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Cheminot

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  1. Un nouveau "vaccin" contre le "vih" semble efficace: de http://www.virax.com.au/announcements/asx/asx040212.shtml Si on lit bien le texte, on se rend compte qu'il ne s'agit plus d'agir sur le virus, mais de renforcer le système immunitaire. On n'a donc pas besoin d'un virus pour expliquer le Sida, mais de quelque chose qui affaiblit le système immunitaire et le dégrade progressivement. Pour l'instant, rien qui vienne contredire les hypothèses alternatives concernant la cause du Sida
  2. Excuse-moi! Je pense que certains d'entre nous peuvent faire un bon résumé de tout cela. Quant à moi, si je lis l'anglais par nécessité professionnelle, j'ai parfois du mal à le traduire correctement. Il s'agit ici d'une française, séropositive, qui a été obligée de subir une césarienne, de prendre des médicaments contre la montée de lait, de laisser son enfant prendre de l'AZT, jusqu'à ce qu'onse rende compte qu'il était séronégatif, et ceci sans le moindre recours.
  3. Pour les anglophones : où l'on voit que le terrorisme médical est aussi vivace en France qu'en Amérique
  4. Effectivement, l'AZT a été synthétisé en 1964 par Horwitz. On cherchait à empêcher la duplication de l'ADN des cellules cancéreuses en utilisant un analogue de la thymidine qui ne permettait pas la réaction chimique donnant lieu à une chaîne de phospates en 3' du ribose (je m'excuse, je ne trouve pas d'autres mots, et c'est très technique). On a vite arrêté car tous les rats de labo mouraient. La méthode de synthèse de l'AZT est tout ce qu'il y a de facile, à partir de la thymidine naturelle, et c'est pour cela qu'il l'ont utilisé au départ. On aurait pu trouver d'autres terminateurs de chaîne d'ADN, mais le coût de fabrication était multiplié par 10. Je soupçonne même Horwitz ou ses collègues de l'avoir découvert par hasard dans leurs solutions de thymidine, sachant que très souvent, les milieux dans lesquels on isole les composés biologiques contiennent de l'azoture de sodium, sachant que l'AZT est un azoture d'alkyle. C'est d'ailleurs pour cela qu'on a maintenent développé des antirétroviraux beaucoup plus chers, mais ne présentant plus cette fonction azoture, que toutes les études chimiques montrent comme détruisant le glutathion, dont Herzenberg et Montagnier tiennent la déficience comme le marqueur du sida. Mais que faut-il donc de plus aux responsables médicaux pour faire cesser ce scandale!
  5. Si, il y a eu une étude, l'étude concorde, que l'on peut retrouver à partir du site web suivant : http://arcat-sida.org/essais/essais.php et en entrant ANRS 002 dans la fenêtre de saisie "par nom/code" Ce qui me laisse rêveur, c'est que cette étude indique bien qu'il ne faut pas donner l'AZT en première instance, chez des personnes asyptomatiques, et pourtant, la moindre relation sexuelle non protégée, ou bien la moindre éraflure en milieu médical donne lieu à l'administration de combivir. C'est de la folie douce!!!
  6. Les adjuvants responsables ? Certes les organomercuriels peuvent peut-être interférer avec certaines métalloprotéines (par exemple, pourquoi le mercure ne remplacerait-il pas le cuivre dans le prion, permettant ainsi la disparition de cellules nerveuses, ce qui entraînerait l'autisme). Je me demande tout de même si le tripatouillage des protéines encodées par l'ADN retrouvé chez les personnes atteintes d'hépatite (et utilisées pour faire le vaccin), n'est pas à l'origine de réactions immunitaires incontrôlées, dont la nature dépend de la personne et de son histoire. Par contre, ce qui devient inadmissible, c'est l'ignorance des laboratoires d'analyse médicale, ainsi que des professeurs de médecine, en ce qui concerne les fausses positivités, qui ont été décrites dans la littérature. Là encore, absence d'esprit de synthèse et surtout d'esprit critique. Là aussi, dans un système qui a érigé la peur en principe de vie (?), ces médecins ne prennent aucune initiative qui pourrait compromettre légalement leur job (et on sait quelle est la pression qu'ils subissent).
  7. Le pire, c'est que lorsqu'on met en avant les études publiées dans les meilleurs journaux scientifiques, que l'on en fait une synthèse, au lieu d'en débattre, de rechercher des contre-preuves, la plupart ne répondent rien et tournent les talons. Sur D..., pas moyen d'avoir un adversaire efficace. C'est comme si le Sida (ou plutôt la peur de la maladie en général) avait anesthésié la pensée. C'est un véritable scénario orwellien.
  8. Et lorsque le gouvernement du Bénin fera passer à ces 2,4% le Western Blot, comme cela se fait en France, combien restera-t-il de vrais positifs?Sans doute 0,5%? Etonnant, tout de même, que les britanniques n'utilisent pas ce Western Blot, alors que toutes les autres nations industrialisées le font. Et il faut préciser que les anciens membres africains du Commonwealth en font de même, en tout cas pour la population noire. Si on étudie bien les chiffres, ce sont précisément ces nations-là qui ont les estimations de séropositivité les plus élevées. Ah! Glaxo-Wellcome, quand tu me tiens!
  9. Bonjour à tous, et bienvenue à toi, Mark. J'ai été introduit à la lecture de ton site il y a 3 ans, à propos de la signature de soutien au Président Mbeki. Ce que je lisais me laissait pantois. Il est vrai que j'ai une longue tradition de méfiance vis-à-vis de la recherche pharmaceutique, étant en contact avec elle de par mon métier. Donc je me suis vraiment laissé convaincre par les arguments des "repenseurs", d'autant qu'il y a beaucoup de grain à moudre. Un bémol cependant. En étudiant avec attention les propos des thérapeuthes du Sida, qui exercent en Allemagne, où la pratique de la médecine peut être faite par des non-médecins homologués (heilpraktiker), j'ai l'impression qu'il y a un point de non retour dans la consommation de drogues et de médicaments immunosupprsseurs (souvant des oxydants), ou dans l'immunodéficience liée à la malnutrition (et, j'en suis persuadé, aux traitements chimiques autorisés en Afrique et interdits en Europe). C'est pourquoi, si certains se trouvent bien dans l'arrêt de médications toxiques comme l'AZT, d'autres vont continuer à voir leur santé se dégrader, quoiqu'on fasse (ou qu'on ne fasse pas). Et cette dégradation inéluctable, elle peut être occasionnée par des substances chimiques simples, et en particulier les dérivés nitrés. A propos de dérivés nitrés, savez-vous que le Gaucho en est un, avec une suite du même genre que l'AZT : N-N=O au lieu de N-N=N- . Je précise, Mark, que je suis celui qui t'a plusieurs fois écrit au sujet des dérivés nitrés. Réponse de Roberto Giraldo, mais rien de Davis Rasnick, qui, par ailleurs, fournit toujours des articles très intéressants à Douglas Bishop sur http://www.aimoo.com/forum/categories.cfm?...tegoryID=184164 (attention aux spams)
  10. Le forum "doctissimo" vient de rouvrir. Je n'ai d'ailleurs plus envie de rien y poster, attendant simplement des réponses qui ne viendront sans doute pas. Plus intéressant. Le site suivant rapporte un article de l'Institut Pasteur, écrit par Luc Montagnier : http://www.pure-milk-calcium.com/Immunocal...20Institute.htm On peut y lire que l'infection à "hiv" est associée avec une déficience en glutathion, et donc qu'il y a bien association entre la maladie et le caractère oxydant du milieu. une étude qui montre parfaitement que l'AZT oxyde quantitativement in vitro les thiols, en donnant des composés tels que l'aminothymidine. Il a été montré par ailleurs que l'élimination urinaire de l'aminothymidine représentait 50% de l'AZT non rejeté directement. La conclusion logique qui s'impose est donc que l'AZT va consommer les thiols cellulaires, et donc le glutathion. Donc on a utilisé comme médicament anti-vih un médicament qui joue le même rôle que lui (si tant est qu'il s'agisse bien d'un virus, ce qui est de plus en plus improbable) : l'AZT booste le stress oxydatif, et il est donc logique qu'entre 1986 et 1993, où les doses d'AZT étaient 8 fois plus fortes qu'aujourd'hui, la mortalité des personnes malades du sida ait été si importante. Il y a bien d'autres études qui étudient la chimie de l'AZT, et qui montrent la même chose. Mais tout le monde fait comme si cela ne changeait rien à la thérapeutique.
  11. Je serais partant aussi, mais il faut savoir que la plupart des textes scientifiques sont en anglais, et la traduction, cela prend du temps. Il est vrai que j'en ai déjà récolté trois ou quatre cents.
  12. Un docteur en biologie de mes connaissances, qui travaillait dans un labo d'analyse, m'a rapporté, sans se douter que cela n'allait pas tomber dans l'oreille d'un sourd, que les tests vih étaient réévalués chaque année par l'AFSSAPS, avec des limites de détection de plus en plus hautes, à cause du grand nombre de faux positifs. La semaine suivante, il a refusé de me parler, en me regardant comme si j'étais un extraterrestre. Depuis, il a quitté la région. Que lui est-il arrivé???
  13. Renard, Je tiens à ta disposition le topic complet "A vous de voir" du forum D. Il est vrai que notre recherche est très perturbante pour ceux qui sont en plein dans les problèmes. Comment faire pour ne pas les blesser (je pense en particulier à Nikkkos, qui, même s'il est casse-pieds [mais qui ne l'est pas un tant soit peu], a tout de même reconnu que notre discours l'ébranlait) ? Par ailleurs, il est étonnant de voir des docteurs en chimie organique avoir des idées complètement différentes, par exemple Richard M., sur pageliberale, et David Rasnick. Je pense que l'un doit être plutôt spécialisé dans la synthèse protéique, l'autre (Rasnick) dans la synthèse chimique des médicaments. Ce sont deux univers différents, et le premier a dû endosser l'idéologie des biologistes pour travailler dans ce domaine. Quant à la recherche bibliographique que je continue, elle m'a permis de découvrir des publications très intéressantes, où l'on lit que l'AZT est réduit in vitro par les thiols, avec formation de composés réduits, tout en doutant que cela se fasse in vivo (encore la peur des tout-puissants labos). Leur sentence est d'ailleurs infirmée par les données de pharmacocinétique, qui indiquent la présence dans les urines de ces métabolites réduits. Il découle de leur étude que l'AZT oxyde tout thiol, ce que j'avais indiqué il y a un an, simplement sur la connaissance qe j'avais des propriétés oxydoréductrices de l'AZT. Je précise encore que le Glutathion est un thiol. article complet : http://www.jbc.org/cgi/reprint/269/23/15999 Malheureusement, même des pharmaciens montrent de l'incompréhension vis-à-vis de ces propriétés oxydantes, qui crèvent pourtant l'écran!!
  14. En essayant de retraduire les commentaires de E. Papadopoulos, la désignation de telle ou telle particule comportant des protubérances, qui apparaissent sur les photographies du plasma non purifié a été faite par analogie avec les aspects d'autres rétrovirus déjà purifiés. Cependant, lors de l'ultracentrifugation qui permet de séparer (théoriquement) les matériels rétroviraux du reste, on a trouvé des protéines (considérées comme les protéines du vih), à partir desquelles la chimie sait obtenir des anticorps, et de l'ARN, qui encode pour ces protéines, ce qui semble logique, que l'ARN soit d'origine endogène ou exogène. Par contre, ce n'est que depuis 1997 que l'on a réussi à photographier ce matériel, sans retrouver ce qu'on avait suspecté comme étant le rétrovirus, c'est-à-dire le sphères comportant des protubérances. Et le doute persiste, car les dernières photos laissent toujours planer le doute et l'incompréhension : "rétrovirus" sans capside, etc..., et les commentaires sont toujours au conditionnel : nous pensons que... ; il semble... ! Donc tes deux propositions sont possibles. Ce qui change actuellement dans le monde scientifique, c'est que beaucoup de chercheurs commencent à montrer que les oxydants, par eux-seuls, sont capables de faire apparaître, par des réactions chimiques non enzymatiques, des ARN qui semblent exogènes, mais qui sont en fait une réponse au stress oxydant. De toutes manières, la destruction des cellules lors du Sida n'est plus imputée directement au vih. On avance l'émission d'un signal chimique par le vih, qui provoqurait l'apoptose. Vous verrez, bientôt on dira que le vih produit du NO, selon un mécanisme qui restera bien sûr inconnu. N'est-il pas plus simple de reconnaître que c'est l'introduction dans les cellules de divers oxydants, qui provoquent l'augmentation du NO, comme cela a été souvent montré, qui est la cause du Sida. Pour les références, je les donneraisplus tard. Bonne nuit.
  15. C'est d'autant plus vrai que le nombre de publications dans les grands journaux scientifiques,qui montrent la correlation entre le déficit de cuivre ou l'excès de manganèse et la maldie de la vache folle, est de plus en plus important Par ailleurs, comme je l'ai écrit, ce ne sont pas les malades qui doivent souffrir de cette polémique, et pourtant ce ne doit pas être facile pour eux de se rendre compte que quelque chose ne tourne pas rond. Remarquer aussi que Chavir le biologiste moléculaire a explicitement reconnu qu'il n'avait aucune réponse aux objections que nous avons faites.
  16. Encore une ancienne étude (1997) dont on ne tient absolument pas compte dans les messages de prévention : http://aje.oupjournals.org/cgi/content/abstract/146/12/994 NB : NEP = Needle exchange programs En conclusion, la séroconversion est plus importante chez les drogués qui utilisent des seringues stériles que chez les autres. Cela corrobore nos doutes, mais ces études-là ne sont, encore une fois, ni discutées, ni prises en compte
  17. C'est ce qui attend tout le monde si le pouvoir politique continue à passer tranquillement dans les mains des "docteurs" en médecine, biologie, et en pharmacie. Je crois qu'il faut absolument porter le débat politique dans ce domaine, celui de la santé publique, car c'est par là que nous serons "orwellisés". Le clivage gauche - droite est bien entendu obsolète, c'est d'ailleurs la cause du désintéressement du peuple français pour la politique, car il sent confusément que ces deux positions politiques sont "bonnet blanc et blanc bonnet", comme l'a dit le candidat communiste à l'élection présidentielle de 1969. Car en fait, la gauche ne combat pas le capitalisme pharmaceutique, apeurée qu'elle est elle aussi par les "menaces" sanitaires qui apparaissent. Je doute même que la LCR le fasse, pas plus d'ailleurs que le FN. Et il n'y a pas que le problème de la santé, qui est certes le plus important, car c'est un bon biais pour asservir les consciences. Mais la pollution qui rejoint d'ailleurs la santé est un enjeu capital, de même d'ailleurs que la gestion des transports et de l'énergie qui en découle.
  18. (suite) L'hypothèse iatrogène et non hétérosexuelle permettrait de déculpabiliser bon nombre de séropositifs, d'autant qu'elle serait plus en accord avec l'épidémiologie, ainsi que l'a démontré à Bruxelles le Dr Stuart Brody de l'université de Tübingen. (Malheureusement le texte est ici en anglais)
  19. Chers tous Je vous livre ci-après l'intervention du Pr Luc Montagnier à ce colloque. Manifestement, l'intérêt du découvreur du vih se porte désormais vers les antioxydants, tout en précisant que cela ne suffit pas. Effectivement, j'ai lu le témoignage de plusieurs personnes séropositives qui ont arrêté les traitements antirétroviraux. Quelques mois après, malgré les antioxydants, les maladies opportunistes réapparaissaient. Ceci confirme bien l'avis d'un "Heilpraktiker" de Cologne dont j'ai déjà parlé ici (Wilfried Bales), qui indique que la séropositivité, quelle qu'en soit la cause (virale ou chimique), représentait une perturbation profonde et souvent "irréversible" de l'immunité personnelle. Wilfried Bales utilise d'ailleurs plusieurs méthodes thérapeutiques de longue haleine pour aboutir à une "guérison" D'où une méfiance à avoir vis-à-vis de l'arrêt du suivi médical. Je répète ici ce que j'ai trouvé sur le chloramphénicol, et qui devrait être valable pour nombre de substances (drogues ou médicaments) contenant la liaison N-O : Ces substances pourraient induire une dégradation irréversible de la santé (atteinte de la moëlle osseuse) indépendante de la dose et de la période de latence.
  20. Une intervention majeure d'Etienne de Harven, spécialiste en microscopie électronique des rétrovirus, à l'annexe de Bruxelles du Parlement Européen. *****************************
  21. Cher Aixur, Il est vraiment épuisant dessayer de parler des contradictions du sida à tous ces gens qui sont paralysés par la peur de la contamination, ou bien qui imaginent que nous leur voulons du mal, à ceux qui effectivement souffrent de la maladie. Je ne jetterai pas la pierre à Nikkkos qui est sans doute sous médicaments et pour qui la maladie est sans doute un moyen dexister (cela me fait penser à lattitude de Zachie Achmat en Afrique du Sud, qui, soit dit en passant, est sponsorisé par un important groupe de soutien aux firmes pharmaceutiques). Par contre, après avoir accumulé une quantité impressionnante de documents (officiels, lus et approuvés dans tous les journaux scientifiques), sur la mise en évidence du vih, sur la nature et la valeur des tests, sur la valeur de lépidémiologie du Sida et du vih, je tombe cette semaine sur des documents qui confirment par a+b la bourde du Sida (comme le disent Rasnick et de Harven). Ces documents (en particulier ceux écrits par des officiels africains) remettent complètement en cause la validité des estimations de lOMS, et pratiquement laccusent de mensonge éhonté. Si lOMS ment sur un sujet aussi grave, on peut vraiment se demander si elle ne ment pas sur toute la ligne (vaccins, médicaments en particulier). Par exemple, lattitude de lOMS sur lusage du chloramphénicol dans les pays en voie de développement est proprement criminelle. La question demeure : quel but poursuit lOMS ? Sous couvert dhumanitarisme, nest-elle pas en train détendre un flicage de toute la population mondiale, grâce à des tests qui vont devenir obligatoire si cela continue ? La peur que lOMS semble vouloir propager nest-elle pas destinée à sassurer que tout un chacun sempressera de passer sous les fourches caudines de ces tests. ? Et quelle meilleure maladie quune maladie sexuellement transmissible pour créer cette peur. Je suis affolé de voir la peur des gens qui écrivent sur doctissimo après une relation hétérosexuelle banale, alors que les probabilités de transmission fournis par le ministère de la santé sont ridiculement bas (5 pour 10000 dans une relation vaginale entre sérodiscordants). La moindre fièvre, le moindre petit bouton est assimilé au vih (même parfois sans relation sexuelle !). Le taux indiqué par le ministère est si bas quil peut dailleurs provenir de tout autre chose que dune relation sexuelle. Cest simplement parce que lon assume a priori quil y a transmission dune entité infectieuse par voie sexuelle ou sanguine que tout le monde lexplique ainsi. Personne ne se pose la question sur la causalité chimique. Pour avoir plus didées sur cette causalité, lire le texte de Duesberg, Rasnick et Köhnlein : http://www.sidasante.com/science/bioscience.htm Personnellement, jétendrais la notion de cause chimique à tous les médicaments qui favorisent un stress oxydatif, et les publications officielles à ce sujet ne manquent pas (je peux fournir les liens sur pubmed si vous le désirez). cordialement.
  22. Bien entendu, Jimmy, cela peut-être aussi dû à l'utilisation dans ces pays de substances toxiques qui agissent comme un virus, comme le chloramphénicol (j'en ai déjà parlé ici) Plus inquiétant pour tous ceux qui n'y croyaient pas jusque-là, et réconfortant pour tous ceux parmi nous qui nous soignons autrement, est le papier de l"Independent" de Londres où le responsable des labos Gloxo-Wellcome reconnaît que "leurs médicaments n'agissent pas chez la plupart des patients": http://news.independent.co.uk/world/scienc...sp?story=471139
  23. Les choses ne sont pas si simples. Les pays d'Afrique et l'Inde commencent à se démarquer des estimations de l'Onusida et à les remettre en question (voir l'article paru dans le Daily Nation du Kenya : http://www.nationaudio.com/News/DailyNatio...s081220035.html ) Les chiffres alarmistes de l'Onusida sont de plus en plus critiqués de part le monde et j'ai une tendance naturelle à faire bien plus confiance aux africains et aux indiens qu'aux blancs en blouse blanche (et pourtant, j'en suis moi-même un). Autres remises en question. Les estimations de l'Onusida sur la transmission hétérosexuelle du Sida sont battues en brèche par des scientifiques de plus en plus nombreux, qui indiquent que le Sida, selon les sources épidémiologiques actuelles, se transmettrait dans les pays en voie de développement au moment d'actes médicaux : http://www.newscientist.com/news/news.jsp?...p?id=ns99994442 Ils accusent carrément l'Onusida de mentir, preuves à l'appui. Même le journal allemand "der Spiegel" se pose la même question : http://www.spiegel.de/wissenschaft/mensch/...,276817,00.html Si l'Onu ment à propos de cette transmission hétérosexuelle, si elle refuse d'admettre (sans preuves) la transmission dans les dispensaires africaoins, si elle ment à propos des chiffres, c'est tout de même qu'elle poursuit un but dont elle ne veut pas se départir, non? Si tout ceci est mensonge, et il semble que cela soit de plus en plus évident pour tout le monde, pourquoi le reste concernant le vih ne serait-il pas mensonge éhonté aussi. Par ailleurs, si on lit l'article de l'Observer (GB) : http://observer.guardian.co.uk/uk_news/sto...1101680,00.html On se rend compte du mensonge des compagnies pharmaceutiques prêtes à tout pour vendre des "produits chimiques". Tout cela mis bout-à-bout, cela fait vraiment beaucoup de mensonges révélés en deux jours qui compromettent ceux qui publient les données dont tu parles. Y a-t-il une mafia médicale?
  24. Un nouveau pavé dans la mare provenant d'un journal officiel Kényan : http://www.nationaudio.com/News/DailyNatio...s081220035.html En gros, cet article remet carrément en cause les chiffres avancés par l'Onusida et l'OMS. On peut encore une fois se demander quelles sont les raisons de ces exagérations...
  25. Je ne sais si on peut faire confiance à une émission de TV comme "Urgences", mais il semble que les seuls antibiotiques puissants utilisés en Afrique (dans la dernière émission) soient de bons oxydants : chloramphénicol, métronidazole (dérivés nitrés) et surtout le cotrimoxazole (semblable au bactrim), auquel Heinrich Kremer et Stefan Lanka impute l'apparition de la séropositivité et l'aggravation du sida chez les homosexuels atteints de pneumonie. Franchement, à quoi jouent les ONG ? Ou bien sont-ils eux-même complètement manipulés?
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