Jardinier
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Voir ici les "Latest news" sur le site de David : http://aras.ab.ca/index.php
Et, peut-être, une communication à valeur testamentaire ici :
https://theinfectiousmyth.com/coronavirus/IsolationVersusPurification.php
Alors que l'on n'a parlé officiellement que d'un problème de faux négatifs au test du Covid19 par RT-PCR, lui aura été un des très rares à parler aussi des faux résultats positifs. Je pense qu'il faut saluer le courage et la fidélité à lui-même dont il a ainsi fait preuve.
Immense tristesse.
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Pulse: A History, Sociology and Philosophy of Science Journal
https://issuu.com/pulse.scistudies/docs/issue_4
"The second volume of Pulse: A Journal in History, Philosophy, and Sociology of Science (2014) has been dedicated to such a careful consideration of the ways in which historically and socially situated practices, discourses, imaginaries, individuals and communities, and tools and objects of research constitutive of “sanctioned” or “to-be-sanctioned” forms of knowledge (particularly “science”) can be seen to have transformed our understandings of and interactions with the “living.”
See particularly the section "Medical Life Worlds"
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Aux infos de France culture, un communiqué de Jean-Michel Molina, de l'hôpital Saint-Louis à Paris. Selon lui, 20 000 personnes actuellement en France utilisent la Prep, pilule préventive permettant aux séronégatifs de ne pas contracter le vih en ayant des rapports non protégés avec des séropositifs. Le recours à celle-ci nécessite un suivi médical de contrôle, mais selon Molina elle serait d'une efficacité formidable. Donc, argument de vente pour une extension du marché de ce produit miracle, y recourir en cas de rapports avec des immigrés d'origine sub-saharienne inaccessibles aux dispositifs de contrôle et aux traitements.
Le communiqué peut être écouté ici, de 5 minutes 30 à 7 minutes 38 : https://www.franceculture.fr/emissions/journal-de-12h30/journal-de-12h30-du-dimanche-01-decembre-2019
A chacun selon ses opinions d'apprécier toutes les significations politico-idéologiques d'un tel argument de vente.
Pour rappel du contexte du point de vue dissident, le message de Nad du 19 octobre dernier dans la rubrique "Test ou pas test..." de ce site :
Citation
Combien auront succombé au sirènes du merveilleux traitement salvateur prescrit par ces chers toubibs qui ne sont que le bout de la chaîne alimentaire de l'industrie. Combien de ces chers toubibs ont raconté les pseudo miracles de l'AZT à leurs patients alors qu'ils les empoissonnaient avec de l'AZT à haute dose ? Ils sont encore là et nombreux à vous demander de leur faire confiance. Alors qu'a plusieurs reprises les principaux investigateurs de la théorie VIH/SIDA, à savoir Montagnier et Gallo, sont revenus sur leurs "affirmations" depuis déjà de nombreuses années, Montagnier (première fois en 1986) remettait en cause la responsabilité du VIH. Quant aux travaux de Gallo, bien que servant encore de référence ils ont été déclarés entachés de fraude.Les nombreuses études qui soulèvent des questions importantes et notamment celles concernant les tests VIH, celles qui confirment la médiocrité de ces tests, celles qui confirment l’impossibilité de VIH de faire ce qu'on lui impute, restent dans l'ombre. Dusberg, Giraldo, Mullys, Papadopulos, Harven et tant d'autre chercheurs confirmés et bien plus expérimentés de Montagnier et Gallo ont alerté, ont tenté de publier, ils ont été vilipendés au nom de la politique et du business.
Quarante ans de mystification et pas d'avancées. Juste un dosage revu à la baisse de la médication et la fusion dans un médicament unique. Ils se contentent de tirer au sort trois spécialités à assembler, des spécialités déjà existantes, ce qui leur permet de renouveler les brevets sans perdre d'argent. Hallucinant que l'on puisse à ce point formater les esprits. Comment des gens en bonne santé arrivent à prendre des substance hautement toxiques. Ce n'est pas la première fois dans l'histoire et certainement pas la dernière. Non, la tri-thérapie n'est pas un long fleuve tranquille. Réveillez vous.
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Oui bon, le cancer, forcément...
Ci-dessous, je vous joins un résumé des ses travaux par le philosophe Roberto Esposito qui a publié trois ouvrages dans les années 2000 à 2018 sur le biopolitique et le biopouvoir (les 3 je pense sont connus, traduits et ont été discutés aux USA - Université de Chicago, commentaires et ITV par Timothy Campbell (cf. lien ci-dessous). Seul l'un d'entre eux a paru en traduction française.) Ce sont des développements philosophiques en relation avec la question du bios autour du très ancien concept de philosophie politique qu'est aussi l'immunité (immmunitas en latin). Ce qui me frappe dans l'extrait ci-dessous, c'est l'idée qu'un dispositif immunitaire ... à la fois réel et symbolique ... en est venu à concerner the entire contemporary experience. Idem pour la conclusion de l'extrait : "The threshold of knowledge ... faced with the risk of contagion... riches its apex precisely in our own period."...
Bios, Immunity, Life The Thought of Roberto Esposito Timothy Campbell
Tout cela ne semble plus spécialement d'actualité comme ce le fut jusque relativement récemment, mais enfin, bon... En même temps, on sait bien que ça suit son cours (nouveau bail de 10 ans avant "éradication du virus" accordé à BigPharma par Trump dans on discours sur l'Etat de l'Union ces jours-ci).
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Médicaments les plus remboursés par la sécu : Gilead et son Truvada en troisième position en 2017, après Novartis et Roche (Suisse).
"Laboratoire : Gilead
"Siège social : USA
"Total remboursé en 2017 : 705 485 384 €
"Tendance d’évolution : En baisse ?
"Médicaments les plus rentables : Harvoni, Eviplera, Truvada"On aurait dû s'en douter.
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Médicaments les plus remboursés : Gilead et son Truvada en troisième position en 2017.
Laboratoire : Gilead
- Siège social : USA
- Total remboursé en 2017 : 705 485 384 €
- Tendance d’évolution : En baisse ?
- Médicaments les plus rentables : Harvoni, Eviplera, Truvada
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"Huffington Post • Women are reluctant to take Pre-Exposure Prophylaxis, which is cutely named PrEP but public health officials would like to change that. This article calls the drug Truvada “safe”, without qualification, which must mean that they have never read the drug label. Washington DC has a “PrEP for Her” publicity campaign, and New York a “Living Sure” campaign. Most of the women in the posters are black, and their target market is black women."
C'est 1 communiqué de l'ARAS, à propos d'un article du Huffington Post (anglais) :
"Les femmes sont réticentes à prendre les ARV en prévention/pré-"exposition", ou PrEP, mais les officiels de la santé publique voudraient bien changer ça. L'article du Huffington Post qualifie le Truvada de sain/inoffensif ("safe"), sans plus de précisions, ce qui doit vouloir dire qu'ils n'ont jamais lu la notice du (")médicament("). Washington DC a lancé une campagne publicitaire "Pré-expo pour Elle", et New York une campagne "Vivre en sécurité". La plupart des femmes sur les posters sont noires, et le marché ciblé est celui des femmes noires."
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Ajoutons juste que Gérard Bapt, en deux mots, a été un des principaux soutiens et relais politiques d'Irène Frachon dans l'affaire du Médiator.
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A propos de mon post ci-dessus sur Bruno Latour et Babette Babich : La citation en anglais est un extrait du texte de l'article par Babette Babich, et non une citation d'un propos de Bruno Latour. C'est le libellé de présentation de l'article (ici) qui m'a induit en erreur : "Latour’s ‘Biography of an Investigation’ in AIDS Denialism and Homeopathy
International Studies in the Philosophy of Science • “I am especially concerned with those working scientists who have questioned the epidemiological link between HIV and AIDS and are discounted in consequence and this no matter their credentials, irrespective of the cogency of their arguments or the sobriety of their statistics.”L'article n'est pas inintéressant par ailleurs, même si quelque peu abstrus. On peut peut-être trouver mieux que Heidegger et Nietzsche sur les questions principielles de la philosophie des sciences, mais la mise en relation épistémo-anthropologique des positions de Fleck ("Archeologies of Fact") avec celles de Thomas Kuhn, Paul Feyerabend et Bruno Latour n'est pas dénuée de pertinence. De même les perspectives comparatistes sur la syphilis, la tuberculose et le sida que cela met en lumière.
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Le 12/5/2018 à 17:33, Jibrail a dit :
le fondateur de POZ, une des principales publications des gays séropositifs américains, est contraint de constater que sa prise du Tenofovir depuis une décennie a mis ses os dans le même état que celui d'une "femme de 85 ans"
De manière générale, cela relève d'un effet dit secondaire (à minima) bien connu de la plupart des combinaisons d'antiprotéases et d'anti-nucléotides au long cours, le vieillissement précoce. On a ainsi toute une vaste catégorie de personnes qui dès 40-45 ans ont acquis une apparence de personnes de 60-70 ans, ou de 50-55 ans dès 30-35 ans. Sans états d'âme ni paranoïa excessive, abstraction faite de la bonne santé financière de Gilead et consorts, le bénéfice principal de la chose (en termes de "santé publique") n'aurait-il pas par hasard été avant tout que les "patients" en question, avec leurs cheveux gris ou blanchoyants, leurs lypodistrophies et leurs anti-rides Botox offerts par l'hosto pour avoir un visage raisonnablement juvénile lors des fêtes de fin d'année, aient un look de bienheureux survivants reconnaissable sans équivoque et nettement moins, disons, sexy, que celui de leur âge réel sans cette fatale altération d'origine bio-chimique ?
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Ce n'est pas un poisson d'avril , la rencontre du Pont du Gard aura lieu du 15 au 17 juin 2018 :
http://maisondemartin.com/docs/ConferenceJune15-17-2018.pdf
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USA : Les états de service du nouveau patron du CDC (Center for Disease Control) :
Selon l'Alberta's Reappraising Aids Society :
"His early research did show tremendous problems with ELISA and Western Blot antibody tests, but he essentially ignored that and carried on."
"Ses premières recherches montrèrent de graves problèmes avec les tests d'anticorps Elisa et Western Blot, mais dans l'ensemble il les ignora et passa outre."
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Bruno Latour à voix nue, cité par Babette Babich dans un article de la revue International Studies in the Philosophy of Science, "Calling Science Pseudoscience: Fleck’s Archaeologies of Fact and Latour’s ‘Biography of an Investigation’ in AIDS..." :
“I am especially concerned with those working scientists who have questioned the epidemiological link between HIV and AIDS and are discounted in consequence and this no matter their credentials, irrespective of the cogency of their arguments or the sobriety of their statistics.” (§ 2, page 4 : "On the Future of Science Studies: From Fleck’s Scientific History to Latour’s Lab Anthropology")
L'article sous pdf ici : Calling Science Pseudo-Science
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Oui, bien sûr, il y a une différence de situation entre les mères séropositives dont on a parlé ici et les journalistes que j'ai cités. Mais pour ceux-ci, du reste, le fait qu'ils n'aient pas parlé de leur statut sérologique ne signifie pas obligatoirement qu'ils aient été séronégatifs, mais seulement qu'ils avaient fait le choix que cela reste privé. Ensuite, ils s'étaient engagés publiquement avec les dissidents scientifiques, et... ils ne sont plus là. Le cas le plus douteux, ou le moins douteux si l'on veut, étant sans doute à pas mal d'égards celui de Lambros Papantoniou.
De toute façon, c'est sans nul doute l'affaire Lindsay Nagel qui résume de la manière la plus éclatante - et peut-être historiquement décisive - tous les enjeux, tenants et aboutissants de ce à quoi tant d'autres se sont trouvés confrontés à des niveaux divers et de manières diverses.
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J'étais fatigué quand j'ai rédigé le message ci-dessus. Je cherchais un peu mes mots, je tournais autour : "thanatophilosophie", "thanatocratie"... Je voulais dire tout simplement "tanathopolitique", comme le disent certains philosophes.
Je devrais relire 3 fois au moins l'article d'Achille Mbembe afin de m'en pénétrer et en même temps m'en déprendre suffisamment pour en dire quelque chose de vraiment intelligent. Mes situations concrètes "mieux que platement illustratives" sont assez désastreuses. Au minimum j'aurais dû écrire plutôt : "bien pire hélas que platement illustratives". Ces dernières années, j'ai longtemps tourné autour de ce qui se jouait, de ce qui pouvait se jouer, sur ce terrain un peu particulier du biopolitique et des développements dignes d'une pratique déontologique de la philosophie. Je n'ai pas le temps de vous exposer mes découvertes. Mais pour vous mettre sur la piste, il faut savoir que depuis l'antiquité latine la notion et le concept d'immunité ont toujours été au coeur de la philosophie politique occidentale. A tel point par exemple que le philosophe Jacques Derrida, au lendemain du 9-11-2001, racontait aux Américains qui voulaient l'entendre que leur société était en pleine crise d'auto-immunité. A bon entendeur...
Et je tiens à mon "biotechnocratie". Par là, je veux dire que le sida - quand on a réfléchi et compris que "scientifiquement" ce ne peut être qu'une imposture parce que des sociétés sans l'exploitation pour divers motifs des peurs et fantasmes que peut inspirer la sexualité dans l'opinion n'existent pas encore, ou n'existent plus -, le sida cela revient avant tout à mettre des biotechnologies au service de pratiques délibérées d'"ingénierie sociale" inouïes de perversité et de cynisme.
Ma plume a fourché, décidément : en principe "déploraison" est un néologisme, le mot en vigueur est "déploration", bien sûr. Mais après tout, "déploraison" est bien joli quand même. On dira que c'est un mot-valise, une sorte de valse à 4 temps entre déplorer, raison, floraison, oraison...
Quant à Liam Scheff, dans son message dont je parle ci-dessus, il a écrit : "... everyone in America is a stranger; everyone is suspicious and jealous and possessive – because that’s our instruction. It’s in our manual. It’s in our religion and our government and our commerce. And that won’t change..." - "Tout le monde en Amérique est un étranger ; tout le monde est suspicieux, jaloux et possessif - parce que c'est notre instruction. C'est notre manuel. C'est dans notre religion et notre gouvernement et notre commerce. Et ça ne changera pas." J'ai bien peur qu'hélas il ait eu raison.
Et quant à la France, je ne sais pas, je ne sais plus. Peut-être que tant qu'une majorité de Français auront les moyens, matériels et intellectuels, d'un minimum d'hédonisme, de justice sociale et d'égalité, ils feront encore de grandes et belles choses malgré leurs démons et la face obscure de leur culture. Sinon, ce seront peut-être le néo-scientisme et les pseudo-sciences, la xénophobie, le proto et/ou néo-nazisme rampants qui petit à petit empoisonneront tout, tueront toute intelligence, réduiront une majorité de personnes en esclavage, dans une société prisonnière de ses dilemmes terrorisants entre les tentations d'un passéisme mortifère et celles de fuites en avant technologiques, technocratiques, biotechnocratiques, etc., non moins avilissantes et mutilantes.
Ne jamais oublier que le sida est historiquement un produit d'un tandem franco-américain, que son émergence a coïncidé, côté français, avec l'apparition du lepénisme claironnant comme pharmakon face à une menace communiste sans doute beaucoup plus chimérique que réelle.
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Je suis assez impressionné par la thèse d'Achille Mbembe présentée ci-dessus, même si d'aucuns pourront se risquer à la taxer de quelque chose comme "maximaliste". La référence aux conceptions de Georges Bataille en opposition à "l'être-pour-la-mort" heideggerien, notamment, a dans le contexte en question beaucoup de poids philosophiquement. L'exposé à aussi les vertus indéniables de s'accompagner de longues analyses argumentées du sens que peuvent prendre certains concepts avec la description en regard de situations concrètes mieux que platement illustratives. Il peut arriver que d'autres penseurs contemporains avancent ici et là, eux aussi en référence au biopolitique et au biopouvoir tels qu'introduits par Foucault, les termes de "thanatophilosophie" et/ou de "thanatocratie".
Je serais tenté cependant de maintenir mon point de vue sur la spécificité biotechnocratique très particulière - et de facto non à proprement parler démocratique - de l'ensemble des dispositifs et tenants et aboutissants concernant le sida et le vih dans le monde. En l'occurrence, "bio" plutôt que "nécro" me semble demeurer approprié au sens où il s'agit, du point de vue sémantique, d'un lien direct avec les termes couramment reconnus et usités de "biologie" en tant que terme générique désignant une science, du recours massif à des procédés qualifiés usuellement de "technobiologiques" ou "biotechnologiques", ainsi que, selon l'expression non moins consacrée, du terme de "biomédecine". Et au sens aussi où les intérêts d'une certaine industrie pharmaceutique pèsent lourd dans la balance socio-politique, entre autres en influant sur les orientations, les savoir-faire et les pratiques de la recherche plus ou moins fondamentale, clinique et/ou appliquée.
A mon humble avis, il faut rendre hommage aussi aux hommes , et en particulier à quelques JOURNALISTES, et en particulier à LAMBROS PAPANTONIOU, LIAM SCHEFF et TERRY MICHAËL :
* Lambros Papantoniou, ami de Maria Papagianidou, journaliste agréé de l'ambassade grecque à Washington, avait interviewé Robert Gallo et s'était trouvé confronté en 2009 à une fin de non-recevoir lorsqu'il lui avait demandé de voir dans son laboratoire un spécimen de VIH isolé. Il avait rendu la chose publique, ainsi que protesté via les réseaux sociaux et par voie de presse en Grèce et aux USA contre un projet de formation aux soins du sida des agents de santé dans l'ensemble des hopitaux grecs par des spécialistes américains. Il est décédé un mois après ses protestations publiques et en haut lieu contre ce projet et après avoir rendu entièrement publics ses démêlé avec Robert Gallo. La grande presse grecque à l'époque était la seule à avoir publié intégralement l'ITV de Gallo, ainsi qu'une longue communication d'un scientifique dissident américain d'origine grecque.
https://www.youtube.com/watch?v=Hk8eDIiszS8
Commentaire de la vidéo sur YouTube : " When asking to see pictures of HIV at a National Cancer Institute military research laboratory, the Greek journalist Lambros Papantoniou was told that AIDS is a national defense issue and that the HIV issue is top secret (classified)."
https://olympia.gr/2009/05/29/in-memoriam-lambros-papantoniou/
* Liam Scheff avait fondé et animait le site Reduce the Burden. Il avait enquêté sur une affaire d'enfants cobayes des ARV dans un orphelinat de New-York, qu'il avait rendue publique. C'était un très brillant et courageux journaliste free lance. Dans le texte testamentaire qu'il avait publié en 2017 via le lien ci-dessus peut avant sa mort, il a décrit le martyr qu'a été la longue et étrange maladie qui a précédé sa disparition.
http://liamscheff.com/2017/04/dear-friends-2/
* Terry Michaël prenait position publiquement pour les dissidents scientifiques du sida depuis 2009. Il est décédé en 2017 à l'âge de 70 ans, certes sans que l'on sache précisément s'il y avait ou non un lien direct de cause à effet entre sa crise cardiaque fatale et ses prises de position.
http://www.washingtonblade.com/2017/08/16/d-c-journalist-terry-michael-dies-at-70/
Ce genre de disparitions serait-il décidément trop étranger au domaine de compétences de Reporters sans Frontières ?
Pour revenir au problème parfois sinon souvent tragique des femmes et de la maternité, on doit convenir que la meilleure des radios publiques françaises, vers le 1 er décembre dernier, journée mondiale du sida, a eu le courage de relayer, via des ITV par ses journalistes, le point de vue très réservé de femmes africaines (au Mali notamment je pense) déplorant l'obligation à laquelle elles se voyaient soumises de prodiguer les traitements ARV à leurs enfants, avec parfois pour résultat la mort en bas âge de ceux-ci. Relais d'infos avec certes bien sûr, en contrepoint, la classique déploraison des problèmes d'accès aux traitement et de leurs conséquences, etc.
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Science-friction
Long pugilat à grand spectacle distractif entre défenseurs et adversaires, de puissance combative très inégale, d’un paradigme potentiellement populaire. Au bas mot spectacle très dispendieux pour les producteurs et pour le public, à plus forte raison lorsque, comme c’est le plus souvent le cas, ceux-ci ne sont pas explicitement informés du cours du saucisson à la Bourse et des enjeux cosmiques de la chose pugilesque en question. Mais si par malheur le tabou de l’implicite sur certains sujets était violé… Eh bien, la situation qui s’en suivrait est à peu près inimaginable. Quant aux bénéfices et au prix à payer pour les acteurs consentants ou non, c’est selon…
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Merci pour ta réponse, Jibrail. Tout cela est en effet assez fascinant, comme tu dis.
Je dois juste préciser que le "cut-up" au début de mon post n'est que le fruit d'une fausse manoeuvre tout à fait involontaire et qui m'a échappé faute de me relire. Mais en même temps, ce qui en résulte est bel et bien en l'occurrence un effet "cut-up" purement dans l'esprit et la manière du fameux père du procédé "poétique", le grand William Burroughs himself...
Quant à l'exergue shakespearienne en question - qui en soi et dans le contexte en dit très long -, voici comment il faut la lire, bien sûr : "The earth hath bubbles as the water has..."
A la lumière des informations que tu nous fournis, entre autres sur les liens historiques entre Vogt et Duesberg, l'ensemble ne manque vraiment pas de piquant, c'est sûr !
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Je pense qu'il n'est pas indifférent que l'article soit introduit par une citation extraite du Macbeth de Shakespeare en exergue : "The earth hEdited by Peter K. Vogt, The Scripps Research Institute, La Jolla, CAath bubbles as the water has..."
@ Econoclaste :
Quel est le niveau de fiabilité de la revue qui publie l'article : "Procedings of the national academy of scinces of the united states" ?
On a quelques indications concernant l'équipe des chercheurs signant l'article :
- En en-tête : "Edited by Peter K. Vogt, The Scripps Research Institute, La Jolla, CA"...
- Au bas de la première page : "Department of Biochemistry and Cell Biology, Faculty Veterinary Medicine, Utrecht University, 3584 CM Utrecht, The Netherlands; b Institute of Human Virology, University of Maryland, Baltimore, MD 21201; and c Section of Intercellular Interactions, Eunice Kennedy-Shriver National Institute of Child Health and Human Development, National Institutes of Health, Bethesda, MD 20892"
- En fin de l'article : "Acknowledgments E.N.-t.H. receives funding from the European Research Council (ERC) under the European Union’s Seventh Framework Programme (FP/2007–2013)/ERC grant agreement 337581; the work of L.B.M. is funded by the National Institute of Child Health and Human Development/NIH Intramural Program; the work of R.C.G. is funded by the Gates Foundation, the National Institute of Allergy and Infectious Diseases, and the University of Maryland School of Medicine."
Que peut-on en conclure ?
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Je peux me tromper et devrais sans doute relire, intégralement cette fois, tout l'article afin de bien en saisir la logique et la dialectique discursive. Mais tout de même, a priori, me semble-t-il :
Citation"Donc, en fait, il doit rester sur la théorie classique qui dit qu'avec la purification, on peut isoler les virus des vésicules et se retrouver avec 99 % de virus dans la solution (donc avec pratiquement pas de vésicules). Donc, on peut faire un isolement du virus et donc une identification de ce dernier."
>>> Cela ne revient-il pas à affirmer en creux que l'isolation par purification n'a encore jamais été effectuée, et que c'est seulement grâce à la prise en compte des "vésicules", anticorps et autres "débris" chers aux dissidents que cette inaccessible isolation par purification va enfin un de ces jours prochains devenir possible, confirmant alors le bien-fondé de l'identification courante par une méthode alternative se moquant comme d'une guigne des étapes stipulées comme incontournables par le protocole de Koch ?
Mais bien sûr, il faut pour cela qu'il y ait des vésicules "virales" et d'autres non. Et comme les antigènes des tests sont conçus spécialement, hors isolation par purification, pour "détecter" la soi-disant viralité toute spécifique et le soi-disant consternant passage de celle-ci de l'arn à l'adn et retour... eh bien, me semble-t-il, on ne sort nullement de la bonne vieille logique circulaire indispensable pour la promotion d'une hypothèse non prouvée, et d'autant moins prouvée qu'à ce qui se dit, la génétique appliquée ne serait guère plus fiable et satisfaisante - sinon moins - à l'heure actuelle en termes de résultats, que ne l'est le fameux TAL (traitement automatisé des langues) en termes de résultats dans le domaine de la traduction automatisée des écrits en langues naturelles.
Donc, en lisant entre les lignes, mine de rien le problème d'absence d'un Gold Standard serait quand même une fois de plus de retour sur la sellette.
Tout ce temps pour finir par tenter une vulgaire récupération de la question des vésicules extracellulaires telle qu'avancée comme argument critique par les dissidents ! Le système immunitaire de Gallo doit être en voie de dangereux affaiblissement.
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L'article semble bien hénaurme, effectivement, et l'interprétation que vous en faites, Econoclaste et Jibrail, est certes assez justifiée. Mais attention, ce qui est exposé l'est dans un enrobage discursif situant le tout, comme toujours, dans une perspective de ciblage et de neutralisation du "VIH"au moyen de l'étude entre autres génomique des fameuses vésicules extracellulaires. L'hénaurmité peut donc passer inaperçue des lecteurs distraits et/ou intéressés à tout ce qui peut subsister de matériel discursif susceptible de faire prendre des vessies pour des lanternes au moyen d'une théodicée lexicale plus ou moins involontairement mollièresque... Et un tel enrobage est propre non seulement à baisser la garde sans se déshonorer trop explicitement, mais de plus à ménager des portes de sorties consistant à différer encore, et aussi longtemps que possible, la reconnaissance d'une (quasi) absence patente du virus, et donc propre à ménager la possible poursuite de lucratives activités biotechnocratiques dans le cadre du paradigme officiel, même si en réalité abordé désormais et bien plus que jamais en tant que vide de toute substance tangible.
Quant au 97 % de politique, ce n'est hélas pratiquement rien d'autre que le concept foucaldien de dispositif ("biopolitique") tel qu'appliqué à la compréhension du sida par M. Garcia Branca affirmant et démontrant dans son ouvrage El rapto de Higea que l'erreur consistait à rester dans le seul cadre de la connaissance médico-scientifique/curative d'une maladie endémique, virale ou non, physiologiquement infectieuse ou non. Idem pour les analyses de Nancy Turner-Banks situant le sida dans le contexte de l'histoire de la médecine, notamment anglo-saxonne. Les scientifiques se seront enferrés dans une hypothèse non prouvée de façon telle qu'ils auront obtenu un soutien socio-politique tel (à moins que ce soit l'oeuf qui ait produit la poule ?..) que le cadre politico-institutionnel qui en est résulté les aura acculés à s'aveugler et à s'enferrer toujours plus... Mais attention, l'histoire n'est pas terminée... Signe des temps toutefois, hier en regardant ce qui était à l'affiche devant un cinéma en ville, j'ai pu noter qu'une version toute contemporaine du Docteur Knock vient de sortir sur les écrans. CQFD
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Plus proche du sujet initial de ce post, à savoir notamment les effets secondaires des antirétroviraux, une étude sur des enfants en Afrique confirme la sérieuse toxicité pour le système nerveux de l'Efavirenz, l'un des composants de certaines trithérapies :
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GcMaf
dans Traitements
Jibrail,
Tes 2 liens insérés dans le dernier § de ton post renvoient à 1 seule et même page en anglais - rien en français.
Ceci dit, sur la page en question, on peut très bien lire, en termes d'historique du formatage dans le cas de Ruggiero : "post-doctoral fellow at Burroughs Wellcome Co. (Research Triangle Park, NC, USA) in 1984-86 - post-doctoral fellow at the Laboratory of Cellular and Molecular Biology of the National Cancer Institute in Bethesda (1986-1989), MD, USA - Lab Chief at the Sigma-Tau pharmaceutical company in Milan, Italy - associate professor of molecular biology at the University of Firenze in 1992, and full professor in 2002..."
Mais, bref, quand même un homme des grands labos biotechnocratiques, dont Burroughs Wellcome au bon moment à l'origine d'un brillant parcours consolidé non moins au bon moment par un passage dans le grand temple de Bethseda.
En fait, nous avions très bien commencé à comprendre sur ce forum voici quelques 3-4 ans au minimum, et que Ruggiero était une sorte de go-between séduisant mais trouble entre dissidence et orthodoxie, et ce qu'il pourrait éventuellement en être de la probable réalité du "miracle" GcMAF telle que revendiquée, ce par-delà les actuelles allégations défensives de D. Noakes dans la presse helvétique (toujours les gentils David des médecines dites naturelles et/ou alternatives contre le Goliath de la "biomédecine" allopathique, abstraction faite des affiliations politico-financières et de leurs sous-bassements idéologiques).
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A noter que l'article énonce très explicitement, au moins en introduction et en conclusion, un APPEL A L'ETHIQUE adressé aux responsables concernés.
COVID-19
dans Divers hors "VIH"
Posté(e) · Modifié par Jardinier
Message supprimé réflexion faite, j'ose pas...
Message supprimé réflexion faite, j'ose plus mettre du feu aux poudres de perlimpinpin qui font florès dans l'actualité archipandémique... Pour rester en forme et sur ses deux pattes, vivons muets...