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Liane

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Messages posté(e)s par Liane

  1. Les médicaments ou substances / source d'oxyde nitrique (aussi dit monoxyde d'azote ou NO) /suite :

    - Le Crystal (aussi dit Crystal Meth, Ice, Tina, Yaa Baa, Pilule Thai, Desoxyn)

    Une souche du virus du sida particulièrement résistante a été découverte à New York, ont prévenu les autorités sanitaires de la ville. Cette souche aurait été diagnostiquée pour la première fois sur un habitant de New York, un homme âgé d'une quarantaine d'années, qui a développé la maladie peut-être deux ou trois mois après avoir été infecté par le virus.  Le délai n'aurait, en tout cas, pas excédé vingt mois.

    La souche a résisté à trois des quatre classes de traitement antisida, ont précisé les autorités de santé, qui ont demandé aux hôpitaux et aux médecins de rester en alerte.

    Le patient, homosexuel, avait de multiples partenaires et consommait souvent du crystal méthamphétamine, un puissant stimulant appelé aussi ice, ou speed.

    http://www.sante.gov.ma/leministre/Communi.../sidaresist.asp

    Gallo, le spécialiste vih, a appellé au calme face à ce "super-virus qui se transmet difficilement" et qui coincide avec la consommation de crystal.

  2. Pour ma part je suis de plus en plus sceptique sur la capacité des virus de muter lors de la réplication, sous la "pression" de l'environnement. Tout ceci me semble une belle théorie montée de toutes pièces par des gens incapables de comprendre la chimie.

    Résistances, Gallo s'en mêle (sur le cas d'un gars qui consomme des methamphetamines et qui aurait pondu un "super-virus vih")

    Le Dr John Moore, chercheur à l'université de Cornell, a fait lui aussi preuve de prudence. "Est-ce que cette souche en particulier modifie complètement la donne ? Je ne crois pas", a-t-il dit.

    "Plutôt qu'un super virus, cela pourrait se transformer en pétard mouillé."

    Il a ajouté que le HIV résistant à plusieurs traitements se transmettait beaucoup plus difficilement que les souches non résistantes.

    4-ptdrasrpt.gif

    Voilà qui met un petit frein à l'escalade "non contrôlée" .

  3. This article is primarily about HHV-6 (human herpes virus 6), discovered in 1986 by Dr. Robert Gallo, who also was the co-discoverer of HIV.

    L'article en question

    Traduction :

    " Cet article est d'abord consacré au HHV-6 (human herpes virus), découvert en 19986 par Dr. Robert Gallo, qui était aussi le codécouvreur du VIH. "

    Mon avis strictement personnel :

    Je ne vais pas jetter l'eau du bain (Gallo) avec tous les bébés (virus) mais j'aimerai bien savoir ce qu'en dit Gallo lui-même car c'est fou comme tous les virus qu'il a "découverts" ont les mêmes effets :

    As far as the difference in potency between HIV and HHV-6 goes, HHV-6 is much more efficient at damaging the immune system and the brain than is HIV. HHV-6 is extremely “lytic,” meaning that it splits, cuts up, and destroys cells.

    Traduction approximative :

    " Le HHV-6 est différent du VIH dans le sens qu'il est plus féroce à attaquer le système imunitaire et le cerveau que le VIH.

    Le HHV-6 est extrêmement "lytique" ce qui veut dire qu'il percute, hâche et détruit les cellules. "

    Si quelqu'un peut mieux traduire, merci.

    En résumé, Gallo a "découvert" :

    - le HL23V : officiellement et orthodoxement complètement foireux comme coup,

    - le HTLV-1 : période de latence de 40 ans (!), explose le système immunitaire,

    - le HHV-6 : longue période de latence, explose le système immunitaire,

    - le VIH (coup réussi) : longue période de latence (mais impossible à définir après 25 ans d'études sur le sujet), explose le système immunitaire.

    Tous se transmettent sexuellement et aucun d'eux ne réagit de manière satisfaisante aux antiviraux actuels.

    Où se situe le problème ? Dans les antiviraux ou dans les "virus" découverts par Gallo, ou dans les deux ?

    Pendant qu'on y est, Gallo en a "découverts" d'autres comme ça , de virus, grâce à l'invention de Duesberg ?

    Si on n'en a pas assez (des virus sexuellement transmissibles et qui explosent le système immunitaire après une longue période de latence), vu qu'il sait utiliser la "machine" (à sous), il suffira de lui demander !

  4. Pour un vaccin, il faudra encore attendre. Il y a plusieurs candidats, mais ces vaccins ne marcheront pas, à mon avis, parce quils vont dans la stratégie du virus.
    Stratégie du virus = logique éprouvée contre un virus --> protection avec un vaccin à base de virus atténué par exemple (comme pour les autres vaccins) et en conséquence une création d'anticorps contre le virus en question.

    Paradoxalement, le "vih" est un des rares virus dont les anticorps ne sont pas un signe de protection mais le contraire.

    La logique "création protectrice d'anticorps" tombe donc à l'eau, et Montagnier le reconnait.

    Que faire contre un virus inconnu/fantôme (non isolé) dont les "anticorps" sont cependant repertoriés mais dont c'est uniquement leur taux (seuil/limite des tests) qui va déclarer une séropositivité "vih" ?

    1- Admettre que le virus n'existe pas (Montagnier ne l'a pas encore reconnu), que ce taux d'anticorps au dessus du seuil est dû à une autre cause; et s'investir dans d'autres solutions,

    ou

    2- s'enfoncer en cherchant à stimuler les lymphocytes (T4/CD4) artificiellement.

    Mis à part ces vaccins à base de lentivirus, variole ou Dieu sait quoi encore, l'AZT donnait le même résultat : stimulation des lymphocytes dans un 1er temps puis chute brutale et spectaculaire irrémédiable des T4.

    Ne pas oublier quand-même que les personnes dont les anticorps sont en dessous du seuil des tests seront exemptés de cette "attention" car séronégatifs (avec les mêmes anticorps pourtant)

    Personnellement, je me demande qu'elles pourraient-être les conséquences à moyen/long terme d'une stimulation artificielle des T4, si parallèlement les taux de glutathion ne font que baisser.

  5. 3- En cas de vaginite / vaginose bactérienne (qui ne semble pas transmissible sexuellement) :

    Une bactérie qui vit naturellement dans le vagin a été génétiquement modifiée de manière à combattre spécifiquement le virus du sida. Ses inventeurs, des chercheurs de luniversité de Stanford (Californie), espèrent lutiliser pour fabriquer un nouveau genre de "préservatifs" féminins : sous forme de crème, ils protègeraient chimiquement contre le sida mais ne seraient pas contraceptifs.
    transfert.net

    Reste à savoir si ce produit protège aussi des autres IST.

    Le "vih" étant un "virus", ce produit devrait logiquement protéger contre les autres "virus" et germes sexuellement transmissibles (papillomavirus, gardnarella, etc...)

    J'estime la piste intéressante (préserver et soutenir la flore) bien que sûrement moins intéressante financièrement que des nouveaux vaccins lancés à coups de gros titres dans les journaux.

    J'imagine : " Le yaourt protège du Sida. Tous à vos yaourts !" en première page ?

    Ben voyons, un vaccin fait tellement plus sérieux. Mais qu'est-ce qui est sérieux ?

  6. Une dernière:

    Le chef du service dimmunologie et dallergie du CHUV dirige, avec le Dr Pierre-Alexandre Bart, les essais de vaccins testés dans plusieurs centres européens (projet Eurovacc).

    Il estime que les deux vecteurs utilisés, le NYVAC (virus de la variole modifié) et lADN (molécule dADN) peuvent désormais jouer dans la cour des grands, cest-à-dire des deux autres candidats testés au plan mondial, lune par la firme Merckx, lautre par le Vaccine Research Center américain.

    actions-traitements.org

    Bref...

    Mais j'avoue que le "vih" contre le "vih" est la théorie qui défie toute concurrence ! De quoi sécher ceux qui auraient l'idée d'étudier le virus de la grippe aviaire ou d'ébola contre le "vih".

    Dans le cas du virus de la variole, l'argument avancé est la réponse immunitaire (multiplication des lymphocytes) qui persiste jusqu'à 6 mois après le dernière injection. Et après ?

    Re-vaccin ou trithérapies ?

  7. The Influence of Money on Medical Science
    (L'influence de l'argent sur la Science Médicale)

    JAMA - 2006

    Les patients en audit ?

    Ils pourraient le faire s'ils avaient la liberté de leurs opinions et de leurs choix thérapeutiques.

    Le monopole actuel ne le permet pas.

    Quant aux opinions, à moins de se ramasser un gros truc sur la gueule et en conséquence commencer à farfouiller partout (jusqu'à devoir faire des recherches en anglais ou en allemand, et à étudier des notions sur lesquelles on n'aurait jamais pensé un jour devoir se pencher), elles ne sont pas éclairées mais dictées.

    Pour se constituer en audit aujourd'hui, les patients devraient, en plus de leurs boulots à eux, intégrer les bases qui constituent le boulot de leurs médecins afin de pouvoir les confronter. Le monde à l'envers !

    Tu te constituerais en audit de la compagnie aérienne que tu utilises (càd vérifier le niveau technique, mécanique, électronique, la sécurité, la conscience et la compétence professionnelles du personnel etc...)

    En général, on fait confiance sauf si les crashes se multiplient. Encore faudrait-il être informé du crash et de sa cause.

    "Les patients en audit" implique la libre concurrence des différentes méthodes thérapeutiques équitablement encouragées (suivant un guideline de sécurité pour éviter les abus des charlatans) par un état impartial qui ne «protège» pas ses responsables face à la justice (qu'on peut espérer elle aussi impartiale)

    Ca implique (comme pour les aliments) des "étiquettes avec indications sur l'origine, la composition et le procédé de fabrication" c'est-à-dire de la transparence de la part du fournisseur/prestateur de services, avec traçabilité et vérification possible de chaque étape (en partant de l'identification d'un pathogène jusqu'aux aux méthodes qui permettent de lutter contre)

    "Les patients en audit" implique la possibilité à ces derniers de "boycotter" un produit (ce sont eux les consommateurs) et de soutenir un autre.

    Mais pour ça, il faudrait qu'ils aient le libre accès des produits (remboursment de la sécu)

    Le citoyen arrêtera de s'en foutre quand il y comprendra quelque chose dans ce foutoir, c'est le cas de le dire, et qu'il ne sera plus infantilisé face à des connaissances réservées à une pseudo-élite («c'est moi le médecin !») fermée au dialogue.

    Je te dis pas alors à quelle vitesse les choses évolueront dans le sens que tu souhaites !

    Tant au niveau financement, recherches et résultats, la liberté d'action n'étant plus entravée par un système monocellulaire.

    On est loin de là.

    En attendant, ben ma foi, les patients (ou ceux qui se sentent concernés) sont obligés de plancher (médecine, chimie, biologie, etc...), et c'est lamentable, pour ne pas se faire mener en carafe sur un claquement de doigts levés en sentence de vie ou de mort !

  8. Ouais, ben pas envie de me marrer.

    Je viens d'apprendre que le Professeur Sam Mhlongo est décédé tragiquement en octobre 2006.

    " Le Prof. S. W. P. (Sam) Mhlongo, guerrier héroïque et serviteur public pendant plus de 40 ans a succombé à un tragique accident de la route près de Johannesbourg "
    http://barnesworld.blogs.com/barnes_world/...orld_mourn.html

    Si je me souviens bien, il participait à la défense du gouvernement sud-africain dans le procès intenté par le TAC qui veut balancer de l'AZT sur tout ce qui bouge.

    Célia Farber lui a dédié un article :

    http://barnesworld.blogs.com/barnes_world/...g_aids_to_.html

    Une page lui est dédiée à sa mémoire ici :

    http://www.newaidsreview.org/posts/1160248996.shtml

    QUEL BORDEL !

  9. Nico, ton point de vue est intéressant et ta patience d'ange mais...

    - Toxicité cellulaire :

    En effet un bon antiviral doit respecter le métabolisme cellulaire et inhiber celui du virus, or les virus utilisent le métabolisme cellulaire. On a donc un problème qui se pose.

    C'est pour cette raison qu'on définit un rapport entre la toxicité cellulaire et l'action antivirale : (toxicité cellulaire)/(action antivirale).

    L'action antivirale est mesurée par la production du virus. Donc on aboutit à ce rapport: R=(Toxicité cellulaire en %)/(Production virale en %).

    La toxicité cellulaire en % devrait être égale à 0 et la production virale devrait être égale à 0 elle aussi.

    Or suite à nos antécédents de grands mathématiciens nous devrions tous savoir qu'un rapport 0/0 fait intervenir la grande théorie des limites. Le rapport doit tendre vers 0 si on veut une bonne activité. On peut observer une toxicité qui augmente et on peut voir l'inverse avec une production virale qui augmente. Le rapport tend vers 1 quand la substance est très mauvaise.

    Donc pour résumer le rapport doit être très petit pour que les substances soient efficaces.

    On peut cibler certains points du virus pour avoir un bon rapport.

    C'est le problème des antiviraux qu'on vient de décrire.

    Beaucoup d'antiviraux sont des antimétabolites car il s'agit de bloquer la production d'acide nucléique.

    Les antiviraux auraient en général les contre-indications et les effets secondaires des anticancéreux donc une action sur toutes les cellules se réplicant rapidement (cellules de la moelle osseuse, cellules digestives) et activement (donc elles seront atteintes et ça sera un effet secondaire des antiviraux).

    Les antiviraux bloquent le métabolisme à un niveau quelconque.

    - Inefficacité contre les virus latents :

    Ces substances n'ont aucune action sur les virus latents car ces derniers sont des génomes. Ce type de virus est un gène tranquille contre qui on ne peut rien. On a plein de gènes tranquilles contre qui on ne fera rien.

    - Acquisition de resistance :

    On a une variabilité génétique d'où émergence de souches résistantes aux antiviraux.

    Univ-Rennes

    Et mon petit doigt me dit que la panoplie très efficace, ce n'est pas pour demain.

    Les principaux antiviraux dont j'entends parler (VIH et H5N1) "provoquent des résistances" même si dans le cas du "vih", l'introduction du 3TC (antioxydant) a amélioré la situation, 3TC (coincidence ?) aussi préconisé contre l'hépatite C dont l'isolation du virus laisse à désirer.

    Mais comme les groupes pharmas ne cherchent que dans cette voie (c'est leur boulot comme tu le dis) et que les médecins appliquent les protocoles (il faut bien qu'ils se couvrent) découlant des recherches financées (par qui au fait ?), etc, etc... on tourne en rond, en vase clos.

    Qui se préoccupe réellement des co-facteurs ?

  10. Delwere, la coincidence est troublante.

    Ces exemples parlent de sida et d'héroine.

    Aurais-tu, si ce ne te dérange pas, quelque chose sous la main sur l'évolution du nombre des séropositifs ?

    Les stats et moi, ça fait deux et je te remercie si tu arrives à me trouver ça.

  11. Ps :  LIANE

    Les articles que tu évoques sont sur SIDASANTE mais là on ne les interprète pas de la même façon  pour ce qui concerne Duesberg... travailler ensemble veut pas forcément dire être cul et chemise.. ça dépend du site sur lequel on tombe on dirait..

    Le même article sur SIDASANTE : "Le refuznik du VIH"

    En 84, l'année même où le biologiste Robert Gallo et le gouvernement américain annoncent la découverte du virus du sida, Gallo prononce des phrases étrangement prophétiques, lors d'un congrès, pour présenter son collègue et ami Peter Duesberg.

    Article publié en " Science et avenir ", janvier 2002

    - Collègue = travailler ensemble

    - Ami = ? C'est "Science et avenir" qui devrait le préciser à ce niveau-là car chacun a une conception personnelle de l'amitié et on pourrait épiloguer des heures sur ce terme.

    Ensuite, reste à savoir si Duesberg était vraiment ami de Gallo ou seulement collègue. Il n'y a qu'eux qui le savent.

  12. - HTLV-1 a été isolé pour la 1ère fois par Robert Gallo. Qui dit Gallo dit..hem, hem ! Ben oui, trop tard pour lui accorder une crédibilité totale 5-humhum.gif

    Pour en revenir sur Gallo et ses entourloupes (peut-être déjà mentionné)

    En 1984, lannée même où le biologiste Robert Gallo et le gouvernement américain annoncent la découverte du virus du sida, Gallo prononce des phrases étrangement prophétiques, lors dun congrès, pour présenter son collègue et, ami Peter Duesberg.

    Après avoir fait léloge de ce chercheur considéré comme un des meilleurs spécialistes mondiaux des rétrovirus, Gallo ajoute : « Il y a chez lui quelque chose daussi important que ses recherches. Peter Duesberg est doué dun sens critique hors du commun qui vous force souvent à regarder à deux fois, et même à trois fois, des conclusions que beaucoup dentre nous considéraient comme définitives. Ses critiques posent parfois un problème majeur à ceux qui le connaissent mal. Quand est-il vraiment en train de débattre ? Quand se fait-il plutôt lavocat du diable ! Et quand est-il le diable lui-même ? »

    sunsimiao.org

    Selon cet article, il est clair que Duesberg était présent, avec tous les honneurs dûs à son savoir sur les retrovirus, à la conférence qui annonca le "vih comme cause probable du sida"

    Aujourd'hui, on n'entend plus Gallo (en tous les cas pas moi), Duesberg est entré en dissidence (le "vih" existe mais ne cause pas le sida) et Montagnier fait timidement son "méa culpa" avec ses célèbres co-facteurs et le système immunitaire à regonfler à coups d'antioxydants.

    Drôle de trio dans une affaire sordide.

  13. Je m'explique: je crois que Duesberg étant un rétrovisologiste ne peut pas critiquer la méthode de base (méthode de laboartoire don't il est l'un des fondateurs) avec laquelle un rétrovisrus est "isolé" (je ne parle pas des postulats de kock ici).

    RETROVIRUS ; parlons-en !

    1- D'après ce que j'ai compris, un retrovirus est un virus à ARN qui utilise l'ADN de la cellule hôte pour se répliquer. Une sorte de cheval de Troie infernal. On ne peut le butter qu'en buttant l'ADN de l'hôte (càd l'hôte lui-même transformé en bombe ambulante à rétrovirus). Qu'on me corrige si ce n'est pas cela.

    2- Les rétrovirus ont commencé à être découverts par je ne sais quelle technique fantastique dans les années 1980.

    C'est la technique qui a inventé les rétrovirus ou bien les rétrovirus ont toujours existé mais ont commencé à "se transmettre" chez les humains seulement à partir des années 1980 (moment subit de leur découverte après des épidémies mystérieuses) ? Autre question existentielle.

    3- On connait actuellement ceux-ci : HIV-1, HIV-2, HTLV-1, HTLV-2, HTLV-3, HTLV-4, STLV-1, STLV-2, STLV-3.

    futura-sciences.com et cat.inist.fr.

    La plupart sont dits originaires des singes d'Afrique parce que les singes d'Amérique Latine ou d'Asie nous réservent d'autres rétrovirus quand on aura fini de chercher des poux aux singes d'Afrique.

    Pourquoi le singe ? Parce c'est cet animal qui ressemble le plus à l'homme ? Ou parce que les rétrovirus aiment la chaleur africaine ?

    Et pourtant, génétiquement, c'est le porc qui est le plus proche de l'homme (en tous les cas pour les questions de transplantations d'organes).

    Le porc devrait donc résussir à nous passer tous ses virus et autres bestioles, mais bon, les porcs que nous fréquentons sont "safe", issus d'élevages prétendus contrôlés et "clean".

    Reste le sanglier qui, ben ma foi, ne nous a encore rien transmis (que je sache) qu'il soit d'Europe, d'Afrique ou d'ailleurs.

    Quant aux autres animaux sauvages issus des touffeurs tropicales, pour l'instant rien.

    Mais attention, une hyiène enragée va un jour mordre un malheureux qui se retrouvera à l'origine du xème rétrovirus. Il en faut bien d'autres, on ne va pas s'arrêter en si bon chemin !

    Ok, je délire un peu mais cette histoire de rétrovirus ressemble à une fable (le gros méchant loup) qu'on raconte aux enfants pour leur faire peur, avec pour morale : N'allez pas dans la forêt mais regardez le Roi Lion à la télé, c'est plus sûr.

    4- HTLV-1 et HTLV-2 :

    - Se transmettent sexuellement, par voie sanguine et verticalement (mère-enfant surtout par l'allaitement). Tiens, tiens...

    - Provoquent en général une surproduction de CD4/T4 et en conséquence une leucémie.

    - Parmi les maladies opportuniste provoquée par une bizarre immunodépression : la pneumocytose.

    - Traitements : ARV classiques au "vih" + fortes doses de vitamine C, avec résultas décevants.

    - Prévalence de 15 à 20 millions infectés principalement ...suivez le projecteur... dans les pays du Sud.

    - Miracle : infectiosité peu importante du fait d'une charge virale faible. Aaah, la charge virale !

    - HTLV-1 a été isolé pour la 1ère fois par Robert Gallo. Qui dit Gallo dit..hem, hem ! Ben oui, trop tard pour lui accorder une crédibilité totale 5-humhum.gif

    5- STLV-1/2/3/4/5/6/7...

    Apparemment, ces rétrovirus n'ont pas réussi à provoquer de gros dommages chez les humains. Symbiose ?

    Qui a réussi à isoler le STLV-1 pour la 1ère fois ?

    C'est bizarre mais selon le père du "rétrovirus", les conséquences de la découverte (et les modes de transmission) ne sont pas les mêmes.

    Comme le dit Delwere, Duesberg est rétrovirologue et à moins de changer de job, il ne va pas scier la branche sur laquelle il est assis. On ne se refait pas complètement à moins d'avoir un courage hors-norme. Et moi, je sens comme une odeur de brûlé dans cette histoire de rétrovirus. A vérifier bien sûr et à trouver où ça brûle.

    Conflits d'intérêt précis entre Duesberg et ses confrères partisans du "vih", ce qui l'a mené en dissidence ?

  14. Désolée mais je fais une petite parenthèse.

    Je ne me souviens plus des chiffres avancés par l'étude Padian sur le taux de transmission du "vih".

    Selon le Rapport 2006 (pdf), très orthodoxement :

    * sexuellement et en l'absence de lésions, ulcères, infections, etc...

    - 0,04 p. 100 : rapport oral

    - 0,82 p. 100 : rapport anal réceptif

    - 0,1 p. 100 : rapport vaginal (les femmes ayant un risque plus élévé que les hommes, sic)

    C'est nouveau car le rapport anal a toujours été présenté comme plus risqué que le rapport vaginal reflechi.gif

    * par toxicomanie intraveineuse (partage de matériel d'injection) :

    0,67 p. 100

    Ne se rapproche-t-on pas gentillement de l'étude Padian ?

    Une question subite :

    A-t-on déjà rapporté des cas de séropositivité au "vih" pour des personnes n'ayant jamais eu de relations sexuelles, ni d'interventions médicales (même pas le dentiste), ni transfusions, ni toxicomanie intraveineuse ?

    Si oui (et ça devrait exister à cause de tous ces facteurs, en tous cas chez des enfants même si leurs parents sont séronégatifs), comment l'orthodoxie explique-t-elle le phénomène ?

    Ce sont de mystérieux "case report" ou bien ces cas sont définitivement déclarés "faux-positifs" ?

  15. Nico, ton message me pousse à me dire qu'il y a un bugg quelque part dans la lutte contre les virus.

    Je n'ai pas inventé l'eau tiède mais en gros, les virus se propagent et gagnent en virulence (mutation) quand :

    - il y a promiscuité et manque d'hygiène effarants (tant au niveau humain qu'animal),

    - au sein d'une population affaiblie alimentairement ou par abus de substances chimiques,

    - substances chimiques qui peuvent provoquer à la longue des multi-résistances.

    Les antiviraux ? Dans l'urgence, pourquoi pas.

    Mais s'ils s'attaquent à l'ADN (ou ARN) des virus, ne s'attaquent-ils pas aussi à celui de l'homme d'où leur toxicité à long terme ?

    Sans parler de leur supposée efficacité qui reste à prouver, efficacité ayant toujours un train de retard (le Tamiflu tiens !) et la guérison dépendant peut-être d'autres facteurs (ou co-facteurs) qui eux mériteraient la lumière bien crue des projecteurs.

    C'est là que les industries et cie auraient à se bouger les fesses mais le souhaitent-ils vraiment ?

    Quant au public, il faudrait déjà qu'il soit correctement informé. Il ne se sent concerné que quand il y a le feu. La panique entraine alors des mesures lourdes de conséquences tant au niveau économique (pour les petits éleveurs par exemple) que général (santé, social, écologique-résidus de médocs dans l'eau par exemple- etc...)

    Vu la situation actuelle sur les pathogènes (multi-résistances et escalade des mutations, le tout accompagné d'une sempiternelle menace de pandémie), focaliser uniquement sur les antiviraux et/ou vaccins, antibios, etc... me semble complètement réducteur. La limite de ce côté-là ne serait-elle pas atteinte ?

    S'obstiner à fond la caisse sur cette voie ne peut découler que d'une volonté consciemment choisie, et c'est de cette volonté que le public est pris en otage. 3 - thermo.gif

  16. Et le pire :

    "La prédominance de ce virus de Fujian semble responsable de l'augmentation de H5N1 dans les élevages depuis octobre 2005 et des récents cas humains en Chine", disent-ils dans un article publié par les Actes de l'Académie nationale des Sciences (www.pnas.org).
    Yahoo Actualités (30 oct. 2006)

    Alors là, BRAVO !

    Non seulement la planète est un immense labo en "live" mais ces "savants" prétendent trouver un jour un vaccin contre le "vih" qui n'a jamais été isolé.

    Au fait, au point où on en est, ce H5N1 a été correctement isolé ou bien on a pris les mêmes "ingrédients" et on recommence à courir après un virus qui n'arrête pas de muter plus vite que son ombre ?

  17. En fait, la résistance arrive lorsque l'hôte (la cellule) est suffisamment dégradée par le médicament pour devoir être détruite, et ce  par des ADN (virus), qui sont plutôt des fossoyeurs qu'autre chose.

    Et voilà le beau résultat après une campagne de vaccination contre le H5N1 sur des volailles en Asie :

    Identification d'une nouvelle souche résistante du H5N1

    HONG KONG (AFP) - Des chercheurs ont identifié une nouvelle souche particulièrement résistante du virus H5N1 de la grippe aviaire ravivant les craintes d'un risque de pandémie, selon une étude américano-hongkongaise publiée mardi.

    D'après les scientifiques, cette souche dite "du Fujian" (du nom de la province éponyme du sud de la Chine où elle a été isolée) a évolué en développant une résistance lors des campagnes de vaccinations lancées pour protéger les volailles.

    "La propagation du virus hautement pathogène de la grippe aviaire parmi les volailles en Eurasie accompagnée d'une hausse des infections humaines en 2006, suggère que le virus n'a pas été contenu avec efficacité et que la menace d'une pandémie demeure", indique l'étude publiée dans la revue américaine "Proceedings of the National Academy of Sciences".

    "Les études suggèrent que le taux de séroconversion (apparition dans le sang des anticorps en réponse à un agent infectieux dans l'organisme ou après une vaccination) observée parmi les volailles est faible et que la vaccination a pu faciliter l'émergence de la souche du Fujian", ajoutent les chercheurs.

    Selon leur étude, la souche est apparue à la fin 2005 et s'est propagée en Chine, à Hong Kong, en Thaïlande, au Laos et en Malaisie.

    "La prédominance de ce virus sur une large zone géographique en un court laps de temps constitue un défi aux mesures de contrôle en place", mettent-ils en garde.

    L'étude a été co-écrite par Jong Guan Yi, chercheur attaché à l'Université de Hong Kong spécialiste de la grippe aviaire.

    Yahoo Actualités (31 oct. 2006)

    Bravo, on fait quoi maintenant ? Provoquer un résulat pareil, c'est "normal" ou irresponsable ?

  18. Un pathogène résistant peut redevenir non résistant si par exemple le traitement est arrêté...

    Nico, merci pour ton intervention.

    Tu as des exemples de pathogène résistant qui devient non-résistant après arrêt du traitement (hormis le "vih") ?

    Dans le cas de la tuberculose, ce sont bien les résistances qui font que la maladie est de plus en plus difficile à soigner avec les traitements conventionnels. Après arrêt du traitement, le pathogène (sauvage ou pas) ne perd pas sa résistance, au contraire. C'est ce qui se dit "officiellement". Pour le paludisme, pareil.

    Comment fait-on pour éradiquer un pathogène qui résiste sous traitement, et comment sait-on qu'il n'est plus résistant après arrêt du traitement dès lors que sous traitement, il redevient résistant ?

    On ne le touche pas et on laisse faire la nature et son travail de protection ?

    Ca expliquerait pourquoi, pour certains virus, on ne recommande que du repos et une alimentation saine en attendant que ça passe. reflechi.gif

    Pour aller à l'extrême, je me dis que si les pathogènes s'amusent à "muter" comme cela à tout va :

    - ils pourraient se transformer en "autre chose" que celui d'origine (le sauvage ou le vrai d'appellation contôlée),

    - les anticorps de la souche d'origine ne peuvent alors plus protéger contre le même pathogène "muté" (d'imitation),

    - un pathogène "muté" créerait pourtant la même maladie que celui d'origine mais sa mutation trompe le système immunitaire,

    - ça explique pourquoi la couverture des vaccins n'est pas assurée à 100% (y a qu'à voir le nouveau vaccin contre le papillomavirus vendu la peau des fesses),

    - depuis la nuit des temps que les virus se propagent d'individu à individu, et passent de mutations en mutations, il ne devrait plus exister un seul virus d'origine (le vrai, le premier de son histoire),

    - tous les virus répertoriés qui se balladent en ce moment sont donc complètement incontrôlables. Et ce qu'on croit savoir sur eux maintenant sera caduc demain,

    - à partir de là, c'est le bordel tant au niveau traitements qu'au niveau vaccins car il y a toujours un train de retard sur le "nouveau" virus muté. Lequel virus a d'ailleurs muté sous l'action des vaccins (cultures) et des traitements.

    Dès lors, ça vaudrait sûrement la peine d'étudier d'autres approches :

    - parce que certains virus (comme ceux de l'hépatite B et C) ne font pas de résistance aux antioxydants,

    - parce que le corps se protège bien contre d'autres pathogènes (comme pour la tuberculose) s'il n'y a pas de carence alimentaire spécifique,

    - pour ne pas intoxiquer inutilement (la plupart des traitements ayant des effets sur le foie) les patients avec des molécules chimiques qui ne combattent qu'une partie du pathogène (ou pas du tout), l'autre partie ayant déjà muté ou ayant créé un nouveau pathogène... et ainsi de suite,

    - pour stopper cette course infernale en roue libre justifiée par un mode de pensée dictatorial.

    Ce concept de virus "sauvage" et "d'élevage" me fait vraiment penser à de la pub pour l'alimentaire.

    Tout étant marketing, à quand un/e virus/bactérie "bio" (une sorte de prédateur naturel mais innofensif pour l'hôte) et qui assure 100% de couverture/guérison ?

    Ca se fait déjà avec les plantes et ça marche (des coccinnelles contre les pucerons, etc...)

    Utopie ?

    Je ne prétends pas apporter des solutions sur un plateau en argent, mais il me semble que le cheval a pris le mors aux dents avec cette histoire de virus.

    Vu la situation, les recherches sur les méthodes alternatives contre les maladies seraient à encourager vigoureusement, et cela d'autant plus que nos "savants fous" et leurs "sponsors" ne sont eux-mêmes pas à l'abri des embûches de la voie qu'ils ont choisie.

  19. 5-tss.gif  Pardonne moi Liane mais pourrais tu ( ou quelqu'un d'autre) m'éclairer dans l'élevage du saumon lol. Sans blague, j'ai lu ton lien et je n'y comprends rien dans cette histoire de virus sauvage...

    Moi non plus. D'ailleurs j'aimerai bien qu'un biologiste ou autre me dise s'il existe aussi des virus "sauvages" pour les autres maladies à virus.

    J'imagine qu'un virus ou une bactérie "sauvage" vient d'une souche non résistante aux traitements, antibios, etc...

    A contrario, "le virus d'élevage" serait résistant.

    Logiquement, quand un virus/bactérie est devenu résistant/e, il/elle ne redevient plus "sauvage". D'où la difficulté à l'éradiquer et le problème des antibios.

    Apparement, selon l'article plus haut, le "vih" a la faculté de se reconvertir de résistant (d'élevage) en "sauvage".

    Une première chez les virus ?

    Pour revenir au saumon ou autre poisson, quand tu en achètes, choisis le sauvage (de la mer). Celui d'élevage est nourri de m... (sauf s'il est garanti bio). Laisse tomber cette histoire de saumon, rien à voir avec la choucroute !

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