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Abandonner la tri-thérapie, Comment s'y prendre ?
bamboo a répondu à un(e) sujet de bamboo dans Présentations, témoignages et questions des nouveaux venus
Merci bien à tous de vos bons mots et conseils . Mon ami a commencer, parcimonieusement, a visiter le forum ....Il m'écoute, doucement, mais se serait énorme pour lui, si ce n'est pas une histoire de virus et juste un mensonge énorme ... C'est quitter une horreur pour en découvrir une autre ....mais doucement l'idée fait son chemin .... Brume, Aller prendre l'air, oui, bien sur ! D'ailleur on doit bientôt mettre la maison en vente, pour que se soit plus qu'un bol d'air, mais un changement de tout; mes reste quelques travaux et la fin c'est toujours le plus long..... Votre démarche de chercheurs est assurément intéressante, et d'ailleurs je ne vois pas d'autres solutions pour construire des preuves . Vous êtes des aventurier de l'Homme et des inventeurs . Peut être le faite vous, mais vous devriez tout noter et mesurer, rapporter vos expériences et constituer des dossiers . Créer une association entre vous, avec si possible des médecins dissident, et en tant que preuve vivante, vous pourriez faire entendre un peu mieux ces voix, pour revendiquer vos alternatives de plus en plus éprouvées . Peut être pas encore de suite, je ne sais pas trop où vous en êtes dans votre démarche, mais dans un futur proche... Si cela s'avère bien efficient, faudra bien le faire savoir ... Concernant la thérapie parallèle, vous pourriez constituer une petite fiche récapitulant les médecines que vous préconiser ? Ce qu'il ne faut pas manger, et ce que vous recommander comme alimentation . Où trouver tous ces poly-insaturé et les saurés, ? vous employez des termes nécessaires, mais une petite traduction en langage alimentaire serait complémentaire . Pour témoigner de mon cas, puisque vous parlez de vos régimes, je suis végétarien depuis 20 ans . De rare exception avec de la volaille seulement, lors de repas ou je préférais rester discret . La charcuterie est pour moi un « poison violent » . Mes légumes bio de mon jardin, des fruits, des céréales, du miel, du soja un peu partout, du poisson de temps en temps, des oeufs plus rarement, fromage du producteur, je fuis les produits industriels, mais une pizza congelée peu des fois passer dans mon assiette, beurre et huile d'olive, activité physique régulière . Un petit verre de vin le soir de façon irrégulière, mais je fume encore, malheureusement .... De l'eau de source pendant des années . Est-ce que tout ça peut avoir eu une cause sur ma négativité ? J'aimerais faire un petit point: Si j'ai bien compris, je dois considérer que son système immunitaire est endommagé(suite à une immuno-dépression trop sévère ? CD4 À 60 /janvier 2007 – 21O aujourd'hui ) et que même si il n'y a pas de virus HIV, il doit « reconstruire » son système par la thérapie parallèle que vous préconisez, sans pour autant quitter de suite la tri-thérapie, qui aurait aussi un effet sur la remonté des CD4 .(pas très evident chez mon ami !?)(même Issentres n'a rien changé ) Attendre les effets de la thérapie parallèle, que le système remonte, avant de diminuer la tri-thérapie ? C'est ça ? Une petite info qui peut peut être vous aider... En ésotérisme, on considère bcp l'enfance par rapport à l'alimentation et l'activité physique, pour comprendre les problème de santé de l'adulte . J'ai souvent pu vérifier comment l'équilibre d'une alimentation plutôt « naturelle » et ce qu'on en fait en tant qu'énergie durant l'enfance et l'adolescence, pouvait être mis en corrélation sur l'équilibre physique de l'adulte . Cà ne fait pas tout, mais ça peut participer, Bien à vous . Bamboo -
Abandonner la tri-thérapie, Comment s'y prendre ?
bamboo a répondu à un(e) sujet de bamboo dans Présentations, témoignages et questions des nouveaux venus
Mille merci Brume pour ton attention . Tu es vraiment plein de sagesse et ce n'est pas à côté d'une plaque .... Tu as raison sur de nombreux points, mais reste a définir jusqu'où on attend et espère ? Sur la psychosomatie, bien sur c'est délicat d'en parler et de culpabiliser le malade, mais si on suppose que des « blocages » psycho non révélés peuvent être à la base d'un comportement négatif pour la santé, nous savons que la prise de conscience de ces blocages, permet de les voir, de leur donner un nom et de pouvoir ainsi agir dessus . Tant que le non-dit reste de mise, l'influence psychosomatique ne peut être jugulée et se renforce . C'est d'ailleurs le travail des psychologues que de faire sortir c'est blocage internes . Il y a une vérité évidente, que je n'ai pas inventé, c'est que tout ce qui n'est pas exprimé et caché, se transforme en humeur morbide . D'où les arts-thérapies comme médecine de purge . Pour la spiritualité, je suis d'accord avec toi, chacun la sienne et rien ne sert d'imposer des vues personnalisée qui ne conviennent pas forcément aux autres, mais force est de constater, que tout adhérence à une quelconque vérité spirituelle, entraîne chacun vers une discipline plus ou moins grande, mais acceptée et qui peut aider à trouver son juste comportement par rapport a soi même . Elle apporte aussi l'idée qu'on peut faire quelque chose par soi-même et qu'on peut etre responsable de soi . Ce qui dans un contexte matérialiste n'existe pas, ou les gens se sentent toujours victime et impuissant, se laissant assister dans une passivité sans fond et sans notion de responsabilité . Le noeud du problème est pour moi ici, arriver a faire accepter un minimum de responsabilité de soi dans ce qui nous arrive . Sans ça, il n'y a aucune prise en charge par soi-même possible . Je ne cherche pas à lui imposer ma vision spirituelle, mais simplement qu'il en est une, quelqu'elle soit qui pourrait l'aider à se recentrer sur lui . Pour qu'il rencontre un psy, je lui en est parlé déjà en 2004 quand je l'ai vu commencé à s'effondrer, mais jusqu'à aujourd'hui, toujours rien ! Il fait de temps en temps(une fois par mois en moyenne) des séances de sophrologie, ça lui fait du bien, mais ça s'arrête là, et il n'a jamais repris les exercices à son compte pour le faire tout seul a la maison . Merci de me déculpabiliser sur une éventuelle prise de congés de lui . Je vais aller voir ce fameux film, merci bien . Quand a l'intérêt de cette histoire sur le forum, c'est vrai que ce n'est peut être pas sa place, mais tout me semble tellement interactif, que c'est difficile de savoir s'arrêter .... Bien à Toi Bamboo -
bien l'bonjour
bamboo a répondu à un(e) sujet de Agrathor dans Présentations, témoignages et questions des nouveaux venus
Bonjour Agrathor je crois qu'on partage un problème similaire et j'apréhende aussi la psychosomatie dans ce problème . Je t'invite a lire mon post ou je fais part de mon expérience à ce sujet . http://www.sidasante.com/forum/index.php?showtopic=17132 Bien a toi bamboo -
Abandonner la tri-thérapie, Comment s'y prendre ?
bamboo a répondu à un(e) sujet de bamboo dans Présentations, témoignages et questions des nouveaux venus
Merci bien Wallypat Bonjour à vous tous. Merci Brume, j'allais poster et découvre ton message . Tu as raison bien sur ! Merci de ta sagesse . Peut être auras-tu des précisions après m'avoir lu . Je me doutais que ma position n'avait guère de réponses faciles .... Je me suis peut etre précipité, j'ai peut etre pas posé la bonne question, c'est peut etre trop personnel entre moi et lui, et finalement seul lui pourra faire le pas et décider . Autre détail ! Faut comprendre que je me suis épuisé psychologiquement face à lui, je suis fatigué d'éplucher le net dans tous les sens ..............j'ai l'impression de tapé dans l'air..... Seul, sans famille informée, sans association, sans amis passionné par notre histoire (je les comprends!), j'ai pas toujours la force de lire toutes les réponses des autres avant de trouver la mienne . Je comprend que ça vous est pénible de vous répéter, comme il est épuisant de chercher .... Alors en passant, si vous connaissez des plans pour les accompagnateurs fatigué par des sidéens en perdition, faites moi signe ! C'est en se faisant jeter d'ailleurs qu'on arrive chez vous, vous savez ça ! Merci d'être là et d'avoir conservé votre forum à l'esprit élargit ou se mêlent ce qui est trop spécialisé ailleurs et donc incomplet .) Que votre attention à la détresse, vous soit une grâce lumineuse . Je vais développer ce témoignage sur un point qui me paraît très important et qui répondra en partie au post de Agrathor (précédent mon post) Mon ami, ne sait jamais vraiment remis de la mort inattendue de son père intervenu en 1989 .Son père était son Dieu . Son éducation matérialiste et rationaliste, où la mort est un mystères, l'a bien aidé à rentrer dans une sorte de dépression chronique . En 2003 sa mère décède. Sans rapport mère/fils comme on l'entend, cela paraissait digèrable . On était par ailleurs, aux portes du bonheur matériel comme il est admis dans notre système, et n'avait de ce fait plus trop d'arguments a son mal être de vivre . Donc, contre toute attente, puisque sa mère n'avait pas une présence importante, il rentra 1 ans après, dans la version hard de sa déprime chronique, et tout parti en « live » . S'en suivi 3 années très difficile ou je m'épuisa à tous les niveaux pour essayer de le repêcher, jusqu'au jour ou l'évidence s'imposa . Notre unions, nos diffèrences, mes ambitions (entêtement ?) pour son bien être, n'avaient plus lieu d'être et s'avéraient impossible . On était tombé dans l'autodestruction mutuelle, et la suite de notre épanouissement ne s'envisageait plus que séparé pour le bien de chacun . De part l'antériorité, cela ne pouvait se faire du jour au lendemain. J'étais dans le sentiment d'échec, et fallait gérer ça au mieux pour ne pas se faire encore plus de mal . J'avais conscience que j'avais voulu outrepassé mes capacités et que j'avais fait du mal à vouloir faire du bien. Fin octobre 2006, on se tape un rhume, que je soigne rapidement, lui ne s'en sort pas et traîne ce truc et cette toux pendant des mois . Les projets en cours sont de clore nos affaires à la fin de l'année et d'entamer cette séparation en janvier . Son état ne fait qu'empirer, n'entendant plus mes appels incessants a se faire soigner. Fin janvier 2007, après 3 semaines de suivi par un médecin débile qui le soigne pour des soi-disant remontés gastriques qui provoqueraient sa toux épuisante, au lieu de partir pour un long voyage vers sa nouvelle vie inconnue comme prévu, il rentre aux urgences, verdâtre, et on diagnostique son sida . Alors, j'ai pris une « claque dans l'âme », un sentiment effroyable . C'était pour moi évidement l'aboutissement de son mal-être chronique et j'assistais au pire résultat que j'avais toujours craint. Mes recherches sur le net sur des sites de psycho/éso ne faisaient que confirmer ma logique. Et après réflexion, mes proches perdus avaient bien partagé les mêmes symptômes de difficulté à Etre . Il avait accumulé les dysharmonies, les silences, les incohérances, les mensonges à soi-même, et son esprit suicidaire, autodestructeur était devenu chronique. Je n'avais fait que retarder, rendre chronique, la perte de lui-même . Ma responsabilité était forcément engagé depuis 18 ans, et pour moi, l'épreuve spirituelle fut (est) dantesque . Plus question de le quitter évidement, et on a laissé le temps a la digestion . Depuis je suis sur le qui vive, sachant intimement que sa réalité n'a rien a voir avec l'histoire de sida qu'on lui a mis dans la tête et dont on ne comprend toujours pas où et comment il aurait pu s'infecter . Une histoire qui a d'autant mieux accroché que nous en avions déjà souffert 15 ans avant quand les proches tombaient comme des mouches . Alors doucement, j'essaye de reprendre la situation en main dans l'espoir de le sortir de là. C'est là où j'ai découvert la dissidence et tout leur arguments qu'il me manque . C'est tout frais depuis 15 jours. J'ai déjà posé quelques cartes, mais on est qu'au début de la partie.... Ce qui me paraît bizarre, c'est que j'ai l'impression qu'on incarne, face à face, le dilemme du monde entre vision matérialiste et spiritualiste ! C'est là où j'ai ma chance quand même, car si son état est la suite de sa logique, le mien est aussi celui de la mienne, et ça il ne peut plus l'ignorer ... Tout ça pour conclure, qu'au delà même des toxines matérielles (drogues/pollution/ les ondes radio/TV/phone dont on ne parle pas non plus, etc ...) qui seraient les facteurs déclenchant, je pense et affirme que l'athéisme, le dénie des spiritualités, le vide des vies interne et la non-reconnaissance de son esprit, organisé par nos sociétés, sont les véritables facteurs communs à toutes les épidémies nouvelles que l'on connaît . Cette relation « pensée matérialistes/maladies », faisant partie des classiques de toutes les éducations spirituelles . Les actes excessifs (drogue,mauvaise alimentation, stress, etc...) montrer du doigt par la dissidence, ne sont que la résultante de la perte de liens avec soi-même et du fourvoiement dans le non-sens de nos vies, que provoque l'exclusivité d'une pensée matérialiste qui n'a plus le temps de penser la réalité de la vie . C'est pourquoi, en réponse à Agrathor, et suivant ce que je viens de vous raconter, vous serez d'accord pour qu'on lui confirme que la part psychosomatique dans ce problème de sida, est indéniable et à mon avis, capitale . En attendant, les anti-oxydants, les vitamines, les papaye etc, c'est moi qui les achètes et qui doit (presque) lui mettre dans la bouche.... Il n'a pas la position d'un « rebel » (bien connu ici . D'ailleurs qu'est-il devenu ?) et je me sent a bout de force psychologiquement là ou j'en aurais le plus besoin. D'où mes appels à l'aide. Je sais qu'elle n'est pas facile à trouver, face à une volonté qui ne nous appartient pas, et qui seule doit faire son chemin . Mais un compte a rebours avec la tri-thérapie à commencé, le temps passe, et j'aimerais éviter le prochain épisode clinique auquels on peut s'attendre. Sans même imaginer que la tri-thérapie puisse avoir des incidences, ce sont aussi nos deux vies qui sont face à un carrefour qui mène à deux style de vie bien distinct. Si lui reste dans sa logique ( ce qui est probable, la peur de soi étant paralysante) et moi dans la mienne,(ce qui est fort probable aussi, aux vues de ma santé) nos choix sont simple, mais sont de nouveau incompatibles et destructeurs. Alors : Soit, je m'annihile dans son trip, sans gloire et préjudiciable à mon équilibre. Soit je l'incite pour ne pas dire l'obliger, mais ce sera du poker, car sans volonté personnelle de s'en sortir, les autres peuvent toujours tirer, ils ne font que s'épuiser. Soit, je le remet face à lui-même, le laissant seul face à lui, comme dernière arme me restant pour l'obliger à se prendre en main, l'empêchant de se reposer sur la sécurité affective que je représente, mais ce serait aussi du poker . Dans tous les cas, je suis un peu dans la merde. Alors si vous avez une idées magique, je suis preneur. Voilà, je cois que ma question est plus précise. Merci de votre attention précieuse et désolé si j'en trouble certains. Bien à vous Bamboo -
Bonjour heureux de vous trouver ! Me sentais un peu isolé et j'aurais besoin de compléments d'infos . C'est pas pour moi, (un peu quand même ! ) mais pour lui . J'ai lu pas mal de dossier sur la dissidence et en suis convaincu . Je vous laisse mon témoignage, adressé sur d'autres forum orthodoxe en quête de témoignage et que j'ai la flegme de ré-écrire (excusez moi) pour qu'il soit plus approprié a ce forum, j'y développe des évidences pour vous, mais vous comprendrez tout . Voici mon témoignage . J'ai malheureusement connu le sida à ses débuts en 83 et je suis depuis, confronté plus ou moins à ce problème . J'y ai perdu mon frère, mon mentor, mes amis et leurs amis....c'était il y a 18 ans . Aucun n'avaient de symptômes avant la prise de l'AZT, ils avaient fait leurs tests comme recommandé, positifs déclarés, ils prirent L'AZT, puis ils sont tombés malade et ils sont mort . Le seul qui y a réchappé, c'est le seul ami de cette époque qu'il me reste encore, qui refusa de prendre l'AZT, et qui 25 ans après n'a toujours rien développé . Je vis en couple gay depuis 18 ans . Je dis, pour bien comprendre notre union, qu'on est un « couple du sida », marqué par les décès et l'horreur et cimenté de fait, dans la fidélité . Dans les années 2000, on vécu une période de libertinage complice, comme pour aérer le couple, et le sortir de cette chape de plomb qui pesait sur nous depuis notre rencontre en 89 au milieu de ce traumatisme sida/sexe . Mais ayant été « vaccinés », si je peux dire, nos aventures obéissaient à tous les préceptes de sécurité en vigueur, en plus de notre propre attention à tous les détails . Nous ne prenions théoriquement aucun risque . Sauf moi ! Oui, il m'était arrivé de prendre certains risque et d'outrepasser certaine sécurités, comme quand j'étais plus jeune, de part mon caractère parfois indiscipliné, même à l'époque de mon frère où malgré tout, je continuais parfois à avoir des pratiques à risque . Je reconnaissais avoir eu de la chance et d'avoir plusieurs fois tenté le diable ! Puis de nouveau en janvier 2007, mon compagnon tombe malade, pneumosystose, donc séropositif ! Alors, quand j'appris que mon compagnon était séropo, j'ai tout de suite pensé que cela venait de moi, de part mes pratiques à risque en 2000 et j'ai passé quelques jours pétrifiant a attendre les résultats . ils étaient négatif ! 3 mois après, ils étaient toujours négatifs et 1 an après, négatifs . Les médecins estimait, suivant l'état de mon compagnon, sa séropositivité à environ 5 ans . Soit approximativement l'époque de nos aventures extérieures en 2000 et alentour . Je fis alors un rapide calcul pour comprendre que j'avais fais environ 600 fois l'amour avec mon amis, durant ces dernière années, et notamment quelques jours avant son hospitalisation, sans être contaminé, étant passif/actif suivant notre humeur . Bien sur, sans protection entre nous . J'ai eu donc toutes les raisons de commencer à douter de certaines affirmations sur le caractère infectieux et contaminant . Depuis il prend la tri-thérapie, santé impeccable, rêves un peu agités comme seul effet secondaire, charge virale indétectable, mais c'est CD4 restent aussi bas que son moral depuis 1 an et demi et sa déprime est bien florissante . D'ailleurs son Professeur, connu mondialement, a reconnu qu'il s'attendait à ce qu'il soit régulièrement malade, à la vue de ces CD4 qui plafonnent péniblement à 180 , et reste surpris de le voir sans même un rhume ou un bouton . Reconnaissant, qu'éventuellement, les CD4 n'auraient rien a voir dans cette histoire de sida ! D'ailleurs leur problématique est de savoir combien nous avons de CD4 à l'état normal . Personne ne le sait, c'est pourquoi les planchers 200 CD4 ou 500 CD4 pour déterminer l'état du patient ne veulent plus rien dire, car la moyenne normale varierait entre 700 et 1800 suivant les personnes . On ne peut donc exiger à quelqu'un qui possédait par exemple 700 CD4 de devoir remonter à 500, comme pour une personne qui en avait 1800 . Mais personne ne sait combien il a de CD4 normalement, d'où extrapolation aléatoire . Me concernant, le grand professeur qui s'occupe de lui m'a répondu, que mon cas à risque, mais non contaminé, faisait parti des « mystères du sida « . J'ai adoré le mot : « mystère » ! Plus sérieusement, depuis, et avec tous les méchants souvenirs mis de côtés, je m'interroge et enquête sur cette possible grossière erreur . Suivant mon expérience personnelle, et celle d'autres cas similaires, j'ai bien peur qu'il y est effectivement arnaque ou grossière erreur . Je pourrais même dire que j'en suis une preuve vivante, mais il n'y a jamais eu d'études sur nos cas et cela ne semble intriguer personne ! (ou si peu, 25 ans après...!) D'autant que je ne suis pas un cas isolé . Ce qui prouve que la science ne s'intéresse qu'au maladie et aux choses qui rendraient malade, et jamais aux choses qui protégeraient la bonne santé . Me reste ma conviction, dont je vous fait part, suivant mes longues observations et une logique qui ne s'assoit pas sur du conditionnel . L'immuno-dépression, système immunitaire en perdition, qui génère sida, cancer, etc...est liée a la « dépression » de nos société . Au mal de vivre, au non sens de nos vies, au rejet social dont souffrent les minorités, à la peur et au stress constants, à la menace sourde qui pèse sur chacun dans sa lutte social, bref des vies de combat et sans amour où les plus « fragiles » préfèrent s'autodétruire avec leurs « virus » endogènes . Ce qui expliquerait cette maladie « d'amour » entre autre . A chacun son problème, à chacun sa maladie, et le sida pour rassembler tout le monde dans un même sac, pour cacher les souffrances affective de chacun, loin de leurs réalités gênantes . De plus cette théorie, rejoindrait les principes philosophiques et spirituels stipulant que le bien être intérieur est nécessaire à la santé physique et que nos sociétés modernes ne s'y prête pas du tout . D'où le développement des yogas et autres pratiques pour compenser nos problèmes existentiels en développement également et parallèle au développement des cancers et sida . Je comprend que cette théorie est insupportable, puisqu'elle réclamerait de remettre tout notre système en cause, pour espérer se débarrasser des épidémies de cancer, d'allergies, de sida etc ... Epidémie dont notre système très développé et moderne est censé nous protéger . Je constate simplement des corrélations entre ; mon amis déprimé depuis plusieurs années pour des raisons divers, qui peine à vivre dans cette société sans sentiments, qui ne boit pas, qui ne se drogue pas, et qui fit du libertinage avec des « pincettes », qui peut être a souffert de mes maladresses d'amour, et qui finalement « se rend » malade ; et moi, plein de passions et d'excès, enthousiaste et positif !, plein de foi aussi, croquant la vie mais, vivant suivant certain principes spirituels depuis l'age de 18 ans, et où je semble être transparent pour ce sida qui ne veut pas de moi, depuis 20 ans que je lui tend la perche par mes insouciances ! Personnellement, je ne peux plus adhérer à cette logique HIV/SIDA qui paraît sans issues et sans réponses, pendant que les uns meurt encore et les autres survivent péniblement . Le problème, c'est que ma conviction ne peut décider à la place de mon ami ! On est comme paralysé, entre l'orthodoxie et la dissidence . Sa déprime l'empêche de faire les démarches de recherches que j'ai engagé, comme ici, et si moi je me fais mon idées, lui, reste enfermé dans le schéma imposer . Il est bien faible psychologiquement et tout ça l'angoisse . Il m'écoute, et considère ce que je commence à affirmer, je lui fait des dossiers énormes avec tout ce que je trouve sur ce sujet, mais la décision de changer de tactique paraît énorme à prendre . Pourriez vous nous aider ? Comment lui apporter une certitude, une preuve ? Une rencontre physique ( pour sortir des mots et forums virtuels) avec d'autres qui ont fait le pas, est elle possible ? Y a t-il des médecins ou similaire, qui accompagnent les « sidéens » dans cette démarche vers l'arrêt de la tri-thérapie ? (traumatisé dans notre jeunesse, le rapport sida/mort est très profond chez nous, et cette annonce de sida fut ENORME pour nous . on travaille sur « le deuil du deuil », et nous reste a trouver une sortie « vers le haut » de cette crise, afin que la vie redevienne merveilleuse .) Bien a vous et Merci . bamboo