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Cheminot

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Messages posté(e)s par Cheminot

  1. Le ténofovir a très certainement des propriétés antioxydantes, car il possède une liaison phosphore-carbone, ce qui lui confère ces propriétés réductrices.

    Cependant, ce type de liaison n'est pas sans effet nocif sur la vie cellulaire, contrairement à la liaison carbone - soufre du 3TC.

    Le ténofovir est en fait un organophosphoré du même acabit que le Roundup... Eh oui!!

    Voici les structures :

    --Resize_Images_Alt_Text--

    pour le glyphosate, composant essentiel du Roundup

    et

    --Resize_Images_Alt_Text--

    pour le Ténofovir.

    A remarquer la même structure terminale, responsable dans le glyphosate de son action herbicide :

    (HO)2OP-CH2 - X , où X est un atome fortement électronégatif, O dans le cas du Ténofovir, N dans celui du glyphosate.

    NB : je viens d'éditer ma formule pour bien montrer l'existence de cette liaison P-C

  2. Merci pour le lien!

    Voici un résumé de cet essai n° 5142 :

    http://www.natap.org/2008/HIV/051908_06.htm

    On y lit en particulier :

    All patients received lamivudine, but the second NRTI was zidovudine (which was assigned to 42% of patients), extended-release stavudine (24%), or tenofovir (34%).

    Il faudrait maintenant savoir qui a reçu l'AZT. Est-ce dans le groupe Lopinavir, ou Efavirenz? En tous cas, l'étude est faite de telle manière qu'on puisse considérer que cela n'a pas d'importance... Et pourtant.

  3. certes!

    Mais je peux résumer simplement les choses : ce sont les propriétés chimiques de ces divers "antirétroviraux" qui expliquent leur action dans le sida, qui est une maladie due à la nature chimique (excuse-moi d'y revenir) de composés très divers qui ont tous en commun de favoriser la formation des substances (appelées peroxynitrites, mais cela ne te dira rien) qui vont détruire les cellules immunitaires et faire apparaître les protéines dites "du vih".

    Ces phénomènes ont été décrits dans la littérature et il serait temps que l'on lève le voile sur cette réalité.

    le principal "antirétroviral" est la lamivudine (3TC). C'est lui qui a été introduit en 1995 et a provoqué une forte amélioration de la morbidité et de la mortalité chez les malades traités par l'AZT, qui lui, fait partie des substances qui, au début, semblent améliorer, mais qui en définitive se comporte comme ces subtances qui provoquent la formation des peroxynitrites : il a une action biphasique, alors que le 3TC fonctionne toujours dans le bon sens.

    J'espère que c'est un peu plus simple.

    Je rajoute également que, à cause du manque de formation des médecins en chimie, ils ne se sont jamais tournés vers les chimistes pour comprendre les maladies, et je pense qu'il s'agit d'une erreur fondamentaled notre culture, qui a peur de cette connaissance, un peu d'ailleurs comme toi. Mais bien sûr je ne peux t'en vouloir, vu sa complexité.

  4. Cette étude me fait penser à une des manières dont le corps élimine l'acide arachidonique : il l'oxyde en prostaglandines grâce à la cyclooxygénase.

    Or, tous les antiinflammatoires, en bloquant la cyclooxygénase, empêchent cette élimination.

    De là à penser qu'un des soit-disant progrès de la "médecine", à savoir la lutte contre la douleur et la fièvre grâce au paracétamol et autre ibuprofène, risque en fait de limiter la destruction de l'acide arachidonique, qui , par les voies de l'oxydation décrites dans cette étude, pourrait alors devenir de plus en plus dangereux au fil du temps !

  5. Aixur, du calme, s'il te plaît,

    analyse les interventions de Nico sur Agoravox et tu comprendras où il se place :

    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_art...mentaire1539404

    Il essaye de maintenir le débat sur le plan expérimental, et c'est tout ce qui nous intéresse.

    N'essaye pas de proposer des hypothèses qui ne reposent pas sur une expérimentation sérieuse, car tu agis alors comme les personnes que tu veux combattre.

    Quant à cette notion de spécificité anticorps antigène, elle existe sûrement, mais n'est certainement pas aussi absolue qu'on veut bien nous le dire. Cependant, il faudrait savoir comment se forment les antigènes (P24,...). Sont-ce des effecteurs de l'oxydation, qui sont régulés en temps normal par un faible taux d'anticorps (ceux que l'on mesure chez l'individu "normal", au dessous de l'index).

    Ce qui me semble très intéressant, c'est la structure même de tous les anticorps, qui comportent deux brins protéiniques reliés par des ponts disulfure, qui sont, à mon sens, et je pense que Nico sera d'accord, le résultat d'une oxydation gérée par le système redox de la cellule.

  6. Le point commun responsable de l'apparition des mêmes anticorps :

    L'excès de peroxynitrites, qui se retrouve sans coup férir chez les consommateurs de poppers, de viagra, de crystal, et j'en passe, et chez les utilisateurs de chloramphénicol, de métronidazole, d'isoniazide, de bactrim, le tout associé à un déficit chronique en sélénium (maalnutrition, terrain géographique,...)

    Ceci est d'autant plus certain que la suppression des peroxynitrites par un catalyseur adéquat fait disparaître les antigènes (P24), donc les anticorps,... et même les vésicules qu'on appelle VIH.

  7. Selon un post sur AidsmythExposed dû à Michael Geiger (me semble-t-il), le département de la santé de San Diego a fait part d'une augmentation de 800% de l'incidence des MST... hors séropositivité.

    Dans le même laps de temps, le même département de la santé fait part d'une diminution importante de la séropositivité au "VIH".

    Encore un élément à enlever à l'édifice du Sida, qui devrait, si tout le monde raisonnait dans la transparence et la vérité, s'effondrer comme un château de cartes.

  8. Tout d'abord, Hugo, un renvoi vers ce post de Wallypat.

    Ensuite, pour nous, il semble de plus en plus certain que les taux de protéines supérieurs à l'index défini par Gallo correspondent à l'existence d'une quantité létale de peroxynitrites. A ces taux-là, les peroxynitrites provoqueraient - toujours selon nous - une perturbation presque irréversible du système immunitaire. Il faut donc tout faire, ainsi que le dit Wallypat, pour faire redescendre ces taux.

    C'est à comparer aux dégâts irréversibles provoqués par les taux de sucre sanguin élevés caractérisant le diabète.

  9. Bonjour,

    Wallypat, je te félicite pour tes recherches et trouve tes considérations, étayées par ces diverses études, fort intéressantes.

    En définitive, l'oxydoréduction est extrêmement importante pour expliquer les phénomènes vitaux, et il est très dommageable qu'on veuille se limiter à la reconnaissance de formes (clé et serrure) et à la génétique.

  10. Bonjour,

    après un week-end sans (ordinateur), je rejoins le forum et constate que D'artagnan refuse d'aller plus loin dans le débat. Serait-ce que ses arguments manquent de force et de références convaincantes?

    Je reprends ce qu'il a dit dans son dernier post.

    En ce qui concerne l'existence dans le génome humain de la chaîne de nucléotides qu'il décrit, je dirai d'abord que les avis officiel sont encore partagés sur le fait de connaître parfaitement le génome humain. Ensuite, il y aurait de plus en plus de preuves qu'on retrouve des séquences dites virales dans ce génome .

    Enfin, et là je touche à un dogme des biologistes, la réactivité chimique des cycles puriques et pyrimidiques vis-à-vis des oxydants n'est pas identique. La position de la base dans la chaîne engendre également de manière indubitable une régiosélectivité à longue distance.

    On ne peut donc pas prétendre, comme le fait ce dogme, édicté par Monod, que l'attaque des bases par un agent (le plus souvent oxydant, puisque les cycles sont riches en électrons) soit aléatoire.

    On sait par exemple que les guanosines sont bien plus sensibles (en 8 ) que les autres bases. Et comme ces bases, situées sur la face interne de l'un des brins de l'hélice, sont de plus parallèles les unes aux autres, il y a obligatoirement interaction électronique entre elles.

    Donc chaque type d'oxydant aura un impact particulier. Les ions superoxyde ne sont par exemple pas nitrants, contrairement aux peroxynitrites. C'est ce caractère nitrant qui est à la base de la modification non aléatoire des bases, et donc de leur transformation par la rétrotranscriptase (qui n'est qu'une polymérase) en un ADN anormal. Il suffit d'introduire n'importe quel ADN anormal, de plus commençant par un polyA, dans une cellule, pour qu'elle fasse apparaître l'ARN correspondant, puis la protéine mutée correspondante.

    Mon hypothèse sur l'ARN et les protéines dites du VIH, à savoir que celles-ci feraient partie d'un processus naturel de contrôle de la prolifération cellulaire, cet ARN et ces protéines, dont la formation résiderait en l'oxydation régiosélective d'une partie du génome par les peroxynitrites, présuppose également que la structure en question est stable a priori, puisque obtenue depuis des millions d'années par ce processus.

    Le problème est que vous ne vous rendez pas compte que vos tests, et je le répète en l'assénant, sont des tests à limite, et vos dires prouvent bien que vous ne comprenez pas ce que cela signifie. L'homme des cavernes, l'homme du 19ème siècle n'étaient pas soumis à l'action de ces donneurs de NO exogènes, mais pourtant, leurs cellules portaient déjà, en quantité infinitésimale, cet ARN, ces protéines (P24), qui, nous ne pouvons qu'être désolés pour vous) sont spécifiques du phénomène de nitration par les peroxynitrites, et non pas d'un prétendu virus exogène qu'on a défini simplement parce que c'est la mode aux virus.

    Et quand ce phénomène de nitration s'exacerbe par l'apport de donneurs de NO exogènes, le phénomène s'emballe et deux phénomènes apparaissent, de manière parallèle et non consécutive :

    - l'augmentation de nos chers marqueurs

    - la disparition des lymphocytes et donc l'immunodéficience.

  11. En ce qui concerne la spécificité des protéines, il faut tout de même se souvenir que Gallo a appelé ce virus HTLV III, et qu'il adonné les noms des protéines en fonction de leur identité ou de leur ressemblance forte avec celles du HTLV I et du HTLV II.

    Et puis, je le répète, le codage de ces protéines a des chances de se retrouver dans le fameux junk DNA, dont on ne sait pas très bien à quoi il sert, et dans lequel on a trouvé de nombreuses séquences rétrovirales.

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