Aller au contenu
forum sidasante

wallypat

Modérateurs
  • Compteur de contenus

    1 158
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Days Won

    1

Messages posté(e)s par wallypat

  1. Je n'affirme rien mais je trouve cela de plus en plus interressant et allant du cote du Dr Clark.

    Encore faut-il déjà avoir apporté préalablement les preuves que jai demandées au début de ce post-ci.

    A défaut, à supposer même que le zapper ait quelque efficacité (ce qui reste à prouver sur un plan réellement sicentifique : voir ci-dessous), cela pourrait sexpliquer autrement que par l'éradication de la douve «Fasciolopsis buski », que « bizarrement » on ne retrouve quen Asie et en Inde comme expliqué dans ce document-ci.

    Comme cette douve si particulière atterrit-elle alors dans le thymus des (pseudos, pour la plupart) malades américains et mexicains du « docteur » Clark, je me le demande ? A supposer dailleurs que cest exact, ce qui reste à prouver.

    Je suis par ailleurs étonné que lon poursuive ce débat comme si les liens donnés par Liane dans ce post nexistaient pas. Certes, cest en anglais, mais on y apprend des tas de choses, confirmant sil en est encore besoin que ce « docteur » est un charlatan de la pire espèce.

    Comme par exemple ce lien-ci.

    Des enquêtes ont été effectuées pour vérifier la présumée efficacité du zapper dans le cancer, sida, etc... Force est de constater que cette prétendue efficacité na jamais pu être vérifiée dune façon rigoureusement scientifique. Au surplus, aux termes dune longue enquête, entre autres scientifique, consacré au zapper, le « docteur » Clark a été condamné par la justice américaine, en novembre 2004, à ne plus jamais faire de publicité pour son zapper, du moins en tant que celui-ci guérirait certaines maladies comme le cancer, le sida, etc... Lire le jugement ici.

    Que le zapper et les différentes herbes préconisées par ce « docteur » nont aucune efficacité contre le cancer et le sida ne peut quêtre confirmé surabondamment lorsquon examine ce quil y a lieu dentendre réellement par les prétendues guérisons de cancer et de sida obtenus par ce « docteur ».

    Lisez plutôt la suite (hélas en anglais).

    Case Histories

    Pages 119-372 of The Cure for All Cancers contain "case histories" of 138 cancer patients, of whom 103 were "cured" and 35 who "did not carry out instructions or could not be followed." The standard way to determine whether a treatment is effective is to carefully record the nature of the patient's disease before treatment and to determine the patient's condition indefinitely. Clark's reports contain little information about the patient's history and no indication that Clark performed any physical examinations. The only follow-up reports are for a few patients who returned for further treatment—usually a few weeks later. Cancer treatment results are normally expressed in terms of cancer-free status or survival over periods of years. Five-year survival rates are a common measure. Clark claims she can tell that patients are cured as soon as their ortho-phospho-tyrosine test is negative—within days or even a few hours after her treatment is begun. This claim is preposterous.

    Thirty-eight of the 103 reports indicate that the patient had been medically diagnosed with cancer, and most of these 38 had received standard treatment. In 59 other cases, however, there was no indication that the patient had undergone any medical test or treatment that would indicate the presence of a cancer. (In 10 other cases, which Clark diagnosed as HIV infection, there was no history suggestive of AIDS. In the rest, it was not clear whether the patient had been medically diagnosed with cancer.)

    Judging from the reports, Clark's judgments were based entirely on the results of her own peculiar diagnostic tests. If "ortho-phospho-tyrosine" was found in the blood, the patient had cancer. If a "protein 24 antigen" was found in the blood, the patient had AIDS. And, anywhere from a few hours to several weeks later, if these tests became negative, Clark considered the patient cured. The book describes how some of the patients who had consulted Clark for other problems were startled to hear they had cancer or AIDS.

    None of the reports provides any basis for concluding that Clark's treatment has the slightest value. The majority of the people described in the 103 case reports did not have cancer. Of those that did, most had received standard medical treatment or their tumors were in their early stages. In these cases, Clark pronounced them cured but did not follow what happened after they left her clinic—so she could not possibly know how they did afterward. In some cases, she counted patients as cured even though she noted that they died within a few weeks after she treated them.

    Two people who seem knowledgeable have informed me that Clark's brother, Henry Regehr, died of cancer despite treatment by her.

    En résumé, on apprend donc que sur les prétendus 103 cas de guérison de cancer, un diagnostic de cancer ne fut réellement attribué quà 38 de ces 103 cas (bref, pour les autres, on ne sait même pas sils avaient réellement un cancer quelconque), et quen plus, la plupart de ces 38 cas avaient également subi le traitement conventionnel !

    Mais il y a bien pire encore : non seulement ces patients (pour le moins naïfs) nont pas été suivis sur le long terme pour examiner lévolution de leur (prétendu : le plus souvent) cancer, mais pire encore, la plupart des diagnostics de cancer fut établie uniquement par la détection dune substance inconnue ( !) du monde scientifique, à savoir l « ortho-phospho-tyrosine ». La disparition de cette substance inconnue, quelques jours ou semaines après le « traitement », constituait la « preuve » de la guérison du cancer. En dautres termes, tout le monde laura compris, la plupart des prétendus patients cancéreux de ce « docteur » Clark ... navaient même pas le cancer ! Ils venaient pour un problème de santé quelconque, et à cette occasion, le « docteur » Clark leur faisait le test de l « ortho-phosho-tyrosine ». Si ce test réagissait positivement, un cancer était diagnostiqué ! Bravo pour la rigueur scientifique !

    Mais que le lecteur ne pense surtout pas que le summum du charlatanisme ait été atteint par ce « docteur » avec ces prétendus cas de cancer (il y avait quand même 38 cas avérés de cancer). Car le summum du charlatanisme a été atteint avec les prétendus cas de sida.

    On apprend en effet que lon ignore parfaitement si lun des (prétendus) sidéens traités souffraient dune maladie quelconque, et encore moins de lune des maladies caractéristiques du sida. Et pour cause, ce « docteur » Clark diagnostique les cas de sida en vérifiant si lantigène P24 est retrouvé dans le sang (visiblement, sans même sassurer si la personne est séronégative ou séropositive). Si cet antigène était retrouvé dans le sang, la personne testée avait le sida, peu importe son état de santé. Si à la suite du « traitement » du « docteur » Clark , lantigène P24 disparaissait, cela signifiait que le patient était guéri du sida ! LOL

    Voilà ce qui sappelle « se foutre de la gueule du monde » et prouve labsence de la moindre formation réellement scientifique de ce « docteur » Clark, et ce pour plusieurs raisons, à supposer même que lexistence du « VIH » aurait été prouvé, et entre autres :

    a) Même chez les séropos et les sidéens, lantigène P24 est loin de pouvoir être détecté (généralement, moins dun cas sur deux); et personne dans lorthodoxie du sida admet que la non-détection (parfois simplement temporaire) de la protéine P24 prouverait une quelconque guérison (cest une véritable hérésie scientifique, même pour lorthodoxie du sida) ;

    b) De toutes les prétendues protéines du « VIH », cest la protéine P24 que lon retrouve le plus communément chez les séronégatifs. On peut dès lors imaginer le nombre de séronégatifs (ou même éventuellement séropositifs) qui ont été diagnostiqués comme ayant un sida ... mais sans réellement lavoir !

    CONCLUSION

    Je réitère à nouveau ma conclusion, à savoir que le prétendu « docteur » Clark est un charlatan de la pire espèce, tantôt profitant de la détresse de gens (rarement) malades, tantôt en prétendant à la plupart de ses patients quils sont malades ... alors quils ne le sont même pas !Il est par ailleurs constaté quil nexiste pas la moindre preuve (et encore moins de preuve scientifique) que le « docteur » Clark aurait guéri ne fût-ce quun seul cas de cancer ou de sida (il suffit déjà de voir comment ceux-ci sont diagnostiqués) avec laide de son zapper et de ses herbes.

    On comprend aisément pourquoi le « docteur » Clark a été obligée de sexiler au Mexique pour pouvoir continuer à escroquer de pauvres naïfs ! Ce que je comprends en revanche beaucoup moins, cest que lon continue encore à faire la promotion de ce charlatan sur ce forum en labsence de la moindre preuve scientifique des assertions de ce « docteur » et en dépit de toutes les preuves et de toutes les charges réunies à son encontre !

  2. Je veux bien croire que pour les médecins il soit difficile devant l'opinion public de changer de paradigme (de façon de voir les choses), mais existe-t-il des médecins, en France par exemple, qui ont conscience de la signification d'un test VIH positif et qui ne vont pas condanmer leur patient?

    J'entend par là, est ce que un médecin (conscient du problème du VIH-SIDA) qui se retrouvent à devoir dire à un patient qu'il est séropositif, lui propose de passer de examens complémentaires pour voir si la séropositivité ne pourrait pas être causée par une autre maladie?

    Le gros problème, c'est qu'il n'y a en France aucune médecin (du moins, ouvertement) qui s'est sérieusement interrogé sur ou remet en question la signification réelle d'un test "VIH" positif. Ils se réfèrent pour la plupart à leurs pairs et leurs maîtres et d'une façon consensuelle, il est ainsi déclaré qu'un test "VIH" positif est, sauf rarissimes exceptions (du moins, selon l'orthodoxie du sida), le signe infaillible d'un infection par le "VIH". Etant donné qu'aucun médecin n'a même l'idée de remettre en question cette hypothèse rétrovirale devenue instantanément dogme, et plus fondamentalement ne s'interroge même pas sur la véritable origine des antigènes utilisés dans les tests "VIH" et du matériel génétique sur lesquels travaillent les "experts" ès "VIH", il n'y aucune raison (sauf exceptions rarissimes) qu'ils se demandent si parfois, il ne s'agirait pas de faux positifs.

    D'autant plus qu'en réalité :

    lui propose de passer de examens complémentaires pour voir si la séropositivité ne pourrait pas être causée par une autre maladie?

    TOUS les tests "VIH" positifs, sans la moindre exception, sont de faux positifs, comme expliqué dans la synthèse. Par conséquent, la solution consiste en premier lieu à rechercher chez n'importe quel séropositif ce qui a pu rendre positif son test appelé par erreur "VIH" (maladies, style de vie, etc...) car dans certains cas (quoique cela soit contesté par certains dissidents), un test "VIH" positif peut constituer un signe avant-coureur négatif (quoique généralement réversible s'il y est remédié à temps) d'une propension à éventuellement développer ultérieurement des maladies particulières (sans qu'il soit besoin d'expliquer cela par un quelconque rétrovirus exogène "VIH").

  3. Mais qu'en est-il de ceux qui ont succombé au déferlement du SIDA au tout début ,avant ces traitements que vous dénoncez et qui ne sont pas parfaits,je vous l'accorde ? Malheureusement ils ne sont plus là pour venir ici expliquer leur cas !

    Merci de lire préalablement et à nouveau la synthèse, qui a été justement rédigée pour éviter de relire à nouveau des remarques de ce genre, réfutées depuis un temps quasi immémorial ou presque.

    Plus particulièrement : Chapitre VII : Traiter la séropositivite et le SIDA ---> A) Solutions proposées par l'Orthodoxie du SIDA.

    A nouveau, si tu avais lu la synthèse, tu aurais pu constater que nous avons une opinion bien plus nuancée que cela, comme l'illustre d'ailleurs la fin de la réponse qui t'a été adressée par Cheminot.

    Si l'administration de l'AZT aux séropositifs et sidéens doit manifestement être considérée comme un désastre médical, la dissidence (sauf quelques irréductibles, en particulier ceux qui ont souffert eux mêmes de ces traitements, et on peut les comprendre) admet en revanche que les traitements appelés à tort "antirétroviraux" peuvent avoir de relatifs effets bénéfiques, quoique ces effets ne s'expliquent nullement par un quelconque effet "antirétroviral". Mais tout cela est perdre de vue que d'autres solutions sont également possibles, certainement lorsqu'on n'est pas trop avancé dans la maladie.

    Pour le surplus, je ne peux que te renvoyer encore et encore à la synthèse. Elle est longue, je sais, mais cela est justement ainsi afin d'éviter de lire des observations de ce genre.

    Merci.

  4. ->Si les tests VIH possitifs montrent un  taux anormalement élevé d'anticorps, cela ne veut-il pas dirent que la personne est malade quelque soit sa maladie, SIDA ou autre?

    Il n'est pas nié (sauf par quelques uns) qu'un tel taux anormalement élevé d'anticorps puisse être interprété, en particulier chez les personnes menant un style de vie immunodépressif, comme étant un mauvais signe, annonciateur de maladies futures si la personne testée ne change pas de mode de vie, maladies pouvant trouver leur cause ailleurs que dans un quelconque rétrovirus "VIH".

    En revanche, il faut faire preuve de beaucoup d'imagination pour prétendre, comme le fait l'orthodoxie du sida, que ce haut niveau d'anticorps serait le résultat d'une contamination par un rétrovirus exogène et invisible "VIH".

    ->Même si le SIDA se révélait être non sexuellement transmissible, il existe d'autres maladies comme la syphilisse, connues depuis longtemps, qui le sont réellement. En dehors du fait que le préservatif peut éviter les grossesses, on dit qu'il évite aussi l'herpès vaginale, l'hépatite... Je pense que rien que pour ça il faut continuer de faire attention.

    La synthèse précise expressément que même si la séropositivité n'est effectivement pas transmissible, le recours au préservatif reste bien entendu nécessaire, entre autres pour les raisons que tu as toi-même évoquées. Mais le fait que le préservatif continue à rester indispensable (mais pour d'autres raisons) ne constitue pas une raison pour continuer à propager le mythe selon lequel le sida serait causé par un étrange et invisible rétrovirus exogène "VIH" prétendument sexuellement transmissible, mythe qui empêche les malades d'être soignés correctement.

  5. "la séropositivité n'étant pas sexuellement transmissible, le SIDA ne peut en aucune façon être une MST"

    Bonjour.ça au moins ça a le mérite d'être bien clair .Qui veut prendre le risque ,parmi les détracteurs de la thèse officielle ,d'aller faire sans précautions quelques fantaisies sexuelles avec des personnes hélas séropositives ? Il faut aller au bout des ses thèories ,c'est la seule façon de prouver ce que l'on avance .

    Désolé d'être aussi sec, mais nous sommes allés au bout de la théorie sur ce point.

    Le vrai problème, c'est que TOI, tu n'es pas allé jusqu'au bout de la lecture attentive de l'une des deux références que j'ai citées ci-dessus, à supposer même que tu aies commencé cette lecture.

    Alors, pour toi et pour bien d'autres d'ailleurs, je reproduis à nouveau le (très long) passage à lire tout particulièrement dans la synthèse : Chapitre IV : Le SIDA est un syndrome toxique et nutritionnel, manifestement causé par le stress oxydatif ---> D) Conséquences --->3) La séropositivité n'étant pas sexuellement transmissible, le SIDA ne peut en aucune façon être une MST.

    Quant à prouver ce qu'on avance, la moindre des choses, c'est d'abord pour l'orthodoxie du sida de prouver préalablement que la séropositivité est sexuellement transmissible.

    En d'autres termes, cela implique que les preuves mentionnées à la fin de ce post aient été préalablement apportées.

    En l'occurrence, cela n'a jamais été le cas jusqu'à ce jour, et ton observation a autant d'intérêt que celle consistant à dire qu'un cancer est sexuellement transmissible au motif qu'une personne ayant eu une relation à risque avec un cancéreux a appris trois mois plus tard qu'elle avait aussi un cancer.

    Concernant plus spécialement les prostituées, et je dis cela à titre purement superfétatoire, je t'invite à lire par exemple cet article récemment traduit par Aixur. Mais cette lecture est surperflue car elle ne fait que confirmer en pratique ce tu saurais déjà si tu avais lu réellement la synthèse.

    Et de manière générale, rien que le fait de savoir que le taux de la supposé transmission hétérosexuelle de la séropositivité est de, non pas de 5 pour 100 (on rappellera que pour n'importe quel autre - vraie - MST, le risque est déjà de 50% en moyenne lors de la première relation à risque), non pas de 5 pour 1.000, mais bien de 5 pour 10.000 environ, cela devrait déjà inciter un lecteur réellement critique à se demander si la transmission sexuelle de la séropositivité ne serait en fait pas une fable et ne pourrait en réalité pas s'expliquer autrement vu ce taux absolument ridicule et tout simplement non significatif (on trouverait un taux semblable, voire même un taux plus élevé si l'on commençait à analyser le taux d'une supposée transmission sexuelle du cancer, avec par exemple des groupes à fort risque de cancer du sein, comme le groupe des lesbiennes) de transmission hétérosexuelle de la séropositivité.

  6. Donc, est-ce que l'on redeviens séro-négatif ?

    Oui, il est parfois possible de redevenir séronégatif.

    Certains cas sont cités dans la synthèse collective. Lire plus précisément : - Chapitre IV : Le SIDA est un syndrome toxique et nutritionnel, manifestement causé par le stress oxydatif ---> D) Conséquences ---> 1) La séropositivité est réversible et donc guérissable, du moins si on ne s'y prend pas trop tard.

    J'ai cru comprendre (je ne suis pas un habitué des thread sur le sida) qu'on pouvait devenir séropo suite a des vaccinations aussi.

    Oui, certaines vaccinations peuvent rendre positifs les tests appelés par erreur "VIH". Lire par exemple ce document qui cite certains de ces vaccins.

  7. Pour le corps médical lyonnais, la candidose reste une maladie opportuniste et non la cause de positivité de ces tests.

    ...........

    Je ne suis pas malade du sida et je n'héberge aucun vilain virus s'attaquant à mon système immunitaire. J'ai une candidose oropharyngée, et c'est bien suffisant ! Je suis un nouveau faux positif de plus sur la liste...

    J'ai juste la désagréable particularité de vouloir lutter contre l'ignorance du personnel des services de santé publique, qui veut que je sois malade du sida, et en aucun cas en phase de développement d'un candida.

    Juste pour dire que tout cela est parfaitement exact.

    Dans un article (en anglais, comme toutes les publications scientifiques) publié en 1997, avec multiples références scientifiques, article prudemment ignoré par l'orthodoxie du sida, et que le lecteur intéressé pourra retrouver en cliquant ici, le Perth Group a fait la brillante démonstration que les anticorps contre les mycobactéries et autres champignons, dont celles (ceux) causant justement les candidoses, peuvent faire réagir positivement le test appelé par erreur "VIH". Et évidemment, en pleine phase de candidose, les lymphocytes T4 peuvent fortement baisser et la charge appelée à tort "virale" fortement augmenter.

    Il est intéressant de noter que près de 90% des diagnostics de sida sont justement des maladies causées par ces champignons et mycobactéries (pneumocystoses, candidoses, ...) ! Dans ces conditions, on peut se demander comment on peut affirmer que le sida est causé par le "VIH" en se basant sur un test d'anticorps "VIH" ... pouvant être rendu positif par ces mêmes champignons et mycobactéries ?!

    Ceci n'étonnera bien sûr pas le lecteur attentif de ce forum qui sait maintenant très bien qu'un test "VIH" positif n'est JAMAIS, DANS AUCUN CAS, le signe d'une infection par un invisible rétrovirus "VIH" et que TOUS les tests "VIH" positifs sont SANS EXCEPTION de faux positifs. Ce qui ne signifie bien entendu pas que dans certains cas, un test "VIH" positif peut constituer un premier signe annonciateur de maladies futures si la personne testée continue à mener une vie immunodépressive à risque de sida. Mais cela n'a strictement rien à voir avec une infection par un rétrovirus exogène "VIH".

  8. Euh... Wally, je t'ai dit que ce n'était pas possible sans rendre le topic incohérent puisqu'une combinaison se fait par date... donc vos interventions vont se retrouver AVANT le témoignage de B. Berthelet... d'où ma suggestion pour chacun de reposter à la suite icon_smile.gif (cela concerne Cheminot, Yoananda et toi)

    Pour aller plus vite, je vais tâcher de reposter moi-même, dans le même ordre (sinon, cela risque d'être incompréhensible), tous les posts en question, tout en précisant au début de qui ils émanent.

  9. donc, concretement, ca veut dire qu'on est séropo, mais qu'on ne transmettra cette seropo ni a sa femme (dans le cas présent), ni a ses enfants ?

    Je te propose de relire la synthèse sur ces deux points :

    - Chapitre IV : Le SIDA est un syndrome toxique et nutritionnel, manifestement causé par le stress oxydatif ---> D) Conséquences --->3) La séropositivité n'étant pas sexuellement transmissible, le SIDA ne peut en aucune façon être une MST.

    - Chapitre IV : Le SIDA est un syndrome toxique et nutritionnel, manifestement causé par le stress oxydatif ---> D) Conséquences ---> 5) Qu'en est-il de la transmission verticale de la séropositivité (transmission mère-enfant) ?

    En résumé extrêmement bref, si la séropositivité n'est pas sexuellement transmissible (mais peut en revanche être sexuellement acquise pour diverses raisons mais sans rapport avec un quelconque rétrovirus exogène "VIH" : usage de drogues diverses lors de relations sexuelles même entre séronégatifs, réception anale de sperme même entre séronégatifs, ...), en revanche, une transmission verticale (mère ---> bébé) de la séropositivité est possible. Ainsi, la mauvaise santé de la mère (par exemple : elle est toxicomane), laquelle peut se traduire par la positivité du test appelé à tort "VIH" ("à tort" car un test "VIH" n'a nullement pour vocation de détecter une infection par le "VIH" mais bien des anticorps en très grand nombre et dont il a été démontré à d'innombrables reprises qu'ils ne sont pas la marque d'une infection par le "VIH" mais bien la marque de nombreuses autres vraies infections, sans compter sur le fait que ces anticorps ne peuent bien souvent n'être que des auto-anticorps !), peut parfois se répercuter sur la santé du bébé à naître, lequel pourra - parfois - naître séropositif. Mais cette séropositivité n'a absolument rien d'irréversible comme expliqué dans ce post-ci. Evidemment, si on commence à donner de l'AZT et de la Névirapine à la mère et ensuite au bébé, il ne faut généralement pas s'attendre à ce que la santé du bébé s'améliore avec le temps !

    Pour le surplus, je te renvois à la synthèse, plus précisément aux deux points cités ci-dessus.

  10. Au fait, le sujet a déjà été abordé dans ce topic :

    http://www.onnouscachetout.com/forum/index...=ST&f=83&t=6893

    Liane ayant retrouvé le topic cité ci-dessus et qui avait déjà abordé le sujet, afin d'éviter la multiplication de topics, je propose que ce topic-ci soit supprimé et que les posts s'y trouvant soient déplacés à la suite des posts du topic cité et redécouvert par Liane.

    Merci.

    Edit modo : combiné. Et de fait, le topic le plus ancien se retrouve en premier

  11. Wally, finalement Bruno Berthelet a fini par venir jusqu'à nous icon_smile.gif Son témoignage est ici : http://www.onnouscachetout.com/forum/viewtopic.php?p=271968 si tu veux changer le lien dans la synthèse.

    Voilà. C'est fait.

    Je propose que tous les posts de ce topic-ci soient déplacés à la suite du post posté par "Bertheletbruno" et donc que ce topic-ci soit supprimé. Je fais donc appel aux modos (ou autres personnes) ayant techniquement la capacité de déplacer les messages postés au mauvais endroit.

    Merci.

  12. Pour le corps médical lyonnais, la candidose reste une maladie opportuniste et non la cause de positivité de ces tests.

    .....................

    Je ne suis pas malade du sida et je n'héberge aucun vilain virus s'attaquant à mon système immunitaire. J'ai une candidose oropharyngée, et c'est bien suffisant ! Je suis un nouveau faux positif de plus sur la liste...

    J'ai juste la désagréable particularité de vouloir lutter contre l'ignorance du personnel des services de santé publique, qui veut que je sois malade du sida, et en aucun cas en phase de développement d'un candida.

    Juste pour dire que tout cela est parfaitement exact.

    Dans un article (en anglais, comme toutes les publications scientifiques) publié en 1997, avec multiples références scientifiques, article prudemment ignoré par l'orthodoxie du sida, et que le lecteur intéressé pourra retrouver en cliquant ici, le Perth Group a fait la brillante démonstration que les anticorps contre les mycobactéries et autres champignons, dont celles (ceux) causant justement les candidoses, peuvent faire réagir positivement le test appelé par erreur "VIH". Et évidemment, en pleine phase de candidose, les lymphocytes T4 peuvent fortement baisser et la charge appelée à tort "virale" fortement augmenter.

    Il est intéressant de noter que près de 90% des diagnostics de sida sont justement des maladies causées par ces champignons et mycobactéries (pneumocystoses, candidoses, ...) ! Dans ces conditions, on peut se demander comment on peut affirmer que le sida est causé par le "VIH" en se basant sur un test d'anticorps "VIH" ... pouvant être rendu positif par ces mêmes champignons et mycobactéries ?!

    Ceci n'étonnera bien sûr pas le lecteur attentif de ce forum qui sait maintenant très bien qu'un test "VIH" positif n'est JAMAIS, DANS AUCUN CAS, le signe d'une infection par un invisible rétrovirus "VIH" et que TOUS les tests "VIH" positifs sont SANS EXCEPTION de faux positifs. Ce qui ne signifie bien entendu pas que dans certains cas, un test "VIH" positif peut constituer un premier signe annonciateur de maladies futures si la personne testée continue à mener une vie immunodépressive à risque de sida. Mais cela n'a strictement rien à voir avec une infection par un rétrovirus exogène "VIH".

  13. Moi, je veux bien admettre que le zapper puisse avoir quelques fois un effet positif en matière de sida, probablement chez les personnes pas très avancées dans ce syndrome. Mais pas parce que cela rendrait moins nocifs les douves mais bien surtout parce que cela rendrait moins nocifs, voire même détruirait les germes causant les infections opportunistes chez les sidéens. Si on ajoute à cela les autres conseils du "docteur" Clark (entre autres celui visant à éviter les sources de "réinfection" ["VIH" + "benzène"], ce qui en somme revient déjà à ne plus se droguer, à ne plus s'exposer à des MST grâce à l'usage du préservatif, etc..), tels que l'usage de certaines vitamines et de certaines herbes ayant entre autres des propriétés anti-inflammatoires, cela pourrait déjà expliquer, à supposer que de tels cas soient avérés, pourquoi certains séropositifs peuvent se porter mieux. Mais à cet égard, le "docteur" Clark n'a pas inventé la lune, et il n'est nul besoin de sa théorie pour l'expliquer.

    Reste que j'aimerais beaucoup lire des articles ayant constaté qu'en usant uniquement d'un zapper (et des herbes préconisées par ce "docteur") chez un sidéen hospitalisé par exemple pour une pneumocystose, celui-ci se rétablit.

    A défaut de telles preuves, il me paraît bien présomptueux de déclarer que le "docteur" Clark aurait trouvé le moyen de guérir le sida. Tout au plus, met-elle en avant différentes techniques pouvant aider certains malades (en général) à se sentir mieux. Pour le reste, ce n'est que pur charlatanisme.

  14. Bon, j'ai fait l'effort de lire un peu plus les écrits du "docteur" Clark, mais ce sera cette fois-ci la dernière fois ... à moins que l'on m'apporte des preuves dignes de ce nom !

    Il me semble évident que pour que la théorie du "docteur" Clark présente une once de crédibilité, il est déjà absolument nécessaire d'apporter au minimum les preuves suivantes, et de prime abord dans l'ordre suivant (en d'autres termes, si la première preuve n'est pas apportée, les preuves suivantes ne peuvent en principe pas être apportées non plus) :

    1) Les références d'au moins quelques articles scientifiques ayant prouvé l'existence d'un virus "VIH" chez tous les sidéens et séropositifs. Et je dis bien "virus" et non "rétrovirus" puisque sauf erreur de ma part, le "docteur" Clark considère manifestement que le "VIH" est un virus, et non un rétrovirus (et il ne s'agit pas d'une simple distinction sémantique). Je ne pense n'avoir jamais lu dans ces écrits que le "VIH" serait un rétrovirus selon elle. En d'autres termes, même la littérature orthodoxe du sida ne peut être invoquée à l'appui de sa théorie.

    2) Les références d'au moins quelques articles scientifiques ayant prouvé que le virus "VIH" naît et ne peut se multiplier que grâce à un parasite particulier, à savoir la douve Fasciolopsis Buskii.

    3) Les références d'au moins quelques articles scientifiques ayant prouvé que le thymus des sidéens est envahi par cette douve (et corrélativement le virus "VIH").

    4) Les références d'au moins quelques articles scientifiques ayant prouvé que le benzène infeste le thymus des sidéens.

    5) Les références d'au moins quelques articles scientifiques ayant prouvé et expliquant comment la présence de ce benzène supposé surabondant dans le thymus des sidéens et de ces nombreuses douves font en sorte que l'organisme des sidéens ne produirait plus de lymphocytes T. Cette affirmation du docteur "Clark" est pourtant pour le moins ahurissante vu que l'organisme des sidéens produit toujours plus d'anticorps, eux-mêmes résultant d'une certaine classe de lymphocytes T (TH2). A moins qu'elle ne soit en mesure d'invoquer des articles scientifiques ayant prouvé (+ explication de la pathogenèse) que ce benzène et ces douves empêchent, comme par hasard, uniquement la maturation des cellules immunitaires de type TH1 (protégeant contre les maladies caractéristiques du sida) mais accroissent au contraire la maturation des cellules immunitaires de type TH2, productrices justement de ces fameux anticorps qui ne cessent d'augmenter avec les années.

    A défaut de ces preuves pour le moins élémentaires, je ne vois toujours pas comment accorder une once de crédibilité à sa théorie. Si ce qu'elle dit est si évident que cela, cela ferait belle lurette que tout cela aurait été prouvé vu que le "VIH" est le (rétro)virus le plus traqué et le plus analysé de toute l'histoire de l'humanité.

    Pour le reste, tu expliques toi-même pourquoi certaines des herbes préconisées par ce "docteur" (qui, comme par hasard, incite également à la consommation de vitamines impliquées fortement dans le système immunitaire, telles que la vitamine B2 et la vitamine C) peuvent éventuellement avoir un effet bénéfique chez certains individus. Mais cet effet bénéfique, à supposer qu'il existe, peut s'expliquer sans invoquer la présence de benzène et de douves dans le thymus. De même, la plupart des autres conseils de ce "docteur" ne peuvent que renforcer le système immunitaire (il va de soi par exemple que le benzène contribue au stress oxydatif et qu'il vaut donc mieux s'en débarrasser), sans qu'il soit besoin d'invoquer la présence de benzène et de douves dans le thymus.

    Concernant les prétendues guérisons obtenues, je reproduis à nouveau le petit passage déjà reproduit ci-dessus :

    Les cas décrits par Clark elle-même nautorisent aucune évaluation médicale scientifique, car les indications quils contiennent ne sont pas systématiques; la longueur et les données relatives à la situation clinique des patients varient dun rapport à lautre. On peut certes partir du principe que des réactions physiologiques vont forcément se produire, si la personne ingère les 5 à 80 compléments alimentaires recommandés par Clark; mais rien nindique un quelconque effet spécifique sur le cancer.
    (ou sur le sida, puisqu'il s'agit de sida ici).

    Pour le surplus, je renvois aux observations de Liane.

    En tout cas, pour ma part, à défaut du moindre commencement de preuve, entre autres scientifique, et vu la possible dangerosité du traitement préconisé par ce "docteur", je n'oserai jamais le recommander à qui que ce soit.

    Amicalement

  15. Je ne sais pas trop si on peut dire des choses vraiment interpellantes de ces deux examens vu que ces analyses paraissent bien trop vagues, ne constituent même pas un début de bilan nutritionnel (sauf pour ce qui concerne l'analyse du fer), et ne comportent pas d'analyse quelconque du typage lymphocytaire (quoique cette dernière analyse ne pourrait servir à elle seule à prendre des décisions thérapeutiques, la baisse - parfois purement apparente - des lymphocytes T4 n'étant ni nécessaire ni suffisante à provoquer le sida, à supposer même qu'un tel lien de causalité existe).

    Je suis toutefois rassuré par le fait que tu sois arrivé à te débarrasser de ta candidose, tout en diminuant progressivement ta dose journalière de spiruline. Cela me paraît prouver que tu es sur la bonne voie.

  16. Personnellement, je nai fait que lire au mieux une ligne sur deux, et jestime que cest déjà faire beaucoup d'honneur à ce "docteur".

    Même en partant de lhypothèse que le « VIH » existerait en tant que rétrovirus, ce qui facilite pourtant diablement sa tâche, aucune de ses assertions nest étayée scientifiquement, pas même un tout petit peu, pas même en se basant sur des articles scientifiques quelle aurait tenté de réfuter.

    Pire encore, ce « docteur » (en fait, elle fut poursuivie en justice aux USA pour avoir usé illégalement du titre de « docteur », raison pour laquelle elle vit actuellement au Mexique, à labri des poursuites : visiblement, elle a tout du charlatan) , qui nest visiblement pas en mesure de prouver sa formation scientifique, si ce nest au mieux une formation de naturopathe, invente lexistence de substances/termes scientifiques totalement inconnus par la communauté scientifiques pour tenter détayer sa « théorie ».

    Last but not the least, les quelques témoignages invoqués ne sont pas exploitables et ne sont donc pas fiables. Et si amélioration il peut y avoir chez certaines personnes, cela peut sexpliquer par les différences substances ingérées par les usagers, sans compter sur leffet placebo (impossible à évaluer en outre sans études de contrôle). Nul besoin de venir avec des douves pour expliquer cela.

    Dans ces conditions, je ne vois pas pourquoi je mévertuerai à lire davantage ces écrits-là. Il me semble quil y a des choses bien plus sensées à lire, à commencer par les écrits de lorthodoxie du sida elle-même (mais à interpréter autrement), pour tenter de guérir le sida, du moins chez certaines personnes.

    Plus intéressant serait en revanche de nous préciser pourquoi tu ne serais pas daccord avec certaines de nos affirmations formulées en général sur ce forum, du moins en posant tes questions dans les topics ad hoc de ce forum.

    Merci.

  17. Voici donc la version orthodoxe sur le phénomène Clark :

    " Un appareil inefficace et des teintures douteuses "

    J'ai lu l'article en question, et je me demande encore comment certaines personnes sur ce forum peuvent encore accorder quelque crédit à cette personne.

    Quelques morceaux choisis tirés de cet article, pour que les choses soient bien plus claires encore :

    Conclusion: plus dangereux quutile

    Ni les suppositions hypothétiques de Hulda Clark sur les causes de lapparition du cancer, ni les méthodes de traitement quelle propose ne sont scientifiquement prouvées.

    Les procédés recommandés par Clark font leffet dun ramassis de plusieurs méthodes doutsiders médicaux telles que la thérapie denzymes, lélimination de produits dits «toxiques» ou la prescription dénormes doses de vitamines. Lattrait pour les méthodes de Clark sexplique probablement par le fait quelles proposent à des personnes en grand désarroi des explications apparemment plausibles sur les causes de leur maladie et leur donnent lillusion de pouvoir contribuer à la guérison par des opérations de nettoyage et un choix approprié de mélanges de thés.

    N'est-ce pas plus que suffisant comme cela maintenant ?

  18. Je répondrai en détail un peu plus tard sur la preuve de la présence du P.Carinii. Mais, une des choses qui était plus ou moins sous-entendue quand je disais que la pneumocystose Carinii n'avait aucune réalité avant l'apparition du SIDA, c'est aussi le problème de la preuve de la pathogénicité de ce champignon. A mon avis, on n'a jamais du prouver que ce champignon était non seulement pathogène chez les sidéens, mais même mortel.

    Comment a-t-on déterminé qu'il était pathogène et mortel ? Pour des raisons éthiques, on n'a bien sur pas du inoculer le champignon à des sidéens. On a simplement du se contenter de corrélations. Sur 100 personnes déclarées sidéennes et ayant des problèmes de toux sèches, de fièvre, qui s'aggravent ou non, voir qui s'accompagnent de décès, on a retrouvé le champignon en question sur X d'entre elles. Ben, voilà, pour les médecins, c'était le responsable. Ils n'ont pas cherché plus loin. Mais ce n'est qu'une corrélation, pas une causalité. Pour que ce soit une causalité, il faut inoculer le champignon carinii à 100 ou 1000 sidéens ayant moins de 200 cd4, et voir s'ils développent la maladie (sidéens n'ayant aucune raison par ailleurs de développer la maladie : prise de médicaments, de drogues, etc...). Ca c'est une causalité.

    A mon humble avis, si on constate que chez les personnes souffrant de pneumocystose, le pneumocystis carinii se met à se développer(à tel point que dans les cas les plus dramatiques, les poumons deviennent même blancs sur les radiographies !) et à pulluler dans les poumons du pauvre malheureux, empêchant les alvéoles de fonctionner et empêchant corrélativement le patient de respirer, je pense quil nest pas trop osé de prétendre que la cause du problème de santé est bien la multiplication anarchique du pneumocystis carinii. En dautres termes, de prétendre que la cause de la pneumocystose est bien ce germe et rien dautre. Il me semble que la pathogénèse est ainsi très clairement établie.

    PS : au passage, quel chance que les sidéens n'attrapent pas plus souvent de rhumes et de grippes. Parce que comme ceux-ci sont soi-disant causés par des virus, il n'y aurait pas d'antibiotiques pour pouvoir les soigner, et ça conduirait invariablement à la mort. Mais, ouf, les sidéens n'attrapent que des pneumocystoses bactériennes ou carinii, qu'on peut fort heureusement soigner par antibiotiques. Ouai, ça c'est de la chance.

    Je pense que la chance na rien à y voir. Limmunité par anticorps des séropositifs est généralement plus développée que celle des séronégatifs eux-mêmes (les TH2). Il apparaît dès lors logique que les sidéens ne meurent pas de rhume ou de grippe et peuvent même mieux se défendre contre ceux-ci que les séronégatifs eux-mêmes.

    En revanche, limmunité des sidéens contre les germes intracellulaires, tels que le pneumocystis carinii et les champignons en général, est fortement diminuée, voire même inexistant : ils ne sont plus en mesure de se défendre contre ces germes grâce au monoxyde dazote, faute de TH1 en produisant encore dans lorganisme (lorganisme tentant de compenser, mais en vain, cette baisse de TH1 par une production accrue de TH2). Ceci explique pourquoi justement on administre du Bactrim aux personnes souffrant de pneumocystose vu que le Bactrim est justement un fort oxydant azoté.

    Voilà. Cétait juste pour faire avancer le débat.

  19. Je naurais jamais pensé quil aurait été nécessaire de faire un début de critique des théories professées par ce qui me paraît bien être un charlatan, mais soit.

    1) Quil commence déjà à me prouver lexistence dun rétrovirus exogène « VIH ». A défaut dapporter cette preuve, cest TOUTE sa démonstration dans son ensemble qui tombe à leau puisque lexistence du « VIH » constitue le postulat de départ de son raisonnement.

    2) Je nai aucune preuve quil ait guéri qui que ce soit. La seule preuve qui mest présentée, cest un ouvrage avec 50 témoignages. Cela vous suffit comme « preuve », dautant plus quil sagit de la seule « preuve » disponible, le point 1) nétant même pas prouvé ?

    Nimporte quel gourou sur internet prétendant avoir guéri le sida avec sa potion magique et profitant de la détresse de personnes malades est en mesure de rédiger un tel ouvrage et de le faire vendre à quelques naïfs.

    3) Quentend-t-il par « guérir le sida » ? Des personnes hospitalisées, atteintes de pneumocystose, de sarcomes de kaposi ou de toxoplasmoses et qui en ont guéri sans utiliser des traitements « antirétroviraux » et/ou sans utiliser des antioxydants ?

    Si cest le cas et quil peut le prouver autrement que par un livre de « témoignages », alors là, effectivement, je commencerai - un peu - à mintéresser à ce prétendu docteur.

    Dans le cas contraire, comme par exemple, le simple passage de la séropositivité à la séronégativité, il ny a là pas de quoi senthousiasmer. Le retour à vie saine et équilibrée, une désintoxication, lusage de certains antioxydants, etc... est sans doute lun des meilleurs moyens pour redevenir séronégatif ou se sentir mieux, tout particulièrement lorsquon na jamais fait de sida. Or cest en gros à cela que se résument justement les conseils de ce docteur.

    4) Il y a quelques semaines à peine, on parlait du cas de ce professeur camerounais qui ferait de soi-disant miracles avec ces auto-vaccins, du moins sur des séropositifs asymptomatiques. Les preuves fournies par ce docteur étaient visiblement bien plus solides que celles fournies par le docteur Clark. Et pourtant, lanalyse de ces preuves pourtant plus solides permettent darriver à la conclusion que ce professeur camerounais na jamais fourni la preuve dune quelconque efficacité de son remède (étant là des autovaccins) pour guérir le sida : cela ne concernait que des séropositifs asymptomatiques et en outre, pas détude contre placebo.

    Dans ces conditions, il mest tout simplement impossible daccorder la moindre crédibilité à ce docteur Clark, sous peine de me mettre à croire nimporte quel gourou sur le sujet.

  20. Déjà, on apprend sur Wikipedia que l'infection à P. Carinii est très courante dans la population générale, de l'ordre de 70 % (90 % dans le livre d'Etienne de Harven, les 10 plus gros mensonges sur le SIDA).

    Ok d'accord. C'est comme la toxoplasmose. En fait, tout le monde est ou a été infecté. Donc, ce n'est pas difficile de trouver le germe. Tout le monde l'a (ou/et a des anticorps au germe). On aurait pu croire que c'était une forme rare de champignon causant une pneumocystose. Mais pas du tout. Il est présent partout.

    Il me semble avoir lu en son temps que cela signifie uniquement que lon trouve chez un très grand pourcentage de gens des anticorps contre ce microorganisme, mais plus le microorganisme lui-même bien sûr. Cela prouve uniquement que les personnes en question ont rencontré antérieurement ce microorganisme mais sen sont débarrassé sans le moindre problème, leur système immunitaire nayant pas été affaibli. Seuls subsistent encore les anticorps, mais non le germe lui-même.

    Parasitose opportuniste des malades immunodéprimés et des nourrissons prématurés, la pneumocystose était une affection rare. Elle représente aujourd'hui la manifestation inaugurale du SIDA dans 35 à 40 % des cas. La recherche du parasite est donc devenue une analyse courante du laboratoire. Le diagnostic repose sur la mise en évidence du parasite grâce aux techniques classiques de coloration. Les limites de ces colorations ont contribué au développement des techniques d'immunofluorescence. Dans cette étude, nous avons comparé sur 100 lavages bronchio-alvéolaires (LBA), les performances d'un test d'immunofluorescence directe récemment mis sur le marché (le Pneumo Cel IF test® des laboratoires BMD) à celles de deux colorations: la coloration de May-Grünwald-Giemsa et de Gomori-Grocott. Les colorations classiques ont révélé 18 cas positifs alors que la technique d'immunofluorescence directe a permis de dépister 20 cas de pneumocystose. Ce test d'immunofluorescence s'est révélé fiable, sensible et hautement spécifique grâce à l'utilisation d'un anticorps monoclonal. La préparation et la lecture sont rapides et aisées. Malgré un prix de revient beaucoup plus élevé, l'immunofluorescence directe devrait devenir une méthode de choix pour la majorité des laboratoires, en raison de ses qualités et des nombreux avantages qu'elle présente par rapport aux colorations classiques.

    Par conséquent, jai tendance à considérer que lorsquun diagnostic de pneumocystose est donné à un séropositif, ce diagnostic est réellement très fiable et très spécifique compte tenu de ce qui précède.

    En revanche, jai tendance à croire que les diagnostics de pneumocystose sont sous-diagnostiqués chez les séronégatifs car on sattend surtout à trouver cette maladie chez les séropositifs. Ce qui peut ainsi accentuer limpression que la pneumocystose se retrouve presque exclusivement chez les séropositifs, et qu'il s'agit d'un diagnostic à la tête du client.

  21. Beaucoup daffirmations mais aucune référence scientifique, et au mieux quelques conseils de bon sens. Et cinquante témoignages sortis de nulle part réunis dans un ouvrage.

    Je ne sais pas trop ce que vous en pensez, mais pour moi, tout cela évoque le charlatanisme dans toute sa splendeur.

    Bref, pour ma part et à défaut du moindre commencement de preuve scientifique dans une revue peer-review ou même dans une revue scientifique quelconque, je ne mattarderai pas davantage là-dessus. Cest clairement une perte de temps.

  22. C'est quoi, les Omégas 3 non dérivés ? C'est d'origine végétale, du genre huile de lin, de chanvre, etc... ?

    Oui, il s'agit de cela, plus précisément l'acide linolénique ALA, d'après ce que j'ai découvert.

    Si tu lui colles les études en question sous le nez, il faudra bien qu'il sorte un commentaire. S'il est honnête, il pourra te remercier de lui avoir appris quelque chose

    Je n'en suis pas si sûr. Visiblement, chez les nutrionnistes, les bienfaits supposés des huiles de poisson constituent un mythe bien tenace, un peu comme l'hypothèse rétroviale du sida chez les rétrovirologues. J'ai cru comprendre que quasiment tous les "experts" en nutrition ne jurent que par les huiles de poisson.

    Leur montrer des études comme celle-ci (il s'agit d'une méta-analyse sur le sujet, très récente car datant de 2006 et aboutissant à la conclusion que la consommation d'huiles de poissons à fortes doses, comme recommandé à l'heure actuelle, n'apporte non seulement pas de bienfaits particuliers à la santé sur la plan cardiovasculaire et du cancer, mais qu'au contraire, cette consommation peut être nocive chez certaines personnes !) ne les fera pas changer d'avis, je le crains.

    Pour ma part, lorsque j'aurai les résultats de mon nouveau bilan nutritionnel (dans quelques mois) et à supposer que mon glutathion réduit augmente, j'attendrai qu'il me dise à nouveau que toutes ces améliorations sont dues aux huiles de poisson ... pour lui dire que chez moi, les améliorations coïnciendent avec un arrêt de la consommation des huiles de poisson depuis quelques mois !

    De toute façon, il faut que je fasse l'expérience pour en avoir le coeur net. Et puis, avant d'aller chez ce médecin nutritionniste, je n'avais jamais consommé d'huiles de poisson (et encore moins dans une telle quantité) et je me portais très bien "quand même" !

×
×
  • Créer...