comme terriblement courageux (ou par certains, comme complètement insensé et irresponsable, car tu donnes ainsi l'impression que le cancer du poumon n'est pas sexuellement transmissible, et que le safe sex est inutile). Mais en réalité, tu sais que cet acte n'avait rien de courageux puisque tu as compris depuis bien longtemps déjà que c'est la consommation de tabac (ainsi que d'autres styles de vie avec le même genre de risque) qui cause le cancer du poumon.

    Maintenant, si tu veux apprécier la valeur du geste du docteur Willner, tu n'as qu'à remplacer dans ce scénario "cancer du poumon" par "sida", et tu comprendras immédiatement que le geste du docteur Willner n'avait strictement rien courageux, mais constitue au contraire un non-événement ! Ceci étant, il a prouvé de façon quelque peu anecdoctique que le cancer du poumon n'était pas causé par le VCPA !

    Pour conclure, tu peux encore aller un (tout petit) peu plus loin. Dans ce scénario, et je le répète, il s'en est fallu réellement de peu pour qu'il devienne une réalité, "amuse" toi à faire les changements suivants :

    * Cancer du poumon ---> Sida

    * VCPA ---> HIV

    * Tabac ---> poppers ou drogues récréationnelles ou encore stress oxydatif (de manière générale)

    Et tu commenceras (du moins, j'ose l'espérer) à comprendre l'absurdité de la science orthodoxe du sida avec laquelle nous vivons depuis plus de 20 ans déjà, plus précisément depuis ce fameux 23 avril 1984, date à laquelle "la science du sida" a fait un énorme bond ..... en arrière !

  11. (nikoteen @ Lundi 27 Février 2006, 21:49)

    c'était tout l'objet de mon article que de montrer que, indépendamment des déformations liées à une histoire plutôt ancienne et rapportée par de multiples sources, ce geste ne signifiait rien.

    Non, après mûre réflexion, je ne suis définitivement pas d'accord avec cette affirmation, et je prétends même présentement la réfuter !

    Je dirais au contraire ce qui suit :"Par ces piqûres répétées de sang ‘contaminé’, aussi bien en Espagne qu'aux USA, le docteur Willner a voulu prouver, certes d'une façon folklorique et certainement pas d'une façon réellement scientifique (pour cela j'invite le lecteur à lire la multitude d'arguments réellement scientifiques de la dissidence), que le virus HIV n'existe pas (quoiqu’à l'époque du docteur Willner, la dissidence affirmait encore que ce virus existait mais était parfaitement inoffensif) ou qu'à tout le moins, le virus HIV, à supposer qu'il existât, ne cause pas le sida".

    Revenons en effet au raisonnement de nikoteen. Si on lit ces posts antérieurs, il aboutit à la conclusion que ces piqûres ne prouvent rien au motif que les risques de "contamination" par piqûre sont faibles, voire même très faibles.

    Mais alors, je me demande bien par quelle autre méthode (anecdotique, je veux dire, car les arguments - sérieux - des scientifiques dissidents sont là pour le prouver), le docteur en question aurait pu prouver que le sida n'est pas causé par le pseudo virus HIV ? En ayant une relation hétérosexuelle ou homosexuelle anale non protégée avec une personne contaminée devant les caméras de télévision ? Non, bien sûr, non seulement parce que cela semble "humainement" difficile à réaliser publiquement, mais surtout, parce que le risque est également très faible.

    Et on ne saurait quand même pas reprocher à la dissidence du sida la circonstance que selon l’orthodoxie du sida, le pseudo virus HIV est très fragile et pas facilement transmissible (et pour cause d’ailleurs !).

    A la relecture des posts antérieurs de nikoteen, la seule preuve qui aurait mérité grâce à ces yeux aurait consisté à ce que le docteur Willner s'injecte véritablement et avec une seringue, du sang « contaminé » au motif que les risques de transmission sont alors très élevés. Le hic, c'est qu'il est reconnu par la dissidence du sida elle-même que la séropositivité est effectivement et potentiellement transmissible par ce biais-là (souvenez-vous des hémophiles) sans toutefois que ce mécanisme de transmission potentielle de séropositivité implique une quelconque transmission d'un pseudo virus HIV.

    Alors, que devait-il faire ?

    Le risque suivant "le plus élevé" consistait à se piquer avec du sang contaminé ; et c’est ce qu’il a fait. Et c'est justement parce qu'il ne pensait pas que le sida est causé par ce pseudo virus HIV qu'il a pris le risque faible mais réel de se piquer avec du sang contaminé ; il a clairement traduit sa pensée en un acte bien concret.

    Souvenons-nous de l'époque ! En 1993 et 1994, les séropos tombent comme des mouches à cause de l'AZT. Le sida est considéré comme la nouvelle peste des temps modernes. Combien d'autres personnes auraient osé faire volontairement, à plusieurs reprises d’ailleurs, le même geste que le docteur Willner si elles sont persuadées que le sida est causé par le pseudo virus HIV et que ce pseudo virus est susceptible d’être transmis par piqûre ? Aucune évidemment, quand bien même le risque de "contamination" serait faible !

    Et la situation est au surplus toujours la même à l'heure actuelle.

    En effet, supposons que le geste du docteur Willner ne prouve effectivement rien, j'invite alors nikoteen à aller au bout de sa logique et je le mets au défi de me communiquer l’identité ne fût-ce que d’un seul médecin orthodoxe du sida prêt à se piquer avec du sang contaminé sans recourir immédiatement aux traitements dits de « post-exposition ». Et bien, il n'en trouvera pas, à moins que le médecin en question, bien entendu convaincu de la causalité du pseudo HIV dans la survenance du sida et que le pseudo virus peut se transmettre par piqûre cutanée, ait des tendances suicidaires !

    Selon la médecine orthodoxe du sida, le risque de "contamination" est certes faible mais sans aucun doute réel. Ce risque est d'ailleurs tellement réel et en aucune façon pris à la légère ou même de façon anecdotique par l’orthodoxie du sida qu'il constituait, et constitue d’ailleurs toujours, le premier cas type (ensuite, sont venus les rapports sexuels dits non "protégés" dans certaines circonstances) pour lequel les traitements dits de post-exposition sont vivement recommandés pour amoindrir les risques de "contamination".

    En d'autres termes, une personne telle que le docteur Willner ne se serait piquée avec du sang "contaminé" que si elle était réellement convaincue que le sida n'est pas causé par un virus, le risque étant certes faible mais réel. Et j'avoue ne pas comprendre maintenant pour quelle raison il est affirmé que le geste du docteur Willner ne prouverait rien. Non, il prouve au contraire que le sida n'est pas causé par un virus. Mais comme je l'ai déjà dit, cette preuve, quoique existante, est tout à fait anecdotique.

    En définitive, dans son article, nikoteen, s'il est réellement objectif, devrait juste se contenter de dire :

    - que Richard Sunder a commis au moins deux erreurs (de taille, il est vrai) en écrivant dans son ouvrage que cela s’était passé en 1999 et que c’était une injection de sang contaminé avec une seringue, outre une éventuelle troisième erreur, à savoir que cela se serait passé devant une caméra de télévision espagnole,

    - mais que de multiples autres articles (relevés dans un de mes posts précédents) ont constaté que ce docteur s'était effectivement piqué à plusieurs reprises et volontairement avec du sang « contaminé », et que si le risque de contamination est faible mais toutefois réel, il prouve cependant que ce docteur pensait vraiment que le sida n'est pas causé par le pseudo virus HIV et a traduit sa croyance en acte.

    Affirmer au contraire que cela ne prouverait rien me semble justement reposer sur ... rien ... de bien concret, et cette affirmation fait certainement fi de la circonstance qu'à l'époque, et d'ailleurs toujours de nos jours, personne croyant au dogme viral du sida ne ferait volontairement le même geste, et certainement pas sans recourir à la "précaution" des traitements dits de "post-exposition", malgré la circonstance que ce risque soit faible, car, justement, ce risque est réel de par la croyance à la causalité du pseudo HIV dans la survenance du sida et à la possible - quoique à faible risque - transmission de celui-ci par piqûre cutanée !

    Ces piqûres ne font en réalité que conforter davantage encore mais de façon pittoresque l'argumentation scientifique de la dissidence du sida.

    Et comme déjà répété à plusieurs reprises, tout cela n'est que folklore dans la pensée scientifique dissidente lorsqu'on compare cette preuve du docteur Willner avec les arguments-phares de la dissidence du sida. Mais cette anecdote folklorique constitue malgré tout une preuve, cependant affadie et de bien peu de poids comparée aux multitudes d'autres.

  12. Oui, on ne peut pas douter un seul instant de la courtoisie exemplaire de nikoteen, ni de son désir légitime d'obtenir de véritables références.

    Peut-être serait-il possible, à moins que cela ait déjà été fait, que nikoteen contacte les chaînes de télévision française de l'époque (TF1, FR2 et FR3) à l'effet de savoir s'ils ne disposeraient pas d'archives d'époque concernant les fameuses piqûres du docteur Willner ? Je pense que la plupart des chaînes de télévision dispose d'un service de ce genre. Certes, ce sera payant mais au moins, nikoteen aura le coeur net.

    En tout cas, je te remercie sincèrement d'avoir relevé ces quelques erreurs, à mettre en réalité sur le dos de Richard Sunder, auteur de l'"effet nocebo". Et d'ailleurs, je ne suis guère étonné car cet article est assez souvent épinglé par l'orthodoxie du sida pour tenter de discréditer l'ensemble de la dissidence du sida car il comporte quand même pas mal d'exagérations et d'erreurs (outre bien entendu des considérations pleines de bon sens et scientifiquement prouvées, comme par exemple la relation de l'effet nocebo et la survenance du sida), dont notamment le bien mal expliqué récit des fameuses piqûres du docteur Willner. De manière générale, cet article a toute sa place sur le site www.sidasante.com car il permet de bien montrer toute l'importance de l'effet nocebo sur le risque de survenance de sida. Mais comme je l'ai déjà dit dans des posts antérieurs, et je le répète, l'effet nocebo ne constitue en aucune façon la cause principale du sida, mais bien une cause accessoire et/ou un facteur (fortement) aggravant, et la dissidence scientifique du sida ne se base en principe pas sur ce facteur pour expliquer la cause du sida, mais bien sur le stress oxydatif, le sida ayant des causes chimiques, et non purement biologiques (le pseudo virus HIV).

  13. oui mais des gens sont déclarés séropos apres avoir eu un seul rapport avec une capote explosée même sans ejaculation...

    certains même sans pénetration profonde voir juste attouchement en contact avec du sperme sans même etre certain que ça s'est produit

    C'est justement parce que le monde entier est persuadé que la séropositivité serait sexuellement transmissible et que le sida serait causé par un rétrovirus que l'imaginaire populaire met ces cas de "contamination" par exemple sur le compte de capotes qui "explosent".

    En réalité, on pose chaque fois LA mauvaise question, à savoir "Avez-vous eu un rapport sexuel dit non protégé ?".

    Alors que la question à poser serait plutôt la suivante : "Qu'est ce qui dans votre mode de vie est susceptible d'avoir induit récemment un stress oxydatif assez élevé que pour rendre le test dit "HIV" positif ?"

    Et les réponses sont multiples : drogues, réception anale de sperme (qui cause un effet immunodépressif momentané, et donc une hausse du stress oxydatif), prise d'un vaccin, etc....

    On constatera alors aisément que les cas que tu cites ne sont que pure coïncidence, et non des preuves quelconques.

  14. Rebonsoir, Nikoteen

    D'où l'importance d'être précis dans ce qu'on affirme. Dire "le Dr Robert E. Willner [...] n'a pas hésité, en 1999, à s'inoculer, à l'aide d'une seringue, du sang de Pedro Tocino [...]", c'est rendre compte d'un exploit.

    Effectivement, cette traduction est bien malheureuse, de même que la mention de la date (suite à ta judicieuse remarque, je me permettrais de suggérer à Aixur d'ajouter un NDRL précisant qu'il s'agissait plus que vraisemblablement d'une piqûre et que cela s'est passé à plusieurs reprises en 1994 en Espagne et aux USA).

    On constatera toutefois que les deux sources françaises que j'ai citées, dont l'une provient directement de ce site, n'utilise pas le mot "seringue". Il en va de même des autres sources anglaises que j'ai citées également.

    En outre, si on se donne la peine d'analyser les thèses dissidentes du sida, c'est-à-dire l'essentiel et non les détails anecdotiques, on constate aisément que la transmission par le sang est une cause potentielle de séropositivité, ce qui n'a jamais été nié par la dissidence du sida (ni le docteur Willner lui-même, me semble-t-il).

    Le fait est qu'effectivement, Willner n'avait que 0,3% de chances d'être infecté en procédant de cette façon. En s'injectant du sang contaminé, la probabilité eût été supérieure à 90%. Willner pouvait-il l'ignorer ? Difficilement. Cette étude de 1992, par exemple, donne déjà ce chiffre.
    S'il était effectivement convaincu que le HIV n'est pas dangereux, pourquoi ne s'est-il pas directement injecté du sang ?

    Parce qu'il n'a jamais été contesté par la dissidence du sida que la séropositivité, si elle n'est en aucune façon sexuellement transmissible, elle peut en revanche l'être par la transmission du sang d'un séropo, sans toutefois que les mécanismes de cette forme de transmission potentielle de séropositivité aient quelque chose à voir avec quelque transmission d'un pseudo virus HIV. C'est justement en raison de ce mécanisme bien particulier de transmission que de nombreux hémophiles ont été déclarés séropositifs.

    Amicalement

    PS : De prime abord et pour ce qui me concerne, le débat relatif à ce point est clos. Tu as effectivement relevé deux erreurs majeures dans un texte, où on parlait à tort de l'année 1999 et d'une injection de sang contaminé à partir d'une seringue. Mais en se basant sur d'autres sources (que j'ai citées dans un de mes précédents posts), il est clair que pour la dissidence - scientifique, certainement -, il s'agissait d'une inoculation volontaire par piqûre et que ces gestes répétés avaient pour but de frapper l'esprit et l'imagination des gens. Et il faut bien reconnaître que ce procédé a été tellement efficace que quelques années plus tard, et le temps aidant, certains, par erreur (et pas forcément malintentionnés) ont pu croire qu'il s'agissait carrément d'une injection de sang contaminé (ce qui va pourtant à l'encontre des thèses dissidentes). Pour ma part, je préfère maintenant me concentrer sur l'élaboration d'un très long post qui aura pour objet de réfuter deux (bien rares) arguments qui ont été invoqués en son temps sur ce site à l'encontre de la dissidence du sida et surtout, sur deux points fondamentaux de celle-ci, et auxquels il semble qu'il n'a pas été réfuté, du moins clairement.

  15. Cher nikoteen,

    Attention, je n'ai jamais affirmé que c'était pure chimère. J'ai simplement indiqué que c'est la façon dont c'était rapporté qui était fausse. Parler d'injection, par exemple, est abusif. Parler de seringue est faux.

    En effet, tu as raison. Le terme "injecté" que j'ai utilisé dans ma réponse est erronée. Il s'agit bien de "piqué" ou "inoculé", ce qui n'est pas la même chose qu'"injecté". Mille excuses ! (mais je pensais bien à "piqué" tout en écrivant "injecté").

    Lis-bien les articles que tu cites : Willner a piqué le doigt d'un séropositif à l'aide d'une aiguille puis s'est piqué le doigt avec la même aiguille. On est loin d'une injection de sang avec une seringue. Connais-tu la probabilité de transmission du HIV en procédant de la sorte ?

    Effectivement, dans les deux articles français, c'est le verbe "inoculé" qui est utilisé. Peut-être as-tu cru qu'"inoculé" signifie nécessairement "injecté" (comme j'ai moi-même très improprement utilisé le terme dans ma précédente réponse, tout en pensant à "piqué") .

    Je prends "Le Petit Larousse Illustré" de 2006 et quelle est la définition d'"inoculer" ?

    - Inoculer : Produire une inoculation

    - Inoculation : Introduction volontaire ou accidentelle d'un micro-organisme dans le corps, dans un milieu de culture.

    Il me semble que le mot "piqûre" correspond très bien à cette définition du verbe "inoculer". En d'autres termes, dans ces deux sources françaises, les auteurs de ces deux articles n'ont jamais déclaré que le docteur Willner s'est injecté du sang contaminé. C'est là leur donner une portée qu'ils n'ont pas. Ils utilisent le verbe "inoculer".

    Il en est de même dans les quelques textes anglais que j'ai cités dans mon dernier post : "to jab" (soit "piquer"), to "inoculate" (soit "inoculer"). Bref, je ne vois aucun texte qui affirme que le docteur Willner s'est injecté du sang contaminé, mais bien qu'il s'est piqué avec du sang contaminé. Et je ne pense vraiment pas que la dissidence - du moins, celle scientifique - ait jamais voulu faire croire à autre chose, en ce compris le docteur Willner lui-même.

    Je sais très bien que la probabilité de "contamination" au HIV dans ces circonstances est peu élevée, en se basant du moins sur la probabilité basée sur les théories orthodoxes du sida. D'ailleurs, dans certains articles relatant ces piqûres du docteur Willner, les auteurs prenaient bien soin de préciser que le risque était bien peu élevé (il n'a justement jamais été caché qu'il ne s'agissait pas d'injection), et le docteur Willner ne l'a jamais nié d'ailleurs. Son but était surtout d'attirer l'attention des médias sur l'inanité de la théorie virale du sida, et de ce point de vue-là, cela a été relativement efficace (au vu des articles que j'ai pu retrouver ne fût-ce que sur le net : cf mon précédent post). Raison pour laquelle cet "événement" a constitué et constitue toujours une date mémorable dans l'histoire de la dissidence du sida, quoique pour ce qui me concerne, cela reste du domaine du folklore. Personne de sensé n'adhérera aux thèses dissidentes en se basant, même à titre purement accessoire, sur cette "histoire" de piqûre.

    Cette "anecdote", comme tu dis, est présentée par "la dissidence" comme un évènement historique
    Et si je m'y suis intéressé, c'est parce que c'est un argument d'importance. Il n'est pas rare, quand un "dissident" prend la parole, qu'on lui rétorque : "Inocule toi du sang contaminé et voyons si tu ne développes pas le SIDA". Dans ce cas, le "dissident" cite souvent l'exemple du Dr Willner.

    Voir déjà la fin de ma précédente réponse. Et pour le surplus et comme déjà précisé ci-dessus, "inoculé" ne signifie pas nécessairelent "injecté"; "piquer" répond également à la définition.

    Le problème c'est que les choses ne sont pas présentées comme cela. On y lit "Ce site vous donne des explications claires pour comprendre que le "sida" est un concept sans aucune base scientifique réelle. [...] Cette œuvre est le fruit de plus de quatorze années de recherche, d'accumulation de documents exceptionnels et du travail de nombreux bénévoles".

    Le problème est en réalité que tout reste encore à faire dans nos sociétés pour expliquer aux gens ce qui cause réellement le sida. Il est à cet égard très facile de s'en prendre à ce site alors qu'il s'agit du seul site francophone (en tout cas en France et en Belgique) qui essaie d'exposer dans la mesure de ses moyens les causes du sida. Il va de soi que si ce site pouvait bénéficier de la même assistance technique, humaine et financière que les sites de défense du sida (Act Up et consorts), les éventuelles erreurs anedoctiques que l'on pourrait relever sur ce site auraient eu toutes les chances d'être supprimées. Ce site est l'oeuvre d'un pionnier et, à ce titre, mérite toute notre considération et notre aide pour encore mieux faire connaître au monde entier ce qui cause réellement le sida, et non des critiques sur des points de détail. Comme je l'ai déjà dit plus haut, aucune personne sensée ne pourra constater la fragilité patente de la théorie virale du sida en se basant sur cette anecdote (même si historiquement et pour les raisons évoquées ci-dessus, cette anecdote revêt une importance historique).

    Je n'ai jamais affirmé cela non plus. J'ai simplement dit que la personne qui était intervenue sur notre liste de discussion citait ces deux sources-là. Preuve que pour certains, ce qu'on y lit est vrai.

    A partir du moment où le verbe "inoculer" peut parfaitement impliquer le mot "piqûre", ce qui est dit est justement vrai, d'autant plus qu'à ma connaissance, le docteur Willner n'a jamais affirmé qu'il avait réellement couru un grand risque. Il voulait frapper l'imagination, et de ce point de vue-là, il a réussi.

    Il appartient à tout éditeur de s'assurer du degré de véracité des propos qui sont tenus sur son site. Quand il ne le fait pas, ne penses-tu pas qu'il faudrait qu'il l'indique (c'est une question d'éthique, pas de droit) ?

    Tout à fait d'accord avec toi. Sauf que quand on constate rien que sur le net, que près de dix sources différentes relatent ces piqûres du docteur Willner, il est vrai surtout aux USA, on se demande bien pour quelle raison, le site www.sidasante.com aurait éventuellement dû penser que le docteur ne s'était jamais piqué avec du sang "contaminé". Et comme déjà précisé ci-dessus, ce site a pour vocation de servir d'introduction à la dissidence du sida, essentiellement et presque exclusivement par la traduction de textes de langue étrangère ou par la reprise de textes français publiés sur d'autres sources.

    ... c'est de fiabilité de l'information dont il s'agit.
    On publie moins, c'est vrai, mais on limite les risques de publier des informations fausses.

    Encore une fois, je suis d'accord avec toi. Sauf que la soi-disant "épidémie" de sida aurait déjà fait 25 millions de morts et prochainement 40 millions d'autres. Cette situation pour le moins dramatique et l'urgence qu'implique la nécessité de révéler au monde et avec le peu de moyens (entre autres financiers) dont nous disposons les causes réelles du sida, s'accommode extrêmement mal avec la façon de procéder que tu recommandes, même si cela est assurément idéal. Certes, il y a peut-être (et même certainement) des erreurs pour la plupart anecdotiques sur ce site (comme pour tout site pionnier), mais sur l'essentiel, nombres de scientifiques et d'études (volontairement non prises en compte par l'establishment orthodoxe du sida) de sources différentes ont corroboré leurs dires, et c'est bien cela qui compte pour affirmer que les thèses dissidentes du sida l'emportent de très loin sur les thèses orthodoxes du sida.

    Amicalement.

  16. (nikoteen @ Dimanche 26 Février 2006, 00:02)
    (aixur @ Samedi 25 Février 2006, 16:22)

    Effectivement, c'était en 1994.

    En fait, non.

    Tu n'as pas la date exacte ? La réponse aux autres questions ?

    Pour éviter que l'attention du lecteur se disperse sur deux topics différents, je me permets de renvoyer à cet autre post de nikoteen publié dans le topic "Le HIV ne causerait pas le sida" et aux posts qui s'en sont suivis relatifs à ce point abordé par nikoteen.

  17. (nikoteen @ Dimanche 26 Février 2006, 01:10)

    Pour votre information, je me suis mis à chercher sur cette histoire parce que quelqu'un, sur notre liste de discussion, est venu affirmer que le lien HIV-SIDA n'existait pas. Or il se basait sur les deux sources auxquelles je viens de faire référence : sidasanté, et ce fichier .pdf.

    Au pire des cas, peu importe si cela était vrai ou non, que ce soit en Espagne ou ailleurs. Car la seule chose qui compte, c'est qu'on réfute sérieusement les multiples arguments scientifiques de la dissidence du sida. Et cela, pour ma part, j'attends toujours.

    Ceci étant, pour en revenir à ce brave docteur Willner, quoiqu'il se soit passé en Espagne, il faudrait également prouver que les multiples injections que ce docteur s'est fait à plusieurs reprises aux USA dans le courant de l'année 1994 et au début de l'année 1995 ne sont que pure chimère, vu que cela a été relaté à diverses reprises dans la presse américaine, à commener par la revue "Science magazine", semble-t-il (cliquez ici) :

    "Source: Science magazine, Vol 266 No. 9, P. 1642-1644

    On 28 October, Robert Willner held a press conference at a North Carolina hotel, during which he jabbed his finger with a bloody needle he had just stuck into a man who said he was infected with HIV. Willner is a physician who recently had his medical license revoked in Florida for, among other infractions, claiming to have cured an AIDS patient with ozone infusions. He is also the author of a new book, Deadly Deception: The Proof that SEX and HIV Absolutely DO NOT CAUSE AIDS. He insists that jabbing himself with the bloody needle, which he describes as “an act of intelligence,” was not meant to sell books. “I’m interested in proving to people that there isn’t one shred of scientific evidence that HIV causes any disease,” Willner says."

    Certes, cette référence est tirée d'un blog. Mais si tu veux t'assurer que cela est bien faux, l'idéal serait que tu affirmes que tu as mis la main sur ce volume, que tu as consulté les pages en question, et que tu n'as pas retrouvé cet article (et que tu publies les pages en question pour en apporter la preuve, vraisemblablement définitive de prime abord).

    Après tout, c'est bien possible.

    Mais il faudrait également prouver que d'autres sources américaines relatant ces injections du docteur Willner sont fausses.

    Comme par exemple les suivantes.

    "Robert E. Willner, 'Deathly Deception' Peltec Publishing Co. USA 1994, 266 pages, ISBN 0-9642316-1-1.

    --------------------------------------------------------------------------------

    In 1993, Dr. Willner stunned Spain by inoculating himself with the blood of Pedro Tocino, an HIV positive hemophiliac. This demonstration of devotion to the truth and the Hippocratic Oath he took, nearly 40 years before, was reported on the front page of every major newspaper in Spain. His appearance on Spain's most popular television show envoked a 4 to 1 response by the viewing audience in favor of his position against the "AIDS hypothesis." When asked why he would put his life on the line to make a point, Dr. Willner replied: "I do this to put a stop to the greatest murderous fraud in medical history. By injecting myself with HIV positive blood, I am proving the point as Dr. Walter Reed did to prove the truth about yellow fever. In this way it is my hope to expose the truth about HIV in the interest of all mankind.""(que j'ai trouvé ici).

    FLORIDA PHYSICIAN THROWS A DRAMATIC JAB AT THE EXPERTS VIEW OF AIDS

    By Rick Weiss

    The Washington Post 1 Nov. 1994

    Last Friday at an alternative medicine meeting in Greensboro, N.C., a Florida physician stood in the glare of television lights and held the hand of a young man infected with the human immunodeficiency virus. Squinting in the lights and a moment later from the pain, he stuck a 20-gauge hypodermic needle deep into the infected man's finger and quickly jabbed the bloody needle into his own hand. Twice.

    The physician, Robert Willner, said he inoculated himself with the man's blood to draw attention to "the greatest scam ever perpetrated." Contrary to expert opinion, he declared that HIV does not cause AIDS. "This is an innocent virus," Willner said in an interview soon after inoculating himself. Indeed, he said, it is the AIDS drug AZT that is the leading cause of AIDS today.

    The 65-year-old doctor found a sympathetic audience. "I think what he is doing is very very brave indeed," said Tim Sara, president of Nature's Balance, a nutritional supplement company that sponsored the meeting. "He has the courage of his convictions."

    (la source est donc ici le Washington Post : cliquez ici).

    DISPLAY HE SAYS HIV NOT CAUSE; NONSENSE, SAY OTHERS

    By Karen Garloch

    The Charlotte Observer, 29 Oct. 1994

    To prove his unorthodox belief that HIV is not the cause of AIDS, a Florida doctor Friday pricked his finger with a needle carrying blood that he said was infected with the virus.

    "This is not an act of bravery. This is an act of intelligence," said Dr. Robert Willner, who practiced medicine in North Miami Beach for 30 years until his license was revoked last March.

    "I'm not afraid of an innocent virus."

    Before a gathering of about 30 alternative-medicine practitioners and several journalists, Willner stuck a needle in the finger of Andres Almandoz, 27, a Fort Lauderdale student who says he has tested positive for HIV. Then, wincing, the 65-year-old doctor stuck himself.

    Willner, who says he also injected himself with HIV-infected blood in Spain a year ago, claims to be one of many scientists who now reject the theory that HIV causes AIDS.

    "There is absolutely nothing to substantiate that AIDS is a contagious disease. You cannot get it from anyone. You cannot give it to anyone," Willner said.

    (la source serait donc ici le "Charlotte Observer [à moins bien sûr d'affirmer que le site virusmyth.net reprend des articles imaginaires et n'ayant jamais existé]: cliquez ici).

    Date: Tue, 10 Jan 1995 15:05:03 -0800 (PST)

    From: Rex Wockner <rwockner@netcom.com>

    Subject: DOCTOR WHO PRICKS HIMSELF WITH HIV+ BLOOD TO BE IN SAN DIEGO

    Â Â Â Â Doctor Who Pricks Himself With HIV+ Blood Here Jan. 18

    Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â by Rex Wockner

    A doctor who says HIV does not cause AIDS and has publicly

    pricked himself with HIV-contaminated needles is bringing his

    presentation to San Diego.

    Dr. Robert Willner, author of Deadly Deception: The Proof

    That Sex and HIV Absolutely Do Not Cause AIDS, may or may not

    again stick himself with a needle with HIV-positive blood on it

    Jan. 18 at 7 p.m. at the Joyce Beers Community Center on Vermont

    Street near University Avenue in the Uptown District, says the

    Association to Reevaluate AIDS, local sponsor of the event.

    Willner pricked himself with HIV at events in three other

    cities. In Los Angeles, he stuck the finger of an HIV-positive

    person, rolled the needle around in the blood, then jabbed

    himself, says Gay & Lesbian Times L.A. correspondent Karen Ocamb.

    (cliquez ici).

    If you wish to get another view on AIDS and more information on it, obtain a copy of the book Deadly Deception by Doctor Robert Willner M.D., PHD. Dr. Willner injected himself with AIDS-contaminated blood on six occasions. He did it in front of a crowd of people and before a television program in Spain. Doctor Willner injected his finger with the blood of Pedro Tocino, an HIV-positive hemophilic (He was tested previously to make sure that he had no other diseases). Doctor Willner did these experiments to demonstrate his belief that HIV is a harmless retrovirus. He honestly believes that HIV is not the cause of AIDS and he opposes testing for AIDS because it means nothing to be HIV-antibody positive.

    (cliquez ici).

    And Now for Something Completely Different

    Washington Post (Health) (11/01/94) P. 7

    Weiss, Rick

    --------------------------------------------------------------------------------

    In an effort to demonstrate his disbelief that HIV causes AIDS, a Florida physician pricked his finger twice last Friday with a needle that had just been inserted into the finger of an HIV-positive man. At an alternative medicine meeting in Greensboro, N.C., Robert Willner inoculated himself with the infected blood to draw attention to what he calls "the greatest scam ever perpetrated." Willner believes that AIDS is caused by malnutrition, recreational drug abuse, and modern medicines that include the AIDS drug AZT. Officials are troubled by Willner's actions, saying that they help perpetuate any lingering doubts that the public may have over the cause of AIDS. Robert C. Gallo, a co-discoverer of HIV said, "We'll never have data of a cause of a disease better than we have for HIV and AIDS..." Willner, however, is not alone in his beliefs. He is part of a small but vocal group that insist that HIV is not the cause of AIDS. Studies of injection drug users and health workers who accidentally inject themselves with an infected needle show that Willner has less than one-third of one percent chance of actually becoming HIV-infected.¨

    (cliquez ici).

    Date: Tue, 31 Jan 1995 01:21:33 -0800 (PST)

    From: Rex Wockner <rwockner@netcom.com>

    Subject: HIV-SKEPTIC PRESENTS SLOPPY TALK IN SAN DIEGO

    Â Â Â Â Â HIV-SKEPTIC PRESENTS SLOPPY TALK IN SAN DIEGO

    Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â by Rex Wockner

    -----------------------------------------------------------

    COPYRIGHT © 1995 REX WOCKNER AND AFFILIATED PUBLICATIONS.

    -----------------------------------------------------------

    SAN DIEGO -- In an incoherent and rambling presentation full of

    dramatic outbursts, Dr. Robert Willner, author of Deadly

    Deception: The Proof That Sex And HIV Absolutely Do Not Cause

    AIDS, tried to convince about 150 San Diegans Jan. 18 that the

    virus is harmless.

    Willner's talk -- filled with words like "insane," "inane,"

    "unbelievable" and "crazy" -- did not prove that HIV does not

    cause AIDS.

    It did not even contain very many complete sentences.

    After the first hour, the audience began to trickle out.

    The talk, at the Joyce Beers Community Center in the Uptown

    District, was sponsored by The Association To Re-Evaluate AIDS, a

    local group which says HIV does not cause AIDS.

    While Willner's talk was not convincing, ATRA and other HIV-

    skeptics believe that his book is.

    Willner says AIDS is caused by such things as malnutrition,

    radiation, and illegal and prescription drugs (including alcohol,

    antibiotics, poppers and the AIDS drugs AZT, ddI, ddC and

    Bactrim).

    "AZT causes AIDS and it is now the number one cause of AIDS

    in the world," he told the audience. "My (medical) colleagues

    don't know that they don't know.

    "AZT was designed for cancer in the 60s and shelved because

    it was too toxic to treat cancer," he said. "What insanity on

    this earth would prompt any scientist to use any drug ... that is

    worse than cancer, and use it on somebody who is immune-

    suppressed?

    "It's beyond belief that this is happening," he said. "Every

    disease is curable naturally. ... The answer to all disease: If

    you can't pronounce it or God didn't make it, don't put it in

    your body. ... There is mass murder going on. How do they get

    away with it? Money!"

    Willner claimed: "No bug can give you any disease unless you

    cannot live at peace with the inhabitants of this planet. Look at

    your skin under a microscope. Jurassic Park! Monsters you cannot

    believe! Number one killer in AIDS: Pneumocystis pneumonia. PCP

    is in the lungs of everyone in this room. Why aren't we dying of

    pneumonia? It's only when you are out-of-balance with the other

    inhabitants of this planet that you seemingly get a disease. They

    simply take the opportunity to grow."

    Willner offered $100,000 to anyone who could produce "one

    scientific document that HIV causes AIDS."

    "The document doesn't exist," he said.

    He also claimed HIV-antibody tests -- ELISA or Western Blot

    -- are "99.997 percent wrong" but did not prove that statement

    either.

    In four other cities, Willner pricked his finger with a

    needle containing the blood of an HIV-positive volunteer to drive

    home his point that the virus is harmless.

    He did not repeat the demonstration in San Diego.

    Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â == end ==

    Rex Wockner

    San Diego, California 92103

    Internet: rwockner@netcom.com

    (ici, il semble s'agir d'un compte-rendu d'une personne qui a assisté à cette "séance" d'injection : cliquez ici).

    More than 500 of the world’s most prominent scientists have banded together to form the "Group for the Scientific Reappraisal of the HIV-AIDS Hypothesis." Robert E. Willner, a noted research scientist and author of "Deadly Deceptions," has traveled the world and, under very strict clinical conditions, injected AIDS and HIV patients’ blood into his own body. To date he has failed to "catch" AIDS.

    ( la source serait donc ici l'"Idaho Observer" : cliquez ici).

    En définitive, si tu veux prouver que le docteur Willner ne s'est jamais injecté le sang d'une personne "contaminée", il écherrait que tu consultes toutes ces sources (du moins, celles consistant en des articles qui ont ou auraient été publiés dans des journaux) et que tu constates que de tels articles n'ont en réalité jamais été publiés.

    Enfin, pour conclure, je me demande pourquoi tu t'attaches tant à cette "histoire", qui me semble pour le moins très anecdotique, et même ne strictement rien apporter au débat quant à la preuve éventuelle que le sida serait causé par un rétrovirus. C'est bien là l'un des traits de l'orthodoxie du sida : elle ne peut pas réfuter les arguments scientifiques de la dissidence du sida et les questions dérangeantes posées par celle-ci, en conséquence de quoi elle se rabat sur quelques anecdotes pour tenter de discréditer l'ensemble de la dissidence.

    Or il se basait sur les deux sources auxquelles je viens de faire référence : sidasanté, et ce fichier .pdf.

    Comme tu aura pu le constater, www.sidasante.com n'est en définitive (et sans vouloir être péjoratif) qu'un site de traduction française de plus de 150 - 200 articles aux sources bien multiples. Affirmer que le site www.sidasante.com ne constitue qu'une seule et unique source est faux, à moins de croire à un complot des traducteurs. Les sources se comptent en réalité en plusieurs dizaines. Et heureusement d'ailleurs, car sinon on pourrait alors affirmer que la dissidence du sida, telle qu'elle traduite en français sur ce site, était l'oeuvre d'un illuminé. Mais il n'en est rien, justement.

    Il n'appartient au surplus pas à un site de traduction de vérifier la teneur de chaque phrase des articles publiés. En revanche, il est de la responsabilité de ce site de s'assurer dans la mesure du possible, et surtout de ces moyens financiers, que la traduction française publiée de chacun des articles est bien exacte; et pour ma part, je n'ai pas de raison d'en douter, à moins de croire à un complot de la part des milliers de scientifiques d'origine bien différente et toujours plus nombreux qui demandent depuis le début des années 90 une réévaluation de la théorie orthodoxe du sida.

    S'il s'avère en définitive que cette anecdote (car c'est bien de cela qu'il s'agit ici) est erronée, il serait intellectuellemenent plus honnête de ta part d'en faire le reproche aux auteurs originaux des articles et d'exiger de leur part un démenti, plutôt que de s'en prendre au traducteur (c'est-à-dire le site www.sidasante.com), qui, à l'évidence, ne dispose pas de moyens pour financer une équipe d'investigation; il s'agit là d'un rôle dévolu aux journalistes professionnels, pas à un traducteur. Et crois moi, s'il s'avère que le docteur Willner ne s'est jamais injecté du sang d'un séropo en direct, à la télévision, que ce soit en Espagne, aux USA ou ailleurs, je serai le premier intéressé à le savoir, quand bien même cela n'apporterait aucun contredit aux multiples arguments de la dissidence du sida. Car la dissidence du sida ne se résume évidemment pas à feu le docteur Willner.

  18. (nikoteen @ Samedi 25 Février 2006, 16:01)

    - Willner ne s'est jamais fait injecter du sang contaminé

    - Ce n'était pas devant les cameras de la TV espagnole

    Etant donné que le geste du docteur Willner va à l'encontre de tout ce que l'orthodoxie du sida nous "enseigne", il n'est pas étonnant que cela n'ait pas fait grand bruit dans la presse, et que quand on parle, c'est en outre pour se tromper de date. En effet, dans quelques articles, on lit qu'il s'est injecté le sang d'un hémophile séropositif en 1999 ..... alors que le docteur en question est mort d'une crise cardiaque en 1995 !

    En réalité, c'était en 1994.

    J'ai au moins pu retrouver deux passages sur le sujet, le premier, dans une source "orthodoxe" du sida, le second dans une source "dissidente".

    Le premier passage (cliquez ici) :

    Dr. Robert E. Willner a attrapé l'attention des medias espagnols, quand en 1994 il s'est inoculé avec le sang de Pedro Tocino, un hémophile positif d'HIV sur Dr. de phase Willner de TV mort d'une crise cardiaque en 1995.

    Le second passage est tiré d'une interview effectuée en 1994 du docteur Willner lui-même (cliquez ici) :

    J'ai interviewé le Dr Robert E. Willner, qui a pratiqué la médecine à travers le monde pendant plus de 35 ans. Il a récemment abasourdi l'Espagne en s'inoculant en direct à la télévision, un échantillon de sang provenant de Pedro Tocino, un hémophile séropositif. Le Dr Willner est l'auteur du livre-bombe publié récemment, "Deadly Deception", où il prouve que le sexe et le HIV ne sont en rien les causes du SIDA.
  19. 714X

    Voila ce que j'ai pu trouver de moins réjouissant afin de voir divers aspect du sujet...

    Pour ceux qui veulent aller plus loin cependant et trouver des motifs de réellement se réjouir, je les invite à consulter par exemple et entre autres les liens suivants : premier lien, deuxième lien, et troisième lien.

    Ceci étant, pour tenter de replacer le 714X dans l'optique sida, il me semble évident que ce produit n'est certainement pas en soi la solution pour guérir du sida; raison pour laquelle je n'aborderai normalement plus ce sujet.

    Mais il va de soi qu'en cherchant, ne fût-ce qu'un peu, on trouve des tas d'articles sur le sujet, un peu comme pour le docteur Beljanski, et on peut ainsi se faire une meilleure opinion.

  20. (pierrot @ Lundi 20 Février 2006, 01:21)

    tu m'apprends quelque chose, je ne savais pas qu'ils ne comptaient qu'une partie des cd4, j'avais l'illusion de croire que tout était compté.

    Je crois que cela avait déjà été souligné quelques fois déjà dans le topic de base "Le HIV ne causerait pas le sida" et entre autres au début de ce post-ci.

    Sur sidasante.com, il y a plusieurs articles qu'il parle du fait que les T4 mesurés par les tests sont uniquement les T4 sanguins, lesquels représentent uniquement 2 à 3% du total des T4.

    Par exemple, dans cet article-ci :

    Quant au comptage des cellules T4, il ne prend en compte que les T4 qui circulent dans le sang mais pas ceux qui sont dans les tissus. Or il se trouve qu'en cas de stress les T4 se réfugient dans la moelle osseuse, où ils ne seront pas comptés, et qu'en outre 2% seulement des cellules T circulent dans le sang ! Les 98% restants sont ailleurs ! Le comptage ne signifie donc rigoureusement rien. Il compte les piétons sur les autoroutes et les automobiles sur les trottoirs !

    Dès les années 70, Anthony Fauci avait mis en évidence que l'injection de cortisone dans le sang provoque le repli des cellules T dans la moelle osseuse. Cette révélation avait été considérée comme une véritable percée dans le champ de la psychoneuro-immunologie (la relation du psychisme, du système nerveux et du système immunitaire). Il se trouve en effet qu'il existe une hormone équivalant à la cortisone et qu'en cas de stress intense le cerveau produit cette hormone. La conclusion saute aux yeux : les patients déclarés séropositifs déjà fortement stressés avant même le test, puisqu'ils craignent d'être séropositifs ont déjà chassé une partie de leurs T4 sanguins dans la moelle osseuse. Le test sanguin est alors positif ! Et les voici maintenant soumis au plus intense des stress ils se savent condamnés à mort et, alors, bien entendu, les cellules T se réfugient encore davantage dans la moelle osseuse et, à mesure des tests, on n'en trouve donc plus ou presque plus dans le sang ! Il reste que Fauci, devenu l'un des grands responsables de la campagne d'intoxication « V.I.H. = SIDA = MORT », finit par dénigrer lui-même son travail antérieur. Pourquoi ? La question mérite d'être posée car, quoiqu'il puisse en dire : sa démonstration n'en demeure pas moins une évidence scientifique irréfutable. De surcroît, on sait, depuis plusieurs années, que le très hypothétique V.I.H. ne détruit pas de préférence les cellules T4 des sidaïques et que, de toute façon, ni la destruction des T4 ni le V.I.H. ne sont nécessaires et suffisants pour que se développe le syndrome. Mieux encore, chez les individus à risque, grâce à un phénomène de vases communicants, la diminution des T4 est compensée par l'augmentation des T8 et le nombre total des cellules T reste constant ! Force est alors d'en conclure que la diminution des T4 n'a rien à voir avec le V.I.H. et qu'elle a une autre cause. Le stress.

    Deux remarques toutefois

    1) Tout à la fin de ce passage, l'auteur dit que la cause du sida est le "stress". Pour cet auteur, le stress en question est gros le stress "psychologique".

    Mais comme l'a souligné Cheminot, et c'est l'opinion de la grande majorité de la dissidence scientifique, le stress en question est le stress "oxydatif" (pour savoir ce que c'est, voir par exemple le début de ce post-ci, le passage relatif au monoxyde d'azote), ce qui n'est pas la même chose que le stress psychologique. Le stress psychologique n'agit essentiellement qu'en tant que facteur (gravement) aggravant, mais il est vrai que le stress psyclologique peut parfois à lui tout seul causer un sida. Mais ce n'est pas en soi la cause principale du sida.

    2) D'après ce que j'ai lu, Anthony Fauci, qui avait découvert l'effet de la cortisone sur la chute apparente (car les T4 migrent en fait vers les tissus, soit un endroit où le nombre des T4 ne peut être mesuré par les tests) des T4 (et le stress "psychologique" produit chimiquement le même effet), est devenu actuellement l'un des bien nombreux chantres de la théorie orthodoxe du sida. Comme sa découverte est de nature à décrédibiliser dans une certaine mesure le dogme qu'il défend ardemment, il a maintenant renié le bien-fondé de sa découverte, quoique sa découverte scientifique soit maintenant universellement admise ! Il en refuse dorénavant la paternité.

    PS : Pour le reste, et vu qu'il est trop tard, je posterai à un tout prochain soir un autre post sur ce sujet des T4 car j'ai relu certains articles parus sur sidasante.com, et je crois qu'il y a peut-être un début d'explication scientifique aux différents cas de séropos vivant très bien des années durant avec un taux de T4 ridiculement bas (j'avais déjà tenté d'aborder la question à la fin de ce post-ci, mais au vu de ces nouvelles lectures, il conviendrait d'y apporter de multiples précisions et corrections).

    En tout cas, plus que jamais, je suis convaincu d'une chose, à savoir que la question essentielle n'est pas de savoir "Comment faire remonter ses T4" mais plutôt "Faut-il accorder autant d'importance à la mesure (de la chute apparente) des T4 tels que ceux-ci sont actuellement mesurés, lorsque le séropo en question n'a pas de raison de penser qu'il souffre encore d'un stress oxydatif plus élevé que la "normale" des gens (et la circonstance qu'il ne souffre pas ou rarement de maladies "opportunistes" le prouve justement) ?".

  21. (Terry @ Dimanche 19 Février 2006, 15:31)

    de plus ils ne s en cachent pas........des milliers d etudes sur le net demontre clairement que ces medicament sont tres tres tres tres tres dangeureux, alors pour une fois qu ils nous disent la soit disante verité pourquoi pas les croire ?!! pour une fois !

    Oui, effectivement, le lecteur intéressé trouvera la liste des innombrables effets secondaires et mortels des drogues dites "antivirales" en cliquant ici.

    Certes, c'est en anglais mais il n'est pas nécessaire de bien connaître l'anglais pour être impressionné et atterré par de telles listes qui ont l'air de ne jamais finir !

    Raison pour laquelle j'estime pour ma part que les drogues "antivirales" ne doivent être utilisées que dans la seule mesure où malgré un retour à une vie "saine et équilibrée", le séropo continue malgré tout à faire des infections opportunistes répétées et sans cesse de plus en plus graves . Il faut alors considérer que le stress oxydatif dont souffre le séropo est hélas devenu irréversible (mais de tels cas ne sont pas du tout la norme, me semble-t-il, du moins lorsqu'on s'est définitivement arrêté de consommer des drogues récréationnelles et chimiques et que l'on a repris une vie "saine et équilibrée", le cas échéant en faisant de temps en temps des cures de certains antioxydants naturels [comme le ferait d'ailleurs n'importe quelle personne séronégative, à qui la médecine recommande également la chose, afin de préserver sa santé en général]).

    Bref, pour que le recours aux drogues "antivirales" soit justifié, il faut déjà :

    1) que le séropo soit malade cliniquement , c'est-à-dire qu'il souffre réellement de maladies (et donc sans avoir référence aux T4 et à la pseudo charge virale; on a en effet déjà démontré dans plusieurs topics de ce site que ces soi-disant marqueurs de l'immunodépression sont tout ce qu'on veut, sauf décisifs), ce qui me semble une évidence (condition que ne remplit pas Pierrot,visiblement)

    2) et que ces maladies "opportunistes" (on dirait plutôt "exotiques" : lire ici) se répètent et deviennent de plus en plus graves, et ce malgré un retour à une vie saine et équilibrée (comme cela a déjà été souligné, la plupart [mais pas tous effectivement, ces derniers souffrant visiblement d'un stress oxydatif devenu irréversible] des séropos qui ont abandonné leurs drogues antivirales et ont adopté une vie saine et équilibrée se porte à merveille).

    Il n'y a de toute façon pas le feu au lac, pour ce qui concerne Pierrot, me semble-t-il ! Sauf erreur de ma part, sa situation ne sera jamais aussi grave que celle des séropos de 1996 qui, sur leur lit de mort, ont carrément ressuscité "grâce" (et là, je le pense vraiment, quoique leur effet "Lazare" soit en grande partie expliqué parce que les séropos en question étaient ou avaient été sous AZT et en subissaient les effets mortifères) aux drogues "antivirales" (Et Cheminot en a déjà expliqué les raisons à plusieurs reprises, raisons que j'ai d'ailleurs reprises dans le cadre de cet autre post.).

    Et Pierrot étant dans une "forme olympique" (comme il le dit si bien), il me semble à des années-lumières de ce cas de figure !

  22. Donc voilà concretement il ne faudrait pas s'evader du sujet comme bien souvent d'ailleur.

    Oui, bebert, tu as d'autant plus raison que moi-même, j'ai fait cette même réflexion il y a quelques semaines dans un autre topic.

    Pour tenter de me faire pardonner, je me suis forcé (car ayant la chance de n'avoir jamais souffert de condylomes génitaux, je ne me suis guère intéressé à la question jusqu'à maintenant) de faire des recherches sur le sujet. Recherches complémentaires puisque plusieurs solutions avaient déjà été proposées auparavant sur ce topic.

    En voici le résultat. Bien entendu, tu assumeras seul l'entière responsabilité de ce que tu en feras, n'étant pas médecin.

    De manière générale, ce que j'ai pu trouver ne concerne que les condylomes "extérieurs", c'est-à-dire ne se trouvant pas dans le vagin ou l'anus, comme cela semble surtout avoir été le cas pour toi. Mais peut-être que cela t'évitera de nouvelles récidives.

    J'ai bien entendu essayé de trouver des solutions autres celles résultant de la médecine traditionnelle "qui a fait ses preuves" et dans laquelle je ne crois plus un seul instant, excepté dans les cas extrêmes et surtout en cas d'échec des autres thérapies dites "alternatives" (mais qui me semblent maintenant bien plus efficaces que la médecine dite traditionnelle).

    1) Surtout, ne pas paniquer !

    Evitez tout d'abord l'effet nocebo lié à l'annonce d'un condylome génital. Nous sommes également en pleine psychose à ce sujet puisqu'il est dorénavant considéré comme une IST.

    D'après ce que j'ai trouvé sur le sujet, finalement, le condylome génital n'est rien d'autre qu'une forme particulière de verrues (il a plusieurs sortes de verrues : les verrues vulgaires, les verrues séborrhéiques, les verrues planes, les verrues plantaires .... et enfin les condylomes génitaux, également connus sous le "doux" nom de "crêtes de coq").

    Les condylomes sont des verrues particulières en ce sens qu'elles sont roses et tendres (bon, ce n'est pas du filet mignon, non plus ! lol), ont généralement la forme de chou-fleur, et surtout sont sexuellement transmissibles (même sans usage de la capote, toucher avec le doigt peut "parfois" être suffisant) et terriblement contagieuses (cela explique pourquoi la capote est loin de toujours protéger contre les condylomes), plus contagieuses que les verrues "ordinaires", semble-t-il.

    Quoiqu'on s'éloigne un (tout petit) peu du sujet, je ne peux m'empêcher de m'interroger sur le caractère "terriblement contagieux" des condylomes, compte tenu de ma propre expérience personnelle (même si cela ne veut sans doute pas dire grand chose). A ce jour, et je ne m'en vante pas pour autant, j'ai eu des relations disons "très rapprochées" avec au moins quinze personnes dont je sais très pertinemment qu'ils avaient des condylomes aux endroits critiques lors de ces rencontres. Et pourtant, à ce jour, je n'en ai jamais contracté moi-même (tout ce qui peut s'y apparenter et de très très loin, est juste une verrue vulgaire sur le doigt à 22 ans, vite soignée par cryothérapie à l'azote liquide, et que j'attribue plutôt à l'humidité d'une salle de sport que je fréquentais régulièrement, qu'à une quelconque relation sexuelle). Et je ne crois pas à la "chance" pour autant. Ici aussi, je suis persuadé que le principe essentiel "Le terrain est tout, le virus n'est rien" est parfaitement applicable, d'autant plus que j'ai constaté que les verrues (condylomes compris donc) sont causées par des "papillomavirus", dont il existe une trentaine de variétés, et qui sont donc justement des virus !

    Donc, pas de panique, les condylomes ne sont finalement que des verrues placées à de bien mauvais endroits ! Et à ce titre, les condylomes (hormis ceux qui affectent réellement l'appareil urogénital, c'est-à-dire dans le vagin ou l'anus) doivent pouvoir se soigner normalement comme n'importe quelle verrue.

    Et d'après ce que j'ai lu, la plupart des verrues disparaissent d'elles-mêmes.

    Mais que faire quand elles ne disparaissent pas et pour autant qu'elles n'affectent pas le vagin et/ou l'anus proprement dit ?

    Je vais énumérer quelques solutions que j'ai pu trouver pour les verrues en général (mais qui doivent donc pouvoir être appliquées pour les condylomes également).

    2) En phytothérapie (soit se soigner avec les plantes; attention, c'est peut-être une médecine naturelle et efficace quand on s'en sert efficacement, mais il faut être prudent, car si on ne manie pas la phytothérapie avec la dextérité requise, elle peut se révéler aussi néfaste que les antibiotiques et autres médicaments de la médecine "orthodoxe"; mais bien utilisé, les résultats peuvent réellement être spectaculaires)

    a) Une première possibilité consisterait à presser sur la verrue chaque jour le suc d'une tige de pissenlit ou le suc de chélidoine (cela fait des siècles et des siècles que les verrues sont soignés avec du suc de chélidoine).

    Une deuxième possibilité (ou peut-être est-il possible de cumuler les deux même) consisterait à appliquer une goutte pure d' extrait de pépins de pamplemousse deux fois par jour [matin et soir] sur la verrue). De manière générale, et vu les applications thérapeutiques innombrables et incomparables de l'extrait de pamplemousse (qui est en fait l'un si pas le meilleur antibiotique naturel au monde, et surpasse de loin nombre d'antibiotiques de la médecine orthodoxe), s'il y a un produit naturel que tout le monde se doit de posséder chez lui, c'est bien celui-là ! Il y a d'ailleurs un topic sur le sujet sur ce site.

    b) Il écherrait ensuite de badigeonner la verrue régulièrement chaque jour d'extrait de thuya et/ou d'huile de ricin .

    3) En aromathérapie (soit se soigner avec des huiles essentielles; attention, TOUJOURS utiliser des huiles essentielles avec la mention H.E.B.B.D., soit Huile Essentielle Botaniquement et Biochimiquement Définie [par exemple, en Belgique, la gamme des produits "PhytoSun' Arôms"], sous peine de catastrophe !!!; et bien utiliser le produit tel que précisé ci-dessous, et pas une autre variété de ce même produit, sous peine de catastrophe également !)

    Il conviendrait d'appliquer sur la verrue :

    - Soit l'huile essentielle (citron) : Citrus limonum o.p. zestes expressés, s.b. limonène, b (en fait, c'est la lettre grecque "bêta", mais je ne l'ai pas sur mon clavier) - pinène, citrals (j'insiste bien, c'est cette huile essentielle bien précise qu'il faut utiliser, et pas une autre variété quelconque, sinon, pas d'efficacité ou pire encore, aggravation !)

    - Soit l'huile essentielle (tea-tree): Melaleuca alternifolia o.p. feuilles, s.b. 4-terpinéol, g (en fait, c'est la lettre de l'alphabet grec "gamma") - terpinène . Cette huile essentielle, appelée habituellement Arbre à thé (mais je le répète, il faut uniquement utiliser la variété précisée ci-dessus dans ce cadre-ci !), était très utilisée par les australiens comme antiseptique universel avant l'avènement des antibiotiques "modernes". De manière général, il s'agit d'un antibactérien à large spectre, un antiviral, antifongique, antiparasitaire et antiseptique (bref, antitout, un peu comme l'extrait de pamplemousse).

    Les bonnes pharmacies disposent de ces huiles essentielles et si tu as un bon pharmacien, il te conseillera efficacement.

    4) Oligoéléments

    En complément de ce qui précède, la prise de certains compléments oligoéléments peut aider à la guérison, à savoir le soufre, le manganèse et le cuivre.

    5) Homéothérapie

    Sinon, il y a aussi cette solution-là, comme déjà suggéré dans ce topic, entre autres par Cheminot.

    6) Cryothérapie à l'azote liquide

    C'est la solution radicale. On brûle par le froid, avec de l'azote liquide. Mais évidemment, les condylomes se trouvent dans des endroits très sensibles, donc, cela ne paraît pas évident (par exemple, s'il se trouve sur le pénis !).

    Il n'est pas forcément nécessaire d'aller chez un dermatologue. En pharmacie, on en trouve aussi (par exemple, la marque "Wartner" [désolé de faire de la pub]).

    7) Et qu'en est-il des condylomes de l'appareil urogénital ? (comme cela fut surtout le cas pour toi)

    Hélas, quand le condylome se trouve dans l'anus, il est indispensable d'aller voir un spécialiste, et l'électrocoagulation (comme tu l'as subie) paraît encore être la meilleure solution. Si cela peut te consoler, il y a quelques années, j'ai été opéré d'une fissure anale (causée par les médicaments conseillés par la médecine orthodoxe pour traiter des hémorroïdes) et je sais parfaitement ce que c'est. Mais après quelques semaines et pour autant qu'il soit sollicité durant ce laps de temps à des fins "normales", tout rendre à nouveau dans l'ordre.

    Ceci étant, même dans dans ces cas-là, la phytothérapie pourrait être d'un grand secours. Il semblerait que les condylomes dans l'anus soient très bien traitées et disparaissent (sans faire appel à l'électrocoagulation donc) avec des extraits liquides de podophyllum . En effet, grâce à la podophyllotoxine qu'elle contient, la (ou le ?) podophylle est très efficace sur les tumeurs cutanés. Mais comme il est assez toxique, son emploi est justement limité aux condylomes.

    icon_cool.gif Recommandation d'ordre général sur la médecine dite naturelle

    Je profite de ce topic pour recommander avec la plus grande énergie (bon, c'est un peu de la pub, mais comme je pense sincèrement que c'est un très bon ouvrage, je le recommande) cet ouvrage-ci pour tous ceux qui veulent éviter, autant que faire se peut, de recourir à la médecine orthodoxe, généralement nocive, à savoir : Docteur Guy Avril, Encyclopédie des thérapies naturelles, Editions Dangles, 2005, 768 pages, lequel ouvrage aborde les nombreuses possibiltés de thérapies naturelles existantes. Vous pouvez le commander en cliquant ici, et vu tout ce qu'il offre, je ne le trouve pas cher du tout (31,50 EUR). Je trouve que c'est de l'argent très bien placé (pour sa santé).

    L'auteur de cet ouvrage est tout à fait remarquable puisqu'en matière de sida, il fait preuve d'une très grande honnêteté intellectuelle en parlant de l'existence d'explications alternatives au phénomène du sida, et sans prononcer l'expression "dissident du sida", reprend les remèdes préconisés par la dissidence du sida. Voilà qui est assurément de nature à accorder un crédit supplémentaire à son ouvrage !

    Bon, voilà, j'espère que je suis maintenant pardonné, Bebert !

  23. en parlant de poppers il faut aussi préciser qu'il fut interdit en France vers la fin des années 80 (années SIDA) on l'a de nouveau autorisé à la vente quelques mois plus tards  mais il semble que sa composition à été changée

    D'après ce que je sais, le seul poppers autorisé en France est celui est prétendument considéré comme n'étant "quasiment pas nocif". Le poppers de France serait uniquement à base de "nitrite d'isopropyle" qui ne serait donc presque pas nocif. J'attends de savoir ce qu'en pense Cheminot à ce sujet.

    Les gay de France se plaignent très souvent de cette seule sorte de poppers autorisée en France parce qu'il sent mauvais, irrite le nez et n'a pas beaucoup d'effet. Ils se précipitent donc sur internet ..... ou pour ceux qui le peuvent, en Belgique (!), pour acheter le vrai, l'unique et le "bon poppers" qui est à base tantôt de nitrite d'amyle tanôt de nitrite de butyle (et je confirme que ceux-ci sont effectivement "bien meilleurs", irritent rarement le nez, sentent rarement mauvais et ont plein plus d'effets que ceux de France).

    Ce serait bien que Cheminot nous dise si effectivement le poppers de France (à base uniquement de nitrite d'isopropyle, semble-t-il) serait effectivement beaucoup moins nocif que les "vrais" poppers (sans pour autant en faire l'apologie, le cas échéant ! lol).

  24. (axelwebb @ Jeudi 16 Février 2006, 01:46)

    en afrique un prfesseur contamine 16 femmes toutes enceintes( bel etalon) et donc forcément malades elles et leurs futurs bébés... pffff c'est quoi c'ette histoire ?

    En fait, ce serait 8 femmes et leurs 8 bébés.

    Mais effectivement, indépendamment de toutes les explications que l'on a déjà émises, il me semble que publier un tel témoignage va à l'encontre même de la théorie orthodoxe du sida et je me demande même s'il était vraiment nécessaire de donner toutes les explications qui précèdent.

    En effet, cet enseignant a défié toutes les statistiques de contamination. Quand on sait que le risque de transmission hétérosexuelle de séropositivité serait de 1 pour 2000, il aurait fallu que cet enseignant ait eu 16.000 (!) relations sexuelles avec ces 8 femmes pour être "sûr" qu'elles soient "contaminées". C'est en effet un fameux étalon, même si pour une raison ou l'autre, on devrait considérer que les risques de transmission hétérosexuelle seraient un peu plus élevées en Afrique.

    Bref, publier cette "histoire", c'est l'air de rien contredire déjà en soi la théorie orthodoxe du sida. Et les différentes explications énumérées ci-dessus ne font qu'appuyer définitivement cette certitude.

  25. Si j'ai bien compris Cheminot, je crois qu'il a voulu dire en gros (et dans mon langage de profane) que l'orthodoxie du sida est prêt à inventer tout et n'importe quoi :

    1) pour "prouver" que l'AZT ne cause pas ou si peu de stress oxydatif dans l'organisme (quitte à déformer les faits et à ne pas tenir compte de multiples expériences scientifiques antérieures), et donc que l'AZT ne cause pas le sida sur ordonnance, et

    2) et pour "prouver" que les dégâts causés au foie ne sont pas dus à l'AZT mais bien à une nouvelle enzyme tout récemment "découverte".

    Pour ma part, je me demandais s'il n'était pas possible pour des scientifiques dissidents de proposer à la Revue "Nature" de publier un article qui réfuterait les différents mensonges et grossières erreurs dénoncés par Cheminot dans cet article. Comme cela ne heurterait pas de front le dogme du virus tueur, est-ce que cela ne serait pas possible ?

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