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Cheminot

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  1. Cheminot

    Sida et Amour

    Certes, Rock en Rock, ta prof de chimie aurait pu avoir raison,..., s'il s'était agit de la même quatité d'acide sulfurique et de soude, ce qui donne du sel, qui entre nous n'est pas si anodin que cela. Mais si elle avait mélangé soude et acide sulfurique en quantité adéquates, tu aurais bu du sulfate de sodium, ce qui flanque la ch...sse. Tout cela pour dire que, même si le 3TC minimise les effets toxiques de l'AZT, il n'en reste pas moins que les produits obtenus présentent, eux aussi, une bonne toxicité, en particulier hépatique. Maintenant Pierre, je ne me souviens plus avoir dit cela à Nick Bennett, c'est possible. Le thread du BMJ est tellement long... De temps en temps je jette un coup d'oeil (grâce à Netscape, IE n'en est plus capable). Pour l'instant, personne ne lâche d'un pouce... En ce qui concerne la causalité "candida", pourquoi pas, mais alors pourquoi ne l'ont-ils pas mis en évidence. Il me semble que'il doit être plus facile de vérifier la concommitance de candida et de sida, que celle du "vih" et du sida. Par contre, il était pratiquement impossible à l'époque, à l'ère du "médicament tout-puissant", de mettre en cause justement celui-ci, à moins d'avoir déjà derrière soi une longue tradition hippocratique. Pour moi, en fait, aucune voie n'est fermée, et je pense que le principe de simplicité (le rasoir d'Okham) devrait nous conduire à la vérité.
  2. Cheminot

    Sida et Amour

    Quant à ce qui s'est passé en chine, si j'ai bien compris, on a pris du sang à des milliers de chinois, on a mélangé le tout pour en recueillir les plaquettes je crois, puis on l'a réinjecté aux personnes en question, pour qu'elles puissent en redonner. L'explication alternative est que de nombreuses personnes (sur des milliers c'est pratiquement certain) devaient souffrir de maladies autoimmunes. Nous avons vu plus haut que l'injection d'un tel sang provoquait l'apparition de P24 et favorisait l'apparition de maladies à champis caractéristiques du sida (chez des souris). Cela doit se passer de la même manière chez les humains. En plus, i faudrait savoir si la méthode de sparation n'a pas introduit des modifications dans le sang. En fait, on a fait cela en imaginant que le sang, cest comme une solution simple de produits chimiques, produits qu'on peut extraire sans difficulté.
  3. Cheminot

    Sida et Amour

    pour te répondre, Golem, je ne pense pas à une conspiration. Je pense que c'est simplement le désir desurvivre à la déroute de la "guerre contre le cancer" des années 70 qui a poussé des gens comme Gallo a faire feu de tout bois. Il faut savoir aussi que les méthodologies de recherche hérites de cette "guerre" sont chez ces gens-là devenues comme une seconde nature, dont ils ne pouvaient as facilement se départir. A mon avis encore, Luc montagnier s'est fait piéger dans cette affaire-là. La résistance des homosexuels aidant à réfuter toute cause environnementale, alors qu'eux-même commençaient à être bien engagés dans le monde politique, a fait le reste. Il y a ensuite eu un bloquage de la pensée, parce que beaucoup trop de carrières et de réputations étaient en jeu. On n'a pas voulu réfléchir, parce que cela faisait trop de mal. Les labos se sont engouffrés là-dedans, sans doute sans trop d'arrières pensées, mais avec les méthodes qui avaient prévalu auparavant : modélisations informatisées,... Et puis, à la longue, personne ne peut plus se dédire, étant donné que cela donnerait un krach économique, politique et moral de première grandeur (10 sur l'échelle de Richter !). Il faudra que le changement de paradigme se fasse en douceur, et ceci ne peut se faire que dans les couloirs feutrés des scientifiques et des politiques, le grand public ne devant rien savoir, et tant pis pour les bols cassés, pourvu que l'immeuble ne s'effondre pas!
  4. Cheminot

    Sida et Amour

    cinq sur cinq, Rock
  5. Cheminot

    Sida et Amour

    j'ai oublié de te répondre, ^pierre^. Selon pas mal d'"insurgés" dont moi, le stress oxydatif fait le lit du Candida et de tous ces champis ! Le mot "insurgé" à la place de dissident est à mettre dans la bouche d'Harvey Bialy, un pote (PhD bien sûr) de Peter Duesberg.
  6. Cheminot

    Sida et Amour

    golem, réfléchis bien aux statistiques que j'ai déjà maintes fois avancées ici, aussi fais-je un copier-coller : En ce qui concerne les estimations des américains pour le Botswana en 1999 : http://www.census.gov/ipc/hiv/botswana.pdf La population estimée devrait être en 2000 de 1576000 avec sida et 1710000 sans sida le taux de croissance devrait être de 0,76% avec sida et 2,5% sans sida l'espérance de vie devrait être de 39 ans avec sida et 70 ans sans sida Il suffit de se reporter au recensement de l'an 2001, effectué par le gouvernement botswanais : http://www.cso.gov.bw/html/census/tab_cens1.1.html pour voir d'une part que la population est de 1680863, beaucoup plus proche de 1710000 et surtout d'autre part que le taux de croissance depuis 1991 est de : t = exp((ln(1680863/1326796))/10)-1 = 2,4% Ce qui indique que les estimations correspondant à la présence massive de sida sont fausses : en particulier, l'espérance de vie, qui est calculée comme le taux de croissance à partir des dépistages anténataux, n'est certainement pas de 39 ans, mais sûrement bien plus élevée. 7Soit le fait d'être séropositif n'entraîne pratiquement jamais le sida, donc la mort, ou bien les tests effectués en Afrique sont totalement erronés On retrouve des chiffres qui posent les mêmes questions dans les autres pays (pour les américains : 1er chiffre avec sida, 2ème sans sida) : Swaziland : http://www.census.gov/ipc/hiv/swazilan.pdf pour les américains (2% et 3,1%) et http://www.gov.sz/home.asp?pid=75 (2,9% : recensement 97) pour la Tanzanie, c'est plus mitigé : http://www.census.gov/ipc/hiv/tanzania.pdf pour les américains (2,6% et et 3,1% http://www.tanzania.go.tz/census/census/tables.htm pour le gouvernement (2002)avec 2,9% de même que pour le Zimbabwe : http://www.census.gov/ipc/hiv/zimbabwe.pdf pour les américains (0,3% et 2,2%) et http://www.statoids.com/uzw.html le calcul donne 1,1% de croissance De très nombreux journalistes et gestionnaires du sida africains remettent en cause les chiffres de l'onusida : http://www.mail-archive.com/ugandanet@kym.net/msg09770.html et http://www.onnouscachetout.com/forum/viewtopic.php?p=49538 (le lien donné ne fonctionne plus) et, cerise sur le gâteau, je répète les chiffres de probabilité de transmission de la séropositivité entre un séropositif et un séronégatif, donnés par le ministère de la santé français : entre un pour mille et un pour dix mille. chiffre retrouvé en afrique :
  7. Cheminot

    Sida et Amour

    Il me faut du temps pour répondre à toutes tes questions. Cependant, voilà l'hypothèse du groupe de Perth (qui est un groupe de docteurs en médecine et de biologistes). Je la fais mienne, en y rajoutant quelques considérations de chimie. 1) La séropositivité est due à la présence d'anticorps qu'on trouve normalement chez chacun d'entre nous, mais avec une concentration bien supérieure à la moyenne. Il suffit pour cela de voir comment sont calibrés les tests : un index 1 de densité optique est défini. Si la réponse de ton plasma est 0,9, tu es considéré comme séronégatif. S'il est de 1,1, tu est séropositif. L'index n'est pas calibré par rapport à la mise en évidence d'un virus, mais par rapport aux anticorps d'une personne présentant le syndrome d'immunodéficience acquise (que je ne conteste pas) et une qui ne fait pas partie de groupes à risques. 2) Ces anticorps, ainsi que le genome considéré comme étant du hiv (on devrait plutôt dire les morceaux de génome, car c'est cela qu'on découvert Montagnier et Gallo), voient leur présence augmenter sous l'effet de substances qui font apparaître des radicaux libres azotés oxydés. De nombreuses études biochimiques le montrent. Ces substances sont : - les drogues récréatives : poppers (nitrites), cocaïne (oxydes d'amine), amphetamines (hydroxylamines) - beaucoup d'antibiotiques : sulfaméthoxazole (bactrim), métronidazole (flagyl), chloramphénicol, nitrofurantoïne... Ces antibiotiques sont parmi les plus utilisés contre les affections dites opportunistes du sida. En fait, selon le groupe de Perth, Heinrich Kremer et d'autres, la cause même de l'apparition du sida a été le traitement des homosexuels par ces substances, aggravé par l'utilisation de poppers. En effet, la gravité du sida est directement proportionnelle à l'absorption de ces substances. - l'AZT, qui est un oxydant puissant lui-même a manifestement provoqué le scandale du sang contaminé, et l'incidence du sida a effectivement fortement crû à partir de l'utilisation de l'AZT, puis décrû quand le dosage a été divisé par 4. - La séropositivité faible, mais suffisante pour qu'on puisse être déclaré séropositif et mis sous AZT (cercle vicieux) peut être également due à la présence répétée de sperme dans le rectum, comme l'ont montré des chercheurs tchèques, car le sperme a des propriétés immunosuppressives (et donc oxydantes). Il devient de plus en plus évident que l'immunosuppression est liée au statut redox de la cellule. Alors, pourquoi nous a-t-on dit cela? Eh bien parce que les découvertes fondamentales concernant le statut rédox datent des années 90 (découverte du monoxyde d'azote comme régulateur, ainsi que son transporteur et antagoniste le glutathion). Il devient donc de plus en plus évident que ce qui va ralentir la dégradation appelée sida (qui peut être irréversible, même s'il s'agit de la résultante à long terme de la prise de médicaments oxydants), voire l'éviter, c'est la prise d'antioxydants (mais pas trop, parce qu'il faut aussi permettre au corps de créer ses propres oxydants qui vont servir dans la défense vis-à-vis des protéines pathogènes extérieures). Alors, parmi ces antioxydants (et jusqu'à présent personne ne m'a scientifiquement contredit à ce sujet), il y a le 3TC, qui est soit-disant un antirétroviral. Mais on a montré qu'il réagissait avec l'AZT, qui lui est un oxydant-. La boucle est bouclée, et la compréhension de l'efficacité de la trithérapie par rapport à l'AZT seul devient évidente, sans avoir besoin de recourir à de soit-disantes mutations. D'ailleurs, un "virus" qui mute jusqu'à 40% de son génome sans perdre ses propriétés me semble être bien étrange.
  8. Rock en rock, tout d'abord, de quelle étude parles-tu? De celle d'Anthony Brink? Ou d'une autre. Ensuite, tu parles de l'espoir. Apparemment, je ne devrais pas être concerné par le combat que toi et d'autres menez, n'étant ni séropositif et faisant encore moins parttie de groupes à risques. Mais la bataille pour la santé devient actuellement politique et passe d'abord par le rejet de tout test de ce genre, car ces tests amènent presque de manière coercitive à la prise de substances toxiques, qui, en particulier concernant l'AZT, provoquent le sida , le cancer,... (et j'ai donné nombre de références, il suffit également de lire le texte d'Anthony Brink). Je suis donc très pessimiste, à moins qu'un nombre énorme de chimistes, biochimistes, biologistes dénoncent cette abomination. Nous devons nous opposer au système médical par la démonstration patiente de ses erreurs, mais aussi par la voie politique me semble-t-il.
  9. Cheminot

    Sida et Amour

    Golem, ce que tu appelles sida s'appelle en fait séropositivité. C'est à dire que ces personnes ont plus d'anticorps à certaines protéines que d'autres. Ces protéines sont supposées provenir d'un rétrovirus, mais il a été scientifiquement prouvé qu'on les trouve dans des circonstances où il n' a pas pu avoir de "contamination" ni sexuelle ni sanguine. Le fait qu'il y ait "transmission" mère-enfant est logique, puisque la mère fait passer une grande partie de ses anticorps à l'enfant. Et parfois, lorsqu'elle est toxicomane, l'utilisation qu'elle a pu faire de drogues pendant la grossesse a dégradé le métabolisme de l'enfant. Pour le groupe de Perth, la cause n'est pas un virus, mais l'utilisation de substances qui provoquent ce qu'on appelle le stress oxydatif. Si celui-ci est minimal, il y a apparition plus importante de ces protéines, ce qui conduit à un diagnostic de séropositivité. Mais si ce stress est augmenté (par certains médicaments comme l'AZT, par des drogues nitrées,...), les cellules tueuses sont éliminées par simple toxicité, et les cellules fabriquant des anticorps sont encore plus sollicitées, d'où l'augmentation des taux de ces protéines. Il faut savoir que les tests n'ont pas été calibrés par rapport à un "virus", mais par rapport à une pathologie, le sida, qui est en fait un ensemble de maladies devenues incurables pour la "medecine moderne", qui n'accepte pas dans son orgueil de voir ses résultats contestés par la nature. Quant au préservatif, il protège des MST classiques quand on a plusieurs partenaires. Rappelle-toi que la probabilité officielle de "séroconversion" lors d'une relation sexuelle vaginale avec un français ou une française quelconque est de 1 pour 1 million, ce qui, tu le conviendras, est bien plus près du bruit de fond - qu'on peut imputer à n'importe quoi d'autre - que de la réalité d'une MST.
  10. Ces personnes sont celles prises en charge, qui donc prennent les trithérapies, qui contiennent essentiellement AZT et 3TC (parfois d4T et 3TC). En tous cas, si vous lisez l'article d'Anthony Brink "Debating Azt", vous verrez qu'en fait l'apparition de ces cancers est intimement liée à la prise d'AZT. (ou encore sidasante
  11. Ainsi que je l'ai indiqué à Sicnarfa, le mercure bloque de manière irréversible les composés soufrés (glutathion) ou séléniés. Pas étonnant qu'on trouve une prolifération de champignons là où un phénomène semblable (pas identique) au stress oxydatif a lieu!
  12. Le lien que tu donnes ne fonctionne pas : voici le Lien correct Je suspecte toujours l'AZT, ainsi que son principal métabolite, le d4T, comme étant les plus toxiques, le premier parce qu'il diminue le pH en oxydant tout, le second parce il crée sûrement une pathologie hépatique et pancréatique. Lorqu'on administre que le d4T, il n'y a pas de stress oxydatif, alors que l'AZT crée et le stress oxydatif, et l'atteinte hépatopancréatique
  13. bravo, Kierkegaard, peut-être t'est-il possible de diffuser certaines perles ? mais enfin, n'en fait pas trop...on ne sait jamais... le lien que je t'avais donné en allemagne concernant les fausses séropositivités vient d'être rompu. Le document a été retiré du net... Cela me fit penser à un vieux film Fahrenheit (non pas 911 mais quatre cents et quelques), où tous les documents étaient brûlés. Voilà le monde où nous vivons.
  14. Où l'on voit bien, comme l'a dit Terry, que la supplémentation en "antioxydant" peut être dangereuse, et que toute la difficulté réside dans le fait de permettre une régulation des taux de sélénium.
  15. Bonjour, Pikpikandré, Tout ce que tu nous indiques-là montre que ce fameux colloque du 8 décembre 2003 , dont on trouve les minutes sur sidasanté et (en anglais) sur www.robertogiraldo.com , a servi à remuer les consciences, du moins en Belgique. On voit d'ailleurs une photo où les Professeurs Montagnier et De Harven sont en grande discussion, apparemment sans animosité. Autre sujet de satisfaction, les "blogueurs" américains se mettent à poser des questions, et tout un panel de pro-vih et d'anti-vih discutent librement, avec cependant quelques noms d'oiseaux qui fusent par-ci par-là. : http://www.deanesmay.com/aids:_questioning...hiv_hypothesis/ (il y a plusieurs topics ouverts sur le sida dans ce blog) On est frappé de la tension qui existe quand on aborde ce sujet, comme s'il était vital de préserver la façade de l'hypothèse vih = sida = mort. Et je pense effectivement que c'est vital, car la simple remise en cause de ceci va entraîner la chute du système thérapeutique actuel. J'ai posé personnellement la question suivante : a-t-on isolé un génome de "vih" bloqué par un antirétroviral (AZT, ddI, 3TC...)? On m'a répondu que c'était inutile, qu'on pouvait modéliser tout cela en créant chimiquement les liaisons attendues, et en vérifiant que cela apparaisse bien à la diffraction des rayons X. Mais de qui se moque-t-on? En fait, c'est toute cette biochimie-là qui serait remise en cause, atteignant également les principes de conception des nouveaux "médicaments". Mais pour se poser des questions là-dessus, il faut démarrer avec du grain à moudre. Pour moi deux faits incontestables : - tout d'abord ces deux graphes proposés par Harvey Bialy, corédacteur d'un bouquin avec Peter Duesberg : et Mon explication (mais aussi celle de la plupart des contestataires) de l'augmentation et de la décroissance des cas de sida, tient en trois lettres : AZT AZT, patenté en 1985, donné systématiquement aux séropositifs hémophiles à des doses de 1500 mg/jour, puis, après la parution de l'expérimentation Concorde en 1993, distribué en doses de plus en plus faibles (300 à 500 mg par jour), voyant son pouvoir oxydant contrebalancé en 1996 par l'adjonction de 3TC ou de FTC. Et pendant ce temps, la prévalence du "vih" demeurait constante, car déterminée lors des tests faits sur les donneurs de sang. Conclusion de Bialy : la prévalence du "vih" (en fait il s'agit de la prévalence des protéines P24, GP41, GP120,...) n'est absolument pas reliée à l'incidence du sida, et pour cause. Cela voudrait dire, si cette hypothèse est mise en avant, que l'affaire du sang contaminé est en fait l'affaire de l'AZT, et on voit où cela peut mener. En ce qui concenren les bases biochimiques de tout ceci, la littérature publiée en regorge. -second fait : En ce qui concerne les estimations des américains pour le Botswana en 1999 : http://www.census.gov/ipc/hiv/botswana.pdf La population estimée devrait être en 2000 de 1576000 avec sida et 1710000 sans sida le taux de croissance devrait être de 0,76% avec sida et 2,5% sans sida l'espérance de vie devrait être de 39 ans avec sida et 70 ans sans sida Il suffit de se reporter au recensement de l'an 2001, effectué par le gouvernement botswanais : http://www.cso.gov.bw/html/census/tab_cens1.1.html pour voir d'une part que la population est de 1680863, beaucoup plus proche de 1710000 et surtout d'autre part que le taux de croissance depuis 1991 est de : t = exp((ln(1680863/1326796))/10)-1 = 2,4% Ce qui indique que les estimations correspondant à la présence massive de sida sont fausses : en particulier, l'espérance de vie, qui est calculée comme le taux de croissance à partir des dépistages anténataux, n'est certainement pas de 39 ans, mais sûrement bien plus élevée. Soit le fait d'être séropositif n'entraîne pratiquement jamais le sida, donc la mort, ou bien les tests effectués en Afrique sont totalement erronés On retrouve des chiffres qui posent les mêmes questions dans les autres pays (pour les américains : 1er chiffre avec sida, 2ème sans sida) : Swaziland : http://www.census.gov/ipc/hiv/swazilan.pdf pour les américains (2% et 3,1%) et http://www.gov.sz/home.asp?pid=75 (2,9% : recensement 97) pour la Tanzanie, c'est plus mitigé : http://www.census.gov/ipc/hiv/tanzania.pdf pour les américains (2,6% et et 3,1% http://www.tanzania.go.tz/census/census/tables.htm pour le gouvernement (2002)avec 2,9% de même que pour le Zimbabwe : http://www.census.gov/ipc/hiv/zimbabwe.pdf pour les américains (0,3% et 2,2%) et http://www.statoids.com/uzw.html le calcul donne 1,1% de croissance Voilà quelques unes des constatations que j'ai pu faire jusqu'à présent.
  16. je peux me tromper, mais je ne crois pas, car c'est le reste de la molécule qui est apparemment importante. Mais pour confirmer cela, il faut que je me plonge un peu plus dans le sujet.
  17. Même structure que le rétinol pour l'isotrétinoïne ou la trétinoïne, en dehors de la fonction alcool terminale qui devient une fonction acide. Cette structure ne se trouve pas dans la nature, donc elle est brevetable. Par contre, elle présente les mêmes propriétés "vitamine A-like" que le rétinol. http://www2.biam2.org/www1/Clp75539.html
  18. La trétinoïne contenue dans cette crème a une structure chimique (et aussi une activité biologique) très proche de celles de la vitamine A, dont les propriétés antioxydantes sont bien connues. http://www.afssa.fr/ouvrage/fiche_apports_...tamine%20A.html
  19. Il me semble surtout gentil-méchant, comme un peu chacun de nous !
  20. Je te reçois 5 sur 5, ^pierre^, car le sida n'est que l'arbre qui cache la forêt. Le fric va nous mener dans le mur, en tous cas, tous ces profiteurs-là, on sait que leur devise c'est "après moi le déluge"
  21. Bon le site de Nottale ne s'ouvrant pas, je ne peux faire de commentaires... De toutes façons, il s'agit d'une démonstration mathématique que je ne suis pas nécessairement capable de suivre, mon domaine de prédilection étant la chimie fondamentale. De toutes manières, cela ne change rien au fait que l'on ne peut résoudre analytiquement cette équation de Schrödinger sans faire d'approximation, sauf pour l'atome d'hydrogène (ce qui n'est déjà pas mal!)
  22. Et il est vrai qu'elle n'est validée jusqu'à présent que grâce à l'exactitude des prévisions obtenues grâce à sa résolution en ce qui concerne le composrtement de l'atome d'hydrogène. L'utilisation des résultats obtenus (en particulier de l'expression mathématique des fonctions d'ondes) dans les modèles LCAO ou autres permet de décrire raisonnablement le comportement des molécules, mais il faut bien se souvenir qu'il ne s'agit que d'approximations numériques, certes très précises, mais d'approximations tout de même.
  23. Absolument pas, Zeh ! Une seule petite différence entre ce que tu as écrit et mon propos est responsable de mon affirmation : Tu parles de l'atome d'hydrogène, et la démonstration donnée a tout son sens, alors que je parle de molécule d'hydrogène H2 (on doit dire maintenant dihydrogène). Et là, on ne sait faire que des calculs approchés grâce à plusieurs modèles qui donnent d'ailleurs des résultats différents (LCAO, HEITLER-LONDON). Merci en tous cas pour le lien, qui va me permettre de peaufiner l'aspect mathématique de mes cours.
  24. Je comprends, Rock, que tu veuilles faire de la dérision, et je m'excuse si j'ai pu te blesser à ce sujet sur un autre post. En effet, c'est un bon moyen pour se libérer, du moins en pensée, du carcan ontologique dans lequel la société veut nous maintenir. Mais l'affaire est à mon avis si grave que je suis incapable de plaisanter à ce sujet. Ton analyse est tout-à-fait exacte, marxisme et libéralisme étant les deux façons d'expression de la volonté forcenée de l'homme moderne d'exister par lui-même,... et il en arrive à la philosophie de la mort de l'homme. L'homme ne peut plus être sujet, il devient donc objet, d'où la perte de liberté que nous constatons. Et ceci vient à mon avis du désir inconscient de notre culture d'être notre propre absolu. J'ai constaté cela au niveau scientifique, où tous mes interlocuteurs ont eu du mal à admettre que notre connaissance de la structure de la matière par l'application de la mécanique quantique était une connaissance approximative. Dans de nombreux cours, on lit par exemple "la résolution de l'équation de Schrödinger pour la molécule d'hydrogène est très complexe, et donc ne peut être développée ici". En réalité, la résolution analytique de cette équation, qui permettrait de déduire toutes les propriétés de la molécule, est tout-à-fait impossible avec les connaissances mathématiques actuelles. C'est comme si on se refusait à admettre notre imperfection. Mais cette erreur fondamentale de chimie théorique se répercute dans la confiance aveugle qu'ont les médecins dans ce que leur racontent les biologistes et les biochimistes, qui eux-même ont une confiance aveugle dans les modélisations moléculaires, qui sont pourtant loin d'être parfaites, par essence. On utilise donc ces modélisations pour trouver des substances (qu'on appelle médicaments) qui vont toucher un système d'une perfection inégalée : le monde du vivant. C'est pour cela que je dis souvent qu'on intervient là-dedans comme un pachyderme dans un musée de bibelots chinois.
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