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Cheminot

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  1. Disons plutôt : une hypothèse à laquelle on est obligé de tenir, car sinon, bon nombre de pans de notre société risquent de s'effondrer, et en particulier deux très importants : l'économie et la médecine. Les instances mondiales risquent elles aussi de voler en éclat.
  2. En toute conformité, en toute conformité... pas vraiment en réalité, puisque Luc Montagnier lui-même reconnaît qu'on ne sait pas encore aujourd'hui comment ce fameux VIH pourrait créer ce stress oxydatif intense!
  3. Psyence, Tu donnes le choix, dans ta recherche de la cause du Sida, entre un virus et le fameux stress oxydatif, que tu mets sur le même plan. En réalité, si tu étudies bien les publications récentes, celles de l'Institut Pasteur comme celle de Silvestri et al. citée par Wallypat, tu te rends compte qu'il est de plus en plus certain que le sida est provoqué par le stress oxydatif. Ce qui change par rapport à la position des "dissidents" que tu peux lire ici, c'est que les officiels cherchent à montrer qu'un virus, le vih, qu'ils pensent avoir purifié (et encore ce n'est pas ce que nous dit Luc Montagnier dans son interview à Djamel Tahi) est responsable de ce stress oxydatif et de l'activation immunitaire qui en résulte. La suite de causalités qui apparaît de plus en plus dans la littérature officielle est la suivante : VIH ->protéines oxydantes -> stress oxydatif -> apoptose -> déficience immunitaire contre les parasites intracellulaires. -> anticorps Pour les dissidents, on inverse le début : stress oxydatif -> protéines oxydantes -> apoptose -> déficience immunitaire contre les parasites intracellulaires. -> anticorps. -> VIH Il est clair que le stress oxydatif est le passage obligé, dans les deux cas, pour l'apparition de la déficience immunitaire, stress oxydatif devant faire apparaître du monoxyde d'azote et l'anion superoxyde en excès. Donc, toute substance qui provoquera du stress oxydatif ne pourra qu'aggraver la déficience immunitaire, et celà quel que soit le schéma retenu. Cela est vrai pour les drogues récréationnelles (poppers, méthamphétamine, cocaïne), pour lesquelles on a montré l'incidence favorisante sur la production du monoxyde d'azote, mais aussi les azotures, groupe qui comprend le fameux AZT. La pensée orthodoxe devrait se couvrir la tête de cendres en observant les 10 premières années de l'ère du sida, car l'erreur a consisté à penser que la nature des groupements permettant le blocage de la réplication de l'ADN "proviral" importait peu, alors qu'il est clair que dans le contexte récent, personne ne se serait permis d'évoquer l'utilisation d'une telle substance. Par contre toute substance permettant de contrer ce stress oxydatif et en particulier la surproduction de NO, retardera, voire empêchera l'apparition de la déficience immunitaire. Il en est ainsi de la N-acétylcystéine, qui diminue le NO libre en formant un composé S-nitrosé, mais aussi de la lamivudine, qui elle aussi, est réactive au monoxyde d'azote.
  4. Cheminot

    Oxyde nitrique

    Encore une autre étude intéressante qui montre que l'absorption de méthamphétamine augmente la production de monoxyde d'azote, et crée par la même la neurotoxicité du produit... et ceci explique très bien la forte corrélation entre sa consommation et l'apparition du sida.
  5. Une interview de Rebecca Culshaw pour Zenger magazine, où elle exprime ses doutes quant à la "compassion" de l'orthodoxie et montre limpidement que le "vih" est un moyen caché, pour la société américaine, d'exprimer son racisme et son homophobie.
  6. Cheminot

    Oxyde nitrique

    A propos d'oxyde nitrique, j'ai trouvé une publication qui montre que, in vivo, l'azoture de sodium semble être un donneur indirect de monoxyde d'azote : L'azoture de sodium étant moins oxydant que les azotures d'alkyle tels l'AZT, il y a de très fortes chances que l'on puisse montrer que l'AZT soit la source d'un excès de monoxyde d'azote.
  7. Melloute, vois ma réponse au post suivant de Pierrot. Tu verras que les substances qui présentent une certaine action sur la physiologie de l'être humain n'ont pas vraiment toutes les mêmes propriétés. Parfois même elles sont antagonistes. C'est le cas des oxydants et des réducteurs. Dans le premier groupe, je place le bactrim, le chloramphénicol, le flagyl, l'AZT,... Dans le second, on trouve l'emtriva, l'épivir, la N'acétylcystéine,... Il se trouve que, clairement, lorsqu'on prend les premiers, les maladies comme le sida apparaîssent ou s'aggravent. Quand on prend les seconds, la maladie Sida s'améliore, c'est tout. Et tu verras que les produits utilisés dans la trithérapie moderne font plutôt partie de la seconde catégorie (avec des effets secondaires, certes), alors que la thérapeutique du début du sida, c"éait bactrim, métronidazole, AZT.
  8. Bien évidemment, Pierrot. Il est normal que tu sois bien amélioré. A mon avis, l'emtriva, grâce à sa patie fluorocytosine, peut rentrer sans problème dans la cellule, et, en présence des composés électrophiles - qui agissent alors comme catalyseurs - crées par le stress oxydatif qui te rend malade, va pouvoir développer ses propriétés réductrices et réduire ce stress oxydatif cellulaire. Il est évident que tu te portes alors bien mieux. Tu ne prends plus d'AZT, et c'est un bien. Le viread est aussi un réducteur, comme tout composé présentant une liaison carbone-phosphore. Mais les phosphonates sont par ailleurs extrêmement toxiques. L'efavirenz (stocrin) présent comme métabolites des composés d'oxydation en deux endroits différents. Il agit donc également comme réducteur au nveau cellulaire. Donc l'impact très positif de ces médicaments peut très bien s'expliquer dans l'hypothèse du stress oxydatif.
  9. juste une petite chose. l'expérience des médecins dans les pays en voie de développement montre que des substances oxydantes azotées tel le chloramphénicol, utilisées par exemple pendant 15 jours pour une typhoïde, peut provoquer la mort par disparition des globules blancs après 12 mois d'apparente guérison. Il y a donc une perturbation irréversible du système immunitaire qui est provoquée par ces composés qui se comprortent donc comme des "virus lents". Une des conclusions qui s'impose est que ce qu'on appelle virus lent est peut-être tout simplement cette perturbation irréversible du système, qui fait apparaître ces symptômes au bout d'un temps plus ou moins long.
  10. Pierrot, confirme-moi. Tu prends bien de la lamivudine (3TC, épivir) ou de l'emtricitabine (FTC, emtriva), parmi tous ces médocs?
  11. Ai-je fait une erreur de lien, Maximus?
  12. En Fait, Klaus Köhnlein reprend ce que nous savons tous déjà ici, il n'y a pas de nouveautés particulières. Ce qui est nouveau, c'est que cela passe sur les chaînes officielles des Länder allemands (Schleswig-Holstein et Saarland). L'émission de la SR2 est intéressante car les auditeurs ont interrogé Klaus Köhnlein et j'ai pu remarquer que ces auditeurs connaissaient bien leur byzance : le nombre de personnes connaissant les problèmes liés à la mise en avant des virus comme cause de presque tout est impressionnant en allemagne. Je rappelle que le titre de son bouquin est "Virus-Wahn", c'est à dire "la Folie des virus"
  13. Les termes choisis par Wallypat sont effectivement très intéressants, car, ainsi que j'ai pu le constater, si d'aucuns refusent jusqu'à l'hypothèse cofactorielle de Luc montagnier en ce qui concerne le stress oxydatif, c'est tout simplement pour éviter que l'on impute aux comportements de chacun une des causes du sida. Il s'agit bien de déresponsabiliser les personnes. Et Wallypat nous a bien montré que cette responsabilité existe et n'est pas des moindres. Car si l'on jette un coup d'oeil sur cette étude, on constate bien que les comportements jouent un grand rôle dans l'apparition de la séropositivité, et en particulier les composés qui favorisent la formation excessive de NO : sildénafil (viagra), amyl nitrite (poppers) et méthamphétamine.
  14. Cette fois-ci, un pas est franchi. Deux interviews (en allemand) ont été donnés par le Dr Klaus Köhnlein à des radios ou télés régionales allemandes : La Nord Deutsche Rundfunk (Kiel, dans le Schleswig-Holstein) et plus près de nous, la Saarländische Rundfunk (Tout simplement Sarrebruck, à 10 km de la France) Le Dr Köhnlein écrit aussi dans Rethinking Aids
  15. Certainement pas, il faut faire passer cela en douceur, et éviter les procès du genre Thalidomide ou Distilbène.
  16. D'abord il n'y a pas d'enrôlement de femmes avec placebo. Il ne s'agit donc pas d'un vrai double aveugle. Ensuite, il est normal que la nevirapine diminue le taux de séropositivité, car c'est un réducteur (ses métabolites sont des phénols), l'AZT étant, lui, un oxydant (ses métabolites sont des amines et des alcènes). En ce qui concerne l'allaitement, cette étude applique des méthodes en contradiction avec d'autres études plus récentes.
  17. Il faut se rendre compte que le site Sidasanté a été mis en place par Mark avant 1996, en particulier avant l'utilisation de la lamivudine dans la trithérapie. Et lorsque le traitement consistait soit en l'AZT seul, soit en AZT + ddI ou d4T. Les critiques de l'époque étaient à mon avis justifiées, simplement en constatant que la mortalité des gens traités ne cessait d'augmenter. Les "dusbergiens" avaient raison à l'époque, du moins en ce qui concerne la toxicité de l'AZT. Le problème est qu'ils n'ont pas varié d'un pouce en ce qui concerne l'efficacité des traitements officiels, alors qu'il est clair que les trithérapies (qui contiennent toutes sans exception de la lamivudine ou de l'emtricitabine, je le rappelle) ont révolutionné le traitement du sida. Il serait bon qu'Aixur fasse un tri entre les critiques de l'hypothèse VIH->Sida et les critiques des traitements, en ne laissant pas le lecteur croire que la trithérapie n'a pas eu d'impact positif. Cependant, le "côté obscur" de la trithérapie est l'utilisation de l'AZT, qui ne peut qu'être source d'ennuis à long terme. Actuellement l'AZT est de plus en plus mis de côté, et c'est certainement un bien. Par exemple le traitement proposé en Afrique n'en comporte plus. A mon avis, on a dû en haut lieu se rendre compte de l'erreur commise, mais grâce à la trithérapie (qui l'a combiné avec la lamivudine et autre chose), on a pu éviter le scandale que le dévoilement de sa toxicité aurait créé. Dans cinquante ans, on pourra en parler ouvertement.
  18. Bonjour à tous, ayant pris quelques jours de vacances, je vous livre quelques réflexions en vrac. Je voudrais aussi m'excuser pour la même raison de n'avoir pas répondu à certains messages personnels, qui posaient quelques questions qui ont d'ailleurs reçu réponse sur le forum depuis. Wallypat : Oui, et là est le problème fondamental, me semble-t-il, car cela implique de reconsidérer la responsabilité personnelle de chacun ou celle du corps médical dans l'apparition de la maladie. Pour de nombreuses personnes, il est hors de question de mettre en cause les comportements, et l'hypothèse virale dédouane tout le monde, sauf bien sûr l'africain qui a "contaminé" quelques blondes.
  19. Un petit exemple. Un de mes enfants, qui a maintenant 20 ans, ramène un bon rhume du lycée à 16 ans. Fièvre... et absence de soif remarquable. Pour moi (et pour tous les homéopathes) le remède ne peut-être que Pulsatilla... et je me dis, comme ça, qu'il a peut-être la rougeole, car Pulsatilla en est un des remèdes les plus probables. Effectivement, 2 jours après, le rash cutané caractéristique apparaît, avec les points de Koplick dans la bouche. Je continue bien sûr Pulsatilla à raison de 2 prises de 7 CH par jour, et deux jours après, plus rien. Evidemment, le diagnostic "moderne" de la rougeole nécessite une sérologie qu'on fait 3 jours après le fin de tous les symptomes : taux d'anticorps très élevés, typiques d'une primoinfection rougeoleuse. Mon toubib me dit texto : aujourd'hui, lorsque j'ai un cas de rougeole, je réviens mes jeunes confrères qui sont en demande de ce type de cas pour apprendre à le diagnostiquer. Voyez où on en est aujourd'hui, les médecins ne savent plus faire la part des choses entre une rougeole, une scarlatine, une rubéole... et pourtant, ce n'est pas vraiment compliqué à distinguer.
  20. Oui, hum!! Que dire de les soit-disant étonnants réultats (à ses propres dires) de l'étude faite par le Dr. Anant Pant de l'université de Berlin : http://www.fu-berlin.de/presse/fup/fup99/fup_99_226.html (au bas de la page) Je cite : Je vous laisse apprécier.
  21. En tous cas, Yougo, je te remercie car tu m'as permis de trouver ce fameux document où il est indiqué que ce n'est pas en tant qu'inhibiteur de la rétrotranscription que l'AZT agit, mais bien en tant que dénaturant protéique. Tous les docteurs en biologie que j'ai contactés à ce sujet n'ont pu qu'en convenir.
  22. Je viens de tomber sur une étude dont l'abstract et l'introduction me laissent baba!! : Lorsque la thymidine (avec le OH en 3') est substitué en 4' par l'azoture, on obtient un composé qui est presque aussi efficace que l'AZT vis-à-vis de l'action de la rétrotranscriptase. Ils indiquent eux-mêmes : Ce qui veut dire en gros que ce n'est pas la position de l'azoture qui importe, c'est sa présence qui, à elle seule, assure cette efficacité (par son pouvoir oxydant bien sûr). Par ailleurs, pour essayer de comprendre le mécanisme de cette efficacité par des considérations alambiquées de biologistes, ils ont fait la même opération que dans l'étude citée dans mon post précédent. Ils ont purifié l'ADRT par HPLC, mais ils n'ont pas fait de spectro de masse pour vérifier qu'il s'agissait encore de l'azoture. Donc, on peut considérer comme très improbable l'explication qu'ils donnent. Et bien sûr, le principe du Rasoir d'Ockham donne raison à l'explication toute simple donnée plus haut : c'est l'azoture, qui, en dénaturant la rétrotranscriptase par oxydation, lui fait perdre son efficacité.
  23. Bien sûr, vous auriez le droit, vous biologiste, de mener vos investigation sans devoir obéir aux règles de la physicochimie. Cela me rappelle une étude concernant l'AZT et ses propriétés antifongiques et antibactériennes, où, pour suivre correctement l'impact de l'AZT, son OH en 5' était d'abord oxydé par le réactif de Sarett, puis il y avait réduction par le borohydrure tritié, de manière à obtenir un 3H sur le carbone en 5'. La méthode de vérification était une simple CCM, avec en plus des Rf un peu différents (0,36 pour le produit final, 0,33 pour l'AZT). Pas de GCMS oude LCMS. (Bon j'avoue que j'y vais un peu fort avec ces méthodes couplées, parce que les appareils de l'époque venaient juste d'être mis au point, mais la spectro de masse, c'est du bon et du connu, même en 1986, et surtout en Virginie! LOL!) Evidemment, ils ne se sont même pas préoccupé du fait que, si le borohydrure est rarement utilisé pour réduire les azotures en amines, ce n'est pas parce qu'il n'a aucune action, mais c'est parce que souvent, on récupère des alcools, et que les rendements en amines sont très aléatoires. Bien sûr, avec ce produit, ils ont montré qu'il n'avait pas d'effets mycostatiques. Mais était-ce encore de l'AZT? Et cela a été publié sans coup férir!!! ça, c'est du f...age de g...le.
  24. Mais c'est très bien ainsi, Pikpikandré. Chacun apporte des sources diverses, mais convergentes.
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