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wallypat

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Messages posté(e)s par wallypat

  1. J'en reviens brièvement aux polyphénols, dont le Padma 28 serait l'un des plus efficaces, si pas le plus efficace.

    En effet, même l'orthodoxie du sida reconnaît dans des études scientifiques la réelle utilité, si pas nécessité, de l'utilisation des flavonoïdes pour lutter contre le "VIH".

    Ainsi, par exemple, dans ce document-ci intitulé "Effets protecteurs de divers composés flavonoïdes sur linfection HIV" (allez à la page 78), on lit le résumé suivant :

    Un large ensemble de preuves indique que les espèces d'oxygène réactives sont fortement impliquées dans la pathogénie de l'HIV. Dans les premiers stades de la maladie déjà, on observe de faibles niveaux plasmatiques d'antioxydants, qui continuent de diminuer au fur et à mesure de la progression de la maladie. De plus, plusieurs auteurs ont rapporté des niveaux sériques élevés de produits de peroxydation lipide dans le plasma de patients infectés par l'HIV.

    Nous avons démontré récemment que divers antioxydants (dismutase superoxyde, tocophérol) bloquaient l'expression du sida in vitro et ex vivo. Nous avons aussi montré que les flavonoïdes et les composés polyphénols (éthyles férulique, gallique, caféique, férulate, gallate, curcumine et O-Tocophéryle succinyle O-éthyle de férulate) empêchaient jusqu'à 80% de la réplique du sida (infection sévère par le virus HIV-1 et transmission de l'HIV), bloquaient la lipoperoxydation des cellules et prévenaient la consommation de glutation cellulaire.

    Sur la base de nos découvertes, on pourrait envisager une nouvelle

    approche thérapeutique, fondée sur l'association de flavonoïdes ou d'autres destructeurs de radicaux libres avec des médicaments antiviraux. Cette polythérapie pourrait, si elle débutait assez tôt après l'infection, prolonger la période de latence et limiter l'émergence de souches virales résistantes aux médicaments. (Bulletin O.I.V., 2000, vol. 73, n° 837-838, pp. 811-818).

    Et quand on examine cela, on se rend compte encore une fois que sous le prétexte du soi-disant "VIH", l'orthodoxie du sida ne fait qu'étudier ..... les mécanismes du stress oxydatif comme cause du sida !

  2. Je reconnais qu'au départ, j'étais très circonspect et suspicieux à l'égard des explications "génétiques" du VIH avancées par l'orthodoxie du sida.

    Mais finalement, à regarder de plus près, l'orthodoxie du sida pourrait bien arriver à de réels résultats grâce à leurs travaux sur la génétique du "VIH" ..... sauf que quand on examine leurs travaux de plus près, on se rend compte que sous prétexte de "VIH", l'orthodoxie du sida ne fait que travailler sur le stress oxydatif !

    En effet, si je relis le document cité par Liane, je lis entre autres :

    Nous avons observé qu'il y avait une corrélation statistique significative entre le fait de rester un non progresseur stable (qui n'évolue pas) et le fait d'avoir des anticorps dirigés contre Tat, mais pas contre Env, Nef, Vpr ou Gag. De plus, la réponse anticorps anti-Tat était exactement en corrélation inverse de l'antigénémie p24, marqueur de réplication virale.

    Donc, l'orthodoxie du sida aurait pu constater que bon nombre de progresseurs à long terme aurait des anticorps contre l'une des protéines majeures du "VIH", à savoir la protéine "Tat".

    Mais quand on analyse cela sous l'angle du stress oxydatif, ce que l'orthodoxie du sida appelle du "VIH", cela s'explique très facilement, apparemment.

    En effet, la protéine "Tat" paraît bien être une protéine favorisant l'oxydation.

    Ainsi, ici, je lis :

    Nous trouvons un complément d'information dans le "Quotidien du Pharmacien", N° 1929, 4-XII-2000, sous la plume de J.Defrance, un article concernant les Antioxydants du Thé Vert : nous lui cédons la parole :

    " l'implication du stress oxydatif dans la pathogénèse de l'infection par le VIH1, dés les stades précoces, est bien documentée : déséquilibre entre une déplétion en antioxydants ( glutathion, SOD, notamment ), la protéine TAT rétrovirale se comportant comme un prooxydant. Les radicaux oxygénés et le VIH entretiennent un cercle vicieux autodestructeur qui rend les cellules immunitaires plus sensible au TNF alpha, précipitant ainsi leur apoptose...."

    " Kimura a montré l'importante production de radicaux libres par les macrophages au cours de l'infection par le VIH : ces radicaux libres favorisent la transmission de cellule à cellule dans les lignées de CD4 humains..."

    Ce qui est d'ailleurs confirmé dans ce document bien plus scientifique, datant de 2000 (allez à la page 80) :

    L'expression du HIV-1 peut être provoquée par des oxydants tels que le peroxyde d'hydrogène et l'oxygène in vitro (11). En même temps, le HIV-1 peut accroître l'accumulation de ROS (espèce d'oxygène réactif) par l'entremise d'un activateur transcriptionel trans-actif (Tat) (12). Tat agit comme une protéine pro-oxydante en activant la sécrétion de la cytokine pro-inflammatoire (TNFα, IL1, IL6, TGFβ) (12), que l'on sait augmenter la production de ROS (13-14), et un affaiblissement des mécanismes de défense antioxydants des cellules, par la suppression de l'expression du Mn-SOD (15-16). Toutes ces découvertes suggèrent que le ROS et l'infection HIV forment un cercle vicieux autocatalytique, qui finalement rend les cellules plus sensibles aux effets cytotoxiques du TNFα et augmente leur risque d'apoptosie (4-5, 17-19).

    En réalité, lorsque l'orthodoxie du sida parle de "protéine TAT rétrovirale", il ne s'agit bien sûr que d'une hypothèse pour faire corroborer leurs découvertes avec l'hypothèse de l'existence du rétrovirus "VIH". En réalité, il faudrait plutôt considérer que la protéine TAT n'est pas une protéine du "rétrovirus VIH" mais bien tout simplement une protéine dénaturée et endommagée par l'effet du stress oxydatif, ce que l'orthodoxie du sida interprète - à tort - comme la preuve de l'existence d'une protéine "spécifique du rétrovirus VIH".

    Quant aux anticorps contre la protéine "TAT", à mon avis, ils peuvent tout simplement apparaître dans l'organisme à partir du moment où un séropositif suit les recommendations de la dissidence du sida. D'ailleurs, dans ce document de l'orthodoxie du sida, datant de ce mois-ci, il est précisé que le glutathion (tiens, comme par hasard !) fait en sorte que la protéine TAT n'est plus produite !

    Le glutathion (GHS) le fait en toute sécurité avec comme résultats :

    - l’ADN viral dans les cellules hôtes est anéanti ;

    - le génome viral n’est plus répliqué ;

    - les protéines virales telles que transcriptase inverse, protéase virale et la protéine TAT ne sont plus produites

    En conclusion, sous couvert de "VIH", l'orthodoxie du sida étudie en fait ..... les mécanismes du stress oxydatif pour guérir le sida !

  3. LE PADMA 28 + ANTIOXYDANTS = LE COCKTAIL THERAPEUTIQUE (NATUREL) GAGNANT ?!

    1) Introduction

    Nous avons vu à de multiples reprises sur ce forum que la meilleure approche thérapeutique naturelle pour traiter la séropositivité et le sida (même après des épisodes de sida déclaré) était la voie des antioxydants, soit la solution déjà préconisée dès la fin des années 80 par le Perth Group, à l'origine de la théorie du stress oxydatif comme cause du sida.

    Et parmi ces antioxydants, nous avons pu constater l'intérêt essentiel des séléno-protéines pour combattre le stress oxydatif ou disons les séquelles du stress oxydatif (puisque par définition, pour traiter la séropositivité, la première chose à faire est de renoncer définitivement à s'exposer à nouveau à des sources importantes de stress oxydatif, telles que la toxicomanie, les drogues récréationnelles, etc...), comme le glutathion, le sélénium, et d'autres antioxydants. Faire un bilan nutritionnel préalable paraît toutefois fortement souhaitable pour prévenir l'effet contraire, à savoir un excès d'antioxydants, lequel excès peut être tout aussi nuisible que sa déficience.

    Mais n'est-il pas possible d'améliorer cette approche thérapeutique ?

    Il semble bien que oui.

    Parmi les dissidents qui partagent la théorie du stress oxydatif comme cause du sida, il n'y a en effet pas que le Perth Group, mais il y a aussi des scientifiques allemands de renom : Lanka, Kremer, Hassig (décédé il y a quelques années), etc...

    Or ces derniers mettent tout particulièrement l'accent sur l'usage des polyphénols, des flavonoïdes et des tannins pour combattre le stress oxydatif et rétablir l'équilibre oxydo-réducteur.

    Et j'ai pu constater que depuis plus de 15 ans, un nom revient systématiquement dans leur bouche : le Padma 28.

    Mais avant d'y venir, rappelons - très brièvement - pourquoi il est essentiel de rejeter les drogues dites "antivirales" pour traiter le sida, à moins que l'on ne puisse vraiment plus faire autrement.

    2) Les drogues dites "antivirales" constituent la fausse (et mauvaise) solution

    Et je reproduis à cet égard ci-dessous quelques passages éloquents tirés de la bouche du Docteur Henrich Kremer.

    Pourquoi les poly"thérapies" dites "antivirales" donnent-elles l'impression aux sidéens d'aller mieux ?

    Tibetan herbal remedy PADMA 28 revealed promising results to support treatment of intermittent claudication, atherosclerosis and chronic hepatitis. The remedy was confirmed to be closely linked with anti- and pro-oxidative properties in vitro. In this study, effect of PADMA 28 was investigated in stimulated and unstimulated human peripheral blood mononuclear cells (PBMC) in vitro. Neopterin production and tryptophan degradation were measured in supernatants of PBMC in the presence or absence of mitogens phytohaemagglutinin (PHA) and concanavalin A (Con A). Stimulation of PBMC induced neopterin formation and tryptophan degradation (p<0.001 compared to unstimulated PBMC), and PADMA 28 inhibited both immunobiochemical effects (p<0.001) in a concentration-dependent manner. Higher concentrations of PADMA 28 were more effective and were able to completely block the pathways induced upon mitogenic stimulation. Data allow to conclude that PADMA 28 is able to inhibit immunobiological effects in stimulated PBMC in vitro. The suppression of neopterin production and tryptophan degradation suggests a specific influence on biochemical pathways induced by Th1-type cytokine interferon-gamma.

    Maintenant, on me dira que dans la médecine orthodoxe, l'hépatite C est "traité" avec de l'interféron alpha, et non de l'interféron gamma.

    C'est perdre de vue que depuis peu, des essais sont actuellement en cours pour traiter l'hépatite C avec de l'interféron gamma (or nous venons de voir qu'il peut déjà être naturellement produit par le Padma 28) et qu'il apparaît bien que l'interféron gamma serait 300 fois plus puissant (!) que les autres types d'interféron (dans cet article, il est toutefois précisé que l'interféron gamma réduit la production danticorps dans lorganisme, favorisant ainsi les surinfections. Mais est-ce aussi simple que cela ? Ne dit-on pas que les séropositifs ont trop d'anticorps, ils en ont même tellement que le test dit "VIH" devient positif ? Ne serait-ce au contraire pas une bonne nouvelle que le nombre de ces anticorps diminue, en sorte qu'une partie des TH2, qui produisent ces anticorps, quittent les tissus pour revenir dans la circulation sanguine, faisant ainsi augmenter les T4 mesurables ? Je m'interroge en tout cas).

    En tout, cela paraît quasiment certain : l'interféron gamma paraît avoir un effet sur l'hépatite C bien supérieur à celui de l'interféron alpha de l'orthodoxie médicale.

    Donc, je me pose la question : les personnes souffrant d'hépatite C, même non coinfectés par le "VIH" , ne feraient-ils pas mieux de prendre du Padma 28, qui produit naturellement de l'interféron gamma (et sans effet secondaire, semble-t-il), que de recourir à l'interphéron alpha "chimique" avec ces terrifiants effets secondaires ?

    Où se procurer le Padma 28 ?

    Je me permets de citer nommément la société en question car il n'y a qu'une seule société qui la produit pour toute l'Europe. Elle est en situation monopolistique.

    Il s'agit de la société suisse Padma . On ne peut pas faire plus simple !

    En cliquant ici, on trouvera la liste des principaux distributeurs en Europe.

    Il y a un problème de taille : il semble que la distribution soit interdite en France ! Quand on voit l'hostilité des "autorités" médicales françaises à l'égard de tout ce qui sort de la médecine "traditionnelle", on comprend pourquoi.

    Mais d'après les échos que j'ai pu obtenir, ce n'est pas (trop) cher ... en Suisse. L'équivalent de +/-45 EUR (je crois) pour un mois de traitement. En tout cas, c'est bien moins cher que la Pao Pereira de Beljanski (250 EUR par mois).

    5) Contre-indication

    Le Padma 28 semble paré de toutes les vertus mais d'après ce document, quand on utilise le Padma 28, il est vivement déconseillé de prendre en même temps de fortes doses de vitamines C, E, ou de bêta carotène car le Padma 28 serait alors contre-productif.

    Quelqu'un pourra-t-il expliquer pour quelle raison ?

    Voilà.

    Je n'ai pas rédigé ce post pour faire de la publicité pour ce produit mais bien pour attirer l'attention des lecteurs sur la très apparente utilité et surtout efficacité du Padma 28 pour traiter différentes maladies, dont le sida et les hépatites, et à ce titre, je trouvais que cela méritait bien un post. En tout cas, à mon humble avis, le Padma 28 paraît bien être une judicieuse alternative et/ou complément aux antioxydants "traditionnels".

    Au lecteur de trancher !

  4. OK. Je crois que je commence - tout doucement - à te comprendre.

    Toutefois, pour la suite éventuelle de ta démonstration, je me permets d'apporter deux éléments (pour le cas où cela serait utile).

    ll ne s'agit pas "circonlocutions" mais d'un essai de démonstration de la façon dont une théorie dicte l'interprétation des faits en correspondance avec son hypothèse de départ.

    Oui, je crois que c'est effectivement sur base de l'interprétation des faits que l'on élabore des théories et si celles-ci font de bonnes prédictions (cf mon précédent post), on peut alors considérer que ce sont de bonnes théories.

    Un exemple

    De nombreuses prostituées deviennent séropositives et ensuite sidéennes.

    L'orthodoxie du sida a interprété cela, sans aller plus loin dans l'interprétation, comme constituant la preuve que la séropositivité est sexuellement transmissible et a prédit que cela deviendrait vite une épidémie mondiale. On constate toutefois que dans les pays occidentaux, cette prédiction ne s'est pas réalisée (et on ne pourrait pas dire c'est grâce à l'usage des préservatifs lorsqu'on constate l'épidémie de [vraies] MST et les chiffres de vente dérisoires des préservatifs).

    La dissidence du sida, quant à elle, affine l'interprétation des faits et constate - parfois sur base des mêmes études que l'orthodoxie du sida ! - que les prostituées qui deviennent séropositives et qui deviennent sidéennes sont en réalité quasiment toutes toxicomanes et droguées (ce qui en fait beaucoup, il est vrai, mais n'est-ce justement pas la cause principale de la prostitution ?), contrairement à celles qui restent obstinément séronégatives. Elle en déduit que la preuve de la transmission sexuelle n'est nullement apportée et que le sida se limitera essentiellement aux groupes à risque (du moins, dans les pays occidentaux), ce que confirment les faits actuels.

    La question posée est d'ordre méthodologique, à nouveau, Comment a-t-on déterminé qu'un taux haut de ceci équivaut à un danger ?

    Ne pourrait-on justement pas apporter comme réponse : les faits (ou du moins, l'interprétation des faits) ?

  5. Je me rends compte que j'ai oublié de parler également d'un point absolument fondamental.

    En effet, si je comprends bien, tu essaies aussi de comparer les deux théories sur les plan clinique et biologique en supposant qu'il y aurait des éléments de convergence au départ entre les deux théories.

    Or même au départ, il n'y a absolument aucun point de convergence.

    Selon la théorie rétrovirale, un séropo est en bonne santé s'il a un bon bilan biologique peu importe (ou presque) son bilan clinique. En outre, ce bilan biologique se réduit quasi exclusivement à la mesure des T4 et des charges dites "virales". Un séropo en bonne santé a beaucoup de T4 et une charge virale inexistante ou peu élevée, même s'il est malade cliniquement. C'est tellement vrai que les séropos qui meurent (d'aller mieux ! lol) ont le plus souvent pas mal de T4 et une charge virale inexistante.

    Un autre cas typique, ce sont les séropos qui se portent hyper bien alors que leurs T4 sont en dessous de 200. Et bien, selon l'orthodoxie du sida, ils sont très malades, en mauvaise santé et ont le sida. Le tableau clinique ne compte pas ou si peu.

    De même, l'efficacité d'une thérapeutique est analysée uniquement au regard des T4 et de la charge dite "virale". Par exemple, une baisse des T4 après la cessation des drogues dites "antivirales" est analysée comme constituant un échec thérapeutique, justifiant la reprise des drogues dites "antivirales", quand bien même il se portait bien cliniquement.

    En d'autres termes, pour l'orthodoxie du sida, la bonne santé s'apprécie au regard du seul bilan biologique (au surplus limité car se réduisant essentiellement à deux soi-disant marqueurs, les T4 et la charge dite "virale"); le bilan clinique est tout à fait accessoire.

    En revanche, dans la théorie du stress oxydatif, la bonne santé s'apprécie aussi et certainement cliniquement, tout le contraire de l'orthodoxie du sida. Quand au bilan biologique, la théorie du stress oxydatif y accorde de l'importance bien sûr mais cela ne se réduit pas aux T4 et à la charge dite "virale" : charge virale (quasiment aucune importance), les T4 (un intérêt certain, mais on ne décide pas de la bonne ou mauvaise santé sur base de ce seul critère , il est tenu compte d'autres données du bilan biologique et aussi du bilan clinique), mais également la concentration en glutathion et de manière générale les autres marqueurs du stress oxydatif (vitamines, oligoéléments, oméga 3, etc...).

    En d'autres termes, pour la dissidence du sida, la bonne santé s'apprécie sur les deux plans, et quant au plan biologique, l'analyse est bien plus large que les deux seuls marqueurs retenus par l'orthodoxie du sida.

    Finalement, je crois pouvoir te rejoindre : il y a bien une cassure entre les deux théories sur l'appréciation de la bonne ou mauvaise santé du séropo, une cassure entre le plan clinique et le plan biologique.

    Alors, à toi de voir quelle est ta préférence ou primauté : le bilan clinique où l'on vérifie si le séropo vit bien sans trop de "bobos" ou le plan biologique où l'on vérifie en priorité s'il aurait deux "bons" marqueurs, peu importe qu'il souffre le martyre ou non ?

    Le seul point commun de départ que je trouve entre les deux théories, c'est la constatation qu'à un test, dont l'interprétation n'est déjà pas la même entre les deux courants, certaines personnes réagissent positivement. Mais après cette constatation, les deux théories divergent déjà totalement, en commençant par l'interprétation à donner à la constatation de départ.

  6. J'avoue avoir beaucoup de mal à te suivre, Psyence, et surtout à te comprendre. Tout cela est intéressant, certainement, mais je ne peux m'empêcher de me dire que tu utilises de nombreuses circonlocutions pour aboutir à pas grand chose; c'est du moins mon impression jusqu'à maintenant.

    Moi, je suis plutôt "terre à terre". Alors voici ce que je pense de certains de tes raisonnements et de tes prémisses.

    1) L'hypothèse (rétro)virale du sida ne peut en aucune façon être une théorie acceptable car elle n'a jamais pu faire de prédictions fiables, contrairement à la théorie du stress oxydatif comme cause du sida

    La comparaison entre l' existence réelles des cas de figures pré-logique (impliqués par l'hypothèse elle-même) et l'hypothèse en question sert à la vérifier. La théorie ne peut être définie qu'après cette vérification.

    Finalement, cela semble être le but de tout le raisonnement que tu tâches de développer. En d'autres termes, par le biais d'un raisonnement dont la logique m'échappe toujours jusqu'à ce jour, tu veux en définitive essayer de démontrer que l'une des deux théories (théorie rétrovirale ou théorie du stress oxydatif) est meilleure que l'autre.

    Il me semble à cet égard qu'une bonne théorie scientifique est celle qui fait de bonnes prédictions depuis 20 ans. En revanche, une théorie scientifique qui ne fait que de mauvaises prédictions depuis plus de 20 ans ne mérite pas qu'on lui accorde le moindre crédit, sauf celui de l'enseignement de l'histoire des plus grandes erreurs et catastrophes scientifiques et médicales.

    Je crois que jusque là, nous pouvons tous les deux être d'accord.

    A cet égard, la théorie du stress oxydatif figure dans la première catégorie (celle des prédictions qui se vérifient), tandis que la théorie rétrovirale figure dans la seconde catégorie (celle des prédictions erronées).

    Pour illustrer ces faits (car ce sont bien des faits; il ne saurait être question de quelque méthodologie que ce soit à mon sens), je fais surtout procéder à des renvois vers différents articles relatant nombre de ces faits.

    a) D'abord, dans ce document-ci :

    La théorie du VIH exige que le VIH provoque toutes les maladies définissant le SIDA et prédit que le VIH/SIDA deviendra une épidémie mondiale par le truchement de la plus ancienne et la plus incontournable de toutes les activités humaines. Néanmoins, le sarcome de Kaposi, l'une des deux maladies pour lesquelles la théorie du VIH fut mise sur pied, n'est plus attribué, ni directement ni indirectement, au VIH.(12,13,54,74,78, et voir note n°3 en fin d'article) Dans les pays de l'OCDE, la prédiction d'une épidémie sexuelle a complètement échoué. Par exemple, au début de l'année 1998, en Australie, 93 % des morts du SIDA (en chiffres cumulés) avaient appartenu aux groupes à risque initiaux, c'est-à-dire aux hommes homosexuels/bisexuels, aux toxicomanes et aux hémophiles. Cette observation concorde avec le profil démographique classique de maladies non infectieuses telles que la pellagre, le béribéri et le scorbut qui, de façon caractéristique, restent confinées à leurs groupes à risque. Toutes ces maladies sont causées par des carences vitaminiques, mais, dans le passé, elles étaient considérées comme infectieuses; ceux qui en souffraient étaient mis en quarantaine et rejetés.

    Les tenants du VIH prédisaient aussi un vaccin curatif pour la fin de 1986 ainsi qu'un modèle animal destiné à prouver définitivement la théorie du VIH. Aucune de ces deux prédictions ne s'est réalisée. Un vaccin n'est pas envisagé avant longtemps et les animaux auxquels on inocule le "VIH" s'obstinent à ne pas développer le SIDA.

    En revanche, la théorie du stress oxydant d'Eleopulos prédit les données démographiques actuelles, une perte apparente de cellules T4, le risque lié au rapport anal chez les deux sexes, le fait que les séropositifs et les malades du SIDA sont oxydés par rapport aux individus normaux, l'amélioration des séropositifs et des malades du SIDA par la prise d'antioxydants et enfin un modèle animal non infectieux. Chacune de ces prédictions s'est réalisée.

    La théorie d'Eleopulos prédit qu'une réduction du nombre de cellules T4 peut intervenir sans mort cellulaire. En fait, d'après le groupe de Perth, rien ne permet de dire que les cellules T4 sont mortes, ou que le VIH les tue. Dans les cultures de cellules T4, le même nombre de cellules T4 "disparaît", que l'on ajoute le "VIH" ou simplement les stimulants chimiques nécessaires à la "culture" du "VIH".(83) Il n'y a pas non plus de preuve qu'un faible nombre de cellules T4 soit nécessaire ou suffisant pour produire le syndrome clinique.(9,12,14) C'est là un point de vue récemment exprimé par d'éminents spécialistes du SIDA tels que le Dr Arthur Anderson, de l'Institut de recherche médicale de l'Armée américaine pour les maladies infectieuses,(84), et le Dr Zvi Grossman, de l'université de Tel Aviv.(85)

    En d'autres termes, le pivot de la théorie du VIH (à savoir la destruction viralement induite de cellules immunitaires conduisant au SIDA ) est maintenant mis en question par les experts ès-VIH/SIDA eux-mêmes. Néanmoins, et en dépit de tant de preuves contraires, les tenants de cette théorie campent sur leurs positions. En fait, depuis 1993, le faible nombre de cellules T4 a été inclus dans la définition CDC-1993 du SIDA, ce qui fait que le SIDA peut être considéré comme déclaré en l'absence de toute maladie. L'hypothèse de "cofacteurs" fut avancée au milieu des années 80 pour tenter de sauver la théorie du VIH. En juillet 1998, Chen et ses collègues, de l'Institut UCLA du SIDA (de l'école de médecine de Los Angeles), apportèrent la preuve qu'un "virus naturellement non infectieux" ou "rendu défectueux" par des drogues "anti-VIH" pouvait encore contribuer à la perte de cellules T4 au cours du SIDA.(86) En d'autres termes, "mort ou vif", le VIH provoque l'immunodéficience. Une telle proposition n'est de bon augure ni pour l'utilisation de drogues "anti-VIH" ni pour la poursuite de la recherche les concernant.

    La relation directe entre les fréquences élevées de rapports anaux passifs et le développement du SIDA ainsi que le caractère non infectieux de l'unique modèle animal de SIDA sont également en accord avec la théorie du stress oxydant d'Eleopulos. Des souris recevant des injections répétées de protéines cellulaires étrangères montrent une réduction dramatique du nombre de cellules T4, développent des tumeurs semblables au sarcome de Kaposi, et d'abondantes particules analogues à des rétrovirus apparaissent dans leur rate.(87) Ainsi, les maladies du SIDA sont suivies d'une production de particules analogues à des rétrovirus, et non l'inverse.

    A la lecture de ne fût-ce que les seuls considérations qui précèdent, un esprit objectif saisira tout de suite quelle est la théorie qui a fait et fait toujours à ce jour les justes prédictions. Il est clair que ce n'est justement pas la théorie rétrovirale.

    Et ne perdons pas de vue que non seulement la théorie rétrovirale n'a jamais pu faire de prédictions correctes (ou si peu), mais qu'en plus, pour qu'elle puisse tenir cahin-caha, il a fallu que l'orthodoxie du sida attribue - sans de réelles preuves - quatre propriétés magiques à un rétrovirus dont elle n'a jusqu'à ce jour et au surplus jamais prouvé l'existence, à savoir que le VIH est en mesure de

    - muter,

    - migrer,

    - hiberner,

    - et se réactiver !

    La théorie du stress oxydatif n'a au contraire nul besoin d'artifices de cet acabit pour rester en vie.

    b) Je t'invite à lire également cet article, en particulier la fin du premier tiers de cet article, où tu trouveras un tableau reprenant 17 prédictions faites sur base de la théorie rétrovirale et qui ont été démenties par les faits (attention toutefois : quelques démentis peuvent cependant être relativisés, mais cela s'explique par le fait qu'ils émanent de Duesberg et que ce dernier pense encore que le VIH existe mais qu'il serait inoffensif; cela aboutit parfois à quelques incohérences dans sa théorie, sans atteindre bien entendu la myriade d'incohérences de la théorie orthodoxe du sida).

    c) Parlons en des incohérences de la théorie rétrovirale du sida.

    Consulte ce document qui énumère déjà 100 incohérences dans cette théorie (attention, quelques unes doivent également être relativisées, comme celle précisant que les patients séropositifs récupèrent après qu'ils aient arrêté de prendre des drogues récréatives ou des médicaments contre le SIDA; ce n'est en effet pas toujours vrai, mais la théorie du stress oxydatif permet également de l'expliquer).

    En résumé, quand je lis l'ensemble des prédictions de la théorie rétrovirale du sida, qui ne se sont pas réalisées, ainsi que les multitudes d'incohérences de cette théorie, il me semble que les jeux sont déjà faits : la théorie rétrovirale du sida n'est pas une bonne théorie; en revanche, la théorie du stress oxydatif est une bonne théorie car elle fait de bonnes prédictions, ne comporte vraiment pas beaucoup d'incohérences (à vrai dire, à ce jour, je n'en ai pas encore trouvé mais je n'ose pas dire qu'elle n'en comporte pas car je ne pourrai jamais prétendre connaître tous les tenants et aboutissants de la théorie du stress oxydatif, même en résumé; donc, je présume qu'il doit bien y avoir de petites incohérences, mais c'est bien dur à trouver, en tout cas pour moi), et, cerise sur le gâteau, surmonte les incohérences relevées dans la théorie rétrovirale.

    Dans ces conditions, je pense que le but que tu essaies de poursuivre par ton raisonnement, à savoir démontrer que l'un des deux théories est meilleure que l'autre, est déjà atteint.

    N'empêche, même en faisant abstraction des faits qui précèdent, je ne peux pas marquer mon accord sur certaines de tes prémisses et, partant, sur certains des raisonnements qui ont suivi.

    2)

    Le problème qui est posé ici est celui du sens de la présence de ces protéines en excès. Le sens qui leur est respectivement attribués est soit celui de la présence d'un virus (théorie virale), soit celui d'une dégradation de la santé (théorie du stress oxydant.)

    Je pense qu'il s'agit de la prémisse de départ de ton raisonnement. Or cette prémisse est dès le départ erroné. La suite du raisonnement ne pourra que l'être également.

    Tu sembles avoir recherché un point de rencontre de départ entre les deux théories. Ce point de rencontre serait l'interprétation à donner à la notion de "excès de protéines". Selon, la théorie du stress oxydatif, cet excès serait le signe d'une dégradation de la santé, ce qui est exact, tandis que selon l'orthodoxie du sida, cet excès serait le signe de la présence d'un rétrovirus, ce qui est déjà faux en réalité.

    Pour le comprendre, il faut très brièvement se rappeler que dans leurs rares tentatives d'isolation - ratée - d'un rétrovirus "HIV", très grossièrement dit, l'orthodoxie du sida a prétendu avoir isolé ce fantomatique rétrovirus pour avoir retrouvé une activité de rétrotranscriptase inverse et diverses protéines. Laissons de côté la transcriptase inverse dont on sait très bien que sa présence n'est nullement la preuve de la présence d'un rétrovirus.

    Venons en plutôt aux protéines. L'orthodoxie du sida a retrouvé certaines protéines lors de ces tentatives d'isolation. Ils ont supposé que ces protéines étaient des marqueurs d'un nouveau rétrovirus. Sur ce forum (voir entre autres le nouveau sommaire, au niveau du Chapitre III), on a vu que ces protéines n'ont rien de spécifique au "VIH". Et il y a bien mieux encore : lors de ces différentes tentatives d'isolation, ce n'était d'ailleurs pas toujours les mêmes protéines qui étaient retrouvés. Mais certaines protéines revenaient un peu plus souvent que d'autres. Au bout de plusieurs années, un consensus s'est établi (plus ou moins) entre "experts" du sida pour affirmer que le "VIH" serait caractérisé par 10 protéines.

    Tout cela pour dire que ce n'est pas l'excès de ces (10) protéines qui définit la présence du "VIH" mais simplement la présence de ces 10 protéines, qu'elles soient excédentaires ou non. Donc, il y a déjà cette erreur de départ dans ta prémisse citée ci-dessus.

    Donc, je répète, ce n'est pas l'excès de ces protéines qui définit la présence du soi-disant VIH mais bien leur simple présence. Il n'y a pas de notion d'excès dans la théorie orthodoxe du sida et donc il n'y a déjà aucun point de rencontre sur ce plan-là avec la théorie du stress oxydatif.

    Cette notion d'excès n'apparaît dans la théorie orthodoxe du sida qu'au stade de la notion de dilution de l'échantillon à tester. Il faut en effet savoir que pour la plupart des tests sérologiques d’anticorps (et contrairement au test HIV), on utilise du sérum pur, non dilué. C’est le cas, par exemple, des tests Elisa utilisés pour diagnostiquer les hépatites A et B, la rubéole, l’histoplasmose, le cryptocoque, le tréponème de la syphilis etc... Ce n'est que dans des cas exceptionnels que l'on dilue l'échantillon à analyser et uniquement pour affiner sans doute la précision des résultats positifs (identifiant les patients réellement infectés) et des résultats négatifs (les non-infectés). Et encore, cette dilution n'est pas élevée : 1/16 pour rougeole, varicelle, oreillons, 1/20 pour le cytomégalovirus (CMV) et 1/10 pour le virus d’Epstein Barr (EBV).

    Ce que je veux essayer de faire comprendre, c'est que dans la théorie rétrovirale du sida, il n'y a pas de place à la notion d'"excès". La seule présence de ces protéines suffit. Et je te fais grâce des incroyables incohérences à ce sujet, tant dans le temps que dans l'espace : tantôt 1 protéine suffit, tantôt 2, tantôt 3, tantôt 4. En d'autres termes, une même personne testée le même jour dans trois ou quatre pays différents sera ou non infectée par le VIH selon le pays dans laquelle le test aura eu lieu. Evidemment, cette différence de diagnostic est injustifiable et l'orthodoxie du sida se garde bien d'aborder le sujet et tâche toujours de l'esquiver.

    Tu vois dans ces exemples que c'est la présence de ces protéines qui compte (1, 2, 3 ou 4, [mais pas 5, 6, ...10 bizarrement, alors qu'elles sont TOUTES censées spécifiques au VIH]). La notion d'"excès" n'intervient qu'au niveau du mécanisme de dilution. Or là aussi, cela pêche, et ce pour deux raisons fondamentales :

    - Jusqu'à l'invention du VIH, JAMAIS aucun test d'anticorps n'avait eu un taux de dilution aussi élevé : 400 pour Elisa, 50 pour Wester Blot.

    - "Bizarrement", ce taux de dilution est fixé à un niveau tel que ce sera presque uniquement dans les groupes dits "à risque" que les tests dits "HIV" risquent de devenir positifs. Cette correspondance n'a évidemment strictement rien à voir avec la notion de "dilution".

    Conclusion : ta prémisse de départ me semble déjà erronée. Dans la théorie orthodoe du sida, c'est la seule présence des protéines qui compte pour définir l'existence - hypothétique - du VIH. Il n'y a pas de place à la notion d'excès et dans ces conditions, il me semble impossible de continuer tes raisonnements en partant de cette notion d'"excès" dans les deux théories.

    3)

    L'argument que tu avances:
    Un séropositif asymptomatique est aussi malade qu'un sidéen ou du moins, n'est certainement pas en "bonne santé", sauf que cela ne se traduit pas encore sur le plan clinique.

    Repose sur une prédiction (pronostique) sans fondement clinique, c'est du moins ce que démontre les cas de séropositifs qui ne développent jamais de sida. Dans ce cas la prédiction ne se réalise pas, alors sur quelle base les considérés comme des personnes malades ? D'un indicateur dont a décidé arbitrairement de la pertinence parce qu'il montrait un excès ou un manque de quelque chose ?

    Là, tu présupposes que les survivants à long terme sont encore séropositifs. Cette présupposition n'est pas neutre puisqu'elle suppose établie comme un fait l'assertion de l'orthodoxie du sida selon laquelle une fois déclaré séropositif, on le reste à vie. En réalité, on a pu constater que des survivants à long terme sont redevenus séronégatifs, et dans ce cas, mon argument tient toujours. Le gros problème, c'est qu'il n'y a pas d'études permettant de le vérifier. Et c'est normal : la plupart des survivants à long terme fuient le système médical, et quand ils s'y maintiennent quand même, les médecins qui les "suivent" ne se donnent pas la peine de refaire un test "VIH" pour vérifier qu'ils sont bien encore séropositifs puisque par définition et selon le dogme en vigueur, ils sont séropositifs à vie. Et dans les cas absolument rarissimes où ils le font et que le test s'avère négatif, l'orthodoxie du sida argue un argument "imparable" : le "VIH" a la capacité de migrer (vers les ganglions, là où ils ne peuvent pas être détectés).

    En d'autres termes, ta démonstration présuppose que les séropositifs qui ne développent pas le sida, soit les survivants à long terme, sont encore séropositifs. Il s'agit là d'une idée reçue puisqu'elle n'a jamais été prouvée jusqu'à ce jour.

    4)

    Pour que l'on puisse qualifier une personne de "malade", la maladie doit être définie simultanément sur les deux plans (biologique et clinique) et pour cela il faut démontrer que la variation de tel indicateur engendre nécessairement tels symptômes, sans quoi ces indicateurs ne sont pas un reflet de cette maladie.

    Je ne suis pas d'accord avec l'utilisation de l'adverbe "nécessairement". Sur quoi te bases-tu pour l'utiliser ?

    Car alors, si tu estimes être en droit de l'utiliser sur le plan des maladies définies artificiellement comme étant le "sida", je ne vois pas pourquoi cet adverbe n'est pas utilisé par exemple sur le plan des diverses maladies cardiovasculaires.

    Je m'explique par analogie. Un haut taux de cholestérol (stress oxydatif) ne conduit pas nécessairement à des maladies cardiovasculaires (sida). Pourtant, il n'est pas contesté qu'un haut taux de cholestérol (stress oxydatif) reste toujours un indicateur fiable du risque de développer des maladies cardiovasculaires (sida).

    En d'autres termes, si tu n'arrives pas à justifier l'utilisation de l'adverbe "nécessairement", cette partie de ta démonstration tombe également.

    5)

    Il reste aussi à considérer les cas de SIDA chez des séronégatifs. (non-P->Q) qui viennent renforcer la deuxième déduction.

    Il n'y a là rien de bien mystérieux. A partir du moment où le "VIH" n'est pas la cause du sida mais bien un symptome très courant (parmi d'autres symptômes, comme par exemple ce qui est appelé par l'orthodoxie du sida comme étant les diverses maladies du VIH), symptome produit par la vraie cause du sida, soit le stress oxydatif, il existe également des tas de maladies où rarement, un des symptomes les plus caractéristiques ne se manifestera pas. Cependant, la réalité de ces maladies sans l'un et ou l'autre de leurs symptomes spécifiques n'est pas niée. Je ne vois pas pourquoi les cas de sida sans VIH devraient faire exception. Il n'y a là rien de particulier.

    6)

    ce que l'on pourrait préciser ici, c'est que le taux de protéines faisant seuil dépend aussi de la personne elle-même, de son "terrain". Et on comprend mieux alors les séropositifs non progresseurs : leur taux d"alerte" est sûrement plus élevé que pour d'autres personnes.

    C'est une possibilité en effet. Néanmoins ceci doit-être considéré comme une hypothèse secondaire de la théorie du stress oxydant pour expliquer ce cas de figures.

    Ceci est bien entendu émis dans l'intérêt de la survie de cette théorie.

    Personnellement, je ne vois pas en quoi la théorie du stress oxydatif serait menacée par ces considérations.

    Si tu prends le cas de l'excès de cholestérol (stress oxydatif), un même excès pour un individu sera plus dangereux pour un autre individu. Cela dépendra du terrain (ou résistance de l'individu).

    7)

    D'ailleurs elle tout à fait analogue à l'hypothèse de l'existence d'un facteur protecteur contre le virus chez la même catégorie des "non-progesseurs" dans le cadre de la théorie virale.

    C'est même plus qu'une simple hypothèse. Ce sont en effet des faits définitivement non établis. Régulièrement, l'orthodoxie du sida affirme que les survivants à long terme n'existent qu'en raison de modifications à certains de leurs gènes. Il s'agit encore une fois d'un artifice pour tenter de maintenir en vie et de façon très boiteuse l'hypothèse rétrovirale. Chaque fois qu'une modification d'un gène est invoquée par l'orthodoxie du sida pour justifier l'exsitence de séropositifs asymptomatiques (ce qui suppose déjà, comme je l'ai dit ci-dessus, qu'ils soient encore séropositifs, ce qui n'est également pas démontré), systématiquement, dans les années qui suivent, il est démontré qu'on ne retrouve pas ces modifications génétiques chez la plupart des survivants à long terme.

    Ce fut encore récemment le cas pour la modification du gène CCR5, qui expliquerait l'existence de survivants de longue durée asymtomatique.

    L'orthodoxie du sida nous a d'ailleurs récemment fait le coup avec les anticorps anti-R7V.

    8/

    Cette notion de "terrain" (ter) est vague et mal définie. Personne ne sait vraiment de quoi il s'agit exactement, en cela elle amène à la considération sur la différence entre les individus mais elle ne permet pas distinguer cette différence.

    Tout comme la notion de terrain joue également dans le cadre des maladies cardiovasculaires. Pourtant, le critère d'excès de cholestérol (ou stress oxydatif dans le cadre du sida) reste toujours le meilleur facteur d'explication du risque de contracter de telles maladies cardiovasculaires (sida), étant entendu que d'autres facteurs peuvent jouer, que ce soit sur le plan cardiovasculaire ou sida.

    PS : Désolé pour les fautes de frappe. Pas eu le temps de relire.

  7. (Psyence @ Mercredi 10 Mai 2006 à 13h35)

    Hors une contradiction vient immédiatement s'opposer à ce que j'appellrait le "préjugé normatif" ; le cas de figure du "séropositif asymptômatique". ( P'-> non-Q)

    Cette personne est en bonne santé et biologiquement hors normes.

    Le séropositif asymptomatique est certes en bonne santé mais uniquement sur le plan clinique ou des symptômes. Si on fait en revanche régulièrement son bilan global de stress oxydatif, on constate alors que progressivement (du moins, s'il n'a pas remédié à ce qui lui cause un tel stress oxydatif), sur "le papier", le bilan vire progressivement à l'orange et puis au rouge.

    Donc, sur ce présupposé de départ, je ne suis pas d'accord. Un séropositif asymptomatique est aussi malade qu'un sidéen ou du moins, n'est certainement pas en "bonne santé", sauf que cela ne se traduit pas encore sur le plan clinique. Mais avec les années, ce qu'on constate progressivement sur "papier" se révélera par des manifestations cliniques ou symptomatologiques.

    En d'autres termes, je ne suis pas d'accord avec ton point : "2) Des personnes en bonne santé présentent un taux anormal."

    Et par conséquent, je ne suis forcément pas d'accord avec ta conclusion provisoire : "4) donc ce taux, qu'il soit en excès ou en manque n'est pas un indicateur fiable de l'état de santé."

  8. (Cheminot @ Mercredi 10 Mai 2006 à 06h45)

    Maintenant, l'autre hypothèse bancale, qui a été faite dans les années 60-70, si je ne me trompe, est que la bande d'ultracentrifugation en question ne peut contenir que du matériel rétroviral, ce qui n'est manifestement pas le cas au vu des travaux de Bess et Gluschankof.

    Oui, le Perth Group l'a confirmé en des termes très clairs dans cet article-ci, à savoir que tout ce qui est "attrapé" par la bande 1,16g/ml n'est pas du matériel rétroviral, très loin de là d'ailleurs :

    2. Le fait qu'une protéine sédimentant dans la bande 1,16g/ml réagisse avec un anticorps présent dans le sérum d'un malade n'autorise pas à conclure qu'il s'agisse d'une protéine virale, et ceci même dans le cas où l'on saurait que les anticorps contenus dans le sérum sont monoclonaux. Imaginons une situation idéale dans laquelle : (a) tous les anticorps contenus dans le sérum du malade sont monoclonaux et "très spécifiques"; (b) outre de nombreuses microvésicules libres, la bande de 1,16g/ml contient des protéines d'origine cellulaire, voire d'origine bactérienne, fongique ou virale (ce sont les constituants de bien des agents infectieux, autres que les rétrovirus, présents dans les cultures et chez les malades) et, comme l'a montré une étude franco-allemande en 1997, de nombreuses particules ressemblant à des rétovirus (retrovirus-like). Même dans cette situation idéale, il n'est PAS POSSIBLE DE PRÉTENDRE que, par cela seul qu'une protéine p24, p41 ou autre se retrouve dans cette bande et réagit avec le sérum, cette protéine est un constituant des particules ressemblant à des rétrovirus.

    3. Voici maintenant quelle est la réalité : (a) tous les malades du SIDA et les personnes à risque ont une pléthore d'anticorps, y compris d'autoanticorps. Parmi les autoanticorps se trouvent les antilymphocytes et, comme Montagnier et ses collègues l'ont montré,(88) les anticorps anti-actine et anti-myosine, c'est-à-dire les anticorps des protéines actine et myosine que l'on trouve dans toutes les cellules; (b) tous les anticorps présents dans le sérum ont un potentiel de réactivité croisée; © les protéines du surnageant des lymphocytes non "infectés" qui se retrouvent dans la bande de 1,16g/ml (le prétendu virus) incluent des protéines de même poids moléculaire que les protéines du "VIH";(89) (d) les animaux auxquels on inocule le prétendu virus développent des anticorps réagissant avec les protéines du "VIS", "rétrovirus" dont les protéines ont le même poids moléculaire que les protéines du "VIH" et que l'on dit étroitement apparenté au "VIH";(90) (e) les malades du SIDA et les personnes à risque sont constamment soumis à des stimuli allogènes, y compris des lymphocytes allogènes; (f) jusqu'à 1997, il n'existait aucune preuve que la bande de 1,16g/ml contenait ne serait-ce que des particules ressemblant à des rétrovirus. Étant donné ces faits, prétendre qu'on est en présence d'une protéine rétrovirale simplement parce qu'on a trouvé dans la bande de 1,16g/ml une protéine qui réagit avec des anticorps présents dans le sérum du malade revient au mieux à l'exemple suivant. (i) Un chercheur a deux bols. L'un contient une mixture d'œufs crus dont certains sont identifiés et d'autres peut-être pas, ainsi que peut-être du lait provenant de plusieurs animaux. L'autre bol contient plusieurs acides dont certains sont identifiés et d'autres peut-être pas. Il mélange le contenu des deux bols et obtient un précipité. Il proclame alors que le fait qu'il y a eu formation d'un précipité prouve l'existence dans le bol de lait provenant d'un animal jusqu'alors inconnu ainsi que d'un acide également inconnu et que la réaction qui s'est produite a eu lieu entre l'acide inconnu et une protéine du lait jusqu'alors inconnu; (ii) Cette prétention est scientifiquement impossible puisque n'importe laquelle des protéines contenues dans les œufs a pu réagir avec n'importe lequel des acides pour donner le précipité constaté.

    Il est par conséquent absolument non-scientifique de prétendre que la réaction entre les protéines qu'on retrouve dans la bande de 1,16g/ml et les anticorps présents dans le sérum du malade constitue la preuve de l'existence du "VIH". Prétendre que la réaction entre les protéines de la bande 1,16g/ml (alors que cette bande ne contient même pas de particules ressemblant à des rétrovirus) et des anticorps présents dans le sérum du malade démontre que non seulement la bande contient des particules rétrovirales mais qu'en plus il s'agit de protéines d'un nouveau rétrovirus, relève du même raisonnement que celui de l'histoire que voici. Un pêcheur a des animaux marins mais n'a pas de poisson dans son filet. Il jette quelques un de ses animaux marins dans le filet et observe que ceux-ci mangent certaines protéines qui s'y trouvent. Il prétend alors que ces protéines ne sont pas seulement des protéines de poisson mais, en plus, qu'elles proviennent d'un poisson complètement inconnu jusqu'à ce jour, un poisson d'or.

  9. Pourkoi ne pas essayer les produits BELJANSKI qui ont fais couler tant d'encre ?

    Oui, effectivement, la flavopéreirine de la pao pereira ferait des miracles non seulement en matière de cancer mais aussi en matière de sida (et d'hépatite C [mais pas vraiment pour l'hépatite B], et aussi de maladies autoimmunes).

    Pour tenter de savoir pourquoi, il faudrait à mon avis connaître la structure chimique de cette substance. Or cela semble être un secret d'Etat !

    Toutefois, dans ce document-ci, j'ai trouvé quelque chose en rapport avec sa structure chimique, je crois du moins :

    Cette flavopéreirine possède un azote quaternaire chargé positivement, et un azote chargé négativement (bipolarité). Elle peut donc se comporter comme un zwitterion

    En tout cas, ce que je constate, c'est que la flavopéreirine montre une efficacité dans les maladies qui semblent liées au stress oxydatif justement (et si on connaissait la composition chimique de la flavopéreirine, on comprendrait sans doute pourquoi; peut-être est-ce une sorte de "lamivudine naturelle", sans les effets secondaires de la lamivudine chimique ?): cancer, sida, maladies autoimmunes et hépatite C. Et très peu dans l'hépatite B. Or l'hépatite B semble justement avoir bien peu de rapport avec le stress oxydatif.

    Mais le principal obstacle à son emploi est son coût ! J'ai calculé que cela revient approximativement à 25O EUR par mois , et encore, c'est parce que l'euro est une monnaie forte à l'heure actuelle.

    Je trouve que c'est quand même très cher, et que cela devrait être réservé aux cas extrêmement difficiles.

    Quand en plus on sait qu'il faudrait idéalement utiliser conjointement un autre produit Beljanski, le Gingko V, je crois, cela revient facilement à 450 EUR par mois.

    Donc, en attendant, la voie des antioxydants semble encore la voie la moins chère tout en restant efficace dans la plupart des cas.

  10. Même si en ce moment, sur les forums d'ONCT, on soupçonne ce produit, avec le G5, de pouvoir engendrer des exces de calcium, et donc  un stress oxydatif qui pourrait provoquer une seropositivité voir meme un sida.

    A l'attention du lecteur, je signale que ce n'est pas cela que j'ai dit.

    Le G5 et certainement des compléments de magnésium peuvent être bons pour la santé. Ce que j'ai dit en revanche, c'est qu'en présence d'autres facteurs de stress oxydatif déjà préexistants, la prise de G5 pourrait être susceptible d'accroître encore davantage le stress oxydatif, la prise complémentaire de magnésium pouvant en outre aggraver encore davantage la situation. La chimie semblerait pouvoir expliquer cela.

    Pour le lecteur intéressé par ce sujet, je l'invite à lire ce post et ceux qui ont suivi.

  11. Voilà !

    Chose promie, chose due. Je m'étais engagé à tenter de faire tout mon possible pour rédiger un nouveau projet de sommaire du topic sur le sida en quelques semaines, et finalement j'y suis arrivé encore plus rapidement que prévu. En outre, il n'y a pas de "blancs" quelconques comme j'avais pu le craindre au début en m'attelant à ladite tâche.

    Je crois que c'est maintenant beaucoup plus structuré et complet. Quoique très long, ce nouveau projet de sommaire n'est reste pas moins ..... une petite synthèse de tout ce qui a déjà été dit sur ce sujet dans le forum ! Mais je pense que les idées les plus importantes y figurent déjà.

    Et je suis d'avis qu'il ne sera donc plus nécessaire d'autant se répéter comme ce fut souvent le cas jusqu'à maintenant. La plupart des questions que se poserait un nouvel intervenant devrait normalement déjà trouver une réponse s'il examine effectivement ce nouveau sommaire.

    La première partie se trouve donc ici tandis que la deuxième partie se trouve dans le post qui précède.

    Il ne reste donc plus qu'à savoir quel serait l'endroit le mieux approprié pour placer ce sommaire en deux parties.

  12. Un composant monolaurin extrait de l'huile de noix de coco  et présent aussi dans le lait serait capable de désactiver les cellules de la plupart des virus dont l'enveloppe serait grasse.... le virus du sida en fait partie. Je sais que ça ne va pas dans le sens de l'idée du déficit immunitaire

    Un topic très intéressant que je ne découvre que maintenant.

    Et cette histoire d'huile de noix de coco va en réalité tout à fait dans le sens de la théorie du stress oxydatif comme cause du sida, comme des tas d'autres "produits" qui éradiqueraient in vitro le "VIH".

    Si on lit par exemple ce document-ci, cité par Vitosi, on constate que l'huile de la noix de coco n'est en réalité pas du tout un produit miraculeux pour guérir le sida. En revanche, elle peut aider à aller mieux, comme des tas d'autres aliments (antioxydants, spiruline, etc...).

    Et cela peut s'expliquer facilement, me semble-il.

    La noix de coco est très riche en acide gras. Or l'apparition des maladies opportunistes du sida apparaît tout particulièrement lorsque le sang n'est plus suffisamment oxygéné par l'effet du stress oxydatif. Ce phénomène est particulièrement amplifié s'il n'y a pas assez d'acides gras dans l'organisme pour faciliter le transit de l'oxygène du sang aux cellules (dont les lymphocytes T4). Or la dissidence du sida précise à de multiples reprises que pour lutter contre le sida, il est essentiel de ne pas souffrir de carence en acides gras justement, une telle carence ne pouvant que favoriser le stress oxydatif et donc le sida.

    On peut donc comprendre pour quelle raison l'huile de noix de coco peut être un complément alimentaire intéressant pour lutter contre le sida. Mais en aucun cas, il ne saurait guérir du sida, comme cela résulte du premier document cité ci-dessus.

    Des tas de "produits" tuent le "VIH" in vitro; on en découvre tous les mois, comme par exemple la spiruline, certaines lactobacilles, etc... Mais in vivo, l'huile de noix de coco ne saurait guérir à lui seul du sida puisque ce dernier n'est pas causé par un simple rétrovirus mais par le stress oxydatif, soit un phénomène multifactoriel qui ne peut en principe être combattu que d'une façon tout aussi multifactorielle, du moins à mon avis. Mais certains compléments alimentaires peuvent effectivement aider davantage que d'autres.

  13. Pour des raisons techniques (trop d'émoticones dans un seul post), j'ai dû diviser le projet de nouveau sommaire en deux posts). Le lecteur trouvera la première partie en cliquant ici.

    La deuxième partie se trouve donc juste en dessous.

    CHAPITRE VI : L'EMPIRE DU SIDA BUSINESS CONTRE-ATTAQUE, MAIS LES DISSIDENTS DU SIDA CONTINUENT ENCORE ET TOUJOURS A REFUTER LES CONTRE-ARGUMENTS AVANCES PAR L'ORTHODOXIE DU SIDA (récapitulatif global des arguments et autres réfutations émanant de la dissidence du sida : rappel et approfondissement de ceux-ci)

    A) Le débat, de façon "sarcastique" :

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    L'abracadabrante thèse de la maladie imaginaire.
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    Et son antidote : L'abracadabrante thèse de la maladie (rétro)virale.B) Le débat, de façon "austère" :

    1) La déclaration de Durban et sa Réfutation.

    2) "The Evidence that Aids Causes Aids" et sa Réfutation (en anglais).

    3) Le débat intervenu de février 2003 à avril 2005 sur le "British Medical Journal (BMJ)" (en anglais).

    4) L'article de Celia Farber paru en mars 2006 dans "Harper's Magazine" (en anglais).

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    L'article en question.
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    Les 56 "erreurs" relevées dans cet article par l'orthodoxie du sida.
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    Une Réfutation approximativement globale par la dissidence du sida, suivie d'une Réfutation complémentaire , le "Perth Group" apportant en outre des corrections fondamentales à la première Réfutation.C) Le débat, sur ce forum, de façon "conviviale" : les passes d'armes les plus homériques

    1) Candide contre la dissidence du sida

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    L'annonce de la création de son site pour tenter de défendre vaille que vaille le mythe du virus tueur et les réactions à cette annonce.
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    Sa première et sans doute "meilleure" vague d'attaques, suivies des réfutations (pp.25 à 29).
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    Ses deux vraisemblables "meilleurs" arguments (p.97), mais réfutés dans ses moindres détails.2) FinallyFree contre la dissidence du sida (pp.71 à 86)

    3) Lavienrose (et Callisto) contre la dissidence du sida (pp. 14 à 20)

    4) Cardel (et Forlax) contre la dissidence du sida (pp.23 à 27)

    5) Deux dissidents (Cheminot et Wallypat) proposent de façon complémentaire une réfutation synthétique à un article paru dans un journal australien.

    CHAPITRE VII : TRAITER LA SEROPOSITIVITE ET LE SIDA

    A) SOLUTIONS PROPOSEES PAR l'ORTHODOXIE DU SIDA

    1) Pour commencer sur une note quelque peu humoristique quoique sérieuse sur le fond

    2) L'AZT ..... ou le sida sur ordonnance!

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    Lien vers un post renvoyant lui-même à quatre articles expliquant que l'AZT (du moins en mono"thérapie") provoque le sida, outre diverses autres maladies mortelles.
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    L'AZT provoque effectivement l'apoptose des lymphocytes T4 et donc le sida.
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    L'Etude franco-britannique Concorde de 1993.
    • point-jaune.gif L'orthodoxie du sida tente de cacher les effets nocifs et mortels de l'AZT,
    en publiant des articles scientifiques erronés niant le caractère oxydant de l'AZT et en le retirant progressivement des "cocktails thérapeutiques".3) Les tri- et autres multithérapies
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    Ce sont des produits chimiques de très haute toxicité, en ce sens qu'elles sont immunotoxiques, cytotoxiques, hépatotoxiques, myélotoxiques, lymphotoxiques, néphrotoxiques, mutagènes, carcinogènes et, partant, sources de diverses maladies, parfois mortelles; la première cause de mortalité des séropositifs asymptomatiques est d'ailleurs due à la toxicité des drogues dites "antivirales", particulièrement au niveau du foie.
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    Pourquoi ont-elles cependant amélioré la vie des sidéens, du moins dans une relative mesure ? En raison des propriétés antioxydantes de certaines de ces drogues dites "antivirales" et des activités antibiotiques à large spectre des autres drogues dites "antivirales"; leur relative efficacité est en réalité expliquée par leurs structures chimiques, et non par leurs soi-disant propriétés dites "antivirales".
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    Elles paraissent en outre parfaitement inutiles pour les séropositifs asymptomatiques, tout en restant bien sûr éminemment toxiques pour leur santé.
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    Il faut idéalement s'en passer, mais parfois, elles sont hélas nécessaires, lorsque le stress oxydatif a visiblement causé des dégâts devenus irréversibles et auxquels il ne paraît pas ou plus possible d'y remédier par des procédés "alternatifs" naturels .4) Une toute relative exception : la lamivudine (3TC ou Epivir) en monothérapie paraît visiblement être la drogue dite "antivirale" la moins toxique, tout en étant très efficace pour les personnes séropositives souffrant d'un stress oxydatif sévère .

    5) Prédire l'évolution vers le sida déclaré grâce au test des anticorps R7V : un attrape-nigaud !

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    35% des patients progressant vers le sida sont également porteurs des anticorps R7V.
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    La mesure de la concentration en glutathion reste visiblement un bien meilleur, si pas LE MEILLEUR marqueur de prédiction vers le stade du sida déclaré.B) SOLUTIONS PROPOSEES PAR LA DISSIDENCE DU SIDA

    1) Vivre avec le SIDA : Témoignages de membres du forum

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    Le témoignage de Jimmy le Rebel, HIV dissident
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    L'histoire de Claire, séro+ depuis 1994
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    Témoignage de Jeff-Lyon, Séropositif HIV+ depuis 1990
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    Témoignage de Bibi
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    Témoignage de DaK'AZ
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    Témoignage de Charly
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    Sida : maladie d'amour, Lien corps / esprit - Le témoignage de Jeff 75
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    Témoignage de Vitosi
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    Témoignage d'Almavita
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    Témoignage de Rock-en-rock/Viduité et Quelques années plus tard...
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    Témoignage de Pierrot
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    Témoignage d'Orcka
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    Témoignage d'Anthea
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    Témoignage de Sédir
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    Témoignage d'Axelwebb
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    Témoignage de Korian
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    Témoignage de Tulkan
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    Témoignage d'Alexandrie
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    Témoignage de odjani, sero+ depuis 12 ans
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    Témoignage de Patou24072) Une synthèse des traitements proposés par la dissidence scientifique du sida

    3) L'importance de la carence en sélénium et en glutathion dans la survenance du sida (ou de manière générale, la voie des antioxydants)

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    Le glutathion est d'une importance vitale !
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    Le recours à un médecin nutritionniste reste toutefois primordiale pour prévenir le risque de s'auto-médicamenter un peu n'importe comment.
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    Guérir du sida grâce à un chewing-gum ?4) Le topic "Guérir le sida !"

    5) L'homéopathie

    6) La thérapie par l'ozone et l'oxygène

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    Une application en est le fluorocarbone.7) Si tout le reste a échoué de façon répétitive, le recours aux drogues dites "antivirales" les moins nocives constitue en définitive la solution ultime et le moindre mal
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    Dans ces cas extrêmes, on veillera en tout état de cause à ne pas inclure dans le "cocktail thérapeutique" l'AZT et la Névirapine, les plus toxiques de toutes les drogues dites "antivirales".CHAPITRE VIII : LA DISSIDENCE DU SIDA

    A) EN FRANCE ET DANS LE MONDE

    1) En France

    a) Marc Griffiths

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    Son site web sidasante.com
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    Le topic sur sa disparitionb) Autres sites en français faisant connaître la dissidence du sida
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    http://home.tiscali.be/nomoreillusions/hivsida.html
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    http://sida69.free.fr2) Dans le monde en général (en anglais)
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    The Perth Group
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    AIDSMythExposed
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    RethinkingAids
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    Virusmyth (attention : plus mis à jour depuis juillet 2003 !)
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    Healtoronto
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    Alberta Reappraising AIDS Society
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    Aliveandwell
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    Altheal
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    Peter Duesberg
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    JohnnyK's AIDS Dissident Infobase
    • point-jaune.gif etc...
    B) LA DISSIDENCE DU SIDA GAGNE LENTEMENT DU TERRAIN

    1) Dans le monde en général

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    Liste de milliers de scientifiques remettant en cause le dogme VIH=SIDA (dont plusieurs prix Nobel).2) Aux USA
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    Les écologistes américains commencent à faire connaître la vision des repenseurs du sida.
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    Rebecca V. Culshaw, une biologiste américaine spécialiste du traitement mathématique de l'évolution de la maladie SIDA, retourne sa veste.
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    Un mensuel de gauche américain de grande envergure parle - enfin - de la dissidence du sida d'une façon objective.3) En Afrique du Sud
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    Pétition à signer pour soutenir l'appel du Président Mbeki.
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    Le TAC (Treatment Action Campaign), une organisation influente chargée de faire en Afrique du Sud la promotion des drogues "antivirales", est accusé par la Haute Cour de Justice du Cap de répandre la maladie et la mort en distribuant les toxiques drogues "antivirales" aux "sidéens" sud-africains.C) QUELQUES IDEES POUR FAIRE CONNAÃŽTRE LA DISSIDENCE DU SIDA
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    Stratégie pour populariser les thèses dissidentes à moindres frais.D) LISTE DES ARTICLES SUR ONNOUSCACHETOUT.COM TRAITANT DU SIDA
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    Le danger d'en avoir fait une école, par Viduité
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    VIH / SIDA, 10 questions restées sans réponses
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    Les dissidents du SIDA, par Mark Griffiths
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    Le SIDA, par le Dr Scohy
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    SIDA/HIV/AZT : un amalgame qui sème le trouble
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    Le SIDA virtuel : Lettre ouverte de Richard Sünder à Yves Lignon
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    Préservatifs : une histoire pleine de trousE) PUBLICATIONS SUR LA DISSIDENCE
    • point-jaune.gif Bioinfo n°xxx (équivalent de Bio Contact en Belgique) : article à l'occasion de la parution du livre Le sida en Afrique, aux Editions Marco Pietteur (Collection Resurgence), présentant la synthèse de la journée organisée par Paul Lannoye en 2003 au parlement européen
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    Editorial du Bioinfo n°34 novembre 2002 et Article sur Sida Santé
    • point-jaune.gif Bioinfo n°42 : février 2004. Sida : les leçons d'un colloque. Yves Rasir
    • point-jaune.gif Bioinfo n°56, février 2006 : publication d'une page de "SIDA : Supercherie Scientifique et Arnaque Humanitaire".
    • point-jaune.gif Bio Contact : juillet aout 2002
    • point-jaune.gif Nexus Novembre 2002
    • point-jaune.gif Votre Santé fevrier 2004
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    SIDA : Supercherie Scientifique et Arnaque Humanitaire de JC Roussez mai 2004
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    Présentation de Cheminot sur la problématique que pose le SIDA (version html)
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    Les 10 plus gros mensonges sur le SIDA de Étienne de Harven et Jean-Claude Roussez
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    Bibliographie du site Sidasante.com

    Vous souhaitez contribuer à cette synthèse ? Venez poster dans le topic Elaboration d'une synthèse du topic SIDA ou contactez moi par email.

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    PS : Je ne sais pas pourquoi, mais il y a certains sous-titres que je n'ai pas soulignés mais qui paraissent quand même soulignés ! Ceci étant, lorsqu'on a cliqué une fois dessus, le soulignement n'apparaît définitivement plus, contrairement aux titres et sous-titres réellement soulignés.

  14. (Liane @ Dimanche 07 Mai 2006 à 03h42)

    On commence par qui ? D'abord l'hépatologue, ensuite le sidologue ?

    Ou les 2 en même temps ? Ou d'abord le sidologue en espérant que l'hépatite C "se résorbe toute seule" ?

    En espérant que ces 2 "spécialistes" communiquent entre eux un minimum.

    Moi, je dirais : "Aucun des deux". Dans un cas pareil, j'irais de toute façon chez un naturopathe. En effet, comme ces deux maladies ont visiblement la même cause globale, soit le stress oxydatif, remédier à la cause, ce sera en principe remédier également aux deux maladies par la même occasion, enfin, je crois.

    Ce n'est que si les deux maladies s'aggravent ultérieurement, c'est-à-dire en cas d'absolue nécessité de recourir aux drogues dites "antivirales" et/ou l'interféron, que la nécessité de recourir aux deux spécialistes en question devrait se faire réellement sentir.

  15. (Liane @ Dimanche 07 Mai 2006 à 00h54)
    Le virus de l’hépatite C se transmet quand le sang d’une personne contaminée entre en contact avec le sang d’une personne indemne. La majorité des patients sont contaminés par l’usage intraveineux de drogue (essentiellement héroïne) ou la transfusion de sang (ou de ses produits dérivés) avant 1992. En 1989 o­n a retrouvé une infection par le VHC chez 85% des transfusés, chez 60 - 80% d’hémophiles transfusés, 60 - 70% des maladies chroniques du foie avec une histoire de transfusion de sang et dans 50 - 70% des cas d’usage intraveineux de drogues.

    Tous ces cas me semblent parfaitement compatibles avec l'hypothèse du stress oxydatif comme cause REELLE de la soi-disant "hépatite C". Il s'agit en fait ici exactement des mêmes causes de séropositivité au "VIH" (+ également d'autres sources de stress oxydatif ne causant pas le sida proprement dit, ce qui explique que la soi-disant hépatite C ne frappe pas que les séropos au VIH mais bien une partie importante [2%] de la population en général, en particulier ceux un peu trop portés sur la boisson).

    A mon avis, l'hépatite C traduit un stress oxydatif qui a touché plus particulièrement le foie.

    Il faut dire qu’actuellement, il est impossible de définir une cause précise dans un pourcentage important de cas (environ 20%).
    Dans le fond, quand quelqu'un ne s'est fait ni transfusé, ni opéré, ne se drogue pas, et qu'on considère que les rapports sexuels se sont faits sans présence de blessures (ça ce sent, que je sache), l'hépatite C proviendrait de quoi ?

    Ils sont incapables de l'expliquer parce que l'orthodoxie de l'hépatite C part du dogme selon lequel l'hépatite C serait causé par un virus qui se transmet par le sang (toxicomanie intraveineuse et transfusion sanguine) et plus rarement lors de rapports sexuels non protégés avec risque de contamination via le sang du partenaire. Or si on pense plutôt que l'hépatite C n'est rien d'autres que des ARN anormaux causés au foie par le stress oxydatif, on comprend que ces 20% de cas sont parfaitement explicables ...... par le stress oxydatif justement. Les drogues administrées par voie intraveineuse et la transfusion de sang non chauffé ne constitue en effet pas les seules sources de stress oxydatif ! Il suffit de penser à une consommation exagérée d'alcool par exemple.

    Dans 20% des cas, l’hépatite C guérit spontanément. Quand une personne est guérie, l’ARN du virus disparaît de son sang et les transaminases deviennent normales. Les anticorps anti-VHC peuvent baisser un peu mais ils restent présents pendant plusieurs dizaines d’années.

    A partir du moment où le stress oxydatif est réversible, il me semble parfaitement logique qu'une personne puisse effectivement guérir d'une hépatite C, tant que le stress oxydatif n'aura pas causé de dégâts irréversibles au foie. Et à cet égard, les traitements orthodoxes à l'interféron et à la Ribavarine me semblent à cet égard très dangereux, à l'instar des trithérapies dans le VIH. Cependant, contrairement à celles-ci, elles peuvent effectivement parfois (35 à 40% des cas, semble-t-il) guérir de la soi-disante hépatite C. N'empêche, ce sont visiblement des traitements (qui durent au moins un an) à double tranchant puisqu'elles causent par définition des dommages au foie ! Sans compter les effets secondaires, souvent fortement handicapants.

    Je pense de plus en plus que le virus de l'hépatite est également un mythe. A ma connaissance, il n'a jamais été isolé selon les méthodes traditionnelles en vigueur mais bien par la méthode, extrêmement critiquable en l'espèce, du PCR. En d'autres termes, l'orthodoxie de l'hépatite C a réussi à amplifier divers ARN anormaux qu'ils ont considéré comme étant la caractéristique d'un "nouveau" virus. L'orthodoxie de l'hépatite C ne paraît s'être jamais dit qu'il pouvait très bien s'agir (et c'est ce que je pense) d'ARN produits par le corps humain sous l'effet d'un stress oxydatif endommageant tout particulièrement le foie.

    A mon avis, les meilleurs méthodes pour guérir d'une hépatite C consiste à éviter toute source de stress oxydatif même moyen (alcool, drogues [en ce compris les drogues chimiques telles que l'interféron et la ribavarine, mais aussi les tri"thérapies" qui ne font que très fortement aggraver la situation; ce n'est d'ailleurs pas un hasard qu'une fois sous trithérapie, bon nombre de séropos au "VIH" se découvrent ensuite séropos au "VHC" !]) et à utiliser des méthodes naturelles (phytothérapie [desmodium, silymarine, ...] et aromathérapie par exemple) pour prévenir de nouveaux dommages au foie et pour surmonter ceux qui ont déjà été causés au foie. Ce n'est qu'au cas où cela continuerait à s'aggraver malgré tout (ce qui peut arriver si le stress oxydatif antérieur a déjà pu causer des dégâts irréversibles) que le recours à l'interféron et à la ribavarine pourrait sérieusement être envisagé, malgré les terribles effets secondaires.

    On constatera donc que les similitudes entre l'hépatite C et la bourde du sida sont frappantes. Et d'ailleurs, ce n'est évidemment pas un hasard qu'environ 40% des séropos au "VIH" soit également séropos au "VHC". Ils soufrent dans les deux cas du même mal, à savoir le stress oxydatif, si ce n'est que dans celui de l'hépatite C, ce stress oxydatif cause tout particulièrement des dégâts au foie. L'hypothèse du stress oxydatif comme cause de l'hépatite C tient tout particulièrement quand on examine les statistiques : 2% à peine de la population en général seraient "contaminés" par le VHC alors que 40% des séropos le sont également. Or les séropos souffrent bien plus que la population en général de stress oxydatif. Je ne peux dont pas y voir une coïncidence ni même un cofacteur mais bien la cause par excellence, surtout quand on sait comment le "VHC" aurait été isolé (et je remercie à cet égard Nico111 pour son post en anglais sur le sujet).

  16. Je veux bien, mais je ne sais pas comment on pourrait le faire, techniquement parlant (et à supposer même que cela soit techniquement possible).

    Ceci étant, dans le projet de nouveau sommaire que j'espère terminer dans les prochaines semaines et que tu peux déjà retrouver en cliquant ici, il y aura un sous-titre renvoyant directement à ce post.

    C'est d'ailleurs en rédigeant ce sommaire (je suis justement arrivé au stade des traitements) que j'ai pensé à reproduire ce petit article car j'estimais qu'il manquait (du moins, sur base de ce que j'ai déjà pu lire dans ce forum) un petit article scientifique synthétisant les traitements préconisés par la dissidence scientifique du sida.

  17. TRAITER LE SIDA (ET LA SEROPOSITIVITE)

    En raison, je crois, de l'intérêt de ce sujet, je reproduis ci-dessous l'intégralité d'un article récent français datant de 2001 et pas trop long, résumant les causes du sida et, surtout, les meilleures façons d'y remédier, sans devoir recourir aux drogues dites "antivirales". Ce n'est que si on ne parvient réellement pas à remédier à la situation de la façon y précisée, ce qui est normalement assez rare (cela vise le cas où le stress oxydatif a causé des dommages irréversibles et [j'insiste bien sur la conjonction de coordination "et" !] auxquels il ne paraît plus possible d'y remédier par des façons "naturelles" sans que les infections "opportunistes" réapparaissent à nouveau de façon répétitive) si on suit réellement les préceptes de la dissidence du sida, que le recours à certaines trithérapies (et en tout cas, sans AZT et Névirapine) peut s'avérer réellement nécessaire.

    Ce document émane des plus grands spécialistes de la dissidence scientifique du sida.

    Remarquons par ailleurs (car ce document n'en souffle mot) que parfois, l'homéopathie permet également de vivre correctement après des épisodes de sida déclaré.

    Test VIH positif / SIDA, causes et traitement

    *********************************************

    Recommandations de traitement d'après le livre "Die stille Revolution der Krebs- und AIDS-Medizin" Ehlers Verlag, Wolfratshausen 2001, ISDN 3-934196-14-6, du Dr. Heinrich Kremer (Barcelone) et les travaux de A. Hässig (Berne), E. Papadopulos (Perth), St. Lanka (Stuttgart), E. de Harven (France), R. Giraldo (USA) et G. Mullis (USA) disponible par www.ummafrapp.de et www.virusmyth.com, ainsi que d'après les travaux de L.A. Herzenberg, J.D. Peterson et S.C. De Rosa, W. Droege, J.K. Shabert, G. Ohlenschläger, C. Richter, V. Hack, H. Rode, E.A. Newsholme, C. De Simone, S.J. Ferrando, C. de Back, M. Clerici, G.M. Shearer, M.C. Dalakas, G. Tomelleri, E. Benbrik, G.A. Cannon, B.D. Cheson, L. Chaitow disponible par www. ncbi.nlm.nih.gov.

    Les différentes maladies qui définissent le SIDA: infections fongiques des poumons, des membranes muqueuses, du cerveau, des intestins, et la dégénérescence des cellules endothéliales des vaisseaux sanguins et lymphatiques (Sarcome de Kaposi-KS) sont le résultat d'un manque durable de glutathion (molécule à groupe -SH, intervenant dans les réactions d'oxydo-réduction du métabolisme). La carence en glutathion conduit à un déséquilibre entre les cellules immunitaires TH1 et TH2 entraînant des modifications dans la production de monoxyde d'azote(NO) gazeux et de radicaux oxygène réactifs (ROR) par les cellules immunitaires et les autres cellules de l'organisme. Dans ces conditions les cellules immunitaires T4 helper donnent naissance principalement à des cellules TH2, qui migrent dans la moelle osseuse pour y activer la production d'anticorps contre les bactéries et les toxines extracellulaires; tandis que les cellules TH1, activant la production de NO pour la destruction des fongi, virus et mycobactéries à l'intérieur des cellules, sont fortement diminuées. Si cet état de déséquilibre immunitaire persiste, la production réduite ou même arrêtée de NO conduit à la prolifération d'agents infectieux intracellulaires, qui occasionnent les maladies citées plus haut ainsi qu'une destruction cellulaire accrue. En présence des protéines cellulaires libérées par la suite dans la circulation sanguine et d'une multitude d'antigènes d'autre nature, un taux plus élevé d'anticorps est produit. Ce sont les anticorps décelés par le test anticorps VIH. Quand un certain taux seuil d'anticorps est atteint, le patient est déclaré VIH positif.

    Les causes d'un déséquilibre permanent entre les cellules TH1 et TH2

    ********************************************************************

    * sensibilité accrue aux substances allergènes pouvant être congénitale ou acquise; fréquente dans nos sociétés occidentales depuis l'usage courant de nombreuses vaccinations et d'antibiotiques à action intracellulaire (depuis 1945). Le contact avec les pollutions habituelles dans l'environnement, l'alimentation et dans certains médicaments conduit alors plus vite à une prédominance des cellules TH2 avec une diminution de la néosynthèse du glutathion et des enzymes soutenant son action antioxydante;

    * contacts continus avec des antigènes provenant de blessures répétées, d'opérations, d'infections chroniques (hépatite B), avec des protéines étrangères au plasma, (venant p.ex. de relations sexuelles anales non protégées) et des protéines de coagulation dans les préparations sanguines; contacts avec des substances toxiques dans les aliments (additifs et fongicides), dans les textiles (colorants azo, apprêts); les métaux (mercure, aluminium)  et le formaldéhyde dans les amalgames dentaires et dans le vecteur des vaccins. Une suractivation initiale des cellules TH1 avec production de gaz NO en excès est suivie d'un épuisement de glutathion avec accroissement de la production de cellules immunitaires TH2;

    * inhalation de nitrites (poppers), la consommation d'eau polluée et d'aliments conservés avec des nitrites (surtout dans les pays pauvres), le traitement avec l'immunosuppresseur azathioprine, avec les antibiotiques, les sulfamides et les antimycotiques. L'état immunitaire TH2 devient prédominant. Les cellules endothéliales des vaisseaux sanguins et lymphatiques subissent des changements dégénératifs (ganglions lymphatiques enflés, puis Sarcome de Kaposi);

    * manque persistant de glutathion dû à une production restreinte dans le foie, causée par les médicaments cités, les hépatites chroniques (fréquentes chez les homosexuels masculins, les hémophiles et les consommateurs de drogues intraveineuses), la consommation excessive d'alcool, les substances fortement oxydantes ou la carence nutritionnelle en cystéine (composant -SH  du glutathion). Un manque persistant de glutathion favorise la prolifération des mycoses (p.ex. Candida albicans). Leurs produits de décomposition toxiques, tel l'aldéhyde acétique, exigent pour la détoxication le glutathion, dont la carence préexistante est encore aggravée et conduit à la prédominance durable des cellules immunitaires TH2;

    * emploi de sulfamides (Triméthoprime, Bactrim, Septrim), d'insecticides (p.ex. Lindane dans les pommades contre les pucerons), les chimiothérapies et les substances synthétiques analogues aux nucléosides (p.ex. AZT, Névirapine). La production d'acide folique et de purines nécessaires à la structure de l'ADN génétique est bloquée; de plus il y a atteinte de certains enzymes assurant dans la mitochondrie de la cellule, la production de la molécule porteuse d'énergie ATP. En particulier il y a inhibition de la production de l'acide folique dans sa forme biologique active, qui participe à la synthèse de la cystéine dans le foie, à partir de la méthionine. Une carence en cystéine conduit à une carence en glutathion avec un état immunitaire TH2 activant la formation d'anticorps par la moelle osseuse, tandis que les réactions immunitaires induites par les cellules TH1 contre les infections intracellulaires sont continuellement freinées.

    Les conséquences du traitement antirétroviral et antibiotique

    *************************************************************

    On n'a jamais pu montrer que le prétendu VIH, qui est considéré comme étant responsable de plus de 30 différentes maladies définies comme SIDA, était transmissible ou pouvait se reproduire; il n'a jamais été isolé, photographié ou correctement caractérisé suivant les règles établies en virologie. Sont transmissibles en cas de SIDA, des bactéries, des fongi, des virus connus et bien caractérisés, pouvant tous proliférer chez les personnes dont le système immunitaire est en déséquilibre permanent avec prédominance des cellules TH2. La technique expérimentale utilisée à l'origine par Gallo et Montagnier en 1984 (sur base de laquelle ont été élaborés les tests VIH), impliquait la culture de cellules de malades du SIDA sur des cellules leucémiques stimulées par l'addition d'hydrocortisone. L'effet artificiellement amplifié de transcription inversée obtenu par ce procédé a été interprété comme indiquant la présence d'un nouveau rétrovirus.

    Les analogues nucléosidiques (Acyclovir, Névirapine etc) nuisent déjà après peu de temps à la maturation des cellules immunitaires dans la moelle osseuse, à savoir: les cellules B, les cellules T dont la formation est achevée dans le thymus, les cellules dendritiques présentant les antigènes et les macrophages. L'inhibition de la maturation de nouvelles cellules B conduit à une forte diminution de leur nombre et de leur activité, de sorte que la production d'anticorps contre les bactéries est amoindrie et que celles-ci peuvent proliférer aisément. Les cellules T4 helper de type TH2, ne trouvant que peu de cellules B à activer dans la moelle osseuse, restent dans la circulation, sans y avoir de fonction, faisant augmenter dans le plasma le nombre des cellules immunitaires.

    Les inhibiteurs de protéase synthétiques, qui sont supposés inhiber la formation d'éléments essentiels viraux, causent secondairement le diabète, l'amaigrissement des extrémités, des calculs rénaux et l'insuffisance hépatique chez les patients à qui ils sont administrés. Au début de l'administration d'inhibiteurs de protéase et d'analogues nucléosidiques un déclin apparent et de courte durée dans les réactions inflammatoires et <<la production de virus>> est observée, mais le niveau remonte rapidement, ce qui est attribué au développement des résistances. Les analogues nucléosidiques (AZT,DDI,DDC, etc), qui par leurs effets cytostatiques détruisent temporairement fongi et virus, ne sont pas incorporés dans l'ADN du noyau cellulaire, là où ils sont censés attaquer le VIH. Mais il est démontré depuis 1990, par des expériences sur animaux, que ces substances causent des dégâts irréversibles à l'ADN des mitochondries avec des effets néfastes sur le cerveau, la moelle osseuse, les muscles et les organes internes. En plus ces médicaments contribuent à la formation de cellules cancéreuses et au syndrome du wasting (cachexie), les cellules se procurant leurs nutriments essentiels directement des protéines musculaires (myoprotéines). Les mitochondries ayant arrêté leur activité, les cellules s'adaptent en métabolisant sans oxygène, ce qui accélère le rythme de la division cellulaire.

    Pour réparer les dégâts à l'ADN, causés par la thérapie combinée (HAART),  le noyau cellulaire augmente son activité de transcriptase inverse restituant l'ADN à partir de l'ARN; la concentration de l'ARN, prétendue être de nature virale, diminue dans le plasma sanguin; <<la charge virale>> mesurée avec la technique PCR baisse, ce qui est attribué à l'efficacité des médicaments. Un épuisement progressif de l'activité de la transcriptase inverse fait de nouveau augmenter la quantité de l'ARN dans le plasma, ce qui est interprété comme <<résistance du VIH à la médication>>.

    Les éléments du traitement biologique compensateur du système immunitaire

    *************************************************************************

    * la curcumine (6x500mg/j) en capsules (disponible de holisticmed datacomm.ch). Il s'agit d'une substance extraite de la plante aromatique Curcuma longa. Par son action inhibitrice sur les inflammations chroniques, les infections opportunistes et les processus dégénératifs (cancer) elle contribue à l'accroissement des cellules immunitaires TH1 dont l'action contre les virus, les mycobactéries et les mycoses intracellulaires est renforcée. Cependant la curcumine, surtout s'il y a carence en glutathion, ne doit pas être administrée simultanément avec de hautes doses de vitamine C, de vitamine E, de bêta carotène (provitamine A), ou avec des préparations d'herbes médicinales telles Padma 28; car dans ce cas la curcumine serait transformée en facteur d'oxydation et perdrait ainsi ses propriétés curatives;

    * le glutathion sous forme de S-acétyl-L-glutathion (400-600 mg/j), combiné avec le Gingko biloba ou des plantes riches en anthocyanes, la préparation devant résister au suc gastrique. (Marien Apotheke, tél. 0049 6838 86140). Au commencement d'un traitement compensateur et en cas de cachexie (wasting), il peut être nécessaire d'administrer jusqu'à 5g/j de glutathion par voie intraveineuse ou parentérale;

    * la cystéine sous forme de N-acétyl-cystéine (3-8g/j) et l'acide folique (5-30mg/j). La cystéine et la méthionine se trouvent naturellement dans le lait caillé et le petit-lait. L'acide folique est nécessaire pour transformer la méthionine en cystéine. Avec cet apport la formation intracellulaire de glutathion peut être augmentée;

    * l'acide glutamique (40g/j) et la L-arginine (20-30g/j) soutiennent la formation du glutathion et la production du NO gazeux dans le foie; important pour rétablir l'équilibre immunitaire des cellules TH1/ TH2 et pour faire régresser les tumeurs;

    * le coenzyme Q10 (100-200mg/j) et l'antioxydant Microhydrine (Active-H) améliorent le fonctionnement de la chaîne respiratoire de la mitochondrie. L'acide folique (5-30mg/j), l'acide alpha lipoïque (300-600mg/j), les vitamines B1 (150-300mg/j), B6 et B12, de faibles doses de chrome (100-300microg/j), de sélénium (250microg/j) et de zinc (10mg/j) soutiennent l'activité de la mitochondrie et la réparation de son ADN;

    * en cas d'infestation par des parasites (p.ex.vers intestinaux) la synthèse du NO est freinée; pour le traitement utiliser les feuilles de papayer en capsules ou la tisane. Les thiocyanates dans l'oignon, l'ail, le brocoli et d'autres espèces de chou (de préférence jus pressé à froid) activent les enzymes de détoxication. L'acide glycuronique se formant dans le Kombucha (boisson fermentée obtenue à partir d'un champignon, de thé vert ou d'autres plantes) soutient le foie dans son action de détoxication et d'élimination. En outre les fonctions du foie peuvent être stimulées par les préparations herbales de Harpagophytum procumbens et de Silybum marianum;

    * les substances polyphénoliques dans le Curcuma, le Thé vert, le Gingko, l'Artemisia annua (www.uwemba.com) et dans la préparation Padma 28 soutiennent les processus d'oxydo-réduction en détoxiquant les substances à radicaux oxygène réactifs (ROR). L'administration simultanée de plusieurs polyphénols différents ainsi que de hautes doses de vitamines C, E, ou de bêta carotène peut avoir un effet contraproductif (voir plus haut);

    * la L-carnitine est nécessaire au passage des acides gras à longue chaîne (triglycérides) dans les mitochondries; administrée à raison de (6g/j) pendant 2 semaines elle peut remédier à une carence fréquemment observée en cas de SIDA. La carence en carnitine renforce la production d'énergie par fermentation anaérobie du glucose, typique pour les cellules cancéreuses;

    * les substances polyanioniques: sulfate de chondroitine, cartilage de requin, extrait de coquillage, algues (Agar, Ascophyllum) protègent et renforcent le tissu interstitiel, ce qui contribue à un bon fonctionnement du système immunitaire. En activant des antiprotéases naturelles, les substances citées peuvent freiner les réactions inflammatoires conduisant à la destruction cellulaire;

    * les acides gras essentiels de l'huile de lin (oméga 3), de chanvre (oméga 6 et 3) à raison de (3 cuillères à soupe/j) et  de certaines algues de mer, p.ex. Chlorella vulgaris (3-4g/j) stimulent l'immunité cellulaire en freinant la production des prostaglandines PGE2, qui favorisent l'état immunitaire TH2. Prendre avantageusement avec des produits laitiers contenant la cystéine et la méthionine. Dans les cas difficiles on peut administrer des inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, des gammaglobulines et la difluoro-méthylornithine (inhibe la formation de polyamines) pour traiter les infections opportunistes et la cachexie;

    * l'hormone DHEA (déhydroépiandrostérone) sécrétée comme la cortisone (hormone du stress) par les glandes surrénales. La DHEA active l'immunité cellulaire, la cortisone active par contre la production d'anticorps. En administrant DHEA-S (200mg/j) une prédominance des cellules immunitaires TH2, due à un état de stress permanent, peut être corrigée. L'utilisation d'hormones stéroides pour augmenter la masse musculaire conduit à la suppression de l'immunité;

    * les sels minéraux, entrant dans la composition des coenzymes de la mitochondrie, contenus dans un produit à base de coraux (Sancoral, tél. 0049 2171 56071) pour assurer le bon fonctionnement de la mitochondrie, qui joue un rôle central dans le métabolisme cellulaire. La transformation d'une cellule normale en une cellule cancéreuse et la retransformation de cette dernière en une cellule normale sont initiées par la mitochondrie en dépendance de son état de fonctionnement;

    * contre les mycoses (p.ex. Candida albicans) utiliser l'acide caprylique, extrait de la noix de coco, en capsules résistant au suc gastrique (Mycopril Biocare, UK / Runge Pharma, DE), la biotine (vit H), l'Aloe vera, l'Artemisia annua, les produits probiotiques (Kane Brottrunk, acide lactique dextrogyre, Vitabiosa, sel EM aux microorganismes, bactéries Bifidus et Acidophilus). Pour un traitement efficace suivre un régime sans sucre et boissons sucrées, miel, farine blanche, produits de lait acidulé, crème, jaune d'oeuf, fruits séchés, champignons, produits fermentés (vin, thé noir, sauces de soya, bouillon instantané), salaisons, conserves, produits maltés. Remplacer par une alimentation pauvre en graisses saturées, à prévalence basique, riche en fibres (pommes de terre, pain et pâtes à céréales complètes, riz complet, yoghourt, noix, jus de fruits, légumes et salades, huile d'olive, ail, poisson, peu de viande, thé vert et tisanes), utiliser des produits frais et si possible de qualité biologique. L'équilibre acido-basique est améliorable par l'administration de mélanges basiques, la digestion facilitée par une préparation d'enzymes (Wobenzym). La restauration de la muqueuse intestinale peut être soutenue par le N-acétyl-glucosamine, le son de riz, la L-glutamine et les fructooligosaccharides FOS;

    * des extraits de pépins de pamplemousse (gouttes), utiles contre les infections fongiques et contre une multitude de virus et de bactéries. En usage externe employer des pommades avec venin de serpent, soufre, huile éthérée (Melaleuca alternifolia), bacille Acidophilus;

    * des techniques ciblées sur la réduction du stress (entraînement autogène, stretching, massages). Eviter les efforts physiques excessifs et s'abstenir de sucre, de café, de boissons à caféine, de marihuana, d'alcool, de nicotine, d'amphétamines, d'ecstasy etc., de cocaïne, héroïne et poppers qui font accroître la sécrétion d'hormones du stress. En cas de besoin avoir recours à la mélatonine qui favorise un sommeil naturel;

    * éviter les inflammations et les infections (hépatites chroniques, maladies

    vénériennes) par un traitement adéquat des blessures et en utilisant le préservatif dans les relations sexuelles (anales); renoncer à l'inhalation de nitrites(poppers) qui provoquent la tuméfaction des ganglions lymphatiques, les mycoses et les dégénérations de tissus;

    * réduire les injections de préparations sanguines pour hémophiles; recourir au besoin à des alternatives;

    ... par tous ces moyens, une bonne résistance peut être restaurée chez les personnes immunodéficientes. La thérapie doit être appropriée aux symptômes et aux maladies individuelles sous surveillance médicale expérimentée. Si l'administration limitée d'antibiotiques est nécessaire, le traitement biologique compensateur de base doit être poursuivi. Le contrôle des progrès réalisés par ces mesures est possible en mesurant les oligoéléments, les profils hormonaux du stress, le rapport des cellules T4/T8, l'activité des macrophages (test néoptérine), le niveau de ferritine dans le plasma, le niveau de glutathion dans le plasma et dans les cellules T4 helper ainsi que l'anergie cutanée (DTH multitest Mérieux). En ce qui concerne ce test, sa production a été arrêtée par Sanofi-Aventis pour ne pas concurrencer le test anticorps VIH.

    Groupe d'étude pour les thérapies du SIDA

    c/o Felix de Fries, Eglistr.7 CH-8004 Zürich,

    e-mail: Felix.defries@bluewin.ch

  18. seropositif cela fais deja pas loin de 8 a 10 ans je crois.le probleme c est qu il est suivi par un toubib sois disans serieux et specialiste de se genre d infection qui lui refile ses antiviraux azt et d autre encore.

    L'idéal serait bien sûr également d'arrêter tous ces "médicaments" : AZT et tri"thérapies". Maintenant, il faut savoir que cela demande une "préparation", déjà mentale, car il n'est pas certain qu'il ne devra pas y recourir malgré tout ultérieurement dans le cas où il ferait ultérieurement des infections dites "opportunistes" à répétition (cela peut hélas arriver, malgré un retour à une vie "saine et équilibrée").

    On connaît de nombreux séropos et même ex-sidéens qui ont arrêté leurs tri"thérapies" et se portent plutôt bien (il y a malheureusement des cas où malgré tout, les infections dites "opportunistes" reviennent malgré tout). Ils ont pour particularité d'avoir arrêté définitivement toutes les drogues, etc... et d'avoir repris une vie "saine" : manger correctement, arrêter de fumer, suffisamment dormir, etc...

    Nombre d'entre eux prennent également des compléments alimentaires, nutritionnels et vitaminiques, ce qui constitue une assez bonne façon de remédier au stress oxydatif qui a pu causer la séropositivité et ensuite le sida. Mais encore faut-il avoir supprimé définitivement le style de vie qui a pu causer un tel stress oxydatif (drogues entre autres).

    Quant à savoir quels compléments alimentaires prendre, je pense qu'il serait bon de faire auparavant un bilan nutritionnel complet pour constater les carences, et parfois les excès, qui existent. Mais ce qu'on constate très généralement chez les sidéens et les séropos, c'est une forte carence en glutathion et sélénium. Y remédier constitue déjà un premier pas dans la bonne direction. Mais il peut également exister d'autres carences, auxquelles il conviendra d'y remédier.

    J'espère encore publier tout à l'heure, dans ce même topic, un post où je reprendrai les traitements préconisés par les dissidents du sida. Mais encore une fois, il faut se faire aider auparavant. L'idéal serait évidemment un expert "VIH" ayant connaissance des enseignements de la dissidence du sida. Mais de tels "experts", je ne pense pas qu'on en trouve en France (mais bien en Allemagne et même en Suisse [le docteur A.Hässig, je crois]). A défaut, la moins mauvaise chose à faire serait, à mon sens, de consulter un médecin nutritionniste qui pourra malgré tout bien aider sur base du bilan nutritionnel qu'il aura effectué.

  19. Une question qui fait suite à celle que j'avais posée dans ce post-ci et où je demandais ce qu'étaient des "séléno-protéines".

    En effet, les séléno-protéines paraissent être le seul moyen disponible, quoique approximatif, pour combatre dans une certaine mesure l'extrême toxicité des peroxynitrites (poppers, ...); sans doute sont-elles bien plus efficaces une fois que l'on n'est plus exposé à ceux-ci.

    Or, sur un site dont je tairai le nom (pour ne pas faire de la pub), j'ai cru comprendre que les feuilles d'artichaut auraient entre autres la propriété d'inhiber les peroxynitrites !

    Je reproduis ci-dessous le passage en question :

    Les constituants polyphénoliques de lextrait de feuilles dartichaut sont des antioxydants puissants qui ont un rôle hépato-protecteur actif et dont certains (lacide chlorogénique) peuvent même inhiber certaines réactions carcinogénes, dont celles inhibées par le peroxynitrite.

    Que faut-il en penser ? L'acide chlorogénique peut-il effectivement constituer un bon bouclier de défense contre les nitrites en général ? Ou est-il justement une "séléno-protéine" ?

    Indépendamment de cela, je me demandais si l'exposition à des nitrites ou à des oxydants azotés en général est susceptible de causer une (forte) carence en fer dans l'organisme ?

  20. Je salut MedMen pour sa patience! Moi ca fait un moment que j'ai laché l'affaire,impossible d'échanger sérieusement avec ces illuminés adepte de la théorie du complot!

    Héhé! Y a encore des gens qui doutent d'un complot? _biglol.gif

    Moi, personnellement, je ne crois pas à un complot, du moins pour la période allant jusqu'au début des années 2000.

    Je crois surtout en la mégalomanie et l'ambition sans borne de Gallo qui tenait absolument à "trouver" un rétrovirus soi-disant cause du sida. Il a ensuite réussi à mettre le monde entier ou presque dans sa poche en donnant l'espoir que dans les deux ans, un vaccin serait mis au point. Forcément, même si on pouvait émettre dès le départ des doutes sur la réelle existence de ce rétrovirus, le monde entier avait vraiment intérêt à croire à ce rétrovirus : c'était la promesse - tant espérée par les malades et ceux qui craignaient de le devenir - d'un vaccin et donc d'un moyen bien commode d'éviter le sida à bref échéance. Ne plus croire au virus aurait signifié que cette perspective de vaccin était illusoire. Le temps a ensuite (très) rapidement fait son oeuvre.

    Quant à l'autre co"découvreur" du VIH, le professeur Montagnier, je pense qu'il a été emporté par les événements. Dès 1983 il pensait avoir peut-être découvert le VIH, mais il était quand même assez loin d'être sûr puisqu'il avait envoyé pour vérification à Gallo l'objet de ses découvertes. Gallo ne s'est évidemment pas embarrassé de scrupules et a proclamé qu'il avait découvert le rétrovirus HIV .... sur base de l'échantillon de Montagnier. S'en est suivi un imbroglio politique franco-américain, et Montagnier n'a pu que suivre le mouvement. Pourtant, dès 1985, il émettait déjà des doutes sur le lien de causalité entre "VIH" et sida (il était, semble-t-il, d'ailleurs déjà au courant de la théorie du stress oxydatif déjà défendue à l'époque par le Perth Group), mais il s'est provisoirement rétracté au vu des réactions. Il est ensuite revenu à la charge quelques années plus tard avec "sa" théorie du stress oxydatif mais à titre de cofacteur du sida (pour faire tenir l'hypothèse "VIH"), pour la défendre avec de plus en plus d'aplomb jusqu'à nos jours.

    Bref, sans la mégalomanie de Gallo, on n'en serait pas là. Mais à cause de sa découverte, est venu ensuite l'AZT, qui a fait croire à la virulence extrême du "VIH", et puis la "consécration" avec les trithérapies qui étaient considérées comme la preuve par excellence que le sida est causé par le VIH "puisque" ces "traitements" présentent quelques effets positifs. Nous savons ce qu'il en est réellement. L'écoulement du temps, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition n'ont pu faire que perpétuer et renforcer le mythe du rétrovirus tueur.

    En d'autres termes, je ne crois pas à la théorie du complot mais bien à une succession incroyable d'erreurs, notamment d'interprétation, et une passivité tout aussi incroyable du monde politique et de la presse, qui ne font pas preuve du moindre esprit critique (à l'exception sans doute du président Mbeki) et s'en remettent entièrement aux mains des "experts" orthodoxes du sida.

    Ceci étant, quand on voit comment évoluent progressivement la composition des tri"thérapies" depuis ces dernières années, je commence en revanche à croire en un complot des entreprises pharmaceutiques, lesquels semblent lire depuis quelques années les théories dissidentes et à leur accorder bien plus de crédit qu'elles ne veulent le dire en adaptant progressivement la composition des tri"thérapies".

  21. J'ai pu remarquer que la médecine orthodoxe critique énormément les autres médecines, non seulement les médecines dites "douces" (phytothérapie, aromathérapie, etc...) mais également l'homéopathie.

    L'une des critiques qui semble le plus souvent revenir est le fait qu'avec ces médecines dites "parralèles", il n'y a pas ou très peu d'études avec des contrôles placebo. Quoique ce ne soit pas pour ces raisons-là que je rédige ce post, j'ai bien envie de dire d'abord que 1) hormis l'AZT, il n'y a jamais eu, sauf erreur de ma part, de réelles études avec contrôles placebo pour toutes les drogues dites "antiVIH" mises sur le marché et cela n'empêche pourtant pas la médecine orthodoxe d'affirmer que ces drogues sont quand mêmes efficaces et que 2) des médecines comme la phytothérapie et l'aromathérapie ont fait leurs preuves depuis des millénaires, sans contrôle placebo. Je ne vois dès lors pas pourquoi ces médecines dites "parallèles" devraient être autant dénigrées.

    En outre, concernant l'aromathérapie et les huiles essentielles, la technique que l'aromatogramme a très bien pu constater "scientifiquement" la supériorité de bon nombre d'huiles essentielles sur de nombreux antibiotiques, en ce compris contre des infections qui ne réagissent même plus à certaines antibiotiques.

    Mais si je rédige ce post, c'est surtout pour poser une question au sujet de l'effet placebo proprement dit. En effet, l'effet "placebo" paraît être l'un des principaux arguments invoqués par la médecine orthodoxe pour justifier l'efficacité de certaines médecines dites "parallèles" et tout particulièrement de l'homéopathie.

    Je ne peux pourtant m'empêcher de me poser la question suivante. Pourquoi autant dénigrer l'effet placebo ?

    En effet et sauf erreur de ma part, même quand l'effet placebo est invoqué pour justifier les réussites de l'homéopathie (tout particulièrement), en réalité, ne peut-on pas affirmer qu'il n'y a en réalité jamais d'effet placebo ? Ne pourrait-on pas affirmer que lorsque quelqu'un guérit par suite de l'effet dit "placebo", cela signifie en réalité que la personne en question a par des moyens, que la médecine orthodoxe est absolument impuissante à maîtriser et encore moins à reproduire, plus ou moins inconscients fait appel à diverses mécanismes chimiques de son propre corps pour combattre le mal dont il souffrait ?

    Dans ces conditions, à supposer même que la médecine homéopathique soit une médecine placebo (mais je ne prononce pas sur le point de savoir si cela est exact ou non, ne connaissant pas le sujet), ne pourrait-on pas affirmer que dans le pire des cas, l'homéopathie est une technique de médecine permettant au patient de faire appel "inconsciemment" à différents mécanismes chimiques de son corps, qui permettront au patient de guérir de son mal, mécanismes chimiques appelés pudiquement "effet placebo" par la médecine orthodoxe car elle est incapable à les maîtriser et les reproduire, contrairement à la médecine homéopathique ?

    Et à ce titre, l'homéopathie se justifierait très certainement.

    Bref, je m'interroge sur le soi-disant effet placebo, qui explique d'ailleurs, du moins partiellement, les effets positifs des drogues dites "antivirales" (je ne nie cependant pas que certaines de celles-ci ont des principes "actifs" : antioxydants et antibiotiques à large spectre).

  22. A mon avis, le problème de Pierrot n'a rien à voir avec un stress oxydatif qui aurait lentement dégradé son état. Pierrot a du absorber ou faire un truc il ya peu de temps qui l'a rendu malade.

    Il faut faire attention à ne pas faire de la théorie du stress oxydatif la cause unique de tous les maux, ni d'en faire la cause première à chaque fois, alors que parfois, ce n'est qu'une cause seconde. C'est vrai que c'est une théorie très intéressante. Mais il y a de nombreuses autres sources de maladies : équilibre acido-basique, problème de manque de certaines vitamines et oligo éléments, problèmes de surcharge en protéines, problèmes liés à l'eau, problèmes de trop grande fluidification sanguine, problèmes mécaniques, etc... Il faut élargir nos horizons de recherche si on veut comprendre les différents problèmes de santé qui peuvent se poser aux séropositifs (et aux gens en général).

    Mais je ne le pense pas non plus, et dans mon post concernant Pierrot, je ne pense pas avoir écrit que le stress oxydatif aurait lentement dégradé la santé de Pierrot.

    Ce que j'ai voulu dire, c'est que (c'est du moins mon avis) plusieurs années de toxicomanie ont de toute façon causé des dégâts irréversibles (déjà au bout de quelques mois, pas au bout de plusieurs années; enfin, tout dépend de la résistance de l'individu), entre autres aux mitochondries, qui sont, si j'ai bien compris, à la base même de la "respiration" cellulaire et de l'équilibre des phénomènes d'action et de réduction (et donc de stress oxydatif). J'ai bien lu à plusieurs reprises (entre autres les docteurs Kremer et Lanka) que plusieurs semaines de tri"thérapie" sont déjà capables de causer à elles seules des dégâts irréversibles à la machinerie cellulaire en général. Je ne peux pas croire que plusieurs années de politoxicomanie ne puissent pas également causer les mêmes effets.

    Maintenant ces dégâts irréversibles ne signifient pas à mon sens que l'on va automatiquement évoluer vers le sida. En revanche, cela a certainement causé des séquelles irréversibles, qui, de manière générale, ont définitivement affaibli l'organisme, mais auxquelles il a pu être remédié d'une très forte façon par un retour à une vie "saine et équilibrée".

    Maintenant, en raison de ces séquelles, je pense que contrairement à bon nombre de personnes qui n'ont jamais été séropositives ou disons plus simplement toxicomanes, malgré un retour à une vie "saine et équilibrée", les anciens toxicomanes sont plus susceptibles de "rechuter" en absorbant quelque chose susceptible de le rendre malade. Cela pourrait peut-être effectivement l'hypothèse de l'eau que tu as retenue, mais si on ajoute les deux autres facteurs certains chez Pierrot que sont l'exercice sportif très intensif (body building, me semble-t-il) et le stress psychologique intense dû à l'annonce de lymphocytes T4 plus bas, outre un éventuel facteur incertain, l'emploi de (cortico)stéroïdes (ou d'autres produits permettant de les faire augmenter "naturellement" dans le corps humain), je pense que l'ensemble de ces facteurs conjugués (et peut-être que ton hypothèse de l'eau a été l'élément de trop) a rapidement entraîné une forte consommation de glutathion dans son corps, et, partant, l'apparition d'une pneumocystose (à supposer que cela soit vraiment cela).

    Mais je pense que cette consommation de glutathion (due entre autres aux facteurs précités) a été bien plus forte et plus rapide chez lui que chez la plupart d'autres personnes car en raison de sa politoxicomanie antérieure, celle-ci avait déjà causé des dégâts irréversibles dans les mécanismes d'oxydo-réduction de Pierrot. Et en raison de ses dégâts antérieurs, des facteurs ultérieurs de forte consommation de glutathion risquent de se manifester plus fortement.

    A supposer qu'il ait réellement eu une pneumocystose, je ne peux pas croire que cela soit dû au hasard, et ce que j'ai expliqué ci-dessus et dans mon post antérieur sur Pierrot pourrait l'expliquer à mon sens. Pour ma part, j'ai quand même assez de mal à croire que la simple consommation d'une certaine eau puisse justifier à elle seule que Pierrot ait pu souffrir d'une aussi grave "pneumonie", d'autant plus s'il s'agit d'une pneumocystose. A mon avis, seul son passé et les dégâts irréversibles que celui-ci a pu causer pourrait justifier que la consommation de cette eau ait pu avoir de tels effets dans son organisme.

    Maintenant, effectivement, je ne pense pas que tout cela soit irréversible, en tout cas chez Pierrot, mais je pense qu'il devra prêter plus d'attention aux activités stressantes en général (physique et psychique) susceptibles d'entraîner un fort stress oxydatif, lequel risque de se manifester plus rapidement et plus fortement chez Pierrot en raison de son passé et des dégâts irréversibles que sa politoxicomanie antérieure a déjà pu causer.

    Bref, rien d'irréversible très probablement, mais à contrôler régulièrement, et l'épisode de la "pneumocystose" de Pierrot paraît à mon sens le justifier.

    En tout cas, rien à mon sens qui justifie le recours aux drogues dites "antivirales" une fois Pierrot complètement rétabli.

  23. Il semblerait qu'une des méthodes efficaces pour traiter une candidose (à supposer que c'est vraiment cela que tu as) consiste premièrement à consommer beaucoup d'aliments contenant des probiotiques (l'intestin est la première barrière de défense contre des tas d'infections opportunistes, à commencer bien sûr par le candida albicans).

    Si c'est tenace ou si cela revient, je suggérerais que tu ailles chez un médecin nutritionniste pour qu'il te fasse un bilan nutritionnel complet (en demandant peut-être de ne pas faire un typage lymphocytaire, dont les T4, car certains de ces médecins sont particulièrement zélés !). Ton problème pourrait résulter de certaines carences nutritionnelles, entre autres et justement d'une carence en oméga 3.

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