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Cheminot

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Messages posté(e)s par Cheminot

  1. Terry et Wallypat, soyons cool !!!

    Si vous lisez bien la publication tchèque en question, vous constaterez que la baisse des CD4 n'est que temporaire. Puisqu'il y a, et je pense que nous sommes tous d'accord là-dessus, augmentation de certains anticorps corrélativement à la baisse des CD4, il est fort probable qu'à l'occasion d'une relation, un homosexuel devienne séropositif de manière temporaire, mais, pan, il fait son test trimestriel, et voilà qu'il rentre dans le cercle infernal.

    Autres lectures:

    Rebecca Culshaw remet la pression sur l'establishment :

    http://www.lewrockwell.com/orig7/culshaw2.html

    par ailleurs, une publi de 2003, indique sans ambiguïté que l'AZT provoque l'apoptose cellulaire des T4 (c'est la maladie sida, en fait), alors que les inhibiteurs de protéase diminue cette apoptose. Evidemment, quand on regarde précisément ce qui provoque généralement cette apoptose, à savoir les peroxynitrites, on conçoit bien qu'il s'agit là d'oxydants, et il n'est pas besoin d'être grand clerc pour comprendre que l'AZT, au lieu de limiter la maladie, l'a au contraire aggravée.

    Enfin, en ce qui concerne la lamivudine, qui est si peu toxique, j'ai découvert que sa structure chimique lui permettait d'être actif (réducteur) uniquement en présence d'un fort taux d'oxydants azotés (je ne rentre pas dans les détails, mais cette réaction chimique a bel et bien été vérifiée).

    Donc, chez un individu sain, sans stress oxydatif excessif, la lamivudine n'a pas les effets néfastes de la N-acétylcystéine par exemple.

  2. Laurie, quels ont été tes traitements successifs? Car tous les antiviraux ne sont pas identiques, et on ne peut te répondre sur le vague nom de trithérapie.

    Merci Cheminot de t'intéresser à mon cas icon_biggrin.gif , il est vrai que pour la partie scientifique, je suis plutôt nulle! icon_redface.gif

    J'ai donc pris de l'AZT pendant 6-7 ans, puis le coktail anti-proteases: CRIXIVAN-ZERIT-VIRACEPT ( qui m'a bousillé gueulecasse.gif , et le mot est faible ,en très peu de temps et enfin anti-rétroviraux:VIRAMUNE-EPIVIR-ZIAGEN , mais malgré toutes ces merdes, ma charge virale n'a jamais dépassé les 500-600 T4 alors que ma charge virale restait,elle, indétectable. icon_confus.gif

    Après la piqûre du moustique en mai 2005 et bossant comme une damnée malgré tout, j'ai fait une septicémie à pneumocoque sous traitement et là ils m'ont tellement gavé d'antibiotiques et de trucs de toutes sortes,que, après coup, j'ai décidé de tout arrêter. reflechi.gif

    J'attends ta réponse pour la suite... 5-humhum.gif

    LAURENCE

    Je suis triste de n'avoir pas de réponse! icon_cry.gif C'est vrai que quand je relis mes post, j'ai l'air d'être quelqu'un de fort, mais il y a des hauts et surtout des bas... Votre avis est important pour moi!!! LAURENCE 4-spamafote.gif

    Excuse-moi, Laurie, de ne pas t'avoir répondu plus tôt.

    Je suis en train d'essayer d'approfondir mes connaissances sur la chimie de toutes ces substances, et j'avoue que ce que je découvre me stupéfie de plus en plus. J'ai la conviction que la plupart de nos médicaments modernes vont stimuler la production d'oxydants, sans que je n'aie vraiment de solution de rechange (en dehors de l'homéopathie, que beaucoup parmi vous rejettent malheureusement pour eux).

    Certains "antirétroviraux" conviennent cependant pour contrer ces oxydants, mais avec un grand nombe d'effets secondaires.

    Celui qui n'a aucun rôle antioxydant, au contraire, c'est l'AZT, qui n'agit que parce qu'il tue tous les microorganismes (ainsi que l'organisme tout court d'ailleurs).

    La Névirapine (Viramune) est un antioxydant, car son principal métabolite est un polyphénol. Cependant, les phénols sont connus pour provoquer des rashs cutanés, des troubles digestifs (selles sanglantes,...) des cancers.

    L'ARV le moins toxique est la lamivudine (épivir ou 3TC), et ne présente d'activité antioxydante que chez les personnes souffrant d'un stress oxydatif sévère.

    Pour les autres, ils sont certes antioxydants, mais leurs métabolites sont très souvent bien toxiques.

  3. A propos de Nathan Geffen, avocat du TAC soit-disant "sud-africain", dont parle Nicolas, je voudrais vous faire part d'une petite anecdote qui m'avais frappé lors du fameux procès des multinationales pharmaceutiques contre le gouvernement sud-africain qui voulait outrepasser les brevets sur les médicaments et utiliser des génériques.

    A l'époque, le TAC et Geffen s'étaient tenus aux côtés du gouvernement sud-africain - et c'est d'ailleurs ainsi qu'ils ont pu apparaître sur le devant de la scène - pour faire en sorte que les multinationales perdent -apparemment - ce procès.

    A la fin du procès, retransmis par Arte, on a très bien vu Manto, le ministre de la santé, quitter rapidement la salle sans adresser un regard aux avocats des pharmaciens, alors que le représentant du TAC - sans doute Geffen - venait les saluer chaleureusement (poignées de main, etc...)

    A l'époque, cela m'a choqué, et j'ai compris un peu plus tard, lorsque je découvris les sceptiques du vih et le président Mbeki, qu'il y avait là sans doute une manipulation qui permettait, par le moyen détourné que représentent les génériques, d'introduire l'AZT et la névirapine en afrique du sud.

    Je me trompe peut-être, mais ma première impression avait été très désagréable.

  4. Il serait bon que Nicolas Vivant donne les réponses (ainsi que les références qui les soutiennent) aux questions et affirmations de Wilner, car il ne fait qu'affirmer que ces réponses ont été données, sans aucune preuve :

    Un certain nombre de personnes refusent d'admettre que le VIH (Virus de l'Immunodéficience Humaine) est la cause du SIDA. Le Dr Willner était de ceux-là. Dans son livre « L'escroquerie du sida »[1], il soutient que :

    - L'hypothèse du SIDA est frauduleuse et ses auteurs sont coupables de tromperie criminelle et de meurtre !

    - Le SIDA n'est pas nouveau, il est aussi vieux que l'humanité.

    - Le VIH ne peut pas provoquer le SIDA.

    - Le SIDA ne se transmet pas sexuellement.

    - Le SIDA est endémique, et non épidémique,et n'est pas contagieux.

    - Le vaccin contre le SIDA sera inutile.

    - Le SIDA est un syndrome, pas une maladie.

    - L'immuno-déficience acquise est la cause de la plupart des maladies.

    - L'Immuno-Déficience Acquise est causée par beaucoup de facteurs connus et prouvés : drogues,médicaments, toxines polluantes, radiations, alimentation et cigarettes - soit individuellement, soit combinés.

    - Par conséquent, on peut traiter et prévenir le SIDA.

    Ce livre date de 1992 et les connaissances sur la maladie ont évidemment évolué depuis cette période. Nous pourrions nous attacher à cette liste de points et montrer comment, à l'aune du progrès scientifique, ils ont été peu à peu réfutés. D'autres l'ont fait avant nous; ce n'est pas l'objet de cet article.

    Et le progrès scientifique? Qu'est-ce? Cela existe-t-il vraiment?

    Par ailleurs, si ses lecteurs le suivent bien, ils achopperont certainement sur la probabilité de transmission par acte hétérosexuel, qu'il donne sans s'en étonner outre mesure : car c'est en étudiant ces chiffres qu'on en vient précisément à douter de la véracité de l'hypothèse officielle.

  5. si on lit correctement l'étude tchèque, on constate que la présence de sperme dans le rectum fait baisser temporairement les CD4, fait augmenter temporairement nos fameux anticorps, de la même manière qu'ils augmentent chez une femme enceinte multipare.

    Il suffit d'être dans la fenêtre lors qu'on se fait tester pour être reconnu séropositif. A partir de ce moment-là, on rentre dans le système et on n'en sort vraiment pas facilement, si je vous écoute tous.

  6. Non, rien de bien interpellant, car jamais ils ne se posent vraiment la question du lien entre un virus et la séropositivié.

    En Afrique, les choses sont de plus en plus confuses, car l'orthodoxie ne démords pas de ses prévisions-catastrophe.

    Mais les faits lui échappent, au point qu'on peut maintenant commencer vraiment à les déstabiliser.

    J'aime bien les prévisions du bureau de recensement US, qui utilise les modèles de l'OMS, et qui ont été mises à jour le 26 avril 2005 :

    http://www.census.gov/cgi-bin/ipc/idbsum.pl?cty=SF

    On y trouve en particulier une courbe en cloche pour la population totale du pays, présentant un maximum en 2003 de 44482 milliers d'habitants.

    Sur le site de wikipedia anglais, on lit textuellement, sur le topic qui traite du Botswana, et qui est applicable à l'Afrique du Sud :

    estimates for this country explicitly take into account the effects of excess mortality due to AIDS; this can result in lower life expectancy, higher infant mortality and death rates, lower population and growth rates, and changes in the distribution of population by age and sex than would otherwise be expected (July 2005 est.)

    ce qui signifie que ces estimations tiennent explicitement compte de l'impact de la séropositivité (qu'ils appellent à dessin "AIDS" (sida)).

    Les chiffres du gouvernement sud-africain sont complètement différents. Comparons-les à ceux des américains :

    an 2000 :

    http://www.statssa.gov.za/Publications/P0302/P03022000.pdf

    Gouvt SA : 43686 milliers

    EU census : 44066 milliers

    donc très proches

    an 2005 :

    http://www.statssa.gov.za/Publications/P0302/P03022005.pdf

    Gouvt SA : 46888 milliers

    EU census : 44344 milliers

    donc une augmentation de 7,3% sur 5 ans selon le Gouvt SA, semblable à l'augmentation qui existait de 1990 à 2000,

    et une augmentation de 1,5% sur 5 ans selon le Census américain, donc selon l'OMS, résultat qui est une estimation tenant compte explicitement de la prévalence de la séropositivité, mesurée par exemple auprès des femmes enceintes (surveillance anténatale).

    Alors, pourquoi un tel écart.

    Plusieurs explications peuvent être avancées.

    - le gouvernement sud-africain ment ou le bureau américain ment. En qui avez-vous le plus confiance?

    - le calcul qui permet, à partir de la prévalence de la séropositivité, de calculer la mortalité, le nombre d'orphelins, l'espérance de vie,... et la population totale, est faux. ce qui rend caduques toutes les données correspondantes et annoncées pour l'Afrique : 20 Mios de morts depuis 20 ans...

    - la prévalence de la séropositivité qui est annoncée est erronée.

    Bon, il est vrai qu'il y a 10000 morts officiels du Sida en 2003, à comparer avec les 300 français, Mais les conditions de vie des africains de souche sont tout de même encore bien précaires!

  7. Et évidemment, comme quasiment personne n'est au courant de l'existence d'une dissidence sur le sujet, l'orthodoxie du sida n'a guère de raison de se fatiguer à tenter de prouver que la dissidence aurait tort, à supposer bien sûr que l'orthodoxie du sida le puisse.

    du moins en France.

    Aux EU, comme je l'ai dit, ça bouge :

    http://www.deanesmay.com/questioning_the_h..._establishment/

    et en particulier :

    http://www.deanesmay.com/posts/1140594181.shtml

    et

    http://www.mindfully.org/Health/2006/AIDS-...ption1mar06.htm

    mais aussi la contrattaque :

    http://www.tac.org.za/Documents/ErrorsInFarberArticle.pdf

  8. apparemment, "Laurie", certains médecins sont plus circonspects qu'on le dit et ont dû émettre "in petto" quelques doutes sur la validité de ce qu'on raconte sur le vih et certains traitements, sans toutefois aller jusqu'au bout de leurs suspicions.

    Wallypat m'a ôté les mots de la bouche, car effectivement, il y a de très fortes chances que le Bactrim soit le bon challenger.

  9. Dans l'hep B, la cirrhose, il y a un déficit en glutathion. Est-il dû au stress oxydatif? Pourquoi pas. Mais des substances apparemment anodines peuvent provoquer ce déficit en glutathion (paracétamol).

    Chez les séropositifs, il s'agit d'un hyper stress oxydatif résultant de facteurs extérieurs entraînant une hyperstimulation du monoxyde d'azote (rien de tel et d'aussi grave se produit chez les personnes âgées) : linhalation de nitrite damyle (poppers) et autres drogues, labus dantibiotiques dont les produits de catabolisme sont le monoxyde d'azote et des nitrosamines, labsorption d'une multitude de protéines étrangères résultant d'une multitude de coïts anaux non protégés avec de nombreuses personnes différentes (la débauche anale passive "non protégée" pour faire simple), ....

    On peut y rajouter le viagra (sildenafil : empêche la destruction du monoxyde d'azote, tiens, tiens...) et la méthamphétamine (donne des nitrosamines), ainsi que le reporte (mais il faut lire entre les lignes) une toute nouvelle étude faite à Seattle.

  10. Voilà en tout cas un pavé énorme dans la mare du sida viral et une confirmation des hypothèses du groupe de perth et de Heinrich Kremer, qui, vous vous en souvenez, avait prévu que le viagra (qui empêche la destruction du NO) allait faire s'envoler la séropositivité:

    Unsafe Sexual Behavior and Correlates of Risk in a Probability Sample of Men Who Have Sex With Men in the Era of Highly Active Antiretroviral Therapy.

    Brewer DD, Golden MR, Handsfield HH.

    From the Department of Medicine and the Center for AIDS and STD, University of Washington, and Public Health-Seattle & King County, Seattle, Washington. (pas vraiment des ânes)

    Sex Transm Dis. 2006 Feb 7;Publish Ahead of Print (tout récent)

    OBJECTIVE:: To assess the levels and correlates of potential exposure to and transmission of HIV in a contemporary, community-based probability sample of men who have sex with men (MSM). METHODS:: In 2003, 311 sexually active MSM participated in a random-digit dial telephone survey in Seattle neighborhoods with a high prevalence of MSM. The primary outcomes were potential exposure to and transmission of HIV, defined as unprotected anal intercourse with a man of opposite or unknown HIV status in the preceding 12 months. RESULTS:: Fourteen percent of respondents reported being HIV-positive, 77% reported being HIV-negative, and 8% had not been tested. Of 241 HIV-negative MSM, 25 (10%; 95% confidence interval [CI], 7-15%) were potentially exposed to HIV; among 45 HIV-positive MSM, 14 (31%; 95% CI, 20-46%) were potential HIV-transmitters. Among HIV-negative men, the strongest bivariate correlates of potential exposure to HIV were recent bacterial sexually transmitted disease (odds ratio [OR], 5.icon_cool.gif, number of recent male sexual partners (OR, 1.01 per partner), recent sex at a bathhouse (OR, 9.1), and recent use of sildenafil (OR, 4.4), amyl nitrite (OR, 6.2), and methamphetamine (OR, 8.0). Among HIV-infected men, the strongest correlates of potential HIV transmission were recent use of amyl nitrite (OR, 3.1), number of recent male sex partners (OR, 1.07 per partner), and having a male spouse or domestic partner (OR, 0.3). CONCLUSIONS:: Most MSM knew their HIV status and adopted safer sexual behaviors to reduce their risk of HIV acquisition or transmission. However, 10% of HIV-negative MSM and 31% of HIV-positive MSM recently engaged in behaviors that placed them at high risk for acquiring or transmitting HIV.

    on voit que le crystal-meth, les poppers et maintenant le viagra (sildénafil), sont ceux qui correlent le mieux avec la séroconversion. cqfd.

  11. Que si tu es sure que le pathogène qui provoquerait cette maladie est bien responsable et qu'il est bien caractérisé. Mais de toute façon tu auras toujours une incertitude sur un faible % de gens , il faut donc combiner les tests et les symptomes. Et c'est pareil pour tous les diagnostics viraux, pas seulement pour le vih.

    Justement, Nico, c'est-là où le bât blesse. Rien ne prouve que le vih soit responsable du sida. La seule chose qu'on sache, d'après les documents de Gallo et de Montagnier, c'est que du matériel provenant de gens malades contient

    - des particules non observées généralement (sauf dans le placenta ainsi que l'a montré Panem en 1979 - Panem S. C Type Virus Expression in the Placenta. Current Topics in Pathology 1979;66:175-189. ), nommées également C - Virus par Gallo et Montagnier. (A l'époque de Gallo, ces virions contenaient un "core" circulaire, maintenant il est conique, bizarre, bizarre)

    - des protéines capables de provoquer la rétrotransciption d'un primer ARN

    - des protéines qui donnent des anticorps chez des lapins, anticorps retrouvés chez les malades. Cependant, ces protéines (antigènes) sont retrouvées chez des personnes ne pouvant être infectées (dans le placenta par exemple).

    - bien évidemment un ARN encodant pour ces protéines.

    - et puis plein de matériel appelé "Mock Virus" par Gelderblom, qui représente des résidus cellulaires, mais qui pourrait tout aussi bien être la source des fameux antigènes, puisque Gallo ni Montagnier ne l'a séparé des fameux C-virus.

    Il y a donc clairement corrélation... mais personne n'a encore véritablement montré que c'est la véritable cause du sida (voir les remarques de Luc Montagnier à Bruxelles en 2003).

    Sinon, si on dit qu'il y a vih parce qu'il y a ces protéines, puis que le vih les produit, il y a là un argument circulaire dont la logique m'échappe.

  12. Pas de problème, Nico.

    Par contre, ce que j'ai relevé n'est pas d'abord le graphe donné, mais la petite phrase qui indique que le cut'off est quelque chose d'arbitraire. Pour un chimiste, ce discours est inadmissible. Et il devrait l'être encore plus pour quelqu'un qui s'occupe de la santé des gens.

    Pour en revenir au graphe, il illustre très bien ce que je m'échigne à dire depuis 3 ans : comment sait-on, en dehors de la clinique, depuis 1984, que les anticorps détectés au dessus du cutoff sont ceux du vih, et ceux détectés au-dessous ne le sont pas?

    Actuellement on commence à répondre : oui mais la majorité des gens est immunisée vis-à-vis du vih... mais ceci va totalement à l'encontre de la politique de prévention. Cela devient kafkaïen.

  13. En ce qui concerne la spécificité des tests, je vous laisse un peu méditer sur ce document des CDC dont j'ai extrait la "substantifique moëlle" :

    --Resize_Images_Alt_Text--

    où il est écrit, noir sur blanc :

    Establishing the cutoff value to define a positive test result from a negative one is somewhat arbitrary

    Comme s'il était arbitraire de décider si oui ou non quelqu'un va avoir sa vie gâchée.

  14. Axelwebb,

    d'abord, quel est le pourcentage de gens devenus séropos à la suite d'une capote explosée? Certainement très peu, vu les chiffres indiqués par les CDC ou le gouvernement français. Sans doute même un sur un million si on ne connaît pas le "statut" de son partenaire, ou un sur mille si on connaît ce statut.

    Mais on montera leur cas en épingle. Et puis on assumera que c'est à cette occasion que cette personne est devenue séropositive, sans preuve. C'est un peu comme si on disait que tout ce qui arrive à la suite d'une vaccination est dû à cette vaccination (LOL). Sauf que dans le cas du vaccin, on sait ce qu'il y a dans le vaccin, alors qu'on ne sait pas vraiment ce qu'est le "vih".

    Mais de nombreuses autres causes peuvent être responsables de cett augmentation de la séropositivité qu'on appelle séroconversion : et en particulier tout ce qui augmente le stress oxydatif (drogues azotées, médicaments oxydants,...)

  15. (aixur @ Lundi 27 Février 2006, 00:45)

    Quant au problème du risque pris en s'inoculant le sang de Pedro Tocino, il faudrait savoir à quel moment les taux de contamination ont été définis. Ce n'est pas sur qu'en 1994, on avait déjà défini que les taux étaient de 3 pour 1000. Et donc, Willner ne savait peut-être pas qu'il ne prenait "officiellement" qu'un risque de 3/1000 de s'inoculer le soi-disant virus.

    Si Aixur, puisque l'étude de Kaplan date de 1992.

  16. Je lis en ce moment une discussion passionnée qui a lieu sur le Blog d'un Docteur en Médecine, actuellement assistant en épidémiologie, le Dr Tara Smith(excusez la langue française qui ne permet pas la féminisation de ces titres).

    Cette discussion concerne la publication de Padian & al. sur lequel est fondée la probabilité de 1 pour mille pour la transmission hétérosexuelle que l'on retrouve un peu partout. Merci d'ailleurs à ce médecin - au demeurant charmante - de nous permettre de télécharger cette publication complète.

    En étudiant attentivement toutes les interventions - où nous retrouvons les acteurs habituels du débat : Hank Barnes, Dean Esmay, et le Dr. Harvey Bialy, compagnon d'armes de Peter Duesberg, d'une part, Chris Noble et Dale d'autre part, ainsi que d'autres personnes intéressantes (Darin Brown, un méthématicien) et moins intéressantes (Orac, qui ne sait faire que des attaques ad hominem) - je suis tombé sur une des dernières contributions de notre jeune docteur Tara, qui, me semble-t-il, éclaire d'un jour cru la véritable cause qui empêche la remise en question de l'hypothèse vih -> sida :

    http://scienceblogs.com/aetiology/2006/02/...p#comment-18709

    Si la manière dont les sceptiques du vih le considèrent s'appliquait universellement, cela invaliderait la théorie microbienne.

    On voit donc tout l'enjeu du débat, et on comprend que personne n'est pressé de faire une réévaluation de l'hypothèse en question.

  17. Il est intéressant de constater que Kaplan, un des auteurs de cette étude, a été un des collègues de Serge Lang, mathématicien de réputation mondiale opposé à l'hypothèse infectieuse du sida.

    Pourquoi n'a-t-on pas encore voulu vérifier si l'hypothèse chimique du sida tenait la route au point de vue épidémiologique. La seule réponse que l'on reçoit (non validée par des études réelles) est que l'hypothèse infectieuse et sexuelle est d'une évidence écrasante...avec les probabilités de transmission indiquées ici. LOL!

  18. Connais-tu la probabilité de transmission du HIV en procédant de la sorte ?

    Voici les données des CDC :

    --Resize_Images_Alt_Text--

    Soit 3 pour mille, et donc une probabilité trois fois plus importante que celle d'une séroconversion lors d'une relation hétérosexuelle.

    Ce qui signifie que, si l'on peut honnêtement mettre en doute la transmission qu'aurait subie Willner, on peut tout aussi bien mettre en doute une séroconversion apparue lors d'un seul rapport, telle qu'elle est souvent décrite dans la littérature. Ou du moins mettre en doute la causalité sexuelle pour un passage de la Densité Optique lue lors du test au dessus de l'index prédéfini par le fabricant.

  19. Il est vrai, Terry, que ce composé me fascine.

    D'abord parce que j'ai travaillé en DEA sur les hétérocycles, et cette catégorie de molécules a toujours été mon dada.

    (C'est amusant aussi de savoir qu'à 12 ans je redécouvrais intuitivement la structure de l'acide nitreux... avec lequel on fait les poppers.)

    ...

    mais surtout parce que je ne comprends pas que personne parmi nos "pontes" ne se soit encore penché sérieusement sur ses propriétés chimiques.

    Blague à part, tu sais que le 3TC est donné dans les deux maladies principales liées au stress oxydatif : le sida et l'hépatite.

    Mais il a aussi des effets négatifs, sans doute parce qu'on ne recherche pas vraiment l'équilibre cellulaire lorsqu'on le prescrit, mais simplement la diminution d'une activité protéique assimilée à un "virus".

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