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Cheminot

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Messages posté(e)s par Cheminot

  1. Eh non, Terry, incurable ne veut pas dire mortel. Il y a des eczémas incurables qui durent toute la vie.

    Plus justement, on peut dire : incurable pour la médecine classique. C'est d'ailleurs parce qu'elle n'arrivait plus à faire disparaître ces affections qu'elle a cherché et paru trouver une cause ne mettant pas en jeu sa propre responsabilité : le virus.

  2. Bonjour Daddou et merci pour tes réponses.

    Le fait important est ta grossese lors du test.

    Ci joint la référence d'une étude opéré en 2000 au Texas :

    http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...t_uids=11031402

    et le texte complet :

    http://archfami.ama-assn.org/cgi/content/full/9/9/924

    L'abstract dit ceci, en substance :

    These researchers found reduced absolute CD4 counts, as well as reduced percentages of CD4+ T-cells in 76 women with normal pregnancies. By the third trimester, the pregnant women had an average of only 543 + 169 CD4+ T-cells, compared to 1073 + 441 in non-pregnant women who served as controls. Both the absolute numbers and the percentages stayed low until several months post-partum, and similar results were obtained for the CD4/CD8 ratio which was also reduced.

    Ces chercheurs montrent une réduction des décomptes absolus de CD4,..., chez 76 femmes en grossesse normale,... soit une moyenne de 543 comparée à 1073 chez les femmes non enceintes.

    Il est vrai que cela, c'était avant le mise sur le marché des tests vih, mais il aurait été bien surprenant que toutes ces femmes aient été séropositives.

    Autre référence plus récente qui va dans le même sens (2003, avec abstract) :

    http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...t_uids=14609046

    Et effectivement, refais un test antigène P24 anonyme. Tes CD4+ sont remontés,... c'est normal 6 mois après ta grossesse. Tu devrais peut-être leur faire étudier ces références...

    cordialement

  3. Tout simplement parce que la séropositivité n'est pas synonyme de Sida.

    Elle montre simplement que quelque chose est plus ou moins perturbé.

    Ne pas oublier que le mot Sida regroupe initialement une série de maux caractérisés essentiellement par des mycoses récidivantes.

    La présence de ces protéines montre simplement une hyperstimulation du système immunitaire (genre maladies autoimmunes ou alloimmunes).

    On retrouve ce type de composition sanguine chez beaucoup de personnes présentant ces maladies opportunistes incurables. A noter que Gallo lui-même n'a pas retrouvé ces concentrations de protéines chez tous les malades diagnostiqués "Sida", ce qui ne lui a cependant pas posé de problèmes pour faire le lien entre les deux.

    Par exemple, une maladie locale comme la PCP peut très bien apparaître sans la séropositivité chez les personnes qui ont abusé de poppers par inhalation. Il s'agit toujours d'un stress oxydatif, mais qui s'est limité aux alvéoles.

    Par contre, si ce stress continue, les protéines apparues vont se répandre dans la circulation, et apparaît le syndrome de Kaposi.

    Les consommateurs de drogue oxydante par IV, eux, sont certainement plus enclins à présenter une séropositivité, mais sans syndrome de maladie, tout du moins tant qu'ils renoncent à leur dépendance mortelle.

    De même, lorsque l'on vient de se faire vacciner contre la grippe, il y a apparition de P24 en particulier, et si le médecin prescripteur n'est pas au courant de ce fait, il vous déclarera séropositif.

    Dire que la séropositivité est irréversible, c'est sans doute vrai pour la médecine classique, qui, comme elle ne comprend pas ou ne veut pas comprendre l'origine réelle de cette anomalie, va encore renforcer le stress oxydatif en pensant traiter la cause supposée (le "vih") ou les maladies opportunistes, car énormément d'antibios ne fonctionnent bien que parce que leur prise est associée à l'augmentation des entités oxydantes réactives.

    par exemple cette référence :

    http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...t_uids=12446177

    Increased nitric oxide production by neutrophils from patients with chronic granulomatous disease on trimethoprim-sulfamethoxazole. (NDLR : bactrim)

    Cependant, la méthode proposée par un médecin nigérian et décrite dans le journal Vaccine semble provoquer la séroréversion : c'est en fait un autovaccin, un peu comme ceux promus au début du 20ème, mais pour lesquels il n'y a pas vraiment d'explication détaillées. Apparemment, cela fonctionne selon le principe de similitude.

    Enfin, ne pas oublier que l'on a cru que la connaissance de la structure primaires des protéines at le calcul de leur structure spatiale par ordinateur allait apporter la connaissance parfaite du fonctionnement cellulaire. Il devient évident qu'il n'en est rien.

    J'ai même pu lire un article de chimie traitant de la mutation de la rétrotranscriptase permettant d'expliquer la résistance à l'AZT. J'ai pu montrer à un microbiologiste moléculaire que cette explication ne respectait pas les règles fondamentales de la chimie. Mais comme ceux qui travaillent dans cette branche ne connaissent pas vraiment la chimie, ils sautent allègrement à pieds joints sur ce qui fait difficulté, pour démontrer ce qu'ils veulent faire passer.

  4. Je me base, pour étayer ma position, sur les affirmations d'un praticien allemand holistique, Wilfried Bales.

    Lui non plus ne reconnais pas la responsabilité du vih, ni dans la séropositivité, ni dans le Sida déclaré.

    Cependant, il dit très nettement qu'au bout d'un temps plus ou moins long, et surtout si on a pris de l'AZT, du bactrim, et d'autres médicaments qui sont fortement oxydants, on va vers l'apparition de maladies opportunistes qui menacent la vie même des personnes.

    Il le tire de sa pratique.

    Il reconnaît une certaine efficacité symptomatique à la trithérapie, mais recherche avant tout à remettre le terrain en état grâce à diverses méthodes alternatives.

    Il indique que dans certains cas, les dégâts commis par les drogues et les médicaments sont tels qu'il ne réussit pas à les sauver.

    En fait, la séropositivité mesure cet état de stress oxydatif, et le fait que les tests donnent pour tout le monde des résultats continus de 20% de l'index jusqu'à parfois 2000% milite bien pour une cause chimique plutôt qu'une cause virale qui devrait donner une discontinuité entre les séronégatifs et les séropositifs.

    Bien entendu, l'AZT a un pouvoir oxydant bien plus élevé que celui de la cocaïne, c'est pourquoi l'augmentation de la mortalité chez les hémophiles séropositifs date de 1986, au moment où l'AZT a été mis sur le marché.

    Noter aussi qu'en dehors du syndrome de Kaposi (dont Gallo a d'ailleurs indiqué récemment qu'il ne devait plus faire partie des maladies de type Sida), les autres mycoses sont assez localisées :

    appareil respiratoire pour les PCP (les poppers, la cocaïne n'y seraient-ils vraiment pour rien)

    appareil digestif pour les mycoses intestinales, existant surtout en Afrique (où on se sert du métronidazole pour éliminer les vers intestinaux),...

  5. Les remarques suivantes sont de caractère moins spécialisé, et de signification plus générale.

    1) Dans le projet " Concorde " qui fur organisé en France et au Royaume Uni au début des années 1990, la mortalité du groupe dindividus séropositifs traités par lAZT dès le sérodiagnostic sest avérée être de 25% plus élevée que celle du groupe placebo. A-t-on jamais informé nos patients de ce résultat avant dobtenir leur " consentement informé " pour un traitement par lAZT ? ?

    2) Depuis 1996, les recommandations des autorités américaines en matière de sida étaient de " frapper vite et fort ", cest-à-dire de donner la tri-thérapie la plus active (HAART) dès le diagnostic sérologique posé, même chez des sujets parfaitement asymptomatiques et en bonne santé.

    En février 2001, lors de la même conférence qui sest tenue à Chicago, les mêmes autorités (Anthony Fauci entre autres) ont fait une volte-face complète. La recommandation est maintenant de ne plus donner de tri-thérapie aux séropositifs asymptomatiques mais dattendre lapparition de symptômes cliniques graves, ces nouvelles recommandations étant basées sur lévidence de la toxicité des anti-rétroviraux utilisés `

    Ce retournement complet de lapproche thérapeutique a reçu des échos très différents dans la grande presse.

    Dans le NY Times du 4 février, L. Altman parle dune modification fondamentale de lapproche thérapeutique (" a major philosophical shift ").

    Dans Le Monde du 12 février, Elisabeth Bursaux évoque les effets secondaires toxiques et lapparition de souches résistantes du virus, sans faire échos aux nouvelles recommandations....

    3) Enfin, faut-il rappeler que le gouvernement sud-africain a publié le 4 avril dernier un très volumineux " Rapport Intérimaire " sur lattitude des autorités de Pretoria en matière de lutte contre le sida, que ce rapport a été communiqué à toutes les grandes agences de presse du monde entier, mais que je ne suis pas parvenu à trouver le moindre écho à ce rapport dans la presse française.

    Il convient également de souligner, puisque la presse et les médias ne le font pas, que les médicaments anti-rétroviraux génériques seront, par définition, aussi toxique que les médicaments dorigine, et que si ces médicaments sont trop toxiques pour être administré aux séropositifs asymptomatiques américains, ils le seront tout autant pour les séropositifs africains, le prix de ces médicaments ne changeant rien au problème.

    En conclusion, je pense quen effet il y a un immense problème dinformation, information des médecins, des malades et du public, et que lutter pour une meilleure information a beaucoup plus de chance daméliorer les conditions de la lutte contre le sida que laccumulation de billions de $$ destinés à lachat de médicaments très toxiques prescrits sur la base de données sérologiques non-vérifiables.

    Jajouterais à cette conclusion la remarque quelque peu philosophique suivante : en recherche médicale, lorsquune hypothèse est émise, en 1983, sur lorigine virale dune maladie et que 18 années plus tard la recherche spécifiquement basée sur cette hypothèse na conduit à la découverte daucun traitement curatif, ni à la mise au point dun vaccin, ni à des prédictions épidémiologiques vérifiables, il me semble quil devient très urgent de se demander si lhypothèse de lorigine virale de cette maladie était exacte.

    ERRARE HUMANUM EST, SED DIABOLICUM PERSEVERARE...

  6. La seule explication possible est une réaction en chaîne qusiment irréversible

    si c'etait le cas, le corps serait oxydé de proche en proche se transformant en CO2 et en eau, rongé de l'intérieur. ta théorie ne tient pas... et tu oublies une autre "explication possible" : le... virus (TADAM !) c'est dingue.

    Si tu me lis bien, il y a normalement régulation, et tout fonctionne bien, les ROS étant réduits par le système SOD, GPX et GR.

    On montre clairement par exemple que le malade du sida (qui existe vraiment, et qui est lié à une augmentation du taux plasmatique de certaines protéines (P24, etc...)) a un taux de sélénium anormalement bas, ce qui empêche la GPX de faire réagir proprement H2O2 avec GSH pour donner H2O et GSSG, qui sera recyclé par la GR grâce au NADH. Si ce cycle est rompu, le glutathion est mis au contact direct de l'eau oxygénée, et on montre alors qu'il est oxydé en sulfinates et sulfonates, puis en sulfates : il est perdu pour le métabolisme (ce taux excéssif de sulfate est à l'origine de la diarrhée des malades du sida, il suffit pour s'en convaincre de lire un bon bouquin de toxico).

    Qu'est-ce qui fait disparaître le sélénium, qui est sous forme de sélénocystéine dans la GPX ? Cela ne peut-être que les oxydants surnuméraires auxquels a été soumis le malade. En effet, le sélénium est dans la colonne des chalcogènes et se comporte comme le soufre, avec un caractère réducteur bien plus marqué. Rends-toi compte, si tu connais un peu la chimie, que le potentiel rédox du couple AZT/AMT est de 1,6 V à pH=1 et celui du couple RSeO3(-)/RSeH est de 0,4 V environ. Comment peut-on imaginer un seul instant que ce type de composé (l'AZT)ne va faie que de s'insérer dans l'ADN pour en bloquer la transcription? C'est un non-sens physique!

  7. le virus du sida, jamais photographié jamais isolé ?

    et la légende :

    Virus VIH-1 (étape de bourgeonnement à la surface d'un lymphocyte), agent causal du sida. Isolé en 1983 par l'équipe du Professeur Montagnier à l'Institut Pasteur (FR). © Institut Pasteur

    alors bien sur, vous allez me répondre que c'est un complot des firmes pharmaceutiques... mais bien sûr !

    Le seul ennui, Igor, c'est qu'il s'agit ici d'une photo au microscope électronique, non pas d'un isolat sensé contenir du matériel rétroviral, mais d'un lymphocyte pris dans le contexte du plasma brut. Il s'agit-là, non d'un complot, mais d'une erreur d'interprétation.

    Ce n'est qu'en 1997 que l'on a photographié l'isolat obtenu par double centrifugation, et on n'y a rien trouvé qui ressemble aux vésicules que tu nous montre (Gelderblom & al.)

    Plus récemment, une autre méthode de microscopie donne des résultats similaires.

    Ce qu'on remarque en particulier, c'est que les aspérités que l'on voit dans ces vésicules qui bourgeonnent du lymphocyte, n'existent pas dans les débris isolés. Or ces aspérités devraient exister pour permettre au virus d'être infectieux (on a montré que l'activité de rétrotranscription était suscitée par cet isolat, dans des conditions oxydantes d'ailleurs).

    Il y a trop d'incohérences, trop de suppositions gratuites dans cette affaire-là, pour qu'on gobe cela sans y regarder de plus près.

  8. En arriére-plan de tout cela on voit bien quand même que deux visions du monde s'affrontent.

    La réalité pragmatique restant apparemment insuffisante pour créer un consensus.

    Car ce n'est évidemment pas du tout la même chose si on accepte l'idée que

    1//le sida est une maladie du terrain, le résultat d'un certain nombre de comportements (ayant comme trait commun d'avoir oxydé ce terrain et d'avoir ainsi affaibli ses défenses).

    Il devient alors urgent d'informer sur les risques créés par ces comportements oxydatifs et d'en faire l'inventaire.

    ou bien si l'on préfére croire qu'il s'agit

    2//

    d'une maladie contagieuse par un virus envahisseur autonome dont il faudrait se protéger pour ne pas l'attraper (car il pourrait frapper quiconque quels que soient ses comportements).

    La vérité est elle toute entiére d'un coté?

    Les a priori socioculturels des chercheurs ne les empéchent-ils pas d'interpréter les résultats d'expériences dans un sens qui contredirait leur maniére d'être (et de penser)?

    Le fait de définir comme "risqués" certains comportements d'une maniére non plus morale mais physique n'est-il pas ce qui pose probléme dans le subconcient collectif occidendal?

    Le sida pose beaucoup de questions.

    En physique on sait que les particules ont des propriétés à la fois ondulatoires et corpusculaires.Une particule peut sembler être une onde ou une particule selon l'angle de vue envisagé.

    Autre question pour toi Cheminot

    (et encore merci pour tes réponses, même si j'ai du mal avec l'anglais)

    Toutes ces données chimiques restent pour moi trés abstraites.

    En ce qui concerne la "contagiosité" est-il possible de concrétiser un peu?

    Que se passe t-il par exemple quand on injecte des protéines virales à une souris?

    ou

    si une seringue contenant le sang d'un malade trés atteint te pique, comment ton corps va-t'il réagir?

    Vas-tu devenir séropositif ou pas?

    (j'ai bien conscience qu'être séropositif, n'est probablement que le résultat d'un test)

    Et si oui est-ce uniquement un effet de marqueur sans conséquence pour la santé?

    Bien à vous.

    Elisa

    Oui, elisa, il s'agit bien de l'affrontement de deux modes de penser la maladie.

    D'une part, une conception hippocratique, qui considère que nous sommes les premiers responsables de notre état de santé, d'autre part une conception pasteurienne (voire rousseauiste : l'homme naît bon et sain), pour laquelle la maladie nous saute dessus.

    Pour te répondre.

    Tout d'abord, de quelle référence parles-tu, dans cette histoire d'injection de protéines "virales"?

    De toutes manières, le Sida étant considéré par les repenseurs comme une maladie auto- et alloimmune, que l'on injecte des protéines provenant d'un sang dont on a détecté la séropositivité ou non, les souris vont présenter la P24, la GP120, et vont devenir malades (j'ai oublié de dire que les fameuses souris non infectées ont développé un syndrome proche de celui du Sida)

    Le nombre de personnes dont on a détecté la séropositivité après une piqûre de seringue est très très faible (une centaine au monde). En fait, on est là encore au niveau du bruit de fond, et on ne sait pas quelle a été leur comportement par ailleurs.

    Si quelqu'un devient séropositif (là je me démarque de certains dissidents et je rejoins le groupe de Perth), il doit savoir qu'il a une perturbation du système immunitaire qu'il ne devra pas prendre à la légère. Il faudrait trouver des médecins français un peu au courant du courant de pensée dissident, sachant que, si la trithérapie empêche l'AZT d'être mortel, il y a nécessité de "requinquer" le système immunitaire. Mais attention, comme le dit bien Terry, il faut savoir doser, et les antioxydants ne sont pas à manipuler à la légère.

  9. Bonsoir tous,

    Deux jours sans ordi...

    Tu sais, Terry, je n'ai pas touché à un seul médicament du type de ceux que tu décris depuis 35 ans. Tu le vois, je suis entièrement d'accord avec toi,... pour moi. Mais on ne peut donner aux autres de tels conseils sans risquer gros.

    Par ailleurs, ces médocs ont parfois une certaine action positive (ou plutôt, comme tu le dis, ils atténuent les effets nocifs d'autres substances).

    Je répondrai demain à Elko, il se fait tard.

  10. Cheminot, ce qui est effrayant dans ce que tu viens de publier c'est l'article sur les souris qui ont les marqueurs utilisés par les tests sans avoir été exposé au "vih"... Car cette étude date de 1991.

    Donc depuis cette date, des scientifiques savent que ces marqueurs (anticorps sur gp120 et autres) ne sont pas spécifiques et ne sont pas une marque du SIDA....

    Et le milieu "officiel" continue depuis 13 ans malgré tout à condamner à mort des gens avec des tests bidons.... icon_eek.gif

    A gerber...

    Diamant

    N'est-ce-pas?

    C'est pour cela qu'il est assez incompréhensible que les gouvernements aient laissé faire...

    Je rajoute d'ailleurs ici le commentaire d'un ingénieur sud-africain, homosexuel par ailleurs, au grand débat qui alieu en ce moment sur le British Medical Journal :

    L'insistance du groupe de Perth concernant l'isolation me semble totalement valide. Moi non plus, je ne peux comprendre pourquoi les scientifiques orthodoxes ne sont pas capables de me présenter une image du virus, mais attendent de moi que je croie qu'il existe. Rien dans toutes les réponses lues sur ce site, n'a pu encore me convaincre que cette image n'est pas requise pour prouver l'existence du virus. Après avoir lu la publication de Toplin et Sinoussi (Toplin, I., 1973. Tumor Virus Purification using Zonal Rotors. Spectra No. 4:225-235.) je vois qu'il est possible d'isoler des rétrovirus. La réponse orthodoxe que le VIH ne peut "survivre" à l'ultracentrifugation aurait dû au moins les pousser à s'arrêter et à réfléchir. Mais il semble qu'ils ont continué sans un regard avec un zèle religieux pour prouver que ce rétrovirus existe.
  11. cheminot

    2 questions pour toi

    Endogenous generation of reactive oxidants and electrophiles and their reactions with DNA and protein : Génération endogène d'oxydants et d'électrophiles réactifs et leurs réactions avec l'ADN et les protéines

    La partie intéressante concerne les dommages que subit l'ADN, en particulier le tableau suivant :

    --Resize_Images_Alt_Text--

    qui montre les mutations apparaissant lors de l'oxydation des bases qui constituent l'ADN.

    Ils indiquent bien dans ce texte le rôle majeur des oxydants azotés.

    Lors d'une prise massive d'oxydants (l'AZT ou les antibiotiques nitrés) ou de prooxydants azotés (les drogues dures par exemple), le système de réparation est sans doute dépassé par les événements, et apparaît sans doute alors un point de non retour(nous sommes aussi obligé de formuler des hypothèses, tant que des études sur ce point-là n'ont pas été faites)

    Remarquer aussi que cet article précise l'action de ces entités oxydantes réactives dans l'apoptose des cellules immunitaires, c.a.d. dans cette mort cellulaire qu'on appelle le Sida.

    Je réponds enfin à ta dernière question.

    Je suis très sceptique quant à la transmission d'un virus. Par contre, je pense que lorsqu'il a apparente séroconversion, il y a eu simultanément soumission à un stress oxydatif massif. Mais, comme les médecins recherchent "le rapport sexuel" qui aurait pu permettre cette séroconversion, ils passent à côté de ce stress oxydatif. Les chiffres du ministère, comme tu le dis, sont éloquents et montrent bien que la transmission hétérosexuelle est de l'ordre du bruit de fond.

    Par contre, le caractère allogénique des transfusions et de la prise de facteur VIII par les hémophiles suffirait à lui seul d'expliquer la séroconversion.

    Le groupe de Perth (Eleni Papadopoulos) indique quant à lui que le caractère allogénique du sperme pourrait expliquer la séroconversion importante des personnes qui vivent les rapports anaux réceptifs (3%) (remarquer que la séroconversion de ceux qui vivent des rapports anaux insertifs est de l'ordre du bruit de fond)

  12. Encore un petit mot sur les tests.

    Il est clairement écrit dans les documents officiels que l'on définit un index d'absorption qui va séparer les séropositifs des séronégatifs. Admetteons que cet index vale 1. Quelqu'un qui a une absorption de 1,1 est considéré comme séropositif, celui qui a 0,9 comme séronégatif.

    Etant donné que le test détecte la même protéine, il est plus que probable que cette protéine (censée être spécifique du "vih"), est présente chez chacun d'entre nous, et est en fait un marqueur du statut oxydant de nos cellules, plutôt que d'un rétrovirus, qui pourrait être la conséquence et non la cause de ce statut.

  13. Quant au lien du ministère de la santé, il est tout simplement étonnant que vous ne lisiez que ce qui vous intéresse.

    Il est normal de ne retenir que les faits dans un tel texte (ici les probabilités de séroconversion par acte). Le reste n'est que le reflet de la pratique clinique. Cette pratique, qui présente certains résultats, se base, selon nous, sur des prémisses erronés.

    Ainsi, comme je l'ai déjà indiqué, l'AZT a montré seul son inefficacité et sa toxicité (c'est ce que l'on a appelé pudiquement monothérapie)

    cordialement

  14. Un pour mille ne contactera pas le sida en cas de rapports avec une seropositive.C'est la proportion.Meilleur exemple que je connaisse Paul Michael Glaser vous savez de Starsky et HUtch.Sa femme transfusee devient seropo sans le savoir,ils font deux enfants.Sa femme et ses deux enfants sont decedes,lui est toujours seronegatif. Sinon restons raisonnable et evitons les comportements a risque.

    TU veux dire que seulement un pour mille contractera la séropositivité en cas de relation sexuelle avec un(e) séropositif(ve), dans le cadre d'une relation vaginale stricte. Attention à la négation que tu as utilisée.

    Le taux est même plus faible selon le gouvernement français ( http://www.sante.gouv.fr/pdf/dossiers/sidahop/ch16.pdf ) : 5 pour dix mille

    Combiné avec le taux de séropositifs en france : 4 pour mille,

    cela nous donne une probabilité de devenir séropositif lors d'une relation non protégée aléatoire de 2 pour un million.

    En fait, on n'a jamais vraiment montré qu'un virus pouvait passer par le sperme ou inversement. Et surtout, on n'a pas étudié les autres facteurs qui ont été communs aux personnes séropositives. L'hypothèse sexuelle et sanguine, donc virale, a été acceptée ex cathedra.

    Pour plus de détails en français, voir la site indiqué par aixur.

    Si tu parles anglais, un bon site est celui du groupe de Perth, formé de médecins et de biologistes :

    http://www.theperthgroup.com

    Quant à Michael Glaser et sa famille, nous pouvons supposer qu'à l'époque où cela s'est passé, l'AZT seul a été prescrit, ce qui a provoqué la mort de toutes ces personnes.

  15. le cotrimoxazole est en fait le bactrim, combinaison de sulfaméthoxazole et de triméthoprime. C'est un antifongique puissant et été depuis longtemps utilisé aux EU pour soigner la pneumonie à carinii chez les homosexuels qui en sont atteints.

    C'est une substance superoxydante, qui diminue le taux de glutathion, mais bien entendu, comme tous ces traitements, elle combat les maladies opportunistes del'immunodéficience, avec comme corollaire à long terme de voir les marqueurs de l'immunodéficience s'aggraver.

    Quant à ces enfants séropositifs, les études de Gisselquist, Brody et Potterat montrent qu'ils ne sont pas généralement devenus séropositifs par transmission mère-enfant ou par voie sexuelle, mais bien plus au moment d'actes médicaux. On peut penser que ces enfants sont déjà passés dans les hôpitaux de la région pour des verminoses, des diarrhées, des vaccins, et qu'ils ont reçu à ce moment-là soit ce fameux virus s'il existe, soit plutôt une batterie de traitements immunosuppresseurs (antibios bon marché)

  16. Bonsoir,

    ce qui m'étonnera toujours, c'est que ces médecins ne sont certainement pas au courant de l'existence d'anticorps aux "protéines vih" dans le sang des femmes enceintes ne pouvant pas être séropsitives. Ceci, selon l'hypothèse du stress oxydatif, est lié aux substances antirejet secrétées par le corps, qui sont des oxydants, comme les substances antirejet (donc immunosuppressives) artificielles.

    La P24 en particulier apparaît dans les conditions oxydantes :

    - par exemple lors de la vaccination antigrippale, faite avec des hémagglutinines, qui sont fortement oxydantes. D'ailleurs, la "détection du vih" par mise en évidence d'une activité de rétrotranscription ne peut être faite qu'en présence d'hémagglutinines (plus précisément des phytohémagglutinines).

    - je soupçonne aussi les chirurgiens dentistes d'être responsable sans le savoir de la création de stress oxydatif, car ils utilisent volontiers dans les abcès du métronidazole (flagyl), qui fait chuter le taux de CD4 et par la même occasion fait apparaître la P24 et autres protéines. Ce même métronidazole est utilisé intensivement en Afrique pour combattre les verminoses. Bizarrement (en fait c'est très logique), la structure active du métronidazole (un nitroimidazole), se retrouve dans l'imurel, une des substances utilisées pour éviter les rejets de greffes.

    Ainsi, on peut se poser la question de savoir si les patients du dentiste gay qui aurait contaminé en particulier Kimberley Bergalis et 6 autres personnes (je crois) n'auraient pas tout simplement avalé trop de flagyl.

    - etc...(poppers, bactrim, et autres...)

    On trouve tout ce qui a trait à la séropositivité pendant la grossesse sur le site de Mark (merci encore Mark) et sur le site aliveandwell.org.

  17. -> sait on véritablement quel est le risque d'un individu lambda de choper cette maladie?

    -> Peut on évaluer de façon certaines la contagiosité d'un contact et surtout les raisons qui font qu'un individu donné pourrait être atteint à un moment donné et indemne à un autre moment.

    A nouveau, le document maintes fois présenté ici et émanant du ministère de la santé

    http://www.sante.gouv.fr/pdf/dossiers/sidahop/ch16.pdf

    indique un risque de un sur 2000 de devenir séropositif lors de relations sexuelles vaginales avec un(e) personne séropositif(ve), ce qui, sachant que le nombre de séropositifs est de 150 000 en France, donne une probabilité de un pour huit cent mille lors d'un rapport aléatoire.

  18. (Isis Rider @ Lundi 15 Novembre 2004, 23:08)

    Salut les gens!

    Un conseil, en tout cas : si vous êtes séronégatif et

    à faible risque de contamination par le VIH

    (quelqu'un a un commentaire???)

    Au moins, on est sûr que ça marchera ! ! ! !

    Quelle mascarade !

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