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aixur

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Messages posté(e)s par aixur

  1. Ah oui, d'accord ! Ce sont des antigènes commerciaux qu'il y a dans le WB. Ok, là d'accord.

    Je réagissais à ce que m'avait répondu pikpikandré quand j'ai posé la question de savoir d'ou venaient les antigènes dans le WB. Il y a eu un malentendu. Elle m'avait répondu :

    Pour répondre à ta question Aixur c'est le sérum (donc le sang moins le sang icon_biggrin.gif, je veut dire on prend du sang on le laisse coaguler et on récupère le liquide +/- transparent qui reste). Dans mon post (le même) j'explique les 2 tests.

    Tel que j'avais posé la question et tel que m'avait répondu pikpikandré, j'avais compris qu'elle me répondait qu'il s'agissait du sérum du patient qui fournissait les antigènes séparés sur le gel d'électrophorèse. Donc, ben dans ce cas, il était évident qu'il était impossible de déterminer la nature des antigènes présent. Si ce sont des antigènes commerciaux, dont la nature a déjà été déterminée en laboratoire, ok, c'est complètement différent. Le test Western Blot est effectivement valable.

    Enfin, de ce point de vue là. Parce qu'il y a une chose qui ne change pas pour moi ; il me semble évident que les anticorps ne sont pas spécifiques. Donc, même si on a bien les bonnes protéines dans le WB, puisque les anticorps ne sont pas spécifiques, le test n'est toujours pas valable. Mais bon, là, on est moins dans l'évidence directe.

  2. Et bien, oui, c'est tout à fait exact selon les repenseurs du sida !

    Les tests "VIH" ne sont JAMAIS la preuve d'une infection au "VIH". On trouvera toujours chez les séropos des facteurs autres que le supposé "VIH" pour expliquer la présence de ces anticorps (ou des autres soi-disant marqueurs du "VIH", tels que la charge dite "virale", l'ARN du "VIH", la P24, etc...).

    En réalité, a défaut d'avoir pu isoler le "VIH", l'orthodoxie du sida a en (très) gros repris les points communs (protéines, anticorps, ARN, etc...) qui revenaient le plus souvent chez les sidéens et ces points communs se sont traduits en le fantasmagorique "VIH".

    Tout cela est très très longuement explicité sur le site du Perth Group et aussi dans le BMJ Debate.

    Oui, mais là, ça va encore plus loin. Pour n'importe quel antigène testé (dans le cas d'un test à destination du grand public, pas un test fait dans le cadre d'une expérience de laboratoire), le Western Blot est bidon, à cause de ce que j'ai dit plus haut. On ne peut pas savoir quelles protéines il y a vraiment dans les bandes (puisque ça repose simplement sur le poids moléculaire et que celui-ci n'est pas spécifique de telle ou telle protéine), donc, impossible de savoir si les anticorps sont des anticorps anti-X ou anti-Y ou anti-Z, etc... Donc, impossible de faire un Western Blot pour le VIH, mais aussi pour l'herpes, pour la grippe, etc...

  3. tous bidon SI tes anticorps sont non spé : tu enfonces des portes ouvertes dis moi. (et hop un PNI mais bon je ne pouvais pas m'en empêcher !)

    Ben, oui, mais c'est bien ça le problème. Il semble clair que les anticorps ne sont pas spécifiques. Quand tu vois que 40 % des chiens réagissent positifs à la p24, bon ben, ça ne doit pas être trop spécifique hein. Et je crois qu'il y a le même genre de truc pour la gp120 avec d'autres animaux (des souris je crois). A moins bien sur, que la protéine en question soit présente chez le chien et l'homme de façon naturelle. Ce qui empêcherait de remettre en cause la spécificité des anticorps. Mais, si les anticorps sont absoluments spécifiques, ben, qu'on le prouve. Qu'on me donne des publications scientifiques le prouvant. Parce que, pour le moment, tout ça est bien évanescent.

    En tout cas, pour les tests Western Blot conduits pour tester des gens pour telle ou telle maladie, là, c'est clairement bidon (c'est de ça que je parlais). Les protéines testées viennent du sang du patient. Donc, on ne sait même pas quelles sont réellement les protéines qu'il y a dans le test. Est-ce que ce sont des protéines de tel poids moléculaire venant du virus X, ou du virus Y, ou est-ce que c'est endogène ? Impossible de le savoir sans vérification externe. Donc, on ne sait pas sur quelle protéine exactement réagissent les anticorps. Donc, même si l'anticorps était spécifique, dans la mesure où on ne sait pas sur quoi il réagit, impossible de dire à la personne testée "vous avez des anticorps anti-VIH" ou "vous avez des anticorps anti-machin-chose". Et à partir de là, on ne peut pas dire que la personne a tel ou tel antigène dans le sang.

    Dans le cas d'expérience de laboratoire, il y a peut-être quelques analyses en plus qui rendent le test un peu moins facile à remettre en cause, mais pour les tests utilisés à destination du grand public, là, c'est clair que c'est bidon (que les anticorps soient spécifiques ou non. Mais bon, comme en plus ils ne le sont pas...).

  4. OK ... alors comment fait-on pour savoir (sur un wb) si on est en présence de "LA" gp 120 du VIH ou (par exemple) de "LA" gp 120 de la peste bubonique ?

    Va-t-on au-delà du poids ? ... et si oui, comment ça se passe ?

    ou est-on en présence d'une démonstration de ce type :

    " Tous les hommes sont mortels

    Or Socrate est un homme

    Donc Socrate est mortel."

    Oui, effectivement, ça ouvre bien des perspectives. D'autant plus que ça vient du sang du patient.

    Si les anticorps ne sont pas spécifiques, on ne sait même pas si on a bien les protéines recherchées.

    Et en fait, on peut généraliser. Tous les tests Western blot sont totalement bidons.

  5. Pas bête du tout ça. Par contre, il faudrait savoir dans quelles pathologies on retrouve ces protéines. Et il faudrait que ça concerne quand même quelques maladies. Parce que si c'est juste l'herpes, ça ne serait pas très convaincant (même si c'est déjà pas mal). Enfin, disons que ça ferait un peu pauvre pour un tableau.

    Faisons des recherches et voyons de quoi il retourne.

  6. Par ailleurs il s'agirait bien de se mettre dans le crâne que pour la majorité des dissidents le sida existe

    Je suis désolé, mais je ne considère pas que le SIDA existe. Et je ne comprends pas pourquoi beaucoup de monde ici sort ça régulièrement.

    Le sida n'existe clairement pas. Le sida, c'est quoi ? C'est un syndrome d'immunodéficience. Or, en aucun cas, on ne constate l'apparition d'un syndrome d'immunodéficience. Si immunodéficience il y avait, les personnes en question se chopperaient toutes les maladies microbiennes qu'il est possible d'attraper et mourraient en une semaine. Les germes "pathogènes" sont extrêmement courants dans la vie de tous les jours : légionnelle (eau), salmonelle, listéria, tétanos, rhume, grippe, staphylocoques, etc... Les gens mourraient même d'une gangrène généralisée très rapidement.

    Rien de tout cela n'arrive. On n'est donc clairement pas en présence d'une maladie d'immunodéficience et donc de sida.

    Par contre, qu'il y ait des maladies, d'accord, bien sur. Mais il ne s'agit pas de sida ; il s'agit de maladies dûes à un empoisonnement par les médicaments (enfin, la plupart du temps). Ne confondons pas "présence de maladies" et sida.

  7. ... je me demande bien comment les anti-corps anciens d'une dengue bien réelle ont pu se faire les valises en 8 jours ...

    Comprenne qui pourra

    Pour comprendre, il faudrait fourrer son nez dans le schlimblick des anti-corps.

    " Toute la vie pour apprendre " , je ne croyais pas si bien dire.

    Ben c'est simple en fait, les tests d'anticorps sont tout simplement non spécifiques, aussi bien pour le VIH, que pour la dengue que pour tout. C'est à dire qu'ils vont réagir quelque soit "l'antigène" ou "les antigènes" qu'on leur présente.

    Il faut prendre les anticorps non pas comme des trucs qui s'emboîtent, mais comme des colles. Une colle va coller à n'importe quoi ; qu'on lui présente du bois, du métal, du plastique, elle va coller (bien qu'il y ait des colles spécifiques bien sur, qui se collent plus ou moins bien à certains supports). Ben là, c'est pareil. A partir du moment où on comprend qu'il n'y a pas de système immunitaire qui reconnaît chaque antigène spécifiquement et qui se lie à lui en s'adaptant à sa forme, mais simplement un système de collecte de déchet qui agit en collant les déchets (comme du papier tue-mouche), on fait un grand pas. Et on comprend alors que les tests d'anticorps ne peuvent pas être spécifiques.

    Ensuite, pour que tout le monde ne réagisse pas positif, on va simplement jouer sur la dilution, sur les seuils de positivité des tests, et sur la note de gueule. On peut diluer une colle de telle façon qu'elle ne va plus coller aussi bien. Donc, il y aura beaucoup plus souvent qu'avant des coups où elle ne collera pas. Ici, c'est un peu pareil, en diluant les échantillons, on va faire en sorte que le test réagisse plus ou moins. Ensuite, même si le test réagit encore relativement souvent, en jouant sur le seuil de positivité (nombre de bande avec le western blot par exemple), on va encore limiter le nombre de personnes déclarées comme étant positives. Et enfin, avec la note de gueule, on écartera encore un peu plus de gens de la catégorie "positifs".

    On jouera aussi sur la gravité de la maladie pour déterminer la prévalence. Par exemple, pour la toxoplasmose ou pour l'herpes, je crois me souvenir qu'environ 70 ou 80 % des gens ont des anticorps à ces "maladies". En fait, comme ces maladies sont considérées comme bénignes, et qu'on déclare aussi (dans le cas de la toxoplasmose) que la présence d'anticorps ne signifie pas forcément qu'on a encore le microbe dans le corps, on se permet de diluer peu les tests. Donc beaucoup de monde peut réagir positif, ça ne prête pas à conséquence.

    Ensuite, si le test réagit facilement, mais que la maladie est sensée être spécifique de telle zone géographique, ou de telle population, on va jouer sur la fréquence avec laquelle ce test est fait pour empêcher la fâcheuse mise en lumière que ce test réagit positif très souvent. Par exemple, pour la dengue, on ne va faire ce test que pour les personnes vivant en région tropicale et pour celles qui y ont voyagé (et de préférence pendant un certain temps). Si on le faisait en masse à la population française, on s'apercevrait qu'il y a une prévalence à peu près identique à celle qu'il y a dans les pays tropicaux. Ce serait gênant. Donc, on le limite à certaines personnes pour lesquelles il ne sera pas gênant pour l'orthodoxie que le test réagisse souvent.

    Bien sur, comme assez souvent on fait le test sur une personne déjà malade (qui vient consulter), ça renforce la note de gueule. D'autant plus que la maladie va avoir tendance à faire réagir plus facilement le test.

    D'ailleurs, le fait d'être malade va valider dans la tête du patient la valeur du test. La personne va se dire "je suis malade et le test est positif. C'est bien que le test est très juste, puisqu'il réagit positif quand je suis malade". Bien sur, cette belle corrélation ne suffit pas. Il faut ajouter à ça la croyance en l'efficacité de la médecine. C'est pour ces deux raisons d'ailleurs, qu'il est assez difficile de remettre en cause le diagnostic de maladie microbienne pour pas mal de personnes. Combien de fois m'a-t-on répondu quand je remettais en cause l'origine microbienne de telle maladie "mais non Aixur, tu racontes n'importe quoi. Moi j'ai bien eu la maladie en question". Le "j'ai bien eu la maladie en question", reposant de façon non dite sur l'idée que le test d'anticorps a déclaré que c'était telle maladie. Et la certitude que le test d'anticorps est juste reposant sur : 1) le fait qu'il y ait présence de maladie (raisonnement circulaire) et 2) sur la croyance que la médecine ne puisse pas fournir un test bidon (croyance en la médecine, donc validation externe du raisonnement circulaire précédent). Le raisonnement 1) favorisant d'ailleurs le raisonnement 2) (puisque je suis malade quand le test réagit positif, c'est que le test est juste, donc, la médecine est vraiment fortiche de fournir un test aussi bon, donc, la médecine est juste et très pro), ce qui introduit un deuxième raisonnement circulaire.

    Pour viduité, donc, le test de la dengue n'étant pas plus spécifique que le test du VIH, et étant très certainement moins dilué que ce dernier, et vu que certaines personnes doivent plus facilement réagir à ce test (anticorps se liant plus peut-être facilement, biochimie du corps favorisant peut-être la liaison), et viduité allant dans des pays où la dengue est considérée comme endémique (prévalence), ben, lorsqu'il a fait le test la première fois, c'était normal pour le médecin qu'il réagisse positif. Si en plus, il était malade, emballé c'était pesé. Mais Viduité n'avait pas plus la dengue (le virus de la dengue) que vous et moi.

    Si la théorie officielle était la bonne sur les tests d'anticorps, effectivement, ce serait complètement illogique que la deuxième fois, il ait réagit positif, puis, une semaine après, négatif. Mais par rapport à tout ce que j'ai dit plus haut, ça devient parfaitement possible. La deuxième fois (lors du test VIH donc) il devait être à la limite de réaction. Et donc, il a réagit positivement la première fois et négativement la deuxième.

  8. Voilà l'explication en substance  : on fait la varicelle, on guérit, on est immunisé contre ce virus, et pour toute la vie. Sauf que sauf que. Ce virus va se planquer dans l'ADN des cellules du cerveau. Sans cesse le virus s'exprime et sans cesse le système immunitaire le fait retourner dans sa planque pour qqs temps... jusqu'à ce que le système immunitaire s'affaiblissent (les anticoprs peuvent être là mais le système n'est plus aussi efficace) soit dans des maladies comme le sida ou le cancer ou plus généralement la sénescence, la vieillesse quoi et alors on développe le Zona.

    Seulement le problème, c'est que reporter l'explication de l'apparition de la maladie sur la santé du système immunitaire est dangereux pour l'orthodoxie médicale. C'est source de nouveau illogismes. D'après ce que j'ai pu voir, on l'a fait pour plusieurs maladie (varicelle, herpes, grippe, etc...). L'orthodoxie apparemment ne relie pas ces cas entre eux et parle au cas par cas (type de maladie par type de maladie).

    Seulement, si on arrête de se concentrer sur un seul type de maladie à chaque fois, ben, il y a problème. Parce que si le zona est réactivé par une faiblesse du système immunitaire, alors, vu qu'il y a d'autres maladies qui sont liées à la vitalité du système immunitaire, toute personne ayant une de ces maladies se déclarant, et ayant plusieurs de ces virus ou bactéries dormant, devrait voir se déclarer les autres maladies. Quelqu'un a qui on a diagnostiqué de l'herpes et du zona devrait avoir du zona et de l'herpes en même temps. Idem pour le paludisme, la grippe (au moins sa gravité), éventuellement la toxoplasmose, les légionnelles, etc... Or, il y a pas mal de maladies qui sont sensées toucher beaucoup de monde. Donc, il y a forcément de nombreux cas avec plusieurs maladies potentielles. Or, jusqu'à nouvel ordre, on n'entend pas parler de personnes dans ce genre (en tout cas, c'est plutot l'exception que la règle). Et l'orthodoxie médicale ne parle pas ou quasiment pas de ce problème. Alors que c'est un problème qui vient tout de suite à l'esprit.

    Eh oui, s'il y a une barrière générale et que cette barrière cède ou au moins, diminue fortement en efficacité, alors, ce sont toutes les maladies potentielles qui peuvent attaquer le corps tout d'un coup. En fait, on se retrouve face à une sorte de mini SIDA.

    Par contre, si on pense que le problème vient plutot de déséquilibres chimiques, ce genre de problème n'existe pas. Un déséquilibre chimique ---> une ou plusieurs maladies, mais pas tout et n'importe quoi en même temps.

    Détail amusant ce prof a eu des tentatives de pression des labos pharmaceutiques pour qu'il cesse d'apprendre aux biologistes et pharmaciens que le vaccin contre la grippe ne servait à rien et que bcp de vaccin étaient plus dangereux qu'autre chose, en particulier pour les enfants. Il nous disait aussi que les études statistiques étaient souvent mal faites et qu'en matière d'épidémiologie il fallait tjs être prudent avant de tirer des conclusions.

    Ben voyons. Et ensuite, on vient nous dire que les pressions de l'industrie médicale, ça n'existe pas.

    Sur le coté mal fait des études statistiques, je suis tombé il y a environ 15 jours sur un post (sur usenet) d'un gars qui avait fait des math à haut niveau et qui disait la même chose. Il disait que les études des biologistes étaient truffées d'erreurs grossières de méthodologie.

  9. Vu mon expérience de ce type de forum très "science conservatrice", je sens que ça va vite tourner court. La technique habituellement utilisée, c'est, au bout de 2 ou 3 pages, une fermeture du topic, avec comme justification : "bon, c'est bon, on a fait le tour du sujet" (alors que sur onnouscachetout, on n'a toujours pas fait le tour du sujet après 4 ans et des milliers de pages écrites, et que, sur futurascience ou autre forum du même style, il y a plein d'autres sujets beaucoup moins importants, sur lesquels ils n'ont toujours pas fait le tour après des mois et quelques dizaines de pages écrites).

  10. Bonjour Patrick,

    Et bienvenu sur le forum.

    Alors, pour les questions :

    1) Je continuerais exactement la vie que j'avais avant sans prendre aucun médicament ni refaire aucun examen sanguin. Et je dirais à ma copine que cette histoire de VIH et de SIDA est un mensonge et donc, qu'il n'y a vraiment pas à s'affoler.

    2) Je dissuaderais ma copine de prendre ces ARV. Encore plus pour une femme enceinte (et pour l'enfant), prendre ces médicaments est dangereux (et inutile bien sur).

    3) Elle ne prendrais aucun risque à arrêter ces médicaments, au contraire. Mais surtout, elle ferait mieux de ne pas commencer à les prendre.

    4) Ca, c'est peut-être la seule bonne idée que ce médecin ait eu. En en parlant à d'autres personnes, vous pourriez être ostracisés, et perdre vos amis. A moins que vous ne soyez sûrs de vos amis et de vos parents, il vaut probablement mieux ne pas en parler. Surtout que, après tout, vous n'avez aucun virus mortel dans le corps, ni l'un, ni l'autre.

    5) Il n'y a aucun besoin qu'elle accouche par césarienne pour le moment. C'est seulement au moment précis de l'accouchement, si celui-ci ne se passait pas bien, que ça pourrait être nécessaire.

  11. En effet, si on examine le début du document, à savoir le tableau du point "II. Evolution générale de la syphilis", on constate que seuls 10% des cas non traités de syphilis évoluent vers le stade de la syphilis tertiaire. En d'autres termes, 90% des cas de syphilis non traités évoluent spontanément vers la guérison (sans médicament donc). C'est du moins ainsi qu'il convient d'interpréter ce tableau, me semble-t-il.

    Très intéressant.

    Ouai, donc la syphilis rejoint les nombreuses maladies qui ont environ 90 % de cas de guérisons spontanées.

  12. COMMENT AUGMENTER LE NIVEAU DE GLUTATHION ?

    Introduction

    On a déjà pu constater à de multiples reprises sur ce forum et entre autres dans ce topic même que la baisse du niveau intracellulaire du glutathion (à savoir plus particulièrement le glutathion réduit ou GSH)  est synonyme de progression vers le stade de sida déclaré.

    Etc...

    Excellent post. Je m'étais demandé il y a quelque temps déjà comment augmenter le taux de glutathion. Je n'avais jamais eu de réponse complète et claire. Là, c'est vraiment nickel.

    Je crois que ça vaudrait le coup de faire un topic dédié et de le commencer par ce post. Ca serait plus mis en valeur.

  13. De toute façon, il faut boire pas mal. Il y a de fortes probabilités que ces problèmes viennent d'un manque d'hydratation (et de l'eau, pas des sodas ou des jus de fruits très sucrés).

    Enfin, encore faut-il être sur que ça soit vraiment un problème de reins bien sur.

  14. Pour Aixur : Dans son régime, mon amie ne prennait pas de suppléments chimiques, mais plutôt des jus de fruits naturels (orange, etc... une piste ?? ). Les symptômes ne disparaissant pas, son généraliste, qui est aussi homéopathe accessoirement, lui a fait stopper tous les antibios et l'a mise sous homéopathie depuis environ une semaine. Pour l'instant, pas de changements. Elle va commencer une cure de vitamines, minéraux et oligo-éléments. Parallèlement, elle continue à faire toutes sortes d'analyses. Ses médecins se tirent les cheveux (déjà 5 radios des poumons : rien)

    D'après ce que dit le Dr F. Batmanghelidj, c'est possible que les jus de fruit aient à voir avec le problème. Ca me semble un peu bizarre ce que dit le Dr F. Batmanghelidj à propos des jus de fruits. J'aurais plus tendance à incriminer une eau pauvre en minéraux, mais bon.

    Mais, en tout cas, si c'est un problème d'hydratation et de manque de minéraux dans l'eau, il y a un moyen très simple de le savoir. Il suffit que ton ami arrête les jus de fruit et boive de l'eau assez riche en magnesium pendant une semaine (et peut-être prenne quelques amuse-gueules salés, genre cacahuètes salées, une fois dans la journée pendant deux jours).

  15. A propos de l'idée qu'une eau trop peu minéralisée pouvait être la cause des problèmes de Pierrot, ça n'expliquait que le problème des fièvres et pas celui de la toux. Mais en lisant ce très intéressant ouvrage du Dr F. Batmanghelidj, peut-être qu'il y a une explication aussi pour la toux.

    Voilà ce que dit le Dr F. Batmanghelidj : http://www.ffjr.com/batman.htm

    L'asthme et les allergies

    L'asthme et les allergies signalent que le corps recourt à un accroissement de la production d'histamine qui, dans son rôle de neurotransmetteur, est aussi en charge de la régulation du métabolisme de l'eau et de sa distribution dans le corps.

    Il est bien connu que les asthmatiques présentent un accroissement de l'histamine dans leurs tissus pulmonaires et qu'elle entraîne la contraction des bronches. Comme les poumons sont l'un des sites favorables à la perte d'eau par évaporation, la constriction bronchique produite par l'histamine réduit la perte d'eau pendant la respiration. C'est donc une manœuvre facile pour garder de l'eau dans le corps.

    L'histamine est un agent qui, outre son rôle de régulateur de l'eau, intervient activement dans les systèmes de défense antibactériens, antiviraux et anti-agents étrangers (chimiques et protéines). Lorsque le niveau d'eau dans le corps est normal, ces actions se maintiennent à un niveau imperceptible et modeste. Quand l'organisme est déshydraté au point que l'activité de l'histamine chargée de la régulation de l'eau devient trop forte, une partie du système immunitaire activant les cellules productrices d'histamine libérera une quantité exagérée du transmetteur gardé en réserve pour ses autres fonctions.

    On a démontré chez les animaux que la production d'histamine dans les cellules qui en génèrent diminue avec une augmentation de la ration quotidienne d'eau. L'asthme et les allergies peuvent être traités grâce à une quantité déterminée d'eau supplémentaire. En moyenne, ces états s'améliorent au bout de trois ou quatre semaines de traitement par l'eau.

    Mr Peck était asthmatique depuis l'enfance et sensible à toutes sortes d'allergènes. Aujourd'hui, il ne connaît plus l'angoisse qu'engendrent ces problèmes. Mr Paturis témoigne également de l'état allergique de son épouse qui s'est amenuisé. Je ne mentionne que ces cas parce que leurs lettres certifient que l'ingestion accrue d'eau les a débarrassé des allergies et de l'asthme dont ils souffraient depuis de nombreuses années. Par le passé, j'ai conseillé ce traitement à un certain nombre de gens qui ont été soulagés de leurs problèmes.

    N'oublions pas que si les poumons reçoivent du sang concentré, la production locale d'histamine est un processus naturel et automatique. Sa libération provoque la constriction bronchique. Si vous souffrez d'asthme ou d'allergies, augmentez votre ingestion quotidienne d'eau. Ne vous mettez pas à en boire trop en espérant rattraper par un excès d'eau et en quelques jours les dégâts causés pendant de nombreux mois ou années de déshydratation. Vous avez besoin de boire une quantité d'eau normale chaque jour, jusqu 'à ce que le corps soit hydraté correctement au terme d'une longue période.

    Evitez de boire plus d'un verre de jus d'orange, ou tout au plus deux par jour. Le contenu en potassium de l'orange est élevé, et son excès favorise une production d'histamine au-dessus de la normale. Les asthmatiques devraient garder cette donnée à l'esprit.

    Mary B. est administratrice d'un service gouvernemental responsable de la santé publique d'une grande ville. Depuis de nombreuses années, elle souffrait d'asthme. Elle ne prenait plus aucun plaisir à se promener dans les jardins. Une peine à respirer la privait des joies du plein air. C'est à un de mes collègues de la Fondation qu'elle se confia. Encouragée à boire de l'eau, elle indiqua qu'elle en consommait de grandes quantités. Quand on lui demanda de préciser ses dires, il apparut qu'elle buvait de nombreux jus d'orange qu'elle comptabilisait comme de l'ingestion à'eau. Mon collègue lui expliqua alors que le jus d'orange a beau contenir de l'eau, mais qu'il ne peut remplacer les besoins en eau pure et simple. Elle accepta de diminuer la consommation de jus et d'accroître celle d'eau. Au bout de quelques jours, son essoufflement diminua. Depuis près d'un an maintenant, elle est apparemment débarrassée de son asthme.

    Ne sous-estimons pas les vertus médicinales cachées dans un verre d'eau. Le corps sachant reconnaître sa présence arrêtera ses demandes et réactions face à la déshydratation. L'eau agira tel un simple code qui ouvrira les plus grandes et lourdes portes. La seule chose requise est que l'ingrédient corresponde à la conception du système. Il s'agit alors de compenser le manque d'eau et de contourner les mécanismes de préservation installés dans les poumons.

    Donc, il est possible qu'on ait la séquence suivante : Pierrot absorbe de l'eau manquant de minéraux, l'organisme transpire pour rétablir un taux de minéraux correct dans le sang, mais ce faisant, l'organisme perd de l'eau. L'organisme étant sous alimenté en eau, selon le mécanisme décrit par le Dr F. Batmanghelidj, une toux se déclenche pour finir par des sortes de crises d'asthme. Sortes de crises d'asthmes qui seront diagnostiquées comme pneumonie par les médecins.

  16. Ce qui semble faire la différence chez Pierrot entre une pneumonie ordinaire et une pneumocystose c’est son statut de séropositif associé à un faible taux de CD4.

    Il me semble que la « séropositivité » est considérée dans les deux théories comme un indicateur d’un système immunitaire déjà immunodéprimé. Ceci semble se refléter dans la réponse de Wallypatt, qui renforce le diagnostique de « séropositif » par les antécédents de toxicomanie de Pierrot. Dans cette réponse, la théorie du stress oxydant dessine aussi une période de latence et un début d’irréversibilité qui semble identique en tout points (sauf sur l’origine) à ce qui est déjà admis dans la théorie virale. C’est pourquoi je me questionne sur la pertinence des tests sérologiques.

    La dissidence remet en cause la spécificité des tests. Les protéines détectées ne seraient pas spécifiquement liées au virus. Hors la question qui se pose aussi dans la théorie du stress oxydant c’est :

    Les mêmes tests réagissent-ils forcément de façon spécifiques à l’effet d’un stress oxydant ?

    Le but de cette question est de savoir si la « séropositivité » qui est établie par les tests est véritablement l’indicateur d’un système immunitaire potentiellement immunodéprimé.

    Si l’on ramène cette réflexion au cas de Pierrot, le fait d’avoir tout arrêté et suivit un mode de vie « sain », il est tout à fait possible de considérer que son statut de séropositif, son passé de toxicomane n’ait aucun lien avec la pneumonie qu’il a attrapée, mais par son mode de vie actuel. Par ailleurs il serait étonnant qu’une pneumonie ordinaire ne soit pas aussi associée à un faible taux de CD4. Son statut de séropositif à très certainement été établi à une époque de sa vie très différente de celle où il y a effectivement attrapé une pneumonie. Cela suffit-il à établir une causalité entre séropositivité et pneumonie ? Causalité qui établit le diagnostique différentiel de pneumocystoses, si je ne me trompe pas.

    La théorie du stress oxydant semble établir le même lien de causalité que la théorie virale, sauf en ce qui concerne la cause de la « séropositivité ».

    VIH - > Séropositivité - > Sida

    Stress Oxydant - > Séropositivité - > Sida

    Cette "séropositivité" est-elle bien un statut fiable ?

    Cordialement.

    Effectivement, ça pose question.

    Personnellement, je ne crois pas du tout à l'irreversibilité du stress oxydatif à partir d'un certain seuil, ni à la capacité prédictive du test de séropositivité associée à un taux de cd4 bas concernant les maladies à venir, ni leur capacité à définir un état de stress oxydatif.

    Pour moi, les causes de maladies agissent relativement rapidement. C'est vrai qu'il y a bien les maladies causées par un mode de vie dangereux (cigarette, surconsommation de nourriture, etc...) qui agissent sur le long terme, mais l'action néfaste est faite en continue. Donc, un truc qui agirait sur 10 ans, alors qu'on a stoppé la cause du truc, ça ne me parait pas crédible. Un gars ayant stoppé la cigarette aurait des poumons et une forme de non fumeur après 10 ans, et un type qui aurait eu du stress oxydatif une fois il y a 10 ans aurait au contraire une lente dégradation de son état ; allons donc.

    A mon avis, le problème de Pierrot n'a rien à voir avec un stress oxydatif qui aurait lentement dégradé son état. Pierrot a du absorber ou faire un truc il ya peu de temps qui l'a rendu malade.

    Il faut faire attention à ne pas faire de la théorie du stress oxydatif la cause unique de tous les maux, ni d'en faire la cause première à chaque fois, alors que parfois, ce n'est qu'une cause seconde. C'est vrai que c'est une théorie très intéressante. Mais il y a de nombreuses autres sources de maladies : équilibre acido-basique, problème de manque de certaines vitamines et oligo éléments, problèmes de surcharge en protéines, problèmes liés à l'eau, problèmes de trop grande fluidification sanguine, problèmes mécaniques, etc... Il faut élargir nos horizons de recherche si on veut comprendre les différents problèmes de santé qui peuvent se poser aux séropositifs (et aux gens en général).

  17. Mon amie boit l'eau du robinet, et était peut-être déjà passablement affaiblie par un régime à la c..., je dis bien peut-être. Je suis dans la supposition totale. Aixur, j'ai de la peine à te suivre avec ton histoire d'eau. Je ne m'y connais pas du tout. Pourrais-tu m'expliquer le rapport entre un manque de minéraux et une inflammation des bronches ou un truc de ce genre ? Sympa icon_wink.gif

    Non, c'est la fièvre que je mets en rapport l'eau trop peu minéralisée. A mon avis, le fait que l'eau manque de minéraux va entrainer de la fièvre.

    Pour le mécanisme, à mon avis, ça doit être lié au fait qu'une eau manquant de minéraux doit diminuer la conductivité électrique des fluides corporels. Du coup, le cerveau doit déclencher un signal pour que le corps transpire (ce qui se fait par une augmentation de la température corporelle, donc, de la fièvre), évacue l'eau et donc, que les fluides coroporels reviennent à une bonne proportion de minéraux. Enfin, c'est un truc comme ça.

    Pour la toux, je ne sais pas. C'est peut-être les antibiotiques qui l'ont causé. Faudrait voir si ça s'est déclenché avant la prise des antibiotiques ou après.

    Au fait, c'était quoi son régime ?

  18. J'ai une amie (en Suisse, comme toi, drôle de coincidence) qui ne fume pas, ne bois pas, ne sors pas, mono-partenaire, bref plus "sain" (sainte) que ça impossible.

    Elle a des symptômes de grippe, toux sèche (genre coqueluche) avec fièvre depuis un mois, et du coup sous antibios (je ne sais pas lesquels) depuis un mois. Elle se trimballe de spécialistes en spécialistes, et d'analyses en analyses. Les symptômes ne passent pas et les diagnostics se succèdent allègrement. Après la pneumonie, elle en est à la tuberculose !

    Ses collègues pensent qu'elle a la grippe aviaire  icon_wink.gif

    Alors tu vois, moi les diagnostics...

    Donc, on a un deuxième cas de ce genre. Ca va dans le sens de ce que je pensais. Peut-être qu'il y a un problème au niveau de l'eau à cause des précipitations qui lessivent l'eau. Eau de montagne qui n'est déjà pas très chargée en minéraux.

    Faudrait voir si, en Suisse, il n'y a pas une petite "épidemie" de cas de ce genre depuis un mois. Si c'était le cas, ça remettrait les choses à leur place.

    Bon, évidemment, il faut que Pierrot et l'amie en question boivent de l'eau du robinet. Ou alors, une eau en bouteille peu minéralisée. Sinon, il faudra trouver une autre explication.

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