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aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Je parlais du problème de l'identification des protéines il y a deux semaines je crois. Et en lisant le livre de Etienne de Harven, je suis tombé sur ça par exemple, la protéine p24 correspond au poids moléculaire de la myosine et la p41 à celui de l'actine Donc, en fait, la protéine p24 serait purement et simplement inventée, de même que la p41. Il n'y a pas de p24 ni de p41. La p24 c'est de la myosine et la p41, c'est de l'actine. Ce n'est pas nouveau bien sur. C'est déjà sur Internet depuis longtemps. Mais, n'ayant pas conscience de ce problème de l'identification des protéines, je n'avais pas vraiment tilté jusqu'à maintenant. Et je ne pense pas que les gens qui tombent sur ce genre de chose tiltent complètement non plus. Ce qui empêche, comme moi, les gens de percuter, c'est qu'ils se disent que le système d'identification des protéines est complètement au point et qu'on sait identifier telle protéine sans problème. Donc, quand on dit que telle protéine est la protéine p24, on ne peut pas se tromper et la confondre avec la protéine de la myosine. C'est seulement quand on prend conscience qu'il peut y avoir un problème à ce niveau-là qu'on commence à mieux tilter. Donc, se pose de façon plus large le problème de l'identification des protéines. Comment sait-on que telle particule trouvée dans le corps est la protéine X ? Apparemment, on se base sur 1) une méthode anticorps-antigène ; 2) l'identification du poids moléculaire de la protéine en question. Peut-être qu'il y a d'autres méthodes. Mais comme j'en suis au début de l'analyse de ce problème, je ne les connais pas. Problème, si les anticorps sont non spécifiques d'un antigène, voir, qu'il n'y a pas de système clef-serrure, la méthode anticorps-antigène est invalide. Il ne reste donc que le système du poids moléculaire. Déjà, ce qu'on peut se dire sur ce système du poids moléculaire, c'est que ça ne donne pas beaucoup de renseignements sur la protéine. Sans l'aide du système anticorps-antigène, ça limite quand même beaucoup l'information qu'on peut avoir sur une protéine. Qu'est-ce qui empêche de prendre une protéine pour une autre ? Pas grand chose peut-être bien.
  2. Ouai, vu les autres trucs qu'il y a sur tatoutfaux en matière de médecine, je pensais bien que c'était perdu d'avance. Et je pense que le réseau Voltaire, ça va être la même chose. Mais bien essayé Wallypat.
  3. Kinipou, peut-être bien que c'est le triflucan lui-même qui cause les rechutes. Apparemment, ça attaque les parois des champignons. Mais ça attaque probablement aussi les parois des cellules de la bouche (ça ne serait pas étonnant, dans les effets secondaires, on voit que ça provoque des problèmes digestifs. Ce qui signifie que ça attaque les parois du système digestif). Du coup, ça décape tout, aussi bien les champignons que la muqueuse. Et quand on arrête, les champignons prospèrent à nouveaux sur les cellules mortes de la muqueuse. Du coup, si on reprend du triflucan, on est reparti pour un tour. C'est le cercle vicieux. C'est bien possible que l'extrait de pépins de pamplemousse engendre les mêmes effets de le triflucan (et donc, les mêmes effets secondaires également). Prendre du bicarbonate de soude empêche les champignons de prospérer, mais ça ne traite pas le problème de fond, c'est à dire, l'apparition de cellules mortes dans la bouche. Comme dit Terry, à mon avis, il faut arrêter aussi bien de prendre de triflucan que l'extrait de pamplemousse. Déjà, peut-être les rechutes étaient uniquement dûes à ça et qu'il n'y en aura plus. Mais, si rechute il ya, il faudra voir ce qui lui cause le problème. Est-ce qu'il fume ? Qu'est-ce qu'il mange ? Et est-ce qu'il prend d'autres médicaments ? Sinon, ses douleurs musculaires récente et sa faiblesse viennent très probablement de la prise du triflucan et de l'extrait de pépins de pamplemousse. Edit : ouai,j'ai trouvé ça sur les effets secondaires du pépin de pamplemousse. Pour traiter une candidose, nous vous conseillons d'augmenter les doses d'extrait de pépins de pamplemousse très progressivement (ce qui n'est pas possible avec les comprimés. Un comprimé équivaut à 10 gouttes d'extrait de pépins de pamplemousse liquide). En effet, en "mourrant", le candida libère des toxines qui sont susceptibles d'entraîner des effets secondaires fort désagréables, tels qu'une très grande fatigue, des éruptions cutanées... Nous vous suggérons de commencer par 1 goutte 3 fois par jour les trois premiers jours, 2 gouttes 3 fois par jour les 3 jours suivants... jusqu'à 30 gouttes 3 fois par jour. L'article présente ça comme des effets secondaires liés à la libération des toxines du candida. Je pense au contraire que les effets secondaires viennent de l'extrait de pépin de pamplemousse lui-même. Ils sont tout à fait similaires à ceux des antibiotiques (fatigue, éruptions cutanées). Y a pas de miracles : soit le produit tue directement les champignons, soit il change le biotope du champignon et l'empêche donc de se développer (en rendant le terrain plus basique, vu que le champignon prospère sur des terrain acides). Apparemment, l'extrait de pépins de pamplemousse lui, tue directement les champignons.
  4. Ben si, c'est important de se focaliser sur ça pour le moment. Parce que c'est là dessus que repose l'hypothèse VIH --> SIDA. Et comme il n'y avait pas d'articles en français présentant de façon détaillée les problèmes de l'isolement du virus, il était fondamental d'en traduire quelques uns. Les document généralistes, sur le site, on les a. Donc, pour les séropo qui découvrent le site, il y a suffisamment de documents faciles d'accès pour comprendre les incohérences du discours officiel. Une fois lu ces documents généralistes, normalement, le séropositif en question a compris que le VIH n'existe pas, que les tests sont bidons, que les statistiques sont fausses, etc... Normalement, il n'a pas besoin qu'on lui conseille de demander des détails sur le WB à son médecin. Une fois lu les documents, il doit savoir que le WB ne signifie rien et il doit le balancer à la poubelle, tout simplement, en se disant "vive la vie". Donc, il y a suffisamment de documents généralistes clairs et accessibles en français. Mais le site manquait de documents en français allant plus au fond des choses, plus techniques, sur certains sujets ; et ce, de façon didactique et complète. Or, si certains dissidents veulent argumenter sur ces sujets de façon très technique, il faut qu'ils aient à disposition ce genre de documents. Sinon, je ne crois pas que l'industrie du SIDA soit un moulin.
  5. Pour reprendre le site de Mark, j'ai juste récupéré les codes du site. Pas besoin de l'ordinateur de Mark. Mais, sinon, avant, j'avais déjà récupéré le site par Internet au cas où il aurait disparu. Il y a des logiciels qui permettent de faire ça. Ouai, tu as raison de te poser la question de savoir si je suis un pion de l'industrie du SIDA. Il faut se méfier de tout. Mais, il y a quelques faits qui n'iraient pas dans le tableau. J'étais là dès décembre 2002 à défendre la dissidence (mon premier post à été pour ça). Je l'ai défendu aussi sur Doctissimo et pas mal d'autres forums. Et si j'étais un type infiltré, vu les théories que je défends par ailleurs (virus qui n'existent pas, bactéries non pathogènes, pas d'existence du système immunitaire, maladies nosocomiales causées par les opérations elles-mêmes, antibiotiques dangereux, etc...), ça serait vaiment faire beaucoup, et même énormément, de zèle de ma part. Je n'aurais pas non plus traduit les différents textes du groupe de Perth pour rendre plus clair le problème de l'isolement du "VIH", ni prévenu les séropositifs dissidents du danger spécifique qu'ils courent en mixant jeûne et antibiotiques. Par ailleurs, je défends la théorie du pétrole abiotique qui va faire tout sauf plaisir aux compagnies pétrolières. Ca ne cadre pas vraiment avec le profil d'un gars infiltré pour foutre le bordel ou bloquer la dissidence. Pour la page de conseils, ben, propose moi un article. Moi, pour le moment, je suis concentré sur l'isolement du virus. Et comme c'est assez technique, ça prend pas mal de temps et je ne peux pas tout faire. Sinon, pour la dissidence, on est maintenant plusieurs milliers de part le monde. Plus rien ne peut l'arrêter. La médecine officielle du SIDA n'a rien à répondre aux dissidents. C'est foutu, terminé pour eux.
  6. Sacré Terry, toujours aussi vindicatif. Moi je trouve ça sympa. Tiens, c'est vrai que je n'ai pas ton témoignage sur sidasante. Ben, donnes le nous. Quant aux mots en privé, je n'en fais quasiment pas. Trop de choses à lire, à écrire, à vérifier, etc..., par ailleurs. Des lecteurs qui t'écrivent en privé pour te dire qu'ils trouvent qu'il y a des dissidents homophobes ? Lesquels ? Et puis, qu'ils le disent en public et pas en privé.
  7. Tiens, mais tu me fais tilter sur un truc Nico111. Pour déterminer les protéines d'une culture, on ne peut pas utiliser le western blot ou autre technique par anticorps. Parce que là, on est en sens inverse. On ne veut pas déterminer s'il y a des anticorps, mais s'il y a telle protéine. Mais si les anticorps sont non spécifiques, comment déterminer que telle protéine est bien la protéine en question ?
  8. Ben, dans ce cas, tu détruis toi-même l'argument du seul document sur l'isolement du VIH. On ne peut pas dire que sur la culture virale, ce soit des p24 et autres protéines. Bon ben, on n'a donc pas déterminé les protéines du virus. Et donc, l'histoire de la culture de controle n'a plus besoin d'être utilisée. Merci bien.
  9. Ce n'est qu'une différence quantitative et pas qualitative. Il y a les mêmes protéines dans la culture de controle que dans la culture avec virus, mais en moins grandes quantités. Moins, ça ne veut pas dire qu'il n'y en a pas. Ca veut dire qu'il y a le même "virus" dans la culture de controle ; et donc, que le "virus" n'en est pas un. Ce n'est qu'une particule endogène.
  10. Non non, tout le monde ne pense pas ça. Personnellement, je pense qu'à part quand le corps est vraiment esquinté dans certains endroits vitaux, il peut récupérer. Et même avec certaines zones bien esquintées, on continue à vivre. Moins bien, mais on vit. Pour moi, la séropositivité ne signifie en aucun cas sentence de mort. Si quelqu'un qui est en parfaite santé est diagnostiqué séropo, et qu'il ne prend aucun médicament, il va continuer à aller bien. Quand à certaines maladies causées par les médicaments, si on a réussit à récupérer, qu'on n'a pas été complètement esquinté à certains endroits, et qu'on se sent à nouveau parfaitement bien, il n'y a aucune raison de tomber malade à nouveau. Par contre, l'expérience des dissidents qui sont morts nous apprend qu'il y a certains pièges qu'il faut éviter. On a pu voir avec Mark ou avec la fille de Christine Maggiore qu'il y a danger au niveau des antibiotiques chez les personnes qui sont maigres. Ce qui pose problème pour ceux qui ont adopté certains modes de vie plus sain (régime végétarien) ou certaines pratiques des médecines alternatives (jeûne) et qui font encore relativement confiance à la médecine et se disent que les antibiotique (ou les anti-inflammatoires) ça n'est pas dangereux. Ils peuvent succomber à des attaques cérébrales ou des crises cardiaque à cause des antibiotiques ou anti-inflammatoires. Donc, il faut éviter d'avoir en même temps les pratiques citées plus haut et la prise d'antibiotiques ou d'anti-inflammatoires.
  11. Oui, heureusement. Et heureusement que Duesberg est là, et Stefan Lanka, et le groupe de Perth, et Heinrich Kremer, et Karry Mullis, et Etienne de Harven et plein d'autres scientifiques, et plus de 2000 personnes de tous horizons et diplomes. Ouai, et dans le papier de Bress de 1997 aussi on ne trouvait pas de VIH dans la culture de controle. Enfin, ça, c'est ce qu'ils disaient. Et puis, quand le groupe de Perth s'est penché un peu sur le sujet ; O surprise, Bress mentait et l'expérience montrait au contraire qu'il y avait la même chose dans la culture de controle et dans la culture du supposé "virus". Alors, puisque tu as lu le papier en question en long en large et en travers et pas seulement la conclusion, tu vas pouvoir me dire, avant que j'aille jeter un oeil, en quoi le papier démontre qu'il n'y a pas la même chose dans la culture de controle et la culture "virale". On n'a pas trouvé les protéines p24, p17 et P6/7 dans la culture de controle ? Il y a une photo qui le montre ?
  12. En tant que débris cellulaire. Un simple déchet du fonctionnement des cellules. Les pauvres. Je crois que, vue la gravité du truc, et leur responsabilité, je me fiche pas mal qu'ils soient peinés. Et en mettant à l'écart le problème de la responsabilité dans ce qui est arrivé (qui, au minimum, abourait à les virer tous), pour moi, il est clair qu'ils n'ont rien à faire à des postes de chercheurs. Pour ça, il faut une qualité qui est l'esprit critique. Et apparemment, ils n'en ont pas (ou en tout cas pas là où il faut). Logiquement, ils devraient être réaffectés à des postes demandant une certaine compétence technique, mais pas nécessairement un esprit critique poussé : des postes d'ingénieurs.
  13. Un gars ayant le pseudo de ModularGroupGamma sur Aids Myth Exposed, vient de créer un wiki dissident (en anglais), spécialement fait par et pour les dissidents du SIDA. http://aidsmyth.wikicities.com/wiki/Main_Page Voir les modalités d'usage ici A mon avis, une excellente initiative.
  14. Ce qu'on dit, c'est que le VIH n'a jamais été isolé selon les procédures en vigueur en virologie, donc, que le VIH n'existe pas (en tant que virus). La première procédure d'isolement, en 1983, a été ni faite ni à faire (même pas de purification). Et la seconde, en 1997, à plusieurs endroits, montre que le VIH n'est pas viral (entre autres, culture de controle donnant le même résultat qualitatif que la culture virale, ce qui signifie que les particules trouvées sont endogènes). Quand au sang des patients, il semble qu'il soit très difficile (je ne suis pas sur que ce soit arrivé d'ailleurs, mais je ne me suis pas trop concentré là dessus) de trouver les particules appelées VIH directement du sang d'un patient, sans faire de culture des cellules du sang en question. Donc, il y a deux problèmes : le plus important de tous, le point capital : le VIH n'a pas été isolé. Le second, important aussi mais bien moins que le premier, on n'a pas trouvé de VIH venant directement du sang des patients, ou, au moins, c'est très difficile à trouver. Ce qui est plus que bizarre pour un virus sensé se répliquer à mort et détruire en masse les cd4 des gens "infectés". Mais, encore une fois, ce deuxième point n'a que très peu d'importance par rapport au premier. Parce que même si on trouvait quelque chose, ça ne serait pas du "VIH", puisque celui-ci n'a pas été isolé.
  15. Après lecture du second document, il ne semble pas non plus qu'ils parlent de culture de controle (normal, puisque là aussi, le but n'était pas la preuve de l'existence du virus). Donc, là aussi, en ce qui concerne la preuve de l'existence du VIH, ça ne vaut rien (puisque ça ne permet pas de déterminer si le virus est créé naturellement par les cellules ou s'il est exogène aux cellules). Et vu le sujet du troisième, il est quasi sur que là non plus, il n'y aura pas de culture de controle.
  16. Bon, après un rapide tour d'horizon du premier document de Cardel, il n'y a apparemment aucune culture de controle de faite (normal, ça n'avait pas l'air d'être l'objectif de l'expérience). Donc, en ce qui concerne la preuve de l'existence du VIH, ce premier document ne vaut rien.
  17. Toutes les représentation du VIH sont fait avec des pics contenant la gp120. Donc, la thèse officielle, c'est bien qu'il y a des pics qui contiennent la gp120. Or, sur les photos que tu as mises en premier, il n'y a visiblement pas de pics. Donc, il ne peut pas y avoir de gp120. Quand à me tenir par la main, il me semble normal, si tu as vraiment lu les documents en question, que tu saches où se trouve les infos que je te demande et que tu me les communiques. Apparemment, tu ne le sais pas, tout simplement.
  18. Non non, la gp 120 est absolument nécessaire à l'infection, et elle ne se trouve que dans les pics en question. Donc, pas de pic, pas de gp120 et pas d'infection possible. Ben, puisque tu l'as lu, tu vas pouvoir m'éviter une grosse perte de temps et me dire à quelles pages il est dit que le virus à été purifié et ou il est montré que la culture de controle ne donne pas de résultats identiques.
  19. Ok Ecliptux. On va redevenir sérieux. Ces photos ne prouvent en rien qu'il s'agit du VIH. Sans les autres étapes de la prodécure d'isolement et des procédure de Koch, il pourrait s'agir, comme je l'évoquais plus haut, de n'importe quel virus : grippe, rougeole, variole, polio, etc... Donc, avec ces seules photos, tu ne peux pas dire, voilà le VIH. Il faut d'autres précisisions. Et si, il doit y avoir des pics à la surface des particules en question pour qu'elles soient considérées comme virales. C'est essentiel au processus d'infection. Par ailleurs, il faut, entre autres, que la culture ait été purifiée et il faut que la culture de controle ne donne pas de résultat identique.
  20. On ne sait rien du parcours clinique des deux personnes. Avec les éléments qu'on a, ça ne signifie rien.
  21. Non, les champignons, c'est un problème identique aux bactéries. Ca prospère sur une zone agressée ; donc, dont un certain nombre de cellules ont été détruites (ce qui rend en plus le terrain acide), qui est par ailleurs assez humide. Donc, ce n'est pas transmissible. On peut parfaitement faire l'amour avec un preservatif et développer des champignons, si le frottement a trop agressé le gland ou le vagin. Le risque de fécondation, bon ben... normal quoi.
  22. Moi, je ne parle pas d'immunodépression. A mon avis, ça n'a rien à voir avec une immunodépression ; ni avec une bactérie qui n'aurait rien à faire là d'ailleurs. Juste une inflammation locale due à une agression chimique ou mécanique ou solaire. D'ailleurs, selon la théorie officielle, si le système immunitaire était parfaitement en forme, la bactérie n'aurait pas du se développer. Ou alors, ce genre d'infection devrait se développer régulièrement (si ça peut se développer malgré un système immunitaire sain). A moins que la bactérie soit très rare et que l'infection n'arrive que rarement. C'est d'ailleurs un des problèmes de la théorie officielle. A partir du moment où on dit qu'il faut que le système immunitaire soit affaibli pour que les infections se développent, il faut expliquer les infections arrivant sur un système immunitaire sain. Et si les infections peuvent arriver avec un système immunitaire sain, on en revient au problème de départ du temps de Pasteur, pourquoi ne se développent-elles pas plus souvent et de façon grave ? Alors qu'avec l'idée du terrain dégradé localement, les choses s'expliquent beaucoup plus facilement et logiquement. Et ne pas confondre terrain dégradé localement et système immunitaire affaibli. Ca n'a rien à voir.
  23. Des fois, les idées viennent de façon inatendue. Hier, en étant avec des amis, d'un seul coup, une idée m'est apparue sur cette histoire de pathogénicité des bactéries, liée à la taille comparée des bactéries et des cellules. En fait, les bactéries ne peuvent pas attaquer les cellules. Et ça, tout simplement parce qu'elles sont plus petites, beaucoup plus petites que les cellules. Une cellule, ça fait entre 10 et 100 microns (20 en moyenne). Et une bactérie, seulement dans 2 microns en moyenne. C'est donc entre 5 et 50 fois moins gros qu'une cellule (10 fois en moyenne). Logiquement, les bactéries ne mangent que ce qui est plus petit qu'elles. Elles n'ont pas de grande bouche avec des dents pour attaquer la parois des cellules. Donc, elles ne peuvent bouffer que ce qui passe à travers les minuscules orifices communiquant avec l'extérieur : des sucres, des protéines ou des petits débris cellulaires. En gros, elles gobent ; elles ne cisaillent pas, ne déchiquettent pas, et ne broient pas. Et donc, elles ne peuvent pas manger les cellules. Donc, il faut qu'elles attendent que les cellules aient éclaté en petit morceau pour pouvoir manger. Elles ne peuvent pas les faire éclater elles-mêmes. Et donc, si elles ne peuvent pas manger les cellules, elles ne peuvent pas être pathogènes directement. Il y a bien une façon indirecte de détruire les cellules décrite par la médecine officielle. Le fonctionnement de certaines bactéries engendreraient des enzymes détruisant les cellules Mais, malgré ça, elles ne peuvent pas être pathogènes par la méthode décrit par la médecine officielle. S'il n'y a que quelques bactéries présentes, on voit mal comment, même les quelques rejets nocifs pourraient entrainer une réaction en chaine. Il n'y a qu'une infection massive qui le pourrait. Donc, il ne peut pas y avoir transmission de maladie par simple contact, air, relation sexuelle, etc... D'ailleurs, ce qu'on sait des maladies suposément dues à des bactéries va à l'encontre de cette idée. Si les cellules étaient détruites, il y aurait à chaque fois des gangrènes massives exponentielles. Et les gangrènes partiraient d'un endroit précis ; l'endroit où elles auraient commencé à se multiplier. Ca serait facile de déterminer le point de départ de l'infection. Mais il n'y a rien de tout ça. Cela dit, si les chercheurs s'étaient focalisés sur les enzymes en question, je pense que ça serait assez connu et qu'on aurait des médicament luttant contre les enzymes en question. Donc, si on en n'entend pas parler, c'est qu'en fait, les médecins ne se sont pas vraiment focalisé sur les enzymes. Donc, en fait, ils ne savent pas vraiment comment les bactéries en question agissent (à part celles avec des toxines, et encore...). En partant de ces réflexions, on peut reconstruire un système de fonctionnement des bactérie assez logique et qui va dans le sens de ce que disent certaines personnes dans le monde de la médecine alternative. En fait, les bactéries doivent manger surtout les particules rejetées par les cellules (les déchets du fonctionnement des cellules quoi). Elles seraient surtout coprophages. Mais elles doivent également manger les restes des cellules détruites. Elles seraient donc aussi charognardes. Donc, en temps normal, la quantité de déchets et le nombre de cellules mortes étant limités, le nombre des bactéries présentent est limité. Mais, si l"organisme est agressé, les cellules doivent rejeter pas mal de détritus, et certaines doivent être détruites, ce qui conduit à l'augmentation des bactéries, qui ont beaucoup plus à manger. Donc, leur mutliplication serait causée par un problème dans le fonctionnement du corps. Par contre, effectivement, les bactéries doivent emettre des substances, les toxines, qui, quand elles sont en nombre faible ne causent aucun problème. Mais quand il y a multiplication des bactéries, la quantité de toxine devient suffisamment grande pour causer des problèmes et entrainer des maladies supplémentaires. Le cholera, par exemple, agit uniquement via sa toxine. A mon avis, ce n'est pas l'absorption de bactéries du cholera qui engendrent la maladie du cholera, mais l'absorption de la toxine (cf l'expérience de Pettenkofer, qui a absorbé un verre entier de bactérie sans tomber malade). C'est contre la toxine qu'il faudrait lutter. Donc, pour que les bactéries se multiplient, il faut que, localement, le corps soit malade et qu'il y ait beaucoup de particules rejetées par les cellules et de cellules morte. Donc, une bactérie ne peut pas se développer sur un organisme sain. Ce qui est valable aussi pour les bactéries importées. Une bactérie importée ne peut pas se développer sur un organisme sain. Ce qui, là aussi, va à l'encontre de l'idée de maladie causée par la seule transmission d'une bactérie. C'est vrai que, je me suis focalisé sur les bactéries déjà présentes dans le corps et que certaines bactéries peuvent éventuellement être importées et causer une maladie (via leur toxine bien sur) parce que l'organisme n'est pas sain localement. Mais ça doit représenter un nombre très faible de type de bactéries. A priori, il n'y a que la bactérie du tétanos qui pourrait être dans ce cas (à vérifier). Mais, j'ai lu que la bactérie du tétanos est en fait déjà présente dans les tissus. Ce qui l'élimine en tant que bactérie importée. Bref, on ne voit pas trop quelles bactéries importées pourraient causer des problèmes. En fait, la quasi totalité, si ce n'est la totalité, doit être déjà présente dans l'organisme. Au passage, la bactérie du Tétanos est associée à une destruction des chairs.
  24. Merci Cheminot, Il est clair pour moi que Duesberg est complètement largué et que le groupe de Perth ne tergiverse pas, lui, avec la vérité. Enfin, concernant le SIDA. Parce que, effectivement, il n'y a que Stefan Lanka qui prend la mesure complète du problème et étend la critique à la totalité de la virologie. Mais bon, cela dit, il ne l'a fait que sur un papier sur Internet. Depuis, apparemment, il n'y a plus de nouvelles de lui. Alors qu'avec les infos qu'il semblait avoir, il aurait pu écrire des trucs complètement explosifs sur le sujet. Donc bon... Mais bon, je vais éviter de dévier du sujet du topic. On parlera de ça, par exemple dans celui sur les failles dans la procédure d'isolement des virus.
  25. Bon, j'ai traduit la conférence de Papadopulos et ses collègues de 1998 "une analyse critique de l'évidence de l'existence du VIH et des tests d'anticorps du VIH". http://www.sidasante.com/themes/isolement/..._1998/index.htm Là, c'est vraiment le document le plus complet, le plus structuré et probablement le plus clair sur le sujet qu'il y ait sur le site. Les images ne sont pas encore traduites. Mais ça devrait se faire. Enfin donc, là, ça commence à être bien fourni au niveau des documents sur l'isolement du VIH. Je vais peut-être écrire un document sur le sujet, pour avoir encore une autre façon de présenter le truc. Et après, je passerais aux autres thèmes.
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