Invité ZeH Posté(e) le 20 juillet 2004 Partager Posté(e) le 20 juillet 2004 Des infos complémentaires? Risque de développer une démence chronique pour les porteurs du sida WASHINGTON (AFP) - Les porteurs du VIH/sida qui vieillissent et qui n'ont pas développé la maladie ont un risque de développer une démence chronique similaire à la maladie d'Alzheimer, selon une étude présentée mardi lors d'une conférence médicale à Philadelphie (Pennsylvanie, est). Une protéine appelée peptide B-amyloïde et considérée comme essentielle au développement de la maladie d'Alzheimer, est produite dans le cerveau. Dans les cerveaux normaux, une enzyme appelée neprilysine (NEP) détruit cette protéine l'empêchant de causer des dommages aux cellules du cerveau. Dans le cas des porteurs du VIH/sida, une protéine associée au VIH appelée Tat bloque l'enzyme NEP, permettant à la peptide B-amyloïde de s'accumuler. "Le cerveau est un réservoir pour le VIH. Aussi, même si le virus n'est pas détecté dans le sang, il reste dans le cerveau où la peptide B-amyloïde s'accumule avec l'âge", souligne l'un des auteurs de l'étude, Lynn Pulliam, professeur au Centre médical pour les vétérans de San Francisco (SFVAMC). Selon les chercheurs, l'accumulation sur le long terme de la peptide B-amyloïde dans les cerveaux des personnes infectées par le VIH/sida pourrait accroître le risque de développer une démence similaire à la maladie d'Alzheimer, surtout pour les patients âgés. Les chercheurs ont prélevé des parties du cerveau sur les cadavres de 14 personnes infectées par le VIH/sida et ont constaté une quantité de peptide B-amyloïde supérieure à celle de personnes non-infectées. Ils ont également constaté une corrélation entre le nombre d'années d'infection et la quantité de peptide B-amyloïde trouvée. "Cette découverte est cohérente avec d'autres recherches, montrant clairement que la protéine Tat bloque l'activité de l'enzyme NEP", estime Lynn Pulliam. Alors que des quantités excessives de peptide B-amyloïde ne pourraient pas à elles seules être la cause de la démence, la présence de cette protéine combinée avec d'autres facteurs pourrait être suffisante. Ces facteurs incluent un gène appelé apoE4, considéré comme un facteur de risque, et l'âge. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Terry Posté(e) le 20 juillet 2004 Partager Posté(e) le 20 juillet 2004 Il est evident que lorsque l on est seropositif et que l on prends des traitements sensés nous mettre en pleine forme et lors que l on s apercois, avec le temps, sous traitements, devant la glace qu'on est completement defiguré,deformé et que le docteur vous dit : vos analyses sont bonnes! c est un effet secondaire sans gravité !...on n' y peut rien, sauf un de botox au visage....... IL Y A FRANCHEMENT DE QUOI DEVENIR FOU NON ? CHARLATANT ! "Le cerveau est un réservoir pour le VIH. Aussi, même si le virus n'est pas détecté dans le sang, il reste dans le cerveau où la peptide B-amyloïde s'accumule avec l'âge", souligne l'un des auteurs de l'étude, Lynn Pulliam, professeur au Centre médical pour les vétérans de San Francisco (SFVAMC)." ON devrait le pendre pour avoir ecrit des conneries pareilles ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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