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Pikpikandré

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Messages posté(e)s par Pikpikandré

  1. Sur l'hétérogénéité de la dissidence

    Dissidents are unorganized groups and individuals challenging and questioning the veracity of what we have been told over and over again for the past 20-something years as being 'The Truth'. Dissidents come in many different varieties. The Far Left Dissidents are those who believe that neither HIV nor AIDS exist. The Far Right can be described as those people who adhere to the concept that both HIV and AIDS exist but seriously question the effectiveness of the drugs currently being given as treatment.
  2. Hum d'abord il n'est pas nécessaire de hurler icon_smile.gif (les capitales sur un forum c'est pour crier icon_wink.gif )

    J'ai une amie qui a des angines blanches depuis tjs (et n'a jamais été positive aux tests) les médecins ont cherché toutes les solutions possibles sans jamais réussir à la guérir totalement.

    Elle a maintenant 32 ans et a décidé de se tourner depuis 1 ans vers des médecines plus douces car elle en a marre de "bouffer" des antibio (ce que je comprends icon_wink.gif ) elle s'est tournée vers la diététique et l'argent colloïdale. Cela va mieux. Il est encore trop tôt pour dire pour combien de temps

    En homéo peut être MERCURIUS CYANATUS 5CH

  3. Pour ceux qui veulent faire des recherche sur le sujet de la transmission mère-enfants --> cela s'appelle chez les scientifiques la transmission verticale (par opposition à horizontale : de personne à personne)

    Rock-en-rock il n'y a jamais de question idiote seules les réponses le sont parfois.

    Tinuviel a bien répondu à la question

    que signifie un test positif au VIH chez le bébé dès la naissance ? la négativité peut-elle intervenir 6 mois après ... ? ... voire même l'inverse ...

    Pour la négativité la réponse est OUI je l'ai lu qqpart il faut que je retombe dessus. Pour l'inverse je ne pense pas.

    Pour ta dernière question peux-tu préciser vulnérable à quoi ?

  4. Rock-en-Rock et Tinuviel je vous apporterais des précisions plus tard

    ADDTC

    Cette 1ère conférence sur sur la thématique Science et démocracie (plus d'info sur les objectifs http://www.dipmat.unipg.it/~mamone/sci-dem...sentation.html) à eu lieu à l'Institute for Philosophical Studies, Naples, Italy le 20 avril 2001.

    Toute l'info sur leur site officiel http://www.dipmat.unipg.it/~mamone/sci-dem/sci&dem.htm

    Les documents en relation avec cette conférence http://www.dipmat.unipg.it/~mamone/sci-dem/sci&dem.htm (pls articles en fait sur la dissidence que je n'avais pas encore trouvé --> merci d'avoir posé la question)

    Le programme http://www.dipmat.unipg.it/~mamone/sci-dem...relazioni01.htm

    Les participants de cette conférence

    H. Arp, F. Attena, J. B. Bastos Filho, R. Biancarelli Martinelli, E. Caccese, C. Colacino, A. Daigneault, M. C. Danhoni Neves, F. Di Trocchio, P. Duesberg, S. Dumontet, R. Germano, J. Grehan, S. Lang, A. Liversidge, M. Mamone Capria, G. Moran, D. Rasnick, L. Rovito, G. Scherillo, T. Tonietti, P. Varvaro, C. Viggiani, M. Walker

    Aubert Daigneault - Université de Montréal - THEORIE DES MODELES EN LOGIQUE MATHEMATIQUE

    Serge Lang - mathématicien de l'Université de Yale

    Anthony Liversidge - journaliste de Omni

    David Rasnick - Chimiste - groupe de Perth

    etc etc

    Il y a eu 2 conférences suplémentaires (avec bcp plus de participants) depuis et le site sert à mettre de nouveaux articles ou des nouveaux débats

  5. Je suis tombé sur un site qui me paraît intéressant ... qu'en penses-tu Cheminot ?

    http://anne.decoster.free.fr/d1viro/vgvirus.html

    Amitiés ...

    Oui c'est un bon cours universitaire de référence synthétisants (sans trop entrer dans les détails) les connaissances actuelles en virologie. Il est un peu plus compréhensible pour les non-initiés que les cours précedents que j'avais donné sans pour autant être simpliste.

    Ecrit par - Pr ag. Anne Decoster, Dr Jean-Claude Lemahieu, & Dr Eric Dehecq, Dr Philippe Gontier, Pr Marc Duhamel -

  6. Si personne ne le fait d'ici là je tenterais de répondre aux questions de Rock-enRock

    [edit : Cheminot l'a fait entre temps]

    en attendant je viens de tomber sur ce doc bien intéressant et qui explique tout ce que je disais récemment ici icon_biggrin.gif (en anglais désolé ! à ce propos juste une question : poster des ref en angl vous sert à qqchose ou bien la grosse majorité ne lit pas l'anglais ?)

    The Scorn of Heretics - Conference on Science and Democracy - Anthony F. Liversidge - 2001(39 pages)

    L'étude de cas est la dissidence du SIDA

    [Edit]Pff j'avais pas mis la référence icon_smile.gifhttp://www.uow.edu.au/arts/sts/bmartin/dis.../Liversidge.pdf ]

    En voici l'intro

    Skepticism in science is indispensable to progress and to correcting errors.
  7. Gel microbicide anti-VIH : la réponse pourrait se trouver dans les arbres...

    U n simple citron pourrait apporter une réponse en matière de prévention du sida, en permettant de mettre au point un gel vaginal susceptible de détruire le virus du sida et de protéger ainsi des millions de femmes ayant des rapports sexuels avec des partenaires infectés.

    C'est ce que viennent de suggérer des chercheurs autraliens, en s'inspirant d'anciennes traditions de régions rurales d'Asie du Sud-Est: le jus de citron s'avère contraceptif lorsqu'il est introduit dans le vagin, son acidité pouvant provoquer la destruction des spermatozoïdes.

    Une équipe australienne conduite par Roger Short de l'Université de Melbourne, dont les travaux doivent être présentés mardi à la conférence internationale sur sida de Bangkok, déclare qu'une solution de jus de citron - testée en laboratoire et non sur des humains - pourrait tuer le virus de l'immunodéficience humaine (VIH).

    "A condition que des essais cliniques confirment que le jus de citron intravaginal est acceptable, sûr et efficace, il pourrait s'avérer le microbicide de la nature", selon le résumé de leurs travaux.

    Les chercheurs ont multiplié les efforts pour trouver des microbicides, alternatives au préservatif en matière de prévention du sida. Une crème ou gel microbicide s'avèreraient particulièrement utiles en Afrique, où les femmes représentent plus de la moitié des 25 millions de séropositifs et sont particulièrement vulnérables.

    Vivant dans une situation de soumission, elles ne peuvent pas persuader ou contraindre leurs partenaires à porter un préservatif.

    Discret, peu coûteux, un gel microbicide supportant la chaleur et ne nécessitant pas de réfrigération serait idéal.

    Un seul microbicide, une molécule appelée nonoxynol-9, a été testée jusqu'à présent, sur plus de 400 professionnelles du sexe en Afrique occidentale, en Afrique du Sud et en Thaïlande, dont une partie recevait un placebo, donc une molécule sans effet médicamenteux, à titre de comparaison. Le résultat s'est révélé désastreux.

    Les personnes utilisant du nonoxynol-9 trois fois par jour, voire davantage avaient près de deux fois plus de risque d'être infectées par le virus du sida que celles utilisant un placebo. La muqueuse vaginale était endommagée par le nonoxynol-9, produit chimique puissant, et les lésions ainsi créées facilitaient l'entrée du virus dans le sang.

    Six autres vastes essais cliniques de microbicides sont en cours ou sur le point de démarrer, et la recherche a reçu une nouvelle impulsion avec la création de l'International Partnership for Microbicides.

    L'équipe de Roger Short a testé plusieurs solutions de jus de citron sur du sperme d'homme souffrant du sida.

    Exposer pendant une heure le VIH à une solution contenant 2% de jus de citron n'a aucun effet, mais lorsque la concentration est portée à 10%, la réplication du virus est fortement réduite, et le produit s'avère non toxique.

    Une solution concentrée à 20% a permis de détruire 90% des virus en deux minutes, tout en montrant des signes de toxicité.

    Une longue période de tests sera encore nécessaire pour que les citrons puissent être utilisés à cette fin. Cette recherche suscite d'ailleurs le scepticisme des experts du secteur des microbicides.

    "Le concept repose sur une régulation du PH (de l'acidité) du vagin et ceci est déjà activement recherché dans le cadre du (gel appelé) Buffer Gel", a déclaré un spécialiste.

    Mais Roger Short estime que ses recherches ne peuvent être ignorées. En cherchant une "Cadillac des microbicides, on a peut-être négligé le simple vélo", a-t-il déclaré la semaine dernière au journal scientifique britannique Nature.

    http://www.globeaccess.net/archive_2004/sante177.htm

    D'autres ressources en français

  8. alala ce n'est pas issu de la chimie pharmaceutique , c'est naturel, c'est pas cherdonc c'est de la merde icon_confused.gif

    Lemon juice 'is HIV-killing spermicide'

    Laboratory tests show that lemon juice is a potent destroyer of both HIV and sperm, Australian researchers say.

    If planned tests in primates and people are successful, lemon juice could be ideal for women without easy access to safe barrier contraceptives, such as condoms, says the team at Melbourne University, led by Roger Short.

    But experts in anti-AIDS medications warn that the safety of using the juice internally and its efficacy in people are as yet unknown.

    Short says a solution of 10 per cent lemon juice produced a 1000-fold reduction in HIV activity in a lab sample. And half a teaspoon of the juice wiped out two teaspoons of sperm in 30 seconds. The high acidity of the juice is responsible for killing HIV and sperm.

    The great advantage of lemon or lime juice as an anti-viral contraceptive is that the fruit can be grown very cheaply in the developing world, says Short. Women might use the juice by inserting a soaked piece of sponge or cotton wool before intercourse, he says. Women researchers in Short's lab said using the juice caused no pain.

    Centuries old

    This method of contraception was widespread in the Mediterranean before the advent of modern methods, such as the Pill. "I'm a great believer in history. People would not have used it for 300 or 400 years if it did not work," Short told ABC-TV.

    Julian Meldrum of the London-based National AIDS Manual says: "The basic principle that acids such as lemon juice can inactivate both sperm and HIV has been known for some years." But although lemon juice was used historically as a contraceptive, "it is unknown how much damage this did both directly to the vagina and the interior of the cervix and uterus, and indirectly, through effects on microbes in the vagina."

    Short agrees that more work is needed: "We now need more time to see if women really could rely on lemon juice to protect themselves against pregnancy and HIV in the human body without any side effects," he says.

    The team is now planning experiments involving macaque monkeys in Indonesia.

    http://www.newscientist.com/article.ns?id=dn2910

    Bio du fameux Short http://www.obsgyn.unimelb.edu.au/staff/obs.../ShortRoger.htm

  9. Aixur, je suis assez callée en ce qui concerne le Web, je développe moi même plusieurs sites et autres supports multimédia (perso ou dans le cadre de mon boulot) et j'ai un intérêt certain pour cette controverse comme tu l'as remarqué : j'ai une proposition à te faire concernant le site de Mark. Contact moi en mp si cela t'intéresse.

  10. Un article du NIAID (National Institut of Allergy and Infectious Deseases) revient sur l'histoire des traitements. Les premiers traitements dans les années 1980 avec de l'AZT, la résistance du virus aux médicaments, la nécessité de combiner plusieurs médicaments pour mieux contrer le virus, l'arrivée des anti-protéases en 1995 et l'efficacité des tri-thérapies, démontrée dès 1996. L'histoire des traitements a donc basculé vers le milieu des années 1990, avec l'apparatiton des antiprotéases et des trithérapies. On peut en voir les conséquences spectaculaires dans le graphique suivant : il s'agit du nombre trimestriel de morts du Sida aux Etats-Unis. A partir de 1996, le nombre de morts diminue de manière très significative. Deux ans plus tard, on compte cinq fois moins de décès du Sida aux Etats-Unis.

    --Resize_Images_Alt_Text--

    Nombre de morts du Sida aux Etats-Unis entre 1986 et 1998 (chiffres trimestriels)

    Ou comment faire dire aux graphiques et statistiques ce qu'on veut...

    Je te donne les données que tu n'as apparemment pas eu (tu peux tout vérifier):

    • 1985/86 introduction de l'AZT. Médicament non développé pour le sida mais contre le cancer recalé pour haute toxicité. Trouve une deuxième vie avec le sida en obtenant une autorisation très controversé (tests à la limite de la fraude). hautement toxique pour les cellules humaines, y compris pour les lymphocytes T4, provoquant de nombreux cancers et ... le SIDA (et oui !!! tellement toxique pour le système immunitaire que le SIDA se développe), particulièrement dangereux chez la femme enceinte et chez le BB. Un article en exemple (mais il y en a de tres tres nombreux sur le sujet) CHIU DT and DUESBERG PH. Toxicity of Azidothymidine (AZT) on Human and Animal Cells in Culture at Concentrations Used for Antiviral Therapy. Genetica 1995; 95:103-109. )
    • 1995/96 réduction de l'AZT en dose quasi non-toxique dans les trithérapies.
    Que constate-t-on ?

    Introduction de l'AZT --> augmentation drastique de la mortalité

    Enorme diminution des doses d'AZT dans les trithérapies --> Retour progressif à la mortalité initiale

    reflechi.gif

    Tu n'as qu'un seul objectif : discréditer la dissidence par tous les moyens possibles et on peut effectivement se demander dans quels buts. Pose toi la question inverse quel est l'intérêt de ces scientifiques dans l'histoire en dehors de bousiller leur carrière en toute connaissance de cause ?

    Bon allez, je vous laisse j'essayerais de faire plus court la prochaine fois icon_biggrin.gif

  11. Toujours des ressources sur les controverses en général cette fois

    Sociologie des controverses scientifiques http://webu2.upmf-grenoble.fr/110319314161...iche___article/

    En décrivant la couverture journalistique de certains sujets spécifiques, Brownlee a fait valoir que les médias américains auraient été trop favorables à la médecine universitaire. Les journalistes nont pas rapporté les effets négatifs de différents traitements et nont pas parlé des profits que connaissaient les hôpitaux grâce à de nouvelles procédures. Parfois, les journalistes ont même joué un rôle important dans la création dune demande publique pour des nouvelles formes de soins.

    « Nous avons constaté ce phénomène à maintes reprises avec une nouvelle chirurgie, un nouveau médicament, un nouvel appareil ou des nouvelles méthodes danalyse. Les percées étaient dabord encensées par les chercheurs cliniciens. Le scoop était tout de suite repris par la presse et du coup, les patients en demandaient. Je sais exactement comment ça se passe...cétait moi qui écrivais ces topos. »

    [...]

    Même si cest lindustrie pharmaceutique qui est ciblée, Brownlee maintient quune partie du blâme revient aux scientifiques. Ils ont endossé les médicaments et négligé de rapporter les effets secondaires. Ils ont manié les statistiques et accepté de faire la promotion de médicaments auprès de leurs confrères médecins partout aux États-Unis alors que le public comptait sur eux pour assurer la sécurité et lefficacité des différents produits de lindustrie pharmaceutique.

    « Certains scientifiques universitaires font des salaires dans les six chiffres en frais de consultation en étant membre de conseils consultatifs de compagnies pharmaceutiques. Largent biaise leurs recherches. Un médecin éminent qui a fait la promotion de médicaments auprès de ses collègues et des journalistes fait environ un million de dollars par année en concluant des ententes avec les compagnies pharmaceutiques. »

    Pour lindustrie, ces activités font partie du marketing et servent à développer des relations avec les scientifiques et cliniciens tout en faisant la promotion de leurs produits. « Les compagnies et leurs consultants en relations publiques ne sen cachent pas. Les chercheurs cliniciens sont des outils de commercialisation. Ils leur donnent même un nom : les KOLs pour Key Opinion Leaders. »

    Dans une ère où 75 % des publications en recherche médicale sont soutenues par lindustrie, le financement de la recherche médicale et des chercheurs par les compagnies pharmaceutiques constitue un problème majeur pour les journalistes.

    « Un jour, le public se rendra compte que la science médicale était biaisée et on se demandera où étaient les journalistes quand tout cela se passait, a dit Brownlee. Nous allons tous voir que lautre coupable, cétait la presse. »

    [...]

    Aline Richard, rédactrice en chef, La Recherche

    Aline Richard, rédactrice en chef de La Recherche, une revue française basée à Paris, a fait valoir que les médias, la science et largent forment un mauvais mariage en France. Mais sans argent, la recherche et les bureaux de presse nexisteraient pas. Ceci a amené Aline Richard à se poser les questions suivantes :

    Qui finance la recherche scientifique en France à un moment où le financement public est en perte de vitesse et où la participation du secteur privé est de plus en plus étendue ?

    Comment le financement affecte-t-il lattitude des scientifiques, des journalistes et du public ?

    Comment les journalistes abordent-ils les questions de financement de la recherche et peuvent-ils vraiment apporter une perspective indépendante ?

    Est-ce que les journalistes ont les aptitudes nécessaires pour poser les bonnes questions ?

    Est-ce que les médias veulent réellement que les bonnes questions soient posées ?

    Allez ce sera tout pour aujourd'hui icon_biggrin.gif

  12. Et be... ça va loin quand même... perso je pense pas qu'ils pourraient obliger ta femme à faire une trithérapie... et a priori idem pour le BB... sauf si on n'en arrive comme aux USA à enlever des enfants à leur tuteur ou parents sous pretexte qu'ils refusent de faire suivre une trithérapie à leurs enfants séropositifs 5-tss.gif

    puni.gif

    Courage !!!

    Sinon pour le texte allemand il y a les traducteurs en ligne (qu(il faut encore traduire ne langage humain après mais bon icon_smile.gif )

    Il devient clair à des facteurs parasites dans le matériaux d'étude des documents étant à notre disposition et aussi de la littérature que les facteurs parasites les plus divers dans différents systèmes d'essai d'Ing d'écran peuvent conduire à des résultats faux positifs. font partie: -Antikoerper contre d'autres excitateurs virale (p. ex. anti-HAV-IgM, anti-HCV, anti-Rubella) des -Proben -Bakterielle infections -unspezifische B-Zell stimulations de -Autoimmun-Antikoerper -Rheumafaktoren -Proben -vorangegangene vaccinations (p. ex. hbv, Influenza) ces réactions non spécifiques sont reconnus presque toujours avec des anticorps contre des Herpesviren (anti-EBV, anti-HCMV, anti-HSV) avec les Hypergammaglobulinaemien -Proben d'enceintes, particulièrement après plusieurs grossesses par les essais de confirmation comme falsch-positiv. Cependant si les résultats d'un essai de confirmation ne devaient pas être interprétables clairement et exclure non complètement le soupçon sur un HIV-Infektion, d'autres études doivent être attachées. Pour cela souvent un deuxième essai d'Ing d'écran, de conception aussi différente que possible, est utilisé. La plus grande sécurité est toutefois atteinte par la preuve directe des acides nucléiques virusspezifischen par le PCR.
  13. Effectivement Cheminot icon_cry.gif

    Sinon pour en revenir au thème initial de ce sujet

    J'aimerais voir comment vont réagir Candide et ADDTC (mais en fait je doute qu'ils comprennent les implications de tous ces faits)

    Sinon pour votre info perso une chronologie de la dissidence (jusqu'en 1999) http://www.healtoronto.com/chronology/chronology.htm

  14. Tu me demandes de rajouter sur mon site une liste de périodiques dans lesquels les positions "dissidentes" sont défendues ou non rejetées. Tu me donnes cette liste, en disant que tu as trouvé au moins un article contre la théorie officielle dans ces médias :

    (j'ai trouvé au moins un article contre la théorie officielle dans ces médias)

    * Arte (a diffusé un documentaire en 1996 de Djamel Tahi : SIDA : Le Doute) Voir le synopsis

    * New York Press

    * Chicago Tribune

    * UK Guardian

    * BBC

    * CNN

    * New York Post

    * Los Angeles Times

    * Independant

    * The Australian

    * Rolling Stone Magazine

    * Wall Street Journal

    * The National Times

    * etc etc etc etc et sans compter les publications en ligne

    Je veux bien répondre à ta demande, mais il va falloir que tu me donnes des sources, afin que je vérifie. Tu es scientifique, et tu as fait de l'épistémologie il me semble, donc tu sais qu'il est important de donner ses sources.

    Je n'ai pas retenu Arte pour des raisons que tu connais sans doute. Le documentaire qui a été diffusé sur cette chaîne a été suivi d'un débat dans lequel les "dissidents" se sont fait étriller par Luc Montagnier. Le journaliste a lui-même été vertement tancé pour son reportage. En d'autres termes, Arte n'a certainement pas cautionné la "dissidence", bien au contraire.

    Tu cites ensuite plusieurs revues scientifiques, dont Nature, The Lancet, Science, etc. Tu te moques de qui ? Tu crois sincèrement que ces revues cautionnent la "dissidence" ? Que ces revues aient publié quelques articles, je veux bien le croire, mais c'était dans le cadre de débats contradictoires. Il ne faut pas faire d'amalgame. C'est ça que j'appelle la malhonnêteté intellectuelle.

    Bien je reprends donc mon message icon_cry.gif pfff fatiguant tout ça

    Je rappelle ce que je disais dans mon message

    Sites dans lesquels les positions "dissidentes" sont défendues ou non rejetées J'ajouterais "ou publiées" (de nombreuses revues scientifiques ou journaux ont accepté des articles qui mettent à mal la thèse officielle sans pour autant être pour les dissidents ni même savoir que cela aménerait de l'eau au moulin des dissidents)

    A toutes fins utiles il est peut être bon de rappeler que les revues scientifiques ne DOIVENT pas prendre parti. Que les articles dont je parle ne sont pas systématiquement lié à des débats contradictoires (ils sont même en minorité ceux là). Dasn les revues scientifiques il y a une différence très nette entre ce qui est débat et ce qui est article (expérience avec résulats). Je parle bien d'articles scientifiques qui prouvent par leur résultats que la théorie actuelle (ou une portion de celle-ci) ne tient pas la route ils peuvent même avoir été écrit par des partisants de la thèse officielle. Il est vrai cependant que vu le système peer to peer actuel bon nombre d'articles pertinents passent à la trape car ils sont contre l'intérêt de l'un des correcteurs par exemple. Mais je m'égare encore.

    Pour les articles des dissidents tu les trouvera en accès libre sur le site virusmyth (mais aussi dans les bases de données d'articles scientifiques et pour la traduction française sur sidasanté) pour les autres dans les bases de données mais il faut bien sûr savoir quoi chercher. Quelques exemples parmi d'autres

    Eleni Papadopulos-Eleopulos, , a, Valendar F Turner, b, John Papadimitriouc, Barry Pagea, David Causera, Helman Alfonsod, Sam Mhlongoe, Todd Millerf, Andrew Maniotisg and Christian Fialah . A critique of the Montagnier evidence for the HIV/AIDS hypothesis. Medical Hypotheses, Volume 63, Issue 4 , 2004, Pages 597-601 Par là http://www.altheal.org/tests/medicalhypothesis.pdf

    Gluschankof P. et al. Cell membrane vesicles are a major contaminant of gradient-enriched human immuodeficiency virus type-1 preparations. Virology 1997; 230: 125-133.

    Strandstrom HV et al. Studies with canine sera that contain antibodies which recognize human immunodeficiency virus structural proteins. Cancer Research 1990 ;50 :5628s-5630s.

    Tu en trouveras d'autres là http://www.rethinking.org/aids/cite/index.html

    Mais évidemment il faut en comprendre le contenu et être capable de faire la liaison avec d'autres résultats parfois dans des domaines très différents. Il faut donc 1 - comprendre l'anglais 2- connaître le domaine et cela n'est pas toujours suffisant. En effet il sort des milliers d'articles scientifiques par mois, les chercheurs ne lisent donc que ceux qui les intéressent en premier chef c'est à dire dans leur domaine et plus dans leur spécialisation (par exemple un chercheur sur les proteines membranaires du VIH n'ira pas forcément lire un article parlant des effets des stress oxydatifs sur les malades du SIDA).

    A ce sujet d'ailleurs je me suis replongée hier dans mon cours de virologie universitaire de 1995 (écrit par un virologue reconnu spécialiste des herpesvirus). Il y est écrit noir sur blanc que la transcriptase inverse est SPECIFIQUE des rétrovirus. Une note de bas de page que j'avais surligné à l'époque disais que l'on avait récemment (dans les années 80 quand même) découvert des rétrotransposons chez des bactéries et dans le génome humain 'ces retrotransposons codant pour la transcritptase inverse qui n'est donc pas spécifique des rétrovirus). Comment en vouloir à Gallo et Montagnier dans ces conditions d'avoir pas vu, pas su, pas lu que leur conclusion sur la présence d'un virus n'était pas probante. Il est vraiment impératif de bien comprendre le fonctionnement de la recherche (et de l'industrie pharmaceutique) pour comprendre que là encore (je dis encore car les erreurs scientifiques ont été et sont encore innombrables : ne serais-ce qu'en virologie on ne connais rien ou presque mon cours de 1995 n'avait quasi que des phrases au conditionnel) les bourdes et l'entêtement sont inévitables...

    Je connais bon nombre d'universitaires, chercheurs ou académiques j'en connais très peu qui s'intéresse à d'autre chose que 1 - leur bout de molécule 2 - la recherche de financement. J'en connais très peu qui s'interrogent sur l'éthique et l'efficacité de la recherche actuellement. Dans ma promo j'en connais 2 (dont moi mais je reste persuadée - ou veux l'être - qu'il y en a d'autre) qui ont compris que l'on travaillait à l'intérieur de paradigmes et que ces derniers peuvent à tout moment s'écrouler et que tout ce qu'on croyait ne voudra alors plus rien dire et qu'il faudra expliquer les choses autrement. Nous sommes les seuls à avoir suivi les cours à option d'épistémologies et de philosophie des sciences... Suivre un cursus universitaire scientifique te permettra de comprendre qu'on ne forme pas spécialement des scientifiques à l'esprit ouverts et critiques mais que l'on forme avant tout des bons techniciens. Ceux qui ont l'epsrit ouvert et critique à la base trouveront dans leur cours de quoi alimenter cet esprit pour les autres ... icon_cry.gif

    Par contre, et heureusement, ils sont de plus en plus nombreux à s'inquieter de la main mise de plus en plus grande du privé sur le financement de la recherche et donc de la disparition de la recherche fondamentale.

    Pour les médias :

    Je n'avais pas mis les références exactes car cela m'aurait pris trop de temps. Je te donne donc juste qqs unes récentes (et sur le même thème, je pense même que c'est ici que j'avais eu l'info première)

    New York Press http://nypress.com/17/28/news&columns/LiamScheff.cfm (traduction fr : http://www.karmapolis.be/intro/orphelins_labo.htm)

    CNN http://www.cnn.com/2004/HEALTH/conditions/....drug.death.ap/

    BBC http://news.bbc.co.uk/1/hi/programmes/this_world/4035345.stm

    Pour en savoir plus sur le sujet http://www.aumag.org/viewfinder/leftMay04.html

    Quand j'aurais le temps j'essayerais de te mettre les autres...

    Néanmoins je voudrais encore préciser que les journalistes (la très grosse majorité) ne PEUVENT prendre parti pour l'une ou l'autre thèse car ils ne possèdent pas les compétences scientifiques pour juger. Ils sont donc souvent obligé de suivre le consensus scientifique. (c'est vrai pour le sida comme pour d'autres)

    Bon j'avais dit encore bien d'autre chose dans mon message précédent mais là j'ai pu le temps...

  15. Bon alors pour les recherches sur les cd4

    Le point crucial est de bien réaliser que les lymphocytes T4 ne sont pas détruits par un quelconque virus, un prétendu " VIH " ou un autre, et que limmunité cellulaire peut être restaurée.

    Depuis le début des années 90 on a mis en évidence chez lhomme, comme chez tous les mammifères, deux sous-groupes de lymphocytes T4. Dans les examens conventionnels de laboratoire ils ne sont pas différenciés. Pourtant le taux de lymphocytes T4 dans le sang est déterminé par la somme de ces deux sous-groupes, appelés Th1 et Th2.

    Les cellules Th1 synthétisent le NO cytotoxique et sont responsables de limmunité cellulaire vis-à-vis des germes intracellulaires.

    En cas de carence en cystéine et glutathion les cellules Th2 deviennent dominantes. Ces Th2 quittent la circulation sanguine pour stimuler la production danticorps dans les organes lymphoïdes et donc, automatiquement, le nombre total de lymphocytes T4 dans le sang diminue.

    Cette " bascule " du rapport Th1-Th2 en faveur des Th2 est (comme le phénomène de cancérisation cellulaire) contrôlée et causée par la cytokine type 2. Si cette bascule dure longtemps elle prédispose au SIDA. Il a dailleurs été démontré que les séropositifs réellement menacés de SIDA sont ceux qui ont une dominance de cytokine type 2.

    La double stratégie du système immunitaire (immunité cellulaire dépendant des Th1, immunité humorale par anticorps extracellulaires dépendant des Th2) obéit donc au même programme biologique qui détermine la cancérisation dune cellule en cas de carence en protons librement convertibles.

    Comme la plupart des thérapeutes ne connaissent visiblement pas ces lois biologiques issues de lévolution, ou ne veulent pas les connaître, ils condamnent tôt ou tard à mort, involontairement, les séropositifs soi-disant infectés par le " VIH ", même ceux qui au départ ne sont pas du tout menacés de SIDA.

    En effet, non seulement ils ne mesurent pas les taux de cystéine et glutathion ni dautres paramètres importants de laboratoire, mais ils prescrivent sans limite de temps des chimiothérapies et des antibiothérapies toxiques pour les mitochondries et grosses consommatrices de glutathion. Et ceux qui mesurent cystéine et glutathion nen prescrivent pas moins les thérapies toxiques tellement ils sont obsédés par le " VIH ". Certains recourent à un compromis : ils administrent simultanément sans grande conviction de la L-cystéine et du glutathion réduit à titre de " traitement complémentaire ", ce qui cependant, à long terme, ne peut pas compenser les effets dévastateurs des thérapies toxiques.

    Source : Interview du Dr Heinrich Kremer sur le SIDA et le cancer. Par Hans Jochim Ehlers. http://perso.wanadoo.fr/sidasante/critique/kremer.htm

    Je poursuis mais je pense que cela est déjà une explication plausible

  16. Désolée pour le hors sujet

    J'ai écouté hier à la radio une intervention ubuesque sur le raz de marée asiatique ... Selon l'intervenant et au terme d'un foutoir analytique, la cause de ces grosses vagues meurtrières seraient à porter au discrédit du mépris de l'environnement qui caractérise les sociétés occidentales et américaine en particulier ...

    Cheminot a raison, il y a sans doute trop de saloperies dans l'environnement pour des raisons économiques mais delà à incorporer un tremblement de terre dans ces démarches nuisibles, il y a un pas à ne pas franchir, je crois ...

    Ok avec toi pour le suicide

    Concernant le Tsunami je ne sais ce que disais ton reportage mais il est un fait certain : la catastrophe aurait été bien moins pire (mais toujours catastrophique nous sommes d'accord) si on avait pas systématiquement éliminé les mangroves (qui auraient limité la violence et la pénétration du tsunami) pour faire de l'élevage de crevettes ou pour faire de jolies plages pour les touristes. Même remarque sur les coraux complétement bousillés par la pêche intensive, le raclage du sol, la plongée touristique--> ces barrières naturelles auraient limité aussi la violence et la progression des tsunamis. + la débilité profonde d'urbaniser à outrance les zones cotières.

    Le tsunami a d'ailleurs dû bousiller ce qui restait de mangroves et de coraux icon_cry.gif

    Plus d'infos la dessus : voir les déclaration de Jeff McNeely de l'IUCN ou aussi

    Les atteintes portées à ces espaces confinés, à lorigine de 80 % des espèces marines, menacent donc sans commune mesure avec leur superficie la densité même de la vie des océans, un phénomène que lon a trop tendance à oublier. La destruction de ces "habitats" marins que sont les marais, les forêts de mangroves et les coraux, abaisse la capacité de reproduction de la faune et de la flore et amplifie les déprédations causées par les perturbations atmosphériques sur le milieu côtier.

    [...]

    Les activités humaines menacent tout à la fois la faune et la flore marines et à travers elles lavenir de lhomme de bien dautres manières. Cest cette juxtaposition même dactivités prédatrices qui nous fait craindre une rupture déquilibre. La mer nest pas en effet une oasis de vie sans fin car celle-ci se concentre essentiellement dans les zones bordières, cest-à-dire peu profondes. Les estuaires notamment, lieux les plus menacés par les activités anthropiques, sont les véritables pouponnières de la mer. Les atteintes portées à ces espaces confinés, à lorigine de 80 % des espèces marines, menacent donc sans commune mesure avec leur superficie la densité même de la vie des océans, un phénomène que lon a trop tendance à oublier. La destruction de ces "habitats" marins que sont les marais, les forêts de mangroves et les coraux, abaisse la capacité de reproduction de la faune et de la flore et amplifie les déprédations causées par les perturbations atmosphériques sur le milieu côtier.

    Le cyclone qui a frappé la côte est de lInde en octobre 1999, qui a provoqué un raz-de-marée rentrant jusquà 50 km à lintérieur des terres et entraînant la mort de quelque 10 000 personnes, aurait eu moins deffets si le littoral avait continué à être protégé par les forêts de mangroves.

    http://expositions.bnf.fr/lamer/arret/demain.htm

    Z'aviez entendu parlé de ça ? il n'y avait sans doute pas assez de touristes...

  17. Je ne crois pas que les dissidents aient étudié la maladie de Kreutzfeld Jacob.

    Cela dit, pour le prion, mon opinion, c'est que c'est un truc tout aussi bidon que le VIH. D'ailleurs, il y a un agriculteur anglais, Mark Purdey, qui a remis en cause le prion comme cause de la maladie de la vache folle. Selon lui, c'est le phosmet, un insecticide mis le long de la colonne vertébrale des vaches qui est à l'origine de tout ça. De façon plus générale, ça serait lié à un déséquilibre en cuivre (un excès si je me souviens bien). Ainsi, il a remarqué que sur certains terrains riche en certaines substances qui entrainent un déséquilibre en cuivre dans l'organisme, les herbivores développaient également des maladies du genre "vache folle".

    Oui effectivement et cela est tout de même envisagé comme l'une des 3 cause possible par les "autorités compétentes" icon_biggrin.gif Ici l'INRA http://www.inra.fr/Internet/Produits/dpenv/vfol___8.htm

    Hypothèse "environnementale" de la maladie

    Cette hypothèse alternative très controversée suggère que la maladie pourrait avoir pour origine " une mutation neurochimique déclenchée par une exposition à des pesticides organophosphorés ". Évoquée dès 1988 (3), cette supposition est basée sur le fait que la Grande-Bretagne a utilisé de 1981 à 1991 de fortes doses de phtalimide contenu dans le phosmet, un insecticide puissant, afin d'éliminer des mouches parasites Hypoderma bovis (varron du boeuf) de son cheptel bovin (68, 69). Cet insecticide aurait induit une modification de la protéine PrP conduisant ainsi à la maladie. L'époque d'utilisation, la distribution géographique et la dynamique d'usage de ce type de produit sont en corrélation avec l'épidémie d'ESB.

    (3) Boothby C.B., 1988. Bovine spongiform encephalopathy, possible toxicity link. Veterinary Record, 122(4), 95.

    (68) Purdey M., 1993. Mad cow disease. Ecologist, 23(1), 36-37.

    (69) Purdey M., 1994. Are organophosphate pesticides involved in the causation of bovine spongiform encephalopathy? Hpothesis based upon a litterature review and limited trials on BSE cattle. Journal of nutritional Medecine, 4(1), 43-82.

    Voir aussi la référence Neilson S., 1996. Bovine Spongiform Encephalopathy (BSE), or mad cow disease. http://www.brunel.ac.uk/research/cshsd/bov...ephalopathy.htm

    Mais aussi Cette conférence de Marc Purdey et la discussion http://www.liste-hygiene.org/arcesbpurdey.html

    Je crois qu'on parle aussi de problème de ce genre dans la thèse officielle sur l'hépatite C.

    PS. Très intéressante cette discussion

  18. Bonne idée de changer de topic ... icon_biggrin.gif

    Je suis tombée hier sur un truc mais je dois encore le vérifier (je ferais ça sur le temps de midi) : comme l'avait dit Aixur le taux de LTCD4 sanguin est bien inférieur aux taux de LTCD4 tissulaire. C'est le sanguin qui est mesuré dans les tests.

    On aurait découvert (avant le sida) que dans certaines conditions (certaines pathologies, stress, peur ... à vérifier) les LTCD4 se réfugiaient dans les tissus et que donc le taux de LTCD4 sanguin diminuait drastiquement (puis revenait à la normale plus tard).

    Après l'hypothèse hypermédiatisée de Gallo selon laquelle le SIDA est provoqué par un rétrovirus (appelé VIH) qui attaque les lymphocytes TCD4 (personne n'a encore réussi à prouver, à montrer que le VIH tuait effectivement les CD4) l'auteur même de l'étude précédente est revenu sur ces positions...

    Un truc du genre,

    Je chercherais ce midi et je vous tiens au courant

  19. Je comprends que le "commun des mortel" ne puisse concevoir que toute une communauté scientifique puisse se tromper. Et pourtant cela est arrivé tant de fois. Si le "commun des mortels" pouvaient se mettre à la place d'un scientifique lambda qqs jours il comprendrait je crois que tout cela est possible. Si le "commun des mortels" savaient à quelle point la science en général est en grand danger de par son fonctionnement actuel... mais je m'égare

    Pour ce qui est de durban, cela a aussi été réfuté http://perso.wanadoo.fr/sidasante/science/refutation.htm (en français) (le site http://www.thedurbandeclaration.org a été piraté)

  20. Bon j'ai un peu plus exploré le cas "Candide" et j'ai eu confirmation de ce que je soupçonnais. Hélas pour moi ce n'est donc pas lui ou elle qui répondra enfin à toutes mes questions... (non ADDTC, si Candide est bien le seul, il n'argumente pas du moins il n'argumente pas sur ce qui pourrait faire avancer le débat)

    Car c'est là où le bas blesse : il/elle a aucun argument scientifique convainquant pour répondre aux questions justifiées de nombreux scientifiques (qu'il/elle ne prend pas la peine d'expliquer voir le point 1b de son site et donc il/elle ne les réfutent pas non plus). Car c'est cela qui m'intéresse (ma motivation est purement scientifique ici). Il me semble évident que Candide ne sait pas de quoi on parle mais il /elle a l'avantage d'avoir fait une synthèse très documenté sur la thèse officielle (mais que dire de la thèse dissidente, effectivement Candide tu est "à charge" tu traque les "preuves" discréditant les thèses dissidentes sans avoir assimilé, digéré etc... ces dernières et sans leur laisser de "place").

    Quand je me suis intéressée au sujet je n'avais aucun parti pris (enfin je dirais plutôt que j'étais tout à fait convaincue par la thèse officielle). Après y avoir passé de longues heures, les arguments scientifiques des dissidents m'ont convaincue (entre autre) pas forcément du fait que le vih n'existe pas mais en tout cas qu'on en a aucune preuve (et j'ai tout vérifié directement dans les articles scientifiques originaux).

    Du coup je trouve absolument criminel de ne pas permettre à la recherche d'explorer d'autres voies possibles (sur les causes, les traitements etc....) en traitant les scientifiques dissidents d'hérétiques, en informant pas les malades, en ne finançant pas les recherches alternatives etc etc etc mais surtout de traiter des patients avec des médicaments si dangereux sur base de tests de depistage d'un virus qu'on ne connais pas

    Candide j'aimerais te suggérer de compléter (en jaune) ta liste de ressources de ton site (car elle est la preuve même que tu es de parti pris, elle pourrait même être la preuve que ta démarche est malhonnête). Et j'avoue que je n'ai même pas fait le tour...

    Sites dans lesquels les positions "dissidentes" sont défendues ou non rejetées J'ajouterais ou publiées (de nombreuses revues scientifiques ou journaux ont accepté des articles qui mettent à mal la thèse officielle sans pour autant être pour les dissidents)

    Institutions : aucune (ce qui est logique)

    Médias :

    (j'ai trouvé au moins un article contre la théorie officielle dans ces médias)

    • Arte (a diffusé un documentaire en 1996 de Djamel Tahi : SIDA : Le Doute) Voir le synopsis
    • New York Press
    • Chicago Tribune
    • UK Guardian
    • BBC
    • CNN
    • New York Post
    • Los Angeles Times
    • Independant
    • The Australian
    • Rolling Stone Magazine
    • Wall Street Journal
    • The National Times
    • etc etc etc etc et sans compter les publications en ligne

    Associations :

    • Alive & well
    • Act Up San Francisco
    Revues scientifiques

    (j'ai trouvé au moins un article contre la théorie officielle dans ces revues et c'est à partir de ces articles ainsi que d'autres de la théorie officielle que je me suis fait mon opinion)

    • Current Medical Research and Opinion
    • World Journal of Microbiology & Biotechnology
    • Genetica
    • Emergency Medicine
    • Bio/Technology
    • Research in Immunology
    • Medical Hypothesis
    • Nature
    • Science
    • The Lancet
    • Journal of the American Association of Forensic Dentists
    • Proc.Natl. Acad.Sci.
    • American Journal of Continuing Education in Nursing
    • Int.Arch.Allergy Immunol.
    • Cancer Research
    • Yale Scientific
    • Bio/Technology
    • Haematologica Journal of Hematology
    • Progress in Nucleic Acid Research and Molecular Biology
    • etc etc etc etc

    Internet

    • Le site personnel de Peter Duesberg
    • Le site personnel de Kary Mullis
    • $idasanté
    • Les forums Onnouscachetout
    • Le goupe de Perth
    • Le site VirusMyth
    Personalités

    Kary Mullis

    ouba y'en a bien plus que ça

    quelques exemples non exhaustifs

    # Charles A. Thomas, Jr. Ph.D. (Mol. Biologist, Pres. Helicon Fnd., San Diego, CA)

    # Harvey Bialy, Ph.D. (Editor Bio/Technology, New York, NY)

    # Harry Rubin, D.V.M. (Prof. Cell Biology, Univ. Cal. Berkeley, CA)

    # Richard C. Strohman, Ph.D. (Prof. Cell Biology, Univ. Cal. Berkeley, CA)

    # Phillip E. Johnson (Prof. Law, Univ. Cal. Berkeley, CA)

    # Gordon J. Edlin, Ph.D. (Prof. Biochem. & Physics, Univ. Hawaii, HI)

    # Beverly E. Griffin, Ph.D. (Dir. Dept. Virology, Royal Postgrad. Med. School, London, UK)

    # Robert S. Root-Bernstein (Prof. Physiology, Michigan State Univ., East Lansing, MI)

    # Gordon Stewart, M.D. (Emeritus Prof. Public Health, Epidemiologist, Isle of Wight, UK)

    # Carlos Sonnenschein, M.D. (Tufts Univ., Medicine, Boston, MA)

    # Richard L. Pitter, Ph.D. (Dessert Research Inst., Univ. Nevada System, Reno NV)

    # Nathaniel S. Lehrman, M.D. (Psychiatrist, Roslyn, NY)

    # John Lauritsen (Author 'Poison by Prescription', New York, NY)

    # William Holub, Ph.D. (Biochemist, Live Sciences Inst. New York, NY)

    # Claudia Holub, Ph.D. (Biochemist, Live Sciences Inst. New York, NY)

    # Frank R. Buianouckas Ph.D. (Prof. Mathematics, Cuny, Bronx, NY)

    # Philip Rosen, Ph.D. (Prof. Physics, Univ. Mass. Amherst, MA)

    # Steven Jonas, M.D. (Prof. Preventive Medicine, Suny Stony Brook, NY)

    # Bernard K. Forscher, Ph.D (Ret. Editor Proc. Nat. Acad. Sci., Santa Fe, NM)

    # Kary B. Mullis, Ph.D. (Biochemist, PCR inventor, Consultant, La Jolla, CA.)

    # Jeffrey A. Fisher, M.D. (Pathologist, Mendham, NJ)

    # Hansueli Albonico, M.D. (General Practitioner, Langnau, Switzerland)

    # Robert Hoffman, Ph.D. (Prof. Dept. Pediatrics Univ. Cal. Med. School, San Diego, CA)

    # Timothy H. Hand, Ph.D. (Dept. Psychology, Oglethorpe Univ. Atlanta, GA)

    # Eleni Eleopulos, M.D. (Royal Perth Hospital, Perth, West Australia)

    # Robert W. Maver, F.S.A., M.A.A. (Dir. Research, Mutual Benefit Life, Kansas City, MO)

    # Ken N. Matsumura, M.D. (Chairman Alin Foundation & Research Inst., Berkeley, CA.)

    # David T. Berner, M.D. (Condon, MT)

    # Theodor Wieland, Ph.D. (Max Planck Institut, Heidelberg, Germany)

    # Joan Shenton, M.A. (Meditel, London, UK)

    # John Anthony Morris, Ph.D. (Biochemist, Bell of Atari College Park, MD)

    # Sungchul Ji, Ph.D. (Prof. Pharmacology & Toxicology, Rutgers Univ., Piscataway, NJ)

    Voir aussi ce scitations, ou celles là

    Bref oui Candide oui ADDTC on veut bien débatre mais pas stérilement... alors armez vous de bouquin de Bio et de Chimie, lisez les articles originaux qui ont fondés le mythe et revenez discuter et essayer de répondre avec nous aux questions suivantes

    • Preuve de l'existence du VIH
    • Preuve de la liaison entre VIH et SIDA
    • Preuve de la spécificité des tests
    • Preuve de l'efficacité des traitements
    • Explication des "cas" : HIV+ non traités jamais malade; HIV- malade, taux de LTCD4 bas mais jamais malade, variabilité jamais vu en virologie (et autres concepts de virologie qui ont du être adaptés au "virus"), population "à risque" non ou peu infectées (prostituées par exemple : les quelques prostituées séropositives sont très souvent toxicomane) etc....
    • Explication du pourquoi on refuse de chercher TOUTES les causes possibles du SIDA ?
    • Explication du pourquoi on ne cherche pes TOUTES les traitements possibles du SIDA ?
    • Explication du pourquoi les stats sont falcifiées
    • etc etc etc ...
    Si on arrive à répondre à tout cela en gardant la théorie VIH/SIDA, quitte à refondre la virologie, alors oui les partisans de la thèse officielle auront eu une démarche scientifique
  21. Et ben!!! ... il y a t-til un endroit où se trouve résumé les arguments de Candide (en dehors de son site ?) contre les thèses dissidentes ?

    Candide j'ai suivi la même démarche que toi et suis arrivée à des conclusions diamétralement oposées (nous n'avons cependant peut être pas le même "background" scientifique ?). Et sur ce point là en particulier (je te cite) "les preuves de la malhonnêteté intellectuelle des "dissidents" se multipliaient. " Peux-tu préciser ces preuves ? (je parles des dissidents sérieux)

    Gosseyn c'est dommage sur ton site certains textes (dans les scans des tests) sont illisibles. Je conseillerais de faire du pdf à partir des scans au lieu d'images.

    Bon sinon une actu d'hier

    The Hidden Face of HIV - Part 1 - Mon, 3 Jan 2005 - By Liam Scheff (à surveiller pour la 2e partie icon_wink.gif )

    Source : http://www.guerrillanews.com/articles/article.php?id=1035

    Knowing is Beautiful

    As a journalist who writes about AIDS, I am endlessly amazed by the difference between the public and the private face of HIV; between what the public is told and whats explained in the medical literature. The public face of HIV is well-known: HIV is a sexually transmitted virus that particularly preys on gay men, African Americans, drug users, and just about all of Africa, although were all at risk. Were encouraged to be tested, because, as the MTV ads say, knowing is beautiful. We also know that AIDS drugs are all thats stopping the entire African continent from falling into the sea.

    The medical literature spells it out differently - quite differently. The journals that review HIV tests, drugs and patients, as well as the instructional material from medical schools, the Centers for Disease Control (CDC) and HIV test manufacturers will agree with the public perception in the large print. But when you get past the titles, theyll tell you, unabashedly, that HIV tests are not standardized; that theyre arbitrarily interpreted; that HIV is not required for AIDS; and finally, that the term HIV does not describe a single entity, but instead describes a collection of non-specific, cross-reactive cellular material.

    Thats quite a difference.

    The popular view of AIDS is held up by concerned people desperate to help the millions of Africans stricken with AIDS, the same disease that first afflicted young gay American men in the 1980s. The medical literature differs on this point. It says that that AIDS in Africa has always been diagnosed differently than AIDS in the U.S.

    In 1985, the World Health Organization called a meeting in Bangui, the capital of the Central African Republic, to define African AIDS. The meeting was presided over by CDC official Joseph McCormick. He wrote about in his book Level 4 Virus hunters of the CDC, saying, If I could get everyone at the WHO meeting in Bangui to agree on a single, simple definition of what an AIDS case was in Africa, then, imperfect as the definition might be, we could actually start counting the cases... The results - African AIDS would be defined by physical symptoms: fever, diarrhea, weight loss and coughing or itching. (AIDS in Africa: an epidemiological paradigm. Science, 1986)

    In Sub-Saharan African about 60 percent of the population lives and dies without safe drinking water, adequate food or basic sanitation. A September, 2003 report in the Ugandan Daily New Vision outlined the situation in Kampala, a city of approximately 1.3 million inhabitants, which, like most tropical countries, experiences seasonal flooding. The report describes heaps of unclaimed garbage among the crowded houses in the flood zones and countless pools of water [that] provide a breeding ground for mosquitoes and create a dirty environment that favors cholera.

    [L]atrines are built above water streams. During rains the area residents usually open a hole to release feces from the latrines. The rain then washes away the feces to streams, from where the [area residents] fetch water. However, not many people have access to toilet facilities. Some defecate in polythene bags, which they throw into the stream. They call these, flying toilets.

    The state-run Ugandan National Water and Sewerage Corporation states that currently 55% of Kampala is provided with treated water, and only 8% with sewage reclamation.

    Most rural villages are without any sanitary water source. People wash clothes, bathe and dump untreated waste up and downstream from where water is drawn. Watering holes are shared with animal populations, which drink, bathe, urinate and defecate at the water source. Unmanaged human waste pollutes water with infectious and often deadly bacteria. Stagnant water breeds mosquitoes, which bring malaria. Infectious diarrhea, dysentery, cholera, TB, malaria and famine are the top killers in Africa. But in 1985, they became AIDS.

    The public service announcements that run on VH1 and MTV, informing us of the millions of infected, always fail to mention this. I dont know what were supposed to do with the information that 40 million people are dying and nothing can be done. I wonder why we wouldnt be interested in building wells and providing clean water and sewage systems for Africans. Given our great concern, it would seem foolish not to immediately begin the clean water for Africa campaign. But Ive never heard such a thing mentioned.

    The UN recommendations for Africa actually demand the opposite -billions of dollars taken out of social funds, education and health projects, infrastructure [and] rural development and redirected into sex education (UNAIDS, 1999). No clean water, but plenty of condoms.

    I have, however, felt the push to get AIDS drugs to Africans. Drugs like AZT and Nevirapine, which are supposed to stop the spread of HIV, especially in pregnant women. AZT and Nevirapine also terminate life. The medical literature and warning labels list the side effects: blood cell destruction, birth defects, bone-marrow death, spontaneous abortion, organ failure, and fatal skin rot. The package inserts also state that the drugs dont stop HIV or prevent AIDS illnesses.

    The companies that make these drugs take advantage of the public perception that HIV is measured in individual African AIDS patients, and that African AIDS - water-borne illness and poverty - can be cured by AZT and Nevirapine. Thats good capitalism, but its bad medicine.

    Currently MTV, Black Entertainment Television and VH1 are running advertisements of handsome young couples, black and white, touching, caressing, sensually, warming up to love-making. The camera moves over their bodies, hands, necks, mouth, back, legs and arms - and we see a small butterfly bandage over their inner elbow, where theyve given blood for an HIV test. The announcer says, Knowing is beautiful. Get tested.

    A September, 2004 San Francisco Chronicle article considered the beauty of testing. It told the story of 59 year-old veteran Jim Malone, whod been told in 1996 that he was HIV positive. His health was diagnosed as very poor. He was classified as, permanently disabled and unable to work or participate in any stressful situation whatsoever. Malone said, When I wasnt able to eat, when I was sick, my in-home health care nurse would say, ‘Well, Jim, it goes with your condition. Thats the way I thought, he said.

    In 2004, his doctor sent him a note to tell him he was actually negative. He had tested positive at one hospital, and negative at another. Nobody asked why the second test was more accurate than the first (that was the protocol at the Veterans Hospital). Having been falsely diagnosed and spending nearly a decade waiting, expecting to die, Malone said, I would tell people to get not just one HIV test, but multiple tests. I would say test, test and retest.

    In the article, AIDS experts assured the public that the story was extraordinarily rare. But the medical literature differs significantly.

    In 1985, at the beginning of HIV testing, it was known that 68% to 89% of all repeatedly reactive ELISA (HIV antibody) tests [were] likely to represent false positive results. (NEJM - New England Journal of Medicine. 312; 1985).

    In 1992, the Lancet reported that for 66 true positives, there were 30,000 false positives. And in pregnant women, there were 8,000 false positives for 6 confirmations. (Lancet 339; 1992)

    In September 2000, the Archives of Family Medicine stated that the more women we test, the greater the proportion of false-positive and ambiguous (indeterminate) test results. (Archives of Family Medicine. Sept/Oct. 2000).

    The tests described above are standard HIV tests, the kind promoted in the ads. Their technical name is ELISA or EIA (Enzyme-linked Immunosorbant Assay). They are antibody tests. The tests contain proteins that react with antibodies in your blood.

    In the U.S., youre tested with an ELISA first. If your blood reacts, youll be tested again, with another ELISA. Why is the second more accurate than the first? Thats just the protocol. If you have a reaction on the second ELISA, youll be confirmed with a third antibody test, called the Western Blot. But thats here in America. In some countries, one ELISA is all you get.

    It is precisely because HIV tests are antibody tests, that they produce so many false-positive results. All antibodies tend to cross-react. We produce antibodies all the time, in response to stress, malnutrition, illness, drug use, vaccination, foods we eat, a cut, a cold, even pregnancy. These antibodies are known to make HIV tests come up as positive.

    The medical literature lists dozens of reasons for positive HIV test results: transfusions, transplantation, or pregnancy, autoimmune disorders, malignancies, alcoholic liver disease, or for reasons that are unclear...(Archives of Family Medicine, Sept/Oct. 2000).

    [H]uman or technical errors, other viruses and vaccines (Infectious Disease Clinician of North America 7; 1993)

    [L]iver diseases, parenteral substance abuse, hemodialysis, or vaccinations for hepatitis B, rabies, or influenza... (Archives of Internal Medicine August, 2000).

    npasteurized cows milk...Bovine exposure, or cross-reactivity with other human retroviruses (Transfusion,1988)

    Even geography can do it:

    Inhabitants of certain regions may have cross-reactive antibodies to local prevalent non-HIV retroviruses (Medicine International 56; 1988).

    The same is true for the confirmatory test - the Western Blot.

    Causes of indeterminate Western Blots include: lymphoma, multiple sclerosis, injection drug use, liver disease, or autoimmune disorders. Also, there appear to be healthy individuals with antibodies that cross-react.... (Archives of Internal Medicine, August 2000).

    The Western Blot is not used as a screening tool because...it yields an unacceptably high percentage of indeterminate results. (Archives of Family Medicine, Sept/Oct 2000)

    Pregnancy is consistently listed as a cause of positive test results, even by the test manufacturers. [False positives can be caused by] prior pregnancy, blood transfusions... and other potential nonspecific reactions. (Vironostika HIV Test, 2003).

    This is significant in Africa, because HIV estimates for African nations are drawn almost exclusively from testing done on groups of pregnant women.

    In Zimbabwe this year, the rate of HIV infection among young women decreased remarkably, from 32.5 to 6 percent. A drop of 81% - overnight. UNICEFs Swaziland representative, Dr. Alan Brody, told the press The problems is that all the sero-surveillance data came from pregnant women, and estimates for other demographics was based on that. (PLUS News, August, 2004)

    When these pregnant young women are tested, theyre often tested for other illnesses, like syphilis, at the same time. Theres no concern for cross-reactivity or false-positives in this group, and no repeat testing. One ELISA on one girl, and 32.5% of the population is suddenly HIV positive.

    The June 20, 2004 Boston Globe reported that the current estimate of 40 million people living with the AIDS virus worldwide is inflated by 25 percent to 50 percent.

    They pointed out that HIV estimates for entire countries have, for over a decade, been taken from blood samples from pregnant women at prenatal clinics.

    But its not just HIV estimates that are created from testing pregnant women, its AIDS deaths, AIDS orphans, numbers of people needing antiretroviral treatment, and the average life expectancy, all from that one test.

    Ive certainly never seen this in VH1 ad.

    At present there are about six dozen reasons given in the literature why the tests come up positive. In fact, the medical literature states that there is simply no way of knowing if any HIV test is truly positive or negative:

    [F]alse-positive reactions have been observed with every single HIV-1 protein, recombinant or authentic. (Clinical Chemistry. 37; 1991). Thus, it may be impossible to relate an antibody response specifically to HIV-1 infection. (Medicine International, 1988)

    And even if you believe the reaction is not a false positive, the test does not indicate whether the person currently harbors the virus. (Science, November, 1999).

    The test manufacturers state that after the antibody reaction occurs, the tests have to be interpreted. There is no strict or clear definition of HIV positive or negative. Theres just the antibody reaction. The reaction is colored by an enzyme, and read by a machine called a spectrophotometer.

    The machine grades the reactions according to their strength (but not specificity), above and below a cut-off. If you test above the cut-off, youre positive; if you test below it, youre negative.

    So what determines the all-important cut-off? From The CDCs instructional material: Establishing the cutoff value to define a positive test result from a negative one is somewhat arbitrary. (CDC-EIS, Screening For HIV, 2003 )

    The University of Vermont Medical School agrees: Where a cutoff is drawn to determine a diagnostic test result may be somewhat arbitrary....Where would the director of the Blood Bank who is screening donated blood for HIV antibody want to put the cut-off?...Where would an investigator enrolling high-risk patients in a clinical trial for an experimental, potentially toxic antiretroviral draw the cutoff? (University of Vermont School of Medicine teaching module: Diagnostic Testing for HIV Infection)

    A 1995 study comparing four major brands of HIV tests found that they all had different cut-off points, and as a result, gave different test results for the same sample: [C]ut-off ratios do not correlate for any of the investigated ELISA pairs, and one tests cut-off point had no predictive value for any other. (INCQS-DSH, Brazil 1995).

    Ive never heard of a person being asked where they would want to put the cut-off for determining their HIV test result, or if they felt that testing positive was a somewhat arbitrary experience.

    In the UK, if you get through two ELISA tests, youre positive. In America, you get a third and final test to confirm the first two. The test is called the Western Blot. It uses the same proteins, laid out differently. Same proteins, same nonspecific reactions. But this time its read as lines on a page, not a color change. Which lines are HIV positive? That depends on where you are, what lab youre in and what kit theyre using.

    The Mayo Clinic reported that the Western blot method lacks standardization, is cumbersome, and is subjective in interpretation of banding patterns. (Mayo Clinic Procedural, 1988)

    A 1988 study in the Journal of the American Medical Association reported that 19 different labs, testing one blood sample, got 19 different Western Blot results. (JAMA, 260, 1988)

    A 1993 review in Bio/Technology reported that the FDA, the CDC/Department of Defense and the Red Cross all interpret WBs differently, and further noted, All the other major USA laboratories for HIV testing have their own criteria. (Bio/Technology, June 1993)

    In the early 1990s, perhaps in response to growing discontent in the medical community with the lack of precision of the tests, Roche Laboratories introduced a new genetic test, called Viral Load, based on a technology called PCR. How good is the new genetic marvel?

    An early review of the technology in the 1991 Journal of AIDS reported that a true positive PCR test cannot be distinguished from a false positive. (J.AIDS, 1991)

    A 1992 study identified a disturbingly high rate of nonspecific positivity, saying 18% antibody-negative (under the cut-off) patients tested Viral Load positive. (J. AIDS, 1992)

    A 2001 study showed that the tests gave wildly different results from a single blood sample, as well as different results with different test brands. (CDC MMWR, November 16, 2001)

    A 2002 African study showed that Viral Load was high in patients who had intestinal worms, but went down when they were treated for the problem. The title of the article really said it all. Treatment of Intestinal Worms Is Associated With Decreased HIV Plasma Viral Load. (J.AIDS, September, 2002)

    Roche laboratories, the company that manufactures the PCR tests, puts this warning on the label:

    The AMPLICOR HIV-1 MONITOR Test....is not intended to be used as a screening test for HIV or as a diagnostic test to confirm the presence of HIV infection.

    But thats exactly how it is used - to convince pregnant mothers to take AZT and Nevirapine and to urge patients to start the drugs.

    The medical literature adds something truly astounding to all of this. It says that reason HIV tests are so non-specific and need to be interpreted is because there is no virologic gold standard for HIV tests.

    The meaning of this statement, from both the medical and social perspective, is profound. The virologic gold standard is the isolated virus that the doctors claim to be identifying, indirectly, with the test.

    Antibody tests always have some cross-reaction, because antibodies arent specific. The way to validate a test is to go find the virus in the patients blood.

    You take the blood, spin it in a centrifuge, and you end up with millions of little virus particles, which you can easily photograph under a microscope. You can disassemble the virus, measure the weight of its proteins, and map its genetic structure. Thats the virologic gold standard. And for some reason, HIV tests have none.

    In 1986, JAMA reported that: no established standard exists for identifying HTLV-III [HIV] infection in asymptomatic people. (JAMA. July 18, 1986)

    In 1987, the New England Journal of Medicine stated that The meaning of positive tests will depend on the joint [ELISA/WB] false positive rate. Because we lack a gold standard, we do not know what that rate is now. We cannot know what it will be in a large-scale screening program. ( Screening for HIV: can we afford the false positive rate?. NEJM. 1987)

    Skip ahead to 1996; JAMA again reported: the diagnosis of HIV infection in infants is particularly difficult because there is no reference or ‘gold standard test that determines unequivocally the true infection status of the patient. (JAMA. May, 1996)

    In 1997, Abbott laboratories, the world leader in HIV test production stated: At present there is no recognized standard for establishing the presence or absence of HIV antibody in human blood. (Abbot Laboratories HIV Elisa Test 1997)

    In 2000 the Journal AIDS reported that 2.9% to 12.3% of women in a study tested positive, depending on the test used, but since there is no established gold standard test, it is unclear which of these two proportions is the best estimate of the real prevalence rate... (AIDS, 14; 2000).

    If we had a virologic gold standard, HIV testing would be easy and accurate. You could spin the patients blood in a centrifuge and find the particle. They dont do this, and theyre saying privately, in the medical journals, that they cant.

    Thats why tests are determined through algorithms - above or below sliding cut-offs; estimated from pregnant girls, then projected and redacted overnight.

    By repeating, again and again in the medical literature that theres no virologic gold standard, the worlds top AIDS researchers are saying that what were calling HIV isnt a single entity, but a collection of cross-reactive proteins and unidentified genetic material.

    And were suddenly a very long way from the public face of HIV.

    But the fact is, you dont need to test HIV positive to be an AIDS patient. You dont even have to be sick.

    In 1993, the CDC added Idiopathic CD4 Lymphocytopenia to the AIDS category. What does it mean? Non-HIV AIDS.

    In 1993, the CDC also made no-illness AIDS a category. If you tested positive, but werent sick, you could be given an AIDS diagnosis. By 1997, the healthy AIDS group accounted for 2/3rds of all U.S. AIDS patients. (Thats also the last year they reported those numbers, CDC Year End Addition, 1997).

    In Africa, HIV status is irrelevant. Even if you test negative, you can be called an AIDS patient:

    From a study in Ghana: Our attention is now focused on the considerably large number (59%) of the seronegative (HIV-negative) group who were clinically diagnosed as having AIDS. All the patients had three major signs: weight loss, prolonged diarrhea, and chronic fever. (Lancet. October,1992)

    And from across Africa: 2215 out of 4383 (50.0%) African AIDS patients from Abidjan, Ivory Coast, Lusaka, Zambia, and Kinshasa, Zaire, were HIV-antibody negative. (British Medical Journal, 1991)

    Non-HIV AIDS, HIV-negative AIDS, No Virologic Gold standard - terms never seen in an HIV ad.

    But even if you do test repeatedly positive, the manufacturers say that the risk of an asymptomatic [not sick] person developing AIDS or an AIDS-related condition is not known. (Abbott Laboratories HIV Test, 1997)

    If commerce laws were applied equally, the knowing is beautiful ads for HIV testing would have to bear a disclaimer, just like cigarettes:

    Warning: This test will not tell you if youre infected with a virus. It may confirm that you are pregnant or have used drugs or alcohol, or that youve been vaccinated; that you have a cold, liver disease, arthritis, or are stressed, poor, hungry or tired. Or that youre African. It will not tell you if youre going to live or die; in fact, we really dont know what testing positive, or negative, means at all.

    GNN contributor Liam Scheff is an investigative journalist and health advocate whos been published in the New York Press, LA Citybeat and Bostons Weekly Dig. His reporting on cell-killing drugs like Nevirapine was recently featured in a BBC documentary.

    Read his most recent article for GNN, The Truth about Nevirapine, here.

  22. Cheminot, je constate que tu es assez actif (en dehors de ce forum) sur le sujet, comment les scientifiques à qui tu en a parlé réagissent à ces questionnements ?

    Pour ma part je connais des gens qui travaille sur le VIH depuis des années et je n'ai pas encore osé leur en parler... je vois d'ici le débat houleux... j'avoue que ça me fait peur.

    Ceci dit j'en ai parlé à un ami (scientifique aussi) qui ne m'a pas cru, puis qui a lu les articles que je lui ai envoyé et s'est posé des questions, 2 semaines plus tard il me disait "On doit monter un dossier ... les gens doivent savoir"

    Pour l'instant je suis dans une démarche personnelle en ce qui concerne la dissidence mais quelquechose se met il en place de plus "officiel" dans le monde francophone (à destination des scientifiques) ?

    Cordialement,

    Pikpikandré

  23. Candide je ne sais si tu es sérieux ou pas mais si tu l'es je me pose une question existentielle : comment as-tu pu vouloir démonter la thèse des dissidents sans te poser de questions ?

    En tout cas je constate une chose intéressante : chacun réagit différement face à la dissidence :

    - soit très violemment en refusant obstinément d'y accorder un quelconque crédit

    - soit en se posant bcp de questions et en vérifiant point par point, en séparant les thèses crédibles des folledingues et en se forgeant sa propre opinion

    - soit fatalement en y coryant tout de suite parcequ'on est persuadé que le monde est pourri et qu'il existe un gros complot ou autres

    Ce que je constate c'est que ceux qui se situent dans la 2e catégorie finissent généralement par accepter (à contrecoeur) qu'effectivement il ya bcp trop de points obscures dans la thèse officielle. qu'effectivement les questions posées par les dissidents sont crédibles, qu'effectivement les thèses dissidentes sont plus scientifiquement valables que la thèse officielle etc etc...

    Mais vu la difficulté des "matières concernées" cette deuxième catégorie regroupe en général des scientifiques (pour comprendre tout cela il est nécessaire d'avoir des "notions" de bio, de virologie, d'immuno, de biochimie etc etc) ou des personnes suffisemment concernées pour se prendre la tête dessus (en l'occurence des séropositifs ou des amis/famille).

    Par ailleurs il est bcp plus facile de douter de la thèse officielle quand on a des notions d'épistémologie des sciences, de la médecine et de la pharmacologie. Et cela aussi ce n'est pas donné à tout le monde (ce type de "matières" n'est que peu voir pas enseignées du tout à l'université --> ce qui veut dire que les scientifiques qui sortent actuellement ne connaissent de la science que ses succès et ses paradigmes actuels - tout en ne sachant même pas que ce sont des paradigmes, difficile de se remettre en question dans ces conditions)

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