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Cheminot

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  1. Censure, quand tu nous tient ! Voilà la dernière sortie du modérateur (forum sida) de doctissimo : dans le fil : http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/sida/sujet-146425.htm Noter le mot "interdite".
  2. Et voilà le lien de l'étude sur les nitrosamines en anglais : http://reuters.com/newsArticle.jhtml?type=...storyID=5289700
  3. Une étude intéressante, qui permet de comprendre certaines incohérences : Etude faite sur 12000 consommateur de drogues. 3/4 de ces études arrivent au résultat suivant : les utilisateurs de condoms sexuellement actifs ont des taux d'infection nettement plus élevés que ceux qui s'en passent.
  4. Ce qui est surtout intéressant, c'est que le principal remède homéopathique de l'herpès est Natrum Muriaticum, c'est-à-dire le sel marin, qui contient aussi des iodures. Donc, l'herpès pourrait être dû, non à une déficience ou à un excès de sel, mais à un déséquilibre ionique en sodium, chlorure et iodure, sans qu'on puisse vraiment le caractériser par voie chimique. Ces ions sont importants au niveau thyroïdien (on retrouve les pbs de manque de sélénium dans les enzymes thyroïdiennes), et en ce qui concerne la transmission du signal nerveux. Sans dire si la cause de tout ce déséquilibre est purement psychique ou physique (pour moi, c'est la même chose, cela est toujours concrétisé par une modification de la chimie du cerveau), on peut penser qu'il y a interaction entre le fait de recevoir des nouvelles de cette nature et l'apparition d'un herpès.
  5. Tu as raison, Nowar, dès que des personnes se regroupent, déposent des statuts pour fonder une association, et s'ils remettent en cause une partie de la science biologique dominante, ils risquent de passer sous le coup de la loi antisecte. Conclusion : continuer nos réflexions et démarches individuelles.
  6. sur le site de sanegidio.be, on trouve ceci : http://www.santegidio.be/vivaafrica/fr/index.html#PMOZ Soit le fait que leur principal travail a été la réalimentation des habitants du Mozambique dont ils se sont occupés. Il y a aussi très certainement le fait (prouvé par ailleurs) que les antirétroviraux ont une action microbicide sur les mycoses. Les accouchements sont par ailleurs faits dans de bonnes conditions d'hygiène. A suivre donc.
  7. Je voulais continuer à expliquer comment le modèle de la causalité chimique du sida pouvait également fonctionner dans le cas de l'hémophilie (et remettre en cause la manière dont on a traité du sang contaminé), grâce aux articles de Eleni Papadopoulos et al. Mais, apparemment, nos contradicteurs (qui sont toujours les bienvenus), ont déserté les colonnes d'onnouscachetout. Cela me laisse donc du temps devant moi.
  8. Lavienrose cite Nature : Comment veux-tu, après cela, ne pas douter de la bonne foi de Liliane Grandmougin? A moins qu'elle n'y connaisse rien et soit totalement manipulée. Cet article a pourtant été approuvé par le JCV, qui n'est pas un journal de rigolos. Cela veut donc dire que cette clinique a été vérifiée!
  9. Cher Terry, Mes propos ne visent nullement à promouvoir telle ou telle supplémentation. Ils indiquent simplement qu'il y a Sida quand il y aces déficiences. Mais le remède à cet état de chose n'est certainement pas, à mon sens, un surdosage de ces substances (entre parenthèse, le sélénium est un élément simple, métalloïde de la colonne de l'oxygène et du soufre, avec des propriétés chimiques voisines de celles du soufre). D'ailleurs les thérapeuthes alternatifs allemands mettent en garde contre ce genre de remèdes. Quelle est la solution? Car il semble qu'il y ait un point de non retour dans la destruction du système immunitaire (chose que l'on a vérifié cliniquement avec le chloramphénicol par exemple). Tout d'abord, arrêter les médications oxydantes. Puis chercher une méthode permettant de rééquilibrer la vie cellulaire. Pour moi, qui suis chimiste et homéopathe (je connais très bien la méthode, je ne la pratique pas, n'étant pas médecin), c'est une des pistes à explorer. Je crois d'ailleurs que les hôpitaux hindous ont des expériences de ce type, où la séropositivité a disparu.
  10. En ce qui concerne la règle du rasoir d'Okham, la thèse chimique du sida est d'une simplicité enfantine, et répond à tous les problèmes posés par la maladie, et qui ne trouvent jusqu'à présent aucune explication vraiment cohérente à partir de la thèse virale. Bon appétit !
  11. Je continuerai plus tard, il est l'heure du repas cordialement
  12. malheureusement, Nature n'est accessible que par abonnement. Peux-tu s'il te plaît nous donner le contexte de cette photo commentée par Montagné
  13. Je suis en train de répondre plus complètement à une autre de tes questions, Callisto (sans doute demain, parce l'argumentation est longue). Par contre, ce qui serait intéressant, c'est de savoir si ces petites billes ont été trouvées dans le matériel obtenu par double ultracentrifugation, dont on a déterminé par ailleurs qu'il contenait des enzymes tels la GP55 qui est une partie de la rétrotranscriptase,... (auquel cas toutes nos objections tombent), ou bien s'il s'agit simplement d'une photo du plasma d'un malade auquel cas ces petites boules peuvent être n'importe quoi. Il faut tout de même être raisonnable, ce n'est pas parce qu'on a décidé que ces billes sont des rétrovirus qu'elles le sont. Pour le savoir, il faut d'abord les purifier, vérifier que elles seules contiennent le fameux matériel rétroviral,... Montagnier lui-même, dans son interview de 1997 à Djamel Tahi, reconnaît que ni lui, ni Gallo ne l'on purifié.
  14. Ce qui me dérange, c'est que ces personnes font partie de la communauté scientifique : - Rasnick est un chimiste organicien travaillant sur les inhibiteurs de protéases - Duesberg est un chimiste organicien et un virologue - Mullis est un chimiste organicien, prix Nobel pour avoir découvert la polymérase, - Richards est un chimiste travaillant sur la mise aux point des premiers tests d'anticorps P24 - Papadopoulos et Turner sont des médecins biologistes. - Heinrich Kremer, médecin, a été le responsable du traitement des drogués en allemagne, et s'est en particulier occupé de l'échange des seringues. - Alfred Hässig, médecin, était responsable de la gestion des dons du sang en suisse, ainsi que de leur traitement - de Harven, médecin, a été un des principaux experts en microscopie électronique, dans les plus grands hôpitaux américains. Toutes ces personnes ne sont tout de même pas paranoïaques. Pour moi, qui suis également chimiste organicien, il y a apparemment une différence dans le raisonnement du chimiste et dans celui du biologiste : le chimiste considère la vie comme étant de la chimie, et qu'il n'y a pas que des processus purement enzymatiques qui peuvent détériorer la cellule, alors que le biologiste se met au-dessus de la matière en modélisant à outrance. Par ailleurs, pourrais-tu me dire, Callisto (la plus belle!), en quoi la communauté scientifique s'est inspirée des thèses et critiques des repenseurs, et, en particulier, que peux-tu dire toi-même des hypothèses avancées par Eleni Papadopoulos par exemple?
  15. Cette fois-ci, je te suis tout-à-fait, Terry. En effet, toutes les mycoses se développent sur des amas de cellules mortes. Et tous ces composés oxydants signent l'arrêt de mort des cellules épithéliales.
  16. pour mieux entrer dans le débat, il faudrait que tu lises l'échange de haut vol qui a lieu en ce moment sur le site du British Medical journal (en anglais) http://bmj.bmjjournals.com/cgi/eletters/326/7387/495 où le Dr Foley commence à argumenter sérieusement, en ce qui concerne l'isolation du vih. J'attends personnellement la réponse du Dr Papadopoulos. Ce qui est sûr, c'est que l'argumentation de ce(s) dernier(s) mine la recherche générale en virologie depuis environ une trentaine d'année. Il faut aussi se rendre compte qu'il y a un parti pris dans la médecine humaine et vétérinaire, c'est le parti pris de voir dans la maladie une entité exogène liée à un agent infectieux. J'ai moi-même été confronté à ce problème au sujet d'une maladie mystérieuse qui frappe actuellement les troupeaux de vaches laitières. Le laboratoire de Maison Alfort cherche encore actuellement un agent infectieux. Pour notre part, avec un peu de bon sens et des connaissances solides en chimie, nous avons pu circonscrire la maladie grâce à l'éloignement de certaines substances utilisées dans la stabulation. Je pense que la causalité simplement chimique est beaucoup plus souvent présente qu'on ne le pense.
  17. L'argumentaire du nih repose sur le fait que l'on déclare malade du sida toute personne séropositive à certaines protéines. Et il est certain que les véritables malades du sida (maladies opportunistes) présentent des taux élevés de toutes ces protéines, qui sont certainement associées à une présence anormale de certains ARN. Je ferai cependant remarquer que le diagnostic de rougeole se fait sur des symptomes précis, et que les tests biologiques ne sont généralement pas utilisés pour confirmer ce diagnostic (il y a d'ailleurs un gros problème actuellement car nos médecins ne sont pratiquement plus capables de poser un tel diagnostic, la phase aiguë de la maladie étant cachée par la vaccination). Donc, toute démarche logique devrait être : on diagnostique une maladie à partir de symptômes, et les tests doivent à tous les coups être positifs. Or il s'avère qu'en 93, pour qu'il n'y ait plus de personnes non séropositives malades d'une des 26 conditions déjà citées qui soient comptabilisées comme cas de sida, on a défini le sida par rapport aux tests et non pas par rapport à la clinique. En fait, c'est un véritable changement de paradigme médical qui a lieu avec le sida, car de plus en plus, on va déclarer telle ou telle maladie, non pas à partir de la clinique, mais à partir de tests qui ne seront validés que par la présomption qu'ils sont caractéristiques de telle ou telle maladie. On peut d'ailleurs se demander à quoi servent encore les médecins, s'il ne savent plus faire de diagnostic sans tests chimiques.
  18. Donne-nous donc quelques extraits de ces références, et explicite-les nous! Merci!
  19. Il s'agit de la définition de 93, où l'on voit que pour qu'il y ait sida, il faut qu'il ait une des 26 maladies + la séropositivité. Ceux qui ont une de ces 26 maladies sans la séropositivité souffrent d'une autre maladie que le sida, selon les dires mêmes du CDC. Cette définition est donc circulaire et ne prouve rien du tout. En même temps, elle rend caduc tout le reste du document.
  20. Le problème avec le préservatif nest pas de savoir si les trous sont capables de laisser passer ou non le « vih ». Il est de savoir sil préserve de lacquisition de la séropositivité, qui, si elle nest pas appréciée de manière identique par les « officiels » et les « repenseurs », représente en tout état de cause un indice certain de déficience du système immunitaire. La réponse fournie par Lavienrose nécessite une référenciation. Est-ce un avis dun expert (on peut imaginer que...) ou est-ce le résultat dune expérimentation correctement publiée dans un des grands journaux scientifiques (Lancet, Nature, NEJM, PNAS,...) Quant à moi, je continue à rassembler des données expérimentales ainsi que des revues de données expérimentales, ce qui me semble être le seul moyen davancer : Par exemple, voici une étude réalisée en Uganda en 2003 et publiée dans le Lancet : Lancet. 2003 Feb 22;361(9358):645-52. Où il est montré que, si limpact du préservatif sur la transmission des MST classiques est indéniable (doù la nécessité de continuer à recommander le préservatif dans le cas des relations extraconjugales), son rôle quant à la protection vis-à-vis de la transmission de la séropositivité « vih » est nul. Suivent les habituelles réflexions pour faire cadrer ces données expérimentales dans la logique du « vih ». On retrouve dailleurs la même argumentation spécieuse dans larticle du Dr. Anand Pant que jai cité plus haut : quand les faits dérangent, on les contourne par nimporte quel moyen, même par le jambon (allusion au sophisme que jai utilisé dans un autre topic). Alors quon nous donne les références de données expérimentales qui montrent queffectivement, le préservatif protège de la transmission de la séropositivité, ce qui, évidemment, clorait notre discussion. Mais attention, il ne sagit pas de documents où cette protection est avancée comme pétition de principe (cela court les rues), mais de données expérimentales qui la prouvent.
  21. Il y a d'ailleurs une réponse à ce texte, fortement documenté, lui, par Matt Irwin et al. à l'adresse suivante : http://www.healtoronto.com/nih/main.html par ailleurs, après m'être énormément documenté, je suis bien plus séduit par la logique d'une causalité chimique ou biochimique, que par une causalité virale qui se transmettrait de personne à personne.
  22. Le lien ne fonctionne pas, bizarrement. Diamant bleue a raison. Toutes les réfutations des thèses qui ne reconnaissent pas la validité du virus vih sont faites sur des arguments d'autorité, sans aucune démonstration et surtout, sans aucune référence à des publications d'expérimentation. Les références avancées sont toujours celles de points de vue de tel ou tel. Je ne nie pas la possibilité qu'il y ait un virus transmissible à la base, mais j'aimerai que l'on me donne une démonstration logique et claire à partir de faits. Et celle-ci n'existe que dans notre imaginaire. Regarde la réaction de Lavienrose, que je ne juge pas par ailleurs. Au lieu de répondre point par point à notre questionnement, ce que pour notre part nous essayons de faire, il nous envoie des opinions écrites par tel ou tel, sans aucune démonstration logique, comme si le sujet n'en nécessitait pas. N'oublie pas non plus que nous ne réfutons pas la réalité du sida, nous posons simplement la question des causes, qui est d'ailleurs un débat qui va plus loin que le simple vih et qui englobe la totalité de la médecine, sauf la traumatologie, où la causalité est acceptée "worldwide".
  23. encore un mot sur l'AZT. Anthony Brink, avocat sud-africain, a mis devant leurs responsabilités les plus grands spécialistes sud-africains du sida. Grâce à l'article de Eleni Papadopoulos qui montrait noir sur blanc, à partir d'une étude de 1994, que l'AZT n'était pas suffisamment métabolisé (en termes corrects : triphosphorylé) pour pouvoir s'insérer dans la chaîne croissante de l'ADN "rétrovirale", et sous la pression du Président Mbeki, il a obtenu une réponse de Peter Folb, ancien directeur de l'OMS, qui est la suivante : ( http://www.debating-azt.co.za/main.htm ) Lavienrose, avant de poser un jugement à partir du jugement d'une "autorité" quelconque, ne te ferme pas les yeux, exerce ton propre jugement à parir de données vérifiées et vérifiables, et ne te fie pas aux personnes qui disent : c'est ainsi et pas autrement. Certes, c'est un peu ce que j'ai fait avec la thermodynamique dans mon post précédent, mais connais-tu quelqu'un qui remt en cause les potentiels d'électrode?
  24. par ailleurs, si les analogues nucleotidiques tels que la lamivudine, la ddi,..., ne me semblent pas dangereux en dehors de leurs propriétés d'empêcher la formation de l'ADN "viral", l'AZT, qui, sur le papier fonctionne de la même façon que le précédent, possède tout de même une fonction azoture, et tu sais bien, en tant que chimiste, que le potentiel redox du coupple RN3/RNH2 est de l'ordre de 0,7 - 0,8 V, ce qui permet de penser au caractère fortement oxydant de l'AZT. Ceci est indéniable. C'est de la chimie classique. Tu ne peux t'y opposer. D'autant que les quelques études étudiant la réactivité de l'AZT vis-à-vis des réducteurs tels que le glutathion ou le dithiothréitol (HOCH2-CHSH-CHSH-CH2OH) montrent bien une réaction totale. Reduction of AZT and AZT nucleotides by thiols. Kinetics and products identification John E Reardon & al. The Journal of Biological Chemistry Vol 269, n°23, Issue of June 10, pp 15999-16008, 1994 mais aussi : Reduction of AZT by Glutathione Handlon A.L. & Oppenheimer N.J. (1988) Pharm. Res. (N. Y.) 5, 297-299 Je repose ma question : comment justifier l'utilisation d'un tel composé alors qu'il est clairement montré que le Sida est intimement lié à une très forte déficience en thiols : Herzenberg, Leonore A., Stephen De Rosa, J. Gregson Dubs,Mario Roederer, Michael T. Anderson, Stephen W. Ela, Stanley C. Deresinski, and Leonard A. Herzenberg. 1997. Glutathione deficiency is associated with impaired survival in HIVdisease. PROC. NATL. ACAD. SCI. U.S.A., vol 94: pp 1967-1972; March 1997 et voici le lien vers la publication complète : http://www.pnas.org/cgi/content/full/94/5/1967
  25. Lavienrose, tu confonds toujours sida et vih dans ton raisonnement. C'est devenu pour toi une seconde nature. Tu n'arrives pas à t'en départir. réfléchis un peu. Il y a une maladie, avec des signes, (et je compte parmi ceux-ci les tests sérologiques) qui est concrète, palpable. Et il y a la cause supposée : un virus. Je dis bien supposée, car les derniers kits de test que l'on trouve sur le marché le disent bien : " le vih, qui est supposé être la cause du Sida" GM Carter, un pourfendeur des "repenseurs" sur "misc.health.aids" vient de donner une référence qui, contrairement à ses attentes, mets de l'eau dans leur moulin : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...t_uids=12410528 Parlons d'abord du Sida, avec des protéines P24, P41, P55,....GP160 en abondance dans le plasma. Je pense qu'il s'agit de protéines qui appartiennent aux cellules humaines (puisque un Western Blot non dilué en fait apparaître chez tout un chacun), mais dont la production (ou la mise en circulation) est exacerbée dans le sida. La gravité de la situation dépend du taux de ces protéines. On peut par exemple observer jusqu'à 40 à 50 fois la valeur normale chez un malade. Si l'épidémiologie réalisée en Europe donnait des certitudes quant à une transmission virale, on pourrait sans broncher approuver une telle étiologie. Mais là encore, les études sont totalement contradictoires (en dehors des pétitions de principe qui courent les rues). Les résultats de la revue effectuée par le Pr. Anand Pant de l'université de berlin n'ont toujours pas été expliqués ni réfutés ("transmission" plus importante chez les utilisateurs de préservatifs et chez ceux qui utilisent des seringues propres) http://www.fu-berlin.de/cgi-bin/htdig/show...0Nr.%20226%2F99 Alors qu'une étiologie liée à l'absorption de substances chimiques, qu'elles soient médicamenteuses ou non, permet d'expliquer ces résultats sans coup férir. La maladie est grave, et j'ai déjà indiqué ici qu'il me semble qu'il y a un point de non retour dans l'affaiblissement du système immunitaire, ce qui fait que le Sida s'aggrave continuellement sans intervention extérieure à partir de ce moment-là. Ce phénomène, on le retrouve dans les suites d'intoxication médicamenteuse, comme par exemple avec le chloramphénicol (voir www.rxlist.com, et lire les propriétés pharmacologiques de cette substance). Comme par hasard, le chloramphénicol est un dérivé nitré, donc oxydant (le thiamphénicol, où le NO2 a été remplacé par un sulfonate, ne présente pas ces dangers), et il est utilisé de manière universelle en Afrique et en Thailande, alors qu'ici il est interdit. Entre parenthèse, je ne met pas tout sur le dos du chloramphénicol, mais sur les composés chimiques qui présentent des propriétés voisines : ceux qui comportent des azotes oxydés [et la plupart des drogues, qui comportents des amines secondaires (MDMA) ou tertiaires (cocaïne, héroïne) sont très facilement oxydées en hydroxylamines ou en N-oxydes]. Là encore, il y a un point de non retour qui dépend de la dose utilisée. En ce qui concerne la thérapeutique, ne rien faire me semble très dangeureux. Il est fort possible que les inhibiteurs de protéase et certains analogues nucléotidiques (stavudine, dehydroinosine, etc...) aient une action antifongique sur les responsables des maladies opportunistes (et c'est même certain, puisque cela a été expérimentalement démontré, il faut que je retrouve les références). Mais cela ne suffit pas, et c'est pourquoi je m'intéresse beaucoup aux dires d'un thérapeute allemand, Wilfried Bales, qui lui aussi, pense que le vih n'est pas la cause, mais qui tire la sonnette d'alarme chez les "dissidents", en leur indiquant qu'il faut se soigner pour remonter le système immunitaire. Curieusement, c'est bien là le propos des vaccins "thérapeutiques", non ?
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