Les statistiques bidons du SIDA en Afrique

 

Une des raisons capitales qui font que le grand public croit encore au mythe du VIH/SIDA, ce sont les statistiques bidons sur le SIDA en Afrique. Que les gens se mettent à ne plus croire que le SIDA ravage l'Afrique et c'est l'ensemble de la crédibilité de l'hypothèse VIH/SIDA qui s'effondre. En occident, il y a, en effet, tellement peu de cas, que s'il n'y avait pas les cas africains, plus personne n'aurait peur du SIDA. Ce serait la même chose que le SRAS, autre maladie et virus bidon qui ne fait plus peur à personne. La croyance dans les statistiques Africaines est une des clefs de voute de la croyance au lien VIH/SIDA.

On va donc voir que les statistiques Africaines sont fausses, que certains exemples de villages vidés de leur population male entre 20 et 30 ans sont exacts, mais seulement parce que les adultes sont partis chercher du travail ailleurs à cause de la guerre, qu'en améliorant les conditions de vie dans ces villages, sans recourir à de quelconques médicaments, la mortalité revient à la normale, et que, si l'hypothèse de transmission actuelle était vraie, alors, l'Afrique ne pourrait pas avoir autant de cas que ce qu'affirme la théorie officielle.

 

Document de compilation

(un document dans lequel j'ai copié uniquement ce qui avait trait aux statistiques africaines)

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Les documents complets

 

VIH/SIDA, l'effondrement d'un mythe

Quelle épidémie africaine ?

La dissémination du VIH en Afrique sub-saharienne ne peut pas être expliquée par la transmission sexuelle ou verticale

Le SIDA n'est pas une condamnation à mort

SIDA en Afrique. Une expérience de terrain en Tanzanie. Dr Marc Deru

Nous vivons avec le VIH / SIDA depuis 20 ans : Un appel pour une discussion ouverte sur des faits contradictoires

VIH en Afrique : de nombreuses anomalies

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Dossier Afrique du sud

 

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