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forum sidasante

aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Je suis quasi sur que c'est un homme, vu sa façon de se comporter. Et on pourrait rajouter, un homme qui est très certainement payé pour faire ce qu'il fait.
  2. Deux nouveaux articles : Un de Cheminot sur le fait que la molécule 3TC serait comme un antidote de l'AZT. http://www.sidasante.com/azt/lamivudine_et...ine_et_sida.htm Et une traduction de l'article "the last debate" qui parle de l'isolement du VIH (assez détaillé. Et aussi assez technique vers la fin). http://www.sidasante.com/themes/isolement/...rnier_debat.htm
  3. Pour en revenir aux tests de controle, qui sont donc LE problème des procédures d'isolement, il est évident que puisque c'est impossible à faire, soit on en fait pas (comme je l'avais dit plus haut), soit on les truande. En faisant la traduction d'un texte du groupe de Perth sur l'isolement du VIH (the last debate), j'ai trouvé un exemple de test de controle. Il a été réalisé durant la procédure d'isolement du virus tentée (et non réussie évidemment) en 1997. Bon, comme on connait la fin de l'histoire, on sait que, forcément, la procédure de test de controle est bidon. Voici ce qu'en dit le groupe de Perth : Donc, bien sur, il a finalement été montré (par des dissidents je suppose) qu'on obtient la même chose dans la purification venant de la culture sans virus que celle venant de la culture avec virus ; donc, que le test de controle contient le même "virus" que la culture initiale. Mais, ce qui est intéressant, c'est la précision sur le fait qu'il y a "des différences significatives dans l'histoire et le mode de préparation des cultures de cellules H9 non infectées et "infectées". Ca veut dire que les deux cultures ne sont pas réalisées à l'identique. Et le fait de ne pas les faire à l'identique ça veut dire tout simplement qu'on triche sur la procédure. Donc, ça va dans le sens de l'idée que soit on ne fait pas les tests de contrôle, soit, quand on les fait, on pratique des petites truandes qui vont donner le résultat voulu. Par exemple, on peut penser qu'il suffit d'obtenir des particules de taille virale dans le test de controle, mais avec un ARN ou des protéines de surface légèrement différents pour pouvoir dire qu'il n'y a pas "le" virus dans le test de controle. On va dire qu'il y a un virus dans le test de controle, mais comme ce n'est pas le même virus, on se fout de sa présence. Bon, malgré la truande, on arrive quand même à prouver qu'il y a le même virus dans le test de controle que dans la culture intiale (celle avec le "virus"). Donc, la truande n'est pas forcément efficace. Mais pour un regard non averti, ça pourrait l'être. Et ce qui est important, c'est le fait qu'il y déjà eu au moins une truande de réalisée. Parce qu'alors, l'idée que soit on ne réalise pas le test de controle, soit on le truande, n'est plus une simple idée en l'air.
  4. Ben, les cd4, ça ne signifie rien, vu que les cd4 mesurés ne représentent que 2 % de tous les cd4 du corps humain. Et la charge virale, ça ne signifie rien non plus, vu que c'est sensé mesurer la quantité de VIH et que du virus, il n'y en a pas. A part ça, je ne vois pas quelle autre analyse on fait qui serait directement liée au VIH.
  5. Le premier test a été faussé par sa grossesse. Mais le second va être faussé par le premier test si on le fait faire par des gens qui connaissent le premier résultat. Une fois déclaré positif, les autres tests seront pratiquement toujours considérés positifs. Il faudrait aller dans un centre de dépistage anonyme pour être sur de ne pas avoir ce problème. Cela dit, comme c'est basé sur des protéines que tout le monde possède en plus ou moins grande quantité, il suffit qu'une personne en possède plus que les autres (à cause de son alimentation, de son mode de vie, ou à cause de la généntique, etc...), pour qu'il fasse réagir le test plus fortement. Donc, il est possible que pour certaines personnes, il soit plus difficile de faire réagir négatif le test que pour d'autres. Quoique, à mon avis, ça ne doit pas être impossible. Je pense que quand on réagit positif, on peut, avec certaines méthodes, faire réagir le test négativement et inversement, quand on réagit négatif, on peut faire réagir le test positivement.
  6. Ca c'est sur. Mais, à mon avis, tout le monde la gadera beaucoup mieux quand on aura arrêté de donner des médicaments pour des virus qui n'existent pas.
  7. Le hasard fait bien les choses. En présentant un début d'argumentaire sur Aids Myth Exposed, Chris, un des modérateurs, m'a renvoyé sur deux pdf présentant des travaux d'isolement de virus datant de 1973. L'un d'entre eux, celui de Toplin, va dans le sens de l'hypothèse que j'ai faite à propos du fait que les purifications pures à 99 % viennent à priori directement du sang, ou du plasma, etc..., d'une personne (ou d'un animal ou d'une plante). A la fin de la page 2, il dit (traduction plus bas) : "in general, cell culture systems for the propagation of tumor viruses have the following advantages : Readily expandable volume, Control of contaminating viruses, Can swith to different viruses quickly, less cost per volume (not necessarily less cost per virus). In contrast, viremic animal fluids and tissues generally contain : higher virus concentrations, higher biological activity per virus particle, less cellular contamination (serum and plasma)." Traduction "En général, les systèmes de culture de cellules pour la propagation des virus de tumeur ont les avantages suivant : volume aisément extensible, control de la contamination du virus, on peut passer à différents virus rapidement, moindre cout par volume (pas nécessairement moins de cout par virus). Par contre, les fluides et les tissus d'animaux contenant des virus contiennent généralement : une concentration en virus plus importante, une activité biologique plus élevée par particule de virus, moins de contamination cellulaire (serum et plasma)." Donc, c'est bien ça. Les fluides venant directement des personnes ou des animaux contiennent une plus grande concentration en virus et une moins grande contamination cellulaire. Donc, il est clair qu'il est beaucoup plus facile d'obtenir une purification pure à 99 % avec ça. C'est vrai que ce problème des 99 % n'est pas une faille en soi. Mais c'est tout de même très important. Parce que ça représente un très gros écran de fumée pour la compréhension des failles de la méthode d'isolement. Sinon, sur le premier pdf, celui de fitoussi, je n'ai pas l'impression qu'il parle d'expérience de controle. Et il s'agit apparemment d'un isolement avec culture de cellules. Cela dit, le pdf est de très mauvaise qualité. Mais, j'ai quand même réussi à lire à peu près ce qu'il y avait. Donc, je ne pense pas me tromper. La page vers les pdf : http://www.theperthgroup.com/OTHER/Spectra.html
  8. Moi, je verrais bien des banderolles sur des ponts d'autoroute (une première sur un premier pont pour apater le chalant, puis une deuxième, donnant les coordonnées de sidasante ou quelque chose comme google sida + dissidents) ou sur une nationale. Ou une banderolle sur un immeuble bien en vue dans une ville importante.
  9. Ca y'est, je crois que je vois où se situent les faiblesses de la procédure d'isolement des virus. En fait, je crois que le problème se situe dans la culture de cellules in vitro : cette méthode produit plein de débris celllulaires d'une taille comprise au moins entre 50 et 500 nm. Ca entraine que les particules de taille virales ne représentent qu'un faible pourcentage du total du matériel purifié. Ca entraine surtout qu'on doit toujours trouver quelque chose quand on cherche un virus. Et ça entraine donc que les expériences de controle sont non valides et ne doivent pas être faites puisqu'elle ne peuvent être que positives. Si on fait une expérience de controle, que va-t-il se passer ? Comme la culture de cellules produit des particules de tailles comprises entre 50 et 500 nm, il va très probablement y avoir aussi des particules d'une taille comprises entre 100 et 120 nm, taille à laquelle on considère que les particules sont virales. Donc, l'expérience de controle va montrer qu'il y a production de particules de taille virale, donc qu'il y a des virus. Ca va être vrai si on utilise le microscope électronique, ça va l'être encore plus si on utilise simplement la méthode des gradians de densité, qui ne permet pas de faire la différence entre les particules de taille de 100-120 nm et celles de 50-500 nm. Donc, puisque l'expérience de controle est toujours positive (on trouve du virus) on ne va probablement pas en réaliser lorsqu'on utilise une culture de cellules. Donc, sans expérience de controle, la méthode d'isolement du virus est non valide. La seule situation où on va pouvoir faire une expérience de controle, je pense, c'est si on prend du sang directement d'une personne malade et d'une personne non malade. Il est possible qu'une personne non malade ne possède pas de particules de taille virale dans son sang. Donc, dans ce cas, on va éventuellement pouvoir conduire une expérience de controle. Ce qui servira à justifier de l'existence de ce genre d'expérience par ailleurs. On pourra dire "si si, on fait des expériences de controle". Mais on oubliera de dire qu'avec une culture de cellule, on n'en fait pas. Ce qui change tout. Parce qu'il n'y a que la culture de cellule qui permet de dire qu'il y a réplication des particules de taille virale. Ce qui crée en partie un écran de fumée sur la validité de l'isolement quand on lit des documents sur les procédures d'isolement de virus, c'est le fait qu'on nous dit qu'on obtient des cultures purifiées à 99 %. Il y a 99 % de particules de même taille et de même forme dans ces échantillons purifiés. Donc, on pense que 1) la méthode de purification par ultricentrifugation et gradient de densité est très précise et 2) que la méthode d'isolement globale est bonne ; vu qu'on a réussi à obtenir 99 % de particules d'une taille comprise entre 100 et 120 nm. Alors, pourquoi touve-t-on des purifications pures à 99 % ? Je pense que c'est parce qu'il y a énormément de particules de tailles virales dans le sang dans le cas de certaines maladies. En effet, les purification pures à 99 % semblent toutes venir directement du sang d'une personne ou d'un animal (ou de la sève d'une plante), sans qu'il y ait besoin de faire une culture de cellules avec ce sang. Et peut-être bien que dans le sang, il y a beaucoup moins de débris cellulaires comme il y en a dans les cultures cancérisées. Donc, s'il y a beaucoup de particules de tailles virales, on va réussir à en trouver 99 % dans la filtration. Tandis que quand on fait des culture cancérisées, certaines cellules doivent mourir et alors, exploser ou se décomposer, et engendrer tout un tas de débris sédimentant à la taille du matériel viral. Donc, on a 99 % de matériel de taille virale dans un cas de figure tout à fait particulier. Et on va avoir des échantillons purs à 99 %, mais seulement à la première étape de l'ensemble de la procédure (qui inclue 1er isolement directement du sang du patient ou avec une culture de cellules, puis réplication du virus avec une culture de cellules et enfin, isolement du virus "répliqué"). Et ceci, seulement pour certaines maladies je suppose. Pour ces cas là, il y a déjà beaucoup de particules d'une taille comprise entre 100 et 120 nm dans le sang et peu de particules de tailles inférieures ou supérieures. Donc, on va obtenir un échantillon purifié très pur. Et le test de controle avec des personnes, des animaux ou des plantes non malades va donner un échantillon sans grand chose dedans. Donc, à la première étape, les choses sont clean, lisses. Aucune aspérité ne vient troubler l'idée que la méthode est bonne. C'est lors de la deuxième étape (qui peut devenir par certains cotés la première si l'obtention d'un résultat est difficile avec la première étape) que les problèmes apparaissent. Lors de cette deuxième phase, il faut passer par une culture de cellules. Le problème, c'est que cette culture de cellule engendre plein de débris cellulaires de tailles diverses, dont des tailles comprises entre 50 et 500 nm (suivez mon regard). Donc, apparait un problème avec la méthode de purification par gradiant de sucrose. Vu que la méthode n'est pas assez précise, les particules de taille virale (100-120 nm), sont forcément noyées parmi plein d'autres. Donc, avec une culture de cellule, on ne peut plus avoir une purification pure à 99 %. Et également, on a quasiment obligatoirement un résultat positif (c'est à dire qu'on trouve forcément quelque chose avec la méthode des gradiants de sucrose), avec ou sans introduction de virus. Donc, impossible d'avoir un test de controle, vu qu'on va forcément trouver quelque chose aussi avec le test de controle. Donc, on ne peut pas faire de test de controle. Donc, impossible de savoir si les particules virales identifiées lors de la première étape se répliquent vraiment ou si elles sont produites par les cellules vu qu'on ne sait pas si dans un échantillon sain, sans virus, il y aurait production de virus par les cellules ou pas. En d'autres termes, impossible de savoir si 1) le virus est endogène et produit par les cellules, sans qu'il y ait besoin qu'on introduise un virus au départ ; ou 2) s'il s'agit simplement de débris cellulaires ; ou 3) s'il est exogène et réplicant. Donc, on ne peut avoir 99 % de matériel de taille virale que lors de la première étape. Dès la deuxième étape (quand il y a culture de cellules), ce n'est plus le cas. Par ailleurs, au passage, petit détail, il semble bien qu'on ne compte pas les particules de taille virale lors de l'introduction dans la culture de cellule et après purification. Donc, impossible de savoir s'il y a vraiment eu augmentation du nombre de ces particules et donc, s'il y a eu réplication. Donc, en résumé : 1) La culture de cellules in vitro engendre des débris cellulaires d'une taille approchant celle des virus (entre 50 et 500 nm, alors que celle des virus est de 100-120 nm). Donc, on ne voit pas pourquoi ça ne produiraient pas des particules entre 100 et 120 nm. Donc, il doit toujours y avoir des particules de tailles virale de produites dans ces échantillons. 2) Donc, les tests de controle ne peuvent être conduits puisqu'ils ne peuvent réagir que dans un seul sens (positif), alors que la condition pour qu'ils puissent être considérés comme tests de controle est qu'ils puissent réagir positif ou négatif. On pourrait faire un test au microscope électronique. Mais dans la mesure où on doit toujours trouver du matériel de taille viral, je pense qu'on ne doit pas les faire (les seules fois où on doit les faire, c'est quand on analyse directement le sang de personnes malades et en bonne santé). Si on utilise la méthode moins précise de l'observation des bandes de gradient de densité de sucrose, alors là, vu tout le matériel autre que les particules de 100-120 nm qui sédimentent à l'endroit où sédimentent aussi les virus, on est encore plus sur d'obtenir toujours un résultat positif. Donc, rebelotte, on ne doit pas faire de test de controle. 3) Comme les tests de controle (qui doivent montrer qu'après culture sans virus, il n'y a toujours pas de virus) sont indispensables pour valider le travail d'isolement, et qu'on ne peut pas les réaliser, la méthode d'isolement n'est pas valable. 4) On ne peut donc pas dire que les particules de taille virales se réproduisent dans les cultures contaminées 5) L'obtention de cultures puririfiée pures à 99 % ne s'obtient, à mon avis, que quand on purifie directement le sang d'une personne. Dès qu'on passe par une culture de cellule, à priori, c'est foutu. Si tout ça se confirme, la procédure n'est pas valable. Et toute la virologie est caduque (et pas seulement celle des 30 dernières années, comme l'avait montré de Harven).
  10. Je crois que j'ai trouvé où se situe les faiblesses de la procédure d'isolement des virus. Il se pourrait bien que ça se situe au niveau de la faible précision de la méthode de purification par gradiant de densité de sucrose et dans le fait que les cultures de cellules engendrent de nombreux débris.
  11. Ouai, pour le mois d'août, ils n'ont peut-être qu'un stagiaire pour s'occuper de la maintenance des forums.
  12. Oui, on n'a plus de nouvelles depuis pas mal de temps. J'espère qu'il ne lui est pas arrivé le même genre de truc qu'à Mark. Il avait pris des antibiotiques lui aussi. Mais, je me souviens qu'il nous avait fait un petit coucou quelques mois plus tard. Dak'az aussi, on ne sait pas ce qu'il est devenu. Ouai, c'est vrai qu'on avait bien bossé sur Doctissimo. Il y avait aussi Cheminot. Cela dit, les résultats avaient été quasi nul. Je ne crois pas qu'on ait gagné qui que ce soit à notre cause via Doctissimo. Comme quoi, ce qui a déjà été dit sur l'état d'esprit des gens qui interviennent sur doctissimo est assez vrai. C'est pas la curiosité qui les étouffe. Enfin, c'était spécialement vrai sur ce sous-forum. A d'autres endroits, c'était moins le cas. Je me souviens aussi d'un des derniers topic sur la dissidence. Le docteur Dupagne faisait bien le malin face à des gens qui n'avaient découvert le sujet que récemment et donc, le maitrisaient mal. Et puis, un mec est arrivé qui maitrisait assez bien le sujet. Maniant aussi bien l'art de la retraite stratégique que celui de faire le fier face à des gens mal informés, le docteur Dupagne a fermé le topic au bout de seulement deux messages du gars en question. Ce qui m'a fait penser à une des chansons de "Sacré Graal" : Brave sir Robin ran away, bravely ran away away.
  13. C'est un point de vue. Mais bon, il ne faut pas exagérer non plus. Je possède chez moi la synthèse des travaux de l'équipe Beljanski à l'institut Pasteur (dont Montagnier a tout piqué...) et passer 40 ans de sa vie sur des virus qui n'existent pas, c'est un peu dur. Bah, y en a bien qui ont passé 20 ans sur le VIH. Ce que nous a montré l'histoire du VIH, c'est qu'on peut très bien travailler pendant 20 ans sur des particules qu'on croit virales, alors qu'elles ne le sont pas. Il suffit que la procédure d'isolement soit foireuse.
  14. J'ai traduit l'article de 1997 de Papadopulos et de ses collègues "Critique de l'évidence de l'isolement du VIH". Comme je le dis sur le site, l'article me semble plus didactique et synthétique, tout en étant plus exaustif que ce qu'on avait jusque là en français qui consistait soit en des interviews, soit en une suite de considérations sur les travaux d'isolement, mais ne présentant pas tout le processus d'isolement. Donc, les gens qui découvrent le truc (et même les autres, j'ai compris certains trucs), devraient arriver à mieux comprendre la méthode d'isolement et où ça a déconné. J'ai aussi mis le texte d'Etienne de Harven "le VIH n'a jamais été isolé" dans la partie "isolement du VIH". Il complète bien l'article de Papadopulos et de ses collègues.
  15. Banni de tous les forums carrément ? Moi, je n'avais été banni que des forums ou j'intervenais (sida, vaccins). Ils deviennent de plus en plus nerveux sur doctissimo. Remarque, vu qu'ils n'ont aucune preuve que le VIH cause le SIDA, c'est normal que la moindre question sur le sujet leur provoque une crise de nerf.
  16. oui mais j'aimerais avoir l'avis de ceux qui parlent du sida ici depuis des mois. Ok le virus du sida n'existerait pas. Mais il y a d'autrs sortes de virus à ARN, dont celui de l'herpès, bien connu comme étant une maladie dite opportunniste. Quelqu'un s'est-il penché sur l'utilisation de la flavopereirine dans sa vie quotidienne ? Personnellement, je ne crois plus à aucun virus. Donc, si la Flavopereirine sert à empécher les virus de muter, pour moi, c'est un truc bidon (vu qu'il n'y a pas de virus).
  17. Sedir, est-ce que tu pourrais donner quelque précisions sur : 1) les éventuelles maladies ou affection que tu as eu depuis que tu est séropo (et les dates auxquelles tu as commencé à les avoir et les moments ou ça a disparu) 2) Tes niveaux de cd4 aux différentes époques, si tu les as fait mesurer. Idem pour la charge virale (ici, les gens savent que c'est bidon. Mais les gens qui viennent sur le site pas forcément et quelqu'un qui a eu des taux de cd4 bas sans maladie, ça peut les intéresser) 3) les médicaments éventuellement pris et le moment où tu les as pris (hors médicaments du sida évidemment, puisque tu n'en à pas pris). D'avance merci
  18. Bonjour Sedir et bienvenue. Est-ce que je peux mettre ton témoignage sur sidasante. Et est-ce que tu pourrais écrire un message un peu plus détaillé sur ton histoire ?
  19. A mon avis, ces symptomes sont peut-être bien dus au régime anti candida. D'après ce que j'en ai lu, la théorie en question pointe du doigt le sucre (dont le candida est sensé se nourrir), et donc, le régime en question tend à supprimer les aliments sucrés. Le problème, du coup, c'est que ça privilégie les graisses et les protéines. Tout ce qu'il faut pour faire gonfler les ganglions et provoquer des angines et des rhumes à répétition. Parce que, moi, je pense que les problèmes de ce genre sont du à un encombrement du système lymhpatique par un excès de protéines et de graisses. Je pense que pour faire cesser ces symptomes, il faut faire l'inverse de ce que préconise le régime anti-candida et passer à un régime contenant beaucoup moins de protéines et de graisses et plus de sucre (mais du sucre naturel venant des fruits et des légumes, du sucre contenu dans des fibres). Donc, il faut plutot privilégier les fruits et les légumes et éviter de manger trop de viandes, de céréales et de certaines légumineuses. D'ailleurs, ça fait 3 ans que je suis ce régime là, et je n'ai plus jamais eu de rhume ou de grippe depuis.
  20. Si la vérité éclatait sur le SIDA, je pense qu'une grosse partie des gens basculerait dans le conspirationnisme (qui a déjà bien progressé depuis quelques années). C'est comme un chateau de carte, si une partie tombe, tout le reste s'effondre aussi. Si on nous a menti sur le SIDA, on peut nous mentir sur les vaccins, sur la physique, sur le big bang, sur le 11 septembre, etc... D'ailleurs, les autorités le savent, et font tout pour qu'aucune thèse conspirationniste n'arrive à percer. Ils sentent bien qu'une seule brèche dans la muraille pourrait entrainer la prise de la forteresse. Et puis, la confiance en l'infaillibilité de la science, qui dure depuis plus d'un siècle, serait totalement brisée. Ca fait longtemps que les gens doutent des bienfaits de la science, mais par contre, son infaillibilité n'a jamais été mise en cause. La confiance en la science de ce point de vue là est quasi absolue. Là, ça changerait tout. Bien sur, ils feront tout pour empêcher ça. Mais, au moins dans le domaine scientifique, l'autorité officielle a quand même un gros problème : ils sont arrivés à une telle montagne de mensonges et d'erreurs qu'ils ne progressent plus. Si on observe la science actuellement, il n'y a quasiment plus que l'informatique et les télécommunications qui progressent (et encore, la progression ralentit). Presque tous les autres domaines ne produisent plus grand chose de nouveau. Et ça, ça va finir par se voir. Les gens qui pensent ne pourront pas se satisfaire éternellement de réponses bateaux genre : "la science progresse toujours. Mais les choses ne se font pas en un jour" et autres "une étude prometteuse a été faite qui pourrait entrainer des progrès dans tel domaine dans 15 ans". Et comme ce sont les mensonges qui causent cet arrêt du progrès, alors il faudra forcément remettre en cause ces mensonges pour progresser. Les mensonges en question étant des dogmes vieux de plusieurs dizaines d'années, la confiance en la science sera complètement ébranlée. Et je ne crois pas qu'on puisse faire évoluer les dogmes par petite touche. Les mensonges ont été énoncés pendant trop longtemps et de façon trop appuyée. En ce qui concerne la confiance en l'autorité d'une façon plus large (pas seulement dans le domaine scientifique), ça serait pareil. Elle serait brisée. Les autorités ont vécu une quinzaine d'année (disons de 1985 à 2000) de rève, où, après les années 70 contestataire, les gens étaient devenus complètement anestésiés. Ils pourraient appeler ça les "fabulous fiftines". Les gens ont commencé à se réveiller un peu. Si la vérité éclatait sur le SIDA ou un autre sujet conspirationniste, là, les années fastes des mensonges officiels seraient bien terminées. Je ne pense pas que les gens se mettraient à courir dans tous les sens en hurlant, ni ne feraient la révolution. Mais, il y aurait une sacré évolution des mentalités.
  21. Même le Monde !!! Non ? Ce journal chantre de la vérité, cet organe de presse combattant tous les pouvoirs en place refuserait de parler de la dissidence du SIDA. Un monde (c'est le cas de le dire) s'écroule pour moi. Excuse moi de cette petite note d'humour caustique. Mais le Monde me semble tellement la voix de la pensée officielle que ce que tu as dis m'a paru très drole.
  22. Dans le genre grand coup dans la figure des tests de dépistage de la syphilis, c'est fort. Vu tout ce que j'ai déjà dit sur les tests à anticorps, ça ne me surprend absolument pas bien sur. Mais, c'est magistral comme démonstration du n'importe quoi que sont ces tests. Et dans le genre "démonstration que les tests sont faits à la tête du client", c'est magistral aussi.
  23. A mon avis, un truc simple, du genre, je suis homo et j'ai eu une relation non protégée d'un ou deux an avec un type qui a eu un test positif récemment (et éventuellement, pour en rajouter une couche, positif à la syphilis), ça doit suffire pour mettre les capteurs dans la zone rouge pour le médecin. Une petite histoire de rash cutané et/ou de grosse grippe devrait suffire à compléter le tableau. Je pense qu'une suite des bon gros repas bien gras/protéiné/sucré doit aider à avoir un test positif, parce que ça doit permettre d'avoir pas mal d'éléments en suspension dans le sang, de déchets à éliminer, ce qui doit stimuler la production d'anticorps. Et comme selon moi, les anticorps sont non spécifiques, le test aura plus de chance de réagir positif. Inversement, pour ceux qui sont séropo, il faudrait être plutot à jeun lors du test (et avoir mangé assez peu une semaine avant. Et assez peu protéinée et gras en plus. Plutot des fruits et des légumes verts donc). Ce qu'a dit Terry à propos du magnesium qui aiderait pour le test PCR est intéressant. Je pense que la réaction entre les "anticorps" et les antigènes sont en fait de nature électromagnetique. Or, le magnesium est connu pour aider contre les crampes. A mon avis, ça aide à avoir un fluide sanguin mieux conducteur d'électricité (l'eau salée conduit l'électricité, alors que l'eau plate, non). Il est possible que ça favorise la reaction électromagnetique anticorps/antigène. Donc, une supplémentation en magnesium et en sel une semaine avant les test pourrait aider à obtenir un test positif. Inversement, pour ceux qui sont déjà considérés comme séropo, une absorption d'eau distillée avec des périodes de transpiration une semaine avant le test pourrait peut-être aider à avoir un sang moins chargé en sels minéraux. Cela dit, pour ceux qui sont séronégatifs, le test n'est pas anodin. Si vous êtes testé positif, ça peut avoir une incidence très négative sur votre vie, si ça se sait (pas au niveau de la maladie bien sur, mais une incidence sociale). Donc, il faut être prêt à ne rien dire sur le sujet aux autres. Et être sur qu'on ne saura rien de cet épisode. A mon avis, il vaut mieux essayer de faire réagir négatif des personnes qui ont eu un test positif, plutot que de faire réagir positif des personnes considérées comme négatives. Donc, pour les personnes se proposant, il faut que vous soyez sur que votre nom ne se pas connu ni maintenant, ni plus tard. Ou alors, avoir une compagne (ou un compagnon) qui est une dissidente convaincue et donc, à laquelle vous pourrez faire part de l'expérience sans problème.
  24. A priori, je ne pense pas que les crèmes blanchissantes soient causes de maladies, en dehors de maladies de peau. Parce que sous forme de crème, ça n'entre à priori pas dans le corps (si ça traversait la peau, alors là, ce serait différent. A voir). Par contre, pour la peau, c'est vrai que c'est une vraie saloperie. Je crois que j'ai expliqué ce qui me semble être le mécanisme d'action des corticoides dans le topic sur les anti-inflammatoires. En bref, les corticoides désagrègent les protéines et donc, les cellules. Du coup, ça décape la peau. La peau étant alors moins épaisse, elle est plus blanche. Mais, évidemment, le traitement est extrêmement mauvais pour la peau. A mon avis, Terry a raison sur les antibiotiques. Dans le topic que j'ai fait sur les antibiotiques, je cite un gars qui est intervenu sur futura science et qui parle du Chloramphenicol, un antibiotique qui provoque des hémorragies fatales. Je crois avoir lu aussi que certains anti-dépresseurs provoquent aussi des hémorragies (et bien sur, il doit y avoir d'autres effets secondaires).
  25. Elle est morte de quoi exactement (arret cardiaque, problème de poumons ? etc...). Ou est-elle morte (à l'hopital, chez elle) ? Au bout de combien de temps après la détection de son cancer ? Avait-elle une énorme boule au sein quand elle est morte ? A-t-elle pris quand même des médicaments vers la fin ?
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