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Cheminot

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Messages posté(e)s par Cheminot

  1. je te répondrai simplement ceci, même si je sais que tu est assez en froid avec l'homéopathie :

    le principal remède des maladies chroniques est justement le soufre (ici du soufre en fleur), puis on trouve le calcaire, le sel,... Les dérivés oxygénés de l'azote, du phosphore et de l'arsenic correspondent toujours à des maladies dégénératives. Ces trois derniers sont d'ailleurs dans la même colonne de la classification periodique.

  2. On retrouve bien là la caractéristique des maladies opportunistes : ce sont des maladies à champignon, qui vivent sur des cellules mortes..., comme le font les petits blancs en automne sur l'herbe qui commence à perdre des cellules.

  3. Selon ce que j'ai pu comprendre de l'hypothèse de Purdey, le prion normal est une protéine qui protège le cerveau des espèces oxydantes réactives (radicaux hydroxyle, etc...) en les détrusant. C'est une protéine qui contient du cuivre II chélaté (c'est démontré dans la littérature).

    Or, lorsque le rapport des concentrations Cu II/Mn II (manganèse) devient faible, le manganèse va progressivement remplacer le cuivre dans la protéine en la dénaturant, c'est-à-dire qu'elle perd sa structure tertiaire (recourbement spécifique de la chaîne protéique sur elle-même), et en même temps ses propriétés antioxydantes. On comprend alors pourquoi ces espèces oxydantes réactives, qui ne sont plus détruites, vont créer des "trous" dans le cerveau.

    Quand ce rapport Cu/Mn diminue-t-il?

    Par exemple, les vaches qui paissent sur des terrains riches en Mn sont plus exposées à la MVF. Cela a été constaté en Slovaquie, à proximité de mines de Mn.

    Mais encore, l'utilisation de complexants qui bloquent plus Cu II que Mn II va également faire diminuer ce rapport. C'est ainsi que les organophosphorés (phosmet par exemple) comportent deux soufres sur le phosphore central, et chaque chimiste sait que la liaison Soufre-Cuivre est bien plus forte que la liaison Soufre-Manganèse (il suffit de rechercher les produits de solubilité).

    Or de 85 à 95, les vaches anglaises ont été badigeonnées avec ce phosmet pour éliminer le varron.

    On a par ailleurs conclu à l'infectiosité de la MKJ (Kreutzfeld-Jacob), car 5 cas sont apparus pratiquement simultanément dans un rayon de 10 km en angleterre

    Marc Purdey a fait remarquer que dans ce rayon fonctionnait une usine de phosmet...

  4. Voici la traduction

    Facteurs perturbant le résultat dans le matériel examiné

    A partir des données qui nous sont disponibles et grâce à la littérature, il devient évident que les facteurs perturbants les plus divers peuvent conduire à des résultats "faux-positifs" lors d'un test de dépistage.

    Ces facteurs sont :

    - Des anticorps contre d'autres agents pathogènes viraux (par exemple IgM anti-VHepA , anti-VHepC, anti-Rubéole)

    - Echantillons contenant des anticorps contre les virus de l'herpès (anti-VEpsteinBarr, anti-HCMV, anti-HSV)

    - Infections bactérielles

    - stimulations non spécifiques des lymphocytes B

    - Anticorps autoimmuns

    - facteurs Rhumatismaux

    - Echantillons avec hypergammaglobulinhémie

    - Echantillons provenant de femmes enceintes, en particulier après plusieurs grossesses.

    - vaccinations ayant précédé le test (par exemple HepB, grippe)

    Ces réactions non spécifiques seront presque toujours reconnues comme une fausse positivité lors des tests de confirmation. etc...

  5. Indique leur déjà la référence absolue que constitue le Paul Ehrlich Institut de Munich, en leur disant que tu utilisera cette référence légalement si nécessaire :

    http://www.pei.de/downloads/hivdiasa.pdf

    page 4 :

    Störfaktoren im Untersuchungsmaterial

    Aus den uns vorliegenden Unterlagen und auch aus der Literatur wird deutlich, daß die unterschiedlichsten Störfaktoren in einzelnen Screening-Testsystemen zu falsch positiven Ergebnissen führen können.

    Dazu gehören:

    -Antikörper gegen andere virale Erreger (z.B. anti-HAV-IgM , anti-HCV, anti-Rubella)

    -Proben mit Antikörpern gegen Herpesviren (anti-EBV, anti-HCMV, anti-HSV)

    -Bakterielle Infektionen

    -unspezifische B-Zell Stimulationen

    -Autoimmun-Antikörper

    -Rheumafaktoren

    -Proben mit Hypergammaglobulinämien

    -Proben von Schwangeren, besonders nach mehreren Schwangerschaften

    -vorangegangene Impfungen (z.B. HBV, Influenza)

    Diese unspezifischen Reaktionen werden durch die Bestätigungs-Testung fast immer als falsch-positiv erkannt. Sollten jedoch die Ergebnisse eines Bestätigungstests nicht klar interpretierbar sein und den Verdacht auf eine HIV-Infektion nicht gänzlich ausschließen, müssen weitere Untersuchungen angeschlossen werden. Hierzu wird oft ein zweiter Screening-Test, möglichst verschiedener Bauart, verwendet. Die größte Sicherheit wird jedoch  durch den direkten Nachweis von virusspezifischen Nukleinsäuren durch die PCR erreicht.

    En fait, le test Elisa ne doit pas être utilisé comme test de dépistage dans les cas indiqués, et particulièrement dans le cas de grossesse multiple ou après certaines vaccinations.

    On peut en déduire, si on n'est pas "con" (désolé pour le gros mot, mais c'est tellement gros que ces gens-là méritent cet épithête), que la protéine P24 (Test Elisa) n'est pas spécifique du "vih".

  6. Excuse-moi, Rock-en-rock, je n'avais pas lu ta première intervention.

    Je te renvoie pour l'instant aux papier d'Eleni Papadopoulos et du groupe de Perth :

    http://www.theperthgroup.com/SCIPAPERS/biotek8.html

    http://www.theperthgroup.com/REJECTED/emergmedab.html

    et :

    --Resize_Images_Alt_Text--

    où l'on voit que deux bandes suffisent en Afrique pour être déclaré séropositif, alors qu'il en faut 4 en australie et en France, mais ce ne sont pas les mêmes.

    C'est le domaine d'Ubu !

  7. Christophe Martet, d'Act Up Paris: "A quoi mènent ces polémiques anciennes quand il y a tant de malades, de problèmes de prise en charge et que le tiers monde est en train de crever du sida?" [Libération, 14 mars 1996].

    Là encore, les choses ne sont pas vraiment claires. Lisez simplement cette news :

    Lien

    où il est indiqué que, contrairement aux études précédentes, qui indiquaient que 32% des jeunes filles étaient séropositives au Swaziland, une étude plus précise et plus correcte donne un taux de 6%.

    Que nous a-t-on fait croire à propos de l'Afrique?

  8. Oui, c'est effectivement cela qu'il faudrait vérifier (il y a par ailleurs le facteur de coagulation VIII qui est par lui-même oxydant).

    En fait, tout va dépendre de ce que va chercher l'interrogateur.

    Dans l'état actuel des choses, personne n'ira demander quel drogue, quel traitement chacun a pu utiliser. On va demander s'il y a eu relations sexuelles, car on est persuadé qu'il s'agit d'une maladie transmissible.

    Je me demande par exemple si les 6 cas de séropositivité retrouvés chez les clients d'un dentiste homosexuel (séropositif à cause sans doute de l'utilisation de poppers,...) ne sont pas dus en fait à l'utilisation abusive de Flagyl (métronidazole, dérivé nitré), ce qui a entraîné de la part des médecins la prescription d'AZT à haute dose, qui a provoqué l'inverse de l'effet souhaité, c'est-à-dire par exemple la mort de Kimberley Bergallis.

    Par ailleurs, il est remarquable qu'en région parisienne, seules quelques prostituées droguées soient devenues séropositives, que les épouses des hémophiles ne sont pas devenues séropositives malgré des relations sexuelles normales, ...

    cordialement

  9. Sauf votre respect, je pense que votre affirmation est erronée.

    Ces substances servent :

    - de drogues (poppers qui sont des nitrites,...)

    - de médicaments (dérivés nitrés, isoxazoles, azotures,...)

    D'une part il semble y avoir un facteur lié à la répétition de la prise, ce qui est cohérent avec le fait que la séropositivité apparaît graduellement, passant d'une valeur de 30 à 50% de l'index chez les personnes considérées comme séronégatives, à des valeurs supérieures à 100% de l'index (jusqu'à 2000% parfois) chez les personnes considérées comme séropositives.

    Cette évolution graduelle est plutôt la marque d'un empoisonnement chimique que celle d'un virus qui prolofère brutalement.

    Par ailleurs, certaines de ces substances ont un effet "virus-like" prouvé. Il en est ainsi du chloramphénicol (dérivé nitré), qui provoque la leucopénie, et qui peut provoquer la mort des mois après le traitement.

    A propos du chloramphénicol, on a montré que les effets leucopéniants sont directement liés au groupe nitro, car le thiamphénicol, où le groupe nitro est remplacé par un groupe méthylsulfone, ne présente pas ces propriétés leucopéniantes.

  10. Voilà la référence :

    Lien

    BIOLOGY OF REPRODUCTION 52, 1209-1214 (1995)

    Immunosuppressive Effect Induced by Intraperitoneal and Rectal Administration of Boar Seminal Immunosuppressive Factor

    JAROMR DOSTAL, LEOPOLD VESELSKY, JOSEF DRAHORAD, and VERA JONAKOVA

    Institute of Animal Physiology and Genetics, Academy of Sciences of the Czech Republic, 277 21 Libichov, Czech Republic

    Institute of Molecular Genetics,4 Academy of Sciences of the Czech Republic, 166 37 Prague, Czech Republic

    ABSTRACT

    The immunosuppressive component was isolated from boar seminal vesicle secretion and administered i.p. or rectally to male mice. By means of the immunofluorescent method, the seminal immunosuppressive component was found on the membranes of 50-70% of white blood cells of treated mice the first day after i.p. and the third day after rectal administration. The immunosuppressive component was observed on the membranes of 10-20% of white cells even at the 17th day after treatment. Intraperitoneal or rectal administration of the immunosuppressive component led to a decrease in the white cell concentration in blood of treated mice. These findings indicate that rectal deposition of semen may compromise some aspects of the immune system and may be an important cofactor in the development of viral or bacterial infections among homosexual men.

  11. Pikpikandré,

    Je dois dire que ce n'est pas vraiment facile de parler de ces contradictions aux scientifiques que je côtoie ou que je touche par le biais de forums.

    Pour l'instant, je me contente de poser des questions grâce aux publications expérimentales qui elles sont indéniables.

    Les réponses sont généralement très pauvres en dehors de quelques avancées intéressantes (par exemple, j'ai pu comprendre comment se calculait la prévalence en Afrique subéquatoriale. Le problème qui apparaît actuellement est que cette méthode semble être de moins en moins adaptée à la situation.

    Certaines personnes, dont des pharmaciens, se posent de plus en plus de questions, en privé, et le consensus semble se faire avec eux.

    Les plus difficiles à toucher sont les médecins, qui ont, à leur corps défendant, une très haute opinion de ce qu'on leur a appris durant leurs études.

  12. merci Candide de ton intervention.

    Je ne dirai pas comme toi que les traitements ne sont jamais efficaces.

    Simplement ils ont été mis au point selon un modèle qui est devenu un dogme : celui de la reconnaissance de forme. Et on a supposé que si telle structure fonctionnait mieux qu'une autre, voisine (et qui respectait le dogme précédent), c'est parce que sa forme correspondait mieux au site à inactiver. Et on a laissé complètement tomber l'impact des groupements fonctionnels qui composent cettte molécule. C'est à mon avis une erreur gravissime dans laquelle tout le monde s'est laissé entraîner, avec la vogue de l'informatique, car ces modélisations sont toutes faites grâce à des logiciels que l'on considère comme parfaits, alors qu'ils ne peuvent être qu'approximatifs, selon les lois actuellement connues de la chimie quantique.

    J'ai eu un mal fou à faire admettre, sur le forum fr.bio.medecine, à un chimiste qui manipule ces logiciels, que les paramètres qu'il utilisait étaient approchés. Il en a heureusement convenu!

    Mais beaucoup de ces personnes ne se posent même pas cette question. Ils foncent tête baissée.

    En ce qui concerne les substances "antisida", il est clair que l'AZT a été un fiasco, tout simplement parce que c'est un poison.

    La causalité proposée par le groupe de Perth et d'autres, c'est-à-dire le stress oxydatif, est également capable d'expliquer les bénéfices relatifs de la trithérapie.

    En effet, cette publication :

    http://www.journals.uchicago.edu/JID/journ...0534/30534.html

    HAART was accompanied by both an improvement of glutathione-redox status and an increase in levels of antioxidant vitamins, without full normalization.

    montre que l'utilisation de la trithérapie est accompagnée d'une amélioration du statut redox associé au glutathion et une augmentation de la concentration des vitamines antioxydantes (vitamine C), cependant sans normalisation complète.

    Et si on lit le texte complet, on constate que toutes les associations proposées comportent de la lamivudine, dont j'ai essayé de montrer qu'elle devait avoir des propriétés antioxydantes.

    Donc ici, il n'y a pas à proprement parler échec, il y a erreur sur la manière dont fonctionnent ces substances, et c'est aussi cela qui va devoir être mis sur le tapis par les chimistes, biologistes, médecins...

    cordialement

  13. bonjour,

    j'ai déjà exposé ici ce qu'il m'apparaît, à la lecture de diverses et nombreuses publications.

    certes, nous sommes tous exposés aux oxydants (ROS en particulier), et heureusement, sinon le métabolisme ne fonctionnerait pas.

    Mais les oxydants dont je parle (et surtout dont parle le groupe de Perth, Heirich Kremer et Stefan Lanka), ce sont les oxydants comportant une liaison entre un azote et un atome plus électronégatif que le carbone : N-N, N=N, N=O, N-O et N-Cl

    Apparemment, ces composés ne sont pas gérés correctement par les enzymes oxydorductrices du métabolisme et conduisent au final à une détérioration persistante du système rédox qui fait partie intégrante du système immunitaire.

    "Ni vu ni connu" dites-vous! On trouve en réalité un nombre incalulable de publications qui montrent cette détérioration sous l'effet des oxydants azotés mal contrôlés. En particulier, il s'agirait de tous les "médicaments" qui contiennent ces groupements : bactrim, nitrofurantoïne, métronidazole, chloramphénicol, AZT, des drogues (en particulier les poppers). Touts ces substances sont connues pour favoriser la leucopénie, c'est-à-dire une diminution des cellules imunitaires.

    En ce qui concerne la transmission, comme nous l'avons maintes fois dit ici, en dehors de la relation sexuelle anale réceptive, les probabilités de transmission par acte sont si faibles (1 pour 2000 environ) que l'on peut se demander s'il ne s'agit pas là d'autre chse que d'une transmission sexuelle, qui n'a été déduite par les officiels que parce qu'il fallait bien trouver une raison à la séropositivité qui cadre avec la théorie actuelle.

    Concernant le ou la récipiendaire de la sodomie, j'ai déjà indiqué dans un autre topic que des études publiées montrent que le sperme, par lui-même, peut favoriser momentanément la leucopénie (baisse des CD4) dans ces cas-là, et que, momentanément, il y a une possibilité de positivation des tests, qui je le rappelle, ne sont pas des tests noir/blanc, mais des tests à limite.

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