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Liane

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Messages posté(e)s par Liane

  1. C'est vrai, j'ai confondu les deux produits.

    Trouvé sur un site commercial :

    Le polycosanol est un vasodilatateur. Il améliore la circulation sanguine par ses éléments précurseurs de l'oxyde nitrique (dont le L-Arginine) dans l'endothélium artériel.

  2. Etant donné que le policosanol contient des omégas 3, l'un des précurseurs du glutathion (comme déjà dit ailleurs sur ce forum), ce n'est pas un hasard.

    Mais le policosanol contient aussi d'autres éléments dont des alcools gras qui servent à faire baisser le taux de cholestérol.

    Je me demande, si l'on n'a pas un excès de cholesterol, l'effet que ça donne sur le corps. reflechi.gif

  3. (aixur @ Dimanche 17 Septembre 2006 à 05h23)

    Et puis, comme la méthode actuelle ne vaut à mon avis pas plus que la méthode précédente, forcément, on n'est pas tellement plus avancé.

    Mais si ! Nous avons gagné les nouveaux virus de l'hépatite B et C qui comme par hasard, sont liés au taux de glutathion.

    2 virus traqués mondialement mais qui ont un "public" cible bien défini, surtout le VHC ! 4-ptdrasrpt.gif

  4. ... ces protocoles thérapeutiques ne sont pas appliqués massivement.
    Pourquoi à ton avis ?

    Parce que officialiser les fait que les antioxydants font remonter les T4 et font baisser la charge virale (si l'on prend toujours en compte ces mesures pour le pronostic du sida) fera crever l'abcès.

    Crever l'abcès car le corps médical (médecins, infirmiers, laborantins, etc...) voudront forcément savoir par quel mécanisme mystérieux les antioxydants arrivent à tenir en échec un dangereux virus que toutes les recherches officielles du monde n'ont toujours pas cerné, malgré les milliards de dollards investis sur le sujet.

    Les antioxydants suscitent des questions qui mèneront à l'origine de la " regrettable erreur ", n'est-il pas ?

  5. Et la vitamine C a ce double avantage :

    1- combinée à d'autres éléments, elle augmente le taux de glutathion réduit (GSH)

    2- elle favorise la synthèse bénéfique du NO dans les cellules qui en ont besoin->vasodilatation naturelle.

    La vitamine C, facteur vasodilatateur :

    Elle stimule le relâchement d'oxyde nitrique NO qui relaxe les parois des vaisseaux et des capillaires ( effet vasodilatateur et ainsi hypotenseur)

    Elle améliore la vasodilatation, la souplesse des parois et leur résistance.

    http://gestionsante.free.fr/vitamine_c_et_cancer.htm

    En général, qui dit "vaisseaux relaxés" dit "bonne ciruclation sanguine" et augmentation de l'élimination des toxines.

    Pour la suite sur la vitamine C, il y a un topic ouvert ici.

  6. Il semble en effet y avoir des chuchotements selon lesquels les statines feraient baisser la charge virale.

    - Concernant la charge virale, au risque de le répéter, mais bon : c'est par là.

    - Concernant les statines, que l'on soit séropo ou que l'on aie un problème de cholestérol :

    On sait que cet été Bayer a retiré brutalement du marché son médicament anti-cholestérol de dernière génération (il avait obtenu son AMM en 1997) provoquant un désarroi certain parmi le public et tout particulièrement parmi les utilisateurs de statines, classe récente de médicaments dont faisait partie la cérivastatine. Le médicament de Bayer, appelé en France le Staltor ou le Cholstat (ce dernier était commercialisé par les laboratoires Fournier), et Lipobay dans les pays anglophones, s'est en effet avéré toxique dans certains cas et a provoqué la mort de 52 patients par rhabdomyolyse. Dans cette affection aiguë, les cellules musculaires sont détruites et libérées dans le sang. Elle déclenche des douleurs musculaires très vives, généralement dans les mollets et le bas du dos. Dans les cas extrêmes, les malades sont atteints de défaillances rénales ou d'autres organes, potentiellement mortels. Le chiffre initial de 52 victimes au niveau mondial (une centaine en définitive) peut sembler faible par rapport au nombre de malades traité à la cérivastatine, d'autant qu'il n'y aurait eu qu'un seul décès en France sur 500 000 utilisateurs du produit de Bayer. Mais outre que les 100 morts officiellement recensés sont peut-être sensiblement plus nombreux en réalité (il souvent difficile de s'assurer de la responsabilité d'un médicament lors d'un décès), il est probable que la statine de Bayer a aussi été une causalité associée à d'autres pathologies ayant entraîné des décès. Il faut bien sûr aussi penser à tous ceux qui ont pu être plus ou moins sérieusement affectés par ces troubles sans que cela ait heureusement entraîné de décès. Ils seraient 29 dans ce cas en France. Mais on sait que la pharmacovigilance qui, en France, est du ressort du médecin traitant (le malade n'ayant pas le droit de signaler directement ses troubles éventuels) est caractérisée par une phénoménale sous-déclaration.

    Nous verrons aussi, qu'outre cette maladie très particulière, les statines en général peuvent avoir des effets secondaires plus que préoccupants, comme les troubles hépatiques et la baisse du taux de Co-Q10, un antioxydant majeur, cardio-protecteur de surcroît, laquelle est systématiquement entraînée par le traitement. On évoque même des effets cancérigènes, lesquels semblent avoir été jusqu'à présent volontairement passés sous silence, mais qui mériteraient de faire l'objet d'une étude approfondie pour toutes les classes de statines, compte tenu que ce médicament est le plus souvent pris sur plusieurs années, voire à vie. Les risques associés à la prise des statines sont accentués par la surprescription dont ils font l'objet, notamment en France où la surprescription d'anticholestérol (et de toutes les classes de médicament) est une vieille tradition (1).

    On sait qu'en France le poids des lobbies pharmaceutiques sur le corps médical pousse inlassablement vers le "tout médicament", ce qui limite singulièrement tout ce qui a trait aux conseils hygiéno-diététiques qui devraient pourtant dans la plupart des cas précéder ou accompagner le traitement médical. Dans le cas des hypocholestérolémiants un régime approprié doit être appliqué, ce qui est prévu dans les indications thérapeutiques. Quels sont les régimes proposés par les médecins ? Sont-ils adaptés ? Quelle est l'efficacité réelle du traitement quand le régime n'est pas suivi ? Quel pourcentage de la population sous statine ne suit pas de régime ? S'il y a des études sur ces questions, elles sont soigneusement occultées...

    http://gestionsante.free.fr/cerivastatine.htm

    Il me semble que les topics Guérir le sida et le glutathion apportent des pistes plus sérieuses que les statines.

  7. Il faudrait déjà que les solutions soient appliquées maintenant !

    Ce que l'orthodoxie est loin de faire. Les séropos sont contraints à trifouiller sur le net pour comprendre le stress oxydatif, et ensuite se chercher un nutritionniste compétent.

    Si la piste des antioxydants avait été suivie il y a 25 ans (alors que l'orthodoxie connait l'importance des antioxydants depuis 1988), on aurait aujourd'hui des nutritionnistes dignes de ce nom, spécialisés en stress oxydatif, avec pignon sur rue, et faciles à joindre icon_tresfache.gif

    Après 25 ans de terreur, l'orthodoxie aborde la piste des antioxydants en théorie, mais ne la pratique pas.

    Les trithérapies sont toujours présentées comme la seule soultion, soi-disant une lueur d'espoir.

    La mise en scène va crescendo. Il suffit de lire les échos du XVI Congrès International sur le Sida (août 2006).

    Mise en scène qui rapportera toujours gros tant que les médias officiels (et leurs annonceurs) persisteront dans la désinformation la plus totale.

    Côté bénéfices financiers, ce sont les trithérapies qui l'emportent.

    Et tant que le public (tant au niveau des test "vih" que les séropos) se laissera compter, la chape de plomb du silence étouffera le piste des antioxydants.

    Cela, d'autant plus que les antioxydants semblent offrir des solutions à d'autres problèmes de santé tels les cancers, les maladies auto-immunes, alzheimer, schizophrénie, arthrose/arthrite, problèmes cardio-vasculaires, etc...

    De quoi mettre en faillite les groupes pharmaceutiques (valeurs sûres) côtés en bourse et générateurs de profits basés sur du super-bullshitt (du vent, de la peur distillée aux gens)

    Profits sur lesquels l'équilibre de notre société actuelle repose dans sa quasi totalité.

    Plus d'argent en bourse -> plus de retraites (bénéfices des caisses de pension), plus rien, remise des compteurs à zéro.

    Alors, à quand la vulgarisation de l'usage des antioxydants auprès des professionnels de la santé ????

    Pendant que l'orthodoxie tergiverse, il y a des gens condamnés à mort par des tests à la c..., des familles explosées par un prétendu virus, des hommes et des femmes emprisonnés après avoir soi-disant "contaminé" leurs partenaires, des vies sacrifiées sur l'autel du bénéfice, des bébés arrachés à leur mère et empoisonnés à l'AZT.

    C'est comme ça, aujourd'hui.

    Une HECATOMBE de merde.

    Et l'orthodoxie persiste : vaccins, quadrithérapies, microbicides, etc...

    Mais ça ne suffit pas, il faut trouver d'autres niches porteuses :

    grippe aviaire, dépistages précoces des cancers, prozac aux enfants hyper-actifs parce que shootés au benzène du coca-cola et fanta (au passage, le benzène est un des facteurs de la leucémie), viagra, et j'en passe !

    L'hécatombe est générale. Nous sommes tous des petits tiroirs caisses dont le moindre centime sera extirpé sous-couvert de la peur et de la performance immédiate.

    Et aussi parce que nous sommes généralement confiants en ce que nous dit le docteur, les journaux, etc...

    Conditionnement.

    Et tant que ce conditionnement ne sera pas remis en doute par les professionnels de la santé et de l'information, ce businness continuera.

    Il n'y a que si tu t'en prends plein la gueule avec la médecine conventionnelle et que tu refuses de baisser les bras que tu déboucheras sur des solutions occultées parce que non rentables financièrement.

    Autrement, la télévision est parole d'évangile. Encore du vent. Point barre.

    Et puis, on parle de surpopulation de la planète. Il faut bien que quelques uns se sacrifient pour laisser de la place aux autres. Mais s'ils peuvent dabord taxer à max (ou faire taxer pour eux des bonnes âmes), ils seront traits comme de bonnes vaches laitières jusqu'à la dernière goutte.

    C'est ce qu'on appelle offrir sa vie sur un plateau en argent à un c... qui te le demande.

    Juste pour revenir sur les antioxydants, qu'on ne me parle pas de phénomène de mode.

    La vitamine C à elle seule semble impliquée dans des cas innombrables de problèmes de santé :

    http://gestionsante.free.fr/vitamine_c_et_cancer.htm

  8. (Page 11)

    En cas dinfection intracellulaire chronique, la production du gaz cytotoxique NO est constamment stimulée pour tenter déliminer le germe infectieux.

    Mais le NO est un facteur toxique pour la cellule elle-même : elle doit donc se protéger contre leffet irritant et éventuellement mortel de ce gaz endogène.

    Cette protection est réalisée par divers antioxydants : protéines soufrées, vitamines,enzymes. Ces antioxydants doivent être ingérés ou synthétisés à partir de lalimentation.

    Les antioxydants portent ce nom car ils doivent constamment neutraliser des substances oxydantes telles que le NO et ses dérivés, ou les radicaux libres oxygénés (reactive oxygen species, ROS).

    Sil y a épuisement dantioxydants ( à cause de déficit alimentaire dantioxydants ou de substrats permettant de les synthétiser, ou bien à cause dinfections ou de processus inflammatoires chroniques épuisant les réserves dantioxydants) les molécules de NO et de ROS ne peuvent plus être efficacement neutralisés.

    Il sensuit une détérioration cellulaire et divers dysfonctionnements métaboliques secondaires au sein des cellules immunitaires et aussi non-immunitaires ; cela mène à une inhibition de la production de NO et par conséquent à lapparition des infections opportunistes.

    Ce cercle vicieux commençant par la présence dinfections chroniques, de malnutrition et de carence en substances antioxydantes et aboutissant à davantage dinfections appelées infections opportunistes est bien connus dans les pays du Tiers-Monde sous le nom de SIDA nutritionnel(NAIDS ou SIDAn)

    SIDA et NO

    ...

    Toutes ces infections sont la conséquence de linhibition de la productionde NO, tant dans les cellules immunitaires que dans les cellules non-immunitaires, et du blocage de la respiration aérobie de certaines cellules.

    La théorie " VIH/SIDA " a été jusquà présent incapable dexpliquer pourquoi les maladies caractéristiques du SIDA sont censées se développer à cause dun prétendu VIH transmis sexuellement ou par voie sanguine, alors que ces mêmes maladies se développent sans aucune intervention de " VIH " dans les cas de SIDA pharmacotoxique ou SIDA nutritionnel.

    Ce que ces différents cas ont par contre en commun ce sont des facteurs immunoagresseurs de type toxique, pharmacotoxique, infectieux et nutritif, ou une stimulation immunitaire massive à partir de protéines antigéniques étrangères.

    De nombreuses études expérimentales et cliniques ont établi quau tout début de la séroconversion,quand le patient devient " VIH " positif, la taux dantioxydant et de protéine sulfurée détoxifiante

    (Page 12)

    dans les cellules immunitaires est très bas, que les cellules immunitaires prédominantes ne produisent plus de NO, et que par contre la production danticorps est augmentée.

    Cela prouve que ce qui perturbe le système immunitaire de ces patients cest linhibition de la production de NO à cause du manque de molécules antioxydantes chargées de la détoxification.

    Un grand nombre de cellules immunitaires Th2 non productrices de NO quittent alors la circulation sanguine pour stimuler les lymphocytes B producteurs danticorps (5).

    Il nest donc pas nécessaire dimaginer un prétendu VIH pour expliquer ces perturbations.

    Pourtant,la diminution de lymphocytes T4 dans la sang circulant est donnée comme preuve que ces cellules sont détruites par le " VIH " !

    L'Apprenti Sage no. 10

    Quelle que soit l'explication, les antioxydants sont toujours régulièrement cités comme une clé essentielle au problème.

  9. Psyence,

    Ca ne répond peut-être pas à ta question mais j'ai lu ceci (à vérifier, bien sûr), hier soir concernant les TH1 et les TH2 :

    Beaucoup plus que l'âge, c'est la plupart du temps un stress trop long ou trop intense qui va dérégler l'équilibre immunitaire en renforçant les réactions allergiques notamment alimentaires.

    On peut distinguer dans notre système immunitaire les lymphocytes de type T qui se divisent en Th1 (inflammation locale, immunité cellulaire directement dirigée contre les virus, champignons et bactéries) et Th2 (allergies globales, immunité hormonale, aide les lymphocytes de type B à produire des anti-corps pouvant être auto-immunes et provoquant asthme, eczéma, etc).

    Les stratégies globales (Th2) sont parfois indispensables mais étant moins ciblées elles engendrent de nombreuses perturbations systémiques affectant toutes les fonctions, surtout sur la durée.

    Il faut presque toujours préférer les interventions ciblées (Th1) quand on peut éviter une mobilisation générale déstructurante. L'équilibre entre ces deux stratégies dépend des niveaux de cortisol, donc du stress, ou de la production de NO qui favorisent les stratégies globales (Th2).

    Le cortisol étant un antagoniste de la DHEA, entre autres, il diminue sa production mais aussi celle des globules blancs Th1 au profit des Th2.

    Le déséquilibre du système immunitaire peut avoir d'autres causes que le stress.

    Certains accusent les vaccinations (qui favorisent Th2), l'empoisonnement par les métaux lourds, une infection intestinale, une mauvaise alimentation ou l'abus des antibiotiques.

    Une surcharge du foie se traduisant par un manque continu de glutathion fait que les cellules TH1 s'empoisonnent au NO en attaquant les cellules parasitées par des fongi ou des virus.

    En tout cas, ce déséquilibre mène à toute une série de maladies chroniques multiformes qui peuvent s'aggraver dramatiquement dès lors que cela aboutit à une malabsorption des aliments et donc à de graves déficiences alimentaires (acides aminés, vitamines, acides gras).

    En effet, dans un cercle vicieux, mauvaise digestion ou infections chroniques favorisent la candidose qui renforce encore Th2, au détriment de Th1, en augmentant les IgE responsables des allergies mais aussi de la multiplication de candidas qui produisent des neurotoxiques et détruisent les vitamines B, diminuant ainsi la production de sérotonine et de mélatonine.

    Ce dérèglement des humeurs retentit à son tour sur la digestion et le système immunitaire, jusqu'au niveau mitochondrial...

    Il y a en retour une boucle entre les cytokines du système immunitaire qui influencent la production de dopamine, noradrénaline ou sérotonine, constituant le lien entre stress et anxiété, en diminuant encore Th1 par cette voie.

    http://perso.orange.fr/marxiens/sciences/nutritio.htm

    Le document entier aborde un ensemble de sujets à prendre avec des "pincettes" car ils ne sont pas forcément liés au sida, mais il met le doigt sur la complexité de l'équilibre biologique.

    Cela me fait penser à cet autre document qui montre qu'une multitude de facteurs sont étroitement reliés entre eux dans le cas "vih" et stress oxydatif :

    http://aliveandwellsf.org/kremer/Kremer_Chapter_XI.pdf (merci Wally icon_wink.gif)

    Si tu arrives à vulgariser tout ça, chapeau !

  10. J'ai mis du temps à tomber sur ton post, Liane.
    Pas grave. Merci pour tes précieux éclaircissements !

    L'agent en question est une amine aromatique hétérocyclique appelée la PhIP.

    Elle se forme par pyrolyse (décomposition chimique par la chaleur seule) au cours de la cuisson des viandes, quand celles-ci sont grillées ou frites.

    Passeport Santé

    Décidément, quel bordel !

  11. - Si le taux de NO dans le corps (ou le sang) est mesurable, pourrait-on se servir de ce procédé chez les séropos afin d'évaluer le degré du stress oxydatif dû au NO (ainsi que la régression du stress oxydatif en question après les cures d'antioxydants) ?
    Bon ben, à partir du moment où les peroxynitrites (NO + ions peroxyde) peuvent-être intercellulaires ou intracellulaires, je me demande si des mesures de NO dans le sang sauront faire la différence.

    Si j'ai bien compris, en lisant le topic sur le glutathion :

    - ce sont les peroxynitrites intercellulaires qui sont nocifs (et qui pullulent suite à un déficit en glutathion)

    - les peroxynitrites intracellulaires sont vitaux dans le sens qu'ils contribuent au système immunitaire (en augmentant l'effet cytotoxique des TH1 entre-autres)

    Je reviens sur la vitamine C, car cela me semble assez important :

    La vitamine C permet, entre autres, d'augmenter le taux du glutahion (GHS)

    En gros, un taux élevé de glutathion (GHS) va libérer des peroxynitrites intracellulaires (vitaux) et aussi empêcher la formation des peroxynitirites intercellulaires (nocifs).

    Or, il s'avère que la vitamine C (acide ascorbique) intracellulaire favorise la synthèse du NO dans les cellules endothéliales.

    Ce qui expliquerait, en partie, le bénéfique effet vasculaire de l'acide ascorbique.

    Our data suggest that intracellular ascorbic acid enhances NO synthesis in endothelial cells and that this may explain, in part, the beneficial vascular effects of ascorbic acid.
    L-Ascorbic acid potentiates nitric oxide synthesis in endothelial cells.

    Pour lutter contre l'asthme (le taux bas de glutathion par manque de superoxyde dismutase/SOD est lié à l'asthme, comme dit dans un post précédent), les problèmes cardio, etc.. nécessitant du NO :

    augmenter son taux de glutathion réduit (GSH) -> pas de peroxynitrites intercellulaires->pas de tests à la c... qui réagissent positifs.

    Et la vitamine C a ce double avantage :

    1- combinée à d'autres éléments, elle augmente le taux de glutathion réduit (GSH)

    2- elle favorise la synthèse bénéfique du NO dans les cellules qui en ont besoin->vasodilatation naturelle.

    (Et au passage :

    Haut taux de GSH->peroxynitrites intracellulaires->suicide des cellules cancéreuses, réactions contre les attaques virales, bactériennes etc...bref, une meilleure santé)

    Merci de corriger si certains points ne sont pas corrects.

    Je n'aurai jamais cru devoir m'y remettre un jour quand je zappais sur les cours de chimie ! gueulecasse.gif

  12. ...Il vient de paraitre et met en evidence une clearance du virus par blocage d'une molécule PD-1.
    icon_confus.gif

    Faut-il le répéter ?

    01.09.2006,

    RFI - Radio France International ( 44 millions dauditeurs réguliers dans le monde en 2005) - principalement financée par le ministère français des affaires étrangères :

    Des taux sanguins en micronutriments (vitamines, minéraux, oligoéléments, acides aminés) particulièrement bas ont été relevés chez beaucoup de séropositifs ; ce déficit est associé par les scientifiques à une faiblesse immunitaire, à une progression plus rapide du sida, ainsi quà un taux plus élevé de mortalité.

    De nombreuses études sont en cours.

    On peut dores et déjà retenir les constatations suivantes :

    daprès une vaste étude tanzanienne, une supplémentation en micronutriments variés a permis de réduire la mortalité maternelle par infections opportunistes ainsi que de diminuer le risque dévolution vers le sida en stade 4;

    elle a aussi réduit le risque de diarrhée, de même que la mortalité prématurée des bébés de mères malades ;

    prise seule, la vitamine A a réduit la mortalité dun groupe de bébés HIV-positifs, ainsi que la durée et la gravité des diarrhées qui les affectaient.

    Le manque de zinc est associé à un taux bas de CD4.

    Une étude a montré que les sujets ayant un faible taux sanguin de zinc étaient dix fois plus susceptibles de mourir.

    Une alimentation bien pourvue en zinc et une supplémentation améliorent le système immunitaire :

    la même étude a montré que le risque de mourir des suites du sida diminuait dun tiers pour chaque milligramme de zinc supplémentaire par jour et ce, indépendamment de la numérotation des CD4 ou de la thérapie anti-HIV en cours.

    Le statut en potassium et magnésium est important aussi :

    leur carence peut en outre aggraver les effets secondaires des antirétroviraux sur le cur et les reins.

    Chez des bébés de mères HIV-positives, la carence en sélénium a été associé à un taux plus important de maladie et de mortalité.

    Conclusion des chercheurs : « Un taux suffisant de sélénium pourrait être important dans la prévention de la mortalité infantile ».

    Une autre recherche a permis de relever des niveaux très bas en vitamine C chez de jeunes adultes séropositifs. Conclusion : « Les besoins en vitamine C sont fortement accrus en cas de séropositivité et de sida ».

    Au-delà de ces recherches ponctuelles, on sait que minéraux, vitamines, antioxydants fonctionnent en synergie, et que leur déficit aggrave toutes les infections.

    Plusieurs travaux concluent donc à lintérêt dune supplémentation globale (alimentation et compléments) en micronutriments essentiels.

    1-marteau.gif

    Il n'y a qu'un médecin-nutrionniste ou orthomoléculaire qui saura faire un bilan complet des antioxydants dans le corps.

  13. un dernier petit mot pour ceux qui lisent ce message.

    de nos jours l'être humain, à trop tendance, à se considérer comme une victime, victime de la société , victime de la désinformation, victime de ses propres croyances, alors qu'il en est bien plus responsable qu'il le croît.

    soyez responsables de ce que vous penser.

    Tout à fait d'accord avec toi : la responsabilité de nos actes et de nos croyances.

    C'est rare qu'on nous mette un couteau sous la gorge pour faire ceci ou croire cela (surtout croire)

    On ne parle pas d'un petit bobo qui va finir par cicatriser tout seul.

    C'est de Vie qu'il s'agit ici.

    Quitte à mettre en challenge son médecin par rapport au verdict édicté par un protocole basé sur des statistiques ou je ne sais quoi de profondément brumeux.

    Quitte à faire de chaque seconde qui passe un défi, et quitte à reconquérir SA vie.

    Et quand tu vois un éclair d'incertitude passer dans les yeux de ton médecin, c'est là que tu vois l'ampleur de l'enjeu.

  14. Merci Cheminot !

    Si je comprends bien :

    - dans le cas du cancer

    Trop de glutathion S-transferase (GST) va "détourner" le NO libre du corps vers les glutathions GSH et GPX (et les "détruire" au passage)

    Le corps, se trouvant en déficience de NO, les cellules cancéreuses ne se suicident plus.

    Les GSH et GPX, dont le taux est trop bas, ne protègent plus le corps contre les attaques supplémentaires des radicaux libres (stress oxydatif)

    Ce qu'il faudrait, c'est un taux plus haut de GSH et de GPX (qui lutteraient contre le cancer) ; et un taux proportionnellement plus bas de GST (taux faible qui empêchera le NO de se coller aux glutathions protecteurs) ????

    - dans le cas du stress oxydatif dû au NO (qui mène au sida)

    Pareil.

    Un taux bas de GST protège les GSH et GPX.

    Ces derniers pourraient alors jouer leur rôle de détoxifiant et régulateur du taux de NO dans le corps ????

    Est-ce que la mesure du GST est importante dans la lutte contre les maladies du sida, ou bien on part du principe que si les taux de GSH et GPX sont hauts, c'est que tout est OK à ce niveau ?????

    En fait, l'équilibre juste est bien délicat entre antioxydants et NO.

    J'espère que les médecins-nutrionnistes ou orthomoléculaires sont réellement conscients de la chose.

    A mon avis, si l'on prend de fortes doses d'antioxydants, il serait peut-être judicieux de faire contrôler leurs taux très régulièrement.

    Et comme je l'avais déjà mentionné ici (et j'espère que c'est faisable), faire contrôler son taux de NO libre ou des peroxynitrites ou du N-nitrosoglutathion devrait permettre de jongler plus précisément.

    Je me trompe ou je n'ai rien compris ????

  15. Allez, encore un bout de liane dans la soupe !
    Antioxidant enzymes, Superoxide dismutase (SOD), catalase (CAT) and glutathione peroxidase (GPx) activities, were decreased (p<0.001) whereas glutathione S-transferase (GST) activity was increased (p<0.001) in cervical cancer patients.
    Une étude sur le cancer

    Apparement, trop de glutathion S-transferase n'est pas un bon signe.

    Mais, selon les résultats que j'ai trouvés, cet enzyme offrirait quand-même une protection contre le stress oxydatif.

    icon_confus.gif

    J'ai cherché à en savoir plus mais j'en reviens assez bredouille.

    Quelqu'un pourrait-il me dire le rapport qu'il y a entre le glutathion S-transferase et le stress oxydatif en général ou l'oxyde nitrique ?

    Désolée si j'ai loupé un post qui parle déjà de ça.

    Merci !

  16. - même en arrivant avec un autre test dans un service "HIV" français (pour moi, c'était une positivité Widal à la typhoïde fait deux jours avant à l'étranger), on a écarté d'un revers de main cet aspect de la manière suivante : " de toutes les façons, ces étrangers n'y connaissent rien ... " (belle suffisance) ;

    - même en arrivant (dans le même temps) avec un test "douteux" Elisa (je les cite) fait en complément dans une officine française là-bas ... on m'a dit : " pas la peine de faire un WB ... puisque vous n'êtes qu'en conversion " ... On préfèra une charge virale qui, selon ces gens, ne permit plus le doute engendré par le premier test ... d'autant que j'étais mal foutu ;

    - deux mois après, toujours selon eux, on me refit une charge virale (alors que j'avais été chargé comme une mule en tri le premier jour de notre rencontre) qui ne prouvait plus rien du tout ... et, aussi extraordinaire que cela puisse paraître, on fit même l'impasse sur le WB tellement la première PCR était claire ... par souci d'économie j'imagine ... ou pour éviter de s'expliquer les méfaits déjà très nuisibles de deux mois de tri sur ma petite personne ;

    - comme je l'ai expliqué récemment, 7 ans après chez les britishs (des aussi cons que les thais donc sans doute aux yeux de la suffisance française) mon Elisa s'est révélé négatif ...

    Par là, la lecture

    Et comme c'est dit ici :

    " So called HIV-RNA is not a specific marker of HIV " En gros : " La PCR est une technique qui copie ce qui est supposé être l'ARN du vih (Roche, 2003) "

    Liebherr, ce serait bien si tu arrivais à encourager Roche à définir un mode d'emploi plus affirmatif de la PCR !

    Pour rajouter des trucs sur le sujet, voir la synthèse chapître III : B, 2 .

    Pour moi, la charge virale "vih" = con+damné à mort par ce qui est supposé être l'ARN du "vih".

    SUPPOSÉ !!!!!

  17. Mais on leur trouvera une "charge virale" en fonction des oxydants azotés (non compensés par des antioxydants) auxquels ils auraient été exposés.

    ...

    - Y a-t-il des études qui démontrent que tout le monde est susceptible d'avoir une "charge virale", même avec un test "vih" négatif ?

    icon_confus.gif

    En fait, on peut faire une "charge virale" avec tout et n'importe quoi !

    Si ça se trouve, la tuberculose devrait à elle-même provoquer une "charge virale vih", que l'on soit exposé à des oxydants azotés (NO) ou pas.

    Juste en passant, la sous-alimentation provoque souvent un déficit en arginine (source naturelle : viande et arachides), précurseur du NO. Ce déficit semble favoriser la contraction de la tuberculose, maladie répandue dans les pays "sous-développés" :

    Les personnes dont le système immunitaire est affaibli sont particulièrement vulnérables à la tuberculose après avoir été infectées.

    Certaines conditions contribuent à laffaiblissement du système immunitaire, notamment linfection à "VIH", les maladies du rein en phase terminale, le diabète, le cancer, les transplantations dorgane, la silicose, la toxicomanie et un poids insuffisant.

    Les bébés, les enfants dâge préscolaire et les personnes âgées, dont le système immunitaire est plus faible que celui dun adulte en bonne santé, sont également plus vulnérables.

    Santé Canada

    - ...les maladies du rein en phase terminale, le diabète, le cancer, les transplantations dorgane, la silicose, la toxicomanie... :

    ces facteurs devraient être susceptibles de provoquer une charge virale, tout en restant "vih" négatif.

    - ...linfection à "VIH"... :

    Il suffit que l'on fasse partie d'un groupe à risque.

    Même si le test "vih" s'avère négatif, la tuberculose étant considérée par l'orthodoxie comme une maladie opportuniste du "vih", la "charge virale" se chargera de condamner. Les autres facteurs cités plus hauts (et qui favorisent la tuberculose) seront occultés et non dépistés / traités correctement.

    En bref, si l'on fait partie d'un groupe à risque et que l'on présente une maladie opportuniste au "vih", même avec un test négatif, on se verra balancer le "vih" dans la gueule par le médecin si celui-ci demande une "charge virale".

  18. le schéma serait donc :

    oxydant -> anticorps en surnombre

    oxydant azoté -> peroxynitrites -> maladies opportunistes

    oxydant azoté -> charge "virale"

    Bon, je suis restée scotchée sur ce schéma. reflechi.gif

    - oxydant -> anticorps en surnombre :

    Un excès d'oxydants généraux (maladies et infections diverses, stress, tabac, mauvaise alimentation, pollution, No, etc...) non compensés par des antioxydants va provoquer un test " vih " positif (anticorps en surnombre) et une baisse du taux des lymphocytes.

    - oxydant azoté -> peroxynitrites -> maladies opportunistes

    oxydant azoté -> charge "virale" :

    La " charge virale " serait en rapport avec le taux d'oxydant azoté que le corps subit (oxyde nitrique, poppers, viagra, amphétamines, médicaments etc...). Plus le corps subit des oxydants azotés, plus la charge virale est haute et plus le taux des T4 baisse (aussi)

    Certaines personnes se retrouvent donc paradoxalement avec un taux de T4 bas (dû à un excès d'oxydants généraux) et une "charge virale" basse (pas trop de peroxynitrites)

    Pour les personnes qui réagissent négativement au test "vih", dans le cas de la tuberculose :

    Leur terrain de base étant relativement sain (n'ayant pas subit un excès d'oxydants généraux) avant de tomber malade, le taux des anticorps "vih" resterait sous la barre fatidique.

    Mais on leur trouvera une "charge virale" en fonction des oxydants azotés (non compensés par des antioxydants) auxquels ils auraient été exposés.

    J'en reviens au monoxyde d'azote (NO) qui se trouve dans dans l'air que nous respirons :

    - Est-ce que le taux de NO dans l'air, s'il n'est pas compensé, suffit à provoquer une "charge virale " ?

    - Y a-t-il, sur cette planète, des points où le taux de No dans l'air peut carrémment devenir nocif ? (rapport aux produits pétroliers/raffineries, voir aussi ici )

    - Y a-t-il des études qui démontrent que tout le monde est susceptible d'avoir une "charge virale", même avec un test "vih" négatif ?

    icon_confus.gif

  19. Pour ma part, j'ai décidé de prendre - momentanément - vacances de la dissidence du sida. Un peu de recul me fera le plus grand bien après m'y être consacré plus d'un an à l'étudier presque chaque soir.

    Wally, je ne peux que te remercier pour ta précieuse présence sur ce forum.

    Pour un juriste, tu fais un sacré guerrier !

    Mais pour guer-ir le passé :

    " Il n'existe rien de constant

    si ce n'est le changement "

    Bouddha

    Prends bien soin de TOI.

  20. Là, le biologiste n'a pas pige du tout, j'ai senti qu'il y mettait toute sa bonne volonté mais il m'a dit "késako ?  icon_confus.gif euh...le PH artériel doit toujours être entre 7.38 et 7.48. En dessous c'est hypoventilation et au dessus hyperventilation....mais c'est dans l'analyse des gaz du sang, donc contexte bien spécifique...Le PH veineux est plus bas...mais je ne vois pas ce que cela vient faire pour situer un état de santé global, dans la perspective qui vous intéresse..."

    Comme je n'y connais rien non plus, nous en sommes restés là...

    Rozen, pour le PH qui peut-être corrigé par l'alimentation, j'ai essayé de l'expliquer par là.

  21. En continuant à rechercher les

    Les substances / sources d'oxyde nitrique (aussi dit monoxyde d'azote ou NO),

    je suis tombée sur :

    Certains compléments alimentaires destinés aux culturistes, sportifs etc... :

    L'air comprimé est souvent utilisé dans la plongée sous-marine.
    Ekopedia

    Cet air comprimé contient le même pourcentage de gaz que l'air "naturel", ou bien présente-t-il un taux plus haut de monoxyde d'azote ?

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