Sida : Droits des patients et santé publique.



“Sida : Supercherie scientifique et arnaque humanitaire” est le titre d’un livre récent en français par Jean-Claude Roussez. Conclusion qui est aussi la mienne au sujet du $IDA après 18 ans au coeur du sujet.

Diagnostiqué en 1986 par l’Institut Pasteur à Lyon je n’ai jamais pris des “traitements” officiels et arrêté les “bilans” Sida en 1993. Sauf récemment pour les besoins d’un procès que je prépare avec un excellent avocat contre cet Institut pour “administration de substances dangereuses, mise en danger d’autrui, faux et utilisation de faux” - bref pour diagnostic frauduleux.

La guérison du $IDA n’existe pas et la recherché depuis 20 ans est un échec au niveau de la santé publique ! (Mais non pour les profits de l’industrie pharmaceutique).

La guérison véritable de ce que l’on appelle “Sida” commence par l’accès libre à toutes les informations, et ensuite la guérison de la peur et l'ignorance entrenue par l'orthodoxie. Ensuite le libre choix thérapeutique est fondamental.

D'abord qu'est-ce que le sida ? Une définition artificielle qui regroupe des conditions qui existaient déjà. Les premiers cas recensés par les Américains étaient TOUS des grands utilisateurs de drogues illégales et légales – fait constaté par les premiers études – ensuite oublié quand il devenait plus important de chasser un virus hypothétique, et donc sauver la recherche rétrovirale (EdH), plutôt qu’admettre les multiples causes. En tant que "ex-toxico" je peux vous assurer que l'on est exposé à de multiples risques d'infection - partage d'aiguilles, maladies sexuellement transmissibles sans parler de la malnutrition qui accompagne la plupart des toxicos car ils ne mangent quasi plus! Pas besoin de VIH pour rendre malade....

Secundo les tests VIH donne des positifs à presque 70 conditions autres qu'un VIH - hépatite, vaccin contre la grippe, malaria, tuberculose etc., etc. (voir "Facteurs reconnus pouvant donner des résultats de tests VIH faussement positifs.")

Le diagnostic VIH+ en soi crée un état de peur qui est immunosuppresseur. Le fait d'être "séropo" fait que l'on n'est plus traité pour des conditions réelles telle la tuberculose - mais pour un "virus" qui n'a jamais été isolé correctement par la science rigoureuse.

Tous les traitements "antirétroviraux" sont entre les plus toxiques jamais utilisés légalement sur l'homme. Les drogues illégales telle l’héroïne, cocaïne, amphétamines, alcoolisme etc. ainsi que de nombreuses drogues légales abîment progressivement l'immunité naturelle.

La peur et les traitements suite au diagnostic jouent beaucoup dans la maladie. Évidemment les pontes du sida ont diminué la dose astronomique d'AZT vers 1992, et avec l'introduction des molécules anti-protéase vers 1996 qui sont encore moins toxiques, l'orthodoxie a crié aux succès des "trithérapies". En fait avec l'AZT entre 1987 et 1995 les gens tombaient comme des mouches à cause de l'AZT!

Une étude par des Anglais (Padian) vers 1992 a montré que la transmission sexuelle était extrêmement difficile - genre 1000 contacts avant une éventuelle contamination. Mais quand on sait que ce qui est détecté par le test - de quoi est la personne vraiment contaminée?

Pour résumer aujourd'hui les personnes diagnostiqués "VIH" tombent sous un régime médical illégal et fasciste qui les entretient dans un monopole illégal (diagnostic=traitement) et ne leur permet pas de recevoir des soins immuno-stimulateur au point de rayer des médecins de l'ordre et discréditer des thérapeutes qui aident leurs patients dans ce sens. Lire "Pratique illégal de la guérison" (Eds. Ressurgence) de Sylvie Simon par exemple.

En 1988 j’ai découvert une approche holistique de la santé qui a changé ma vie dans le sens que je pouvais faire de nombreuses choses POUR ma santé et non contre « ma maladie ». Il y a de nombreux courants millénaires et modernes qui enseignent la santé d’une manière globale et où la personne est soutenue pour devenir responsable dans son apprentissage.

Diagnostiqué en 1986. Bien vivant en 2004 sans «traitements» ni «bilans VIH»

L’existence de survivants à long terme non-médicalisés est un phénomène trop souvent occulté par l’orthodoxie et les médias. La découverte de ma séropositivité, en 1986, m’a propulsé sur un long voyage d’investigation et de découverte. Aujourd’hui je peux dire que mes conclusions sont basées sur le bon sens, une fois que la peur, la stigmatisation et l’ignorance ont été balayées par un examen approfondi des faits dans la littérature scientifique, par des rencontres avec d’autres survivants de par le monde, et par la collaboration avec de nombreux scientifiques et professionnels de la santé.

J’eus une première information exceptionnelle dans les jours qui suivirent mon diagnostic dans une clinique privée en Suisse où j’étais en sevrage de dépendance à l’héroïne. Un groupe d’infirmières m’informa qu’il existait aux États-Unis des séropositifs en bonne santé qui avaient changé leur alimentation, faisaient de la méditation et du sport. (Mais on me recommanda de ne surtout pas le mentionner aux médecins de la clinique !)

Cette information me donna une lueur d’espoir et un but à poursuivre pendant les trois années suivantes, qui furent des années d’enfer. C’est à Genève en 1989 que je rencontrai pour la première fois deux personnes venues des États-Unis qui avaient retrouvé la santé après des pathologies graves liées au SIDA. À ce moment, je découvris également les écrits de nombreux praticiens de santé qui avaient travaillé depuis le début des années 80 dans une optique multi-causale de l’immuno-déficience. J’eus connaissance des publications du Professeur Peter Duesberg, découvreur de la carte génétique des rétrovirus, membre de l’Académie Nationale des Sciences Américaine et lauréat du prix du «Meilleur Chercheur» de cette académie. En 1987, dans le journal «Cancer», il osa nier le rôle des rétrovirus dans la maladie humaine, que ce soit le cancer ou le SIDA.

Depuis cette époque, je pose la question : «d’où viennent nos informations concernant le SIDA, et qui détient l’autorité de condamner une personne à la maladie et la mort sans espoir d’un traitement curatif?» Ceci sur la base d’un test non-spécifique pour un virus qui n’a jamais été isolé d'une manière scientifiquement valable.

Aujourd’hui (2004) je suis en train d’entamer un procès contre les fabricants des «tests» pour «faux diagnostic» et tout le tort moral que cela a entraîné pour moi et des milliers/millions d’autres. Pour le principe, pour créer un précédent, et pour la vérité.

Je suis convaincu que les historiens décriront cette époque du SIDA comme «la page la plus noire de l'histoire de la médecine» et «la plus grande tragédie médicale et scientifique de notre époque».

Le consentement éclairé et le libre choix thérapeutique sont des droits humains fondamentaux.

Avant tout, le bon sens devrait nous diriger vers la recherche des facteurs globaux qui engendrent l’immuno-déficience ainsi que l'étude des facteurs qui peuvent accroître l'immunité naturelle. À ce jour, le montant des recherches orientées sur l'approche virale du SIDA dépasse les $120 milliards pour les seuls Etats-Unis, et cela sans résultat. La mortalité due au SIDA pour tout le continent africain est inférieure à celle des Etats-Unis ! Pour citer l’Organisation Mondiale de la Santé : «La plus grande cause de mortalité, de mauvaise santé et de souffrance à travers le monde, est la pauvreté extrême.»

Aucun des textes publiés par les Nations Unies sur les droits humains de personnes «diagnostiqués VIH+» ne tient compte du fait que la formule (élevée au rang de dogme) «HIV = maladie infectieuse = SIDA = mort» est basée sur des HYPOTHÈSES et non sur des études respectant la rigueur scientifique. Nul ne sait sur quelles publications scientifiques s'appuie ce dogme. Jamais nos organismes internationaux qui diffusent ce dogme à outrance n'ont fait savoir sur quelles publications scientifiques ils s'appuient.

Tous ceux qui, dans le monde occidental comme dans le tiers-monde, sont confrontés à un diagnostic de SIDA et à la prescription de "traitements antiviraux" ont le droit de savoir que :

Même la recherche officielle internationale se tourne enfin vers des traitements immuno-stimulateurs et il est temps que la France suive ce courant. Je demande donc aux écologistes français de se pencher sur cet immense scandale et de permettre aux « séropositifs » et les soignants d’utiliser légalement des traitements naturels et immuno-stimulateurs.

Est-ce qu’une capote ou un médicament qui coûte un mois de salaire nourriront un enfant africain à moitié mort de faim ?

Pour l’Afrique je recommande lecture d’un rapport qui sera publié Septembre par Député Européen Paul Lannoye suite à un colloque « Le Sida en Afrique » en décembre 2003 à Bruxelles.

Mon site Internet www.sidasante.com est le fruit de mes recherches depuis 1988 et vous y trouverez une foule d'informations.

Je vous remercie de votre attention. Mark Griffiths, Hameau de Besse, 11300 Festes et St. André
Tél : 06 08 04 97 08, E-mail : mark@occitan.net Web : www.sidasante.com

Coup de gueule

Les irréductibles confrontés par la Gestapo médicale chez les Verts.

Nous étions invités tardivement par les Verts à présenter notre point de vue lors des « Journées de l’été » à Toulouse le 27 août 2004. Notre venu fut organisé par M.B. - un écolo et activiste pour la santé naturelle faisant partie de « la Commission santé » des Verts. Malgré notre insistance, je n’ai jamais pu obtenir une invitation officielle et j’ai soupçonné un traquenard. M.B. a soutenu récemment 2 médecins controversés en France dans 2 Tribunaux différents qui continuent la chasse aux sorcières des médecines douces en France.

Le titre, sans nous consulter fut « Santé-Sida » et sur le programme on nous présentait comme « Van den Harven, virologue, Mark Griffiths, ex-sidéen depuis 18 ans : Penser le Sida autrement, est-ce possible? » Je n’aurais pas accepté « l’ex-sidéen » car c’est trop provocateur.

La 1e présentation officielle était du pur « Sida-langue de bois » et déjà des critiques étaient émis sur « nos théories » avant nos présentations. La 2e présentation fut plus humanitaire, prenant en compte la personne et sa globalité, mais les 2 ne mentionnaient que des traitements officiels.

Dans la salle, certaines personnes – des médecins inclus, manifestaient déjà de la colère et la moquerie envers nous. Leur affiliation à Act-Up et AIDES, tous les 2 parrainés par les fabricants des molécules anti-rétroviraux, fut mentionné.

À aucun moment l’animateur n’a ramené dans le droit chemin ces participants. Donc la première partie a pris énormément de temps, et le ton montait déjà contre notre message.

EdH a commencé sa présentation aux cris de « pervers, dangereux, scandaleux etc. » et une grande nombre de l’assistance est partie.

Au moment de mon témoignage j’avais déjà décidé de le garder court et en fin de compte j’ai cité le titre de la présentation « Penser le Sida autrement, est-ce possible. ? » et répondu simplement « Oui, penser le Sida autrement, c’est possible. » Les menaces et insultes de la salle m’ont provoqué à parler de « l’intolérance, le fascisme de la Mafia médicale et le spectre du Nazisme qui se manifestait » dans un cadre soi-disant démocratique et écologique. Je rappelle que l’Ordre des Médecins Français est né au début du gouvernement Vichy – sous les nazis.

Le comble et la fin de la séance fut la sonnerie de l’alarme feu !!!

Si c’est cela « la politique de santé » des Verts, notre santé publique est mal barrée. C’est la troisième fois de suite que nos présentations en France sont, ou boycotté, ou sabotées. C’est sûr qu’il y a une pression ou de l’Ordre des médecins ou les labos (ou les deux) pour nous faire taire et discrédité. Il n’y avait aucune mention de la médecine naturelle pendant les débats.

Il y a une incohérence voir une hypocrisie chez les Verts qui oeuvrent pour nous protéger des pollutions environnementales mais qui ne font rien pour une écologie corporelle. Pourtant ce sont les mêmes multinationaux qui profitent…

Notre ami M.B., de bonne foi, a été dupé pour nous emmener dans ce traquenard.

Vive la liberté, égalité et fraternité !

Mark Griffiths
info@sidasante.com


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