Aller au contenu
forum sidasante

Cheminot

Modérateurs
  • Compteur de contenus

    1 484
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Cheminot

  1. Bonsoir Loki, Je te renvoie à cet article d'un des responsables kenyans de la surveillance du sida : http://www.nationaudio.com/News/DailyNatio...s081220035.html où il pose le problème suivant : En 1995, le nombre de séropositifs était de 30% de la population Ugandaise. Soit, pour une population de 17 200 000 à l'époque, 5 000 000 de séropositifs. En 2003, ce nombre représente 5% de la population, qui vaut 23 000 000 (soit une prpgression remarquable de 3,7% par an), donc environ 1 200 000 séropositifs. Matthew Black, qui exagère un peu ses chiffres, indique donc qu'il y a 6 000 000 de séropositifs en moins en 2003 qu'en 1995 ( je dirais plutôt 4 000 000, mais le problème est le même), et demande où sont passés tous ces gens. Sont-ils morts ? Ont-ils émigrés ? Sont-ils guéris ? Tout ceci est résumé dans son titre : Données sur le Sida : La plupart sont des mensonges, desmensonges éhontés et des statistiques. Alors, il est certain malgré tout que la séropositivité existe en Afrique, bien plus qu'en Europe, mais certainement de la manière indiquée par les médias. Elle est également liée à une dégradation progressive de la santé. Noter cependant qu'un groupe éminent de médecins et de sociologues (Gisselquist, Potterat, Brody) signalent que la transmission de la séropositivité se ferait certainement bien plus au moment d'actes médicaux que par transmission hétérosexuelle. http://www.cirp.org/library/disease/HIV/gi...isselquist1.pdf Pour eux, les injections seraient contaminées. Pour les repenseurs tels Eleni Papadopoulos www. theperthgroup.com ou Heinrich Kremer, c'est le contenu oxydant des seringues qui serait la cause de la chute des CD4 et l'apparition des protéines amenant la séropositivités - protéines que le sang de chacun d'entre nous véhicule, comme le montre l'étude rapide de la manière dont les tests sont faits, c'est-à-dire qu'il est déterminé un index [valeur attribuée arbitrairement = 1] au dessous duquel on est séropositif. Donc, ce sont les mêmes protéines qui colorient la solution en donnant une valeur d'absorption de 0,9, que cellent qui donnent une valeure d'absorption de 2. J'ai déjà mis en cause ici les dérivés nitrés, et je soupçonne particulièrement un imidazole nitré, le métronidazole (flagyl, très utilisé contre les vers en Afrique), dont on retrouve la structure dans l'imurel (ou azathioprine), qui est un agent immunosuppresseur puissant utilisé pour éviter le rejet des greffes.
  2. Bonsoir Daddou et merci pour ton témoignage. Si cela t'est possible et si cela ne te gêne pas, peux-tu nous dire si les médecins t'ont interrogé auparavant sur ta vie sexuelle, tes consommations? Par ailleurs, t'a-t-on donné les résultats chiffrés des tests ? Ne reponds que si tu sens que tu peux le faire. Merci!
  3. A la lecture de tout ceci, il me semble clair que l'essentiel pour être en bonne santé est que les quantités de tel ou tel composé doivent atteindre un niveau d'équilibre. S'il y en a plus ou s'il y en a moins, on tombe malade, parfois selon des modalités identiques. Je me demandais pourquoi la dose de lamivudine était si faible dans la trithérapie. La réponse est là: si on en donne de trop, l'effet inverse de celui attendu se produit, et le taux de thiols devient trop important. Depuis 200 ans, les homéopathes connaissent le phénomène de l'inversion de l'effet selon la dose... cordialement.
  4. Cheminot

    Capote en tube

    Je pense avoir trouvé une publication concernant cette affaire : http://www.pubmedcentral.nih.gov/articlere...gi?artid=166241 En fait, ce produit est un polypeptide (RANTES) sur lequel a été fixé (en position N-terminale) une chaîne carbonée portant deux acides aminés dont l'un, la thioproline, est soufré, obtenu par condensation en présence d'acide fluorhydrique de la cystéine sur le méthanal. En milieu faiblement acide, cette thioproline libère par réaction inverse de la cystéine. On retrouve là l'action des thiols sur le taux de P24. On a aussi vérifié que la thioproline permettait de piéger NO et les nitrites dans le corps. J'ai encore quelques formules chimiques à étudier pour tout comprendre, mais en tous cas, là encore, on retrouve nos fameux thiols.
  5. le plus simple à mon avis est l'hypothèse iatrogène. A force - de donner des substances immunodéprimantes aux personnes - vivant dans les pays en voie de développement, parce que bon marché (antibiotiques nitrés,...) - souffrant de maladies sexuellement transmissibles et étant donc soignées avec le même type de substances que précédemment. - d'absorber des substances immunodéprimantes (drogues telles la cocaïne, les poppers) - de recevoir des protéines coagulantes (donc oxydantes) dans le cas des hémophiles le système immunitaire est complètement raplapla et ne peut parfois plus se relever. A côté de cela, les diverses substances immunodéprimantes citées (et c'est prouvé) sont des oxydants qui forcent les cellules à se suicider. Cela crée un lit de cellules mortes propice au développement des mycoses (qui sont les principales maladies opportunistes). Cette déficience du système immunitaire et de cet état de "stress" oxydatif se manifeste par une perte de thiols (c'est encore prouvé), qui, transformés en sulfates, provoquent une diarrhée permanente. La-dessus, on ajoute l'AZT, qui a les mêmes propriétés immunosuppressives et oxydantes. Pas étonnant que toutes les personnes répertoriées dans les années 85-90 et qui ont suivi ce traitement soient mortes (sang "contaminé"). La lutte contre le sida semblait perdue, quand, ô miracle, apparaît la trithérapie. Mais comment agit-elle? On dit qu'il y a synergie,... mot bien vague et rappelant les reproches faits aux homéopathes qui parlent de médecine énergétique. Et tout le monde s'en contente, sans explication rationnelle. Pour moi, il y a une explication rationnelle à ce (relatif) succès : parmi les nouveaux antirétroviraux, se trouve celui qu'on donne maintenant systématiquement avec l'AZT, les autres tournant (ce qui prouve qu'ils n'ont pas grande importance). Il s'agit du 3TC, dant l'étude de la structure chimique montre qu'il est partiellement hydrolysé (cad coupé) en thiol dans l'estomac. D'ailleurs, on n'en retrouve pratiquement pas dans les excrétions, alors que lors de l'administration en IV, on en récupère 70%. C'est tout dire. Que les pharmaciens et les médecins ne veuillent pas entendre cela, cela se comprend, car cela remet en cause tout le beau consensus établi depuis 8 ans. En effet, le 3TC a à peu près le même effet que les autres antioxydants usuels, en dehors peut-être d'un transport plus facile dans le sang et les tissus à cause de sa structure voisine d'un nucléotide.
  6. Sauf que si elle a raison en disant que le sida ne vient pas d'un singe, elle devrait plutôt se demander comment on soigne les gens en Afrique. Il est tout de même curieux de penser que des sociologues, parmi les plus réputés, indiquent qu'une grande partie des séropositifs ont acquis cette séropositivité dans les hôpitaux africains, au grand dam de l'ONUSIDA: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...t_uids=15228728 http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...t_uids=15228726 http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...t_uids=15034989 Tout ceci conforte nos soupçons quant à l'échec des traitements allopathiques dans les pays en vois de développement.
  7. Cheminot

    SIda et Antibiotiques

    Tu peux aussi jeter un coup d'oeil à ce document, Diamant : http://www.beat-richner.ch/Publications/ri..._chlorampF.html C'est édifiant
  8. Cheminot

    SIda et Antibiotiques

    Apparemment, ce que beaucoup de médecins n'encaissent pas, c'est que les substances chimiques puissent provoquer des aplasies médullaires irréversibles, s'aggravant constamment, et sans relation dose/effet. Ils n'attribue ceci qu'aux virus et bactéries. En fait, on a montré (mais je n'ai plus la référence pour l'instant) que le choramphénicol avait une véritable action virus-like, et pouvait tuer des personnes plusieurs mois après la prise. Par ailleurs, l'action du métronidazole (flagyl) sur les T4 est impressionnant. On s'étonne que les africains soient immunodéficients.
  9. Cheminot

    SIda et Antibiotiques

    Bravo Terry, Un des antibios qui a mon sens est le plus dangereux est le chloramphénicol, retiré depuis une 20 aine d'année en europe et aux EU, mais prescrit massivement en Afrique, en Inde, etc..., selon les conseils de l'OMS. Or, le chloramphénicol a des propriétés voisines de celles des nitrites d'alkyle (poppers)... On peut mettre dans le même sac le métronidazole, utilisé en Afrique contre les vers! Vaut-il mieux avoir la typhoïde ou des vers, qu'avoir le sida ?
  10. Cheminot

    Sida et Polio

    où peut-on le trouver ?
  11. Cheminot

    Sida et Polio

    Mon cher DaK'az il est toujours plus simple de faire porter la faute à un individu qui aurait mal expérimenté, puis à u virus, qu'à son propre comportement et au comportement de la collectivité, principalement par rapport à l'utilisation sans discernement de toutes sortes de substances chimiques artificielles (qui comportent des liaisons qu'on trouve pas dans la nature) et bien sûr, oxydantes pour la plupart. Donc, même la théorie du virus propagé par les vaccins est à revoir. Et si ce n'était pas tout simplement le vaccin qui posait problème parce qu'il contenait des substances oxydantes. Dans le reportage, on ne parle pas de ce qu'on a fait "subir" à la préparation.
  12. intéressant! Toujours est-il que je ne trouve pas d'informations sur la composition du pao pereira, ni sur la structure de ses constituants.
  13. On avance, on avance...les choses se précisent peu à peu ! Merci. Mais l'idéal serait d'avoir quelques publications mainstream la-dessus!
  14. Bonsoir Jimmy, Voici quelques adresses : Dr. Juliane Sacher Ärztin für Allgemeinmedizin (Médecin généraliste) Krögerstr. 10 60313 Frankfurt/M Tel: 069 9218990 Internet: http://members.aol.com/SacherJu Wilfried P. Bales Heilpraktiker (non médecin. En allemagne, ces praticiens de la santé sont autorisés à soigner) Thielenstr. 29 50825 Köln (Ehrenfeld) Fon 550 40 40 Fax 550 55 44 Vorwahl 0221 http://www.heilpraxis-bales.de Malheureusement, la barrière linguistique est là ! Cordialement.
  15. Désolé, les amis, mais là, vous êtes un peu légers. On ne peut pas se mettre à la place de Jimmy. C'est lui qui souffre et pas nous. La séropositivité est sans doute due à autre chose qu'un virus transmissible. Soit. Mais ce n'est pas pour autant qu'il s'agit de quelque chose d'anodin. Sinon personne ne s'en serait préoccupé. Malheureusement, en France, il n'y a pas d'alternative raisonnée à la trithérapie. Ce qui n'est pas le cas, je l'ai déjà indiqué, en Allemagne. Ce que je critique d'abord, dans l'histoire du sida, c'est cette mise en quarantaine des personnes séropositives sous pretexte de contagiosité. Comme il semble assez clair que la maladie soit due à un stress oxydatif, de plus en plus présnet dans notre monde, et de plus en plus de personnes risquent de devenir séropositives, et être exclues. Il faut bien voir que, même si on essaie de manger bio, il y des risques auxquels on ne pense pas (certains antibios, la vie citadine et ses pollutions, ...), en plus des drogues, et peut-être même du sperme (selon Eleni Papadopoulos). Donc cette dégradation de la santé, qui nous menace tous insidieusement, est à prendre avec sérieux, mais en dehors si possible des usines à gaz hospitalières.
  16. N'oublie pas que les tests sont des test à limite : admettons que cette limite soit 1. Les documents internes indiquent que si le test donne 0,9 (c'est une donnée physique simple), tu es séronégatif. S'il donne 1,1, tu dois subir d'autres tests (Western Blot). Je crois que les labos prennent cela un peu à la légère, non!
  17. Bonjour Mark, Je ne suis pas tout-à-fait d'accord avec toi, et ce après avoir lu les documents de Heinrich Kremer et de Stephan Lanka. En effet, selon leurs travaux, le système immunitaire présente une défense de première instance caractérisée par l'activation des TH1 qui libèrent des oxydants (NO par exemple). Lorsque ce système est défaillant, la nature a prévu une seconde barrière, en gros celle des anticorps, avec activation des TH2 et des lymphocytes B. Un être humain vivant dans des conditions parfaites, où le premier système fonctionne bien, ne fabrique jamais d'anticorps. La fabrication d'anticorps est une manière de s'adapter aux conditions bien plus agressives qui nous entourent. Et je pense qu'il est mauvais de les faire apparaître artificiellement (vaccins). C'est tout au plus un moindre mal, et encore. Pour moi, quelqu'un qui a reçu un vaccin a un état de santé aggravé. Une femme enceinte en bonne santé ne présente pas d'anticorps. Mais une femme enceinte qui vit dans des conditions où il y a par exemple déficit en sélénium et en soufre, fera peut-être des anticorps contre les cellules de son bébé (si elles passent le placenta, ce dont je ne sait rien), au lieu de les contenir par le premier type de défense immuitaire (se rappeler par exemple que le glutathion est un transporteur de NO) amitiés
  18. Là, ADDTC, tu confonds les médecins et les laboratoires. Les premiers font ce qu'ils peuvent avec ce qu'on leur donne. Parfois ça marche, parfois non. Par exemple, il est clair, à la lecture des compte-rendu cliniques, que la lamivudine a révolutionné le traitement du Sida. Ceux qui cherchent des structures (le plus souvent de manière aléatoire), ce sont les chimistes. Tu me permettras donc d'avoir le droit d'approfondir les propriétés chimiques de ces composés, de me poser des questions sur certaines propriétés non déclarées, qui pourraient expliquer leur action autrement que selon le processus officiel (un antirétroviral qui va bloquer la chaîne d'ADN rétrotranscrite par la RTase du "virus" à partir d'un ARn attribué à ce virus. Et là, je suis tout de même frappé par l'impact énorme de la lamivudine dans la trithérapie, qui contraste avec la faible différence d'encombrement entre cette molécule et celles de la ddI ou du d4T pare exemple. C'est donc que ce sont ses propriétés biologiques, donc chimiques qui interviennent. Ce qui me gène, c'est qu'un chimiste digne de ce nom aurait déjà dû se poser ces questions, les approfondir. Et c'est là que le bât blesse, car à mon avis, une telle piste de recherche a très peu de chances de trouver un financement dans le contexte actuel. Et moi-même, en tant que chimiste indépendant, je n'ai pas les moyens financiers qu'il faudrait pour le faire correctement.
  19. Je suis désolé de repéter ce que j'ai déjà écrit ici, et qui a été contredit par plusieurs personnes. La séropositivité dénote un état de dégradation de la santé qu'il ne faut pas prendre à la légère. Que, au vu de la manière dont sont faits les tests (tests à limite et non noir ou blanc), on pense plutôt que cette séropositivité est due à une dégradation immunitaire provoquée par divers toxiques, cela ne change pas le fait que la maladie est là, et qu'une dégradation est toujours possible, surtout chez des personnes ayant utilisé auparavant un grand nombre de substances immunosuppressives (oxydants) (et pas seulement des antirétroviraux, dont un seul est un oxydant démontré, l'AZT). Je l'ai déjà dit, il y a un point de non-retour, que Mark par exemple n'a pas franchi. Et c'est d'ailleurs pour cela qu'un praticien responsable comme Wilfried Bales, à Cologne, se pose la question des traitements alternatifs. Quant à moi, j'ai tendance à penser que la lamivudine, dont le cycle cytosine lui permet de pénétrer plus rapidement à l'intérieur de la cellule que ne le ferait du N-acétylcystéine, y a une action antioxydante marquée, suppléant au manque chronique de thiols que l'on trouve chez les séropositifs. Conclusion, je réitère mon conseil. Va voir ce type de praticien (il y a aussi le Dr Sacher (c'est une dame) à Francfort)
  20. Bonsoir à tous. Pendant ces quelques 20 jours de silence radio, j'ai découvert certaines choses assez déconcertantes concernant le caractère "scientifique" des certaines affirmations des labos. Tout d'abord (je ne peux rentrer dans les détails techniques), la publication utilisée pour montrer chimiquement la notion de résistance aux antirétroviraux se contredit d'une page à l'autre. Elle met en avant des raisonnements contraires à la chimie la plus classique, simplement pour parvenir à l'explication recherchée. Et on appelle cela "science". Par ailleurs, je me suis rendu compte que la trithérapie, dont on met en avant la réussite relative (par rapport à l'ère AZT) pour contrecarrer les modèles dissidents, contient pratiquement toujours un médicament bien particulier, la Lamivudine (3TC). Et quelle est la différence entre la lamivudine et les autres "antirétroviraux" ? Eh bien c'est le seul "ARV" qui soit un antioxydant. D'une part, ses métabolites détectables sont des structures où la lamivudine est oxydée, contrairement à l'AZT dont les métabolites sont obtenus par réduction de celui-ci. Par ailleurs, ses propriétés chimiques font qu'elle doit normalement être partiellement hydrolysée dans l'estomac pour donner... des thiols, soit des structures semblables au glutathion, à la cystéine. Donc, la trithérapie consiste en fait à utiliser principalement deux substances (Combivir) qui vont se neutraliser (AZT et 3TC). Les publications que j'ai lues montrent d'ailleurs que le fait d'ajouter de l'AZT à un régime de 3TC diminuait la concentration de celui-ci : il est oxydé par l'AZT et donne des composés indétectables. Tout ceci montre que la "science" dont on nous vante les mérites pose aussi des problèmes. Mais ces labos ont le nerf de la guerre !!!
  21. Pour l'instant, je te dirais déjà de faire un traitement homéopathique : 3 granules par jour de Nux Vomica 7 CH au réveil. (acheter un tube de granules, ça coute 1,81 €), et vider le tube (il y a 80 granules et donc, tu en as pour 1 mois environ. Il faudrait ensuite aller voir un très bon homéopathe, qui s'y connaisse en ces maladies. Il y en a bien un à Cologne, en allemagne, mais, là aussi, il soulage ton porte-monnaie.
  22. Excuse-moi, pour l'instant, j'ai pas trop envie de débattre sur FS. Par contre, le dernier post du Dr Jag est complètement faux (10 à 60%). C'est vraiment un mythe. Il n'a évidemment pas bien lu le texte du ministère de la santé, ni pris connaissance des deux publications suivantes : http://www.sciencedirect.com/science?_ob=A...473311e2e6284b8 Probability of HIV-1 transmission per coital act in monogamous, heterosexual, HIV-1-discordant couples in Rakai, Uganda Ronald H. Gray & al. et : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...st_uids=9270414 Heterosexual transmission of human immunodeficiency virus (HIV) in northern California: results from a ten-year study qui se confirment mutuellement et indiquent un taux de transmission expérimental entre sérodiscordants de 1 pour 1000 environ. Alorts 600 pour mille, comme il le dit, cela relève du mythe.
  23. Tu les trouveras sur le site du ministère de la santé : http://www.sante.gouv.fr/pdf/dossiers/sidahop/ch16.pdf p 202 Il s'agit des probabilités de transmission par acte. A noter qu'on ne parle ici que de relations hétérosexuelles vaginales. Quand, sur FS génération, un Dr Jag parle de transmission hétérosexuelle, il confond les deux types de relations , vaginale et anale, qui présentent, du moins pour la partenaire réceptive, une ppa très différente (60 fois plus importante pour "l'anal receptif") Quant au nombre de séropositifs en France, le même Dr Jag estime leur nombre comme compris entre 61000 et 176000.
×
×
  • Créer...